Les scientifiques font une incroyable découverte sous les statues de l’Île de Pâques !

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Le grand mystère des têtes des statues de l’île de Pâques ne cesse de croître… littéralement ! Les archéologues ont creusé autour des têtes et devinez ce qu’ils ont découvert ? Les têtes ont des corps complets ! Les corps sont couverts et recèlent de pétroglyphes indéchiffrables.

Les fouilles archéologiques sur l’Ile de Pâques ont commencé au début des années 1900 et se poursuivent toujours. Il y a quelques temps, les scientifiques ont même découvert que les fameuses statues avaient un corps !

On dénombre exactement 884 statues jusqu’à maintenant dont 150 ont été enfouies avec le temps. Lors d’une expédition qu’il avait organisé en 1936, l’anthropologue suisse Alfred Métraux avait déjà émis l’hypothèse que les ″Moaï″ avaient un corps mais ce n’est qu’en 2010 qu’une équipe d’archéologues a entrepris de déterrer les statues afin de vérifier l’hypothèse qui s’est avérée vraie.

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Voici quelques photos prises lors des travaux effectués autour des statues. Vous allez voir à quel point elles deviennent encore plus fascinantes et spectaculaires

″La raison pourquoi les gens pensent que ce ne sont que des têtes est qu’il y a en a 150 enterrées jusqu’aux épaules tout autour d’un volcan. Ce sont ces magnifiques statues de l’île de Pâques que nous avons vu en photo″ a déclaré Van Tilburg, qui est aussi un membre du Cotsen Institute of Archeology de l’Université de Californie, à Los Angeles. ″Cela veut dire que pour les gens qui ont uniquement vu ces photos, ne savent pas qu’elles ont des corps, et pensent que ce ne sont que des têtes.″

Regardez la vidéo ci-dessous pour apprécier les œuvres mégalithes de nos aïeux :

Note : Encore une fois tout ce que nous pensons à propos de certaines recherches archéologiques s’avère être faux. Les fameuses têtes de l’Île de Pâques sont en fait bien plus que des têtes…Évidemment le monde archéologique connait cette découverte depuis quelques années mais la population en général reste malheureusement insensible à de telles informations !

Les têtes de l’Île de Pâques sont censées représenter les monuments des anciens dirigeants de la tribu, et d’autres personnalités qui étaient importantes pour les habitants de l’île. L’une des îles les plus isolées de la Terre qui se situe à 3’550 kilomètres à l’ouest du continent sud-américain.

Séraphin

Source : Anonymousmag

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Activité OVNI hors norme sur FUKUSHIMA : Quelles sont ces exocivilisations qui nettoient les dégâts ?

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Nous observons à Fukushima un double phénomène ufologique.

Les Astra TR-3B et d’autre engins antigravitiques sont issus des forces du Nouvel Ordre Mondial. Ils viennent tenter d’arrêter l’intervention d’une exocivilisation réparant les dégâts.

Cependant, malgré le retro-ingineering opéré de ces 70 dernières années, le retard technologique du consortium transnational dont nous avons parlé dans Morphéus n°40 est abyssal. En clair, ils ne peuvent qu’observer impuissants, ne disposant pas du pouvoir de bloquer de telles exo-interventions.

Il y a bien une ingérence dans notre évolution.

Elle se fait cependant a minima et en cas de risque majeur.

Les stratégies et technologies employées par ces bienfaiteurs inconnus dépassent de loin tout ce que les tigres de papier du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à mettre en œuvre en un siècle avec leurs « exo-sbires ».

Une intelligence inconnue et sagesse cosmo-ancestrale semble surveiller et contrôler notre système solaire.

Cette bienveillance venue des cieux, ne devrions nous pas l’appeler Providence ?

Fukushima est sans nul doute le plus grand accident nucléaire de la planète, condamnant théoriquement l’ensemble du Japon et mettant en péril la vie à différents degrés dans l’hémisphère Nord. On estimait la nocivité de cette catastrophe nucléaire à plus de 30 fois celle de Tchernobyl. Jamais autant de combustible nucléaire, (uranium, plutonium, mox) ne s’était retrouvé hors de contrôle, à l’air libre.

Nous avons évoqué dans Morphéus n°51 le phénomène transmutatoire survenu à l’intérieur du réacteur de Tchernobyl. Plus de 10 tonnes d’aluminium ont été retrouvés et 90% du combustible nucléaire avait disparu tout bonnement. Ces révélations viennent du Professeur George Lochak, Président de la Fondation Louis de Broglie à Paris, qui tenta de trouver une explication rationnelle à ce phénomène en Ukraine.

Nous savons en Physique que la transmutation de l’uranium en aluminium est possible.

Saurions nous maîtriser ce phénomène ? Nous en doutons, sinon des systèmes transmutatoires de sécurité équiperaient toutes les centrales nucléaires terrestres.

Sans explication rationnelle viable et suite à l’intervention photographiée, voire filmée, d’ovni sur Tchernobyl, nous maintenons l’idée que ce phénomène transmutatoire inédit est lié à l’intervention d’une exotechnologie.

Par cette intervention, la pollution mortelle de l’accident nucléaire de Tchernobyl a été de fait contenue et divisée au minimum par 10. Cela nous donne une idée de ce qu’aurait été l’ampleur des dégâts si aucune transmutation du combustible nucléaire n’avait eu lieu.

FUKUSHIMA1-c86cbSachant cela et au vu des tonnes de combustible nucléaire en jeu au Japon, Fukushima aurait du être 300 fois plus mortel que Tchernobyl. Mais est-ce le cas ?

Sur la revue Sortir du Nucléaire n°53, il est mentionné que Fukushima aurait émis 10 fois moins de Césium 137 que Tchernobyl et 100 fois moins de Strontium 90. Le rejet d’Iode 131 à Fukushima aurait aussi été inférieur aux rejets de Tchernobyl. Etant donné les masses de combustible, le nombre de réacteurs touchés, les piscines d’uranium en jeu à Fukushima, ces chiffres ne sont pas compréhensibles. On peut difficilement remettre en cause la probité de la revue anti-nucléaire qui fournit ces chiffres.

Alors comment expliquer cela ?

Ce ne sont ni les dispositions stupides prises par TEPCO, ni les mesures du gouvernement japonais qui ont pu avoir un tel impact. C’est tout autre chose qui est à l’œuvre. Nous ne sommes pas loin de la réalité en affirmant que plus de 99% des effets de Fukushima ont été contenus et continuent de l’être.

Par ailleurs, l’activité ovni au dessus de Fukushima est tout bonnement extraordinaire. Tout laisse à penser que ces phénomènes ne sont pas fortuits mais qu’ils témoignent d’une intervention massive sur le site sinistré et sa périphérie.

L’agence Reuters, émanation des Rothschild, affirmait le 6 avril 2012 que le noyau du réacteur 4 était entré en fusion et aurait traversé le socle du réacteur. Il s’agit de ce que l’on nomme le syndrome chinois. C’est la conséquence la plus grave d’une fusion d’un réacteur nucléaire, dans laquelle les éléments combustibles en fusion du cœur percent les barrières qui le confinent et s’enfoncent dans la terre.

Les agences de presse de cet acabit ont pour rôle d’effrayer les populations, et de maintenir à tout prix l’ignorance de ces dernières. Qui parvient à insuffler la peur contrôle l’âme. Cette information est logique et cohérente, mais elle ne peut être vraie ! Elle cache des phénomènes qui échappent à nos sordides mondialistes.

Il ne peut s’agir que d’un tout autre scénario. Une très brutale hausse de température du noyau peut être due à un phénomène transmutatoire relevé précisément à Tchernobyl. Cela n’indique pas une descente incontrôlée du combustible en fusion dans la Terre, mais un phénomène transmutatoire contrôlé.

Pour confiner cette fusion, il se pourrait bien que l’on retrouve dans ce réacteur une masse d’aluminium protectrice en surface. En tout état de cause, s’il s’agit d’une fusion maîtrisée par une exotechnologie, que la cuve soit percée ou non n’aura aucune incidence. Le tout deviendra inerte, vitrifié sous terre.

Cela implique une maîtrise de la transmutation du mox, de l’uranium et du plutonium.

Si TEPCO, quelques membres du gouvernement japonais et les Rothschild sont au parfum; comprenez qu’ils ne peuvent délivrer une information qui impliquerait la reconnaissance d’une exocivilisation venue réparer les dégâts dus aux folies d’un consortium transnational.

Notre analyse ne peut cependant s’arrêter là pour expliquer le fait que 99% des effets de Fukushima ont été contenus, sur le site, dans l’atmosphère et dans l’Océan Pacifique.

Au vu des faibles retombées, un nettoyage des radio nucléides par transmutation dans l’océan et l’atmosphère, a nécessairement eu lieu. Comment ?

Le mystère reste entier et le restera aussi longtemps que nous serons sous la chape de plomb du Nouvel Ordre Mondial. Cependant, même si un tiers de son territoire est durement touché par la pollution radioactive, le Japon est sauvé. La force collective, la discipline et le civisme du peuple japonais feront le reste pour redresser un pays qui était condamné.

L’affaire Fukushima est du même acabit que l’affaire BP dans le Golfe du Mexique.

Une catastrophe sans doute provoquée avait engendré une faille sous marine de 100 kilomètres d’où s’échappait du pétrole brut. Ni les USA, ni les pétroliers n’avaient les moyens de réparer de tels dégâts. Entendez-vous encore parler de cette catastrophe gravissime ? Non ! Pourquoi ?

Cette faille a été colmatée sur 100 kilomètres et le pétrole ne vient pas toucher nos cotes. Qui a pu stopper une telle catastrophe écologique condamnant l’Atlantique ?

Si BP prétend être à l’origine de la fin de cette catastrophe en ayant colmaté deux puits, nous vous laissons juger du sérieux d’une telle assertion.

En conclusion, nous ne pouvons que constater la pertinence de notre hypothèse : « des forces dotées de sagesse et de technologies extrêmement avancées veillent sur nous ».

Frédéric Morin
https://www.morpheus.fr/

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Espace, Terre, génétique… 2016 s’annonce riche en découvertes scientifiques

En 2012, Vénus passait entre le Soleil et la Terre. En 2016, la sonde japonaise Akatsuki doit survoler la planète pour en tirer images et analyses. Un avant-goût d’une année qui promet d’être riche en découvertes scientifiques.

REUTERS/NASA/AIA/Solar Dynamics Observatory/Handout

Impossible d’anticiper les nombreuses découvertes excitantes qui pleuvront sans doute en 2016 comme en 2015. Certaines sont toutefois prévisibles sans boule de cristal, notamment en matière spatiale.

Si 2015 fut une année martienne, rythmée par les images de Pluton et les aventures du robot Philae, 2016 nous réserve encore bien des découvertes scientifiques. Entre autres: le spectacle des éclipses, les perspectives étourdissantes de l’ingénierie génétique, peut-être la résolution des mystères des pyramides égyptiennes, mais aussi des images inédites de Vénus et Jupiter, le tout saupoudré de nombreux lancements spatiaux, à la recherche d’un moyen toujours moins onéreux de repousser les limites de notre accès à l’Espace.  

Encore des éclipses à observer

Ne jetez pas les lunettes spéciales que vous aviez peut-être déjà achetées pour admirer l’éclipse solaire totale du 20 mars dernier. Le 9 mars prochain, une nouvelle éclipse solaire totale est prévue. Le spectacle promet encore d’être époustouflant, à condition que les nuages ne s’en mêlent pas. Seule différence: elle ne sera pas visible depuis la France. Il faudra se trouver à Sumatra, Bornéo et d’autres îles d’Indonésie, ou survoler l’océan Pacifique d’ouest en est pour en profiter.  

 
 

Une autre éclipse solaire est annoncée pour le 1er septembre prochain, mais elle sera annulaire: le Soleil et la Lune seront parfaitement alignés avec la Terre, mais la Lune sera trop loin de la Terre pour que son disque ne « couvre » entière le Soleil. Un anneau brillant formera comme une auréole autour de l’ombre de la Lune. Cet événement sera visible au milieu de l’Atlantique, en Afrique équatoriale, à Madagascar puis dans l’océan Indien.  

Les trous noirs, stars de l’année?

Alors que la communauté des astrophysiciens est excitée par une « rumeur » concernant les ondes gravitationnelles nées de la collision entre deux trous noirs, ces objets fascinent toujours autant. Et 2016 pourrait apporter son lot de découvertes à leur sujet. De nombreuses installations ont les « yeux » rivés sur eux en tout cas: celles d’Advanced Ligo et Advanced Virgo, mais aussi Gravity qui a été testée avec succès au début de l’année.  

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Le trou noir le plus proche de nous, Sagittarius A*, « notre » trou noir, est le premier objet d’observation, dans la mesure où il se trouve au coeur de notre galaxie. A « seulement » 27 000 années-lumière de nous. Or ce monstre dont « la masse équivaut à 4,3 millions de fois celle du Soleil » semble s’être réveillé et émet des rayons X à l’intensité totalement inédite, d’après le magazine Science et Vie. 

Vers l’infini et au-delà

Vous avez aimé le coeur de Pluton et les mystérieux points blancs et la pyramide de Cérès en 2015? En 2016, vous aimerez les images de Vénus envoyées par la sonde japonaise Akatsuki à partir d’avril (après 5 ans d’errance), et celles de Jupiter transmises par la sonde américaine Juno à partir de début juillet. Vous devriez apprécier également les premiers résultats de la sonde européenne Gaïa qui doit cartographier plus précisément notre galaxie. Gageons qu’elle découvrira au passage de nouvelles exoplanètes, après la moisson déjà très riche du télescope Kepler en 2015. 

Outre ces clichés transmis par des engins déjà au-dessus de nos têtes, plusieurs lancements sont prévus en 2016. La Nasa va envoyer sa sonde Osiris-Rex chasser l’astéroïde 101955 dit « Bennu » qu’elle rejoindra en 2017, avant de peut-être en rapporter des échantillons sur Terre en 2023. Pendant ce temps sur Tchouri, le petit robot Philae s’est tu, mais la sonde Rosetta continue ses observations avant de se crasher sur la comète. Impact prévu en septembre prochain.  

Quant à Mars, la star de 2015, elle attirera encore les regards cette année, mais un peu moins. L’Europe et la Russie lancent le satellite Trace Gas Orbiter (TGO) de leur mission ExoMars, mi-mars. Arrivée prévue en orbite martienne en octobre prochain, en attendant le rover qui explorera la surface dès 2018 et, peut-être un jour, les premiers pas d’un humain sur la Planète rouge.  

Des vaisseaux et des lancements…

La compétition se poursuit entre les programmes visant à améliorer les vaisseaux qui vont toujours plus haut, note Scientific American. Avec l’avion spatial suborbitalSpaceShipTwo chez Virgin Galactic, celui de XCOR Aerospace baptisé Lynx et le système New Shepard de Blue Origin, le tourisme spatial est au menu pour ceux qui en auront les moyens. En parallèle, le secteur cherche des moyens toujours plus performants et moins chers pour repousser les limites de la conquête spatiale et expédier des satellites, voire des hommes, dans l’Espace. Les capsules réutilisables sont donc à l’honneur: la Nasa travaille sur Orion, SpaceX à Dragon V2.  

En janvier, Elon Musk tentera aussi de rééditer l’exploit de fin décembre dernier, en faisant revenir se poser sur Terre le premier étage de la fusée Falcon 9 de SpaceX, pour la deuxième fois. Cette fois, sur une barge, c’est-à-dire un tout petit périmètre… Le milliardaire espère aussi faire une tentative avec une seconde fusée en 2016 et SpaceX doit reprendre les ravitaillements de la Station spatiale internationale en février. Tous ces projets sont de sortie en 2016. 

Ca fourmille dans la génétique

CRISPR-Cas9, le petit outil permettant de réécrire l’ADN de façon presque aussi simple qu’un couper-coller sur un traitement de texte, a déjà inspiré 1500 études depuis 2013. Certains rêvent déjà de soigner la mucoviscidose, de muscler les défenses contre le cancer, de réveiller des espèces disparues… Et l’engouement ne devrait pas se tarir pour ces « ciseaux » génétiques découverts par Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna, classées parmi les 100 personnes les plus influentes du monde par le Time en 2015. 2016 sera-t-elle l’année du prix Nobel pour les deux femmes, déjà couvertes de prix et de décorations? Quelles applications seront testées et quelles dérives seront évitées au cours de l’année? Le débat débouchera-t-il sur un moratoire?  

Le regard tourné vers le passé

L’année devrait encore être riche en découvertes de nouveaux dinosaures ou de nouveaux ancêtres des êtres humains, en attendant les précisions sur Homo Naledi… Mais la piste archéologique la plus brûlante en 2016 semble, pour le moment, se trouver en Egypte: l’expérience Scan Pyramids lancée en octobre dernier doit durer jusqu’à la fin de l’année et livrer, enfin, les derniers secrets des pharaons et de leurs architectes. 

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Une planète géante découverte grâce à des simulations numériques

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Des astronomes viennent d’annoncer avoir découvert dans notre système solaire une planète géante… dans des simulations numériques. Cette neuvième planète serait dix fois plus lourde que la Terre et mettrait 10 000 à 20 000 ans pour faire le tour du Soleil sur une orbite bien au-delà de Neptune, la planète la plus éloignée de la Terre.




Selon les deux chercheurs du California Institute of Technology (Caltech) qui ont publié leurs résultats dans The Astronomical Journal le 20 janvier, son existence permettrait d’expliquer des anomalies observées sur des objets transneptuniens découverts ces dernières années, tels que Sedna, découvert en 2003.

Orbites déformées dans la même direction

Plus précisément, ces astronomes ont analysé une sorte de comportement grégaire inexpliqué pour ces objets transneptuniens, qui ont des orbites elliptiques déformées dans la même direction. Selon les simulations, l’hypothétique neuvième planète, qui frôlerait périodiquement cette région dite de la ceinture de Kuiper, résoudrait ce mystère.

Néanmoins, cette grande planète reste invisible jusqu’à présent, même si les chercheurs estiment qu’elle pourrait être repérée par des instruments comme le télescope de l’observatoire W. M. Keck, à Hawaï.

Il faudra donc attendre encore pour savoir si l’histoire de la découverte de Neptune se répétera. Des anomalies sur l’orbite d’Uranus avaient permis, par le calcul, de prévoir l’existence de cette huitième planète au XIXe siècle.
source

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Aquaman, le cristal qui permet de respirer indéfiniment sous l’eau… !

Aquaman, le cristal qui ne manque pas d’air. Un cristal capable de révolutionner notre manière de respirer sous l’eau.

Des chercheurs danois ont conçu un cristal qui a la propriété de capter l’oxygène de l’air ou celui contenu dans l’eau, et de le stocker en grande quantité. Respirer sous les mers comme Aquaman, le super-héros des comics, sera bientôt possible, estiment les scientifiques.

Inutile de se déguiser en survivant de l’Atlantide aux mains palmées, de se transformer en petite sirène ou en triton, de se greffer des branchies de poissons pour répondre enfin à l’appel du grand bleu de la salle de bain et de plonger en eaux profondes, au fond de sa baignoire, sans aucun risque de suffoquer par manque d’oxygène.

Mais l’aventure ne s’arrête pas là, nous serons bientôt tous de véritables « Poséidon », grâce aux travaux de recherches de l’université du Danemark du Sud (lien en anglais).

Des scientifiques ont mis au point un nouveau matériau capable de capturer l’oxygène et de le conserver à très haute concentration, puis de le délivrer à volonté. Ce cristal organique contient du cobalt, qui permet à sa structure de capturer sélectivement les atomes d’oxygène sur le même principe que l’hémoglobine qui l’absorbe grâce aux atomes de fer contenus dans le sang.

Cristal d’Aquaman…

Mais les chercheurs se sont plutôt inspirés des systèmes respiratoires des animaux pour créer leur hémoglobine solide et cristalline « de couleur rose au naturel, il passe au noir tirant vers le rouge une fois saturé en oxygène, il en stocke trois fois plus qu’une bouteille d’air comprimé », expliquent les scientifiques.

Aquaman, le cristal qui permet de respirer indéfiniment sous l’eau… !

Dix litres de ce matériau seraient capable de vider l’oxygène de toute une pièce. Ce cristal spongieux se comporte justement comme une éponge que l’on essore à souhait pour qu’il rejette ce qu’il a absorbé.

Le Grand bleu…

Les universitaires danois imaginent déjà utiliser Aquaman dans le milieu médical en créant une nouvelle génération d’appareils d’assistance respiratoire, sans oublier le domaine des loisirs aquatiques pour la plongée sous-marine.

L’autre particularité de ce cristal est d’absorber l’oxygène dissous dans l’eau, quelques graines en emmagasineraient suffisamment pour remplacer les bouteilles des plongeurs. Alors que le voyage vers Mars semble de plus en plus incertain, les promesses du « cristal d’Aquaman » ne manquent pas d’air ! Avec l’assurance de visiter enfin les mondes engloutis de la planète bleue.

Aquaman, le cristal qui permet de respirer indéfiniment sous l’eau… !

C’est un matériau étonnant, cristallin, qui a la propriété de capter l’oxygène du milieu environnant (qu’il s’agisse d’air ou d’eau) et de le stocker en grande quantité. Le matériau fonctionne comme une éponge, absorbant et relâchant de l’oxygène autant de fois qu’on le souhaite

Le voici ci-dessous en image…

 

Les grains du matériau passent du rouge (à gauche) au noir (à droite) au fur et à mesure que leur concentration en oxygène augmente jusqu’à saturation.

Les travaux de cette équipe ont été publiés fin juillet 2014 dans le journal Chemical Science.

« C’est une sorte d’hémoglobine solide » explique Christine McKenzie, professeur au département de physique, de chimie et de pharmacie de l’université du sud du Danemark, dans un communiqué.

En effet, ce matériau présente une forte affinité pour l’oxygène qu’il adsorbe sélectivement au sein de sa structure cristalline. Au sein de l’hémoglobine, cette fixation sélective de l’oxygène s’effectue sur un ion fer. Au sein de ce matériau, c’est le cobalt qui fait office de point de fixation.


Serons-nous un jour capable de respirer sous l’eau ? Peut-être grâce au « cristal d’Aquaman » par Gentside Découverte

source

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