L’ARROGANCE DESTRUCTRICE DE L’HUMAIN

par Christian Duval

Dans les mondes unifiés, l’Âme humaine rayonne l’amour, la bonté, le respect et la tolérance. Mais il en tout autrement dans le monde de l’incarnation qui est le terrain généré pour expérimenter la dualité, la séparation. Bien que celle-ci soit illusoire, puisque rien ne peut exister en dehors du courant d’Amour universel, seul générateur de vie, elle  amène chez certains une tendance à la domination.
Depuis des Éons de temps, l’Humain créé pour générer le bien s’est fait piéger par l’ego séparatiste et il est devenu arrogant, suffisant, orgueilleux et vaniteux.

L’Humain à besoin de tout conquérir, de prendre, de posséder. Dés qu’il arrive sur un continent étranger, il plante son drapeau et déclare cette nouvelle terre comme sienne, sans se préoccuper de ceux qui y résidaient avant son arrivée. Il agit de même dans le domaine de la conquête spatiale. A peine à t’il débarqué sur une planète qu’il y plante son drapeau et revendique son autorité.

L’Humain s’est accaparé Dieu, il en fait son Logo, se dit son interprète et n’hésite pas à utiliser l’exemple d’un Messager, comme Jésus, pour se présenter comme son « Émissaire élu » et de modifier le message de celui-ci pour arranger ses petites affaires.

Combien de rois ont-ils revendiqué leur filiation divine et s’en sont servis pour dominer leurs peuples ? L’humain veut tout conquérir ; la terre, la nature, les autres, les animaux, le ciel, il se croit seul au monde et unique héritier de la Couronne. De nos jours on trouve encore des revues scientifiques qui posent la question « sommes-nous seuls dans l’Univers ». Ce simple questionnement révèle l’état d’ignorance de l’humanité. Comment peut-on encore se poser une telle question ?

C’est par arrogance que l’homme détruit sans conscience tout autour de lui. L’environnement, la nature, les animaux, les humains. Dans les périodes de guerre, combien de champs sont ils ravagés, combien de villes détruites ? Tout cela pour satisfaire l’ego de certains.

Les guerres commencent en notre intériorité. Ce sont nos climats intérieurs qui modifient les climats relationnels, familiaux, sociaux qui finissent par déclencher des émeutes, révolutions violentes qui, se répercutant dans l’Éther par le biais d’ondes vibratoires, provoquent des remous au sein des forces élémentaires qui, perturbées, se manifestent en tant que tsunamis, raz de marées, tremblements de terre.

Chacune de nos émotions modifie tout l’univers. Toutes les Étoiles sont touchées. Nous ne sommes pas séparés. Nos climats sociaux modifient nos climats météorologiques. Dés qu’une manifestation violente humaine se manifeste sur la terre, il en résulte une catastrophe climatique en cet endroit et en d’autres. Tout se propage par les ondes.

En ces temps actuels, nous vivons dans des ambiances tendues, des climats sociaux revendicatifs et les éléments nous accompagnent en ce sens : incendies en Californie, tempêtes en France, tremblements de terre. Nous en sommes les inducteurs.

L’Humain conquérant veut tout dominer mais face aux forces élémentaires, il n’est qu’un fétu de paille. Aucune civilisation n’a résisté aux intempéries, aux catastrophes. L’Histoire du déluge Atlante devrait nous aider à nous souvenir de ce qui peut à nouveau nous arriver si nous n’y prenons gare.

Tant que l’humain nourrit la guerre en lui, tant qu’il veut dominer les forces de la Nature, tant qu’il manque d’humilité face à l’Univers, il récolte ce qu’il sème : la destruction.

Dieu ne peut se conquérir, il se donne à ceux et celles qui, ouvrant leur cœur, laissent l’eau du Saint Graal zodiacal se déverser en leur cœur.

Tant qu’on reste arrogant, on récolte des leçons. Ainsi, malgré tous nos savoirs, quand nous nous retrouvons face à des catastrophes climatiques, nous sommes impuissants et, au lieu de se demander pourquoi cela arrive, on continue à polluer la terre, à piller les ressources,  à détruire le sol, le ciel, l’eau et on s’étonne que le climat soit détraqué.

Le climat n’est pas détraqué, c’est la conscience de l’Homme qui l’est.

Nous devrions être plus humbles face à l’Univers. Prendre conscience de notre petitesse, respecter les autres règnes, l’environnement, les autres personnes. Si nous ne faisons pas preuve de sagesse, alors Uranus le Grand nettoyeur nous fera vivre une Apocalypse plus violente. Quand la révélation ne vient pas par la Conscience, elle se présente à nous par une destruction.

Nous nous retrouvons actuellement dans des fréquences qui nous invitent à sortir de l’Ère des Poissons pour entrer dans l’Ère du Verseau. Celui de l’Homme Ange, de l’humain ascensionné, réunifié, vivant en harmonie avec lui-même, les autres, en solidarité pacifique, dans une société ou plus aucune chaîne, barrage, obstacle ne vient séparer les uns des autres.

Gaïa à dit « oui » à cette nouvelle humanité. A chacun de nous de faire ce qu’il faut au niveau individuel pour que ce « pas-sage » vers un Nouveau Monde  s’accomplisse.

Ps : j’ai reçu ce texte, pendant la nuit du 29 Novembre, alors que la tempête faisait rage dehors. La Nature est bonne messagère.

Wydyr. Christian D

CHRISTIAN DUVAL

Source https://lapressegalactique.com Partagé par www.eveil.tv

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Guérir ses blessures émotionnelles

Par Arthur Mantes



Guérir ses blessures émotionnelles fait partie du processus d’éveil. Nos blessures émotionnelles qui se réactivent demandent à être libérées. Ce processus de guérison est au centre du développement de soi, car il permet un retour à notre vraie nature, et une connexion véritable avec la vie.

Guérir ses blessures émotionnelles

Parce que notre histoire de vie(s) n’est pas toujours facile, chacun de nous se voit marqué par certaines blessures. Notre corps émotionnel porte en lui la trace de nos expériences passées. Certaines peuvent même être traumatisantes, et portées comme des blessures. Ces blessures peuvent se réactiver dans notre vie, lorsque des événements, situations ou relations résonnent avec.
Alors, face à ces blessures profondes, la réaction commune est de sombrer dans l’inconscience de la blessure, de souffrir à travers elle, d’agir par défaut et de se couper de soi-même.

Ces blessures émotionnelles sont à l’origine de nos maux physiques, psychologiques et émotionnels dans notre vie. Plus on guérit ces blessures, et plus on devient vraiment nous-même. Car c’est possible, et c’est le chemin de libération qui nous mène à vraiment être nous-même.

L’origine de nos blessures émotionnelles

Une blessure émotionnelle est une partie de notre énergie qui, faute d’avoir été exprimée et libérée, est bloquée en nous.

A travers notre développement, nous vivons toute sorte d’expériences, de circonstances, de relations. Certaines sont agréables et permettent un développement harmonieux de qui nous sommes, car elles résonnent directement avec notre Âme.
D’autres, à l’opposé, viennent nous « faire mal » et créent en nous une sorte de déconnexion d’avec qui nous sommes vraiment. Certaines situations, surtout dans les premiers stades de la vie, font naître en nous des émotions que nous ne savons pas gérer sur le moment. Ces instants sont alors vécus sans solutions, et la meilleure manière que l’on a, à ce moment, de régler le « problème émotionnel » est de faire comme s’il n’était pas là, et de l’enfouir en nous.

C’est là la naissance de ce que j’appelle une « bulle émotionnelle », une énergie non résolue, en tension, qui existe en nous. Le souvenir de l’événement, associé à l’émotion dite « négative » (haine, peur, colère, tristesse…), est comme restée en suspend en nous. C’est une énergie qui est figée dans le temps, à l’intérieur de nous.

Notre expérience conditionne ce que nous sommes. La plupart de nos blessures remontent à l’enfance. Car souvent, lorsque nous sommes enfant, nous n’avons pas la conscience, la volonté et la force intérieure de l’adulte qui nous permettrait de faire face à nos émotions négatives et de leur apporter résolution. Aussi, les émotions demandent à être vécues et exprimées, ce pour quoi l’enfant n’est pas souvent encouragé et guidé à faire.
De plus, les expériences sont d’autant plus marquantes qu’un enfant est très sensible et ouvert au monde. En effet, aux premiers stades de sa vie, nous fonctionnons en onde lentes du cerveau (delta pour un bébé, thêta pour un bambin, alpha pour un enfant), ce qui correspond aux états d’hypnose profonds. Plus on est jeune, et plus on vit et construit une couche profonde de notre personnalité.
Cela veut dire que lorsque l’on est enfant, on n’a pas le cerveau analytique des ondes beta (comme l’adulte) qui nous permet de penser et réfléchir les situations. Non, un enfant vit pleinement dans son corps émotionnel, il n’a pas la capacité de vraiment comprendre une situation qui est vécue comme un conflit. Il l’imprime directement en lui. Etant enfant, les expériences sont marquées directement en nous dans nos couches de personnalité les plus profondes (subconscient, sous le conscient).

Certaines situations, relations, et circonstances sont vécus comme des traumas au niveau émotionnel. Sans solution, elles sont enfouies en nous et laissées en suspend, attendant une plus grande conscience de soi pour trouver résolution. Chaque blessure émotionnelle qui prend naissance en nous est comme une partie de nous qui se sépare de nous-même.

On peut dire que notre corps émotionnel est façonné les premières années de notre vie, jusqu’au stade « grand enfant » et adolescent.
C’est à dire que, arrivé au stade ado/adulte, notre dimension émotionnelle est un vaste ensemble de bulles émotionnelles non résolues, en tension, qui demandent à se libérer. Car chacune de ses bulle émotionnelle contient des émotions et a besoin de trouver résolution pour que nous puissions être vraiment nous-même et incarner pleinement notre valeur et notre potentiel.

Quand nos blessures émotionnelles se réactivent

Nos blessures émotionnelles semblent toujours se réactiver tant qu’on ne les a pas vraiment guéries.

Au niveau invisible de l’énergie et de la conscience, l’humain pourrait être comparé à un grand résonateur vibratoire. Lorsqu’une situation, expérience, circonstance, interaction se présente à lui, elle a un effet sur lui : elle réveille ce qui est similaire à l’intérieur de lui. L’extérieur vibre et l’humain résonne.
C’est ce que l’on appelle l’effet de résonance. La plupart du temps, il se passe au delà de nous, au delà de notre conscience. C’est de cette manière que peuvent se réveiller les blessures.

Illustrons cela par un exemple :
Imaginons que je suis enfant et que mes parents divorcent. La vie était belle et j’étais comblé d’attention et d’amour. Alors, à partir de ce moment là, tout change et bascule. Mes parents sont malheureux chacun de leur côté et ils ne m’accordent plus d’attention.
Vivant cela, en temps qu’enfant, je ne sais pas comment interpréter et vivre ce manque d’amour que je ressens. Il y a de la tristesse, de la peur, de la colère. Alors, je l’enfouis en moi.
C’est ce que l’on peut appeler une blessure d’abandon : la blessure du manque d’amour.
Voici ce que mon inconscient retient : séparation => manque d’amour => émotions négatives
Du coup, non seulement cette blessure se réactivera à chaque séparation que je peux vivre, directement ou indirectement (couple, animal, amis, travail…), mais aussi lorsque mon mental perçoit un potentiel danger : conflit, dispute, désaccord, compromis, distance…

Notre comportement se voit totalement affecté par cette blessure qui est en nous. Ne voulant pas qu’elle se reproduise, on peut prendre des mesures fortes pour cela. On peut tout faire pour éviter de reproduire ce qu’il s’était produit qui nous a marqué.

 

Aussi, dès qu’une situation résonne de près ou de loin avec cet événement, la bulle émotionnelle qui existe en nous se réactive.
Alors, imaginons que vous avez cette blessure. Votre conjoint voudrait aller au cinéma voir tel film et vous tel autre film. Cette situation vibre « séparation », une séparation néanmoins sans danger ni gravité. Cependant, la bulle émotionnelle peut se réactiver, et alors remettre au premier plan les émotions du passé que l’on n’a pas résolu : énorme tristesse, peur, colère, sensation d’être abandonné…

C’est ça, l’effet résonance. Lorsque le présent réactive le passé non résolu en nous, une partie de notre conscience y est projetée. Nous ne sommes plus nous-même, nous sommes la blessure.

Voilà pourquoi, dans certaines circonstances, les personnes semblent réagir d’une manière émotionnelle totalement disproportionnée, comme si leur vie entière en dépendait : car ils portent une blessure émotionnelle qui se réactive. Et cette blessure, l’ayant vécue sans possibilité d’expression, de libération et de solution, ils interprètent inconsciemment le présent « problème » comme un drame vital.

Le problème n’est jamais la situation, la relation, le conflit en eux-mêmes. Le problème est toujours intérieur : il s’agit d’un conflit émotionnel qui se réveille et qui demande résolution. Et celui-ci n’a rien à voir avec le présent, il a à voir avec le passé, avec ce que l’on porte dans notre champs de conscience : la bulle émotionnelle.
Les émotions que l’on a toujours en nous, celles que l’on n’a pas exprimées et libérées, ce sont elles, qui, se réactivant, viennent alourdir le présent et lui donner un air de drame dont notre vie semble dépendre. C’est le signe que notre corps émotionnel a besoin d’être guéri.

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Guérir nos blessures émotionnelles

La vie, dans chaque situation, nous invite à guérir notre corps émotionnel et devenir vraiment nous-même.




Les blessures que l’on a toujours en nous, sous forme de bulles émotionnelles non résolues, se réactivent dès que la vie résonne de près ou de loin avec. C’est plus fort que nous, au delà de nous, c’est comme ça. Car nos blessures demandent à être reconnues, exprimée et libérées. Elles demandent notre conscience et notre attention, pour se résoudre, et que l’on redevienne nous-même.
Car lorsque nous sommes libres de nos blessures émotionnelles, elles ne se réactivent plus de manière inconsciente, et nous sommes libres d’être vraiment nous-même.

On peut dire qu’il existe 5 blessures émotionnelles fondamentales. Lise Bourbeau en parle dans son livre, Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même. C’est une manière de voir qui semble bien marcher. Ces blessures sont : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice.
Ces blessures sont l’interprétation que l’on a eu, et que l’on garde en nous, des situations marquantes. Derrière celles-ci s’expriment les émotions que l’on peut qualifier de « négatives » : la peur, la haine, la colère, la tristesse.
La blessure c’est l’aspect mental : « ce qu’il s’est passé selon moi », et en son cœur est l’émotion : « ce que j’ai ressenti dans mon être ».

Il y a fort à parier que chaque humain possède ces 5 blessures, dans des proportions différentes, selon son histoire.
Chaque situation qui n’a pas été résolue, et dont les émotions n’ont pas été libérées et exprimées, donne naissance à une bulle émotionnelle. Une bulle émotionnelle est une partie de notre être qui attend que la résolution se fasse, qui attend d’être soulagée de son état, pour retrouver son état d’amour.

Comment guérir notre corps émotionnel ?

Le processus de guérison émotionnel est un processus de toute une vie. Lorsqu’il devient conscient, on peut utiliser toute notre volonté, notre dévotion, pour guérir ces blessures qui nous empêchent d’être vraiment heureux. Le plus dur est le début, lorsque l’on prend conscience qu’on est blessé. Après une certaine pratique et attention à soi-même, on peut vraiment s’en libérer et trouver une vie plus légère et heureuse.
Guérir nos blessures consiste à libérer nos blessures originelle, celles qui sont en notre centre et nous empêchent le plus d’être libre et nous-même. Guérir ces blessures, c’est exprimer et donc libérer l’énergie en suspend dans nos bulle émotionnelle : les émotions non résolues.

Pour cela, il est nécessaire de reconnaître la blessure, de la comprendre, de toucher les émotions, et de les libérer.
C’est par la Conscience que l’on peut faire cela.

Il suffit d’apprendre à s’écouter. Lorsqu’une blessure se réactive, la première chose est de s’en rendre compte. Car souvent, on a tendance à partir en mode « totalement inconscient », à reprocher aux autres, à se sentir victime et à réagir comme un enfant blessé.
Ensuite, il y a besoin de s’intérioriser, et d’écouter vraiment ce que l’on ressent. Quelles sont les émotions qui sont présentes ? Qu’est-ce que je ressens ?
Ensuite, il faut donner notre attention inconditionnelle, notre présence aimante et compassionnée, à cette énergie, cette partie de nous.
En écoutant, en étant présent avec nos émotions, et en leur laissant la possibilité de s’exprimer (pas forcément verbalement, le simple fait de les reconnaître suffit), les émotions diminuent et se dissipent.



Votre but, à chaque fois qu’une blessure se réactive, est d’entrer avec votre être intérieur, et de l’aider à exprimer ses émotions, à les vivre. Car de cette manière, elles peuvent trouver résolution, de plus en plus, petit à petit, jusqu’à qu’elles soient totalement libérées.

La méditation est une pratique qui permet de développer la conscience intérieure de soi-même et ainsi d’accéder à son corps émotionnel. En prenant le temps de pratiquer cela, de toucher les émotions que l’on vit, et de les accompagner à trouver libération, on guérit notre corps émotionnel.

Source http://www.sciencedesoi.com

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