Les troubles psychosomatiques qui font mal au corps

Les troubles psychosomatiques sont la preuve de l’impact que l’esprit peut avoir sur notre corps. Il s’agit d’états où apparaissent clairement une série de symptômes physiques réels liés à des maladies invisibles, avec des conditions qui n’existent pas organiquement, mais qui sont le résultat de conflits mentaux, de problèmes non résolus qui nous consument de l’intérieur.

Lire qu’il existe des étudiants qui, en raison de l’anxiété, peuvent perdre la vue juste avant un examen peut sembler incroyable. En outre, parler du cas d’une femme de 60 ans qui a perdu la mobilité de ses jambes parce qu’elle était convaincue qu’elle avait une tumeur à la colonne vertébrale, peut également sembler une histoire exagérée et difficile à comprendre.

Cependant, les preuves sont là et de tels cas se produisent tous les jours, partout dans le monde et à chaque instant. Par conséquent, les neurologues ou les psychologues spécialisés dans les troubles psychosomatiques ont rapidement appris à donner de l’espace au récit que les patients font de ce qui leur arrive. S’ils disent ressentir de la douleur, cette douleur est probablement réelle même si elle ne se reflète pas dans une IRM ou une analyse sanguine.Donner de la crédibilité à la souffrance de ces patients est essentiel. Il en va de même avec les personnes qui prétendent avoir des pensées suicidaires lors d’une dépression, ou pour une personne souffrant de schizophrénie qui déclare avoir des visions et certaines hallucinations. Cette réalité existe, existe dans l’esprit dudit patient et peut devenir dévastatrice. Lorsque notre esprit prend le contrôle, est traumatisé ou soumis à un état d’anxiété très convulsive, tout peut s’avérer possible.

Les troubles psychosomatiques, est-il vrai que tout est dans ma tête ?

Le trouble psychosomatique est définit comme le cadre symptomatique où un corrélat physique ou organique n’est pas trouvé, là où tous les maux et toutes les limitations dont souffre la personne sont exclusivement dus à ses processus mentaux. Réfléchissons désormais à ce que cela peut supposer…tout est-il vraiment tout dans ma tête ?

La réalité est qu’aujourd’hui les troubles psychosomatiques restent un domaine d’étude rempli d’inconnues pour les experts. Ce qui est connu est que ce spectre de troubles physiques associés au stress mental présente un corrélat cérébral : l’hyperactivité des impulsions nerveuses du cerveau pour communiquer avec diverses zones de notre corps.

  • Un excès d’adrénaline dans le sang peut également survenir, outre certains paramètres biologiques modifiés tels que l’accélération du métabolisme du glucose ou des acides aminés …
  • Par ailleurs, il a également été démontré qu’il existe des personnes davantage susceptibles de souffrir de troubles psychosomatiques. Les patients vivant dans un état de grande anxiété ou qui ont connu une enfance traumatisante suite à des abus, à la privation affective, etc., sont également davantage susceptibles de souffrir de ce type de trouble.

Au-delà du fait de comprendre ou de la non les conséquences des maladies psychosomatiques, il existe un fait encore plus important. Pensons à un médecin qui explique à son patient que ce dont il souffre n’est pas réel, que la douleur qu’il ressent dans  la poitrine n’est pas une crise cardiaque, que la perte de sa voix n’est pas due à un problème de cordes vocales, ou sa terrible migraine à une tumeur. Il convient de préciser au patient “ce dont il ne souffre pas”, mais…de quelle manière est-il possible de l’aider à guérir ce dont il “souffre” et qui trouve son origine dans son esprit ?

“Il s’agit de quelque chose qui arrive à tout le monde. Mais nous ne pourrions dire pourquoi chez certains individus ce mécanisme décide de créer une pathologie. Il se passe que nous avons tous une façon différente de gérer le stress.”
-Suzanne O’Sullivan-

Ce que notre esprit peut générer

Les troubles psychosomatiques peuvent affecter n’importe quel organe, système, tissu ou structure. Son impact est immense, raison pour laquelle nous ne devrions pas sous-estimer la puissance de notre psyché. Il est par ailleurs nécessaire de différencier les troubles somatoformes des troubles psychosomatiques. Alors qu’ il n’existe a jamais de symptôme physique dans le premier cas, des dommages visibles dans l’organisme (par exemple, des ulcères) apparaissent dans le second.

Un exemple classique de troubles psychosomatiques sont les dermopathies, telles que l’eczéma, l’urticaire, les infections, l’acné…
L’hypertension, la tachycardie, la sensation d’étouffement ou les perforations cardiaques sont un autre symptôme
Les troubles du système digestif sont très communs, l’irritation de l’intestin et les ulcères étant les conditions les plus communes
Les maux de tête intenses, tels que les migraines sont également très fréquents
Pertes de mémoire
Asthme bronchique
Dysménorrhée, troubles menstruels…
Alopécie
Dans les cas extrêmes, certaines personnes peuvent souffrir de cécité temporaire, du manque de mobilité de certains membres, d’évanouissements…

Comment les maladies psychosomatiques sont-elles traitées ?

Les troubles psychosomatiques sont abordés de deux manières différentes. D’une part, il est évidemment nécessaire de prendre en charge le symptôme physique que présente le patient (ulcère, infection, eczéma …). Ensuite, le plus important dans ces cas est de faire face au vrai problème sous-jacent, son univers psychologique et cette tension mentale non résolue qui est somatisée avec plus ou moins de gravité dans l’organise.

Les techniques utilisées pour ces cas sont multiples et dépendront toujours de la réalité personnelle de chaque patient. Il est par ailleurs parfois approprié d’essayer différentes thérapies afin de déterminer ce qui fonctionne le mieux chez le patient, ce qui génère les résultats les plus positifs et les plus attendus.

  • Les techniques de relaxation sont toujours très efficaces.
  • La thérapie cognitivo-comportementale est d’une grande aide pour amener les patients à apprendre de nouvelles façons de faire face à leurs problèmes. Ils comprendront leurs réalités internes, appliqueront des objectifs de vie réalistes et identifieront les schémas de pensée qu’ils devraient changer pour disposer d’un style de vie plus positif.
  • Par ailleurs, un autre type de thérapie qui apporte généralement des résultats positifs lorsqu’il s’agit de conflits mentaux et émotionnels, ainsi que des troubles anxieux, est la psychanalyse.
  • La thérapie de groupe telles que le psychodrame, créé à l’époque par Jacob Levy Moreno, est une autre stratégie idéale, révoltante et très enrichissante qu’il est possible de tester pour observer si elle génère les résultats escomptés.

En conclusion, nous devons signaler l’importance et le défi que suppose pour de nombreux médecins d’essayer d’offrir une solution pour tous ceux qui aujourd’hui souffrent de maladies psychosomatiques. Il s’agit parfois de réalités très dures qui méritent notre attention et notre prise de conscience.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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5 façons de faire face aux personnes toxiques

Toutes les personnes, individuellement, peuvent changer. Nous pouvons faire l’effort d’améliorer ce qui ne nous plaît pas. Cependant, nous ne pouvons pas changer les autres personnes. C’est quelque chose qu’il ne faut pas oublier lorsque nous sommes confrontés aux personnes toxiques. Face à eux, nous avons seulement deux possibilités : les éviter ou s’y confronter.

Beaucoup de personnes préfèrent fuir les personnes toxiques, mais quand vous n’avez plus le choix et que vous devez faire face à quelqu’un, le mieux est de chercher à le faire de manière intelligente. Finalement, les personnes toxiques trouvent toujours le moyen de dilapider leur négativité, en la transmettant aux autres personnes, en créant un mauvais sentiment et environnement, en ruinant l’instant.

Les personnes toxiques défient la logique des relations personnelles. De fait, certaines, même si c’est inconscient dans la plupart des cas, ne sont heureuses que quand elles créent un impact sur les autres. D’autres obtiennent une satisfaction en créant le chaos dans la sensibilité d’autrui. Dans tous les cas, les personnes toxiques créent inutilement de la complexité, des conflits et du stress.

“Les personnes toxiques se collent à vous comme des blocs de béton attachés aux chevilles, et ensuite vous invitent à nager dans leurs eaux empoisonnées.”

-John Mark Green-

Voici les 5 façons intelligentes de faire face aux personnes toxiques 

1. Face personnes toxiques l’intelligence émotionnelle

Cela fait longtemps déjà que les études ont démontré que le stress peut avoir un impact irréversible et négatif sur le cerveau. Même si c’est pendant quelques jours, l’exposition au stress compromet l’efficacité des neurones dans l’hippocampe, une zone importante du cerveau, responsable du raisonnement et de la mémoire. Si le stress dure pendant plusieurs semaines, il finit par endommager les dendrites neuronales (les petits ‘bras” que les cellules cérébrales utilisent pour communiquer entre elles). S’il se prolonge pendant plusieurs mois, le stress peut détruire des neurones de manière permanente.

Une recherche récente du Département de Psychologie Biologique et Clinique de l’Université de Friedrich Schiller en Allemagne a montré que l’exposition à des stimulations qui provoquent de fortes émotions négatives -le même type d’exposition que l’on obtient aux côtés des personnes toxiques- fait que le cerveau des sujets a une réponse massive au stress.

Ainsi, à travers la négativité, la cruauté ou la victimisation (entre autres stratégies), les personnes toxiques provoquent chez les autres un état de stress qui requiert une gestion émotionnelle intelligente pour disparaître.

La clé pour agir de manière intelligente face à ce type de comportements toxiques est de cultiver votre capacité à gérer vos émotions et de rester calme sous la pression. De fait, l’une des plus grandes qualités de ceux qui savent gérer leur stress est leur capacité à neutraliser les effets des personnes toxiques.

“Faites fi de l’opinion des gens toxiques, libérez-vous de leurs critiques et vous vous libérerez de chacun de leurs mots et de leurs actions. N’idéalisez pas. N’attendez rien de personne.”

-Bernado Stamateas-

2. Ignorez les gens toxiques qui recherchent votre attention

Les gens toxiques ne portent pas une insigne qui permette de les distinguer. Mais, nous savons tou-te-s qui autour de nous sont les sources de conflits et de mal être. Nous savons le mal qu’ils peuvent causer. Nous savons aussi par où ils nous attaquent. Vous savez qui vous cherche, et vous savez aussi qui vous trouve. Et quand on vous trouve, ici même, dans ce lieu, vous savez que vous êtes perdu-e.

Si, quelle qu’en soit la raison, vous ne pouvez pas éviter cette personne toxique, alors essayez de ne pas tomber dans ses filets. Vous savez qu’elle va rechercher votre attention, qu’elle va vous provoquer. Ne vous laissez pas “embrouiller”. Faites en sorte qu’elle ne vous trouve pas. Ne vous laissez pas provoquer par ses interruptions, ses commentaires ou ses actions. Soyez bienveillant-e. Soyez patient-e. Prêtez-lui le moins d’attention possible. Mordez-vous la langue si c’est nécessaire pour que son venin ne vous atteigne pas. Soyez assertif-ve s’il est nécessaire de marquer une limite.

“Partagez des choses uniquement avec ceux qui peuvent vous donner des informations et du soutien. Quand vous rencontrez des gens négatifs, fermez la bouche.”

-Israelmore Ayivo-

3. N’acceptez pas le comportement d’une personne toxique : évitez la contagion

La caractéristique principale de la toxicité est qu’elle est contagieuse. C’est ce qui arrive avec les gens toxiques : leur attitude se transmet. Si vous répondez avec un comportement toxique, vous avez perdu la bataille. Même si cette personne toxique parvient à trouver le bouton de votre culpabilité, tout n’est pas perdu. Rester calme devant son pire venin, l’injection de la culpabilité, est possible.

Que ce soit possible ne signifie pas qu’il est facile d’ignorer les demandes d’attention d’une personne toxique. De fait, les gens toxiques ont souvent tendance à ridiculiser la personne en public quand ils ne parviennent pas à la confrontation directe, s’ils ont opté pour cette méthode. C’est pour cela que garder le contrôle sur ses émotions est essentiel dans une telle situation.

D’autre part, maintenir une distance émotionnelle demande de la conscience. Vous ne pouvez pas toujours empêcher les autres d’appuyer sur vos points sensibles. Quand cela arrive, vous devez surmonter vos peurs et vos complexes, et aller de l’avant. D’une certaine manière, mieux vaut ignorer ce qui s’est passé, car il sera ainsi plus facile de contrôler vos émotions. Mais il y a une autre option : défendre vos limites.

“Celui qui disqualifie a pour objectif de contrôler notre estime de nous-mêmes, de nous faire croire que nous ne sommes rien face aux autres, pour pouvoir briller et devenir le centre de l’univers.”

-Bernardo Stamateas-

4. Mettez et défendez vos limites

Vous devez savoir que l’attaque d’une personne toxique ne sape pas votre dignité. De fait, votre dignité peut être attaquée et ridiculisée, mais vous ne pouvez jamais la perdre à moins que vous ne la donniez volontairement. Ainsi, vous n’avez pas à vous défendre avec des arguments mais à clarifier vos propres limites.

N’est pas offensé-e celui/celle qui veut, mais celui/celle qui peut. Si vous vous mettez sur la défensive, vous démontrez à l’autre qu’iel peut vous atteindre. Si vous posez vos limites, vous lui faites comprendre qu’il ne peut pas vous attaquer.

Face à une personne toxique, les raisonnements et les explications ne valent pas grand chose. Il faut clarifier les choses, avec fermeté et assertivité, pour que votre autorité dans vos propres décisions soient claires, et en même temps montrer votre responsabilité.

Sachez que pour établir une limite, vous devrez le faire de manière consciente et proactive. Si vous laissez les choses arriver naturellement, vous vous verrez dans l’obligation de vous retrouver systématiquement dans des conversations difficiles. Si vous établissez des limites, vous pourrez contrôler une grande partie du chaos provoqué par une personne toxique.

3. Pratiquez la compassion

Comme nous l’avons vu, face à quelqu’un de toxique, nous pouvons adopter une attitude d’attaque, une position sur la défensive ou simplement l’ignorance. Mais nul besoin de toujours faire cela. Parfois, cela a du sens d’être sympathique avec les personnes toxiques. Peut-être qu’elles traversent une période difficile, une situation émotionnelle qu’elles ne savent pas comment gérer.

Cependant il est triste de constater que le comportement toxique de quelqu’un est souvent une façon d’affronter une situation personnelle difficile. Bien sûr, ce n’est pas juste et honnête de faire payer sa douleur aux autres. Mais il n’y a pas non plus de soulagement personnel quand les autres sont blessés. Au fond, il n’y a pas toujours de la méchanceté, de la rancœur ou de la colère envers les autres dans le comportement toxique.

Cela ne signifie pas que vous devez tout laisser tout passer ou que vous devez tout accepter. Finalement, nous avons chacun nos propres problèmes, nos propres démons. Face à une telle situation, affrontez la situation avec compassion, en pardonnant. Sans suivre la même route et en marquant bien vos limites, bien sûr, mais sans tenir trop compte l’attitude de l’autre car ce n’est rien d’autre qu’une ombre de sa très douloureuse et agitée vie intérieure.

Source Source : nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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Frédérique Shine Médium
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7 étapes pour oublier un amour impossible

développement personnel

Un amour impossible est celui qui ne parvient jamais à se transformer en relation stable ou qui finit avant d’avoir commencé ou d’avoir mûri. Cela peut sembler paradoxal mais ce sont ces amours qui donnent lieu aux deuils les plus profonds et qui sont parfois les plus difficiles à oublier. Et c’est aussi paradoxal parce que si, finalement, elles ne se sont pas développées, elles ne devraient pas – en théorie – engendrer autant de souffrance.

Les plus pragmatiques ne se compliquent pas la vie avec un amour impossible. Quand iels voient qu’il n’y a pas de bonnes conditions pour construire ou maintenir un lien amoureux, iels l’acceptent et mettent un point final à temps. D’autres, cependant, ont plus de mal à renoncer aux attentes, aux espoirs et aux rêves qui se sont formés autour d’une relation. Le sentiment est plus fort que les preuves de son impossibilité.

D’une façon ou d’une autre, un amour impossible ne s’oublie jamais. Il laisse de grandes traces, précisément parce qu’il n’a pas été vécu ni consommé au moment où l’on doit y renoncer ; l’idéalisation ne s’est pas brisée. Mais, même s’il ne s’oublie pas complètement, il est quand même possible de traiter ce sentiment et de réussir à le mettre de côté pour continuer à aller de l’avant. Et voici 7 conseils pour y parvenir.

“L’amour est comme une guerre, facile à commencer, difficile à terminer, impossible à oublier.”

-Henry Louis Mencken-

1. Définissez ce qui le transforme en amour impossible

Il existe une grande différence entre un amour difficile et tumultueux et un amour impossible. Ce dernier n’a aucune chance d’exister. Le cas le plus typique, et qui entraîne le plus de difficultés émotionnelles, concerne l’amour qui n’est pas réciproque. Une personne aime l’autre, mais l’inverse n’a pas lieu. Il serait d’ailleurs peut-être plus exact de dire qu’une personne aime et a besoin de l’autre, mais que cet autre ne ressent pas la même chose. L’amour véritable fonctionne toujours à deux.

Bien sûr, on peut essayer de conquérir quelqu’un qui n’est, au début, pas intéressé. Mais il est aussi important de comprendre qu’il arrive un moment où il est nécessaire d’accepter que cette entreprise n’a pas de futur. La même chose s’applique pour d’autres impossibilités qui ont normalement le même élément en commun : l’un aime et l’autre non. S’il n’y a pas de sentiment mutuel, il n’y a pas de viabilité

D’une façon ou d’une autre, un amour impossible ne s’oublie jamais. Il laisse de grandes traces, précisément parce qu’il n’a pas été vécu ni consommé au moment où l’on doit y renoncer ; l’idéalisation ne s’est pas brisée. Mais, même s’il ne s’oublie pas complètement, il est quand même possible de traiter ce sentiment et de réussir à le mettre de côté pour continuer à aller de l’avant. Et voici 7 conseils pour y parvenir.

“L’amour est comme une guerre, facile à commencer, difficile à terminer, impossible à oublier.”

-Henry Louis Mencken-

1. Définissez ce qui le transforme en amour impossible

Il existe une grande différence entre un amour difficile et tumultueux et un amour impossible. Ce dernier n’a aucune chance d’exister. Le cas le plus typique, et qui entraîne le plus de difficultés émotionnelles, concerne l’amour qui n’est pas réciproque. Une personne aime l’autre, mais l’inverse n’a pas lieu. Il serait d’ailleurs peut-être plus exact de dire qu’une personne aime et a besoin de l’autre, mais que cet autre ne ressent pas la même chose. L’amour véritable fonctionne toujours à deux.

Bien sûr, on peut essayer de conquérir quelqu’un qui n’est, au début, pas intéressé. Mais il est aussi important de comprendre qu’il arrive un moment où il est nécessaire d’accepter que cette entreprise n’a pas de futur. La même chose s’applique pour d’autres impossibilités qui ont normalement le même élément en commun : l’un aime et l’autre non. S’il n’y a pas de sentiment mutuel, il n’y a pas de viabilité

Même s’il s’agit d’un beau fantasme, cela ne correspond pas à la réalité. Les êtres humains ont une infinie capacité d’aimer. Quand on vit une relation, on affronte son final et on en tire une expérience et une sagesse qui permettent, en général, de mieux vivre la relation suivante.

Nous pouvons toujours recommencer et chaque nouvelle expérience peut être meilleure que la précédente. En fait, les années nous préparent à aimer avec une plus grande générosité et une plus grande tolérance si nous ne restons pas ancrés dans des rêves impossibles.

3. Reconnaissez les aspects négatifs

Le fait d’être amoureux-se, et non l’amour, nous pousse facilement à idéaliser les personnes et les situations. Parfois, nous leur donnons des vertus et des attributs qu’elles n’ont pas réellement ou qu’elles possèdent uniquement dans une certaine mesure. Pour diluer ces constructions mentales, il est très important de commencer à évaluer les éléments négatifs.

Quels défauts a cette personne que vous croyez tant aimer ? Quels aspects insatisfaisants existaient ou existent dans les situations que vous partagiez ou partagez avec lui/elle ? Pourriez-vous imaginer la façon dont ces défauts et ces erreurs se manifesteraient d’ici 10 ans ? Voici les questions que vous devez vous poser et auxquelles vous devez essayer de répondre en toute honnêteté. Au final, il est probable que votre point de vue soit plus réaliste.

image pixabay

4. Acceptez qu’il est temps d’oublier

Il s’agit de l’étape la plus difficile. Il a été vérifié que quand une personne désire vivre une relation amoureuse avec quelqu’un et que celle-ci n’est pas possible, des réactions similaires à celles d’un-e drogué-e qui ressent un syndrome d’abstinence se produisent. Le mal-être émotionnel, voire même physique, est parfois difficile à tolérer.

Et comme c’est le cas pour toutes les addictions, le plus difficile à accepter est que la dépendance existe, qu’elle crée une profonde tristesse et qu’on se sent impuissant face à elle. Cela semble facile à admettre, mais ça ne l’est pas. Nous sommes parfois capables d’inventer et de rationaliser n’importe quel prétexte pour ne pas accepter que nous sommes effectivement victimes d’une dépendance. Quand vous parvenez à l’accepter, vous franchissez l’étape la plus importante. Cela clarifie les pas à suivre après cette étape.

5. Éliminez les liens et supprimez les souvenirs

Après avoir accepté l’idée selon laquelle il est temps de laisser cet amour impossible, il faut commencer à couper tous les liens qui subsistent. Cela suppose de ne pas appeler la personne, de ne pas essayer de la voir, de prendre ses distances avec ses ami-e-s et de faire tout ce qui nous permet de rompre les liens qui restent présents avec cette personne. Il faut, en particulier, couper toute relation dans les réseaux sociaux.

Dans ce même ordre d’idées, il est nécessaire de supprimer tous les souvenirs. Éliminez les photos, éloignez les cadeaux. Si vous n’êtes pas prêt-e à vous en défaire, réunissez-les et rangez-les dans un endroit difficilement accessible. Et si votre décision est plus ferme, mettez tout à la poubelle. C’est une façon d’atténuer et de diluer la présence de cet amour impossible.

6. Changez votre routine, essayez de nouvelles choses

Il est temps de commencer une nouvelle étape. Cet amour impossible a peut-être occupé la majorité de votre temps, de vos journées et même de vos années. Le laisser partir ne sera absolument pas simple. Cependant, si vous prenez réellement la décision d’effectuer ce changement, tout deviendra beaucoup plus facile. Il y a sûrement des choses que vous avez toujours voulu faire et que, pour une raison ou une autre, vous avez remises à plus tard. Il est donc temps de se concentrer sur ces nouveaux défis.

Le moment de l’adieu définitif est aussi l’occasion de s’aventurer vers de nouvelles choses ou de nouveaux endroits. Voyager est toujours une excellente alternative. Et si vous releviez ce défi ? Il est aussi utile d’explorer vos facultés, de vous inscrire à un cours qui vous poussera à connaître de nouvelles personnes ou de pratiquer une nouvelle activité intéressante. La vie continue et il y a des milliers de choses à faire.

7. Donnez du temps au temps

Il y a de nombreuses amours, et certaines laissent des traces si profondes qu’elles ne partiront jamais. Un amour impossible est toujours enraciné pendant un long moment, et le fait de ne pas l’évoquer ne suffit pas à le faire disparaître. C’est une chose que l’on n’atteint pas du jour au lendemain. Cela exige du courage et du caractère. Ce sera difficile, il y aura des rechutes mais le temps vous aidera à grandir.

Si vous êtes sûr-e que vous ne pouvez plus continuer avec cet amour impossible, si vous coupez les liens et êtes décidé-e à commencer une nouvelle vie, vous réussirez petit à petit à faire occuper une place différente à cette personne, aussi bien dans votre cœur que dans votre esprit. Vous sentirez progressivement une plus grande paix dans votre âme. Vous découvrirez que, après avoir aimé et laissé partir cette personne, vous avez beaucoup appris et mûri.

Renoncer à des choses impossibles est un acte quotidien, et l’amour n’est pas une exception à la règle. Sans le vouloir, beaucoup de personnes sont des rêveuses éperdues. Nous n’acceptons pas si facilement le fait qu’il y ait des limites et que nous ne pouvons rien faire d’autre que de les respecter. Mais il y a une chose merveilleuse : en découvrant les frontières de nos propres possibilités et en les acceptant, nous franchissons un cap et apprenons à être de meilleures personnes.

Tout ce que vous vivez en vaut la peine. Même ces frustrations qui nous font autant de mal se transforment, par la suite, en semences pour nos plus grandes réussites. Elles constituent aussi la base sur laquelle nous bâtissons notre personnalité adulte. Il s’agit d’une manière d’être, à travers laquelle on comprend que la limite de nos fantasmes amoureux se trouve dans ce que les autres souhaitent, en toute liberté.

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Cinq pensées parasites (et comment les neutraliser)

Vous avez le sentiment de ne pouvoir compter sur personne. Cela a peut-être été vrai à un moment de votre vie, mais est-ce pertinent aujourd’hui alors que tout va bien?

« Je suis trop gentil », « on m’utilise et après, on me jette »… Vous avez le sentiment que le sort vous maltraite. Et si vous y étiez un peu pour quelque chose? Les conseils du coach Jean-Yves Arrivé* pour vous libérer de ces constats négatifs.

On est tous plus ou moins habités par des croyances qui nous minent et nous freinent dans une carrière ou un projet professionnel. Il est pourtant possible de les dépasser, en en prenant conscience et en acceptant d’agir progressivement pour les contrecarrer. Illustrations.

Pensée n°1: « Je suis trop ordinaire (moyen) pour faire une belle carrière »

Au moindre challenge proposé – un nouveau poste, une négociation de haut vol -, vous partez perdant. « Je ne suis pas au niveau, pas brillant comme untel… »: vous vous comparez, à votre désavantage. Soit il s’agit d’un manque de confiance en vous, soit d’un processus de victimisation, en vue de vous faire plaindre…

A faire. Revenez à des faits, à des réalités. Réalisez un tableau avec 3 colonnes. 1/Les compétences que vous possédez. 2/Celles que vous pouvez développer. 3/Celles qui vous semblent inaccessibles. Ne remplissez les n°2 et n°3, que si vous récoltez des éléments pertinents dans la n°1, vérifiés par des actions concrètes. L’objectif est de considérer la fierté des tâches accomplies, et de révéler votre potentiel en étant bienveillant avec vous-même!

Pensée n°2: « Je dois me battre pour réussir »

Savoir être un « winner », un « killer » … Autant de vertus glorifiées chez les commerciaux et qui ont fait tache d’huile. Ces mots, ancrés en vous, sont une variante de la ritournelle qui vous serine: « sois fort ». Or, il n’est pas nécessaire de créer des rapports de force pour être reconnu, valorisé ou pour garder sa place face à un nouvel embauché talentueux. Le risque de déchoir ou d’être évincé est dans votre tête.

A faire. Jouez la complémentarité. Persuadez-vous du bienfait de nouer des alliances plutôt que de combattre. Notez sur un papier, tout ce qui vous pousse à vous battre et tout ce qui vous pousserait à coopérer. Confrontez les réponses, et choisissez-en 2 ou 3 positives afin de bâtir un plan d’action. Exemples: « Je connais mon job, je peux laisser mes clients s’exprimer un peu plus ».

Pensée n°3: « Je dois toujours m’en sortir seul »

Vous avez le sentiment de ne pouvoir compter sur personne. Cela a peut-être été vrai à un moment de votre vie, mais est-ce pertinent aujourd’hui alors que tout va bien? Face à la difficulté, vous refusez de demander de l’aide, craignant que celle-ci ne soit jamais au rendez-vous. Risqué.

A faire. Sollicitez des coups de main, en démarrant par des choses simples. Vous prévoyez une surcharge sur un dossier à rendre dans un mois? Recherchez le soutien modeste d’un collègue sachant que vous aurez le temps de vous retourner s’il dit non. Et si c’est lui qui suggère son appui répondez: « Qu’est-ce que tu proposes? », l’amenant ainsi à préciser son offre, sans avoir à formuler vous-même la demande.

Pensée n°4: « J’échoue toujours dans la dernière ligne droite »

C’est le syndrome de l’éternel second. Vous êtes toujours dans la short-list des candidats à une promotion, sans jamais parvenir à décrocher le job. Ou encore, vous n’arrivez pas à conclure ce fichu contrat avec le client. In extremis, vous êtes rattrapé par un doute: « ça ne va peut-être pas marcher! ». Et patatras, vous perdez le contrôle de la situation. Stimulé au départ, devant l’obstacle vous calez, prêt à laisser la place.

A faire. Travaillez sur l’image que vous renvoyez, sur vos objectifs, pour montrer aux autres votre détermination. 1/Listez vos atouts et vos défauts sur le plan professionnel, en interrogeant aussi des proches, et ce que vous voudriez changer. 2/ Exercez-vous, hors du bureau, à tenir la distance de vos désirs: mener à son terme un match de tennis, résister au découragement lors d’une partie de cartes, etc.

Pensée n°5: « On sait m’utiliser, et après on me jette comme un kleenex »

Serviable, trop gentil, vous avez l’impression de vous faire avoir. Or, par votre comportement, vous faites naître chez l’autre un sentiment de gratitude, une sorte de dette symbolique qui satisfait votre soif de reconnaissance. Cela devient un mécanisme, qui crée un chantage affectif de la part de l’entourage. « Si tu ne fais pas ça, tu ne m’aimes plus, donc moi non plus. » Votre estime de soi est en jeu.

A faire. Apprenez à dire « non », en vous mettant sur un pied d’égalité. « Je suis heureux que tu aies pensé à moi sur ce dossier, je veux bien contribuer, qu’est-ce que j’y gagne? ». Dire non, ne signifie pas que l’on va se détourner de vous. Et repérez ce qui se cache derrière vos « oui »: des affects, des émotions à canaliser objectivement.

* Fondateur de Co-Acting, Jean-Yves Arrivé vient de publier  » Se Libérer des pensées parasites « , Larousse, février 2017.

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Conseils pour tranquilliser votre esprit lorsque vous êtes très anxieux

déveoppement personnel

Il semblerait que rien n’empêche l’anxiété de s’insinuer, de s’installer confortablement dans votre esprit. Elle vous répète sans cesse que vous allez échouer, que les autres ne vous aiment pas. Des sages vous diront de « laisser les portes avant et arrière ouvertes pour permettre aux pensées négatives de circuler, sans leur servir le thé ». Voici quelques conseils pour tranquilliser votre esprit, lorsque vous êtes très anxieux:

1. Rassurez-vous en vous disant que les situations difficiles annoncent une réussite

Lorsque vous passez par des périodes difficiles, vous rassurer que tout ira pour le mieux permet de rendre le processus moins pénible. Préparez-vous psychologiquement à découvrir vos nouvelles capacités et à en tirer les leçons positives.

2. Écoutez un enregistrement d’autosuggestion lorsque vous êtes très anxieux

Enregistrez des mots d’encouragement personnels ou des paroles de sagesse tirées d’enseignements d’autosuggestion, puis allez dans un endroit calme et écoutez-les, dès que vous sentez que vous commencez à déprimer.

3. Acceptez votre anxiété

Quelques fois, la résistance renforce votre angoisse. Prenez donc du recul et cherchez ce qui vous rend anxieux. La plupart du temps, vous vous inquiétez pour quelqu’un ou pour quelque chose, donc comprendre le motif de votre préoccupation vous aidera à trouver des solutions.

4. Imaginez comment vous voudriez que ce soit différent

Vous ne pourrez pas toujours modifier immédiatement votre situation, mais vous pouvez imaginer un scénario différent. Ce processus d’imagination vous aide à changer vos pensées négatives en pensées positives, puis à reconstruire ainsi votre confiance. D’après certains spécialistes en Imagerie interactive « L’esprit est probablement le moyen de guérir le moins utilisé que nous avons ».

5. Changez-vous les idées

Quelques fois, la distraction est une bonne solution pour faire face à l’anxiété. Regarder un film drôle, lire un roman, sortir avec des amies, etc., lancez-vous dans tout ce qui vous paraît passionnant pour diminuer la pression et la sortir de votre tête.

6. Testez la reconnaissance lorsque vous êtes très anxieux

Pourquoi ne pas essayer de faire une liste de tout ce pour quoi vous avez de la gratitude, lorsque vous êtes bloqué dans une spirale d’anxiété et de pensées négatives. Orienter vos émotions vers des sentiments nobles et d’empathie aidera à restaurer le calme dans votre esprit.

7. Coloriez des Mandalas pour vous détendre

Selon différentes études, les coloriages pour adultes, qui ont de plus en plus la cote, seraient efficaces pour diminuer de manière significative les symptômes d’anxiété et de stress chez les personnes souffrant de ces maux. Colorier aurait à peu près les mêmes effets que la méditation sur le corps et le cerveau. C’est un très bon moyen de se détendre, de se changer les idées, de régulariser le rythme cardiaque et de rétablir la pression artérielle à un niveau normal.

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Test : Lequel de ces huit types d’intelligence est le tien ?



Le psychologue de Harvard Howard Gardner a développé la théorie des intelligences multiples, selon laquelle nous avons tous un trait dominant. En déterminant son côté fort, chaque personne peut mieux comprendre quelle est sa vocation et y dédier tous ses efforts. Nous t’invitons à réaliser ce test afin de découvrir quel type d’activité correspond le mieux à ta personnalité.



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Choisir votre animal de compagnie en fonction de votre signe astrologique – avec des images drôles d’animaux

Miroir, miroir, dis-moi quel animal je devrais adopter ?

Mais non, pas besoin de vaudou ou d’une vieille dame et ses cartes. On ne vous le dit que trop mais votre signe astrologique vous définit énormément. Les astres vous influencent plus que vous ne le pensez. Évidemment, il y a toujours des exceptions.



Mais généralement, vous vous retrouvez plutôt bien dans le caractère pré-défini de votre signe non ? Et bien aujourd’hui on va vous dévoiler quelque chose de nouveau, non pas quelle épouse ou femme d’affaires vous pourriez être. Non, on s’attaque à quelque chose de beaucoup plus mignon, quel animal de compagnie, vous devriez avoir selon votre signe. C’est calculé par rapport à votre caractère et à celui de l’animal en question.

Et si par malheur, vous étiez allergique, phobique des animaux ou encore dans l’incapacité de recevoir ce petit amour, prenez une peluche à l’effigie de votre animal. Ça peut toujours vous apporter un peu de réconfort et vous respectez plus ou moins cette liste.

1. Bélier : Un chien
chien
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Vous avez beaucoup d’énergie et êtes très active. Votre chien s’habituera à votre mode de vie. Vous l’emmènerez partout et même dans des endroits où il n’est pas le bienvenu, mais ça, hors de question, hors de question que votre chien reste seul dehors, sans vous. Le fait de l’emmener faire des promenades vous apaisera dans votre caractère d’hyper-active.

2. Taureau : Un cochon
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Non on ne vous le conseille pas parce qu’il fait le même bruit que vous lorsque vous ronflez. Le cochon est un animal intelligent et indépendant, il est entre le chat et le chien (en termes de personnalité). Vous apprécierez son indépendance car vous n’aimez pas être constamment dérangée. Vous aimez être remarquée dans la vie et votre cochon vous donnera toute l’attention que vous méritez (oui oui mais l’inverse est aussi possible).

 

3. Gémeaux : Un perroquet
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Vous aimez parler, et ça tombe bien, s’il est éduqué à parler, votre perroquet et vous aurez de très longues conversations enfin pour vous. N’oubliez jamais que le perroquet est un animal particulièrement intelligent et bavard. De plus, il apprendra tout ce que vous lui apprendrez. Plus besoin d’hommes pour vous dire que vous êtes belle ce matin.

 

4. Cancer : Un chat
astro
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Le chat est en fait votre animal spirituel, il paraît donc logique que vous en ayez un non ? Vous êtes quelqu’un qui, de nature, s’occupe très bien des autres et donc des animaux mais vous avez ce qu’on appelle l’intelligence émotionnelle pour les chats. Vous n’en attendez pas trop de votre chat et vous avez raison, comme ça, dès qu’il viendra vous faire des câlins, vous serez la plus heureuse.

5. Lion : Un cheval
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Vous avez besoin d’un animal qui soit le reflet de vous-même et qui soit également un symbole de noblesse. Un cheval de race qui plus est un un symbole de grâce et il est digne. Exactement comme vous aimeriez être vu dans le futur.

 

6. Vierge : Un poisson
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Vous ne supportez pas le désordre. Un poisson serait parfait pour vous, cela vous évite de possibles allergies, de possibles ménages à répétition si vous aviez une boule de poils. Un poisson, au moins, ça ne fait pas de vagues (ou presque). Vous vous assurerez que l’aquarium soit toujours propre et que vos poissons soient sages (en même temps, vous ne risquez pas grand chose sauf si vous prenez un piranha ou un diodon/poisson-ballon).

 

7. Balance : Une colombe
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La colombe est le signe de la paix et de l’harmonie. Vous êtes une personne fiable et généreuse vis-à-vis des animaux mais vous êtes plutôt portée sur un animal que vous trouverez beau. Que ce soit un animal ou un bébé, s’il n’est pas à votre goût, vous le direz.
Vous vous le cachez mais vous êtes une personne romantique lorsque le contexte s’y prête et quoi de plus romantique qu’une colombe ?

 

8. Scorpion : Un serpent
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Le serpent une créature mythique. Il nous rappelle l’histoire d’Adam & Ève. Les serpents sont synonymes de renaissance, de transformation, d’immortalité mais aussi de guérison. Cela correspond à votre signe, étant donné que le signe du Scorpion est le signe de la transformation également. Quoi d’autre qu’un serpent ? Bon, on vous le laisse hein, parce que tout le monde n’est pas très fan. C’est ce qui vous rend aussi unique.

 

9. Sagittaire : Une tortue
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Vous êtes un signe de baroudeuse, vous adorez prendre la route et marcher jusqu’à trouver des endroits insolites. C’est pourquoi il vous faut une tortue, un animal calme et qui peut rester seul à la maison (évidemment il faut lui apporter de la nourriture, alors appelez votre voisin, il n’aura pas grand chose à faire). Trop mignon et hyper pratique. On conseille quand même que votre tortue puisse avoir un endroit pour elle, comme un jardin.

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10. Capricorne : N’importe quoi mais un pur sang
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Si vous adoptez un animal, il faut qu’il soit comme vous vous considérez. En effet, avoir un animal montre votre statut. C’est pourquoi, pour vous, impossible d’avoir un chien croisé par exemple, vous tenez à ce qu’il soit un pur sang, comme pour un cheval par exemple. Dis donc… On n’avait pas dit que ce n’était pas la beauté qui comptait le plus ? Mais bon on est persuadées de votre affection pour lui.

 

11. Verseau : Pas vraiment fait pour avoir un animal
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Vous êtes le signe le moins enclin à posséder un animal. Vous êtes amoureuse de votre liberté, c’est pourquoi, ni un homme, ni un animal de compagnie ne devra vous restreindre dans vos envies de sorties ou de voyages. Mais on le sait, vous êtes une personne généreuse et si vous deviez quand même céder à la tentation d’adopter un petit animal, vous seriez très généreuse avec lui.

 

12. Poisson : Un lapin
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Le lapin est tout aussi sensible que vous, c’est pourquoi, vous pouvez être sûre que vous ferez la paire. Vous êtes tous deux non intrusifs et silencieux. Les lapins raffolent des câlins et qui d’autre que vous aime autant les câlins ? Et bien votre lapin ! Qui se ressemble s’assemble dit-on.

Source de l’article leseclaireuses.com

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D’AUTRES TEST DE LA PERSONNALITE




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QU’EST-CE QUE LE MANQUE ?

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Souvent j’entends, « je manque de ceci » ou « il me manque cela pour y arriver » ou encore « quand j’aurai ça ou ça, tout ira mieux »…




En fait, ce n’est pas ce qui manque. C’est plutôt qu’est-ce qui est en trop ?

Ce n’est pas quelque chose qui manque à mon bonheur, mais qu’est-ce que j’ai mis par-dessus mon bonheur qui m’empêche de le voir? Et donc de le vivre…

Je ne manque pas de joie, la joie est là, mais j’ai placé en moi trop de tristesse qui me cache ma joie. Je ne manque pas de courage, mais j’ai recouvert ce courage de toutes les peurs qui m’ont semblé utiles. Je ne manque pas d’amour, j’ai seulement trop de colère, de peur ou de culpabilité qui étouffent cet Amour.

Ce sont comme des couches de vêtements qui cachent la peau et l’empêchent de respirer et de refléter la lumière du soleil. Le vrai problème est que l’on ne sais pas comment enlever ces couches qui sont en trop !

En osant se déshabiller, se mettre à nu, être vrai.

Lorsque l’on me dit que quelqu’un lui manque, j’ai tendance à répondre que c’est un réajustement à faire. Cet homme te manque car tu as mis trop de lui en toi et pas assez de toi. Rééquilibre les choses, replace-toi au centre de l’amour et alors enlève cette couche de trop que tu avais de lui en toi. Déshabille-toi progressivement et tu trouveras exactement ce que tu cherchais en toi, ratatiné sous toutes ces sensations de manque. En oubliant que tu es la source même de l’amour, tu permets à d’autres de te cacher qui tu es en t’identifiant à ce qu’ils croient de toi.

Tu ne peux manquer de rien car tu es l’univers entier, à l’intérieur de toi. Tu es arrivé sur cette terre tout nu, avec tout ce dont tu avais besoin en toi. Cette sensation de manque survient lorsque tu remplaces qui tu es par ce que l’autre pense que tu es et que tu le prends pour vrai.

 

Alors tu oublies, tu caches et tu mets un premier voile d’illusion sur toi. Petit à petit, le manque de toi s’installe. Si celui avec lequel tu avais écrasé et remplacé qui tu es vraiment s’en va, tu crois qu’il manque à qui tu es mais en fait, retire ces croyances erronées de ta source et tu retrouveras ta totalité, ta plénitude. Rien n’est jamais à l’extérieur, tout est en toi. Si tu cherches à combler un manque, c’est que tu as oublié de regarder à l’intérieur de toi et que tu t’es perdu à l’extérieur. Recentre cette vision. Ajouter ne fera qu’écraser encore plus qui tu es.

« Lorsque j’aurai un nouveau travail, je serai enfin heureux » et si tu choisissais déjà d’être heureux? le travail ne peut rien t’apporter d’autre que ce qu’il est. Or, le travail n’a rien avoir avec le bonheur. Lorsque tu choisiras d’être heureux, alors tu seras heureux et lorsque tu auras ce nouveau travail, alors tu auras un nouveau travail.




La croyance que quelque chose d’extérieur nous apporte ce qu’on refuse de voir en soi est ce qu’on nous apprend depuis tout petit.

La condition… On est un gentil garçon si, et seulement si on arrive à rendre maman heureuse en écoutant ce qu’elle demande. Mais en fait, maman est heureuse seulement si elle décide de l’être et quoi qu’il arrive, on est un gentil garçon !

Mais alors, comment faire ? Recentre toi, regarde en toi, retrouve qui tu es. Dépouille-toi de tout ce qui n’est pas toi. Quand quelqu’un te manque c’est l’idée de toi avec l’autre qui te manque. C’est toi qui manque à toi même par cette configuration. Tu aimais l’image de toi quand l’autre était là, mais tu peux simplement retrouver cette image de toi avec toi-même. Ainsi l’autre ne conditionnera plus qui tu es, tu seras et tu pourras alors partager pleinement ton être avec l’autre sans remplacer ou écraser tes valeurs par des croyances qui ne t’appartiennent pas.

Bérengère

Source QU’EST-CE QUE LE MANQUE ? : http://lapressegalactique.net/

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L’amour-passion se reconnaît à son intensité

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L’amour-passion se reconnaît à son intensité, à la vitesse à laquelle il fait son apparition et prend le contrôle de notre être. Il a ce pouvoir de nous subjuguer.




Plus je réfléchis aux difficultés que traversent les couples, plus je constate les ravages que produit le fait de croire que l’amour-passion constitue le sommet de l’amour. La simple phrase «je l’aime, ne n’y peux rien» justifie semble-t-il tous les choix, mêmes ceux qui sont les plus inconsidérés.

De quoi est-il question au juste? L’amour-passion se reconnaît à son intensité, à la vitesse à laquelle il fait son apparition et prend le contrôle de notre être. Il a ce pouvoir de nous subjuguer. Il nous incite à faire toutes sortes de folies pour l’aimé. Il procure le sentiment de vivre intensément. L’espoir revit, la tête s’emplit de projets. On idéalise l’aimé, on a la conviction de ne pourvoir vivre sans sa présence. Cet amour peut naître à la manière d’un coup de foudre, tout comme emprunter une voie plus régulière pour nous atteindre. Lorsque nous nous trouvons sous son influence, il est difficile de lui tenir tête.

L’amour-passion est une des belles réalités de la vie. Tout réel qu’il soit, sa ferveur, son intensité peuvent nous tromper quant à sa qualité. L’amour-passion est la forme normale que prend l’amour naissant.

Si, ceux qui en subissent la douce loi, l’analysaient de plus près ils verraient que le «je t’aime» veut généralement dire «j’aime que tu m’aimes». En d’autres mots, il s’agit d’un amour dans lequel le désir d’être aimé est au moins tout aussi fort que le désir d’aimer, quand ce n’est pas davantage. Toute la passion vient de là : de ce qu’il vient étancher cette soif profonde d’être aimé. Cet amour, s’il évolue normalement, se transforme pour s’épanouir dans ce que j’appellerai l’amour authentique. Dans ce dernier cas la recherche du bien de l’autre prend le dessus. Plus nous recherchons le bien de l’autre, plus nous sommes prêts à faire ce qu’il faut pour le lui procurer, plus nous l’aimons. La grande séduction qu’exerce l’amour-passion vient de ce qu’il est si agréable à vivre qu’on le prend facilement pour le sommet de l’amour, alors qu’il devrait servir de tremplin pour se diriger vers un amour bien meilleur.

Pour se convaincre de la différence entre ces deux formes d’amour comparons-les. L’un est une passion, ce qui en fait une réalité changeante, comme toute passion. L’amour authentique consiste dans la volonté ferme du bien de l’autre. Dans un cas on découvre l’autre, ce qui nous en donne forcément une connaissance partielle. L’autre implique la connaissance approfondie de l’aimé. L’un rêve beaucoup, l’autre construit à partir de projets bien concrets. Dans un cas l’amour nous domine, dans l’autre nous le pilotons. L’un prend appuie sur la nouveauté, l’autre parvient à se renouveler avec du vieux. Dans un cas, la simple baisse de la passion, les faiblesses ou l’épreuve suffisent à mettre fin à l’union. Dans l’autre, ils servent de ciment pour lier le couple. L’un peut se terminer dans la haine de son partenaire, l’autre cherche à comprendre, accepte et pardonne.




Pascal Bruckner dans son livre «Le mariage d’amour a-t-il échoué» soulève des questions importantes à propos de l’amour-passion. Malgré sa brillante analyse il n’est pas parvenu à voir sa vocation de conduire à l’amour authentique.

Il débute en constatant avec réalisme que l’amour-passion «voudrait normaliser l’exceptionnel, en faire la règle». «Voyez ce rêve actuel : le tout en un, le tout ou rien. Qu’un seul être condense la totalité de nos aspirations et qu’il soit écarté s’il ne remplit pas cette mission. La folie est de vouloir tout concilier, le cœur et l’érotisme, l’effervescence et le long terme. Nos couples ne meurent pas d’égoïsme ou de matérialisme, ils meurent d’un héroïsme fatal, d’une ambition démesurée.» En effet, vivre toute sa vie l’intensité de la passion dépasse les forces humaines. Il constate par la suite que cet idéal conduit fatalement à de nombreuses ruptures, même les cheveux blancs veulent se donner une chance de revivre cette fièvre. Étant persuadé que la passion amoureuse est le sommet de l’amour, il cherche des moyens de minimiser les effets des ruptures sur les partenaires. Tout en acceptant que les unions pour la vie ne font plus partie du paysage, il cherche à augmenter leur durée par l’injection de réalisme et de d’amitié pour enlever ce qu’il y a d’excessif dans la passion. Il investigue la variété des unions qui demeurent possibles pour maintenir la passion.

Pourtant à bien analyser les effets d’être aimé on se rend compte que l’amour-passion a pour rôle de nous propulser vers un amour meilleur. Être aimé nous rend plus fort, nous incite à donner le meilleur de nous-mêmes, à aimer en retour l’aimé et ceux qui comptent pour nous, à propager notre bonheur etc. Si les effets d’être aimé contiennent ce potentiel comment se fait-il que certains évoluent vers un amour meilleur et d’autres non? Cela dépend du cœur qui expérimente ces effets. Pour certains ces effets sont si agréables à vivre qu’Ils mettent tous leurs efforts principalement à les revivre. Même s’Ils font preuve de finesse envers l’aimé, il ne faut pas s’y tromper, ils le font pour revivre cette sensation agréable. Pour des cœurs plus généreux, la force et l’énergie que cet amour procure les incite à s’améliorer, à s’ouvrir aux autres et redonner ce qu’ils ont reçus. En devenant de meilleures personnes ils sont à même de constater avec joie les mêmes progrès chez l’aimé. Ils peuvent vivre leur amour dans la paix parce qu’ayant constaté qu’ils n’ont aucune envie de quitter un être qui a autant de qualités, ils sont en mesure de savoir que l’aimé partage ce désir pour les mêmes raisons. Des sentiments de joie et de paix prennent maintenant le relai de la passion, sans pour autant exclure à l’occasion les élans passionnés.

Cet amour est plus profond. Il s’appuie sur notre personnalité qui a fait de grands pas et sur la volonté devenue ferme dans son intention d’agir pour le bien de l’autre. Tout cela rend notre personnalité plus stable. Cela saute davantage aux yeux si on le compare à la passion du début qui prenait appuie sur le pourvoir de la beauté, l’attrait sexuel, les petits riens qui plaisent tant. L’incertitude d’être aimé pour soi incite à rechercher constamment les marques d’affection. Cette même incertitude met la jalousie en éveil.

Oui, aimer l’autre pour lui-même est un progrès dans l’amour.

John White

Source : philo-pratique.net




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