LES ÉMOTIONS SONT DE L’ÉNERGIE

spiritualité - eveil tv

Les émotions sont de l’énergie : elles nous créent et nous transforment




Elles sont la partition qui orchestre notre quotidien. Parfois, la musique est joyeuse, vive et intense mais au bout d’un moment, elle nous enveloppe de sa mélodie triste et pleine de désenchantement.

Ce sont les notes qui nous nourrissent, qui nous offrent l’énergie nécessaire pour transformer notre réalité…

Il existe un vieux proverbe arabe qui dit : “qui ne comprend pas un regard ne comprendra pas non plus une explication”. Une phrase pleine d’une grande sagesse, car c’est d’elle qu’émane la nature des émotions comme langage universel. Vos émotions peuvent être votre grande forteresse ou le cristal qui embue votre existence de brouillard. Si vous apprenez à les connaître et à les gérer, vous serez un artisan de votre réalité, et donc de votre bonheur.

Peut-être que le sujet de l’intelligence émotionnelle vous intéresse et que vous avez beaucoup lu à ce propos.

Pourtant, nous voulons aujourd’hui vous inviter à voir les émotions d’une autre manière : comme une arme de pouvoir, comme une énergie que l’on peut connaître et contrôler pour redéfinir beaucoup d’aspects de nous-même et de notre propre réalité.

Nos émotions créent notre réalité

Selon un travail publié par la psychologue sociale Barbara Fredrickson dans Review of General Psychology (2008), les émotions positives, en plus de nous donner une satisfaction ponctuelle, agissent comme des mécanismes d’apprentissage.

C’est-à-dire que : plus on accumule des émotions satisfaisantes, meilleures sont les ressources personnelles pour affronter les périodes de crise.

En tant qu’être humains, nous désirons tous être heureux. Pour cela, il est nécessaire de se souvenir que parfois, il suffit d’être en paix intérieure, d’être libéré de ses rancœurs du passé, des haines ou des frustrations. Un esprit libre est un cœur qui se permet de sourire…

Si les émotions sont capables de transformer notre réalité, ce n’est pas par magie. Il faut savoir que l’émotion n’est pas seulement un état intérieur, c’est une association de plusieurs éléments puissants :




* Les cognitions, c’est-à-dire, la manière dont nous transformons tout ce qui nous enveloppe, ce que nous voyons, ressentons, expérimentons. Tout acquiert une signification interne pour nous.

* Nos sentiments et la manière dont nous réagissons. Pour comprendre, nous allons vous donner un exemple simple : vous êtes amoureux de quelqu’un et vous n’osez pas le lui dire. Puis, il est trop tard et cette personne disparaît de votre vie. Vous perdez alors l’opportunité de lui dire, au moins d’essayer.

L’émotion que vous ressentirez est la tristesse car vous n’avez pas su réagir à temps quand ce sentiment était positif et intense.

Vous n’avez pas fait l’action adaptée à la situation et votre réalité est maintenant noyée dans un conditionnel que vous ne pourrez plus résoudre : «si j’avais fait ça…».

Notre cerveau, une danse chimique incroyable

Notre cerveau est un réseau complexe qui transforme de grandes quantités d’informations à chaque seconde. Nous transformons les stimuli sensoriels, nous stockons des expériences, des rêves, des décors vus…

La plupart de ces éléments, que vous le croyez ou non, se stockent dans notre cerveau, en fonction de l’émotion ressentie.

Mon regard cherche toujours les belles choses qui m’entourent, et si je ne les vois pas, je l’aide. Car cela ne coûte rien de sourire, car cela ne demande aucun effort de se permettre d’avoir confiance et de rêver aux choses, de penser que l’on mérite d’être heureux et qu’à un mauvais moment, ce n’est pas une raison de se ruiner sa journée.

Souvent, on voit aussi notre cerveau comme un petit chaos biochimique où nous sommes déterminés par l’influence des neurotransmetteurs. En réalité, ce sont d’authentiques facilitateurs de nos émotions.

Les principaux neurotransmetteurs en lien avec les émotions

Les principaux neurotransmetteurs qui agissent comme des facilitateurs d’émotions sont :

* La dopamine est liée aux expériences du plaisir et récompense notre processus d’apprentissage. C’est-à-dire que quand nous faisons quelque chose de bien, nous sommes gratifiés par la sécrétion de dopamine et nous ressentons une sensation de plaisir.

* La sérotonine, de son côté, est un neurotransmetteur lié à la mémoire et à l’apprentissage. Il est important de savoir qu’un déséquilibre des niveaux de sérotonine peut être à l’origine de la colère, de l’anxiété, de la dépression et de la sensation de panique.

* La norepinéphrine, à des niveaux adaptés, garde sous contrôle le stress et l’anxiété.

L’énergie émotionnelle pour transformer votre vie

La docteure Fredrickson, citée précédemment et experte en psychologie émotionnelle, nous explique qu’il existe un paradoxe curieux concernant nos émotions positives : leur intensité est bien plus brève que les émotions négatives.

C’est-à-dire que la sensation de bonheur est plus brève que l’état de tristesse.

Le mieux est d’accumuler beaucoup d’expériences positives qui peuvent contrecarrer de manière plus efficace ces états de négativité. Nous allons vous l’expliquer plus en détails.

La théorie de l’élargissement et de construction des émotions positives

Comment nous l’avons dit dans l’introduction, si l’être humain est capable d’accumuler des émotions positives, il aura les outils basiques les plus compétents pour affronter les moments difficiles.

* Les experts l’appelle la «théorie de l’élargissement et de la construction» et elle se base sur le besoin de multiplier nos expériences positives pour acquérir de nouvelles compétences.

* Alors que les émotions négatives ont pour réponse habituelle l’évitement, la négation ou l’immobilité, nos émotions positives nous «grandissent» et favorisent la relation entre «la pensée et l’action».

Ainsi, selon le principe de cette théorie, nous devrions orienter nos journées vers des émotions positives, vers des choses aussi simples que l’apprentissage de nouvelles choses, avoir des relations sociales, se promener, toucher, danser, sentir, marcher ou lire…




Ce sont de petites pierres de positivité qui édifient petit à petit un changement continu. Osez essayer !

Les émotions, parfois sont comme des étoiles à la dérive qui se meuvent sans contrôle. Quand nous les connaissons et que nous nous connaissons bien nous-même, elles deviennent alors des astres lumineux capables de guider notre chemin.

Source : nospensees.fr & conscience-et-eveil-spirituel.com

[wysija_form id= »1″]

REJOINDRE LA CHAINE YOUTUBE EVEIL TV AFIN DE RECEVOIR LES NOUVEAUX DOCUMENTAIRES

eveil tv - chaine youtube

 

Conscience et cerveau

Eveil Tv - conscience

Conscience et cerveau

Article de Vincent.S

Est-ce que le cerveau produit la conscience ou est-ce que la conscience utilise le cerveau ?

C’est pendant une expérience hors du corps que la réponse m’est apparue. Si je vois mon corps endormi au-dessous de moi, avec mon cerveau bien à sa place dans mon crâne et que je réfléchis, pense et perçois mieux les choses, de façon bien plus claire qu’à l’état de veille, ça ne peut pas être le fruit du cerveau.




Pour moi, la conscience précède le cerveau. Elle utilise le cerveau qui peut être perçu comme une interface entre l’immatérielle et la matière, entre la conscience et le corps. Plus qu’un corps, nous sommes un esprit qui utilise le corps le temps d’une vie.

Avec la physique quantique et les milliers de témoignages recueillis sur, entre autres, la survie de la conscience après la mort, il y a de plus en plus de recherches dans ce domaine qui tendent à démontrer que la conscience n’est pas issue du cerveau. Par exemple le cardiologue Pim Van Lommel a fait une étude sur des personnes ayant vécu des NDE (Expérience de mort imminente), voici l’une de ses interviews.

Tout récemment, une équipe scientifique anglaise a réalisé une étude sur plus de 2000 cas et a, selon elle, les preuves d’une vie après la vie.
En France le Docteur Charbonnier est convaincu de la survie de la conscience après la mort (Site et vidéos), en Suisse le centre ISSNOE (Institut Suisse des sciences noétiques (www.issnoe.ch Fondation reconnue d’utilité publique) s’intéresse aux états modifiés de conscience tout comme l’INREES en France. Il y a plusieurs Professeurs en médecine, docteurs qui, soudainement après avoir vécu une expérience ont changé radicalement de point de vue alors qu’ils avaient une approche exclusivement matérialiste, par exemple le neurochirurgien et ancien enseignant à Harvard Eben Alexander.

Ce cas n’est pas isolé, il y en a beaucoup, il suffit d’une expérience pour savoir et changer.

À chacun de se faire sa propre opinion en respectant celle des autres. Ce qui n’aide personne, c’est la pensée exclusive.

Souvenons-nous également qu’il y a quelques siècles à peine, la terre était plate et l’univers tournait autour. Ceux qui ne pensaient pas comme la pensée dominante étaient considérés comme des fous, des illuminés. À chaque grand changement, grandes découvertes qui peuvent bouleverser le mode de pensée dominant, nous pouvons nous rappeler de l’aphorisme d’Arthur Schopenhauer « Toute vérité passe par trois étapes. Tout d’abord, elle est ridiculisée. Deuxièmement, elle est violemment combattue. Puis finalement, elle est acceptée comme une évidence ».

Source de l’article https://sapprendre.ch

 




[wysija_form id= »4″]

Rejoindre Eveil Tv sur Youtube pour recevoir les nouveau documentaire

 
Interview de Vincent
 

Science et expérience de Kundalini

Science et expérience de Kundalini

Science et expérience de Kundalini
Article de Louis Nahum

Qu’est ce que l’expérience de Kundalini?

Il s’agit de la montée le long de la colonne vertébrale, en partant du sacrum, d’une énergie vitale (appelée kundalini) qui se réveillerait chez l’individu. L’expérience de Kundalini peut être déclenchée par des méditations, des prières, des exercices physiques comme le yoga ou spontanément. Certaines personnes rapportent même avoir été tirées de leur sommeil par une telle expérience. Celle-ci s’accompagne typiquement par des sensations motrices, sensorielles, mentales et émotionnelles extrêmes. Elle pourrait amener à des processus de guérison physique et mentale.




Que se passe-t-il dans le corps et le cerveau durant une expérience de Kundalini?

Faire une expérience de kundalini ne se commande pas facilement et il s’agit d’une expérience très personnelle qui se fait difficilement dans un laboratoire. Néanmoins, nous pouvons inférer sur la base des expériences relatées que le corps en entier réagit très fortement, avec bien entendu des différences entres les personnes. De manière générale, l’activation du corps est très marquée avec une tension musculaire, une augmentation du rythme cardiaque, de la pression sanguine et des mouvement involontaires.

A notre connaissance, il n’existe qu’une seule recherche scientifique sur ce qui se passe dans le cerveau durant une expérience de Kundalini. Cette dernière a été publiée sur internet (http://www.newbrainnewworld.com/?Awakening_of_Kundalini) et n’a pas fait l’objet d’une parution dans un journal scientifique officiel. Il s’agit de l’enregistrement de l’activité cérébrale pendant une montée de Kundalini d’une personne dite « éveillée » spirituellement, disciple des maîtres indiens Amma et Bhagavan. L’auteur, Erik Hoffmann, un psychologue danois, s’est limité à l’utilisation de quatre électrodes placées sur la zone frontale gauche et droite du cerveau, et à l’analyse des ondes gamma: un pattern d’oscillation naturelle des neurones de 40 Hz. Les ondes gamma sont souvent un indice d’effort mental, d’attention augmentée et impliquées également dans la mémoire. L’analyse des données récoltées indique une augmentation de l’activité gamma seulement 12 secondes après avoir donné l’instruction à la personne d’essayer d’avoir une montée de Kundalini. Après 37 secondes, l’activité gamma, telle qu’enregistrée par les deux côtés de la partie frontale du cerveau, est maximale avant de redescendre. Les électrodes gauches indiquent cependant une réponse plus rapide et plus intense que les électrodes placées sur l’hémisphère droite. Par ailleurs, c’est à 37 secondes, quand l’énergie semble maximum, que la synchronisation de l’activité gamma entre les deux hémisphères est la plus élevée.

Si ce travail pionnier et singulier est loin d’être une démonstration suffisante des effets sur le cerveau lors de l’expérience de Kundalini, elle suggère l’existence de phénomènes neuronaux d’envergure, compatibles avec l’intensité des changements perçus par les personnes durant cette expérience.




Est-ce que ces résultats montrent que l’expérience de kundalini est différente d’une autre expérience d’état modifié de conscience ?

Dans l’étude décrite ci-dessus, l’auteur rapporte également les résultats de l’enregistrement électrophysiologique du cerveau de la même personne faisant un autre type de méditation : la méditation de la gratitude. Dans cette méditation, Hofmann observe également une augmentation des ondes gamma. A nouveau, les électrodes gauches mesurent une réponse plus rapide et plus intense que les électrodes placées sur l’hémisphère droite, mais dans un premier temps seulement. En effet, et contrairement à l’expérience de Kundalini, il note la présence d’une deuxième vague d’ondes gamma avec cette fois-ci une moins grande intensité sur les électrodes gauches.

Il est difficile sur la base de ces seuls résultats de conclure que les deux types de méditation soient fondamentalement différents ou non. Il faut souligner le fait que la méthode utilisée – l’électroencéphalogramme – ne mesure qu’une infime partie des phénomènes qui se passent réellement dans le cerveau. Ce que nous pouvons affirmer sans se tromper, c’est qu’il y a des éléments communs.

Source de l’article https://sapprendre.ch




[wysija_form id= »4″]

Rejoindre Eveil Tv sur Youtube pour recevoir les nouveau documentaire

 

 




 

Cinq règles pour un cerveau tonique

cerveau - eveil tv
 
 
Si des facteurs génétiques interviennent dans le vieillissement du cerveau, l’hygiène de vie, la stimulation intellectuelle, l’alimentation, l’activité sociale participent à préserver les neurones. Autant de pistes pratiques sur lesquelles chacun peut agir.

1 – PLUS ON SE SERT DE SON CERVEAU, MOINS IL S’USE




Exercez, analysez, mémorisez… tel pourrait être le leitmotiv du brain building ou gymnastique cérébrale. Le cerveau se construit par une activité cognitive tout au long de la vie. Dès la petite enfance, les stimulations permettent de mettre en place et de développer les réseaux de neurones. Par la suite, plus les synapses – zones qui relient les cellules nerveuses entre elles – seront sollicitées, plus elles formeront de nouvelles connexions et se maintiendront si elles sont entretenues, retardant ainsi l’apparition de maladies neurodégénératives. Ces observations ont ouvert un nouveau marché de l’entraînement des méninges. Jeux, méthodes, guides pratiques destinés à améliorer ses capacités cérébrales enregistrent un réel engouement du public. Ainsi, le programme d’entraînement cérébral du Dr Kawashima sur la console DS s’est vendu à plus de 10 millions d’exemplaires dans le monde. «Des contenus ludiques mais pas toujours scientifiques», selon Jocelyne de Rotrou, neuropsychologue à l’hôpital Broca à Paris, qui souligne que de multiples activités et jeux ont ce rôle de stimulation, que ce soit le Scrabble, la belote, les échecs ou tout autre jeu de logique, le bricolage, et même les rêveries selon une récente étude canadienne. Par ailleurs, il faut varier ses activités pour mobiliser les différentes régions du cerveau, et s’exercer régulièrement, les compétences acquises commençant à régresser lorsque les structures cognitives ne sont plus sollicitées. C’est vrai à tout âge, et plus encore en vieillissant. «Nous perdons alors des facultés d’attention et de concentration dans les différentes mémoires, et notamment dans la mémoire du travail, qui nous permet de planifier, d’anticiper, explique Jocelyne de Rotrou. Il est plus difficile d’évacuer les parasites lorsque nous avons besoin de nous concentrer, de même qu’éliminer d’anciens apprentissages pour en acquérir de nouveaux. Si des stratégies permettent d’améliorer la plasticité cérébrale, elles ne sont pas suffisantes. Les facultés de mémorisation et de concentration dépendent aussi de l’état de santé physiologique et psychologique de chaque personne.»




2 – PAS TROP DE STRESS ET UN BON SOMMEIL

De nombreuses études font état des effets du stress sur le cerveau. Il sécrète une hormone, la corticostérone, dans l’hippocampe – structure du cerveau dédiée à la mémoire -, substance qui vient booster les récepteurs présents dans les synapses, et, par effet domino, les neurones. Mais générée en trop grande quantité, cette hormone produit des effets délétères et ralentit le fonctionnement cérébral. D’où la nécessité d’apprendre à contrôler ses émotions. Mais aussi de veiller à la qualité de son sommeil. «Il est vital pour renforcer les connexions cérébrales, doper les capacités mentales, consolider les souvenirs», poursuit Jocelyne de Rotrou. Il a ainsi été démontré que le sommeil permet de digérer les informations de la journée, de transférer les informations stockées dans l’hippocampe vers le cortex préfrontal du cerveau afin de laisser la place pour acquérir de nouvelles connaissances.

3 – L’ART DE SE NOURRIR INTELLIGEMMENT

L’esprit a sa nourriture. Le Pr Jean-Marie Bourre, nutritionniste, propose un menu de bon aloi composé d’une quarantaine de nutriments indispensables au bon maintien de nos facultés cérébrales. On commence par un quart de baguette de pain quotidien à tous les repas, pour son glucose, lentement digéré et source essentielle d’énergie pour le cerveau qui en consomme 1 milligramme par minute. Une tranche de jambon ou de fromage constitue un excellent supplément qui vient ralentir la diffusion de ce sucre lent dans l’organisme – n’oublions pas que notre matière grise a besoin de se nourrir la nuit. Les protéines animales (œufs, poissons, fruits de mer, viandes) à tous les repas participent à la fabrication de neuromédiateurs entre les neurones. Le fer (boudin noir, moules, crevettes), permet une bonne oxygénation du cerveau. Sans omettre les graisses et acides gras dont l’acide cervonique ou DHA, de la famille des oméga 3 (maquereau, saumon, fruits de mer, hareng, huile de colza, de noix) et l’acide arachidonique, de la famille des oméga 6 (huiles végétales et viandes), dont les carences altèrent la vision et les facultés d’apprentissage. Le poisson riche en acides gras et en minéraux – l’iode, vital pour la croissance du cerveau, et le sélénium, un antioxydant – est particulièrement recommandé. Il regorge aussi de vitamines, la B12 notamment, qui assure une bonne fabrication des neuromédiateurs. Les huîtres, les rognons ou les haricots blancs fourniront le zinc nécessaire pour éviter les difficultés d’apprentissage. Les fruits et légumes apportent leur lot de vitamines utiles. Certaines sont à privilégier : la vitamine E (huile de tournesol, noisettes, avocats, asperges…), qui participe au maintien des structures cérébrales, la vitamine B9 (petits pois, épinards, lentilles, foie gras…) qui aide à con server ses facultés de mémorisation et la vitamine B1 (blé, jambon, asperges, choux…) pour ses effets protecteurs con tre les états dépressifs.




4 – L’ESPRIT SOCIAL ACTIVE LES MÉNINGES À TOUT ÂGE

Le cerveau est un organe social. Il a besoin pour s’activer d’interagir avec ses semblables. C’est pourquoi il est primordial de conserver des liens sociaux tout au long de sa vie, d’en tisser de nouveaux, de bâtir des projets, d’entreprendre, de rester curieux. L’étude Honolulu Asia Aging Study menée sur une cohorte de 2 500 sujets a montré que les personnes ayant un engagement social faible étaient plus facilement dépressives et développaient plus fréquemment la maladie d’Alzheimer à un âge avancé. Dans la même lignée, une récente enquête, réalisée par des chercheurs du King’s College de Londres, a révélé qu’une vie professionnelle prolongée retarde l’apparition de cette pathologie. Un bénéfice relativement important puisque, d’après les calculs des scientifiques, chaque année de travail supplémentaire permettrait de gagner six semaines sur les premiers symptômes de la maladie. «Le lien social, l’activité professionnelle aident à maintenir les facultés cognitives du cerveau. Ils participent à constituer une «réserve cognitive» bénéfique contre le vieillissement cérébral», affirme le Pr Françoise Forette. Et plus la profession est exigeante intellectuellement, plus les fonctions cognitives seront solides au moment de l’âge de la retraite.

5 – DU SPORT ET DES BILANS DE SANTÉ

Les bienfaits d’une activité physique régulière sur l’organisme et sur le cerveau ne sont plus à démontrer. Elle diminue l’anxiété tout en améliorant l’oxygénation du cerveau, améliore la fabrication des facteurs trophiques, qui aident les neurones à mieux conserver leurs terminaisons nerveuses, et contribue à augmenter le débit sanguin cérébral, ce qui protège le cerveau des lésions cérébrales et limite le déclin lié au vieillissement. A pratiquer donc une trentaine de minutes chaque jour, tout en surveillant l’état général de son organisme par des bilans de santé réguliers. Il s’agit là de dépister et de traiter au plus tôt toute apparition d’hypertension, de diabète, de taux élevé de mauvais cholestérol, autant de pathologies qui participent à détériorer les vaisseaux sanguins, entraînant des répercussions dans le fonctionnement cognitif.

source

REJOINDRE EVEIL TV POUR SUIVRE LES ARTICLE

[wysija_form id= »1″]
Voir l’interview de Vincent pour Eveil tv





Mettez-vous Monsanto dans votre vagin? 85% des tampons et des produits d’hygiène féminine contaminés par l’herbicide cancérigène glyphosate

Herbicide-Tampon-Pad À la fin des années 1970 et au début des années 1980, plus de 50 femmes américaines ont été tuées par leurs tampons. Bien que la FDA et le secteur de l’hygiène féminine aient déployé des efforts considérables pour tenter de faire oublier cette histoire vraie (en l’appelant une « rumeur »), les tampons fabriqués avec certaines fibres non-naturelles se sont révélées abriter des bactéries mortelles et libérer une quantité suffisante de produits chimiques pour tuer ou blesser plus d’un millier de femmes.   Les pires contrevenants étaient les tampons ultra-absorbants Rely de Procter and Gamble. Selon le livre Soap Opera: The Inside Story of Procter and Gamble, l’entreprise a rejeté les plaintes des consommateurs au sujet des tampons pendant des années. Une note de 1975 de l’entreprise a divulgué que les tampons Rely contenaient des agents cancérigènes connus et que le produit altérait les organismes naturels trouvés dans le vagin. Les tampons Rely ont été retirés des rayons en 1980, mais de nombreuses femmes affirment qu’elles ont hérité d’hystérectomies et de perte de fertilité. Parmi les femmes soucieuses de leur santé, la toxicité des tampons traditionnels a longtemps été un sujet de préoccupation. « Comme je dis non à l’huile de coton, c’est pour la même raison que je ne suis pas d’accord pour mettre du coton toxique dans mes parties intimes », écrit Meghan Telpner. « Saviez-vous que 38 millions de kilos de pesticides sont pulvérisés sur 5.6 millions d’hectares de coton conventionnel cultivés chaque année aux États-Unis. »

 


Elle poursuit:

La rayonne/viscose utilisée dans les Tampax est fabriquée à partir de pâte de bois. La dernière fois que j’ai vérifié, il n’y avait pas une telle chose que des arbres de rayonne et les arbres ne se transforment pas comme par magie en rayonne, il faut des centaines de produits chimiques. Le blanchiment au chlore de la pâte de bois est là où se trouve le plus grand danger. Le processus créé des hydrocarbures chlorés, un groupe de produits chimiques dangereux avec des sous-produits qui comprennent les dioxines, certaines des substances les plus toxiques connues. Parties par million mon cul! Il n’y a pas de niveaux de dioxines sûrs, elles sont impossibles à décomposer et ainsi continuent de s’accumuler dans nos tissus.

Maintenant l’herbicide toxique de Monsanto a été retrouvé dans 80% des produits d’hygiène féminine

Avance rapide jusqu’en 2015. Maintenant, le glyphosate, la substance chimique retrouvée dans le « Roundup », l’herbicide de Monsanto utilisé sur les cultures de coton génétiquement modifié, est découvert dans la grande majorité des produits d’hygiène féminine.

L’équipe de recherche de l’Université Nationale de La Plata dirigée par Damian Marin a révélé leurs résultats de recherche le 18 octobre. Notez bien que de telles recherches n’auraient jamais été menées dans une université américaine parce qu’elles ont été infiltrées et achetées par Monsanto. Exemple: Kevin Folta, le professeur discrédité de l’Université de Floride, qui a été pris à recevoir 25 000 $ de Monsanto après avoir publiquement menti qu’il n’avait pas de liens financiers avec la société d’herbicide. Même si Folta a été exposé comme un menteur et un violeur de l’éthique de l’université, l’Université de Floride ne voit rien de mal à ces tromperies. Cliquez ici pour lire la lettre secrète où Monsanto accepte de lui verser 25 000 $.

« Une équipe de scientifiques argentins a trouvé des traces de glyphosate dans 85% des soins personnels et de produits d’hygiène féminins contenant du coton et couramment achetés dans les pharmacies et les supermarchés, » écrit Revolution News.

« L’étude a porté sur un échantillon de produits de pharmacies et de supermarchés dans la région de La Plata, et a analysé des cotons-tiges, de la gaze et des articles pour un usage féminin. Les résultats de tous les produits commerciaux ont détecté 85% glyphosate et 62% de AMPA (métabolite ou dérivé de glyphosate). Près de 100% du coton produit en Argentine est transgénique et le glyphosate est pulvérisé alors que le cocon est ouvert « .

Également signalé par Revolution News:

« Le rapport nous a choqués », a déclaré le Dr Medardo Ávila Vázquez, un participant de la conférence et de Cordoba.

« Nous avons concentré notre attention sur la présence de glyphosate dans les aliments, mais ne pensions pas que les produits que nous utilisons dans tous les hôpitaux et centres de santé dans le pays pour guérir les patients étaient contaminés par un produit cancérigène. Les autorités doivent donner une réponse immédiate à cette situation ».

Le glyphosate est connu pour causer le cancer, mais les propagandistes sont payés pour dissimuler la vérité

Le glyphosate est un produit chimique cancérigène connu. L’Organisation Mondiale de la Santé l’a classé comme « probablement cancérogène », et beaucoup d’autres études le relient clairement à un processus de perturbation du système endocrinien qui mène au cancer.

L’EPA a conspiré avec Monsanto pendant des décennies pour tromper le public en lui faisant croire que le glyphosate était inoffensif, même après avoir su que la molécule était extrêmement dangereuse.

 
[wysija_form id= »1″]
REJOINDRE EVEIL TV POUR SUIVRE LES ARTICLE