atasha n’en démord pas: c’est bien le visage d’un homme qui apparaît derrière son épaule droite. (photo: Twitter)
Persuadée qu’un fantôme s’est incrusté sur un de ses autoportraits, une Britannique a quitté son appartement en catastrophe et refuse d’y remettre les pieds.
Crise de paranoïa ou réel phénomène paranormal? Quoiqu’il en soit, Natasha Boden, 26 ans, a quitté en catastrophe son appartement de Blackpool et refuse catégoriquement d’y mettre les pieds. La semaine dernière, la jeune femme a voulu immortaliser sa nouvelle couleur de cheveux en se prenant en photo. Mais en regardant le résultat, elle a été envahie par la panique: «J’ai réalisé que le visage d’un homme se cachait derrière mon épaule droite», affirme Natasha. Pour elle, pas de doute: un fantôme venait de s’incruster sur son selfie. «J’étais terrifiée. J’étais seule dans l’appartement et je savais que je devais fuir immédiatement», raconte la trentenaire, qui s’est réfugiée dans une chambre d’hôtel.
La mère de famille raconte que six semaines auparavant, les employés d’une entreprise de pompes funèbres avaient débarqué chez elle en expliquant qu’ils étaient là pour récupérer un corps. Les individus s’étaient vite rendu compte qu’ils s’étaient trompés d’étage, mais cet épisode avait glacé le sang de Natasha. Depuis, elle s’était mise en tête que son immeuble était hanté. Et l’histoire du selfie n’a fait que la conforter dans son idée. «L’un de mes voisins venait de mourir. Je ne sais pas s’il a un rapport avec le visage que j’ai vu sur la photo. Mais je ne prendrai plus jamais un selfie en étant seule», assure la trentenaire.
Installée depuis six mois avec son compagnon Mark et sa fille Dolly, 2 ans, Natasha va devoir se chercher un nouveau logement. «Mon petit ami est en train de vider l’appartement. Je ne peux pas y retourner. Je suis absolument pétrifiée», confie la Britannique, qui a d’ores et déjà résilié son bail. Natasha affirme qu’avant cette mésaventure, elle n’avait jamais cru aux fantômes. «Quand j’ai emménagé, j’ai remarqué que le plancher grinçait quand il n’y avait personne, mais j’ai pensé que c’était dû à la vieillesse du bâtiment. Maintenant, je vois les choses différemment», frissonne-t-elle.
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