L’ hyperempathie une qualité extraordinaire

L’ hyperempathie a longtemps été considérée comme un défaut. Grâce à des recherches aujourd’hui les hyperempathes sont enfin reconnus comme des personnes extraordinaires.

Ils sont en mesure de percevoir et d’assimiler physiquement l’énergie et les émotions des personnes qui les entourent. Ils peuvent capter l’énergie du prana. Mon hyperempathie m’a permis de développer des facultés qui peuvent aider les autres car je ressens toutes leurs émotions comme si je lisais dans une livre ouvert, elle me permet également d’anticiper des événements qui vont se produire dans ma vie et celles des autres. Elle me permet également d’avoir plusieurs cordes à mon arc et me permet d’être autodidacte dans plusieurs domaines. Réalisatrice de film, producteur de musique, auteure d’oracles divinatoires, de lives, webmaster, montage vidéo, graphiste la liste est longue.

Les hyperempathiques qui parviennent à se canaliser, à travailler sur les émotions et comprendre qui ils sont peuvent se réaliser et être heureux. Souvent ce sont des médiums ou des guérisseurs.

 

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7 mauvaises habitudes qui tuent les neurones

Saviez-vous que certaines habitudes tuent les neurones et que le mode de vie a un impact direct sur la santé mentale ? Découvrez sept habitudes potentiellement néfastes pour le cerveau.

Saviez-vous que certaines habitudes et certains modes de vie tuent les neurones ? Le cerveau est l’organe qui permet au reste de l’organisme de fonctionner. Nous devons donc nous en occuper. Un mode de vie sain, qui comprend des habitudes saines telles que se détendre, faire de l’exercice, bien manger et dormir, etc. est essentiel.

Bien entendu, l’exercice physique et mental est important lorsqu’il s’agit de prendre soin de notre santé générale et de notre santé mentale. Mais quelles sont les habitudes que nous devons essayer d’éviter si nous voulons protéger nos neurones ? Découvrez ici sept d’entre elles, bien qu’il y en ait d’autres !

Des habitudes qui tuent les neurones

Comme nous l’avons dit, prendre soin du cerveau, c’est prendre soin de l’esprit et de la santé physique en général. Et il existe certaines habitudes qui tuent les neurones et, par conséquent, affaiblissent et endommagent notre système nerveux.

Quelles sont-elles ? Ces problèmes sont souvent liés au stress, au manque de sommeil, à l’absence de stimulation du cerveau… Mais il y a d’autres facteurs. En voici quelques exemples.

Le stress

Le stress est l’une des principales habitudes qui tuent les neurones. Il s’agit d’une tension physique et émotionnelle. C’est donc un mécanisme qui s’active lorsqu’une personne doit faire face à des situations qui dépassent ses ressources personnelles. Le stress apparaît donc lorsque nous nous sentons dépassés.

Ce mécanisme, surtout s’il apparaît sur une longue période (stress chronique), peut tuer les neurones. En effet, lorsque l’on génère du stress, le corps libère une grande quantité de cortisol (l’hormone du stress). Cette hormone sert à détourner les ressources vers les processus biologiques nécessaires pour faire face à des situations d’urgence.

Mais que se passe-t-il lorsque l’organisme libère de grandes quantités de cortisol, et ce pendant une période prolongée ? La conséquence est la suivante : les neurones sont laissés sans surveillance et le système immunitaire est affaibli.

La consommation de sucre

La consommation de grandes quantités de sucre a également été liée à la mort neuronale (en plus d’autres problèmes de santé). Ainsi, un excès de sucre retarde l’absorption d’autres nutriments et perturbe l’activité cérébrale.

Comme pour tout ce qui touche à l’alimentation, l’idéal est de consommer de manière responsable. Prendre du sucre n’est pas nocif, mais en prendre trop le devient.

Le manque de stimulation

Le manque de stimulation (physique, sensorielle ou cognitive, mais surtout les deux dernières), c’est-à-dire la monotonie, est aussi une habitude qui tue les neurones. La pensée est le meilleur moyen de stimuler le cerveau.

Il s’agit de faire des exercices mentaux, d’étudier, d’écrire, de lire un livre, etc. Ce sont des activités qui aident notre cerveau à “travailler” et à prévenir des pathologies graves.

“Le cerveau n’est pas un verre à remplir, mais une lampe à allumer.”

-Anonyme-

La déshydratation

Être continuellement déshydraté est une autre habitude qui tue les neurones. Ainsi, lorsque nous avons soif, il est important de la satisfaire le plus rapidement possible.

Pourquoi ? Parce que, sinon, le corps commencera à extraire l’eau des cellules du corps. Et la probabilité que certaines d’entre elles soient détruites (ainsi que les neurones) augmente.

Le tabagisme (et la drogue)

En plus de nuire à votre santé, cette habitude toxique peut également détruire les cellules de votre cerveau. Le tabac est une drogue qui, comme beaucoup d’autres, est capable de générer une dépendance importante.

De plus, elle peut endommager les neurones de façon permanente et même les tuer. C’est également le cas pour de nombreuses autres drogues.

La pollution

Respirer dans un environnement pollué endommage non seulement le système respiratoire, mais peut aussi tuer des neurones. En effet, le cerveau est l’un des organes du corps qui consomme le plus de ressources.

Lorsque nous inhalons, surtout dans des environnements pollués, nous absorbons une grande quantité de particules toxiques. Ces particules atteignent le cerveau, même si la barrière hémato-encéphalique nous protège de certaines d’entre elles. C’est pourquoi il est bon de sortir de temps en temps des grandes villes (et surtout de vivre dans un environnement naturel).

Le manque de sommeil, l’une des habitudes qui nuisent aux neurones

Dormir peu, ou mal, est aussi une des habitudes qui tuent les neurones. De nombreuses recherches ont établi un lien entre le manque prolongé de sommeil et la mort neuronale, ainsi qu’avec le déclin de certaines parties du cerveau (comme l’hippocampe).

À long terme, ces dommages peuvent entraîner des problèmes de mémoire, des difficultés de concentration, etc. Il est donc essentiel de bien dormir.

Des habitudes qui tuent les neurones : comment prendre soin de sa santé mentale ?

Prendre soin de notre esprit, c’est prendre soin de notre cerveau. Comme nous pouvons le constater, la vie que nous menons a un impact direct sur la santé du cerveau. Le cerveau est connecté à notre réalité et à nos habitudes. Par conséquent, une vie saine peut nous protéger contre de nombreux désagréments.

Nous savons que de nombreux troubles qui affectent la santé du cerveau ont leur origine dans des facteurs héréditaires, l’âge ou encore certaines sortes de blessures. Cependant, certaines habitudes peuvent également influencer leur apparition, puisque les neurones doivent fonctionner correctement pour que notre cerveau le fasse également.

Si le cerveau humain était si simple pour que nous puissions le comprendre, alors nous serions si simples que nous ne pourrions pas le comprendre.”

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Quelles sont les hormones du bonheur ?

Les soi-disant molécules du bonheur sont nos meilleurs alliées pour le bien-être et la santé mentale. Comprendre cet univers d’hormones, dont font partie la dopamine et la sérotonine, nous aidera également à nous connaître un peu mieux.

Les hormones du bonheur sont le moteur de notre amélioration quotidienne. Elles sont l’impulsion qui nous invite à nous lier, à profiter de la compagnie de ceux qui nous entourent. Elles mettent en avant le fait que nous pouvons continuer à apprendre des choses et à profiter de chaque découverte.

Ces petites molécules sont des torrents de bien-être qui diluent la douleur, favorisent l’empathie et même la confiance. Admettons-le… Que serions-nous sans elles ?

En quelque sorte, ces éléments biologiques nous permettent (et nous permettront) de nous différencier des machines et robots du futur régis par l’intelligence artificielle. Les êtres vivants sont guidés par ces molécules polyvalentes qui jouent un rôle fondamental dans de nombreux aspects tels que la nutrition, la reproduction et même la mémoire émotionnelle.

Il est vrai que parfois elles échouent, notamment lorsque le cerveau et d’autres zones du corps en libèrent moins à certaines saisons. Nous traversons alors des périodes d’apathie et de négativité.

Des facteurs comme notre santé ou même notre approche psychologique peuvent provoquer ce déficit dans leur synthèse. Plonger un peu plus profondément dans l’univers chimique unique des hormones nous aidera à mieux comprendre notre comportement.

Les hormones du bonheur : fonctions et caractéristiques

Vivre des sensations positives est un pilier essentiel du comportement humain (et aussi chez l’animal). Avec elles, non seulement l’équilibre psychologique est favorisé, mais nous garantissons également notre survie.

Grâce à elles, nous trouvons la motivation pour nous nourrir, construire des environnements plus efficaces, interagir, nous reproduire, prendre soin des autres, etc. Le bien-être remplit aussi, après tout, un objectif biologique. Et les médiateurs de ces processus variés et complexes sont connus comme les hormones du bonheur.

Grâce à elles, est orchestrée la régulation de l’humeur, la sensation de plaisir et même le soulagement de la douleur. Analysons-les une par une.

1. Les endorphines, les meilleurs analgésiques de la nature

Le mot endorphine vient de l’union de deux termes : endogène, qui signifie de l’intérieur du corps, et morphine, qui est un analgésique opioïde. Sa fonction n’est autre que de soulager la douleur, d’atténuer la souffrance et de nous procurer un sentiment de bien-être lorsque le cerveau interprète nos comportements comme appropriés.

  • Les endorphines constituent un grand groupe de peptides produits par le système nerveux central et la glande pituitaire.
  • Elles sont liées à des circuits de récompense naturels. Cela signifie que le cerveau les libère lorsque nous effectuons des tâches biologiquement importantes comme manger, boire, faire du sport, socialiser, avoir des relations sexuelles, etc.

Peut-on stimuler leur production naturellement ?

Il existe de nombreuses façons de stimuler la production de cette hormone. Comme nous l’avons souligné, sa production dépend de la réalisation d’activités et de tâches que le cerveau interprète comme positives. Voici quelques exemples :

  • Aller se promener tous les jours.
  • Écouter de la musique.
  • Danser.
  • Apprendre de nouvelles choses.
  • Parler et partager des moments avec ses amis.
  • Embrassez les gens qu’on aime.
  • Manger du chocolat.

2. La sérotonine, la médiatrice du bien-être

La sérotonine est cette hormone qui, en plus d’être produite dans le cerveau, est abondante dans le système digestif. Elle est synthétisé à partir de la transformation de l’acide aminé tryptophane et on peut dire qu’elle agit de manière plus forte que le neurotransmetteur classique du bonheur.

  • En plus de favoriser l’humeur ou de booster le bien-être, elle remplit des fonctions essentielles telles que la promotion de l’appétit.
  • Cette substance chimique est également responsable de la stimulation des parties du cerveau qui contrôlent le sommeil et l’éveil.
  • Cette hormone, qui agit comme un neurotransmetteur, est essentielle pour réduire les mécanismes d’anxiété et de dépression.
  • Elle stimule la libido et, grâce à elle, nous apprécions également les relations sexuelles.

Pouvons-nous produire de la sérotonine naturellement ?

C’est la plus connue des hormones du bonheur. Est-il possible de la produire ? Nous pouvons favoriser sa production en consommant des aliments riches en tryptophane. Cet acide aminé essentiel est le précurseur de la sérotonine et on peut le trouver dans les aliments suivants :

  • Chocolat noir.
  • Avoine.
  • Graines de tournesol.
  • Saumon.
  • Œufs
  • Pois chiches.
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3. La dopamine, le moteur de la motivation

La dopamine joue un rôle décisif dans les tâches associées à la motivation et à la récompense. Cette molécule est déterminante dans notre comportement, de sorte qu’un déficit ou une surproduction de cette composante neurochimique peut nous altérer de multiples façons. Un exemple : une libération excessive est liée, par exemple, à la schizophrénie.

  • Ses principales fonctions sont d’activer la sensation de plaisir anticipé. C’est-à-dire elle nous aide à nous sentir motivé par quelque chose en nous faisant penser à ce que cet objectif peut nous offrir.
  • Elle induit notre prise de décision, favorise l’apprentissage, la mémoire…
  • Elle stimule la curiosité, la motivation intrinsèque et la créativité.

Peut-on stimuler sa production naturellement ?

Nous savons qu’environ 50 % de toute la dopamine totale du corps est produite dans l’intestin. Une façon de veiller à sa production correcte serait donc de prendre soin du microbiote intestinal.

4. L’ocytocine, une autre hormone faisant partie des hormones du bonheur

L’ocytocine est presque toujours associée à des dimensions telles que l’amour, l’affection, la sexualité, le besoin de soins et aussi au comportement maternel. Cependant, elle a beaucoup plus de fonctions, toutes liées au comportement social, comme l’empathie, la générosité, l’altruisme…

Cette hormone, si cruciale chez l’homme, est produite dans l’hypothalamus et est sécrétée par l’hypophyse. Beaucoup l’appellent la molécule de l’humanité et c’est l’un des éléments biologiques les plus fascinants.

Peut-on stimuler sa production naturellement ?

L’ocytocine est libérée dans des situations très simples et quotidiennes. Voici quelques exemples : se toucher, se serrer dans ses bras, écouter les autres, méditer, faire de l’exercice, etc.

Les hormones du bonheur sont, sans aucun doute, un exemple de plus de l’harmonie biologique fascinante et parfaite qui définit une grande partie des êtres vivants. Comprendre ce petit univers nous permet de devenir plus conscients de la raison pour laquelle nous sommes tels que nous sommes.

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Faut-il traiter l’autre comme nous aimerions être traité ?

Au moment d’interagir avec les autres, souvenez-vous qu’ils ont eux-mêmes leurs propres désirs, priorités et besoins. Par conséquent, les traiter de la façon dont vous aimeriez être traité n’est pas toujours une bonne chose.

Traiter l’autre de la façon dont vous aimeriez être traité est un principe moral partagé par de nombreux peuples et courants de pensée. Philosophes, leaders religieux et personnalités importantes font l’éloge de ce précepte qui devrait guider les relations humaines.

Or, même si nous connaissons tous cette règle d’or et l’avons bien à l’esprit, l’appliquer n’est pas toujours bénéfique pour les relations sociales. Il arrive que nos meilleures intentions soient mal interprétées par l’autre personne ou nuisent à ses intérêts.

Le fait que l’intérêt sincère pour le bien-être de l’autre puisse représenter une atteinte contre ce dernier semble injuste. Mais c’est peut-être parce que nous considérons cette aide d’un point de vue erroné : le nôtre.

Est-il positif de traiter l’autre comme nous aimerions être traité ?

Traiter l’autre comme nous aimerons être traité semble, sans aucun doute, être une bonne idée. Cela indique effectivement de bonnes intentions. Par ailleurs, en suivant ce principe, nous serons davantage conscients de la façon dont nous nous comportons avec les autres.

Nous serons alors probablement sincères, compréhensifs, solidaires et amicaux. Cette règle morale peut aussi nous motiver à rendre un service à un ami ou à une connaissance quand nous n’en avons pas envie ou peut nous forcer à réfléchir avant de critiquer.

Nous n’attendons pas tous la même chose

Cependant, quand nous oublions les généralités et passons à un plan plus pratique et concret, cette idée ne fonctionne pas toujours si bien que cela. Prenons quelques exemples pour illustrer cela.

Imaginez, par exemple, que c’est l’anniversaire de l’un de vos très bons amis. Vous lui avez acheté une montre, dépensant ainsi une somme importante. Lorsque vous lui offrez votre cadeau et voyez la déception sur son visage, vous vous sentez en colère.

Vous ne vous êtes peut-être pas dit que cette personne espérait plutôt un cadeau plus intime et personnel. Un cadeau fait à la main et avec un sens émotionnel. Ou qu’elle espérait peut-être une expérience partagée au lieu d’un cadeau matériel.

Cela peut nous arriver dans n’importe quel domaine de la vie. Si vous êtes parent, il se peut qu’après avoir vu votre enfant faire face à une situation stressante, vous ayez voulu la mettre en contexte, afin qu’il se rende compte que ce qui l’inquiète n’allait sans doute pas arriver ou que les conséquences n’allaient pas être si désastreuses.

Même si vous-même réagissez bien à ce type de soutien, votre enfant, lui, peut peut-être penser que vous cherchez en réalité à lui faire oublier ce problème pour qu’il cesse de vous embêter avec. Il n’adopte pas forcément votre point de vue.

De la même façon, après une dispute avec votre conjoint au cours de laquelle vous avez reconnu vos torts, il se peut que vous décidiez de l’appeler ou d’aller le voir pour lui parler. Cette personne peut se montrer contrariée, irritable et refuser d’avoir une telle conversation. Pourquoi ?

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Alors que vous considérez votre comportement comme un signe de bonne foi, l’autre personne peut considérer qu’il est trop tôt pour en parler. Elle a besoin d’un moment tout seul pour gérer sa colère. Autrement dit, vous n’avez pas pris en considération ses besoins à elle.

Prenez en compte les besoins des autres

En définitive, nous pouvons dire que traiter l’autre de la façon dont vous aimeriez être traité est plutôt une bonne chose. Cependant, il est nécessaire d’émettre une réserve : vous aimeriez que l’on prenne en compte votre personnalité et vos besoins concrets, et c’est précisément ce que vous devez offrir à l’autre.

Ayez la considération de prendre en compte ses préférences ses besoins et ses désirs. Montrez-lui votre capacité à sortir de votre propre peau pour essayer de comprendre ses points de vue. Ne pensez pas autant à ce qui vous plairait ; demandez-vous plutôt ce que l’autre espère et attend, car nous  sommes tous différents.

Même si vous aimez que les personnes soient totalement honnêtes et directes avec vous, l’être humain qui se trouve devant vous préfère peut-être autre chose et a peut-être besoin de tact, de compréhension et de délicatesse. Vous préférez peut-être être seul après une dispute. Si vous savez que l’autre a besoin de compagnie, offrez-lui cela.

Les relations humaines sont complexes. Il n’est en effet pas facile de concilier nos souhaits et pensées et ceux des personnes qui nous entourent. Cependant, si vous voulez savoir comment traiter quelqu’un d’autre, mettez-vous à sa place. Traitez l’autre comme il aimerait qu’on le traite.

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Psychopathes adaptés : les manifestations subcliniques

Récemment, des recherches ont été menées sur les émotions des soi-disant psychopathes qui ne sont pas liées à une activité criminelle. Les résultats sont très surprenants.



Des recherches récentes de l’Association américaine de psychologie indiquent que certains psychopathes socialement adaptés ont de l’empathie. En d’autres termes, les psychopathes qui ne sont pas engagés dans des activités criminelles peuvent manifester des capacités d’adaptation très bonnes dans la population générale.

Nous allons donc laisser de côté la controverse que le terme “psychopathe” suscite encore chez la plupart des psychologues. Nous nous concentrons ici sur la coexistence de traits absolument opposés chez ces individus. Le fait est que la recherche dans le domaine de la psychopathie est divisée en deux domaines.

On considère que, par défaut, la psychopathie ne peut inclure aucune forme de traits d’adaptation. L’autre partie soutient que des traits d’adaptation peuvent être trouvés, dans une certaine mesure, chez les individus psychopathes.

Plusieurs instruments ont été développés pour étudier les traits psychopathiques sur la base de ces deux points de vue. Il y a beaucoup de divergences entre les résultats.

De toutes les études réalisées, la plus complète est celle de Guillaume Durand intitulée Les effets des traits psychopathiques sur la peur de la douleur, de l’anxiété et du stress. Un point de vue novateur qui explique comment les psychopathes adaptés à la société gèrent leurs émotions.

Psychopathes adaptés : élargir et améliorer leur définition

Les chercheurs de l’étude ont soumis 529 participants à une série de tests psychologiques. Ils ont mesuré la psychopathie, la peur de la douleur, l’anxiété et le stress.

Ils ont utilisé un test qui recherche deux types de psychopathie différents : la dominance et l’antisocialité impulsive. Le premier est associé à l’audace et au courage, tandis que le second est associé à l’égoïsme, au blâme et à l’impulsivité.

Les chercheurs ont constaté que les personnes ayant obtenu un score élevé sur la mesure de la dominance avaient tendance à avoir moins peur de la douleur, de l’anxiété et du stress. En revanche, celles qui ont obtenu un score élevé sur la mesure de l’antisocialité impulsive ont montré des niveaux plus élevés d’anxiété et de stress.

Les résultats de l’étude

L’étude suggère que la définition de la psychopathie donnée par les médias (meurtrier de masse privé de toute forme de moralité) est assez éloignée de la vérité. Si ces personnes existent évidemment, il en existe d’autres qui ont des traits plus adaptatifs que maladifs. Cela les rend parfaitement fonctionnelles dans la société.

Les résultats sur les traits psychopathiques et la relation avec la peur, le stress et l’anxiété peuvent être très différents selon le modèle utilisé. Un diagnostic de psychopathie est souvent établi à l’aide du test “Liste de contrôle révisée de la psychopathie de Hare”. Toutefois, ce test se concentre sur les comportements et les traits de caractère inadaptés.

L’importance d’inclure des traits adaptatifs et désadaptatifs

L’objectif de cette étude était d’examiner la divergence des résultats dans le domaine de la psychopathie, où les traits adaptatifs du questionnaire étaient négativement corrélés avec la peur de la douleur, l’anxiété et le stress, alors que le contraire était constaté pour les traits inadaptés.

Pour résoudre ce problème, Guillaume Durand a créé le Questionnaire sur les traits psychopathiques adaptatifs (Durand, 2017 ; Journal of Personality Assessment). Ce questionnaire évalue exclusivement les traits psychopathiques adaptatifs.

Cet instrument est utilisé chez des individus considérés comme hautement psychopathes. Il permet aux chercheurs de distinguer clairement les individus psychopathes adaptés de ceux qui sont inadaptés.

Psychopathes adaptés : ce qui a été étudié sur leur empathie

Tout en servant l’altruisme, l’empathie est aussi un outil pour l’esprit machiavélique. Ce dernier a besoin de bonnes “informations” pour évaluer et éventuellement tirer profit des autres.

La psychopathie peut servir le bien commun. Par exemple, dans les situations qui exigent des performances. Ce sont celles auxquelles sont confrontés les sauveteurs, les travailleurs de la santé, les soldats et autres personnes dans des situations à haut risque. Là, les émotions peuvent s’estomper pour laisser place à une attitude froide et simplifiée.

Mihailides, Galligan et Bates (2017) appellent cela la “psychopathie adaptative”, un terme qui désigne le “vecteur de quarantaine” dans lequel l’information empathique est mariée à des processus mentaux psychopathiques utiles. Par exemple, pour faire face aux menaces qui entrent en conflit avec ses valeurs et ses croyances.

L’empathie se manifeste sous deux formes : sur le plan cognitif et sur le plan affectif. Ces plans sont indépendants les uns des autres, mais ils ont aussi tendance à travailler ensemble.

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Mihailides, Galligan et Bates (2017) appellent cela la “psychopathie adaptative”, un terme qui désigne le “vecteur de quarantaine” dans lequel l’information empathique est mariée à des processus mentaux psychopathiques utiles. Par exemple, pour faire face aux menaces qui entrent en conflit avec ses valeurs et ses croyances.

L’empathie se manifeste sous deux formes : sur le plan cognitif et sur le plan affectif. Ces plans sont indépendants les uns des autres, mais ils ont aussi tendance à travailler ensemble.

L’empathie cognitive est la capacité à voir les choses du point de vue d’une autre personne. L’empathie affective est la capacité de vibrer avec les émotions des autres. On estime que l’empathie cognitive est plus forte dans le narcissisme, tandis que l’empathie affective semble plus faible.

Psychopathes adaptés : certains de leurs traits au service de la société

Les traits transmis par les psychopathes adaptés apportent avec eux un avantage évolutif. Autrement, ils ne seraient pas aussi courants qu’ils le sont.

Ceux qui peuvent faire preuve d’une pensée psychopathe ont parfois un avantage. Ils peuvent être fondamentaux pour la survie de la communauté, en fournissant un contingent sans inhibitions, plus agressif, capable de se concentrer et de faire le travail. C’est un équilibre extrêmement délicat.

Dans la mesure où ils ont de l’empathie, nous soutenons les psychopathes adaptés.

Les psychopathes adaptés ont une plus grande capacité à donner un sens à la motivation des autres. Ils doivent aider à prendre des décisions tout en conservant la possibilité de choisir quand participer ou non. Différents groupes d’individus peuvent, ensemble, fournir des freins et des contrepoids pour maintenir une communauté dynamiquement adaptée.

Une plus grande empathie associée à des traits plus sombres peut préserver la qualité de la relation. Autrement dit, les traits questionnables des psychopathes adaptés sont parfois négligés parce qu’ils présentent un certain degré d’empathie. S’ils n’en n’ont pas, ils ne seront pas les bienvenus dans le groupe.

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Les ambivertis, à mi-chemin entre extravertis et introvertis

Les ambivertis sont des personnes qui arrivent à mettre pleinement à profit les traits d’introversion et d’extraversion, atteignant ainsi un équilibre. Ce sont des individus flexibles qui savent s’adapter et tirer profit de la solitude et de la compagnie.

Personne n’est totalement extraverti ou totalement introverti. Entre les deux extrêmes, il y a une infinité de nuances. Généralement, des traits d’introversion ou d’extraversion prédominent. Néanmoins, certaines personnes réussissent à combiner de manière très équilibrée le meilleur des extravertis et des introvertis. Découvrez ici les ambivertis.

Selon la docteure Jennifer Granneman, auteure du livre La vie secrète des introvertisceux qu’on catalogue comme des ambivertis sont des individus fascinants. Ce sont des personnes qui parviennent à un excellent équilibre entre la communication et l’écoute, mais aussi entre la réserve propre à la prudence et l’ouverture de la spontanéité.

“La réalité des autres, ne se trouve pas dans ce qu’ils vous montrent, mais dans ce qu’ils ne savent pas vous montrer. Et si vous voulez réellement comprendre les autres, n’écoutez pas ce qu’ils disent mais ce qu’ils taisent.”
-Khalil Gibran-

Le premier à aborder ce sujet fut le psychanalyste suisse Carl JungLes concepts de Jung ont eu un grand impact sur la psychologie. C’est pourquoi la plupart des classifications de la personnalité reposent sur ses postulats. C’est lui qui a travaillé initialement sur les catégories d’introversion et d’extraversion. Nous y faisons référence pour comprendre les ambivertis.

L’introversion : ni timidité, ni isolement

La principale caractéristique des personnes introverties est qu’elles se concentrent plus sur leur monde intérieur que sur le monde extérieur. Elles regardent naturellement à l’intérieur d’elles-mêmes.

En outre, elles obtiennent leur source de sens dans leurs idées, leur imagination, leurs souvenirs et tout ce qui compose leur univers subjectif.

L’introverti n’est pas timide en réalité, ni insociable. Il apprécie simplement les moments de solitude parce que le contact avec lui-même est indispensable.

Il ne refuse pas non plus le contact avec les autres. Néanmoins, il est sélectif et ne veut pas avoir quelqu’un à ses côtés tout le temps. C’est pour cette raison que les introvertis préfèrent les lieux tranquilles et n’apprécient pas les atmosphères bruyantes.

Du point de vue des neurosciences, les introvertis sont plus sensibles à la dopamine. Ainsi, un environnement avec trop de stimuli peut les épuiser émotionnellement parlant. C’est pourquoi ils préfèrent les atmosphères plus tranquilles.

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L’extraversion ou se nourrir des autres

De l’autre côté se trouvent les extravertis. Ces personnes détendues et spontanées qui se font facilement des amis et qui ne gardent pas pour elles ce qu’elles pensent. Généralement, les extravertis sont beaucoup plus socialement acceptés que les introvertis, en raison de la facilité avec laquelle ils se connectent aux autres

’extraverti se nourrit des relations sociales. Il aime être en contact avec les autres. De fait, il se nourrit de ces liens pour se sentir bien. La solitude lui semble ennuyeuse et il a besoin d’environnements qui lui apportent des stimuli constants. La passivité ou un silence trop pesant finissent par le déprimer.

Ce type de personnes sont souvent impulsives et peut-être superflues. Elles n’aiment pas approfondir leur réflexion. Ce sont des personnes d’action qui ont besoin d’être en mouvement. L’introspection ne les attire pas. Ce sont, pour ainsi dire, des personnes avec peu de filtres. Ce qu’elles pensent et ressentent se traduit en une action de manière quasi-immédiate.

Les ambivertis représentent l’équilibre

Le premier à parler d’ambivertis a été Edmund S. Conklin, un psychologue américain, en 1923. Il affirmait qu’ils étaient un modèle de stabilité et d’équilibre. Il les définit comme des personnes qui réunissent le meilleur des introvertis et des extravertis. Ils s’adaptent facilement à la solitude et à la compagnie.

Le principal trait des ambivertis est la flexibilité. Dans les situations sociales, ils s’ouvrent aux autres et cherchent à rendre les relations fluides et spontanées. Ils savent tirer profit de la compagnie des autres, en se nourrissant de leurs apports et en permettant aux autres d’entrer dans leur monde.

Les situations sociales ne les stressent pas et ne les usent pas non plus. Ils en tirent les meilleurs bénéfices et les considèrent comme nécessaires à leur équilibre.

De la même manière, les ambivertis peuvent gérer la solitude sans aucun problème. De fait, ils la recherchent à des moments déterminés. Ils ont besoin de maintenir le contact avec eux-mêmes et apprécient les apports de l’introspection. Ils sont sélectifs dans ce qu’ils partagent ou non avec les autres.

Ce type de personnes sont douées pour gérer les deux codes : celui des introvertis et celui des extravertis. Le psychologue Daniel H. Pink les a comparés à des personnes bilingues. Ils gèrent couramment deux langues à la fois et trouvent le meilleur moyen de s’exprimer dans les deux.

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Mieux respirer renforce la concentration!

Lorsque nous inspirons de l’oxygène, nous aspirons la vie et oxygénons ainsi notre cerveau, ce qui favorise l’expansion de nos sens. Une bonne respiration favorise une meilleure concentration, nous permet de mieux apprécier le moment présent et de prendre de meilleures décisions.

Bien respirer est synonyme de mieux vivre. Nous le savons presque tous. Et si maintenant nous vous disions que bien respirer favorisait une meilleure concentration ? Mieux encore, comme l’expliquent les neurologues, inhaler profondément de l’air permet d’oxygéner le cerveau et ainsi d’affiner nos capacités de focalisation et d’attention visuo-spatiale.

Ce sujet est sans aucun doute plus que fascinant. Cela fait déjà plusieurs décennies que des pratiques telles que la méditation, la relaxation ou encore la respiration profonde comptent sur un large soutien scientifique. Nous savons, par exemple, que la thérapie cognitive applique la pleine conscience ou mindfulness en tant que stratégie. Et comme le révèle cette étude de l’Université de Ryerson (Toronto), les avancées pour traiter la dépression sont très positives.

Inspirer longuement, à savoir aspirer profondément de l’air pendant quelques secondes par le nez, amplifie nos sens. Cela permet de faire un reset mental et ainsi de focaliser notre attention de manière efficace.

Cette conclusion est issue d’une étude publiée il y a de cela trois mois. Néanmoins, cette stratégie avait déjà été présentée par Daniel Goleman dans son ouvrage Focus. Découvrons ensemble plus d’informations sur le sujet.

Mieux respirer renforce la concentration : de longues inspirations nasales permettent une réinitialisation mentale

Les docteurs Ofer Perl, Aharon Ravia et Mica Rubinson ont publié le 11 mars dernier une étude aussi intéressante que révélatrice dans la revue Nature Human Behavior

Dans ce travail, les chercheurs nous expliquent que mieux respirer renforce la concentration, et ce, pour une raison très simple connue probablement de tous : l’odorat synchronise notre activité cérébrale.

La clé se trouve du côté de nos ancêtres

Les chercheurs se basent sur une information très frappante, mais aussi très logique. Autrefois, une grande partie de la survie de nos ancêtres dépendait de l’odorat. D’ailleurs, nombreux sont les mammifères qui, de nos jours, se servent de ce sens pour identifier les dangers, sentir les prédateurs et identifier des proies éventuelles.

Les hominidés des premières étapes évolutives de l’espèce humaine avaient sûrement un odorat bien plus développé. Aspirer profondément leur permettait de faire une lecture rapide de leur environnement.

Nous avons perdu cette capacité ou du moins elle n’est plus si puissante. Et ce, pour deux raisons : d’abord parce que nous ne prenons pas soin de ce sens, et ensuite parce que nous vivons pressés.

L’odorat, le sens de la cognition pour prendre des décisions

De nos jours, l’odorat n’est utile que pour identifier la nourriture en mauvais état, sentir des parfums agréables et profiter de nos relations affectives. S’imprégner de l’odeur de nos proches, de nos enfants et de notre partenaire fait partie de notre quotidien. Nous avons donc oublié les compétences ancestrales associées à l’odorat. Il est important de prendre conscience de cela.

Mieux respirer renforce la concentration, car la respiration nous met en état d’alerte, ce qui nous permet, même si vous en doutez, de prendre de meilleures décisions. Récupérer (pour ainsi dire) l’ « instinct sauvage » de nos ancêtres peut nous apporter de nombreux bienfaits. La raison ? Ce sens stimule de nombreuses zones dans notre cerveau.

  • Le neurologue Ofer Perl a mené une recherche au sein de l’Institut Weizmann d’Israël dont l’objectif était de collecter des preuves pour une hypothèse qui invite à la réflexion
  • Lorsque nous devons accomplir une tâche qui exige un niveau de concentration élevé, inhaler longuement et profondément peut optimiser notre concentration
  • D’ailleurs, une inspiration maintenue est plus bénéfique qu’une expiration à l’heure d’améliorer son attention

Mieux encore, ces inspirations optimisent nos ondes cérébrales ainsi que les processus visuo-spatiaux. Et si une telle respiration nous permet de prendre de meilleures décisions, c’est parce que, en favorisant une concentration optimale, elle nous permet de collecter des informations qui nous permettront d’être efficace à l’heure de faire des choix.

Mieux respirer, une tâche en suspens

Vous savez maintenant que mieux respirer améliore votre concentration. Vous comprenez aussi que pour mettre cela en place il faut faire preuve de volonté et prendre conscience de l’importance de la respiration. Ce n’est pas chose simple. Nous vivons dans une société pressée qui court après chaque seconde, et donc habituée à respirer rapidement.

Nous avons visiblement oublié que respirer rapidement intensifie le stress, la sensation de mal-être et suppose une charge excessive pour tous nos organes, d’où l’importance de certaines pratiques telles que le mindfulness.

Ces activités qui conjuguent des techniques de méditation avec une philosophie de vie particulière nous apprennent non seulement à mieux respirer, mais aussi à ralentir la cadence, à vivre le moment présent et à réduire la charge mentale ainsi que les pensées négatives qui constituent un obstacle pour le bien-être. Y arriver requiert du temps, de la volonté et un engagement.

Récupérons donc ce sens ancestral qu’est l’odorat. Faisons-en bon usage. Inspirons longuement afin de prendre conscience de notre environnement, d’oxygéner l’esprit et d’équilibrer nos ondes cérébrales. Ces petits changements peuvent supposer de véritables révolutions dans la vie quotidienne et nous aider à atteindre le bien-être.

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6 valeurs dans la relation de couple

Les valeurs dans la relation de couple prennent forme à travers de chacun des individus. Ce que nous savons, c’est que lorsque ces valeurs sont partagées, il est plus probable que le projet de couple aille plus loin.

En partant du principe qu’il n’y a pas deux couples identiques, nous allons parler dans cet article de l’importance de partager des valeurs communes au sein du couple. Cela permet en effet à la relation de se construire de façon saine et non toxique. En fait, l’établissement de valeurs dans le couple peut même jeter les bases de la réussite d’une relation.

Qu’est-ce qu’un couple ? Le terme couple désigne un ensemble de deux personnes qui vivent une relation affective de manière plus ou moins formalisée. Le cadre de cette relation peut être les fiançailles, le mariage, le PACS ou encore le concubinage.

À quoi fait-on référence quand on parle de valeurs ? Les valeurs désignent les qualités ou vertus qui caractérisent une personne physique ou morale. Ces valeurs sont généralement considérées comme positives et elles sont d’une grande importance par le groupe social.

En d’autres termes, les valeurs seraient les qualités qui se distinguent chez chaque personne et qui, à leur tour, les poussent à agir d’une manière ou d’une autre parce qu’elles font partie de leurs croyances. Ainsi, les valeurs caractérisent une personne et conditionnent son comportement.

Les valeurs dans la relation de couple

L’étude de Medina et al. (2005) porte sur la dimension sémantique de l’intimité. Elle montre que les hommes et les femmes recherchent chez leur partenaire une personne ayant des besoins similaires et compatibles. Ils attendent de leur conjoint des caractéristiques communes aux leurs et auxquelles ils peuvent s’identifier.

D’après la théorie instrumentale de la sélection du couple, ceci s’explique par le fait que les gens cherchent quelqu’un qui possède des valeurs similaires aux leurs (Centers, 1975). De cette façon, les couples se forment en choisissant des partenaires homogènes. C’est-à-dire des personnes aux caractéristiques sociales, économiques et culturelles identiques (Rice, 1997).

Et même si on rame ensemble, on rame dans la même direction…

Partager les mêmes valeurs au sein du couple permet d’avancer ensemble. Et ce, même dans l’adversité. Les valeurs jettent les bases pour que le couple fonctionne correctement et pour qu’il progresse.

Dans le cadre du couple, les comportements et les attentes de chaque individu répondent aux croyances et aux valeurs sociales transmises par le processus de socialisation auquel il a été soumis (Kaminsky, 1981).

Le processus de socialisation est en effet transformateur au fil du temps. Il permet de faire évoluer les valeurs et les normes sociales, de sorte que l’on s’attend également à ce que les croyances et les comportements des personnes changent (Diaz-Guerrero, 2003).

Ainsi, les attentes, les valeurs et les comportements dans la relation de couple ont aussi changé (García-Meráz, 2007). De nouveaux paramètres ont été créés sous l’influence de la situation sociale dans laquelle se trouve le couple et en réponse à celle-ci (Snyder et Stukas, 1999).

Travailler sur des valeurs acceptables dans la relation de couple

L’établissement de valeurs dans la relation de couple est un objectif qui nécessite un travail en commun. Comme nous l’avons dit au début, chaque couple est unique, donc les valeurs qui le caractérisent le sont également.

Néanmoins, nous pouvons parler de certaines valeurs de base sur lesquelles la plupart des couples se retrouvent. Il s’agit de valeurs telles que l’amour, la fidélité, le soutien mutuel, la générosité, le respect mutuel et la communication. Nous allons à présent décrire ci-dessous chacune d’entre elles.

L’amour

Il y a plusieurs sortes d’amour, mais chaque façon d’aimer à ses particularités propres. En effet, dire à quelqu’un « Je t’aime » n’est pas la même chose que de lui dire « Je te désire ».

D’étapes en étapes, on se rencontre, on tombe amoureux, et peu à peu, on passe à l’amour établi.Enfin, vient la vie en commun qui tend vers une formule stable, durable et résistante de l’amour.

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La fidélité

La fidélité dépend du type d’accord établi au préalable. Chaque couple établit un type d’engagement réciproque qui lui convient. Ainsi, certains couples sont exclusivement monogames alors que d’autres ne le sont pas.

La chose semble claire. Il y a fidélité tant que les accords sont respectés. Quand ils ne le sont plus, il y a alors tromperie.

Le soutient mutuel

Pouvoir s’appuyer sur quelqu’un, compter sur lui, savoir qu’il ne va pas nous décevoir et qu’il protégera nos intérêts sont des certitudes qui nous rendent plus forts, moins vulnérables.

C’est un plus pour faire face à l’adversité. Il s’agit de faire preuve d’empathie envers notre partenaire, d’essayer de mieux comprendre l’autre, de lui manifester notre acceptation et notre soutien inconditionnel.

La générosité

Cela peut paraître surprenant, mais parfois dans un couple, l’égoïsme l’emporte sur la générosité. Il y a ceux qui ont du mal à être généreux avec leur partenaire et qui ne savent que demander ou qui ramènent tout vers eux (« j’ai besoin », « je veux », « je voudrais »). Cela génère alors des sentiments négatifs.

Cependant, être dans une relation signifie bien plus. La meilleure façon d’être généreux avec votre partenaire n’est pas seulement de ne pas penser qu’à vous, mais de se mettre à la place de l’autre. Essayer de comprendre son point de vue. Et ce, même si parfois, vous ne le partagez pas.

Le respect mutuel

Construire une relation basée sur le respect mutuel est une des valeurs les plus essentielles. Dans cet optique, les deux membres du couple doivent être au même niveau.

Il s’agit d’offrir dans la relation un espace à chacun mais aussi un espace pour deux. On parle aussi de respect quand on accepte l’autre dans sa globalité, sans essayer de le changer.

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La communication : une des valeurs de couple primordiale

Il est toujours bon d’établir une communication assertive et ouverte, qui génère de la confiance. La communication dite assertive est définie par Satir (1988) comme la capacité de s’exprimer de façon directe, honnête et respectueuse.

Dans tous les cas, l’ouverture de canaux de communication au sein du couple signifie que les deux personnes assument l’engagement de partager un lien. C’est-à-dire les désaccords, les accomplissements, les objectifs communs, les besoins, etc. Ils ont aussi la volonté de développer ce lien. Une bonne communication se traduit enfin par des rapports sains, par le respect mutuel, l’affection, l’amour et la complicité.

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Voici 5 signes qui vous disent que vous allez réussir

Pensez-vous que l’avenir est prévisible ? Si vous dites «oui», alors vous avez raison. L’avenir, du moins en partie, est prévisible. Et ici, je parle de la façon dont nos habitudes déterminent notre destin, pas de certaines prédictions à la Nostradamus.

Le succès et l’échec laissent des traces qui prédisent souvent l’avenir mieux que toute autre chose. Donc, aujourd’hui, je parle des cinq premiers signes du succès. Si vous les avez tous, alors félicitations. Et si vous n’avez pas ces signes, j’espère que cet article sera un appel au réveil pour que vous apportiez des changements positifs.

1. Vous travailler plus que quiconque

Soyez la personne la plus travailleuse dans chaque chose. En fin de compte, le succès dépendra de votre travail et du temps que vous y passerez chaque jour.

Il est difficile de faire des semaines de travail de 60, 70 ou même 100 heures si vous manquez de motivation. Cela ne se produit que lorsque vous établissez votre existence pour atteindre les objectifs que vous ne pouvez plus supporter lorsque la concurrence fonctionne. Et le premier pas ? Penser volontairement à votre objectif tout le temps et partout où cela devient un objectif et pas seulement quelque chose sur lequel vous travaillez de neuf à dix-sept. Amusez-vous à vous asseoir et à regarder le vide tout en vous voyant atteindre vos objectifs.

2. La vie vous a appris à être plus persuasif

Les nombreux revers et les refus que vous avez reçus vous ont appris l’importance de la persuasion et de l’élargissement de votre cercle social.

Si vous osez chercher les refus, vous devez savoir présenter une idée et avoir un grand cercle social, ou travailler à en construire un, alors vous aurez du succès. Savez-vous ce que Michael Bloomberg a fait trois ans avant de démarrer son entreprise en 1981 ? Il se levait tôt chaque matin et se rendait au bureau avec une douzaine de tasses de thé et de café à partager avec tous ceux qui travaillaient tôt le matin, habituellement des bourreaux de travail de 90 heures. Maintenant, devinez qui l’a aidé à lancer cette entreprise estimée à 50 milliards de dollars ? Ces mêmes personnes.

3. Vous savez gérer vos émotions

C’est à dire ressentir la peur et le faire quand même.

Vous réussirez quand vous arriverez toujours à faire le travail, quelles que soient les circonstances. Les personnes qui réussissent ressentent la paresse, la peur, la faim et le manque d’intérêt, et continuent de le faire quand même. C’est une compétence que vous cultiverez grâce à la conscience de soi et à l’expérience.

Des compétences adéquates en matière d’établissement d’objectifs et de planification sont également des signes que vous êtes sur la bonne voie. Regardez vos objectifs de l’année dernière ou des derniers mois et comparez-les avec votre position actuelle. Si les progrès sont remarquables, vous êtes sur la bonne voie.



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4. Vous savez comment gérer votre énergie

Scott Adams, le créateur de la bande dessinée Dilbert, appelle l’énergie «la mesure de succès la plus importante». car qu’on le veuille ou non, vous ne pouvez aller nulle part sans énergie.

Tous ceux qui se rendent au gymnase n’ont pas du succès, mais personne ne réalisera quelque chose qui mérite d’être remarqué sans avoir assez d’énergie pour faire le travail. Les personnes qui font une ou plusieurs de ces quatre activités : la pornographie, la surconsommation alimentaire, la drogue et la consommation excessive d’alcool trouvent rarement la force, la motivation et le courage nécessaire pour accomplir des tâches remarquables. La poussée de dopamine qu’ils reçoivent avec chaque verre ou clip sexuel satisfait tellement leur cerveau qu’ils ne ressentent plus le désir de poursuivre leurs rêves. Satiété extrême.

Maintenant, regardez les habitudes des gens qui ont réussi. Ils exercent, méditent et évitent le piège de l a surconsommation, au moins jusqu’à ce qu’ils atteignent leurs objectifs. La discipline et l’énergie que ces habitudes créent stimulent la productivité, ce qui est tout ce dont vous avez besoin pour réussir.

5. Vous dites oui plus que souvent

Être prêt à saisir toutes les occasions qui se présentent à vous, même en l’absence de préparation, est un signe que vous allez réussir. Certaines personnes croient que ce que font les gens qui réussissent est de dire «non». Cela peut fonctionner pour quelqu’un comme Warren Buffet. Cependant, vous n’avez pas le luxe de dire non aux opportunités quand vous ne vous êtes pas encore fait un nom.

Les gens qui réussissent savent que le succès est comme un jeu ; plus ils auront d’opportunités, mieux ils obtiendront ce qu’ils veulent et, plus important encore, plus vite ils passeront de l’obscurité à la lumière. Si vous croyez et utilisez cette règle, vous réussirez.

Source : www.stevenaitchison.co.uk (en anglais)

Alors, combien avez-vous de  signes que vous allez réussir ? Dites le moi dans les commentaires. N’hésitez pas non plus à me donner d’autres signes de succès selon vous ?

Je vous souhaite tout le bonheur du monde

Source: https://www.magiquelife.com

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