Cinq pensées parasites (et comment les neutraliser)

Vous avez le sentiment de ne pouvoir compter sur personne. Cela a peut-être été vrai à un moment de votre vie, mais est-ce pertinent aujourd’hui alors que tout va bien?

« Je suis trop gentil », « on m’utilise et après, on me jette »… Vous avez le sentiment que le sort vous maltraite. Et si vous y étiez un peu pour quelque chose? Les conseils du coach Jean-Yves Arrivé* pour vous libérer de ces constats négatifs.

On est tous plus ou moins habités par des croyances qui nous minent et nous freinent dans une carrière ou un projet professionnel. Il est pourtant possible de les dépasser, en en prenant conscience et en acceptant d’agir progressivement pour les contrecarrer. Illustrations.

Pensée n°1: « Je suis trop ordinaire (moyen) pour faire une belle carrière »

Au moindre challenge proposé – un nouveau poste, une négociation de haut vol -, vous partez perdant. « Je ne suis pas au niveau, pas brillant comme untel… »: vous vous comparez, à votre désavantage. Soit il s’agit d’un manque de confiance en vous, soit d’un processus de victimisation, en vue de vous faire plaindre…

A faire. Revenez à des faits, à des réalités. Réalisez un tableau avec 3 colonnes. 1/Les compétences que vous possédez. 2/Celles que vous pouvez développer. 3/Celles qui vous semblent inaccessibles. Ne remplissez les n°2 et n°3, que si vous récoltez des éléments pertinents dans la n°1, vérifiés par des actions concrètes. L’objectif est de considérer la fierté des tâches accomplies, et de révéler votre potentiel en étant bienveillant avec vous-même!

Pensée n°2: « Je dois me battre pour réussir »

Savoir être un « winner », un « killer » … Autant de vertus glorifiées chez les commerciaux et qui ont fait tache d’huile. Ces mots, ancrés en vous, sont une variante de la ritournelle qui vous serine: « sois fort ». Or, il n’est pas nécessaire de créer des rapports de force pour être reconnu, valorisé ou pour garder sa place face à un nouvel embauché talentueux. Le risque de déchoir ou d’être évincé est dans votre tête.

A faire. Jouez la complémentarité. Persuadez-vous du bienfait de nouer des alliances plutôt que de combattre. Notez sur un papier, tout ce qui vous pousse à vous battre et tout ce qui vous pousserait à coopérer. Confrontez les réponses, et choisissez-en 2 ou 3 positives afin de bâtir un plan d’action. Exemples: « Je connais mon job, je peux laisser mes clients s’exprimer un peu plus ».

Pensée n°3: « Je dois toujours m’en sortir seul »

Vous avez le sentiment de ne pouvoir compter sur personne. Cela a peut-être été vrai à un moment de votre vie, mais est-ce pertinent aujourd’hui alors que tout va bien? Face à la difficulté, vous refusez de demander de l’aide, craignant que celle-ci ne soit jamais au rendez-vous. Risqué.

A faire. Sollicitez des coups de main, en démarrant par des choses simples. Vous prévoyez une surcharge sur un dossier à rendre dans un mois? Recherchez le soutien modeste d’un collègue sachant que vous aurez le temps de vous retourner s’il dit non. Et si c’est lui qui suggère son appui répondez: « Qu’est-ce que tu proposes? », l’amenant ainsi à préciser son offre, sans avoir à formuler vous-même la demande.

Pensée n°4: « J’échoue toujours dans la dernière ligne droite »

C’est le syndrome de l’éternel second. Vous êtes toujours dans la short-list des candidats à une promotion, sans jamais parvenir à décrocher le job. Ou encore, vous n’arrivez pas à conclure ce fichu contrat avec le client. In extremis, vous êtes rattrapé par un doute: « ça ne va peut-être pas marcher! ». Et patatras, vous perdez le contrôle de la situation. Stimulé au départ, devant l’obstacle vous calez, prêt à laisser la place.

A faire. Travaillez sur l’image que vous renvoyez, sur vos objectifs, pour montrer aux autres votre détermination. 1/Listez vos atouts et vos défauts sur le plan professionnel, en interrogeant aussi des proches, et ce que vous voudriez changer. 2/ Exercez-vous, hors du bureau, à tenir la distance de vos désirs: mener à son terme un match de tennis, résister au découragement lors d’une partie de cartes, etc.

Pensée n°5: « On sait m’utiliser, et après on me jette comme un kleenex »

Serviable, trop gentil, vous avez l’impression de vous faire avoir. Or, par votre comportement, vous faites naître chez l’autre un sentiment de gratitude, une sorte de dette symbolique qui satisfait votre soif de reconnaissance. Cela devient un mécanisme, qui crée un chantage affectif de la part de l’entourage. « Si tu ne fais pas ça, tu ne m’aimes plus, donc moi non plus. » Votre estime de soi est en jeu.

A faire. Apprenez à dire « non », en vous mettant sur un pied d’égalité. « Je suis heureux que tu aies pensé à moi sur ce dossier, je veux bien contribuer, qu’est-ce que j’y gagne? ». Dire non, ne signifie pas que l’on va se détourner de vous. Et repérez ce qui se cache derrière vos « oui »: des affects, des émotions à canaliser objectivement.

* Fondateur de Co-Acting, Jean-Yves Arrivé vient de publier  » Se Libérer des pensées parasites « , Larousse, février 2017.

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VOUS ÊTES CONSCIENCE ET N’AVEZ JAMAIS ÉTÉ À L’INTÉRIEUR D’UN CORPS PHYSIQUE… VOTRE CORPS EST EN VOUS !

Le Groupe Arcturien par Dana Mrkich

Très chers, nous venons avec amour et soutien pour vous aider à mieux comprendre ce que signifie être spirituel tout en ayant des expériences humaines. Sachez que si vous résonnez avec ce message, vous avez fait le travail préparatoire pendant des vies et avez atteint un état de conscience qui est préparé à aller au delà.

Vous avez vécu de nombreuses vies difficiles et courtes ainsi que de longues et heureuses expériences. Vous avez eu la peau de toutes les couleurs, été à la fois homme et femme, été des guerriers ainsi que des prêtres, et fait des choses dont vous auriez maintenant horreur. C’est parce que vous avez dû expérimenter tous les aspects de la vie dans l’énergie de la séparation afin d’évoluer au-delà.

Il y a un point dans chaque voyage spirituel où il n’y a plus besoin de lutte ni d’intenses difficultés. Ce sont souvent les outils d’apprentissage nécessaires pour ceux qui sont encore emmêlés dans l’énergie tridimensionnelle, mais la plupart d’entre vous ont ou sont en train d’obtenir leur diplôme sans recourir à ces outils. Le voyage est maintenant de vivre et d’être cet état de conscience pour laquelle vous avez travaillé si dur.

Vivre à partir de la vérité n’est pas inaccessible, ce n’est pas quelque chose qui n’est possible que pour les «saints» d’autrefois ou ceux qui veulent tout sacrifier sur le plan «humain». Ces anciens concepts de spiritualité représentent des enseignements obsolètes qui vous feraient croire que le monde spirituel est séparé du monde ordinaire; il ne l’est pas et ne pourra jamais être séparés, mes chers. Il n’y a pas de musique, de lieux, d’activités, de personnes, etc., qui soient «profanes» alors que (selon la conscience limitée de ceux qui enseignent ces concepts), certains groupes choisis seraient «sacrés».

Il n’y a que le UN et ce UN s’exprime parfaitement dans une infinité de formes et de variétés à tout moment. Cependant, ces fausses interprétations de ces expressions sacrées et parfaites nous apparaîtront toujours comme séparées, se manifestant dans des formes de bien et de mal jusqu’au moment où la conscience universelle ne tiendra plus compte de la croyance de la dualité et de la séparation. Il n’y a pas de conscience inexprimée.

Le monde n’est pas une illusion comme le suggèrent de nombreux enseignements, ce sont plutôt les interprétations conditionnées du monde qui constituent l’illusion. Vous êtes prêt à ouvrir les yeux et à voir que TOUT, pas seulement certaines choses, est spirituel. Il est temps d’enlever les étiquettes restantes. Vous êtes prêts !

Tout ce qui est vu, entendu, goûté, touché ou senti n’existe que parce qu’il y a une réalité spirituelle qui le soutient, sinon il n’existerait pas parce que la conscience divine est tout ce qui existe – de quoi d’autre la réalité serait-elle faite? Ce que l’humanité voit et expérimente en général, ce sont des interprétations des réalités spirituelles formées par l’esprit, des concepts qui se manifestent selon l’état de conscience des groupes et des individus.

La nature Omniprésente, Omnipotente et Omnisciente de la Conscience Divine est et continuera toujours à S’exprimer. IL est tout ce qu’il y a. Si les yeux humains pouvaient voir des arbres, des fleurs, des plantes etc. dans leur forme pure, ils verraient un flux de lumière, de beauté, de mouvement et de connexion, ainsi que les royaumes des fées qui les soignent avec amour.

L’Idée Divine soutenant les avions, les trains, les automobiles et toutes les formes de transport est l’Omniprésence exprimant des formes compatibles avec le niveau de conscience de l’humanité qui, par évolution, est passé de la marche, aux chevaux, aux charrettes etc…

La maison, dans sa forme réelle, est la conscience – la vraie maison de tout le monde. Si une personne était à la recherche d’une maison, dans le sens conventionnel de trouver une maison, il irait à l’intérieur de lui-même et se rendrait compte qu’il n’est jamais séparé de sa seule vraie et parfaite maison, la conscience, il verrait sa maison « parfaite » se manifester rapidement.

Le sens tridimensionnel du mariage et de la relation engagée est en réalité une interprétation tridimensionnelle du mariage mystique – l’alignement parfait et l’intégration des énergies masculines et féminines dans une âme évoluée qui aboutit à un «nouvel» être éveillé et ascensionné.

Commencez à comprendre chaque aspect de votre vie quotidienne en fonction de votre réalité plus profonde. C’est ainsi que vous réinterprétez les apparences. Quand vous le ferez, vous commencerez à expérimenter une grande partie de l’«ordinaire» dans des formes supérieures et meilleures pour vous. Vos créations expriment votre conscience, soyez conscient de ce que vous y mettez comme vérité. En réalité il n’y a pas de victimes, seulement des personnes hypnotisées et créant ainsi leurs fausses croyances.

Lorsque vous grandissez dans un état de conscience plus évolué, il devient plus facile de reconnaître et de voir la composante spirituelle des choses. Au fur et à mesure que votre énergie augmente dans une résonance toujours plus fine, il devient plus facile de communiquer avec vos guides et vos êtres Dimensionnels Supérieurs parce que vous serez en alignement avec les fréquences les plus raffinées. La vision intérieure n’est pas disponible pour ceux qui résonnent principalement avec la densité du monde tridimensionnel simplement parce que leur énergie ne s’aligne pas avec les fréquences dimensionnelles supérieures.

VOUS ÊTES CONSCIENCE ET N’AVEZ JAMAIS ÉTÉ À L’INTÉRIEUR D’UN CORPS PHYSIQUE… VOTRE CORPS EST EN VOUS => CONSCIENCE. Vous avez formé votre corps en fonction de vos besoins et il existe parce que régi par votre état de conscience. En comprenant cela, vous commencerez à remettre en question le pouvoir que vous attribuez à votre corps physique, car vous réaliserez que tout pouvoir gouvernant le corps physique est le reflet de votre état de conscience. « La conscience est pouvoir vérité, réalité… »

Extrait de Arcturian Group, 11/02/2018

 

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L’alchimie est la fusion intégrale de toutes nos composantes intérieures

Par Yvan Poirier

Salutations Chers Frères et Sœurs de la Lumière UNE,

L’alchimie

Une autre des particularités relatives à la mécanique quantique nous fait voir qu’il existe des liens très proches entre cette mécanique et l’alchimie à plusieurs niveaux. En fait, l’alchimie représente une autre vibration via la Science Supramentale. Elle fait découvrir que les énergies créent en nous des modifications morphologique, cellulaire et moléculaire. Il s’agit, évidemment, de la Transsubstantiation, donc de la modification des substances dans toutes nos cellules qui se vit dans les recoins du corps, grâce au Feu Igné.

C’est une science utilisée, encore aujourd’hui, par ce que je nomme des mages, qui œuvrent pour la transformation des composantes physiques des métaux par la fusion d’objets précieux. La science de l’alchimie ne date pas d’hier. Elle est née déjà depuis plusieurs centaines d’années. Elle a été un outil alchimique, notamment, utilisé en Égypte, mais aussi par les magiciens, les druides et même des rois de l’époque. Un de ses concepts était de développer la pierre philosophale en trois propriétés essentielles : changer les métaux vils en métaux précieux comme l’argent ou l’or; de guérir les maladies; et de prolonger la vie humaine au-delà de ses limites naturelles.

L’alchimie n’est pas uniquement la science des fusions des métaux comme l’argent, le plomb, l’or, des pierres précieuses comme le lapis-lazuli considéré comme une plante qui croît, etc. Elle doit être, également, dévoilée comme étant une science, qui met en vibration notre corps et nos cellules dans un état vibratoire, où l’effervescence de la Lumière Vibrale via le Feu Igné fait transmuter nos cellules, nos atomes et nos particules subatomiques. Ces mécanismes permettent de transcender plusieurs facettes dont notre corps est porteur, comme une maladie ou même la dégénérescence des tissus et des cellules dans le processus énigmatique du vieillissement.

Ma vision n’enlève rien vis-à-vis la science que les Léonard De Vinci, Bolos de Mendès ou d’autres initiés de cette science ont développés. Ces êtres remplis d’Amour Vibral ont prouvé par cette science que la fréquence d’amour fusionnée entre les métaux représentait une énergie d’abondance à tous les niveaux. En fait, leurs études ont permis de réaliser, consciemment et/ou inconsciemment, que ces métaux en fusion, n’étaient que le miroir de ce que nous sommes intérieurement dans nos cellules où se cache notre ADN quantique. Ils savaient dans leur for intérieur qu’il existe une Fontaine de Jouvence à quelque part en chacun de nous, et qu’il ne reste qu’à la découvrir.

En outre, il s’agit de conscientiser de quelle façon nous pouvons développer notre propre alchimie intérieure, mais avec un autre point de vue multidimensionnel. L’alchimie est une question purement d’assises atomique et subatomique de la matière, qui sont mises à profits pour observer que par le Feu éthérique unifié ou Feu Igné tout se peut, tout transcende, tout se dématérialise, tout se décompose, tout se fusionne, voire tout s’alchimise à la fin. C’est le propre de cette science de faire découvrir que nous fusionnons notre matière avec notre éther qui crée une énergie alchimique et un Feu Igné qui dissous l’éphémère en nous, qui nous mènera, tôt ou tard, vers l’Ascension multidimensionnelle.

L’alchimie est, en réalité, la fusion intégrale de tous nos corps subtils, de nos chakras, de nos Couronnes Radiantes, de notre Antakarana, qui s’ouvrent enfin vers l’apothéose de leurs principes divins. Grâce à l’alchimie qu’on peut interpréter dans son essence comme étant la « Chimie de Al ou (Al)cyone ou la Source Centrale de la Création », elle fait intrinsèquement partie de nous. Par cette alchimie qui se produit en nous par les Particules Adamantines et des énergies multidimensionnelles de la Grâce divine, possèdent des effets majeurs pour créer un dynamisme de reconnexions quantiques entre nous et la matière. Les réactions alchimiques font en sorte que nous effectuons des sauts quantiques manifestés et générés, en partie, par des quanta d’énergie.

L’alchimie dynamise tout notre système physique, cellulaire, organique ainsi que nos essences subtiles, qui actualisent notre spiritualité sous tous ses chapiteaux invisibles et même indivisibles afin qu’elle s’unifie au même moment avec la conscience qui s’expanse. Elle réactive les atomes comme les électrons, les photons, les bozons, les fractales, etc. à se dynamiser pour aboutir à faire des sauts quantiques dans toutes nos structures métaphysiques.

Ces sauts quantiques ont des effets renversants, non seulement dans nos cellules, mais aussi au niveau de notre conscience qui s’élargit exponentiellement. La Spiritualité Unifiée grâce à la conscience devrait être, en partie, représentée par l’alchimie que nous effectuons entre notre corps et ses composantes, notre conscience, qui s’éveille et notre Esprit qui s’alchimise avec notre Corps d’Êtreté.

Avec tout mon Amour!

Source « Chronique trouvée sur lapressegalactique.org » Partagé par www.eveil.tv

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VOICI COMMENT RECONNAÎTRE LES INTENTIONS DE L’ÂME

Dans le milieu de la spiritualité, le pouvoir de la pensée positive semble incontesté, voire presque sacro-saint. On nous dit même que nous créons notre propre réalité. Les auteurs qui écrivent sur ce sujet nous promettent des résultats les plus miraculeux : en entretenant les bonnes pensées et en répétant des affirmations, nous pouvons créer tout ce que nous souhaitons vivre à l’avenir.

Nous pouvons même transformer des événements négatifs et traumatisants de notre passé en positif. Une fois l’expérience traumatisante dé-créée, nous pouvons continuer notre vie comme si l’événement négatif n’avait jamais eu lieu. Cependant, beaucoup de personnes s’emploient ardemment à utiliser la pensée positive pour améliorer leurs conditions de vie, sans connaitre l’amélioration souhaitée : ni la guérison d’une maladie persistante, ni la prospérité financière rêvée, ni le grand amour tant attendu. Est-ce parce qu’elles ne s’y prennent pas comme il faut ? En outre, si les pensées positives ont tant d’effet sur notre réalité, n’en va-t-il pas de même pour les pensées négatives ? Après tout, nous sommes souvent traversés par des peurs et des inquiétudes. Il suffit de prendre par exemple les soucis que peuvent faire les parents pour leurs enfants. « Vont-ils rentrer à la maison sains et saufs ? », « Vont-ils savoir refuser de prendre de la drogue ? »…

Malgré ces peurs très courantes, pour la grande majorité, tout se passe bien. Sans oublier ces nombreuses pensées anxieuses concernant nos petits symptômes physiques où nous nous demandons si nous n’aurions pas quelque chose de grave. Mais en règle générale, toutes ces pensées négatives nourries par la peur ne deviennent pas notre réalité… bien heureusement !

Nos pensées n’ont-elles donc aucune influence sur la réalité qui nous entoure ? Ne sommes-nous pas les créateurs de notre propre réalité ? L’univers n’est-il en rien affecté par nos pensées positives ou négatives ? Suit-il simplement son cours, indépendamment de nos états ? Je ne le pense pas. Mais la relation entre nos pensées et notre réalité est sûrement beaucoup plus subtile que ce que proposent de nombreuses théories sur le sujet. Afin de bien comprendre cette relation il me semble nécessaire d’explorer le rôle de l’âme dans le processus de création, et d’aborder la possibilité que c’est en nous connectant à notre âme que nous pouvons soutenir ce processus.

Qui est le créateur de nos vies ?

Pour mieux saisir la relation entre la pensée et la réalité nous devons tout d’abord comprendre véritablement ce qu’est la création. La création est une force qui émerge d’un état d’unité absolue : le Tout, la Source Première, le mystère que nous appelons parfois Dieu. De cette Source naît non seulement la création, mais aussi des créateurs ; des êtres d’un ordre très élevé que l’on pourrait appeler les Archanges. Ce sont des êtres cosmiques très majestueux et chacun représente un aspect de la Source originale. Bien qu’un Archange soit un être magnifique et vaste, il n’est pas tout ; il ne représente pas toute la création, puisqu’il y a de nombreux Archanges. Ainsi, comme tous les êtres individuels, ils perçoivent une différence entre leur monde intérieur (leur manière d’expérimenter la vie) et le monde extérieur (le reste de la création). Ce monde intérieur est unique, et par conséquent, la création des Archanges donne lieu à l’individualité. C’est l’expérience d’un monde extérieur infini, par opposition à un monde intérieur unique, qui crée la notion de l’individualité.

La distinction entre une réalité intérieure et une réalité extérieure donne lieu également aux concepts du temps et de l’espace. Car dès lors que vous vivez quelque chose comme étant extérieur à vous-même, cela signifie qu’il y a de l’espace à l’extérieur de vous. Et du point de vue des êtres extérieurs à vous-même, vous occupez une place dans ce même espace ; vous partagez cet espace, et ainsi l’espace devient objectif. La notion même de l’espace implique qu’il existe des êtres différents, avec leur propre façon subjective de vivre le monde extérieur.

S’il n’y avait qu’une unité, un tout, la notion de l’espace n’aurait aucune signification, les notions mêmes d’extérieur ou d’intérieur n’existeraient pas.

De plus, à partir du moment où plusieurs individus occupent un espace partagé, il y aura une interaction et une communication entre eux, ce qui crée la notion du temps. La communication affecte la réalité intérieure des êtres individuels ; elle implique qu’un changement s’opère chez eux, et le changement implique une notion de temps. Ainsi, dès lors que des êtres conscients interagissent, il existe inévitablement la notion du temps, un temps partagé.

Par la création des Archanges, la Source infinie a donné naissance à l’individualité, à la distinction entre une réalité intérieure et extérieure, à l’espace, au temps, et à la possibilité d’interagir et de communiquer. A partir de cette seule étape, les bases de la création ont été posées. Les Archanges à leur tour créent de nombreux nouveaux êtres ; de nouveaux créateurs qui portent en eux une partie de l’essence de l’Archange, mais qui ajoutent quelque chose d’unique qui leur appartient. Chaque acte de création implique quelque chose de nouveau. Et ainsi cela se perpétue, sans fin. Les créateurs nouveau-nés créent de nouveaux créateurs à leur tour. Il y a un renouvellement continuel au niveau des créateurs, ce qui engendre de nouvelles dimensions de temps et d’espace. Lors de l’un de ces niveaux, émerge l’être humain. Dans l’absolu, tout ce que nous créons en tant qu’êtres humains fait partie du processus fondamental de la Source qui est celui de créer une vaste diversité de créateurs qui ont tous pour origine la même Unité.

L’une des règles principales de ce processus est la suivante : en tant que créateur, vous pouvez créer tout ce que vous souhaitez, à condition que ce soit en harmonie avec la source plus élevée, celle qui vous a créé. Pour les Archanges, leur source plus élevée est Dieu, pour nous, c’est notre âme. L’âme est le créateur de notre personnalité humaine, et en tant qu’être humain nous reflétons un aspect de notre âme, de la même manière qu’un Archange représente un aspect de Dieu.

Les deux facteurs fondamentaux qui déterminent notre réalité humaine sont donc : 1) notre âme, et ses intentions pour nous, et 2) notre volonté ou non de travailler en collaboration avec notre âme, la source qui nous a créés. Notre âme a un projet de vie pour nous, qui peut comprendre des objectifs qui sont différents de nos idées sur ce qui est souhaitable dans notre vie.

La force créatrice principale dans nos vies est notre âme, et non nos pensées humaines. Nous pouvons cheminer avec ou contre la force créatrice de notre âme. La pensée positive ne sera pas efficace si elle vise des désirs qui ne correspondent pas au but de notre âme. Mais des pensées positives en adéquation avec les intentions de l’âme soutiennent le processus de création et apportent plus de grâce et de facilité à son déroulement.

Nos pensées peuvent ainsi faire une grande différence : en tant qu’êtres humains nous possédons une grande liberté même si elle reste la force créatrice principale de nos vies. Son but fournit la trame, le terrain de jeux ; nous remplissons les détails. Ce but laisse une grande marge de manœuvre, puisque nous sommes censés être des créateurs nous-mêmes, et ainsi ajouter quelque chose de nouveau à la réalité de l’âme. Elle confère à chaque vie une vision directrice, un objectif global, et en utilisant notre créativité afin de servir cette vision, nous nous donnons la possibilité de savourer la vie avec le plus grand bonheur et épanouissement.

1. Gardez un esprit léger et ludique

Cheminer en harmonie avec son âme procure un sentiment de joie et d’inspiration, il n’y a rien de pesant. L’âme nous parle à travers des ressentis de joie, d’inspiration, et d’encouragements. Si vous êtes en train de répéter des affirmations et que vous le vivez comme une tâche difficile ou lourde, vous n’êtes pas en phase avec votre âme. Par exemple, imaginons que vous souhaitez trouver une nouvelle maison. Vous vous permettez d’y songer de façon imaginative et ludique, comme un enfant : vous imaginez où elle pourrait se trouver, comment allez-vous la meubler, la décorer, à quoi pourrait ressembler le jardin…

Vous vous imaginez en train de recevoir vos proches avec joie, et songez à quel point vous allez apprécier votre nouvelle maison. Si ces rêveries vous procurent du bonheur, cela signifie que vous êtes en bonne voie, que vous êtes en train de créer quelque chose qui est en accord avec votre âme. Autorisez-vous à laisser libre cours à votre imagination. Ne vous limitez pas avec des pensées telles que « Ce n’est pas réaliste, je n’arriverai pas à avoir cela », simplement plongez-vous dans votre rêve aussi longtemps que cela vous donne de la joie. Le sentiment joyeux est une confirmation que votre projection est cohérente avec le projet de votre âme.

Autrement dit, si vous utilisez la pensée positive de la plus juste manière qui soit, la pensée positive est en elle-même une récompense : c’est une expérience qui vous apporte du plaisir et un mieux-être. Tant que vous êtes dans cet élan d’anticipation joyeuse, vous êtes connecté à votre âme. Si par contre vous remarquez des sensations désagréables, ou si l’exercice vous demande beaucoup d’effort, cela signifie que votre imagination n’est pas alignée avec votre âme. Si vous êtes en train de projeter des pensées qui ne sont pas en harmonie avec le but de votre âme, il y aura un sentiment de quelque chose de forcé, de contrôlant ; le côté ludique et joyeux de l’exercice sera absent.

2. Faites la distinction entre l’amour et la peur

Afin de savoir si vos pensées sont alignées avec le but de votre âme, vous pouvez vous poser la question suivante : “Mes pensées positives, sont-elles basées sur la peur ou sur l’amour ? ».

Prenons l’exemple d’une personne qui vit des soucis d’argent. Des centaines de fois par jour, elle répète solennellement l’affirmation « Je suis riche et prospère », tout en se concentrant sur des images de prospérité et d’abondance. Cependant, si la source véritable de cette affirmation est la peur de manquer, elle ne sera pas efficace. Les pensées positives ne peuvent être bénéfiques que lorsqu’elles ont leur source dans l’amour, ce que l’on reconnaît par les sensations de joie et de légèreté qui les accompagnent. Les affirmations qui ont un véritable pouvoir créateur vont de pair avec une conviction sereine que tout ira bien, tandis que les pensées qui sont issues de la peur, bien qu’elle puisse avoir l’air très positives sur la surface, sont rarement bénéfiques. Elles ne sont pas en harmonie avec l’âme, et ce sont les émotions inconfortables sous-jacentes qui nous le montrent.

Ce n’est que lorsque la personne qui a des soucis d’argent devient consciente de sa peur de manquer qu’elle peut formuler ses pensées à partir de l’amour. Elle a d’abord besoin de regarder de façon honnête la nature de sa peur. Peut-être qu’une partie d’elle n’est pas convaincue de mériter de recevoir l’abondance, ou alors il y a en elle une sorte de rejet profond de la vie sur terre, ce qui l’empêche d’accéder à l’abondance au niveau matériel. Son ange ne juge rien là-dedans, et si la personne se met en lien avec son âme, elle aura plutôt tendance à vouloir envoyer des pensées aimantes et rassurantes à la partie d’elle qui a peur.

Elle commence ainsi à se transformer au niveau intérieur. Une fois qu’elle a reconnu et libéré cette part d’ombre, les choses pourront se transformer sur le plan extérieur. Même s’il n’y a pas d’arrivée d’argent tout de suite, le fait que la personne évolue intérieurement et ressent plus de compassion pour elle-même rend sa vie plus légère et fluide. Par conséquent, elle devient plus lumineuse et plus optimiste, et cette attitude plus positive attire de nouvelles opportunités vers elle : ainsi l’abondance intérieure commence inévitablement à se refléter à l’extérieur.

 

Créer en disharmonie avec l’âme

Imaginez un ange magnifique, juste au-dessus de vous, qui émane une joie et une sagesse tranquilles. Cet ange vous aime, de façon inconditionnelle ; il ne vous rejette ni ne vous condamne, quoi que vous fassiez. Considérez maintenant que cet ange est votre âme. Tant que vous êtes près de cet ange et que vous ressentez sa présence, tout va bien, vous vous sentez aimé et choyé. Vous avez le sentiment qu’il y a quelque chose de plus grand et plus aimant que vous qui vous soutient sur votre chemin de vie. Vous êtes en mesure de vivre de la joie et de la sérénité même lorsque la vie ne se déroule pas de façon fluide.

Si, au contraire, vous ne suivez pas le chemin de votre âme, que vous allez à l’encontre de vos sentiments profonds et que vous essayez de trop contrôler la vie, vous perdez le contact avec la sagesse de votre âme. Vous commencez à ressentir une sorte de vide à l’intérieur. Comme pour tout le monde, il vous arrive parfois de vous laisser embarquer par vos préoccupations terrestres et de focaliser toute votre attention sur des choses qui vous semblent certes très importantes, mais qui ne contribuent pas forcément à votre évolution intérieure, telles que la reconnaissance, les possessions, la réussite, l’argent… Ainsi vous suivez un autre chemin que l’ange, et vous commencez à sentir une tristesse et une solitude au fond de vous.

Vous tentez alors de résoudre la situation en travaillant plus dur, en essayant d’obtenir plus d’argent, de succès ou de pouvoir, car la société dans laquelle vous avez grandi vous a appris que ces choses-là sont importantes. Ou encore, vous essayez de soulager votre solitude en cherchant le partenaire idéal. En réalité ce que vous êtes en train de faire, c’est chercher votre ange intérieur dans le monde extérieur. Cela est toujours voué à l’échec, car une condition ou une personne extérieure ne pourra jamais remplir le rôle de votre ange intérieur ; le résultat sera toujours décevant. Et plutôt que de rétablir la connexion avec votre âme, vous aurez le sentiment d’en être plus éloigné encore.

Il se peut souvent à ce moment-là qu’une crise surgisse dans votre vie, une épreuve qui vous invite à vous réveiller et à vous réaligner avec votre âme : cela peut prendre la forme d’une maladie ou d’un événement douloureux tel qu’un divorce ou la perte d’un emploi. Il devient alors essentiel que vous vous tourniez vers l’intérieur et cherchiez activement à rétablir la connexion avec votre ange. Car si vous souhaitez créer une vie nouvelle, plus épanouissante, la pensée positive seule ne suffira pas.

Si vos pensées positives ne visent qu’à gommer les coups durs pour que vous puissiez retourner à la vie à laquelle vous étiez habituée, elles sont vouées à l’échec, car elles vont à l’encontre des intentions de l’âme. De la même manière, si ces pensées positives ou mantras sont utilisées dans le but d’éliminer une maladie ou un malheur, elles ne représentent alors qu’un moyen de renier ou refouler l’ombre intérieure, qui demande, au contraire, que vous la regardiez en face. C’est seulement lorsque vous accueillez pleinement vos émotions et peurs les plus profondes, et que vous rétablissez le lien conscient avec votre âme, qu’une vraie solution pourra émerger. Lorsque vous êtes prêt à faire face à votre obscurité intérieure et à écouter vraiment ce que votre cœur souhaite vous dire, votre âme vous apportera la solution.

Il se peut que vous vous demandiez peut-être pourquoi nous avons des désirs qui vont à l’encontre des projets de notre âme, ou pourquoi l’âme a des objectifs qui vont à l’encontre de nos projets. La raison réside dans le fait que le but principal de notre âme est la croissance intérieure, tandis que nous recherchons souvent des solutions à nos problèmes dans le monde extérieur.

Du point de vue de l’âme, les expériences négatives arrivent pour nous guider vers la libération et la évolution intérieures. Pourtant nous préférons souvent éviter ces expériences. Nous cherchons à nous débarrasser de la douleur physique ou émotionnelle. Envisager que cet inconfort puisse avoir du sens et nous mener à une meilleure compréhension de nous-mêmes, représente un vrai défi. C’est seulement lorsque nous reconnaissons la sagesse de notre âme, qui dépasse notre compréhension humaine, que nos pensées ont un pouvoir créateur. Seule la pensée positive qui reconnait la valeur et la signification des « expériences négatives » est alignée avec la force divine qui crée l’univers.

Reconnaître les intentions de votre âme

J’ai affirmé que si nous souhaitons changer notre réalité par la pensée positive, il est très important que nous le fassions en harmonie avec notre âme. Si la pensée positive ne vise pas à approfondir la connexion avec notre âme, si elle n’est pas en phase avec le but principal de l’âme, alors le résultat, quel qu’il soit, ne nous apportera pas de bien-être durable. La question se pose alors, comment travailler en accord avec notre âme ? Comment savoir si nos souhaits et désirs sont alignés avec la vision et le but de notre âme ?

Lorsque vous avez des souhaits ou des désirs, il serait donc bénéfique de vérifier s’ils naissent de la peur ou de l’amour. Si c’est la peur, tournez-vous vers l’intérieur de vous et regardez cette partie de vous qui a peur. Observez-la avec tendresse et sincérité, et posez-vous cette question, « De quoi cette partie de moi a-t-elle vraiment besoin à présent ? ».

En agissant ainsi, vous découvrirez très souvent que la réponse est en lien avec quelque chose à l’intérieur et non à l’extérieur. Le besoin concerne souvent des qualités telles que l’estime de soi, la confiance, la capacité de poser ses limites, la compassion ou l’humour. Ainsi vous détenez la possibilité de vous apporter ce dont vous avez besoin en développant ces qualités dans votre vie quotidienne. De cette façon, vous êtes à l’écoute de la partie de vous qui a peur et cela peut engendrer des changements dans vos souhaits et vos désirs. Ils auront tendance à se baser davantage sur l’amour et la compassion pour soi, plutôt que la peur.

Guérir l’ombre en nous est un chemin profondément créatif. Faire face à la peur et l’envelopper d’une énergie aimante s’avère bien plus efficace que toutes les affirmations que l’on puisse imaginer! Et le fruit de ce travail est une connexion approfondie avec votre âme qui se met à rayonner au travers de vous. C’est cette lumière-là qui est créative. Elle peut créer une réalité extérieure (travail, relations..) qui vous apportera la croissance intérieure, la joie et le bonheur.

Conclusion

Reprenons le titre de cet article : Si nous créons notre réalité, pourquoi nous vieillissons ? » D’un point de vue humain, devenir vieux est quelque chose d’indésirable ; du moins c’est la croyance qui est souvent présentée par le biais des médias et de la publicité. Une quantité incroyable de temps et d’argent est dépensé à entretenir l’idéal de rester – et paraître – jeune. Mais vous pouvez répéter autant de pensées positives et d’affirmations que vous voulez, vous allez inévitablement vieillir.

Vos pensées sont impuissantes face au processus naturel de vieillissement. Mais regardons maintenant cet enjeu depuis la perspective de l’âme. Se préoccupe-t-elle de préserver notre jeunesse ? De son point de vue, le temps n’a aucune prise sur nous, seul notre corps vieillit. Si vous souhaitez vous mettre en lien son point de vue, regardez-vous dans un miroir : vous constaterez que votre visage vieillit, mais vous pouvez en même temps remarquer qu’il y a quelque chose en vous, derrière vos yeux, qui ne change pas. Voici ce que vous êtes réellement.

L’être humain aimerait peut-être rester dans ce corps pour toujours, mais elle, ne le souhaite pas. Elle sait qu’il y a infiniment plus de mondes et de dimensions à explorer et expérimenter. L’âme regarde au-delà de ce que nous voyons avec nos yeux humains, et sait que l’univers nous attend.

© Gerrit Gielen
Traduction Kate Bentley
Source: http://www.jeshua.net/fr/

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QU’EST-CE QUE LA PRÉSENCE ET COMMENT L’INTÉGRER DANS NOS VIES PERSONNELLES

Qu’est-ce que la présence ?

La présence pourrait être définie comme un état d’alignement total avec ce qui est. C’est un état de conscience pur où nous sommes à la fois l’observateur et l’expérimentateur, celui qui fait l’expérience de la vie et celui qui l’observe.

Beaucoup de philosophies spirituelles à travers les âges, parlent de cet état de présence comme étant l’état d’éveil, où l’ego a été dompté et il ne reste plus que cette conscience-témoin, l’observateur neutre qui fait l’expérience de la vie.

Plus récemment en Occident, c’est Eckhart Tolle qui a réintroduit la notion de présence comme une clé spirituelle pour vivre un mieux-être au quotidien. Mais entre la théorie de ce qu’est la présence et pratiquer la présence dans nos vies quotidiennes, vous l’avez deviné, il y a un monde ! Je vais tenter ici de donner quelques pistes pour pouvoir intégrer cette présence plus aisément dans notre vie quotidienne.

Le béaba de la présence : la méditation

Tout d’abord, il est plus facile de sentir ce qu’est réellement la présence si nous pratiquons de manière régulière la méditation. En effet, nous vivons dans un monde qui va à 100 à l’heure, où notre mental et notre attention sont constamment sollicités. Prendre un temps quotidien pour soi, loin des tumultes de la vie, et avoir une pratique méditative est un pas essentiel vers plus de présence dans sa vie. Quand nous sommes en méditation, nous tournons notre regard de l’extérieur vers l’intérieur. Il est donc plus facile de prendre conscience de nos pensées, de nos sensations et de nos émotions, et donc d’être plus présent en tant qu’observateur de ce qui se passe en nous.

Qu’est-ce qui nous empêche d’accéder à la présence ?

Très souvent, lorsque l’on a une pratique méditative régulière, on se rend compte que bien que l’on arrive à relaxer son corps et son esprit et à être dans un état d’observation pendant la méditation, dès que l’on sort de la méditation, on rebascule dans ce qu’on pourrait appeler un état d’inconscience. Le mental se remet en route, les pensées nous traversent, les peurs, les doutes, les obligations quotidiennes : « Et si j’avais fait ça hier? », « et si je faisais ça demain ? », etc. Bref, on s’identifie à nos pensées et on vit dans le passé à ressasser ce qu’on aurait dû faire ou ce qui est arrivé, ou bien dans le futur en angoissant de ce qu’il adviendra.

Même chose lorsque l’on est en interaction avec le monde extérieur et surtout d’autres êtres humains. Combien de fois n’a-t-on pas expérimenté un état de calme intérieur lors de notre méditation, et une fois la méditation finie on croise notre partenaire ou une autre personne qui va appuyer sur un de nos boutons et déclencher une réaction automatique négative de notre part ? Et ensuite on l’accuse de nous avoir fait sortir de notre être état de paix intérieur ! Tout cela sont des signes, des petites sonnettes d’alarme pour revenir à la présence.

Il y a aussi quelques malentendus concernant la présence. Souvent quand on dit présence, on pense paix intérieure, mais la présence n’est pas forcément un état de paix intérieure constant. Être présent veut dire être présent à TOUT ce qui se passe en nous et autour de nous. Dès lors que nous vivons une émotion difficile par exemple, on a tendance à tout faire pour la fuir et ne pas la sentir. Être présent à nos émotions veut dire être dans l’accueil de cette émotion qui nous traverse, observer qu’est-ce que cette émotion ou réaction initie en nous et ce qu’elle vient toucher.

Être présent n’est pas non plus quelque chose que nous pouvons faire que dans la solitude, nous sommes des êtres sociaux, alors pourquoi ne pas pratiquer la présence à l’autre ? La présence et non pas le jugement, c’est-à-dire peut importe ce que l’autre me renvoie, je me permet d’être dans la présence de ce que je ressens tout en étant présent à ce que cet autre ressent.

Le sésame pour accéder à la présence : La respiration

Lorsque nous ne sommes pas présents, nous sommes dans un état d’alerte et de survie, un état où notre système nerveux est hyper-stimulé. Pour accéder à cet état de présence, nous devons nous relaxer et pour se relaxer nous devons prendre conscience de notre respiration, la ralentir et l’approfondir. Voilà l’une des clés de la présence. Peu importe la situation dans laquelle on se retrouve, revenir à la respiration va nous aider à relaxer notre système nerveux, notre esprit, et donc à revenir à la présence, qui est un état d’être aligné avec qui nous sommes véritablement, c’est à dire cette conscience-témoin du monde.

Un exemple de pratique quotidienne de la présence :

Et si nous décidions de vivre cette présence au quotidien ? Et si nous décidions de ne plus faire les choses machinalement ou de manière automatique ? Voici un exemple de pratique de la présence que l’on peut intégrer dans notre quotidien :

Prenez une activité quotidienne banale (par exemple : faire la vaisselle, la cuisine, le ménage, se laver, faire le jardin). Revenez d’abord à votre respiration en la ralentissant et en l’approfondissant, sentez vos pieds bien ancrés sur le sol, observez ce qui se passe en vous. Puis tout en vacant à vos occupations, ralentissez, prenez conscience de chaque geste que vous effectuez, de la sensation que vous avez dans votre corps, dans vos mains, de ce que vous voyez avec vos yeux. Prenez conscience des pensées qui vous traversent puis laissez-les partir et revenez à votre corps. Soyez pleinement présent dans ce que vous faites, remarquez le plaisir qu’il y a à être observateur de ses gestes, de ce corps et de vivre cette expérience avec toute la présence de votre être.

L’état de présence est tout simplement la capacité de savourer chaque moment de notre vie, aussi banal soit-il. Et quand on est simplement heureux de vivre cette expérience du moment présent, en le prenant comme un cadeau de la vie (d’ailleurs « présent » en anglais se dit « présent » qui veut dire aussi « cadeau »), là on commence à faire émerger en soi ce qu’on appelle la félicité.

Cet article est basé seulement sur des témoignages et l’expérience personnelle de ou des auteurs.

Sat Nam

Gabrielle Isis

Source Source : https://www.gabrielleisis.com/ Partagé par www.eveil.tv trouvé sur  https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com

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J’ai le droit de ne rien faire ! Plus encore… j’ai le droit de ne pas être parfait(e)

Peut-on ÊTRE nous-mêmes, simplement, tel que nous sommes ?

Avec tout ce que cela comporte, TOUT.

La vie est ce qu’elle est, avec ses hauts et ses bas ; la joie et la tristesse, la peur et l’amour… Avec TOUT ce qui EST ! Rien n’est ni bien, ni mal.

L’invitation est d’Être AVEC ce qui EST, c’est TOUT !

Voyons avec lucidité ce monde que nous avons fabriqué à notre convenance, selon NOS critères, NOS valeurs, NOS croyances. Voyons le décalage qu’il y a très souvent entre ce que nous pensons et ce que nous sommes

Véritablement! Entre un événement tel qu’il est et ce que nous projetons de celui-ci, avec toutes les histoires que nous y ajoutons.

Entre la réalité de ce qui EST et ce qui se raconte dans notre tête en pensant à cela.

Ceci nous amène à Être vrai, authentique, honnête et à Voir que ce qui semble parfois être imparfait, est en fait ce que nous nommons « la Vie ».

Et celle-ci, fait ce qu’elle a à faire, lorsque c’est le temps de le faire, c’est tout !

Quelque soit l’expérience que nous vivons, aussi atroce ou enchanteresse soit-elle… elle va passer, parce que TOUT PASSE, oui TOUT PASSE!

Il n’y a rien à éviter, à nier, à transcender, à guérir… Soyons réalistes!

Il n’y a pas plus tard…. Il n’y a pas de paradis à la fin de nos jours.

La seule réalité qui soit : ICI et MAINTENANT… AVEC ce qui EST.

Source Ginette Forget  : ginetteforget.blogspot.ca/ Partagé par www.eveil.tv trouvé sur https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com

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Pourquoi réduire sa consommation de produits d’origine animale ?

vegan

par Adrien Lamacchia

Les recommandations officielles nous conseillent de consommer un produit animal par jour (viande, poisson, oeuf). Or de plus en plus d’études montrent preuves à l’appui que les produits animaux sont loin d’être une nécessité et au contraire on devrait s’en éloigner. Nous pensons à tort avoir une physiologie et une anatomie de carnivore alors que nous n’avons rien en commun avec toutes les espèces carnivores du monde.

Les carnivores ont des intestins très courts pour que la viande ne séjourne pas trop longtemps dans leurs entrailles parce qu’elle putréfie très rapidement avec la chaleur et l’humidité interne alors que les hommes ont des intestins très longs qui font 10 fois la taille du corps. Les carnivores ont des reins volumineux et très puissants permettant de filtrer l’acide urique, produit directement des viandes dans le corps alors que l’homme a des tout petits reins très faibles qui ne peuvent pas filtrer cet acide urique en grande quantité.

Les carnivores ont les canines beaucoup plus longues que le reste de leur dentition alors que les hommes ont les canines à la même hauteur. C’est ce qui explique pourquoi lorsque l’on donne à un enfant un morceau de viande rouge, il a plus de mal à le mâcher qu’un simple fruit. Les carnivores ont des griffes pour tuer et déchirer leur proie alors que l’homme a toujours eu des ongles avec lesquels il est incapable de chasser dans un contexte naturel.

Contrairement à ce que l’on essaye de nous faire croire, il n’y a pas eu adaptation avec le temps parce que l’homme n’a pas eu les intestins qui se sont raccourcis avec le temps, ni les reins et le foie qui se sont développés, nous n’avons pas des griffes qui ont poussé, ni une fourrure permettant d’éliminer les toxines des produits animaux et la longueur de nos canines est restée la même.

Pourquoi réduire sa consommation de produits d’origine animale :

I. Le mythe des protéines.

En faisant rapidement un tour du monde on se rend compte que tous les peuples du monde ne sont pas des grands consommateurs de produits animaux, il n’y a qu’en Occident que les viandes ont pris une importance que l’on connaît à l’heure actuelle. Les produits animaux sont le deuxième facteur causal d’obésité dans le monde après les sucreries industrielles. Les produits animaux sont recommandés pour leur apport en protides (protéines) ou besoins azotés.

Mais il est important de comprendre que nous n’avons pas besoin d’autant de protéines que cela. Pourquoi ? Parce que l’essentiel de nos protéines ne sont pas apportées par nos aliments mais sont produites par notre corps lui même par transmutation biologique. La science actuelle a établi qu’un élément pouvait transiter d’un état à un autre : liquide à solide, solide à gaz, etc…

Mais depuis les recherches de Louis Kervran, les transmutations biologiques dans un organisme vivant consistent à modifier un élément en un autre qui n’existait pas auparavant comme le magnésium en calcium, le manganèse en fer ou encore la silice en calcium. Ce qui justifie les études qui montrent que la laitue extrêmement riche en silice permet d’avoir des os solides (calcium).

En effet, comment expliquer qu’une poule pond des oeufs dont la coquille est essentiellement constituée de calcium alors qu’il n’y a aucun calcium dans sa nourriture faite principalement de graines et de céréales. Comment expliquer qu’une vache est capable de produire des tonnes de corps gras dans son lait alors qu’elle ne broute que de l’herbe. L’herbe ne contient aucune graisse qui explique sa teneur aussi élevée en graisse dans son lait. Comment le gorille qui est le primate le plus apparenté à l’homme pèse 200 kilos de muscles alors qu’il ne mange que des fruits, des légumes et de la verdure dans lesquels il y a moins de 2% de protides.

C’est un phénomène qui est parfois dur à accepter en tant qu’humain de par notre raisonnement cartésien mais qui est indispensable pour comprendre encore plus la complexité physiologique du vivant et de l’homme.

Les transmutations biologiques se passent à l’intérieur de notre corps particulièrement au niveau de la flore intestinale. La flore intestinale est l’une des densités bactériennes les plus importantes que nous connaissons. On dénombre 450 espèces de bactéries dont a montré scientifiquement qu’elles assurent le transit intestinal, la vitesse de renouvellement des cellules de la muqueuse intestinale, le métabolisme des sels biliaires, la SYNTHÈSE DES PROTÉINES, la synthèse de certaines vitamines comme la vitamine B12 que l’on ne trouve nulle part dans les aliments.

Notre corps est le siège d’un laboratoire chimique interne le plus sophistiqué au monde qui s’occupe de toutes les transmutations biologiques qui doivent être faites à condition seulement de lui apporter les éléments dont il a besoin.

II. L’équilibre acido-basique.

L’équilibre de notre corps peut se mesurer par notre indice d’acidité. Toute partie de notre corps a un indice d’acidité qui lui est propre et l’indice global de notre corps justifie que nous sommes en bonne santé ou non. Le prix nobel de médecine, en 1931, le Dr Otto Heinrich Warburg a dit : “Aucune maladie y compris le cancer ne peut exister dans un environnement alcalin”.

On comprend de suite qu’une maladie résulte d’un excès d’acidité qui résulte d’une alimentation trop acidifiante, un sommeil perturbé, une mauvaise gestion des émotions, un manque ou un sur-entraînement physique, etc… Peut-être que vous vous demandez quel est le lien avec les produits animaux et l’équilibre acido-basique.

Tout aliment que nous mangeons a un indice d’acidité qui lui est associé également et les produits animaux sont parmi les plus acidifiants que l’on connaisse en particulier les produits animaux issus des élevages intensifs. La cuisson à haute température augmente l’acidité par la formation de certaines molécules toxiques comme les molécules de maillard que l’on reconnaît lorsqu’il y a des taches noires carbonisées en périphéries des aliments cuits.

Evidemment, vous l’avez compris ce n’est pas un morceau de bidoche occasionnel qui cause une grosse maladie mais éventuellement une accumulation excessive qui s’étend sur plusieurs années, voire décennies. Éventuellement parce que l’alimentation est un levier parmi tant d’autres, c’est pourquoi il n’est pas aussi simple de guérir une grosse maladie dans la pratique comme j’essaye de l’expliquer sur le papier avec des principes généraux qui permettent de comprendre comment le corps fonctionne.

III. Comment remplacer les produits d’origine animale

Le nutritionniste Colin Campbell a dit : “la nourriture carnée est loin d’être une nécessité et au contraire il faut s’en éloigner”. Beaucoup de personnes en particulier les végétariens font l’erreur de remplacer les produits animaux riches en protéines par des protéines végétales comme les légumineuses ou encore les différentes graines et noix.

Mais les graines et les noix sont secs et dépourvus d’eau vitale dont le corps a impérativement besoin parce qu’il en est constitué à hauteur de 80%, elles contiennent plus de protéines que les viandes et contiennent des corps gras qui les rendent indigestes. Beaucoup de personnes n’arrivent pas à les digérer et les retrouve en partie dans leurs selles sans que les graines et les noix aient pu être assimilées par l’organisme.

Je vous conseille de remplacer les produits animaux par des légumes cuits si possible à la vapeur ou à l’eau pour éviter les déperditions de micronutriments. Faites des changements progressivement pour habituer votre corps. Selon l’état de chacun, cela prend plus ou moins de temps de faire ces transitions sans désagrément.

Adrien Lamacchia

Pour plus d’information, je vous redirige vers mon blog : www.santebienetreglobal.com

Trouvé sur https://www.sain-et-naturel.com/

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Prenez du recul et relativisez pour garder confiance en vous et en la vie

Prendre du recul est important. Pour ne pas sombrer dans le défaitisme et le pessimisme. Pour garder confiance en soi et en la vie. Mais ce n’est pas la tendance naturelle de l’Homme. Nous devons donc apprendre à prendre du recul. Voici un point de départ.

Dans le flot sans fin des mauvaises nouvelles et des contraintes, il n’est pas forcément simple de se couper de ce flux, de sortir la tête de l’eau, de relativiser et de prendre du recul.

Pourtant, prendre du recul est véritablement important pour garder confiance en soi et ne pas se noyer.​

La question qui se pose alors est « comment prendre du recul ? »​

Je vous propose quelques pistes …

Coupez court aux pensées négatives

La première chose qui va vous empêcher de prendre du recul, c’est vous-même. Et les pensées négatives que vous ressassez en boucle. Ou les problèmes et autres contraintes sur lesquels vous restez bloqué.

Aussi longtemps que vous ne verrez que le mauvais côté de toutes choses, vous attirerez davantage les aspects négatifs dans votre vie. Alors que des aspects positifs existent bel et bien. Mais vous ne les regardez pas.

Apprenez à contrôler et chasser vos pensées négatives.​

Revenez à aujourd’hui, et à maintenant

Une peur classique et récurrente, c’est la peur de l’avenir. Et il y a son pendant, la nostalgie et les regrets du passé.

Entre les 2, il y a le seul moment qui compte : maintenant.

« C’était mieux avant », ce n’est qu’illusion. Sur quels critères pouvez-vous dire que vos parents, et les parents de vos parents, vivaient mieux que vous ? Uniquement sur vos suppositions et votre imagination ? Ou les histoires des nostalgiques ? Quant au futur, et bien il n’est pas encore là. Alors pourquoi s’inquiéter d’un avenir que, de fait, vous ignorez ?

Revenez et restez essentiellement dans le moment présente, concentrez-vous sur votre attitude et vos actions quotidiennes.​

Distinguez ce qui dépend de vous, ignorez le reste

Sachez faire la différence entre ce qui dépend de vous et ce qui ne dépend pas de vous. Puis apprenez à ne pas vous inquiéter et à ne pas vous focaliser sur ce qui ne dépend pas de vous. Vous n’y pouvez rien ? Donc pourquoi vous en préoccupez ? À part vous faire du mauvais sang, vous miner le moral et rester dans une spirale négative.

La seule que vous pouvez faire de ce qui ne dépend pas de vous, c’est justement de ne pas vous en occuper. Vous économiserez du temps et de l’énergie. Que vous pourrez investir dans ce qui dépend de vous.​

Souvenez-vous de vos réussites​

Je suis sur que vous avez la mémoire courte.

Vous vous inquiétez des défis à venir, des problèmes à surmonter, des imprévus qui surviendront.

Mais vous rappelez-vous de tout ce que vous avez surmonté ? De tout ce que vous avez réussi ?

Je suis sur que cette liste est très longue. Surtout, elle est bien plus concrète que celle des problèmes qui pourraient arriver.

Si vous avez été capable de ces réussites, pourquoi ne le seriez-vous plus ? Listez ces moments, et aussi les apprentissages que vous en avez tirés. Cela permet de gagner confiance en soi et en la vie.​

Informez-vous avec intelligence et parcimonie​

Les actualités sont anxiogènes. Et les médias vous présentent un monde inquiétant et en proie à des problèmes sans fin. Surtout si vous les recevez sans sélection ni effort d’approfondissement.

Une première solution pourrait être de se déconnecter complètement. Une alternative est d’en faire un usage raisonnable :

  1. ​ne pas rester branché en continu sur les actualités ;
  2. s’accorder un unique mais long moment dans la journée pour s’informer ;
  3. diversifier ses sources ;
  4. approfondir afin de remettre en perspective ce que nous entendons au fil des flashs infos.​

Revenez à votre propre ressenti

Vous consommez maintenant les actualités intelligemment. Vous comprenez bien mieux les « crises » actuelles du monde. Cela étant, soyez honnête, ce n’est pas parce que c’est la crise par ailleurs que c’est la crise dans votre vie.

Dans votre vie, maintenant et tout de suite, comment êtes-vous concerné et touché ? Cette petite question vous permettra de réaliser l’écart entre le discours global et les actualités, et votre propre vécu.

Pour bien relativiser, il faut minimiser l’impact que peuvent avoir certains éléments dans votre existence.​

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LES NOUVEAUX SYMBOLES ASCENSIONNELS

par Bertrand Duhaime

Premier Symbole : ASCENTIA

Quatre symboles sacrés ont été transmis par l’archange Métatron. Lyn Ingham compare l’usage de ces quatre symboles avec l’utilisation des symboles Reiki et Reiki Karuna. Leur utilisation une nécessite d’harmonisation ou d’initiation comme dans ces systèmes énergétiques. Leur utilisation est donc disponible pour tous et gratuite.

J’ai personnellement testé le premier symbole et je puis déjà vous dire que sa puissance est exceptionnelle. L’effet est si fort qu’il est important de consacrer une semaine minimum à son étude et à son expérimentation.

Signification du symbole Ascentia :

Ce symbole, reçu en 1997, agit sur le cœur et au dessus du cœur (chakra du cœur ascensionné). Il infuse le corps de lumière d’énergie amené par Mahatma, l’avatar de la synthèse. Ascentia est un catalyseur de voyages intérieurs. Ascentia permet d’acquérir la liberté d’esprit au sein de la troisième dimension. Elle porte les énergies les plus élevées de la création. C’est une énergie la plus douce des quatre symboles. C’est une énergie suave et aimante.

Activation du symbole Ascentia :

Dessiner le symbole sur une main (pas de sens particulier, on peut aussi visualiser le dessin, pour la couleur : je préfère le magenta), donner trois petites tapes et prononcer son nom trois fois. Refaire le même protocole sur l’autre main puis tracer le symbole devant soi en l’air en prononçant son nom trois fois. Cela déclenche l’énergie qui se dégagera des mains comme dans le cas du Reiki Usui. Cela se fait naturellement.

Utilisation du symbole Ascentia :

Avant un traitement une prière orale est souhaitable. On pourra invoquer l’archange Metatron ou tout autre membre du royaume angélique, Hélios et Vesta, notre logos solaire, le seigneur Sananda, Nada et la mère Marie mais aussi El Morya, Chohan du premier rayon, pour qu’il donne sa bénédiction, ou le grand directeur divin de notre système solaire. Le maître Usui corrobore également l’emploi de ce système énergétique.

– Utilisation en auto-soins : allumer une bougie et faire brûler de l’encens. Il est possible de mettre une musique douce de méditation. Dès que l’énergie a démarré, placer ses mains sur son corps au centre du cœur ascendant entre le cœur et la gorge. Éloignez vos mains progressivement au bout de quelques minutes à 15 cm, 25 cm et plus. A partir de là suivez votre intuitions et vos ressentis.

– Utilisation en soins : les énergies s’utilisent comme dans le cas précédent en permettant de travailler à distance (un mètre et plus). Il est important de ressentir les zones qui aspirent cette énergie (zones négatives) en commençant par le cœur ascensionné.

– Utilisation à distance : ce symbole peut être utilisé à distance en se connectant à une personne par le protocole de la pyramide ou par le système de Reiki Usui à l’aide du 3ème symbole Usui de traitement à distance.

Interprétations personnelles :

L’utilisation de ce symbole induit de profonds changements personnels. Sa force est considérable: vibration du cœur, relaxation clarification du mental après un travail de 10 à 15 minutes et vibrations tonifiantes. On peut l’utiliser en voiture (bouchon, attente), dans un lieu chargé négativement (supermarché, salles d’attente, hôtels…). Ceux qui utilisent déjà les énergies Reiki Usui et Karuna seront certainement surpris par la puissance de ce symbole qui est le premier des 4.

Un travail effectué 10 minutes tous les jours permettra de grandes transformations tout en préparant l’utilisation des trois symboles suivants que je vous présenterai tout à tour.

Troisième Symbole : FOCUS ou CENTRATION

Cet article est le troisième de quatre, chacun étant présenté à une semaine d’intervalle afin de bien prendre conscience du travail minimum nécessaire avec un symbole à la fois par la méditation et la pratique. Le délai minimum symbolique devrait être plutôt de 21 jours par symbole comme dans le Reiki Usui. Ceux qui veulent travailler vite ne comprennent pas la richesse des symboles et ne s’imprègnent pas suffisamment de l’énergie du symbole. Travailler avec un symbole appelle le plus grand respect et la plus grande humilité afin de ne pas sombrer dans le jeu de pouvoir de l’égo. Chaque symbole est profondément sacré.

Quatrième Symbole : DIVINITÉ

C’est le quatrième et dernier article sur les symboles de l’ascension. Ce quatrième symbole est le plus puissant des quatre c’est pourquoi il est souhaitable de l’utiliser minimum après avoir travaillé trois semaines avec les trois précédents. En effet, l’assimilation des autres énergies permet de mieux éprouver l’énergie de la Divinité et de ne pas essuyer des effets nuisibles, faute de pratique suffisante. D’autre part, ce symbole est plus difficile à dessiner du fait de sa représentation spatiale. De ce fait, un intense entraînement préalable de visualisation est préférable afin de ne pas le sous-estimer.

Signification du symbole de la Divinité :

Il s’agit de l’énergie du Soi supérieur. Métatron a développé cette énergie afin d’assurer notre transition vers la cinquième dimension. La Divinité vient couronner le système énergétique de l’ascension I. Servez-vous en judicieusement.

Activation du symbole de la Divinité :

Le symbole s’active de la même manière que les trois premiers en le visualisant en Vert émeraude. Le rôle de la visualisation prend une grande importance car la représentation par tracé est plus délicate. Le mieux est d’allier visualisation et dessin du symbole.

Le nom la Divinité est à répéter trois fois après chaque dessin/visualisation.

Utilisation du symbole de la Divinité :

L’énergie de la Divinité agit surtout dans la région de la tête et du cou, mais aussi dans celle du cœur. Dans la région de la tête, cette énergie influe sur la glande pinéale, sur la glande pituitaire (là où naît la conscience christique) et sur l’hypothalamus (associé aux sentiments les plus nobles). Dans le cou, la Divinité exerce un effet sur le chakra de la gorge.

Le corps mental choisit le degré de fusion entre le Soi supérieur et la conscience ; c’est notre choix, notre responsabilité. L’énergie vert émeraude de la Divinité active ce processus. Cette guérison débute dans la tête. Les cellules cérébrales dormantes sont activées afin d’accepter les énergies supérieures. Les concepts mentaux restrictifs se dissipent. Les hémisphères du cerveau travaillent ensemble. L’énergie de la Divinité agit directement dans les régions de la tête et du cou et sur l’hypothalamus. Avec le temps, l’énergie de la Divinité parviendra à guérir aussi le corps physique. Avec le temps, on peut s’attendre à des transformations personnelles amenant plus d’optimisme, d’amour et de tolérance.

Deuxième Symbole : CLARTÉ

Signification du symbole la Clarté :

Dans ce symbole, C illustre la Clarté, 7 le septième âge d’or et le 5 inversé renvoie au mental. Ce symbole figure la clarté mentale au cours du septième âge d’or. Le C libère le Maya des émotions, ce qui engendre une clarté de sentiments véritables du cœur ; le 7 libère le Maya de l’esprit, produisant la clarté mentale. L’énergie de la Clarté permet de comprendre notre rôle dans le plan planétaire et solaire, le déploiement de notre parcours évolutif.

Observez la croix au sommet de la Clarté. Elle représente quatre portes.

  1. Gabriel enseigne l’unicité du tout ; 2. Michaël enseigne à utiliser le pouvoir de Dieu ; 3. Uriel ouvre la porte à l’énergie pure de la déesse ; 4. Sandalphon ouvre la porte au cœur de la Terre Mère, pour qu’elle apporte les énergies de l’Ascension.

À mesure que nous acquérons la Clarté, nos croyances, pensées et paroles restrictives deviennent plus évidentes. Au lieu d’imaginer Dieu à l’extérieur de nous, nous nous percevons comme des extensions de Dieu le Créateur ; il en va de même pour ce qui est de voir que nous ne faisons qu’un avec le tout. Nous passons d’une compréhension intellectuelle du concept d’unicité à une connexion ressentie par le cœur avec nous-mêmes, avec les autres qui sont en incarnation, avec la hiérarchie et avec Dieu.

Activation du symbole la Clarté :

Comme pour le symbole Ascentia, mais pour activer n’importe lequel de ces symboles, on pourra aussi les visualiser sur les paumes de la main, dans le corps et sur les murs de la pièce où l’on se trouve. Il est important de bien suivre son intuition.

Utilisation du symbole la Clarté :

L’énergie de la Clarté est étroitement liée à la respiration. Remplir vos poumons en respirant permet d’améliorer grandement la circulation d’énergie de la Clarté. Si on n’emploie pas la pleine capacité pulmonaire en respirant n’importe laquelle de ses énergies, alors le courant de l’énergie canalisée diminue. A l’inspiration, visualisez que la Clarté augmente devant et derrière vous ; en expirant, visualisez que la Clarté s’étend sur les côtés gauche et droit. Voyez ce que vous ressentez.

En auto-soins, le travail avec l’énergie de la Clarté peut se faire dans les régions de la tête et du cœur. Poser les mains à l’arrière de la tête puis les éloigner à quinze cm et plus. On pourra procéder au traitement d’autres personnes en commençant tout d’abord pas Ascentia puis par la Clarté ou un autre.

Initiation de groupe :

Cette initiation peut s’effectuer à deux ou plus.  Commencez par Ascentia puis passez à une autre énergie.  S’asseoir sur des chaises et invoquer les êtres ascensionnés.  Commencez par diffuser de l’énergie l’un vers l’autre sans choisir une énergie particulière. Après une à deux minutes vous pouvez activer le symbole Ascentia. Visualisez-le et émettez l’énergie pendant 5 minutes. Ensuite voyez la Terre Mère entre vous et vos partenaires. Continuez à visualiser le symbole tout en émettant de l’énergie. Envoyez l’énergie à la planète pendant 5 minutes. Voyez que votre planète reçoit une bénédiction. Par la suite, laissez-vous guider par votre intuition. Mieux vaut ne pas dépasser dix minutes au total.

Interprétations personnelles :

D’une énergie différente d’Ascentia, la Clarté est une énergie précieuse en ces temps de troubles liés à la formidable tempête énergétique que nous connaissons et qui induit doutes, retours de karma et difficultés diverses. Les outils énergétiques comme la Clarté sont là pour nous accompagner dans ce passage délicat.

Cette énergie comme les autres doit être honorée et chérie dans un travail quotidien fait de sagesse et de respect.

Pour travailler en auto-traitement, on s’appliquera à utiliser la Divinité au niveau de la tête en jouant sur les distances. Le choix des distances de traitement se fait selon votre intuition. Pour augmenter la canalisation, on veillera à travailler sur sa respiration tout en visualisant le symbole sur la paume des mains, à l’intérieur du corps et sur les murs de la pièce.

Le travail en traitement sur une autre personne intervient comme pour les autres symboles et peut se faire en toute complémentarité avec le système Reiki Usui.

Interprétations personnelles :

La puissance de ce symbole se ressent au niveau du quatrième chakra. Après l’avoir activé, son énergie travaille dans nos corps pendant un long moment.

Pour ceux qui ont travaillé les 3 symboles Ascentia, La Clarté et Focus publiés dans la rubrique travail planétaire, vous disposez aussi, depuis cette après-midi, du symbole de l’archange Métatron extrêmement puissant la Divinité. Je vous conseille, comme l’auteur, de ne pas utiliser ce symbole tant que vous n’avez pas intégré les trois autres, Focus étant le puissant des trois premiers.  Ascentia agit prioritairement sur le cœur; la Clarté au niveau 6ème chakra/derrière la tête et cœur; Focus sur le plexus solaire et le troisième œil/tête; enfin, la Divinité agit de manière étonnante derrière la tête et sur le cœur.  Les quatre symboles sont tous très puissants.  Bon travail.

Note : Emprunté par Lyn Ingham dans Le Nouvel Âge de la maîtrise, un livre de Ronna Herman, tome IV, 2006.  Ce texte d’autrui est exceptionnellement reproduit pour participer à sa diffusion mondiale et au rayonnement de Michaël, l’Archange.

© 2017, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publication réservée aux seuls abonnés en règle avec leur souscription.  Merci de nous visiter sur : .

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Le Masculin Divin rapide, direct, vif et impitoyable’ est arrivé…

MESSAGE DE VERA INGEBORG

Transformation de l’Ego Le Retour du Masculin Divin

Depuis le 1er Janvier, nous expérimentons une accélération des énergies. Le Masculin Divin rapide, direct, vif et ‘impitoyable’ est arrivé. Cette énergie est vraiment une chose à laquelle nous devons nous habituer. Les jours où nous allions à notre propre vitesse sont terminés. Le libre arbitre basé sur les besoins de l’ego n’a aucune chance de résister à cette énergie. Nous sommes confrontés aux anciens schémas masculins immatures.

Les déclencheurs sont intenses, cependant ils sont différents de la manière dont nous les avons expérimentés lorsque nous soignions les anciennes blessures féminines. Nous nous préparons à la pleine incarnation de l’union sacrée intérieure.

La frustration, la colère, la déception et un sentiment de résistance intérieure sont courants ces jours-ci. Nous pourrions ne pas aimer l’idée que cela vient du blâme et du jugement déguisés. C’est ainsi que le masculin immature en nous réagit à ce que nous voyons autour de nous. Les anciens schémas masculins d’agression, de contrôle, de protection, de manipulation et de ‘devoir tout résoudre’ sont tous appelés à sortir maintenant. Les déclencheurs que nous recevons maintenant traitent principalement de la culpabilité, de la honte et du manque de limites. C’est la partie masculine de la peur de ne pas être assez bien. Ce qui demande beaucoup d’honnêteté envers nous-mêmes pour voir où ces peurs sont encore jouées par notre ego. Nous devons devenir notre observateur le plus attentif.

Honnêteté avec nous-mêmes

Où est-ce que je ressens encore le besoin de résoudre les problèmes des autres ou les miens? Où est-ce que j’impose aux autres mes propres méthodes et vérités sans qu’ils aient demandé de l’aide ou du soutien? Où est-ce que je ressens encore le besoin de sauver les autres ou moi-même? Où est-ce que je me fais petit et où est-ce que je fais des compromis pour protéger les autres de la souffrance et moi-même du sentiment de culpabilité? Où est-ce que je juge et blâme encore les autres ou moi-même pour la situation dans laquelle je suis? Où est-ce que je suis encore en train d’essayer de manipuler les autres ou moi-même pour qu’ils réagissent comme je le veux? Où est-ce que je ressens encore le besoin de convaincre les autres ou moi-même? Où est-ce que je suis toujours frustré ou contrarié lorsque quelqu’un ou moi-même ‘ne comprend pas’? Où est-ce que je rends encore les circonstances extérieures responsables de ma propre situation? Où est-ce que j’ai encore des attentes envers les autres ou envers moi-même? Où est-ce que j’essaie encore de contrôler le courant au lieu de lui faire confiance? Où suis-je encore impatient en voulant mettre les choses en action avant qu’elles ne soient prêtes? Où suis-je encore en train de diviser le monde en bien ou mal, en noir ou blanc, en spirituellement correct ou non? Où est-ce que je suis encore en train de juger les autres ou moi-même de ne pas être prêts et d’avoir encore quelque chose à atteindre? Où suis-je encore en train de créer un certain dogme / croyance de ‘c’est la seule façon de faire les choses correctement’? Où est-ce que je soutiens encore le système de peur, de victimisation et de dualité? Où est-ce que je vais encore contre ma vérité, en n’exprimant pas ce que je veux vraiment et en faisant que ce soit bien pour les autres? Où est-ce que je fais toujours des compromis avec moi-même? Où est-ce que je ressens encore que les autres ou moi-même doivent atteindre quelque chose pour être éclairés / complets / éveillés, etc.? Où suis-je impatient avec moi-même et avec les autres?

Aller contre notre essence devient carrément insupportable et douloureux.

Toutes ces questions nous amènent à la programmation masculine malsaine toujours en cours dans notre corps et dans notre système. Il est inconfortable d’avoir à faire face à un autre cycle de libération. Mais cette énergie est implacable, et nous n’avons pas d’autre choix que de nous abandonner à un moment donné. Tout simplement parce qu’aller à l’encontre de notre essence devient carrément insupportable et douloureux. L’autonomisation est là où nous allons. Cela signifie non seulement de devenir responsables, mais également d’apprendre à arrêter de prendre aux autres leur pouvoir – que ce soit en essayant de résoudre les problèmes de quelqu’un d’autre, d’éviter que quelqu’un souffre, de contrôler ou de manipuler pour atteindre un certain résultat, etc. Nous et tous ceux qui nous entourent sont incités à s’approprier leurs propres énergies. En étant responsables de notre propre expérience et de notre voyage. Toutes ces questions ci-dessus nous aident à trouver ce qui demande de l’attention à l’intérieur. La beauté de cette nouvelle énergie est que la transformation va très vite une fois que nous voyons le miroir. Nous avons le pouvoir du choix. Qu’est-ce qui sert encore notre expérience, et où pouvons-nous changer simplement notre focalisation pour libérer et supprimer tout cela de notre champ de réalité?

Lâcher le ‘devoir atteindre’

Beaucoup d’entre nous sont confrontés à des situations où nous devons faire face à la culpabilité et à la honte, à la peur de l’échec et à la peur d’être utilisé. Au sentiment de ne plus pouvoir supporter cela et de ne pas pouvoir faire le travail pour lequel nous sommes venus ici. Où nous devenons impatients avec l’humanité, frustrés avec tout ce masculin qui continue à tourner et qui ne voit pas encore la nouvelle voie, où nous sommes irrités par le chaos momentané et où nous avons le sentiment que tout est bloqué, y compris nous.

Et c’est exactement le miroir à regarder et les schémas à abandonner. Nous n’avons pas besoin d’atteindre quoi que ce soit. Nous ne pouvons que nous sentir bloqués et impatients, lorsque nous sentons que nous devons aller quelque part. Lorsque nous éprouvons encore le manque. Nous sommes exactement là où nous devons être et nous sommes toujours prêts et complets. Nous n’avons pas à sauver le monde. Tout ce que nous avons à faire, c’est de trouver notre propre équilibre intérieur et l’accès à l’amour et à la lumière qui sont toujours disponibles. C’est une question d’être connectés et alignés ou non. Nous sommes ici afin de faire briller notre lumière pour ceux qui sont prêts à la recevoir. Encore une fois … les phares ne courent pas partout en essayant de sauver des navires.

Nous n’avons pas à sauver le monde. Tout ce que nous avons à faire, c’est de trouver notre propre équilibre intérieur et l’accès à l’amour et à la lumière qui sont toujours disponibles.

Le masculin immature ne peut sortir de ce cercle vicieux que lorsque nous transformons cette énergie et que nous ne réagissons plus avec les anciennes habitudes masculines. Nous devons accepter en nous ce que nous voyons dans ceux qui nous entourent. C’est cela le changement. Et il n’y a pas besoin de forcer. Les déclencheurs et les nettoyages viennent exactement au bon moment. Nous n’avons pas à nous forcer à dissoudre ou à transformer quelque chose. La conscience du déséquilibre et le miroir sont suffisants. Le reste suivra.

Le nouveau Masculin Terrestre

Accueillir ces déclencheurs et les pensées / émotions qui les accompagnent nous aident à transformer les anciens schémas du masculin en un nouveau masculin Divin puissant. Le nouveau masculin terrestre, qui s’engage, est courageux, rebelle et inconditionnellement dans le cœur, sans aucune attente d’un certain résultat ou d’un besoin de contrôler ou de combattre. Un masculin sain qui établit des limites par amour de soi, et non pas des frontières par peur. Celui qui sait exactement ce qu’il veut, en l’exprimant avec des intentions claires. Le nouveau masculin terrestre puissant qui sait exactement lorsqu’il est temps de changer et de laisser aller les anciennes façons de fonctionner et d’être en relation. Dans notre travail spirituel, nous sommes également invités à vérifier si nous sommes toujours alignés sur les nouvelles énergies en termes de mission et de travail. Le Masculin Divin Terrestre n’a pas peur de regarder dans le miroir et derrière le masque pour être dans l’authenticité. Il n’a pas peur de partager cela avec les autres.

Bien que le Masculin Divin soit une énergie rapide de focalisation et d’action, il respecte le Féminin Divin et sa partie équilibrée de patience et d’attention.

Bien que le Masculin Divin soit une énergie rapide de focalisation et d’action, il respecte le Féminin Divin et sa partie équilibrée de patience et d’attention. Les deux se préparent à danser parfaitement en chacun de nous. En cette période de turbulences extérieures, où tout s’accélère, l’immobilité et le ralentissement sont la clé pour vérifier notre essence profonde. Qu’est-ce que notre corps, notre mental et notre âme nous donnent en termes d’impulsions à suivre? Où ressentons-nous encore de la résistance? C’est exactement ce que nous devons regarder, accepter et expérimenter pour trouver nos réponses et notre apaisement.

Ce n’est pas facile à admettre, et ce n’est pas facile de voir les schémas qui nous sont présentés dans le miroir. Nous devons être totalement honnêtes avec nous-mêmes. Nous sommes ceux que nous attendons. Une fois de plus, on nous demande d’abandonner les masques de protection que nous portons encore et qui ont servi à cacher notre vulnérabilité – que nous avions définie par erreur comme étant notre plus grande faiblesse.

Maintenant nous apprenons que c’est notre plus grande force – et une fois que nous laissons tomber ce masque, une fois que nous nous acceptons nous-mêmes et chacun pour ce qu’il est et où il en est dans son voyage, que nous partageons notre véritable soi vulnérable et authentique, y compris nos ombres – nous découvrons l’immense pouvoir de connexion et de co-création de la vulnérabilité. Nous sommes en train d’établir le chaînon manquant afin de permettre en nous une parfaite danse divine et sacrée, de partager et de nous connecter à ceux qui nous entourent: l’incarnation de l’union sacrée.

À la Grâce de Dieu!

Vera

Version d’origine en Anglais

Traduction Marinette Lépine
Transmis par TransLight :
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Émail :
translight.ml@gmail.com

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