Les troubles psychosomatiques qui font mal au corps

Les troubles psychosomatiques sont la preuve de l’impact que l’esprit peut avoir sur notre corps. Il s’agit d’états où apparaissent clairement une série de symptômes physiques réels liés à des maladies invisibles, avec des conditions qui n’existent pas organiquement, mais qui sont le résultat de conflits mentaux, de problèmes non résolus qui nous consument de l’intérieur.

Lire qu’il existe des étudiants qui, en raison de l’anxiété, peuvent perdre la vue juste avant un examen peut sembler incroyable. En outre, parler du cas d’une femme de 60 ans qui a perdu la mobilité de ses jambes parce qu’elle était convaincue qu’elle avait une tumeur à la colonne vertébrale, peut également sembler une histoire exagérée et difficile à comprendre.

Cependant, les preuves sont là et de tels cas se produisent tous les jours, partout dans le monde et à chaque instant. Par conséquent, les neurologues ou les psychologues spécialisés dans les troubles psychosomatiques ont rapidement appris à donner de l’espace au récit que les patients font de ce qui leur arrive. S’ils disent ressentir de la douleur, cette douleur est probablement réelle même si elle ne se reflète pas dans une IRM ou une analyse sanguine.Donner de la crédibilité à la souffrance de ces patients est essentiel. Il en va de même avec les personnes qui prétendent avoir des pensées suicidaires lors d’une dépression, ou pour une personne souffrant de schizophrénie qui déclare avoir des visions et certaines hallucinations. Cette réalité existe, existe dans l’esprit dudit patient et peut devenir dévastatrice. Lorsque notre esprit prend le contrôle, est traumatisé ou soumis à un état d’anxiété très convulsive, tout peut s’avérer possible.

Les troubles psychosomatiques, est-il vrai que tout est dans ma tête ?

Le trouble psychosomatique est définit comme le cadre symptomatique où un corrélat physique ou organique n’est pas trouvé, là où tous les maux et toutes les limitations dont souffre la personne sont exclusivement dus à ses processus mentaux. Réfléchissons désormais à ce que cela peut supposer…tout est-il vraiment tout dans ma tête ?

La réalité est qu’aujourd’hui les troubles psychosomatiques restent un domaine d’étude rempli d’inconnues pour les experts. Ce qui est connu est que ce spectre de troubles physiques associés au stress mental présente un corrélat cérébral : l’hyperactivité des impulsions nerveuses du cerveau pour communiquer avec diverses zones de notre corps.

  • Un excès d’adrénaline dans le sang peut également survenir, outre certains paramètres biologiques modifiés tels que l’accélération du métabolisme du glucose ou des acides aminés …
  • Par ailleurs, il a également été démontré qu’il existe des personnes davantage susceptibles de souffrir de troubles psychosomatiques. Les patients vivant dans un état de grande anxiété ou qui ont connu une enfance traumatisante suite à des abus, à la privation affective, etc., sont également davantage susceptibles de souffrir de ce type de trouble.

Au-delà du fait de comprendre ou de la non les conséquences des maladies psychosomatiques, il existe un fait encore plus important. Pensons à un médecin qui explique à son patient que ce dont il souffre n’est pas réel, que la douleur qu’il ressent dans  la poitrine n’est pas une crise cardiaque, que la perte de sa voix n’est pas due à un problème de cordes vocales, ou sa terrible migraine à une tumeur. Il convient de préciser au patient “ce dont il ne souffre pas”, mais…de quelle manière est-il possible de l’aider à guérir ce dont il “souffre” et qui trouve son origine dans son esprit ?

“Il s’agit de quelque chose qui arrive à tout le monde. Mais nous ne pourrions dire pourquoi chez certains individus ce mécanisme décide de créer une pathologie. Il se passe que nous avons tous une façon différente de gérer le stress.”
-Suzanne O’Sullivan-

Ce que notre esprit peut générer

Les troubles psychosomatiques peuvent affecter n’importe quel organe, système, tissu ou structure. Son impact est immense, raison pour laquelle nous ne devrions pas sous-estimer la puissance de notre psyché. Il est par ailleurs nécessaire de différencier les troubles somatoformes des troubles psychosomatiques. Alors qu’ il n’existe a jamais de symptôme physique dans le premier cas, des dommages visibles dans l’organisme (par exemple, des ulcères) apparaissent dans le second.

Un exemple classique de troubles psychosomatiques sont les dermopathies, telles que l’eczéma, l’urticaire, les infections, l’acné…
L’hypertension, la tachycardie, la sensation d’étouffement ou les perforations cardiaques sont un autre symptôme
Les troubles du système digestif sont très communs, l’irritation de l’intestin et les ulcères étant les conditions les plus communes
Les maux de tête intenses, tels que les migraines sont également très fréquents
Pertes de mémoire
Asthme bronchique
Dysménorrhée, troubles menstruels…
Alopécie
Dans les cas extrêmes, certaines personnes peuvent souffrir de cécité temporaire, du manque de mobilité de certains membres, d’évanouissements…

Comment les maladies psychosomatiques sont-elles traitées ?

Les troubles psychosomatiques sont abordés de deux manières différentes. D’une part, il est évidemment nécessaire de prendre en charge le symptôme physique que présente le patient (ulcère, infection, eczéma …). Ensuite, le plus important dans ces cas est de faire face au vrai problème sous-jacent, son univers psychologique et cette tension mentale non résolue qui est somatisée avec plus ou moins de gravité dans l’organise.

Les techniques utilisées pour ces cas sont multiples et dépendront toujours de la réalité personnelle de chaque patient. Il est par ailleurs parfois approprié d’essayer différentes thérapies afin de déterminer ce qui fonctionne le mieux chez le patient, ce qui génère les résultats les plus positifs et les plus attendus.

  • Les techniques de relaxation sont toujours très efficaces.
  • La thérapie cognitivo-comportementale est d’une grande aide pour amener les patients à apprendre de nouvelles façons de faire face à leurs problèmes. Ils comprendront leurs réalités internes, appliqueront des objectifs de vie réalistes et identifieront les schémas de pensée qu’ils devraient changer pour disposer d’un style de vie plus positif.
  • Par ailleurs, un autre type de thérapie qui apporte généralement des résultats positifs lorsqu’il s’agit de conflits mentaux et émotionnels, ainsi que des troubles anxieux, est la psychanalyse.
  • La thérapie de groupe telles que le psychodrame, créé à l’époque par Jacob Levy Moreno, est une autre stratégie idéale, révoltante et très enrichissante qu’il est possible de tester pour observer si elle génère les résultats escomptés.

En conclusion, nous devons signaler l’importance et le défi que suppose pour de nombreux médecins d’essayer d’offrir une solution pour tous ceux qui aujourd’hui souffrent de maladies psychosomatiques. Il s’agit parfois de réalités très dures qui méritent notre attention et notre prise de conscience.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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LÂCHER TOUTE FORME DE RÉSISTANCE ET SE LAISSER ÊTRE

par Lydia

Ceux qui me suivent régulièrement peuvent se demander pourquoi je ne publie rien en ce moment. C’est tout simplement parce que je suis dans l’écoute, l’accueil, l’ouverture et la libre expression des émotions refoulées.

Cela n’a aucun intérêt que je répète inlassablement les mêmes choses au sujet du pouvoir de l’amour, de l’accueil, de l’acceptation parce que c’est quelque chose qui se vit.

Il est question de se dépouiller des croyances et des conditionnements tellement nombreux que les énumérer serait impossible.

Et le but est plutôt de se détacher de tous ces systèmes de croyances basés sur la peur.

La peur elle-même envisagée comme un danger, une ennemie alors que c’est juste une énergie qui par nature a besoin de se mouvoir. Les peurs sont aussi nombreuses et elles génèrent des réactions de lutte, de fuite, de résistance, le besoin de comprendre, de trouver des solutions…

En ce sens elles sont utiles mais elles nous emprisonnent dans le mental, le passé, la souffrance lorsque nous les nourrissons, lorsque nous les rejetons ou lorsque nous les fuyons.

Apprendre à accueillir, à reconnaitre et à laisser cette peur s’exprimer nous en libère, du moins l’énergie peut circuler, peu à peu notre vision de la peur, de nous même, change.

Il en va de même pour toute émotion qualifiée de négative comme la colère, la tristesse qui sont des formes d’incompréhension.

Tant que nous contraignons ces énergies, nous ne pouvons pas être nous-même, nous nous identifions aux masques, nous nous accrochons à toutes sortes de croyances qui apaisent momentanément le mental.

Mais une croyance en amène une autre et bien souvent elle nous conduit à une impasse, soulevant d’autres questions, d’autres incompréhensions. Le mental est ainsi en situation de stress permanent. Et comme le stress est un poison violent puisqu’il génère des sécrétions d’hormones comme le cortisol, notre état de santé s’en trouve affecté.

C’est un cycle infernal qui empêche le corps physique d’être plein de vitalité, d’énergie.

Lorsque nous reconnaissons que les craintes, les interrogations et les réactions émotionnelles sont des expressions naturelles de la condition humaine et quand nous cessons de lutter contre elles, nous ressentons une détente mentale qui impacte notre état d’être, nos corps subtils et finalement le corps physique.

 

par Lydia

Reconnaitre et accepter ces pensées, ces émotions, comme des processus naturels qui ne nous définissent pas en tant qu’être, nous ramène dans la paix et l’unité.

Sans les nier, sans les rejeter, juste en les considérant comme des expressions légitimes de la peur et de l’incompréhension, la paix va peu à peu s’installer entre tous nos corps.

Ce positionnement nous libère à la fois de l’attachement aux croyances et aux conditionnements mais il révèle aussi notre nature véritable.

Il permet à l’amour de circuler entre tous nos corps, à la paix, la tendresse, la compassion de restaurer l’harmonie, l’unité intérieure. La vibration que nous émettons est plus légère, nous sommes plus ouverts, en paix, plus authentiques et spontanés.

La joie peut se manifester naturellement lorsqu’on ne lutte plus contre l’humain que nous sommes et lorsqu’on lâche les croyances au sujet de notre nature « divine ».

Nous sommes à une période de l’humanité ou la transparence, l’intégrité, la paix et l’unité peuvent rayonner de l’intérieur.

Mais ça n’est pas une paix factice provoquée par un semblant de confort matériel, par le refoulement émotionnel, par la fuite dans des croyances spirituelles.

C’est la paix véritable qui nait de l’acceptation de tout ce que nous sommes et de tout ce qui nous traverse.

Lorsque nous pouvons nous autoriser à être tout simplement un humain conditionné et manipulé par des croyances ancestrales, lorsque nous prenons l’habitude d’observer les schémas de pensées, nous nous détachons peu à peu de ces réflexes conditionnés.

Nous venons en aide au mental, à l’émotionnel et au corps physique lorsque nous les acceptons tels qui sont et les reconnaissons comme des aspects de notre multidimensionnalité qui forment un tout cohérent.

Je ne parle plus trop de l’enfant intérieur parce qu’en fait, le mental, l’émotionnel le représentent. Disons que ce sont les outils d’expression, de guidance et d’apprentissage de l’âme. Avoir de la tendresse et de la compassion pour la détresse du mental face à la réalité, ou à sa façon de percevoir les choses au travers de la peur et des croyances basées sur la séparation et le manque, c’est cultiver l’amour en soi.

Avoir ce même regard, ce même accueil vis-à-vis du corps physique et émotionnel, c’est retrouver l’unité, la sensation de complétude. C’est devenir ses propres parents.

Ce sont des mots qui ne remplacent pas l’expérience.

Accepter de libérer les émotions refoulées, c’est lâcher le passé, c’est être incarné au présent et c’est donner toutes les chances au corps physique de retrouver la santé.

Laisser ces émotions refoulées s’exprimer en toute transparence et les offrir à la source en soi, c’est se libérer des croyances au sujet du divin, des religions, c’est devenir sa propre autorité.

Je m’autorise à exprimer la colère envers l’âme pour ses choix, pour cette enfance si difficile et pour ce qu’elle a entrainé, pour les choix destructeurs qui ont suivi, pour la colère dirigée sur mon corps physique. En le faisant, je libère le sentiment d’impuissance, la pression causée par ce refoulement qui prend tant d’énergie que le corps s’affaiblit.

La seule réalité que je garde précieusement en tête, c’est le fait que les cellules soient programmées pour se régénérer continuellement. Cela évite au mental de trop stresser quand des symptômes physiques apparaissent.

Apprendre à accueillir la douleur, à lâcher prise au sujet des façons d’interpréter une réaction physique, c’est aider le système immunitaire et la régénération cellulaire à s’effectuer. Tout comme le fait d’écouter et de suivre les envies du moment sans juger, sans commenter les comportements liés à la peur. Être conscient de ces comportements c’est déjà s’en détacher.

Le corps émotionnel s’équilibre de lui-même lorsqu’il peut exprimer les émotions sans retenue et sans être jugé par le mental. Le mental s’apaise lorsqu’il n’est plus obligé de contenir les émotions et les pensées de jugement, de peur, les pensées qui sont liées aux refoulement des émotions.

Si je laisse les émotions s’exprimer librement sans y ajouter des pensées, ou sans croire à ces pensées, le mental émotionnel trouve la paix et l’équilibre naturellement.

Ne pas demander au mental d’être surhumain et ne pas bloquer les émotions, ne pas demander au corps émotionnel d’être équilibré, ramène la confiance en soi, en eux.

Savoir que le corps physique réagit à la paix et l’amour émanés, par des symptômes lors du rééquilibrage, de la régénération cellulaire, l’aide en ce sens.

Donc ne pas interpréter les symptômes ou sensations physiques comme négatives, ne pas lutter contre elles, favorise l’ajustement, la guérison.

Les réponses intuitives, les besoins et demandes du corps physiques se manifestent dans l’instant au-delà du jugement, de la notion de bien et de mal par la salivation pour la faim, le bâillement pour le sommeil, des signes qu’on a tendance à ignorer ou dont on n’est pas conscient que c’est la voix de notre corps physique, son langage.

Le désir ou l’enthousiasme pour agir, même si ce désir émane d’une stratégie du mental, est le meilleur moyen de suivre l’inspiration de l’âme associée au corps physique.

Mais il a surtout besoin que le mental soit en paix, rassuré, écouté, lâché dans le sens d’arrêter de vouloir qu’il change. Il a besoin que les émotions soient fluides.

Apprendre à le rassurer en commençant par cesser de croire que c’est lui ou la compréhension intellectuelle qui peut trouver les solutions.

Nous sommes bien plus complexes et complets que cela.

Ce sont tous nos corps qui ont besoin d’être alignés sur la fréquence de l’amour, d’agir dans l’unité, chacun selon ses fonctions propres.

9 03 Je viens du jardin et je remarque une fois de plus que c’est une occupation qui favorise l’alignement des corps, qui permet d’être en symbiose avec la terre, avec notre vraie nature, de suivre naturellement le courant de la vie, sans même en avoir conscience.

Ce qui en témoigne c’est le bien-être que ça procure à tous les corps.

C’est idéal pour éviter de ressasser et comme cela fait appel à la créativité, une joie enfantine s’en dégage. Enfantine dans le sens de non calculée ou sans objet, sans autre raison que le fait d’être.

Apprendre à laisser l’émotion et les pensées dites négatives s’exprimer sans s’y attacher n’est pas facile parce que généralement quand ça arrive on a tendance à culpabiliser et c’est cela qui bloque l’énergie. Ou qui crée une forme de résistance. Surtout quand on sait combien les émotions affectent notre état d’être, notre vibration et quand on veut être en paix mais si on observe les choses on va se rendre compte que peu à peu on est moins déstabilisé par ces mouvements intérieurs.

Ce qu’on appelait avant un genre de crise émotionnel apparait comme une libération, une façon d’être plus souple, plus fluide, plus à l’écoute et surtout moins stressé.

Nous avons été tellement conditionné par la peur et les croyances restrictives qu’il est bien naturel que le mental continue de s’inquiéter. Pouvoir reconnaitre et apaiser le mental, le considérer comme un membre à part entière de l’équipe que forment nos corps, c’est autoriser l’amour que nous sommes à se déployer à l’intérieur.

Quand on cesse de lutter contre ce qui est, de vouloir changer en force, la confiance revient alors même qu’on ne sait pas où on va. Passer des croyances à la confiance en l’âme et en la vie se réalise par la désidentification, la déconstruction des schémas de pensée habituels qu’on ne nourrit plus par des raisonnements.

Dans l’observation objective, on se rend compte que finalement nos choix sont autant conditionnés par les croyances, la peur, qu’ils sont inspirés par l’âme ou le soi. Et par dessus tout, nous faisons toujours de notre mieux. On ne contrôle rien du moins notre mental n’a pas ce pouvoir mais nous pouvons être plus ouvert, plus souple simplement en acceptant ce qui est et ce que nous sommes maintenant.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr

« Chronique trouvée sur lapressegalactique.org » Partagé par www.eveil.tv

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Selon l’hindouisme il vaut mieux garder certaines choses secrètes

développement personnel

L’hindouisme nous transmet une manière de nous comporter dans la vie et un sens des responsabilités selon lequel le silence est parfois notre meilleur allié. Ainsi, il y a des choses qu’il vaut mieux garder secrètes, des aspects sur nos propres aspirations, des essences et des réussites qui appartiennent à notre jardin secret, à cette pièce délimitée par la sage réserve personnelle.

On dit souvent de la philosophie hindouiste qu’elle est une invitation directe à la redéfinition de notre existence, à la réflexion sur celle-ci au travers d’un autre angle beaucoup plus ample et également beaucoup plus responsable. L’objectif ultime de cette religion présente notamment en Inde et au Népal est de guider l’être humain vers le chemin de la libération, là où nos pensées, nos émotions, nos actes et nos paroles nous mènent à la sérénité, à un état de conscience où tout n’est qu’harmonie.

Ainsi, parmi tous ces courants à l’essence spirituelle, il est normal de trouver des séries de recommandations qu’il faut mener pour atteindre l’équilibre interne permettant de trouver le bien-être ou le calme. L’hindouisme, pour sa part, représente l’essence de nombreuses doctrines qui nous indiquent ce que nous devons faire, et ce qu’il vaut mieux éviter ou restreindre.

Nous ne pouvons pas oublier qu’au sein de ce champ philosophique, toute action a son effet, et sa conséquence. Le bon hindou par exemple, est la personne qui connaît son devoir, qui connaît sa responsabilité, ce Dharma où tout progrès matériel a son explication spirituelle et le lien qui donnera lieu au bonheur réel dans cette vie et dans la suivante, celle de la réincarnation. Pour cela, il est intéressant de savoir ce qu’il vaut mieux garder secret, en favorisant ainsi cette responsabilisation pour nous-même et pour les autres.

1. Ne propagez pas de rumeurs, de ragots ou de critiques négatives sur des tierces personnes

Si quelqu’un s’approche de nous avec une rumeur, un commentaire dévalorisant au sujet d’une autre personne, une critique offensive concernant un comportement étranger, le mieux est de tirer le rideau. Établissons ce mur qui contient la négativité et l’affronte sans explication. Il est important de rappeler une fois de plus la règle des trois filtres de Socrate, c’est-à-dire : si l’information qui parvient à nous n’est ni bonne, ni utile, ni vrai, il vaut mieux ne pas lui donner de validité et l’apporter au coin du silence.

« Avant de juger une personne, marche pendant trois lunes avec ses chaussures. »

-Proverbe Hindou-

2. Maintenez vos projets secrets

Si vous avez un rêve, un objectif élevé, un projet personnel, soyez prudent. Ne le communiquez pas aux autres avant l’heure, marchez avec des pieds de plomb et soyez attentifs ; mieux vaut ne pas se précipiter. Laissez ces plans gagner en maturité et s’approcher quasiment de la réalité.

Parfois, lorsque nous évoquons un désir ou un objectif, notre interlocuteur loin de partager notre illusion nous offre son scepticisme ou pire encore, ses critiques. Soyez donc organisés et n’hésitez pas à garder secrètes ces cimes personnelles que vous rêvez d’atteindre un jour.

3. Gardez pour vous vos réussites émotionnelles, les moments au cours desquels vous avez été votre propre héros

Vous êtes l’unique personne à savoir ce que vous avez gagné, les barrières personnelles que vous avez surmontées pour vous prouver à vous-même que vous en étiez capable et que vous méritiez vos réussites. Parfois, l’être humain se sent obligé de contourner des pierres sur le chemin qu’il est le seul à comprendre (une déception, un mensonge, un abandon, une frustration…). Ce sont des faits d’une dureté délicate qui nous ont façonnés, qui nous ont laissé des marques, mais qui à la fois nous ont permis de laisser paraître le meilleur de nous.

Ces victoires, les plus intimes, appartiennent bien souvent au domaine privé. Parfois en les évoquant à voix haute, elles perdent de leur valeur, elles sont incomprises ou s’interprètent de manière fausse comme si nos mots avaient transmis une certaine arrogance.

4. L’intimité de votre famille

S’il y a bien un aspect que nous devons absolument garder secret c’est la vie privée de notre foyer, de notre famille, de notre couple. Ce tissu singulier et intime nous appartient uniquement à nous. C’est une dynamique, un héritage, des situations et des liens que nous ne devons pas présenter à voix haute comme quelqu’un qui souffle les graines d’un pissenlit dans le vent.

Lorsque la situation le requière ou si le but ultime est de recevoir de l’aide pour améliorer la qualité de ses liens, nous pourrons faire le pas pour commenter ces choses avec de tierces personnes. Néanmoins, nous serons prudents et nous devrons choisir avec précaution à qui révéler cette intimité.

5. Vos actes de bonté

Un autre aspect de notre vie qu’il vaut mieux garder secret sont nos bonnes actions, nos actes de noblesse. La bonté n’a pas besoin de spectateurs, les bonnes actions n’ont pas besoin d’être publiées sur des pancartes ou mises sous les projecteurs. Elles ne sont pas moins réelles lorsqu’il n’y a pas de regards pour les observer.

La bonté réelle est celle qui ne se voit pas, celle qui se pratique quotidiennement de manière discrète avec des actes qui s’ajoutent aux grandes prouesses et aux situations les plus anonymes.

6. Vos carences

Il y a des personnes qui font une fixation sur ce qui leur manque. Elles s’obsèdent avec ce qu’elles n’ont pas et ne sont pas capables de voir la richesse qu’elles possèdent en observant les aspects qui sont réellement précieux.

Evitez cela car il vaut mieux garder ce que vous n’avez pas pour vous. Si vous manquez d’un téléphone portable haute technologie, ne dites rien, vous êtes peut-être face à quelqu’un qui ne peut pas se permettre d’en avoir un. Si vous n’avez pas de partenaire, si vous n’avez pas la maison de vos rêves, si cette année vous ne pouvez pas vous payer de vacances, ne vous plaignez pas, ne le proclamez pas comme si ce manque était l’objet d’un malheur absolu.

Parfois, nous sommes tristes de ne pas avoir des choses qui en réalité ne sont pas vitales.

« Les objets externes sont incapables de donner un bonheur absolu au cœur de l’homme. »

-Proverbe Hindou-

Pour conclure, comme nous avons pu le voir, la sagesse hindouiste nous fournit des conseils auxquels nous avons tous plus ou moins déjà pensé. En réalité, il s’agit uniquement d’appliquer cet art enrichissant qui devient de plus en plus rare : la prudence, la réserve et le respect d’autrui.

N’oublions donc pas que comme nous l’indique ce champ religieux si inspirant, tout acte a des conséquences. Ainsi, soyons un peu plus réfléchis et comprenons que le silence est parfois le lieu le plus certain pour garder certains mots, certains rêves et certaines pensées.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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La méditation assise

Quand nous pratiquons la méditation, il est important d’avoir un siège confortable et une bonne posture.

L’aspect le plus important de la posture c’est de garder le dos droit. Pour nous y aider, si nous sommes assis sur un coussin, nous nous assurons que l’arrière du coussin est légèrement plus élevé que l’avant, afin que notre bassin soit légèrement incliné vers l’avant.

Au début, il n’est pas nécessaire de s’asseoir les jambes croisées, mais c’est une bonne idée que de s’habituer à s’asseoir dans la posture de Bouddha Vairotchana. Si nous ne pouvons pas garder cette position, choisissons celle qui sera la plus proche possible de celle-ci, tout en restant confortable.

Voici les sept points de la posture de Vairotchana :

1 Les jambes sont croisées dans la posture-vajra. Cela nous aide à diminuer les pensées et les sentiments d’attachement désirant

2 La main droite est posée dans la main gauche, les paumes tournées vers le haut, les bouts des deux pouces tout juste relevés, se touchant légèrement. Les mains sont placées environ quatre largeurs de doigt au-dessous du nombril. Cela nous aide à développer une bonne concentration. La main droite symbolise la méthode et la gauche la sagesse – les deux ensemble symbolisent l’union de la méthode et de la sagesse. Les deux pouces situés au niveau du nombril symbolisent le flamboiement du feu intérieur

3 Le dos est droit, sans être tendu. Cela nous aide à développer et à maintenir un esprit clair, et permet aux vents d’énergie subtile de circuler librement

4 Les lèvres et les dents sont dans leur position habituelle, mais la langue touche l’arrière des dents supérieures. Cela empêche une salivation excessive et évite aussi que notre bouche ne devienne trop sèche

5 La tête est un peu inclinée vers l’avant, avec le menton légèrement rentré de façon à ce que les yeux soient dirigés vers le bas. Cela aide à empêcher l’excitation mentale

6 Les yeux ne sont ni grand ouverts, ni complètement fermés, mais restent à moitié ouverts et regardent vers le bas dans le prolongement de l’arête du nez. Si nos yeux sont grand ouverts, nous serons probablement sujets à l’excitation mentale et s’ils sont fermés, à l’engourdissement mental

7 Les épaules sont au même niveau et les coudes légèrement éloignés du corps, afin de permettre à l’air de circuler

Source http://kadampa.org Partagé par www.eveil.tv

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Utiliser ses 5 sens pour surmonter le stress

Utiliser ses 5 sens pour surmonter le stress est une stratégie très facile à appliquer. Il s’agit d’une manière très particulière de synchroniser les canaux de l’odorat, de la vue, de l’ouïe, du goût et du toucher avec des stimuli relaxants, tout en les purifiant, afin de calmer notre esprit et harmoniser la rumeur de nos pensées. Il s’agit d’une stratégie défensive par laquelle stimuler notre cerveau pour lui apporter paix et bien-être.

Les actions les plus simples sont parfois celles qui nous offrent les meilleurs résultats. Nous savons que pour affronter le stress nous disposons de diverses théories, thérapies et perspectives afin d’apprendre à prioriser ou améliorer l’orientation de nos pensées. Toutes sont valables, mais les stratégies les plus élémentaires sont parfois celles qui nous aident le plus et le mieux à un moment donné.

“Nos expériences et nos émotions peuvent changer en fonction de la façon dont nous utilisons nos sens. Si nous leur permettons d’interagir avec des stimuli relaxants, nous trouverons une harmonie intérieure.”

L’une d’entre elles repose simplement sur la bonne utilisation de ce que la nature nous a offert : notre corps, notre organisme, nos merveilleux 5 sens. Nous devons préciser que nous les négligeons parfois, que nous oublions le pouvoir qui est en eux. En effet, nous ne sommes pas toujours conscients de toutes les informations qu’ils nous transmettent, de leur énergie et de cet univers fascinant de sensations et de perceptions avec lequel nous organisons notre monde.

La Gestalt thérapie, par exemple, nous rappelle que nos sens sont la porte d’entrée de nos émotions. Grâce à eux, nous explorons, relions et permettons à une information d’entrer, et non une autre. Amener tous nos sens à être en harmonie nous permettrait d’atteindre la réconciliation interne, nous permettant de mieux gérer le stress. Voyons à présent comment y parvenir.

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1. Comment utiliser les 5 sens pour surmonter le stress : l’odorat

L’odeur de l’herbe fraîchement coupée, de la mer au crépuscule, l’odeur du gâteau de notre grand-mère,celle de la terre humide, des crayons de couleur lorsque nous allions à l’école … Tous sont des ancrages directs avec notre passé ou vers un moment agréable de notre passé. Il en est ainsi en raison d’un fait aussi concret que fascinant : l’odeur ouvre souvent la porte de notre monde émotionnel.

Plus encore, notre cortex olfactif primaire est relié à l’hippocampe et à l’amygdale, deux structures cérébrales intimement liées aux émotions. Par conséquent, l’aromathérapie a toujours été d’une grande aide afin de mieux gérer le stress, nous faisant entrer en contact avec certains parfums relaxants.

Certains d’entre eux seraient :

  • La lavande
  • La vanille
  • L’eucalyptus
  • La menthe
  • L’odeur du thé au jasmin
  • L’odeur du géranium
  • L’arôme de la mélisse
  • L’huile essentielle de Ylang Ylang

2. Les couleurs qui relaxent

Lorsqu’il s’agit d’utiliser les 5 sens pour surmonter le stress, nous ne pouvons pas sous-estimer celui que nous utilisons le plus : la vue. Croyons-le ou non, notre environnement et le manque d’équilibre, ainsi que le désordre ou la présence de certaines couleurs dominantes peuvent intensifier le sentiment de stress et d’anxiété.

Nous devons parvenir à ce que nos scénarios quotidiens présentent systématiquement quelque stimuli visuel relaxant : là où nous pourrons reposer nos yeux de temps à autre. Nous réaliserons quelques propositions à continuation.

  • Mettre une plante avec des fleurs sous la fenêtre que nous avons le plus prêt
  • Placer des tableaux ou des affiches montrant les rivières, les océans, la pluie, les lacs…
  • Il existe par ailleurs des études qui révèlent que la couleur bleue est la plus thérapeutique, celle qui génère le plus de calme et de bien-être

3. Le goût pour combattre le stress

Il est tout à fait possible que de nombreux lecteurs pensent que peu de choses peuvent être autant relaxantes que de satisfaire notre palais avec une bonne tasse de chocolat, ou toute autre chose que constitué de ce précieux ingrédient. Il convient toutefois de nuancer cela : lorsqu’il s’agit de réduire le stress par le goût, nous devons savourer, autrement dit manger lentement, saliver, profiter sans hâte, arrêter l’horloge…

Ainsi, et avant de recourir aux bonbons exclusivement, il existe d’autres options alimentaires plus adaptées pour traiter le stress :

  • Banane.
  • Amandes
  • Saumon

  • Avocat
  • Raisin
  • Avoine
  • Pommes
  • Thé vert
  • Myrtille

4. Le son de l’harmonie, le calme du silence

Nous vivons dans un monde surchargé de sons de toutes sortes, de sons qui dépassent souvent les décibels autorisés et qui nous empêchent “d’écouter” cette chose précieuse et cathartique pour notre cerveau : le silence.

Lorsqu’il s’agit d’utiliser les 5 sens pour surmonter le stress, nous ne pouvons pas négliger notre audition. Ainsi, et pour parvenir cette relaxation nécessaire, nous pouvons choisir deux stratégies. La première consiste à écouter de la musique et des chansons qui génèrent certains types d’émotions, telles que la joie, la nostalgie, la motivation, le sentiment de vaincre

L’autre stratégie serait basée sur l’écoute de sons relaxants, tels que la pluie, le chant des baleines, le son blanc, le vent dans la forêt, etc.

5. Le toucher, les sensations qui nous font nous sentir en vie

Notre peau est une surface constituée de milliers de récepteurs qui aspirent à être stimulés. Une caresse, l’eau chaude, la brise marine, des draps propres, la sensation de flotter en nageant dans une piscine, le câlin d’un être cher qui nous enveloppe pour atteindre notre âme … L’être humain a besoin de contact, la peau a besoin d’être agréablement stimulée chaque jour, et par conséquent, il est essentiel que nous nous “offrions” ces expériences chaque fois que nous le pouvons.

Tout manque de stimulation de notre peau génère un appétit sensoriel. Nous nous sentons vides et le sentiment de stress s’intensifie. Cependant, quelque chose d’aussi élémentaire que de prendre une douche relaxante ou de serrer nos proches dans nos bras plusieurs fois par jour, éteins un certain nombre de nos peurs, de nos tensions et de nos angoisses.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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Le renoncement n’est pas le désir d’abandonner

Le renoncement n’est pas le désir d’abandonner notre famille et nos amis, notre foyer, notre travail et ainsi de suite, et de devenir un clochard. En réalité c’est un esprit qui cherche la libération de la renaissance contaminée et dont la fonction est de faire cesser l’attachement aux plaisirs mondains.

Nous devons apprendre à faire cesser notre attachement en pratiquant le renoncement, sinon il sera un sérieux obstacle à une pratique spirituelle pure. Tout comme un oiseau ne peut pas voler si des pierres sont attachées à ses pattes, nous ne pouvons pas faire de progrès sur la voie spirituelle si les chaînes de l’attachement nous immobilisent.

Le moment de pratiquer le renoncement est maintenant, avant notre mort. Nous avons besoin de réduire notre attachement aux plaisirs mondains en réalisant qu’ils sont trompeurs et ne peuvent pas donner de satisfaction réelle. En réalité, ils ne nous causent que des souffrances.

Cette vie humaine avec toutes ses souffrances et tous ses problèmes est pour nous une excellente occasion d’améliorer à la fois notre renoncement et notre compassion. Ne gaspillons pas cette précieuse opportunité.

La réalisation du renoncement est la grande porte par laquelle nous nous engageons dans la voie spirituelle de la libération, ou nirvana. Sans renoncement, s’engager dans la voie du bonheur suprême du nirvana est même impossible, alors inutile de parler de progresser sur elle. Pour générer et faire grandir notre renoncement, nous pouvons contempler ce qui suit de façon répétée :

Étant donné que ma conscience est sans commencement, j’ai eu d’innombrables renaissances dans le samsara. J’ai déjà eu d’innombrables corps. S’ils étaient tous réunis, ils rempliraient le monde entier, et tout le sang et tous les autres liquides qui ont circulé dans ces corps formeraient un océan. Dans toutes ces vies antérieures, mes souffrances ont été si grandes que dans mon chagrin j’ai versé suffisamment de larmes pour remplir un autre océan.

Dans chacune de ces vies j’ai éprouvé les souffrances de la maladie, de la vieillesse, de la mort, j’ai été séparé de ceux que j’aimais et j’ai été incapable de satisfaire mes désirs. Si je n’atteins pas la libération permanente de la souffrance dès maintenant, je devrai, dans mes innombrables vies futures, éprouver ces souffrances encore et encore.

En contemplant cela, nous prendrons du fond du coeur la ferme résolution d’abandonner l’attachement aux plaisirs mondains et d’atteindre la libération permanente de la renaissance contaminée. En mettant cette résolution en pratique nous pourrons contrôler notre attachement et de cette façon résoudre bon nombre de nos problèmes quotidiens.

Source http://kadampa.org Partagé par www.eveil.tv

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Frédérique Shine Médium
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La préparation à la méditation

Dans Le manuel de méditation, Guéshé Kelsang Gyatso explique que nous avons tous le potentiel qui permet d’obtenir des réalisations en méditation :

Ce potentiel ressemble à des graines dans le champ de notre esprit et notre pratique de la méditation ressemble à la culture de ces graines. Toutefois, nos méditations n’auront de succès que si nous faisons au préalable de bonnes préparations.

Si nous voulons obtenir des récoltes externes, nous commençons par des préparations attentives. Nous enlevons tout d’abord tout ce qui pourrait empêcher la croissance de notre future récolte, comme les pierres et les mauvaises herbes. Puis, nous enrichissons le sol avec du compost ou de l’engrais pour lui donner la force de soutenir sa croissance. Enfin, nous fournissons la chaleur et l’humidité indispensables pour faire germer les graines et faire croître les plantes.

De la même manière, pour obtenir des récoltes internes que sont les réalisations du dharma, nous devons aussi faire des préparations attentives.

Premièrement, nous devons purifier notre esprit pour éliminer le karma négatif que nous avons accumulé par le passé, car si nous ne purifions pas ce karma négatif, il fera obstruction à la croissance des réalisations du dharma. Deuxièmement, il est nécessaire de donner à notre esprit la force de soutenir la croissance des réalisations du dharma, en accumulant du mérite. Troisièmement, nous avons besoin d’activer et de soutenir la croissance des réalisations du dharma en recevant les bénédictions des êtres saints.

Il est très important de recevoir des bénédictions. Par exemple, si nous ensemençons un champ, même si nous enlevons les mauvaises herbes et mettons de l’engrais, nous ne pourrons pas faire croître quoi que ce soit sans un apport de chaleur et d’humidité.

Celles-ci font germer les graines, soutiennent la croissance des plantes et font finalement mûrir la récolte. De la même manière, même si nous purifions notre esprit et accumulons du mérite, il nous sera difficile de réussir dans nos méditations, si nous ne recevons pas les bénédictions des êtres saints.

Recevoir des bénédictions transforme notre esprit en activant nos potentiels vertueux, en soutenant la croissance de nos réalisations du dharma et en amenant notre pratique du dharma à son accomplissement.

Ainsi, nous comprenons qu’il existe trois préparations essentielles au succès de la méditation : purifier les négativités, accumuler du mérite et recevoir des bénédictions.

Si vous le souhaitez, vous pouvez effectuer ces pratiques préparatoires en récitant la sadhana Les prières pour la méditation.

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Voici ce que la forme de vos dents révèle sur votre personnalité

Visagisme ‘est la pratique de créer des associations de personnalité entre la forme de vos dents et les traits de personnalité que vous pouvez afficher. Il est basé sur de nombreuses observations et des études détaillées au fil du temps. Ce qu’il révèle est les traits de personnalité de base qui sont associés à différents ensembles de dents, mais ils sont génériques et peuvent ne pas inclure des cas spécifiques. Mais ce que cela révèle, révèle des choses que nous ne connaissons pas tous. Alors, continuez à lire avec ce charmant sourire sur votre visage.

1

Un ensemble de dents de forme ovale est caractérisé par des cuspides dominantes, des cuspides arrondies et une arche ronde. Il y a une légère protubérance qui peut ne pas être visible à l’extérieur. La personnalité à laquelle elle est associée est appelée «mélancolique». Les gens qui tombent sous cette catégorie sont connus pour être très organisés et ils planifient un grand aspect de leur vie à l’avance. Ils sont connus pour être inclinés vers le perfectionnisme et leur attention aux détails est immaculée. Non seulement sont-ils de bons organisateurs, ils sont également bons pour l’élaboration de stratégies et pour l’avenir afin de planifier les éventualités. L’autre aspect de leur vie qu’ils gardent quelque peu privé est le côté artistique. Ils sont créatifs, pensent en termes abstraits et peuvent être réservés à leurs pensées dans une large mesure. Ce qui peut apparaître comme un comportement timide de l’extérieur est en réalité leur personnalité réservée qui ne s’ouvre à personne qui n’a pas gagné leur confiance.

2

Un ensemble de dents triangulaires est constitué de lignes de sourire ascendantes et l’axe des dents semble converger. Les cuspides inclinées constituent l’ensemble et la personnalité qui est associée à cette forme est appelée «Sanguine». Les personnes atteintes de cette denture sont, le plus souvent, extravertis et expressives. Ils sont très ouverts avec leurs pensées et ils ne craignent pas de partager ce qui se passe dans leur tête. Ils aiment le plein air et trouvent des amitiés étroites avec ceux qui partagent leur enthousiasme pour une vie aventureuse. Enthousiaste et dynamique, ils sont un faisceau d’énergie. Ils sont la vie de n’importe quelle partie et ils sont très bons avec les gens. Leur capacité à s’entendre avec les autres les rend très utiles, mais le seul aspect de leur vie qui leur cause des ennuis, c’est leur impulsivité. Ils agissent sur leur instinct et parfois ils finissent par faire des choses qu’ils ne devraient pas avoir en premier lieu.

3

Un ensemble de dents rectangulaire est caractérisé par un centre assez dominant couplé à des incisives plates. Les cuspides semblent agressifs et les dents sont alignées le long d’un axe vertical. La personnalité associée à cet ensemble de dents est appelée «colérique». Les personnes atteintes de cette denture sont plus déterminées, motivées et objectives quant à ce qu’elles veulent dans leur vie. Ils sont de bons observateurs et ont une solide compréhension de qui ils sont en tant que personnes. Ils connaissent très bien leurs forces et leurs faiblesses et agissent avec prudence. L’autre aspect de leur personnalité qui les pousse vers l’avant est leur instinct entrepreneurial. Ils sont bons pour saisir les opportunités et agir avec un but lorsqu’une chance leur arrive. Conduits pour réussir, ils peuvent être impitoyables dans leur approche et leur poursuite unique est ce qui les distingue de la foule.

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Un ensemble de dents carré est dépourvu de dominance centrale. L’axe le long duquel les dents sont alignées diverge et l’ensemble est horizontal. Le type de personnalité associé à cet ensemble de dents est appelé «flegmatique». Les gens avec cette denture ont été connus pour être de grands diplomates. Ils ont beaucoup de tact et savent exactement quoi dire et quand. Ils agissent comme de grands médiateurs et feraient rarement quelque chose pour aggraver la situation. Ce sont des gens épris de paix qui préfèrent discuter d’un débat. L’autre côté de leur personnalité qu’ils gardent caché est leur spiritualité. Ils sont très proches de leurs âmes et comprennent très bien leurs pensées. Puisqu’ils sont aussi discrets et sages, leur personnalité a une aura mystérieuse autour d’elle. Pas ceux qui se rebellent, ils comprennent, observent et avancent d’un pas ferme, sûrs de leur destin.

Je suis un bloc de texte, cliquez sur le bouton « éditer » pour me modifier. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.

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Choisissez un animal et nous vous révélerons le côté obscur de votre personnalité

*Le loup
Le loup est un chéri de la nuit, un allié des ténèbres et un enfant du démon lui-même. Mais le fait est qu’un loup ne blesse jamais à moins d’être menacé en premier, il n’attaque jamais à moins d’être provoqué et il ne tue jamais s’il ne le doit pas. Un solitaire par nature, c’est l’un des animaux les plus mystérieux qui existent, se cachant toujours dans l’ombre, attendant que ses victimes arrivent à portée de sa portée pour pouvoir se jeter sur eux et tuer sans préjugés. Si le loup était l’animal sur lequel vous avez été attiré avant tout autre animal, il est fort probable que votre personnalité soit aussi complexe, mystérieuse et sombre que celle d’un loup. Vous aussi, comme un loup, n’attaquez jamais sans provocation et êtes doux dans la vie mais vous pouvez être brutal s’il est poussé à l’extrême. Quand vous êtes menacé, vous ne réagissez pas, vous attendez le bon moment. Vous planifiez votre attaque avec patience et précision et lorsque votre rival est sûr qu’il est en sécurité, vous libérez votre furie. La plupart des gens penseraient, en vous regardant, que vous êtes inoffensifs et qu’ils peuvent profiter de vous, mais quand il y a des menaces ou des provocations, vous agissez rapidement et intelligemment. Votre loyauté, comme un loup, est pour la vie, mais votre rage l’est aussi quand vous en avez assez.
* La chauve-souris
Que pensez-vous que même Batman a peur? Les chauves-souris, bien sûr. Il y a quelque chose de primordial au sujet des chauves-souris qui ont non seulement inspiré un personnage comme Batman mais aussi Dracula. Il y a quelque chose de foncièrement sombre dans ces créatures de la nuit qui disparaissent à la lumière du jour, pendent du toit dans leurs cavernes sombres et regardent le monde à l’envers. Si la chauve-souris était l’animal de votre choix, alors vous avez une personnalité complexe qui est faite de plusieurs couches. Pour commencer, le monde n’est jamais noir et blanc pour vous, vous vivez dans la zone grise de la vie. Vous n’êtes pas confiné par les préoccupations morales de la société et vous ne vous conformez jamais, quoi qu’il arrive. La façon dont vous regardez le monde est différente des autres. Tout de votre sens de l’humour à vos points de vue sur la vie est vers le côté sombre. C’est quelque chose qui vous distingue vraiment, car tout le monde ne peut pas voir les nuances du monde comme vous le faites. Vous êtes un sceptique et ne faites pas confiance facilement. Le fait est que vous avez une personnalité qui vous a aidé à grandir au-delà des nuances du bien et du mal, au-delà du bien et du mal et au-delà du bien et du mal.

image pixabay

*Le corbeau
Edgar Allen Poe savait exactement de quoi il parlait quand il a choisi Raven comme muse et a écrit ‘Nevermore’. Les corbeaux ont toujours été associés à des présages obscurs et à la mort. Ces oiseaux, aussi sombres que la nuit elle-même, ont été connus comme le précurseur de la mort et de la destruction et même le nom collectif pour les corbeaux est «méchanceté». Mais il est également vrai qu’ils sont des oiseaux intelligents, ils peuvent imiter la voix humaine et sont extrêmement adaptables. Alors pourquoi avez-vous été attiré par un corbeau? Votre personnalité, basée sur votre choix, peut être aussi sombre que celle d’un Corbeau. Vous êtes l’une de ces personnes qui garde leur côté obscur caché. . Vous êtes bon à observer les gens à distance et à comprendre leurs pensées. Vous pouvez clairement voir l’obscurité qui se cache dans le cœur des autres. Tout comme un corbeau, vous attendez que le moment soit venu de libérer votre côté obscur. Vous vous adaptez, changez et changez, vous positionnant pour frapper. Vous êtes persistant vers la réalisation de votre objectif. Un trait de plus qui vous rend corbeau est que vous ne blessez jamais à moins d’être provoqué. C’est seulement quand quelqu’un vous pousse à l’extrême que vous agissez d’une manière qui fait que les ténèbres paraissent vraiment terrifiantes.

*La panthère noire
Il y a très peu de créatures qui inspirent autant de crainte et de crainte que la panthère noire. C’est intrinsèquement une créature mystérieuse qui vit dans l’ombre. Un solitaire par nature, il est craint autant qu’il est respecté. Il y a des histoires de tribus qui adorent la panthère car l’animal est connu pour être farouchement protecteur. Silencieux, vigilant et mortel, il y a tellement de nuances à cette créature que personne ne peut jamais dire ce qu’il pense. Si ce n’est pas la définition même du mystère, alors rien n’est.
Si vous avez choisi la panthère noire, il y a de fortes chances que vous aussi soyez une personne de mystère inhérent, quelqu’un qui est autant une énigme que cette créature fière. Vous avez un mélange complexe de traits qui vous distinguent des autres. D’un côté, vous protégez farouchement ceux que vous aimez, mais d’un autre côté, vous pouvez être brutal envers ceux qui vous menacent. «Vous obtenez ce que vous méritez», c’est ainsi que vous traitez avec les gens. Si elles sont bonnes pour vous, vous pourriez être leur meilleur ami, mais sinon, il y a peu de chance qu’elles survivent à votre colère. Doux en tant que personne mais redoutable en tant qu’opposant, le côté obscur de votre personnalité est quelque chose qu’une personne devrait déclencher à ses risques et périls.

*La veuve noire
Les veuves noires sont connues pour leurs morsures venimeuses et aussi pour leurs actes cannibales de manger leurs propres camarades. Obscurs et mystérieux, ils attendent que leurs victimes soient piégées dans leurs toiles, puis vont travailler dessus. Ils injectent à la victime son venin, les laissent mourir et les consomment en paix. Ils ont une façon d’être sombre de la manière la plus inimaginable et c’est quelque chose qui les rend dangereux, troublants et qui devraient être évités à tout prix.

Votre choix pour la veuve noire laisse entendre que vous avez une personnalité qui peut devenir vraiment sombre. Lorsque provoqué ou poussé à une situation où vous n’avez d’autre choix que de faire ressortir votre côté obscur, vous pouvez être mortel. La première chose que vous faites est d’endormir votre adversaire dans un faux sentiment de sécurité. Une fois que votre rival a laissé tomber sa garde, vous commencez lentement à tisser votre toile autour d’eux, et ils n’ont aucune idée qu’ils sont pris au piège. C’est seulement quand ils sont complètement soumis et ne peuvent plus vous opposer que vous allez pour la dernière tuerie avec vos instincts mortels. Lorsque vous avez terminé, il n’en reste généralement aucune trace. Alors que vous pouvez paraître doux et inoffensif à l’extérieur, ceux qui vous blessent ou ont l’intention de vous faire du mal peuvent voir toute la colère de votre personnalité et vivre pour regretter le moment où ils ont choisi de vous embêter.

*Le chat noir
Les chats ont été associés aux arts sombres et à la mort depuis les temps anciens. La référence des chats étant une créature à mi-chemin entre le monde des morts et celui des vivants pourrait être trouvée dans presque toutes les cultures. Des contes égyptiens antiques à la littérature moderne, les chats ont été décrits comme des créatures sinistres et d’un autre monde, vous regardant à travers leurs yeux fendus. Il y a une raison pour laquelle cette image a persisté au fil des ans. Il doit y avoir quelque chose d’intrinsèquement profond et sombre à propos des chats qui leur donne cette aura.
Si le chat a attiré votre attention, vous avez une personnalité vraiment mystérieuse et dynamique. Le fait est que vous êtes, en tant que personne, aussi ludique qu’un chaton, mais cela n’est vrai que dans la mesure où quelqu’un ne vous menace pas. Une fois que cela arrive, vous pouvez vraiment faire ressortir le mal en vous et devenir, pour ceux qui vous blessent, la réincarnation de Satan lui-même. Vous êtes patient, intelligent et rusé dans vos pensées et vos actions. Quand vous choisissez d’agir, les gens ne vous entendent même pas venir, et encore moins se préparer à la colère que vous déclenchez. Vous agissez calmement, en attendant votre temps à observer. Quand vous voyez que le moment est venu, vous bondissez, avec un effet létal. Avec une personnalité comme la vôtre, n’importe qui qui choisit de vous embêter a une bonne chance de regretter profondément le moment où ils vous blessent.

* Le vautour
Un bec crochu sur un col crocheté avec un corps tout droit sorti d’un film d’horreur, les vautours sont les éboueurs ultimes de la nature. Ils chassent en meute, volent en cercles, se concentrent sur leur cible, attendent jusqu’au moment où ils sont morts. Puis ils descendent et encerclent la carcasse, et lentement mais régulièrement arrachent leurs victimes sans pitié. Si le vautour était celui qui attirait votre attention, vous pourriez avoir une personnalité terrifiante qui sommeille juste sous votre attitude calme et douce. La chose est, les vautours attaquent seulement quand ils doivent et ne mangent que ce dont ils ont besoin. Comme le vautour, votre personnalité est profonde et sombre. Vous êtes perspicace quand il s’agit de vos transactions dans la vie. Vous avez un œil vif et une concentration inébranlable sur ce que vous voulez. Vous êtes rusé et rusé mais seulement pour ceux qui le méritent. En réalité, vous ne ferez jamais de mal à une âme, mais seul Dieu peut aider la personne qui déclenche votre côté obscur. Pour ceux qui méritent votre colère, il tombe sur eux comme la fureur des dieux, descendant du ciel jusqu’à ce qu’ils ne soient plus. Tu n’es sombre que quand tu as besoin d’être, sinon tu te contentes de voler haut dans le ciel, loin des autres, libre de tout ce qui est humain.

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7 croyances qui limitent la croissance personnelle

Il existe un dicton populaire que nous entendons constamment, il dit « tout est dans la tête ». Bien que cela soit la vérité, il semblerait que nous perdions de vue la grande vérité qui s’y cache : les pensées gouvernent notre vie, pour le bien et pour le mal. En fait, de nombreuses croyances limitent la croissance personnelle et nous finissons finalement par les accepter.

Il y a un exemple qui montre cela de façon très claire. Supposons que quelqu’un croit aveuglément en un porte-bonheur. Lorsqu’un jour il le perd, il sent qu’à partir de là tout va mal. Cela signifie-t-il qu’un collier ou un bracelet par exemple ont le pouvoir de déterminer la vie ? Si nous y réfléchissons à un niveau rationnel, la réponse serait non, mais ceux qui y croient n’en douteraient pas une seconde.

Vu de l’extérieur, on voit clairement que ce type de croyances limite la croissance personnelle. Mais pour ceux qui ont ce type de convictions ce n’est pas le cas. Aussi, nombreuses sont les personnes qui ne croient pas en ce collier mais en des idées qui ont le même effet que le porte-bonheur. Voici les 7 cas.

« Croire est plus facile que de penser. Ceci est la raison pour laquelle il existe plus de croyants. »

-Anonyme-

1. Le manque ou la déficience, une des croyances qui limitent la croissance personnelle

Ceci est l’une des croyances qui limitent la croissance personnelle car elle base tout sur quelque chose qui n’est pas. Cette croyance est typique des personnes qui se disent personnellement qu’elles ne sont pas suffisamment belles ou intelligentes ou riches, ou une quelconque autre réflexion. Ces personnes pensent que cette déficience est ce qui empêche leur bonheur.

Il s’agit d’une croyance clairement erronée. Elle remplit la fonction de dévier l’attention du véritable problème : ne pas s’accepter comme on est. En fait, avoir quelque chose en excès ne garantit le bonheur à personne. De plu

2. Penser qu’il est mieux de ne pas ressentir

Expérimenter une forte souffrance laisse toujours des marques. En revanche, ces marques se convertissent en véritable stigmatisation chez certaines personnes. L’unique chose qu’elles désirent est de ne plus souffrir et de ne plus non plus expérimenter la douleur. Leur désir est si fort qu’elles finissent par prendre une décision drastique : « Cesser de ressentir ».

Bien entendu, cela est impossible. Ce qui se déroule cependant est qu’elles inhibent leurs sentiments à un point tellement élevé, que c’est comme si elles ne les expérimentaient pas. En revanche, cela les prive également de nombreuses expériences merveilleuses et cela les empêche d’apprendre à affronter les souffrances qui tôt ou tard apparaîtront dans leur vie.

3. Supposer qu’être meilleur que les autres rend heureux

Dans ce cas, les autres sont de simples points de référence pour la personne en question. Un moyen de mesure notre ego. Si nous les dépassons, nous nous sentirons satisfaits. Si nous ne le faisons pas, nous expérimenterons de la frustration et de l’irritation.

Ceci est l’une des croyances qui limitent la croissance personnelle car cela nous mène à voir notre relation avec les autres comme une compétition. Personne n’est meilleur ou pire qu’un autre. Une personne peut simplement agir de manière plus ou moins adéquate, c’est l’une des circonstances spécifiques.

4. Croire que notre vie est plus difficile que celle des autres

Cette croyance est également connue sous le terme de « victimisation ». Il s’agit d’une croyance illusoire qui mène à croire que nous sommes toujours dans une situation pire que celle des autres et que nous sommes les seuls à souffrir autant ou à avoir autant de problèmes.

 

Il s’agit d’une croyance égocentrique qui prétend justifier notre souffrance ou notre frustration. En réalité, dans la vie de n’importe quelle personne il existe des faits et des douleurs. Mesurer l’intensité qu’ils ont chez chacun des individus est absolument impossible.

5. Penser qu’en obtenant quelque chose, on atteindra le bonheur

Le bonheur est surtout une attitude et un sentiment intégral. Il ne dépend pas d’un objet ou d’un fait. Le bonheur implique d’avoir construit un bon niveau d’harmonie dans la vie et également d’avoir développé de l’humilité, de l’optimisme et de l’espérance.

On n’est pas plus ou moins heureux pour quelque chose d’externe. C’est encore une fois un type de croyance qui limite la croissance personnelle. Nous ne nous sentirons pas davantage réalisés, de manière stable, avec une nouvelle voiture ou un nouveau partenaire. Soit le bonheur se trouve en notre for intérieur, soit il ne se trouve nulle part.

6. Se convaincre du fait que la vie n’est que souffrance

On dit souvent qu’on ne peut pas choisir d’avoir ou non des problèmes. Ce que nous pouvons en revanche choisir est de souffrir ou non à cause de nos problèmes. Certains voient dans la difficulté un véritable défi, une opportunité de s’obliger à être meilleurs. D’autres pensent en revanche que c’est quelque chose de totalement négatif.

Dans ce dernier cas, des croyances qui limitent la croissance personnelle peuvent alors se développer : supposer que souffrir pour tout est normal, qu’il n’y a pas le choix, que dans la réalité ce n’est qu’un océan de larmes et que l’on sort d’une douleur pour entrer dans une autre. Les personnes dans ce cas finissent même par penser que le bon est uniquement un présage du mauvais.

7. Croire que quelque chose ou quelqu’un explique notre douleur

Dans la vie, il y en a qui choisissent d’expliquer leurs frustrations ou leurs limites en se cachant derrière un facteur externe. Ils pensent que si ce n’était pas à cause de leurs parents, ou pour le chômage ou pour l’injustice dans le monde, ils seraient totalement heureux. En un mot, ils accusent quelque chose d’extérieur pour ce qu’ils ressentent intérieurement. Ceci est faux. L’être humain a la capacité de surmonter les obstacles, à chaque fois qu’ils se présentent.

Comme nous le voyons, toutes ces croyances qui limitent la croissance personnelle s’infiltrent dans la vie de manière imperceptible. Sans nous en rendre compte nous les convertissons en une sorte de recette qui nous permet de tout interpréter. Finalement elles nous permettent uniquement de nous cacher et nous empêchent de voir toute l’amplitude du panorama que nous avons en face et de chaque côté.

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