NOUS POUVONS TOUS NOUS SORTIR D’UN PASSÉ DOULOUREUX

développement personnel

Combien de fois restons-nous accrochés à un événement difficile et marquant de notre passé que nous revivons en boucle dans notre esprit, en souffrant encore rien qu’à y penser ?

Malgré la gravité ou l’intensité de tout événement, nous continuons de nous faire souffrir des années plus tard en y restant accrochés.

Pour illustrer mon propos, j’aime bien cette histoire de moines :

« Un vieux moine et un jeune moine se promenaient dans la forêt, discutant de la vie. Lorsqu’ils arrivèrent à une rivière, ils virent une jeune femme qui voulait la traverser mais qui n’y arrivait pas. Alors le vieux moine la prit sur son dos et traversa la rivière en la portant, sous les yeux horrifiés du jeune moine. Rendus sur l’autre rive, la jeune femme remercia le vieux moine et continua sa route, tout comme nos deux moines qui reprirent le chemin du monastère. Le jeune moine fulminait mais ne disait pas un mot. Après des heures de marche, il parla enfin, incapable de se contenir plus longtemps : « Maître, comment avez-vous osé transporter une femme sur votre dos? Nous n’avons pas le droit de toucher au corps d’une femme, il nous est interdit de le faire et vous le savez bien! » Le vieux moine, après quelques secondes de silence, lui répliqua : « Tu es bien malheureux, mon fils. Moi j’ai déposé la jeune dame sur l’autre rive il y a déjà plusieurs heures; toi tu la portes encore ! »

Lorsque nous restons coincés face à un événement du passé, aussi traumatisant soit-il, nous nous empêchons de vivre le présent, nous le teintons de notre peur, de notre colère, de notre rancœur, de notre souffrance… Nous nous empêchons de vivre notre vie et de poursuivre notre évolution parce que nous sommes encore dans le passé.

Il est temps alors d’aller chercher de l’aide pour amorcer le processus de guérison d’un tel événement et de reprendre les rênes de notre vie. Il est temps d’accepter de laisser aller cet ancrage négatif, ce traumatisme, pour nous donner la possibilité d’être heureux à partir de maintenant.

Tant que nous restons soudés à notre souffrance, il nous est difficile, voire impossible, de nous en libérer. Il faut faire le deuil de notre douleur pour pouvoir nous redonner le droit à la paix intérieure, au bonheur, à la libération. Il est possible que nous n’y arrivions pas seuls, mais l’aide existe.

Nous avons tous le droit au bonheur, mais si nous avons vécu des traumatismes, des événements douloureux, nous avons oublié comment faire, nous avons oublié que c’était encore possible.

Aimons-nous assez pour nous donner le droit et la possibilité de guérir de nos souffrances. Personne ne nous demande de continuer à avoir mal.

NOUS POUVONS TOUS NOUS SORTIR D’UN PASSÉ DOULOUREUX !

Nous libérer de ce boulet que nous traînons depuis des années pourrait bien être la plus grande preuve d’amour envers nous-mêmes que nous puissions nous donner.

par Diane Gagnon

Source : http://lasolutionestenvous.com/ trouvé sur https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com

Faire ce que l’on est

Incarner sa mission d’âme c’est faire ce que l’on est. Le faire est au service de l’être. L’action est au service de l’âme. Lorsque nous incarnons ce que souhaite notre âme, c’est comme si nous exprimions à travers notre être l’aspect le plus élevé de nous-même.

Lorsque nous sommes désalignés de notre mission d’âme, nous nous sentons contraints, enfermés et lourds. Nous avons l’obligation de faire pour faire, pour survivre, pour faire bien, pour correspondre à ce que l’on attend de nous etc…

Personnellement, j’avais l’impression de vivre comme un robot. Un jour en allant au travail, j’ai clairement eu cette sensation de vivre comme un esclave des temps modernes. J’étais le nez dans le guidon car la vie avait pris le dessus sur mon propre rythme. Je ne voyais plus le sens de ce que je faisais et je ne me sentais plus en accord avec moi.

Lorsque nous incarnons notre mission d’âme, nous passons du faire à l’être. On ne fonctionne plus du tout de la même façon. En étant au service de notre âme, nous ressentons à nouveau la joie, la lumière et la connexion avec le Tout. On sait pourquoi on agit et on se sent à notre place. Nous n’avons plus à nous battre. Car personne d’autre que nous ne peut mieux occuper notre poste. Personne ne peut prendre notre place car elle n’attend que nous.

Chacun est unique et offre sa propre singularité. Chacun a sa goutte d’eau à apporter à l’océan du monde. Et aucune goutte d’eau n’est semblable. En incarnant notre singularité, nous exprimons à travers notre filtre humain le plan divin qui est prévu pour nous. (Lire l’article » S’aligner sur le masculin sacré pour agir avec Dieu »)

Rendre manifeste ce qui était latent

Incarner sa mission d’âme, c’est redevenir conscient de qui l’on est vraiment. C’est rendre manifeste ce qui était latent. C’est comme si pendant longtemps nous avions fonctionné uniquement avec la partie émergée de l’iceberg et que peu à peu nous prenions conscience de tout ce que nous transportons dans la partie immergée. Tout ce qui était invisible devient visible, tout ce que nous n’assumions pas est accueilli enfin, tout ce qui était flou s’éclaire. Nous redevenons conscient de nos qualités et de nos dons. Nous nous regardons avec un regard neuf, humble, authentique et clair.

Nous reprenons la responsabilité de notre vie

En incarnant sa mission d’âme, nous nous prenons en main et nous cessons de tenir l’autre pour responsable de ce qui ne fonctionne pas dans notre vie. On cesse d’accuser la société, la famille, les parents, le thérapeute, les professeurs, etc…Et on se dit « D’accord maintenant je sais que je suis responsable et que cela ne sert à rien d’accuser l’autre car cela me fait perdre mon temps et mon énergie. C’est une impasse qui me fait tourner en rond. » Etre responsable ne veut pas dire être coupable. Alors on cesse d’être une victime car on sait qu’il existe un plan divin pour chacun et qu’il suffit que nous l’écoutions et que nous l’acceptions. Nous reprenons alors la responsabilité de notre existence.

Redevenir un

En incarnant sa mission d’âme nous nous rassemblons. C’est comme si toutes les pièces du puzzle avaient été dispersées et qu’elles s’emboîtaient merveilleusement bien désormais. Il y a une sorte de réunification et de réconciliation avec nous-même. Un nouvel équilibre prend place entre notre corps, notre âme et notre esprit. Nous redevenons l’être entier que nous sommes véritablement. La réunion de nos aspects terrestre et divin, masculin et féminin, écoute et action… nous permettent de retrouver notre complétude. Après nous être éparpillés nous retrouvons notre centre. Après avoir été le jouet de l’extérieur, nous reprenons notre véritable pouvoir.

Nous savons désormais que nous sommes exactement ce que nous cherchons. Et cette découverte inestimable, nous l’offrons au monde…

Merci d’avoir lu l’article jusqu’au bout. C’est toujours avec un grand plaisir que j’accueille et que je lis vos commentaires.

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