Une tasse de ce mélange et vous serez endormi dans moins d’une minute!

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Ne vous inquiétez pas, parce que nous avons la bonne réponse pour vous.

Si vous souffrez d’insomnie, alors vous devriez certainement essayer ce mélange maison de lait et de miel. Ce remède est le plus efficace de sommeil ancienne. Tout ce que vous avez à faire est juste boire une tasse de ce remède avant d’aller vous coucher et de vous endormir en moins de 10 minutes.

Ingrédients:

– Lait 6 oz
– 1 goutte d’extrait de vanille
– 1 cuillère à café de miel

Directions: Versez le lait dans une petite casserole et le mettre sur la chaleur. Attendez jusqu’à ce qu’il soit chaud, mais non bouillante. Puis, retirez-le du feu et versez-le dans le verre. Ensuite, vous devez ajouter la vanille et le miel. Remuez bien et buvez lentement avant que vous avez sommeil.

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Ce que les fabricants de cigarettes ne veulent pas que vous sachiez

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C’est bien connu, fumer est très dangereux pour la santé. Cela n’empêche pas pour autant les gens de le faire. Certes, une mise en garde est même inscrite sur les paquets de cigarettes.

Toutefois, à aucun moment ne sont mentionnées les 4000 substances chimiques que vous pouvez inhaler rien qu’en grillant une seule cigarette.




Voici donc la vérité sur les cigarettes modernes que leurs fabricants ne souhaitent pas partager.

Les cigarettes modernes contiennent environ 4000 produits chimiques en raison des 600 ingrédients utilisés pour leur fabrication. Les deux principaux composants toxiques sont la nicotine et le goudron. Elles contiennent également du monoxyde de carbone, de l’acétone, du butane, de l’arsenic, de l’ammoniac, du formaldéhyde, le DDT (dichlorodiphényltrichloroéthane) et parfois même du cadmium. Tous sont classés comme des étant des substances toxiques et cancérigènes pour l’homme.

Selon les chiffres de l’OMS, plus de 4,2 millions de personnes meurent, chaque année, à cause du tabac. En 2030, ce chiffre atteindra environ 10 millions.

Lorsque la personne fume, le monoxyde de carbone pénètre dans le corps en raison de la combustion de la cigarette. Ce gaz toxique se fixe sur les globules rouges pour remplacer l’oxygène. Par conséquent, il diminue la capacité du sang à transporter l’oxygène. Cela incite le cœur à travailler davantage pour compenser le manque d’oxygène. La fréquence et la pression artérielle augmentent provoquant des maladies cardiovasculaires.

Par ailleurs, la capacité des vaisseaux sanguins à transporter les nutriments diminue. Or, c’est une tâche importante car les tissus du corps ont besoin de ces nutriments.

Mais cela ne veut pas dire que tout est perdu pour les fumeurs invétérés. Car lorsque la personne décide d’arrêter de fumer par conviction, le processus de guérison est entamé. D’une part, en évitant le tabac, la fréquence cardiaque essaie de reprendre son rythme normal. D’autre part, le taux de monoxyde de carbone présent dans le sang commence à diminuer jusqu’à disparaître.

Par ailleurs, l’inflammation des bronches commence également à diminuer grâce à l’oxygène qui commence à circuler normalement dans le corps. Ce dernier va essayer de « nettoyer » les poumons de façon naturelle, mais cela dépend du nombre d’années durant lesquelles la personne a fumé. Par exemple, une personne qui a arrêté de fumer pendant 10 à 15 ans réduit grandement les risques de cancer des poumons, contrairement à une autre qui s’est abstenue pendant 5 ans.




Alors, les cigarettes électroniques sont-elles bien plus efficaces que les cigarettes modernes ?

Certes, la cigarette électronique possède une faible teneur en produits toxiques. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’elle ne constitue pas de dangers pour la santé. Car sur le sujet, plusieurs spécialistes ont du mal à s’accorder.

En effet, la fumée est moins nocive que les cigarettes car ce sont les substances contenues dans la fumée qui provoquent les maladies dangereuses. Néanmoins, l’innocuité des substances contenues dans les cigarettes électroniques n’a pas encore été prouvée.



Par ailleurs, plusieurs fumeurs recourent à d’autres alternatives pour le sevrage du tabac, en utilisant des médicaments. Toutefois, ces derniers ne sont pas sans effets secondaires (insomnies, maux de tête, vertiges, …).

Si vous souhaitez vraiment en finir avec la cigarette, optez pour une alimentation saine et équilibrée. Pratiquez des activités telles que la méditation, la randonnée pédestre ou l’accompagnement en groupe.

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Quand le pouvoir de la pensée l’emporte sur les médicaments : L’autoguérison confirmée par des preuves scientifiques

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Et si notre esprit avait autant le pouvoir de nous rendre malade que celui de nous garder en bonne santé ? Et si nos sentiments et nos croyances avaient une incidence sur chacune de nos cellules ? Et si nous avions le pouvoir de guérir notre corps en changeant simplement la manière dont nous pensons et ressentons ? Après des années de travail dans un cadre médical traditionnel et de lutte permanente contre sa santé défaillante, le Dr Lissa Rankin a mis en lumière l’aptitude innée du corps à se guérir, et la manière dont nous pouvons utiliser le pouvoir de l’esprit pour activer cette capacité. Dans ce livre, vous découvrirez que nos pensées peuvent être des «médicaments» bien plus actifs et bénéfiques que ceux des laboratoires pharmaceutiques. Grâce à des méthodes d’autodiagnostic et un modèle de santé basé sur l’association de la science moderne et de la sagesse du coeur, vous apprendrez comment écouter votre corps en suivant votre intuition, diagnostiquer les causes profondes de votre maladie et rédiger vous-même votre propre «ordonnance».

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Maladie = « le mal qui a dit » ! Le lien entre nos émotions et maladies

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Maladie = « le mal qui a dit » ! Le lien entre nos émotions et maladies




Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage. C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel »  trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?

Dans son œuvre,  Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle), Vabghata  évoque six stades du développement d’une maladie :

 

Red tulips1. Psychique : le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur

2. Énergétique : le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).

3. Neuroendocrinien : le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;

4. Endotoxique : le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;

5. Visible symptomatique : l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;

6. Terminal : la destruction de l’organe malade.

Il n’est pas difficile de déduire auxquels des ces six stades la médecine occidentale intervient dans la plupart des cas. 

On voit ici que les symptômes qui apparaissent au niveau du corps sont les derniers cris du système pour se faire apercevoir. Et en réponse à ce crie le plus souvent on essaye de faire taire le corps au lieu de lui être gratifiant.

Dictionnaire des maladies 

Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies” qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.

   La panique peut provoquer des diarrhées.

 La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.

 La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.

 Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.

 Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.

 Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.




 Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.

 Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.

 Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.

 Quand on prends trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.

 Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.

L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.

  La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ! Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps avec un “décodage de notre dos”.

  Fiammetti corps mal a dit yoga&vedas

 

Quelques extraits du livre de Jacques Martel 

 Foie 

Le foie représente les choix,  la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.

Difficultés d’ajustement à une situation.

Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.

Colère refoulée.

Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

 Vésicule biliaire 

La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage. Se battre. Esprit de conquête.




Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.

Sentiment d’injustice. Colère, rancune.

Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.

Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.

Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

 Glande thyroïde 

Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.

Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.

Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.

Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.

Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

 Hernies 

De la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.

Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.

Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.

Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire : 

 Hernie inguinale (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.

 Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.

 Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.

 Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.

Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.

 Genoux 




Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.

Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.

Devoir s’incliner pour avoir la paix.

Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,

Entêtement, humiliation.

Culpabilité d’avoir raison.

Colère d’être trop influençable

Cet exercice peut vous protéger pendant une heure maximum il y en a d’autres comme le cocon doré qui est bien plus puissant comme protection je vous expliquerai tout ceci dans un autre article

 Peau

Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

 Eczéma

Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.

Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.

Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

 Acné 

Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.

Honte des transformations corporelles.

Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

 Psoriasis 

Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

Besoin de se sentir parfait pour être aimé.




Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.

Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

 Bras

Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.

Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.

Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.

Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.

Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à  leur montrer de l’affection.

S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souviens des  jugements négatifs et des interdictions durant  l’enfance, ce qui était blessant.

Ne pas se permettre de prendre ou je regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le ne mériter.

Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents.

Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple).

Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

 Epaules

La fonction première des épaules est de porter. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.

Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas.

On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.

Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.

Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.

On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.

Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.




Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.

Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.

On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).

Épaules rigides et bloquées sont signe d’un blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).

Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).




L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs.

On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.

On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.

Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

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Le grand dictionnaire de la santé LIVRE

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Amicalement. Frédérique Shine. Médium & Coach contact : frederiqueshine@gmail.com

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Les 10 Bienfaits Des Graines de Chia Que Personne Ne Connait

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Depuis des millénaires, les graines de chia constituent une des denrées principales de l’alimentation sud-américaine. Mais dans le monde occidental, ce n’est qu’au cours de ces dernières années que les graines de chia ont acquis leur notoriété. Alors, pourquoi considère-t-on ces petites graines comme un « super-aliment » ? Et, surtout, de quelle manière vont-elles améliorer votre santé ?




 
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1. Un Combat Contre le diabète Des recherches sont actuellement en cours pour étudier l’efficacité des graines de chia comme traitement contre le diabète de type 2 (car elles ont un effet de ralentissement sur l’appareil digestif). Par ailleurs, les graines de chia forment une couche gélatineuse au contact d’un liquide, ce qui empêche le taux de sucre dans votre sang de faire des montées brusques.
 
2. Une Meilleure Digestion Les graines de chia ont une teneur élevée en fibres, ce qui est on ne peut plus bénéfique pour la santé générale de votre appareil digestif. De plus, elles peuvent être un remède naturel contre la constipation. Elles aident à réduire l’inflammation, et maintiennent le cholestérol à un taux peu élevé. Sachez qu’il suffit d’une toute petite quantité de graines de chia, seulement 28 g, pour fournir 1/3 des apports journaliers recommandés en fibres d’un adulte.
 
3. Une Perte de poids Ces graines ont beau être minuscules, elles ont un pouvoir incroyable : celui de vous faire sentir rassasié plus longtemps. En d’autres termes, votre impression d’avoir bien mangé dure plus longtemps. Résultat, vous avez moins envie de grignoter entre les repas. Il y a 2 explications de ce bienfait. D’une part, les graines s’agglutinent au contact d’un liquide pour former une sorte de gelée. Cela a pour conséquence une augmentation en volume des graines dans votre système digestif (comme le riz, par exemple). D’autre part, les graines de chia contiennent l’acide aminé tryptophane. Cet acide aminé régule votre appétit (et améliore aussi votre humeur et vous prépare au sommeil).
 
4. Des Dents et des Os en Bonne Santé Les graines de chia ont une teneur élevée en calcium. Cela les rend incroyablement bénéfiques pour la santé et renforce la solidité des dents et des os. Une seule portion de graines de chia fournit 18 % des apports journaliers recommandés en calcium. Pour information, 1 portion de graines de chia correspond à 100 g.
 

5. Une Alternative aux œufs

Les graines de chia sont parfaites pour les végétaliens et les personnes allergiques aux œufs. Grâce aux propriétés gélatineuses au contact d’un liquide (évoquées plus haut), les graines de chia sont un remplacement idéal des œufs pour les recettes de pâtisserie. Pour préparer les graines de chia comme remplaçant d’œuf, il suffit de mélanger 1 cuillère à soupe de graines de chia avec 3 cuillères à soupe d’eau. Puis, de laisser reposer 15 min et le tour est joué !
 
6. Un Aliment sans gluten L’intolérance au gluten est un problème de plus en plus important dans nos sociétés. Fort heureusement, on trouve dans les graines de chia la texture et les bienfaits des céréales — mais sans aucune trace de gluten !
 
7. Un Aliment Riche en protéines Les graines de chia ont aussi une haute teneur en protéines, mais sans pour autant contenir de cholestérol. Les protéines doivent être une priorité dans votre alimentation. Elles aident le corps à former de nouvelles cellules et jouent un rôle structurel dans le fonctionnement du tissu. Il s’agit là de fonctions essentielles à notre survie. 1 portion de graines de chia contient approximativement 10 % de vos apports journaliers recommandés en protéines. C’est impressionnant, puisqu’en général, la plupart des aliments riches en protéines sont à base de viande.




 
8. Une Diminution du Risque de Maladies Les graines de chia ont une teneur élevée en antioxidants. Cela siginifie qu’elles peuvent combattre le cancer et les maladies cardio-vasculaires. ​Elles préservent aussi votre peau, lui donnant une apparence jeune et saine. Les personnes qui ont un apport élevé d’antioxidants sont 40 % moins susceptibles d’être atteintes d’un cancer pancréatique. De plus, elles réduisent le risque d’une crise cardiaque de 29 %.
 
9. Un Cœur en Bonne Santé Je sais qu’on vient de mentionner la diminution de risques de crise cardiaque, mais les graines de chia sont bénéfiques à la santé de votre cœur pour une autre raison. Ce super-aliment régule aussi votre pression artérielle — grâce à sa haute teneur en anti-oxidants. Par conséquent, les personnes ayant un apport élevé d’antioxidants sont 46 % moins susceptibles d’être sujettes à une haute tension artérielle.
 
10. Une Meilleure Santé du Cerveau
 
Les graines de chia contiennent aussi des doses intéressantes d’acides gras oméga-3. Sachez que l’acide gras oméga-3 doit faire partie de votre alimentation, car il aide au fonctionnement et au bien-être de votre cerveau. De plus, l’acide gras oméga-3 fonctionne également comme anti-inflammatoire et peut combattre la dépression, le diabète, l’obésité, et l’arthrose.

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Vous pouvez trouver des graines de chia sur ce lien

 

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Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance qui persistent à l’âge adulte

Les adultes que nous sommes aujourd’hui étaient autrefois des enfants. Nous avons tous notre histoire et cette histoire détermine la personne que nous sommes aujourd’hui. Certains événements marquants de notre enfance peuvent avoir une influence sur notre personnalité d’adulte.

Il est  important de connaitre l’origine de certains traits négatifs afin de pouvoir mieux les combattre ou les surmonter. Nous allons énumérer ci-dessous 5 blessures émotionnelles qui persistent à l’âge adulte.

1.  Le rejet : les personnes ayant subit un rejet dans leur enfance sont souvent des personnes repliées sur elles-mêmes se croyant indignes d’affection. Le rejet est une blessure profonde lorsqu’elle est vécue par un enfant, cependant ces adultes doivent réussir à affronter cette peur. Le jour ou ils pourront supporter l’idée de l’éloignement de certaines personnes dans leur vie, elles auront réussit.




2.   L’abandon : tel dans le cas du rejet , ces adultes vivent avec une constante peur d’être abandonnés ce qui fait qu’ils lâcheront prise sur tout ce qu’ils entreprendront pour éviter d’être eux-mêmes rejetés. Cela peut être un partenaire ou un projet en cours. Cependant ce moyen de défense ne permet pas à ces personnes d’être heureuses et il faudra qu’elles apprennent à ne pas avoir peur d’un éventuel rejet. Elles seront guéries le jour ou elles n’auront plus peur d’être seules.

3.   La trahison : ce sont souvent des personne qui quand elles étaient enfant ont fait l’expérience de beaucoup de promesses importantes non-tenues. Ces enfant se sentiront indignes de ce qui leur a été promis et seront des adultes égoïstes et manipulateurs. Ce sont des personnes qui veulent avoir le contrôle et n’ont pas confiance en les compétences des gens. Ces personnes doivent apprendre à léguer certaines responsabilités. Elles doivent travailler les axes de la tolérance, de la patience et du savoir-vivre en société.

4.  L’injustice : les personnes ayant subit des injustices dans leur enfance manquent souvent de confiance en eux face à des situations ou ils doivent prendre des décisions. Ayant subit les espérances souvent irréalisables de leurs parents froids et autoritaires ils deviennent souvent perfectionnistes et obsédés par l’ordre à l’âge adulte. Ils sont mentalement très rigides et ont constamment soif de pouvoir. Il faut que ces personnes travaillent sur leur rigidité, leur méfiance et apprennent à devenir plus flexibles.



5.  L’humiliation : des enfants ayant été humiliés par leurs parents perdent souvent leur estime  de soit face à des mots comme stupide ou bête. Ces personnes resteront dépendantes à l’âge adulte et pourraient même reproduire le schéma familial en humiliant à leurs tours plus faibles qu’eux. Il est important que ces personnes comprennent l’origine de leurs peurs et deviennent plus indépendants.

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Le pouvoir des pierres : les vertus du cristal de roche

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cristalderoche




Nom : cristal de roche

Famille : quartz

Système cristallin : rhomboédrique

Composition chimique : dioxyde de silicium

Couleur : incolore et transparent

Symbole : la lumière

Chakra : tous les chakras

Le cristal de roche est une pierre minérale composée de dioxyde de silicium. Il fait parti de la famille des quartz et forme de grands cristaux incolores. C’est une pierre maîtresse de la lithothérapie car il est à la fois récepteur, émetteur et amplificateur. Le mot « cristal » vient du grec krystallos qui signifie « glace ». Les romains utilisaient des boules de cristal de roche pour se refroidir les mains en été. Au moyen-âge, Sainte Hildegarde de Bingen soignait les maladies de la glande thyroïde et des yeux avec du cristal de roche. On faisait également des boules de cristal de roche pour prédire l’avenir. Sur les chemins de Compostelle, les pèlerins emportaient avec eux des cristaux de roche pour lutter contre la fatigue et garder l’énergie nécessaire lors de leur pèlerinage.  Aujourd’hui, le cristal de roche est très utilisé par les scientifiques qui mettent à profit ses multiples propriétés dans la fabrication d’appareils électroniques, d’instruments de précision, de lampes et de lentilles.

Il existe une légende amérindienne qui affirme que treize cranes de cristal de roche sont cachés à travers le monde. Ces cranes renfermeraient le savoir du monde. Le jour où ces cranes seront réunis, ce savoir sera révélé. Plusieurs de ces cranes ont été trouvés dans les ruines de civilisations aztèques au début du siècle dernier.




Les vertus du cristal de roche
AVERTISSEMENT : Les propriétés, indications et modes d’utilisation citées sont issues des ouvrages ou sites Internet de référence. Ces informations sont données à titre informatif. Elles ne sauraient en aucun cas constituer une information médicale, ni engager notre responsabilité.
Le cristal de roche est la pierre de l’union entre la matière et l’immatérielle. Il est le symbole de la lumière et renforce les vertus des autres pierres. Il peut être appliqué sur tous les chakras pour n’importe quel usage. Il est une excellente pierre de méditation car il est un puissant amplificateur qui active les chakras, fait circuler les énergies et ré harmonise nos corps subtils. Il aide à retrouver l’équilibre entre notre corps, notre être et notre esprit.

Placé sur le front, le cristal de roche peut soulager les migraines. Posé directement sur les yeux, il peut améliorer la vue et soulager les conjonctivites. Vous pouvez également laisser reposer le cristal de roche dans de l’eau de source durant toute une nuit et utiliser l’eau avec une compresse.

Porté quotidiennement, le cristal de roche apporte clarté d’esprit et nous débarrasse de toutes énergies négatives et de mal-être. Placé dans une pièce, il rehausse le taux vibratoire.

Voici une sélection avec les liens pour commander du Cristal de Roche

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Hypnose : de la magie à la médecine

Charlatanisme, manipulation mentale…, les préjugés sur l’hypnose ont la dent dure. Pourtant, les preuves sont là : l’hypnose soigne et débarrasse des addictions. Résultat, la technique est aujourd’hui utilisée en routine dans les centres antidouleur et permet chaque année à des centaines de fumeurs d’arrêter. La science commence à lever le voile sur cet étrange pouvoir.

Scène d'hypnose au XIXe siècle
Gravure d’une scène d’hypnose au XIXe siècle.
© Costa / Leemage




Commençons par une révélation : vous avez déjà sombré dans l’état d’hypnose ! Et vous vous y adonnez même plusieurs fois par jour ! En effet, la lecture d’un livre, le visionnage d’un film ou le rappel de souvenirs suffisent à expérimenter une légère transe hypnotique. L’électroencéphalogramme de sujets hypnotisés confirme cette idée : l’entrée dans l’hypnose s’accompagne d’un ralentissement des ondes cérébrales, un phénomène également observé lors de l’endormissement.

Si l’état hypnotique se situe à mi-chemin entre la veille et le sommeil, cette description n’a plus guère de rapport avec l’hypnose de ses débuts, au XVIIIe siècle, à l’époque où elle s’appelait « magnétisme animal ». C’est ainsi que Franz Anton Mesmer, médecin allemand exilé à Paris, avait baptisé l’étrange phénomène qui lui permettait de soigner de façon quasi miraculeuse. Pensez donc, il suffisait de réunir les malades autour d’une cuve d’eau où trempaient du verre pilé et de la limaille de fer, d’agrémenter le tout de quelques détails d’ambiance destinés à impressionner, pour que certains des patients soient pris subitement de convulsions et, au terme de leur crise, guérissent véritablement !

Magie ? Non, Mesmer venait de découvrir que l’état modifié de conscience, du type hypnotique, possède un pouvoir thérapeutique. L’hypnose médicale était née. Elle ne demandait, pour se développer, que de s’abstraire de tout décorum superflu. Ce qui fut fait au XIXe siècle. Mais c’est surtout au XXe siècle que l’hypnose explosa, particulièrement sous l’impulsion d’un psychiatre américain, Milton Érickson. Érickson, notamment, élabora des techniques indirectes pour induire l’état hypnotique chez ses patients, à l’opposé des méthodes traditionnelles, très dirigistes.

Aujourd’hui, le paysage des praticiens de l’hypnose est large. Les hypnotiseurs de music-hall ont récupéré les techniques des descendants de Mesmer pour monter des spectacles de Las Vegas à Pigalle. Bien qu’ils possèdent quelques « trucs » dans leurs manches (l’hypnotiseur Dominique Webb, très présent à la télévision dans les années quatre-vingts, avait des complices dans la salle qui faisaient mine d’être hypnotisés instantanément ; impressionnés par la prouesse, les vrais spectateurs n’en étaient que mieux hypnotisables), il n’en reste pas moins de véritables hypnotiseurs au sens où ils sont capables de plonger un sujet en transe hypnotique très rapidement.

Les hypnothérapeutes, eux, emploient l’hypnose comme outil pour soigner et réduire la souffrance. Leur nombre progresse énormément en ce moment. Le premier diplôme universitaire d’hypnose médicale a été créé à Paris il y a six ans. Y sont formés aux techniques d’hypnose des médecins, des psychologues, des sages-femmes ou encore des chirurgiens dentistes. De quinze inscrits à ses débuts, il est passé à soixante-dix aujourd’hui et refuse des candidats. Pour répondre à la demande, une autre formation supérieure a vu le jour en octobre 2007 à l’université de médecine de Bordeaux.

Quels sont les succès de l’hypnose ? Que dit la science de son pouvoir thérapeutique (chapitre 2) ? Quelles sont les limites de cette méthode de guérison (chapitre 3) ? L’hypnose médicale se rapproche-t-elle de certaines médecines traditionnelles (chapitre 4) ? Jean-Marc Benhaiem, créateur du diplôme universitaire de Paris, a accepté de nous faire découvrir le monde de la transe et de la suggestion hypnotiques. Prêts ? Vos paupières sont lourdes, lourdes…

01.Les succès de l’hypnose médicale

L'hypnose et les troubles psychosomatiques

L’hypnose peut permettre de soigner les troubles psychosomatiques et alimentaires, le stress, les addictions, les phobies…
© X.Muller & D.Coutin / CG91
Paris, hôpital Trousseau. L’enfant est allongé sur la table d’opération. Un petit rideau est tendu sous son menton pour éviter que son regard croise la plaie qu’il aura dans quelques instants au cou. Le jeune malade souffre de ganglions suspects qu’il faut retirer. À ses côtés, l’anesthésiste lui susurre des mots afin de l’emmener dans une légère transe hypnotique qui, en complément d’un anesthésiant local, réduira la douleur et le stress entourant le geste chirurgical. Une anesthésie générale aurait rempli le même rôle, sauf que la cage thoracique, contractée dans ce genre de pathologie, pourrait bien se relâcher soudainement et étouffer l’enfant.

Plus tard, Patrick Richard, l’anesthésiste qui a accompagné l’enfant, se montrera enthousiaste : « L’introduction de l’hypnose a été un bouleversement dans le traitement de ces enfants ! » Il est vrai, l’hypnose a de nombreux avantages. Outre qu’elle supprime d’éventuelles complications liées à l’anesthésie générale, elle permet de garder éveillé le patient et donc de surveiller lors de l’opération sa conscience et sa motricité. Utile pour les opérations qui comportent des risques d’infarctus du cerveau, comme en chirurgie des artères : les médecins voient immédiatement si le patient fait un accident cérébral.

Mais est-on sûr des propriétés analgésiques de l’hypnose ? De fait, de nombreuses publications scientifiques ont démontré les capacités de l’hypnose à atténuer la souffrance. Telle celle parue en 2000 dans la prestigieuse revue Lancet, sous la plume du docteur Elvira Lang du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston (États-Unis) et des collaborateurs d’autres universités américaines. Les auteurs avaient mis à l’épreuve l’effet de l’hypnose en observant, à l’occasion de 241 opérations qu’ils ont pratiquées, la quantité d’analgésique demandée par les patients pour supporter la douleur. Certains des patients avaient été hypnotisés avant l’opération et tous s’autoalimentaient en analgésique en actionnant une pompe manuelle. À l’issue des opérations, le groupe de patients mis sous état hypnotique avait consommé moitié moins de liquide anesthésiant que le groupe témoin qui avait subi une opération classique. CQFD

Outre les douleurs ponctuelles liées à une intervention, l’hypnose peut également servir à réduire les douleurs chroniques. En 1991, une équipe du département de l’hôpital Antonius Ziekenhuis à Nieuwegein des Pays-Bas a démontré l’effet antidouleur sur des malades atteints de fibromyalgie, une pathologie qui, en France, touche environ 2 % de la population et se traduit notamment par des douleurs musculaires. De son côté, en France, la Haute autorité de santé recommande, depuis février 2003, l’utilisation des méthodes de relaxation et d’hypnose comme traitement de fond de la migraine de l’enfant.




Si, à l’hôpital, c’est pour ses qualités analgésiques qu’on emploie l’hypnose, dans les cabinets privés d’hypnothérapeutes, on soigne plutôt les troubles psychosomatiques. La liste d’applications est large : traitement des troubles alimentaires (l’hypnose peut aider un boulimique à réduire son envie obsessionnelle de produits gras et/ou sucrés), du stress, de la dépression, des phobies, des TOC (troubles obsessionnels compulsifs), des insomnies, de la sexualité (par exemple en cas de perte du désir ou d’éjaculation précoce), des addictions de toutes sortes aux calmants, somnifères, tabac, alcool. Pourquoi ces traitements sont-ils exclus de l’hôpital ? Il n’existe pas de réponse scientifiquement argumentée à cette question. Mais sans doute les études scientifiques ne sont-elles pas encore assez nombreuses pour convaincre les patrons des services hospitaliers du bien-fondé de l’hypnose. Tandis que les barrières mentales et culturelles seraient moins fortes dans le privé à l’expérimentation de l’hypnose.

Comment se déroule une séance d’hypnothérapie ? D’abord, le thérapeute induit chez le patient un léger état hypnotique en lui demandant de fixer un objet, d’être à l’écoute de ses sensations corporelles, ou en le confusionnant (un terme courant dans le jargon des hypnotiseurs) par une question du type : « Pouvez-vous vous réduire à votre corps ? »… Puis il tente de modifier la perception qu’a le sujet de son trouble. Les hypnothérapeutes les plus dirigistes fonctionnent par suggestions : à une personne fumeuse, ils suggèreront que la cigarette provoque la nausée ; l’impression de nausée réapparaîtra en dehors des séances, chaque fois que le patient aura une cigarette au bec, et finira par le dégoûter de son addiction.

A contrario, d’autres hypnothérapeutes amènent leurs patients à s’interroger sur leurs sensations et à « faire le ménage » parmi elles : « Certes la cigarette vous évoque du plaisir, mais votre corps, lui, en ressent-il ? » Éventuellement, ils amènent les sujets à revivre mentalement des moments de leur vie où leur addiction, leur trouble, sont absents. Ils espèrent ainsi renforcer les perceptions positives ressenties alors, au détriment de celles qui s’expriment avec le malaise. Dans tous les cas, le patient reste conscient durant la séance. La guérison ou l’arrêt du trouble sont censés intervenir rapidement, après deux à cinq séances.

02.L’hypnose sous le regard de la science : tout sauf de la magie

Imagerie médicale du cerveau sous hypnose

Cerveaux de patients sous hypnose. En haut à gauche : si on suggère au patient une augmentation de la douleur, la zone de localisation de la douleur s’élargit ; dans le cas contraire, à droite, elle diminue. En bas à gauche : si on suggère au patient d’attacher plus d’importance à sa douleur, la zone de localisation de la douleur augmente ; dans le cas contraire (ne pas y accorder d’importance), à droite, la zone diminue.
© P. Rainville & D.D. Price (authors) / The Neurophenomenology of Hypnosis and Hypnotic Analgesia / Psychological methods of Pain Control: Basic Science and Clinical Perspectives IASP Press 2004
Comment l’hypnose soulage-t-elle ou guérit-elle ? Des études ont montré que par un simple travail mental, comme le propose l’hypnose, on peut moduler le fonctionnement de son système nerveux. Ainsi, les sportifs répètent-ils mentalement, avant une épreuve, les gestes qu’ils accompliront. Par cette méthode, ils gagnent en précision, voire en force : Guang Yue du département d’ingénierie biomédicale de l’Institut de recherche Lerner, à Cleveland, aux États-Unis, a ainsi démontré que s’imaginer régulièrement soulever des poids avec le petit doigt procurait au bout de trois mois un gain de 35 % dans la force de traction !

Les techniques modernes de neuroimagerie ont fourni l’explication à ce pouvoir de la pensée sur le corps : répéter mentalement et pratiquer une activité activent les mêmes zones du cerveau, autrement dit « s’imaginer, c’est faire ». Des résultats similaires ont été obtenus pour la gestion de la douleur par hypnose : Pierre Rainville, de la faculté de médecine dentaire de Montréal, a montré que sous état hypnotique, si on suggère au patient que sa souffrance diminue alors l’activité de la zone du cerveau impliquée dans la sensation de la douleur (appelée cortex cingulaire antérieur) diminue. Là aussi, s’imaginer souffrir moins, c’est déjà souffrir moins.

Paradoxalement, aussi convaincantes soient-elles, ces découvertes semblent donner raison aux sceptiques de l’hypnose. Ceux-là remettent en cause la pierre angulaire même de la guérison hypnotique : le pouvoir de la suggestion. Pour eux, la suggestion n’existe tout simplement pas : le sujet hypnotisé réagit en réalité parfaitement consciemment aux suggestions de l’hypnotiseur (du genre « Vous allez moins sentir la douleur » ou « Vous dormirez mieux ce soir »), mais son envie fervente de croire en l’hypnose l’empêche de reconnaître qu’il s’agit d’un acte délibéré. Une façon de réduire l’hypnose médicale à un super effet placebo (par ailleurs réellement efficace): le patient guérit tout bonnement parce qu’il est convaincu de guérir. Après tout, la science a bien montré la puissance de l’imagination sur le corps, non ?

En 2005, par une expérience spectaculaire, Amir Raz, professeur assistant de neuroscience clinique à l’université de Columbia, a réfuté cette théorie. Amir Raz est un personnage singulier, ancien magicien devenu chercheur pour étudier les phénomènes hypnotiques. Il a reproduit sous hypnose une expérience classique en psychologie expérimentale : on demande aux sujets de quelle couleur sont écrits des mots, l’astuce étant que les mots eux-mêmes désignent des couleurs. Par exemple, la réponse pour VERT est rouge. Le résultat habituel de ce type d’expérience est que les personnes répondent correctement, mais seulement après une fraction de seconde de réflexion. C’est l’ »effet Stroop » : le réflexe de lire est si ancré que nous devons nous violenter pour ne pas répondre « vert » mais « rouge ».

Dans le protocole d’Amir Raz, les sujets étaient au préalable hypnotisés et il leur était suggéré que les mots qu’ils allaient lire n’étaient que des symboles sans signification. Conclusion : les sujets ont répondu instantanément ! La suggestion avait annulé l’effet Stroop ! Soit un comportement normalement impossible à outrepasser. L’expérience de Amir Raz a montré que la suggestion hypnotique ouvre véritablement une porte vers l’inconscient. Ce serait cette porte qu’emprunte l’hypnothérapeute pour soigner. Même si cela reste à démontrer.

La suggestion ne serait pas la seule clé du succès de l’hypnose médicale. Cette réussite thérapeutique tiendrait également dans sa façon « plus humaine », que dans la médecine scientifique, de prendre en charge les patients. « L’amour, le plaisir, les émotions… ne sont pas considérés par la médecine scientifique, note Jean-Marc Benhaïem, alors qu’il est prouvé qu’ils modulent la souffrance et, de façon plus générale, notre expérience de la maladie. » Par conséquent, il arrive qu’une séance d’hypnothérapie prenne des airs de psychothérapie, avec recherche de tout ce qui pourrait influencer de près ou de loin le mal du patient. Nous aider à démêler, grâce à la force de la suggestion, l’écheveau de nos émotions et de nos troubles physiques : voilà peut-être une des explications à la réussite de l’hypnose médicale.

03.Les limites de l’hypnose et les peurs qu’elle suscite

Hypnose et sevrage du tabac

L’hypnose peut, notamment, être employée auprès des personnes qui souhaitent arrêter de fumer. Le taux de réussite est variable selon les patients.
© SXC
L’hypnose peut-elle guérir tout le monde ? Autrement dit : existe-t-il des personnes plus réceptives à l’hypnose que d’autres ? Étrangement, il semblerait que la réponse soit oui aux deux questions. « Environ 20 % des gens sont peu hypnotisables, rappelle Jean-Marc Benhaïem, c’est-à-dire qu’ils offrent une résistance à entrer en transe hypnotique. Mais des études cliniques ont montré que même ces personnes réagissent aux suggestions. » La suggestibilité ne serait donc pas un critère d’efficacité thérapeutique. Avis à ceux qui partent difficilement dans l’imaginaire, les portes de l’hypnose leur sont tout de même ouvertes.

L’hypnose guérit-elle à tous les coups ? Clairement non. Si les réussites spectaculaires, par exemple sevrage du tabac ou de l’alcool en une seule séance existent, elles ne doivent pas cacher le taux d’échec important. Difficile d’avoir des statistiques en la matière. En ce qui concerne le tabac, selon l’expérience de Jean-Marc Benhaïem, un tiers des patients parviendraient à arrêter la cigarette après un traitement d’une à trois séances (un taux de réussite constaté six mois après l’arrêt du traitement). « Au-delà, on ne s’acharne pas, confie le docteur. Cela signifie que le patient n’est pas prêt : il continue à idéaliser le tabac, il a peur du changement…, il y a mille raisons. »

Si le médecin ne dispose pas de taux de réussite pour les autres troubles qu’il soigne, une chose est sûre : certaines maladies prêtent plus le flanc aux entraves psychologiques que d’autres. La palme reviendrait aux pathologies chroniques, telles les douleurs chroniques, comme les rhumatismes, particulièrement rétives à l’approche hypnotique : malgré eux, les malades se sont « habitués » à ces pathologies et il est d’autant plus difficile de leur montrer la maladie sous un nouvel angle. Au final, si « toute personne peut bénéficier de l’hypnose, résume Jean-Marc Benhaïem, rien ne garantit que le changement va être radical, car les raisons de ne pas changer sont aussi fortes et nombreuses que les raisons de changer. »

Une complexité qui se manifeste parfois par la substitution de symptômes : une personne ayant arrêté le tabac grâce à l’hypnose peut se transformer subitement en boulimique, remplaçant son addiction de la cigarette par celle de la nourriture. Selon le docteur Benhaïem, ces cas de figure, rares, révèlent plus une erreur médicale qu’un défaut intrinsèque de la méthode hypnotique. Dans l’exemple donné, l’hypnothérapeute n’a pas su découvrir que son patient fumait pour pallier un stress, stress qu’il s’est empressé de compenser, à défaut de tabac, par l’alimentation. Le thérapeute doit alors rectifier le tir en travaillant avec le patient simultanément comportement alimentaire et tabagisme. À l’inverse d’un psychothérapeute qui sans doute aurait choisi de remonter tout de suite aux racines du problème (le stress), l’hypnotiseur lui, travaille d’abord à dissocier la cause (le stress) des symptômes (tabagisme, boulimie), quitte ensuite, si vraiment le mal persiste, à envisager une autre stratégie.

Malgré la démonstration de son potentiel thérapeutique, l’hypnose continue d’alimenter des peurs. Des peurs déraisonnées selon les thérapeutes. En tête, le risque de manipulation mentale : sous état hypnotique, le patient verrait sa volonté diminuer et ne serait plus qu’une marionnette aux mains du thérapeute qui pourrait tout autant lui demander de sauter dans le vide ou de commettre un crime. « Il y a bien une certaine baisse de la volonté durant l’hypnose, confirme Jean-Marc Benhaïem, mais c’est au profit de sensations plus larges. Donc le patient est au contraire plus vigilant vers ce qui est un danger. » Pas de risque donc de se voir transformer en criminel….

Autre angoisse : celle de ne pas se réveiller de la transe hypnotique. En vérité, l’imaginaire populaire exagère la profondeur de la transe où se trouve un patient en thérapie. Il est rare que le patient s’endorme au cours d’une séance. Cependant en fin de séance, « il faut effectivement veiller à ce que les patients soient tout à fait sortis de l’état hypnotique ; une petite marche suffit pour cela », note le docteur.

04.L’hypnothérapie dans d’autres civilisations

Rituel chamanique - Sibérie

Sibérie : rituel de soin chamanique pour des enfants malades du village. Pendant la cérémonie, une place importante est accordée au groupe, aux liens les autres, les animaux, les pierres, l’univers, les esprits. Car, dans le chamanisme, tout dans la nature est animé, divinisé mais aussi lié, interconnecté.
© Film Médecine d’ici, médecine d’ailleurs / I. Célestin-Lhopiteau & R. Hamon / 2007
L’hypnose médicale, née européenne avant d’atteindre l’Amérique du Nord, n’est pas propre à la civilisation occidentale. Elle apparaît, sous d’autres formes dans des populations du monde entier qui recourent à des transes de guérison : les Gwana du Maroc, les Indiens Navarro, les peuples du golfe du Bénin qui pratiquent le vaudou, les adeptes du candomblé au Brésil… Chez ces peuples, lorsqu’un membre de la communauté est malade, le chaman, qui tient le double rôle de prêtre et de guérisseur, organise une cérémonie dont les points d’orgue sont le sacrifice d’un animal et le plus souvent une danse. Cette danse, souvent rythmée par des tambours, est censée plonger le sujet en transe.

Tout comme en hypnose, « l’idée de la transe est de saturer la conscience du sujet afin de l’amener à ouvrir ses perceptions, décrit Isabelle Célestin-Lhôpiteau, une hypnothérapeute de l’hôpital Trousseau qui se rend régulièrement chez ces populations pour étudier le potentiel thérapeutique de leurs pratiques. L’hypnose réalise cela par la parole. Les médecines traditionnelles, par la danse et la musique. »

Si la transe équivaut à un état hypnotique, les populations à culture chamanique ne l’interprètent évidemment pas ainsi : pour eux, la transe est avant tout une porte vers le monde des esprits. Par la cérémonie de guérison et la transe, elles espèrent pouvoir communiquer avec les divinités de la nature et ainsi retisser le lien rompu entre le malade, la nature, et le monde des esprits, rupture qui est la source du mal.

Isabelle Célestin-Lhopiteau l’a constaté plus d’une fois : aussi éloignées soient-elles de la médecine scientifique, ces médecines traditionnelles guérissent. Pour l’essentiel, comme l’hypnose thérapeutique, des pathologies chroniques : migraines, douleur de dos, maladies de la peau, crises drépanocytaires en Afrique (la drépanocytose est une maladie des globules rouges qui provoque des crises abdominales très douloureuses), asthmes…

Un détail paraît pourtant séparer l’hypnose de ces médecines : si chez les Gwana, c’est bien le malade qui se livre à la danse purificatrice, dans d’autres populations, comme celles vivant sur les rives du lac Baïkal, en Sibérie, c’est le chaman qui entre en transe et est le vecteur de la guérison, le malade se contentant d’assister à la cérémonie. Sort-on alors du cadre de la thérapie hypnotique ? Non, selon Isabelle Célestin-Lhopiteau : pour comprendre comment le malade guérit alors, « il faut passer par la représentation du monde de ces cultures, où si l’on touche un individu, une maille de la société, cela a des répercussions sur les autres. »

Dans leur ouvrage Du cœur à la raison, paru en 1989, la philosophe Isabelle Stengers et le psychiatre Léon Chertok soulignaient également le rôle de cette réciprocité dans l’approche hypnotique occidentale : « L’hypnose se produit à deux : celui qui se définit comme expérimentateur (l’hypnotiseur) est aussi, d’une manière qu’il ne contrôle pas, partie prenante dans ce qu’il suscite. » Les auteurs expliquaient que l’hypnose, comme l’état de veille, met en jeu un flux continu de processus distincts, conscients et inconscients, et dès lors fait participer à la fois le malade et le thérapeute.
C’est sans doute ce manque de contrôle de l’expérimentateur sur son action qui alimente la peur de l’hypnose.

Ce serait également par le jeu de ces forces mystérieuses que le chaman, en transe, parviendrait à guérir le malade, simple spectateur. Freud, qui a forgé la psychanalyse après avoir pratiqué l’hypnose sur ses patients (et l’a délaissée parce qu’elle était trop imprévisible), parlait de « l’énigme hypnose ». Presque un siècle après, on peut reprendre son mot.

Source:http://www.savoirs.essonne.fr

LIVRES SUR L’HYPNOSE, EXPLICATION ET PRATIQUE

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés




Il faut parfois prendre une pause et regarder autour de soi pour constater à quel point la nature est apaisante. Même s’il est moins évident de le faire lorsqu’on réside en milieu urbain, il est essentiel de passer du temps à l’extérieur de la ville. Voici quelques points qui devraient vous convaincre de profiter du beau temps et de vous évader de la métropole.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

1. La nature réduit le stress et aide à trouver un sens à son existence

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés




Il y a une poignée d’études qui démontrent que passer du temps dans la nature a des effets positifs sur le moral. Dans une étude réalisée à l’Université de Chiba au Japon, les scientifiques ont démontré que les gens qui étaient plus en symbiose avec la nature étaient plus heureux. Durant la durée du projet, des groupes étaient divisés en deux. La moitié devait passer du temps en forêt, alors que l’autre séjournait en milieu urbain. Le lendemain, les groupes étaient interchangés. Les scientifiques ont remarqué que lorsque les 280 participants étaient en forêt, leur pouls, leur pression artérielle et leur taux de cortisol était plus bas.
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Mia, 17 ans, n’a aucun souvenir de l’accident. Entre la vie et la mort, elle doit choisir entre rester sur Terre, ou lâcher prise

2. Marcher en forêt stimule le système immunitaire

Ce n’est pas seulement le cerveau qui est stimulé par le grand air, mais aussi le corps. La marche en forêt renforce les muscles et augmente la résistance du système immunitaire. Selon une étude réalisée à l’École de médecine de Nippon à Tokyo, lorsque l’homme inhale les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les plantes, les effets sur le corps humain sont bénéfiques au système immunitaire.

3. L’activité en nature brûle des calories

Une simple marche en forêt de 60 minutes peut brûler jusqu’à 500 calories. C’est aussi moins exigent pour le corps et les articulations de passer du temps dans la nature que de pratiquer le jogging, par exemple. La marche en forêt réduit la pression artérielle et aide à prévenir les maladies du cœur. Évidemment, les calories brûlées peuvent aussi contribuer à la perte de poids.

4. Le cerveau est stimulé après une marche en forêt

Les paysages à couper le souffle, les bruits environnants, le terrain parfois aride: tous ces éléments contribuent à stimuler le cerveau et la créativité. Des chercheurs de l’Université du Kansas et de celle de l’Utah affirment que passer du temps dans la nature, loin des technologies, contribue grandement à développer l’intuition.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés




Pour tirer ces conclusions, les scientifiques ont envoyé 56 participants en excursion de quatre ou six jours dans les forêts de l’Alaska, du Colorado, du Maine et de Washington. Durant cette période de temps, les cobayes n’avaient pas le droit d’utiliser de machines électroniques. À la fin de leur séjour en nature, leur niveau de créativité avait augmenté de 50%, de même que leurs aptitudes à résoudre des problèmes. Évidemment, les études ont démontré que la combinaison entre la nature et l’éloignement de la technologie avait un impact direct sur l’homme.

D’ailleurs, selon l’environnementalisme John Muir, retourner dans les bois est en quelque sorte comme retourner de l’endroit d’où l’on vient.

Source:http://www.journaldemontreal.com

En plus d’aller dans la nature la méditation est très bénéfique

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