Une personne qui vous a fait du mal ne vous aidera pas à aller mieux

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Gardez bien cela à l’esprit. La personne qui vous a brisé ne peut pas recoller tous vos morceaux. Ne commettez pas cette erreur, ne pensez pas que cette personne pourra vous aider à aller mieux, à surmonter tout ce mal, à éliminer la douleur.

Ne retombez pas si cette relation vous fait du mal, ne retombez pas par peur d’être seul, par peur de ne pas savoir avancer dans la vie sans cette personne à vos côtés. Car les relations dysfonctionnelles, si l’on ne les travaille pas de la façon adéquate, ne se transforment pas du jour au lendemain à coups de baguette magique.

Souvenez-vous que, quand vous avez éclaté en mille morceaux, votre esprit s’est empli d’arguments en faveur d’une vie sans cette personne. Vous aviez mal, vous aviez des raisons de vouloir être à ses côtés mais vous vouliez vous convaincre que sa compagnie n’était pas la meilleure chose pour vous et votre vie.

Tout ce que nous fuyons est condamné à se répéter

Le temps passe et les conflits se répètent. Les humiliations, le doute, la douleur d’une blessure mal cicatrisée. Tout ce que nous fuyons et ne résolvons pas est condamné à se répéter. Freud a établi une théorie sur ce fait en 1920 dans son livre Le principe du plaisir, lui donnant alors le nom de compulsion à la répétition.

Cela signifie que les personnes ont tendance à buter sur la même pierre (chacun ayant sa pierre personnelle, bien sûr). Par conséquent, quand notre pierre est l’établissement d’un type de relation, nous retombons dans ce même schéma de façon systématique.

Le fait que la pierre sur laquelle nous trébuchons ait un “nom de personne” ou représente un “style de personne” signifie que nous avons tendance à nous lier de la même façon, à générer des dépendances émotionnelles, à chercher l’amour d’une façon déterminée et, très souvent, dans une personne concrète.

Ainsi, nous faisons souvent face à des problèmes similaires alors que nous nous trouvons à des étapes différentes de nos vies. Pourquoi? Parce que tout ce que nous fuyons est condamné à se répéter. Si nous ne réfléchissons pas, si nous ne remettons pas en question nos décisions ou notre manière de nous lier aux autres, nous sommes condamnés à commettre indéfiniment les mêmes erreurs.

“Il est toujours nécessaire de savoir quand se termine une étape de la vie. Si tu insistes à vouloir rester en elle au-delà du temps nécessaire, tu perds la joie et le sentiment du reste. Il faut fermer des cercles, ou fermer des portes, ou fermer des chapitres, comme tu voudras le nommer.

L’important est de pouvoir les fermer, et laisser aller les moments de la vie qui se clôturent.

Nous ne pouvons pas être dans le présent en regrettant le passé. Ni même en nous demandant pourquoi. Ce qui s’est passé, est passé, et il faut le lâcher, il faut s’en détacher.

Nous ne pouvons pas être éternellement des enfants, ni des adolescents tardifs, ni des employés d’entreprises inexistantes. Les faits passent et il faut les laisser partir !”

Paulo Coelho

Quand quelque chose se brise à l’intérieur de nous, plus rien n’est comme avant

Quand nous nous brisons en mille morceaux, quand nous ressentons une douleur très intense au fond de nous, nous aspirons à la stabilité, au bien-être que cette personne nous faisait ressentir lorsque nous étions à ses côtés. L’incertitude nous convainc que “nous allions mieux en étant accompagnés”.

Evidemment, ces relations de dépendance ont un passé construit sur un style d’attachement dysfonctionnel ; or, il s’agit d’une chose que l’on peut changer grâce à la ré-élaboration continue que nous offrent nos expériences et réflexions.

Le changement se construit en formant de nouveaux liens d’attachement et en en supprimant d’autres. Si les expériences sont très différentes et significatives, le propre contenu des représentations, des stratégies et des sentiments parvient à changer la tendance consistant à chercher des relations basées sur la dépendance.

Soigner nos failles émotionnelles ne dépend que de nous-mêmes. La tâche consistant à nous reconstruire nous appartient; personne n’a le pouvoir ou la responsabilité de le faire pour nous. Nous devons bien être conscients que tout processus de changement passe automatiquement par de la douleur et des efforts.

Réussir à dire adieu à une personne ne signifie pas reculer; cela signifie séparer ce qui nous enrichit de ce qui nous use, nous concentrer sur notre valeur et cesser de poursuivre les miettes d’un amour qui n’est pas sain pour nous. 

Nous détacher de la douleur nous aide à alimenter notre auto-estime

Nous détacher de tout ce qui implique de l’égoïsme, des intérêts et des absences injustifiées nous aidera à commencer une nouvelle étape, à semer des graines et à récolter des fruits pour notre auto-estime et pour grandir sur le plan émotionnel.

Nous éloigner des liens qui nous ont fait du mal signifie nous libérer, grandir et commencer une nouvelle vie. Une nouvelle vie qui nous sera propre, qui évoluera à partir d’un oxygène psychologique permettant le développement d’une atmosphère fertile.

Recouvrir la douleur de terre n’est pas la garantie d’une prospérité dans la relation. Il faut parfois faire disparaître les points de suspension d’une histoire pour les remplacer par un point final. Cet adieu implique de changer pendant une période de temps indéterminée.

Ceci peut nous angoisser mais les conséquences de cet acte ne seront autres que la reconstruction de notre être et l’harmonie interne. Il s’agit d’être honnêtes et exigeants avec nos compagnies émotionnelles. Ce n’est pas toujours facile mais c’est toujours nécessaire.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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LE POIDS DE L’HÉRITAGE FAMILIAL

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par Karine B.

Nous portons les générations passées, en nous.

 

Dans nos cellules,
Dans nos croyances,
Dans nos comportements,
Dans nos mémoires.

 

La période actuelle est magique, dans le sens où nous avons accès à ces mémoires pour enfin les libérer et cesser de reproduire certains schémas familiaux nuisibles, douloureux.
Ceux qui nous limitent inconsciemment.
Ceux qui nous font souffrir intérieurement.
Ceux qui nous empêchent de nous réaliser pleinement.

 

Ces schémas familiaux sont nécessaires pour grandir, et nous sentir faisant partie d’un groupe, d’un clan durant un certain temps.
Mais en grandissant, en prenant conscience du poids de cet héritage, nous devons nous défaire de ce qui entrave à notre bonheur, quand on sent que c’est le moment pour soi, et si on pense que nous n’avons plus à porter cela pour pouvoir avancer..

Beaucoup de femmes portent un héritage féminin lourd.
Et ce n’est pas un hasard.
Si vous en avez conscience aujourd’hui,
Ce n’est pas un hasard.
Si vous lisez cette publication,
Et sur ce sujet, Ce n’est pas un hasard.

– Qu’est-ce qui entrave aujourd’hui à votre épanouissement ?
– Quel schéma familial reproduisez-vous nuisant à votre bonheur ?
– Que devez-vous libérer/guérir pour vous sentir heureuse ?

On le sait au fond de soi.
On le sent.
Parce que c’est toujours présent,
Et s’exprimant sous diverses formes dans sa vie.

On porte toute un héritage.
Il nous permet de nous épanouir. Ou pas.
Il nous apporte du bonheur. Ou pas.

On en est fière.
On en a honte.

Ce qui nous porte un temps peut s’avérer nuisible plus tard.

La vie est en perpétuel mouvement, aussi, il est intéressant dans son cheminement de pouvoir remettre en question certains aspects de soi, de ses schémas, pour les utiliser quand c’est bon pour soi.
Ou les libérer, s’en débarrasser quand cela devient un lourd fardeau à porter.

Chacune a un parcours unique, et des ressentis uniques, même si cela peut résonner avec d’autres femmes.
Connues ou inconnues.
On est toutes liées.
Par l’énergie que nous portons.
Par cet héritage féminin.
Qui se situe bien au-delà d’une histoire, ou d’un passé.

C’est subtil. De l’ordre de l’invisible.
Mais bien présent, sans qu’on le souhaite vraiment.
Parce qu’il donne une empreinte différente
De ce que l’on EST.
De QUI l’on est vraiment au fond de soi.
Et de ce à quoi l’on aspire profondément.

Et vous, sentez-vous un poids familial entraver à votre épanouissement ?

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Comment développer votre confiance en votre intuition?

spiritualité

 

Transmis par Daniel Desjardins

Très chers amis humains,

C’est toujours avec Amour et compassion que nous entrons en communion avec vous. 

Nous percevons les difficultés des humains, leur difficulté à faire confiance, leur difficulté à comprendre, accepter le prochain pas qu’ils ont à faire, car souvent votre Source vous inspire à faire un pas en avant et votre mental ne peut tout simplement pas comprendre pourquoi, comment, où cela va vous mener. Il s’ensuit souvent un dialogue intérieur, parfois même une guerre ou même un déchirement, car votre Source, votre coeur vous inspire et vous désirez ardemment suivre cette inspiration, mais votre mental, qui est là pour vous protéger, résiste. 

Comment pouvez-vous lâcher prise?

Comment pouvez-vous avoir confiance? 

Nous vous invitons aujourd’hui à observer toutes ces autres fois dans votre vie où vous avez ressenti cette inspiration et vous avez fait ce pas, et vous êtes allé de l’avant, vous vous êtes laissés guidés de façon inspirée. Observez à quel point les résultats dans votre vie ont été bienheureux. 

Nous vous invitons aujourd’hui à prendre un crayon et un papier ou prendre une note, où vous allez prendre le temps d’inscrire une, deux, trois, peut-être des centaines de ces fois ou vous avez fait confiance à votre inspiration, où vous avez fait ce premier pas, et notez où cela vous à amené, et ce qui manquerait dans votre vie aujourd’hui si vous n’aviez pas fait ce premier pas en confiance. 

Nous savons que la confiance est une chose qui se gagne et que malgré tout l’Amour que nous éprouvons pour vous il est normal que vous doutiez parfois encore et nous vous invitons à vous rendre ce propre service en prenant ces notes et en contemplant toutes ces merveilles qui sont arrivées dans votre vie grâce à cette confiance que vous avez eue en cette inspiration qui venait de votre Source et nous espérons qu’en observant, contemplant et appréciant cette longue liste vous ayez aujourd’hui confiance en ce prochain pas qui vous est inspiré en ce moment. Vous avez toujours le choix, votre Source ne vous forcera jamais réellement à faire quoi que ce soit, mais de notre perspective nous vous voyons tellement plus heureux, joyeux, remplis d’Amour lorsque vous avancez avec confiance lorsque vous avancez sur ces chemins que votre Source vous inspire à prendre et nous observons aussi que lorsque vous ne les prenez point vous souffrez, vous êtes en dualité, vous vous torturez vous-même et nous avons beaucoup de compassion pour vous dans ces moments. 

Sachez que vous n’êtes jamais seuls. Nous sommes toujours avec vous et nous vous accompagnons avec Amour.

Nous sommes les Guides de l’Unité.

Via Daniel Desjardins, éveilleur, créateur de l’Alchimie du coeur et canal des Guides de l’Unité

« Chronique trouvée sur lapressegalactique.org » Partagé par www.eveil.tv

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Des traits de personnalité caractéristiques aux gens qui apprécient la solitude

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Préférez-vous la solitude à la compagnie des autres personnes? De nombreuses personnes sont dans le même cas que vous, et en tant qu’introverti, vous possédez certaines caractéristiques que les autres n’ont pas.

Évidemment, le besoin de solitude n’est pas spécifique aux introvertis, car même certains extravertis apprécient cela de temps en temps. Mais voici 7 traits de personnalité caractéristiques aux gens qui préfèrent la solitude :

1. Ils sont provocateurs

Les conversations ennuyeuses ne les intéressent absolument pas. Ils s’efforcent plutôt de communiquer véritablement et de parler réellement.

2. Ils apprécient la compagnie d’un ou deux véritables amis

Au lieu de passer des heures entières avec de grands groupes de personnes qui sapent leur énergie, ils apprécient la compagnie d’un ou deux véritables amis.

3. Ce sont de bons auditeurs

Être capable d’apprécier le temps seul permet d’avoir des moments de réflexion. Ainsi, les gens qui aiment vraiment être seuls sont de meilleurs auditeurs.

4. Ce sont de bons chercheurs

Tout ce temps passé seul et à réfléchir loin de la foule fait de vous un bon chercheur car vous êtes capable de découvrir des choses par vous-même.

5. Ils sont à l’écoute de leurs sentiments

Passer plus de temps seul vous permet d’être plus à l’écoute de vos émotions et de vos sentiments. D’autre part, cela vous donne la capacité de déchiffrer les pensées et les émotions négatives et de les séparer du bien.

6. Ils sont indépendants

Quand vous êtes capable de passer du temps seul, vous améliorez vos capacité à ne dépendre que de vous-même, au lieu de dépendre de la présence des autres pour vous sentir bien.

7. Ils sont observateurs

Ceux qui aiment être seuls sont très sensibles à leur environnement. Ainsi, ils sont très bons pour remarquer quelque chose de différent, comme une nouvelle coupe de cheveux ou d’autres détails plus subtils.

Source https://www.sain-et-naturel.com Partagé sur http://eveil.tv

Autre article

Les mêmes situations peuvent être vécues comme des réalités différentes par des personnes différentes

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par Mikael

L’impact de toute situation dépend de la signification personnelle, et donc subjective, que la personne lui attribue. Par conséquent, les mêmes situations peuvent être vécues comme des réalités différentes par des personnes différentes.

Par ailleurs, il existe des difficultés pour que les personnes reconnaissent la construction sociale des situations. Même dans la perception d’objets et de situations simples. Ces difficultés ont, en outre, des conséquences, comme nous le verrons plus loin.

Les personnes construisent leurs réalités

Le simple fait de se souvenir est un processus constructif. Ainsi, pour autant que nous soyons doués pour nous souvenir, notre mémoire est imparfaite. En effet, la mémoire est inévitablement influencée par le contexte du souvenir (conversations relatives au souvenir, le nombre de fois que nous y avons songé, la présence d’autres témoins …).

Loftus et Palmer ont démontré “l’effet de l’information erronée” à travers une recherche scientifique connue sous le nom de “l’accident de voiture”. Cette recherche explique comment différentes personnes, face à un même accident, construisirent leurs propres réalités de ce qui s’était passé en fonction de la manière dont elles furent interrogées sur ledit accident. Par exemple, en présence des même faits, l’accident parut moins grave aux personnes qui furent interrogées sur les voitures s’étant heurtées qu’aux personnes interrogées sur les voitures s’étant écrasées.

Différentes fonctions amènent à différentes réalités

Le monde compte différentes formes de structures, de fonctions et d’organisations sociale de la vie et, par conséquent, des réalités très différentes. Par exemple, le concept de famille n’est pas le même pour une tribu que pour un clan, même s’ils sont constitués pour atteindre des objectifs similaires.

Pourquoi est-il si difficile de comprendre parfaitement les autres cultures ? Si nous observons un édifice en construction, nous ne sommes pas surpris par la méthode de construction car il s’agit de la méthode habituellement utilisée das notre réalité. En revanche, si nous observons une ancienne cathédrale, il se peut que nous rencontrions des difficultés pour imaginer quel fut les procédés de construction qui furent mis en oeuvre dans la mesure où ces derniers faisaient partie d’une autre réalité.

Les conséquences de ne pas accepter l’existence de différentes réalités

De même qu’il est fondamental d’accepter le fait que la réalité est quelque chose que nous construisons, nous devons être conscient d’un autre élément : cette construction fusionne très bien avec les objectifs qu’elle pourrait avoir, de sorte qu’il est difficile de la reconnaître. Et si nous ne la reconnaissons pas facilement, quelles sont les conséquences de ne pas reconnaître cette subjectivité ?

La principale conséquence de ne pas prendre en compte la construction sociale est le “biais de faux consensus”. Le biais du faux consensus (la croyance que notre jugement est le plus commun et partagé par les autres) conduit à des biais d’attribution (erreurs dans l’attribution des causes). Les principales conséquences de ne pas reconnaître les différentes réalités expliquent à leur tour le biais du faux consensus :

  • Nous croyons que nos jugements, choix, croyances et opinions sont relativement communs et appropriés aux circonstances.
  • Ne pas considérer que les autres réagissent à une situation différente de la nôtre.
  • Nous surestimons le degré auquel les autres partagent nos croyances, comportements et confions dès lors exagérément en nos prédictions (sur nous mêmes et sur les autres).
  • Ne pas prendre en compte ou ne pas considérer suffisamment la perspective de l’autre.
  • Nous les considérons comme déviants ou inappropriés les réponses alternatives que d’autres personnes apportent à nos croyances.
  • Ne pas reconnaître que la réalité se construit de manière différente.
(image pixabay)

La réalité est comme la personnalité

Chaque personne possède une personnalité unique et irremplaçable, il n’est pas possible de la copier ou de l’imiter à 100%, et il en va de même pour la réalité. S’il nous était demandé comment nous expliquerions à un extraterrestre le monde dans lequel nous vivons, chacun d’entre nous donnerait une réponse différente.

Le contexte et l’apprentissage sculptent notre être dès la naissance, mais notre héritage génétique fait également partie de nous. Nous ne pouvons pas sentir, penser, regarder, respirer, nous souvenir… exactement de la même manière que les autres, de sorte que la réalité sera toujours vécue de manière différente.

Combien de fois avons-nous entendu ou dit que nous devions être réaliste dans une situation donnée ? Il est difficile de comprendre que la réalité en soi n’existe pas et que, par conséquent, chacun possède sa propre vérité. Etre conscient de cela nous donne la responsabilité de respecter et de comprendre les réalités des autres, sans impositions ni jugements de valeur.

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Vivre pour faire plaisir aux autres est un sacrifice inutile

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Le problème auquel nous devons faire face en essayant de faire plaisir à tout le monde c’est qu’en plus de nous oublier, tout ce que nous ferons ne sera jamais du goût de tous.

Faire plaisir aux autres peut être très bien vu, mais cela suppose une grande usure pour la personne si bonne et si complaisante qui pense à tout le monde sauf à elle.

Depuis tout petit on nous enseigne cette attitude, en nous éduquant à faire des choses que nous n’aimons pas mais qui plaisent aux autres.

C’est ainsi que nous commençons à toujours regarder vers l’extérieur, tandis que nous nous oublions.

Lisez : Je suis cette femme qui n’a rien besoin de démontrer
Mais il arrive un jour où la fatigue est si grande que nous nous arrêtons et nous nous demandons « qui suis-je ? », « qu’est-ce que je souhaite? ». Malheureusement, nous ne le savons pas.

Toutefois, en prendre conscience peut être un début sur la voie vers la découverte de nous-même.

Faire plaisir aux autres peut nous faire souffrir

Faire plaisir aux autres peut nous faire beaucoup de mal. Car nous allons faire des choses que nous ne voulons pas et qui, bien souvent, vont à l’encontre de nos valeurs.

Par exemple, si nous sommes en couple et que nous ne tolérons pas l’odeur de tabac chez nous, il se peut que pour faire plaisir à l’autre nous le laissions fumer à l’intérieur sans rien dire.

Ceci provoquera une grande frustration en nous, de la colère et du mal-être qui augmentera avec le temps et qui, tôt ou tard, ressurgira.

De la même manière, il est possible que nos parents veuillent que nous agissions d’une certaine manière qui n’est pas cohérente avec notre manière d’être ou de procéder. Toutefois, si nous faisons le contraire, ils en seront contrariés.

Face à cette situation, l’anxiété devient l’écho de notre intérieur pour activer le bouton de « faire plaisir aux autres ». Ainsi, nous arrivons à y palier en permettant aux autres de se sentir bien.

Mais, à quel prix ?

Au prix de ne pas nous donner la priorité, de nous reléguer au second plant et d’être à la rechercher constante de l’approbation des autres.

Les autres sont-ils votre source de bonheur ?

Il semble paradoxal de se dire que faire plaisir aux autres peut nous faire souffrir. Toutefois, il y a une explication à cela : nous laissons notre propre bonheur dans les mains des autres.

Au moment où nous faisons plaisir pour nous sentir bien, à l’instant où nous essayons que la colère ou la déception de l’autre envers quelque chose que nous n’avons pas voulu faire comme elle le souhaitait, nous angoissons d’inverser la situation.

Nous nous trouvons dans une impasse.

Nous essaierons d’éviter les conflits, nous donnerons notre opinion quand nous saurons ce que les autres veulent entendre et nous nous laisserons guider par ce que veulent les autres, pas par ce que nous souhaitons.

Au final, quelle vie vivons-nous ? La nôtre ou celle que les autres désirent ? Si nous ne prenons pas le contrôle, il se peut que la vie n’ait plus aucun sens.

Nous ne pouvons pas ne pas dormir parce qu’un-e ami-e s’est mis-e en colère parce que nous lui avons dit « non » pour se voir, parce que l’on n’en avait pas envie ou parce qu’on avait mal à la tête.
Nous ne pouvons pas non plus nous inquiéter de ne pas avoir répondu aux attentes des autres.
Nous devons apprendre à accepter la colère, le refus, les mauvaises têtes des autres face à nos propres opinions, actes ou décisions. Cela finira par leur passer !

Commencez à vous faire plaisir

Pour commencer à cesser de faire plaisir aux autres il faut faire un grand travail pour augmenter l’estime de soi, car c’est sans doute cela, ajouté à votre manque d’assurance, qui vous pousse à agir ainsi.

Une fois que votre estime de vous-même se trouve à l’endroit où elle doit se trouver, il faut commencer à changer les vieilles habitudes.

Commencez à dire « non » lorsque vous voudrez dire « non ». Si quelqu’un se met en colère, ne soyez pas désespéré car tôt ou tard cela lui passera (ce n’est pas la fin du monde) et donnez-vous la priorité.

Donnez la priorité à vos décisions, à ce que vous souhaitez, à vos opinions et à vos rêves. Mais surtout, donnez la priorité à votre bien-être.

Vous n’avez pas à faire quoi que ce soit qui vous empêche de vous sentir bien. Vous vous usez pour rien. Vous souffrez et cela se paie en anxiété voire en dépressions.

Pourquoi ne pas commencer à vivre pour vous-même ?

Source : amelioretasante.com

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La colère joue un rôle sur le corps

Nous naissons et portons déjà en nous la colère. Lpeur et la douleur également. Ces émotions viennent au monde avec chaque être humain, indépendamment des circonstances dans lesquelles chacun naît. Dès la naissance, chacune de ces réalités subjectives sera modelée et prendra le cours que l’environnement induit.

La colère possède différents niveaux. Ils vont de la gène ou de l’irritation pour une quelconque contrariété à la passion aveugle qui conduit aux actes les plus destructeurs de l’être humain. Il s’agit, en fait, de l’une des émotions les plus intenses que nous puissions ressentir. L’une des plus nocives également. Qu’elle explose ou soit réprimée, elle finit par nous rendre malade.

 

” Contre la colère, la procrastination.

Sénèque

L’être humain se trouve donc face à un grand paradoxe. Il ressent de la colère, quoiqu’il advienne. Il n’est pas possible de mutiler cette partie de lui-même. Il doit néanmoins apprendre à la gérer, au risque de tomber malade, du corps et de l’esprit. La bonne nouvelle est que cela est possible. Il est possible de canaliser la colère de manière constructive. Concourir, entreprendre, prendre des risques sont autant de moyens de le faire. Mais si nous n’y parvenons pas, le corps lui-même en paiera les conséquences.

La colère rend malade

Tant les médecines alternatives que conventionnelles insistent sur le fait que toutes les maladies possèdent des composantes émotionnelles. Du point de vue des approches holistiques, toute maladie est une émotion non résolue. Lorsque cette émotion atteint son degré le plus élevé, elle est capable de détériorer considérablement la santé et même conduire à la mort.

Ces perspectives indiquent que chaque émotion affecte une partie du corps en particulier. Dans le cas de la colère, il est connu que celle-ci a des effets principalement sur toute la zone du tronc et de l’estomac.

La colère prend plusieurs formes. Ressentiment, rancœur, haine, etc. Toutes ces formes finissent par générer des répercussions sur la santé. En effet, il s’agit de véritables bombes à retardement qui finissent par se manifester sous forme de calculs biliaires, de problèmes de vésicule biliaire et de différents troubles digestifs.

Les différents effets sur l’organisme

Des chercheurs du National Institute on Aging ont récemment mené une enquête sur les effets de la colère sur l’organisme. Les conclusions de l’étude furent publiées dans le Journal of the American Hearth Association. Il fut vérifié que les personnes qui restent envahis par la colère tendent à montrer des traces de cette émotion dans leur corps.

Il fut constaté que ceux qui se mettent en colère ont souvent tendance à avoir des anomalies dans les artères carotides. Ceci, bien évidemment, augmente le risque d’avoir un accident vasculaire cérébral. De même, il fut découvert que ceux qui ont un caractère de type “antagoniste”, autrement dit très conflictuel, présentent généralement un épaississement des parois artérielles.

Par ailleurs, tout excès de colère provoque une augmentation visible de la production de certaines hormones. Parmi eux, l’adrénaline. L’augmentation de cette substance provoque une altération de l’équilibre de l’organisme et peut éventuellement mener à des crises cardiaques ou à des troubles cérébraux.

Ni la contenir…ni la laisser prendre le contrôle

Nous disposons chaque jour de nombreuses raisons de nous mettre en colère, quels que soient nos intérêts. Rien ne fonctionne parfaitement, et le conflit et la contrariété jalonnent nos journées. Pour canaliser ces sentiments de rejet et d’irritation, la première chose est de reconnaître que nous éprouvons de la colère. Ce simple fait augmente déjà les possibilités de canaliser intelligemment son énergie.

Comme nous l’avons mentionné précédemment, cette émotion possède différentes facettes. Il en existe essentiellement quatre :

  • La colère incontrôlée
  • La colère “contagieuse” ou transférée d’une personne à l’autre
  • La colère pour couvrir un autre sentiment inconscient, que la personne ne peut pas accepter consciemment
  • La colère qui provient du manque d’affirmation de soi

Les processus de colère proviennent principalement de quatre sources : la peur, la frustration, le doute et la culpabilité. La colère ne résout ni la peur ni la frustration ni le doute ni la culpabilité. Elle ne fait que leur offrir une sortie dangereuse. Elle produit un sentiment de libération momentanée, mais n’élimine pas les causes du problème. Elle présente en outre la circonstance aggravante qu’elle se nourrit elle-même. Plus nous ressentons de colère, moins nous sommes susceptibles de la contrôler, de sorte qu’elle s’intensifie. C’est ainsi qu’elle fonctionne.

La solution ne consiste ni à la réprimer ni à la libérer de manière incontrôlée. Le chemin consiste à accepter que nous ressentons de la colère, de l’exposer face à la conscience. Elle commence alors à se désamorcer. Il suffit de 10 secondes pour faire cet exercice. Il convient ensuite d’essayer d’identifier quelle est la véritable source de la colère. Cela nous donne des indices sur la façon de résoudre le problème qui se trouve derrière.

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Les troubles psychosomatiques qui font mal au corps

Les troubles psychosomatiques sont la preuve de l’impact que l’esprit peut avoir sur notre corps. Il s’agit d’états où apparaissent clairement une série de symptômes physiques réels liés à des maladies invisibles, avec des conditions qui n’existent pas organiquement, mais qui sont le résultat de conflits mentaux, de problèmes non résolus qui nous consument de l’intérieur.

Lire qu’il existe des étudiants qui, en raison de l’anxiété, peuvent perdre la vue juste avant un examen peut sembler incroyable. En outre, parler du cas d’une femme de 60 ans qui a perdu la mobilité de ses jambes parce qu’elle était convaincue qu’elle avait une tumeur à la colonne vertébrale, peut également sembler une histoire exagérée et difficile à comprendre.

Cependant, les preuves sont là et de tels cas se produisent tous les jours, partout dans le monde et à chaque instant. Par conséquent, les neurologues ou les psychologues spécialisés dans les troubles psychosomatiques ont rapidement appris à donner de l’espace au récit que les patients font de ce qui leur arrive. S’ils disent ressentir de la douleur, cette douleur est probablement réelle même si elle ne se reflète pas dans une IRM ou une analyse sanguine.Donner de la crédibilité à la souffrance de ces patients est essentiel. Il en va de même avec les personnes qui prétendent avoir des pensées suicidaires lors d’une dépression, ou pour une personne souffrant de schizophrénie qui déclare avoir des visions et certaines hallucinations. Cette réalité existe, existe dans l’esprit dudit patient et peut devenir dévastatrice. Lorsque notre esprit prend le contrôle, est traumatisé ou soumis à un état d’anxiété très convulsive, tout peut s’avérer possible.

Les troubles psychosomatiques, est-il vrai que tout est dans ma tête ?

Le trouble psychosomatique est définit comme le cadre symptomatique où un corrélat physique ou organique n’est pas trouvé, là où tous les maux et toutes les limitations dont souffre la personne sont exclusivement dus à ses processus mentaux. Réfléchissons désormais à ce que cela peut supposer…tout est-il vraiment tout dans ma tête ?

La réalité est qu’aujourd’hui les troubles psychosomatiques restent un domaine d’étude rempli d’inconnues pour les experts. Ce qui est connu est que ce spectre de troubles physiques associés au stress mental présente un corrélat cérébral : l’hyperactivité des impulsions nerveuses du cerveau pour communiquer avec diverses zones de notre corps.

  • Un excès d’adrénaline dans le sang peut également survenir, outre certains paramètres biologiques modifiés tels que l’accélération du métabolisme du glucose ou des acides aminés …
  • Par ailleurs, il a également été démontré qu’il existe des personnes davantage susceptibles de souffrir de troubles psychosomatiques. Les patients vivant dans un état de grande anxiété ou qui ont connu une enfance traumatisante suite à des abus, à la privation affective, etc., sont également davantage susceptibles de souffrir de ce type de trouble.

Au-delà du fait de comprendre ou de la non les conséquences des maladies psychosomatiques, il existe un fait encore plus important. Pensons à un médecin qui explique à son patient que ce dont il souffre n’est pas réel, que la douleur qu’il ressent dans  la poitrine n’est pas une crise cardiaque, que la perte de sa voix n’est pas due à un problème de cordes vocales, ou sa terrible migraine à une tumeur. Il convient de préciser au patient “ce dont il ne souffre pas”, mais…de quelle manière est-il possible de l’aider à guérir ce dont il “souffre” et qui trouve son origine dans son esprit ?

“Il s’agit de quelque chose qui arrive à tout le monde. Mais nous ne pourrions dire pourquoi chez certains individus ce mécanisme décide de créer une pathologie. Il se passe que nous avons tous une façon différente de gérer le stress.”
-Suzanne O’Sullivan-

Ce que notre esprit peut générer

Les troubles psychosomatiques peuvent affecter n’importe quel organe, système, tissu ou structure. Son impact est immense, raison pour laquelle nous ne devrions pas sous-estimer la puissance de notre psyché. Il est par ailleurs nécessaire de différencier les troubles somatoformes des troubles psychosomatiques. Alors qu’ il n’existe a jamais de symptôme physique dans le premier cas, des dommages visibles dans l’organisme (par exemple, des ulcères) apparaissent dans le second.

Un exemple classique de troubles psychosomatiques sont les dermopathies, telles que l’eczéma, l’urticaire, les infections, l’acné…
L’hypertension, la tachycardie, la sensation d’étouffement ou les perforations cardiaques sont un autre symptôme
Les troubles du système digestif sont très communs, l’irritation de l’intestin et les ulcères étant les conditions les plus communes
Les maux de tête intenses, tels que les migraines sont également très fréquents
Pertes de mémoire
Asthme bronchique
Dysménorrhée, troubles menstruels…
Alopécie
Dans les cas extrêmes, certaines personnes peuvent souffrir de cécité temporaire, du manque de mobilité de certains membres, d’évanouissements…

Comment les maladies psychosomatiques sont-elles traitées ?

Les troubles psychosomatiques sont abordés de deux manières différentes. D’une part, il est évidemment nécessaire de prendre en charge le symptôme physique que présente le patient (ulcère, infection, eczéma …). Ensuite, le plus important dans ces cas est de faire face au vrai problème sous-jacent, son univers psychologique et cette tension mentale non résolue qui est somatisée avec plus ou moins de gravité dans l’organise.

Les techniques utilisées pour ces cas sont multiples et dépendront toujours de la réalité personnelle de chaque patient. Il est par ailleurs parfois approprié d’essayer différentes thérapies afin de déterminer ce qui fonctionne le mieux chez le patient, ce qui génère les résultats les plus positifs et les plus attendus.

  • Les techniques de relaxation sont toujours très efficaces.
  • La thérapie cognitivo-comportementale est d’une grande aide pour amener les patients à apprendre de nouvelles façons de faire face à leurs problèmes. Ils comprendront leurs réalités internes, appliqueront des objectifs de vie réalistes et identifieront les schémas de pensée qu’ils devraient changer pour disposer d’un style de vie plus positif.
  • Par ailleurs, un autre type de thérapie qui apporte généralement des résultats positifs lorsqu’il s’agit de conflits mentaux et émotionnels, ainsi que des troubles anxieux, est la psychanalyse.
  • La thérapie de groupe telles que le psychodrame, créé à l’époque par Jacob Levy Moreno, est une autre stratégie idéale, révoltante et très enrichissante qu’il est possible de tester pour observer si elle génère les résultats escomptés.

En conclusion, nous devons signaler l’importance et le défi que suppose pour de nombreux médecins d’essayer d’offrir une solution pour tous ceux qui aujourd’hui souffrent de maladies psychosomatiques. Il s’agit parfois de réalités très dures qui méritent notre attention et notre prise de conscience.

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Choisissez un animal et nous vous révélerons le côté obscur de votre personnalité

*Le loup
Le loup est un chéri de la nuit, un allié des ténèbres et un enfant du démon lui-même. Mais le fait est qu’un loup ne blesse jamais à moins d’être menacé en premier, il n’attaque jamais à moins d’être provoqué et il ne tue jamais s’il ne le doit pas. Un solitaire par nature, c’est l’un des animaux les plus mystérieux qui existent, se cachant toujours dans l’ombre, attendant que ses victimes arrivent à portée de sa portée pour pouvoir se jeter sur eux et tuer sans préjugés. Si le loup était l’animal sur lequel vous avez été attiré avant tout autre animal, il est fort probable que votre personnalité soit aussi complexe, mystérieuse et sombre que celle d’un loup. Vous aussi, comme un loup, n’attaquez jamais sans provocation et êtes doux dans la vie mais vous pouvez être brutal s’il est poussé à l’extrême. Quand vous êtes menacé, vous ne réagissez pas, vous attendez le bon moment. Vous planifiez votre attaque avec patience et précision et lorsque votre rival est sûr qu’il est en sécurité, vous libérez votre furie. La plupart des gens penseraient, en vous regardant, que vous êtes inoffensifs et qu’ils peuvent profiter de vous, mais quand il y a des menaces ou des provocations, vous agissez rapidement et intelligemment. Votre loyauté, comme un loup, est pour la vie, mais votre rage l’est aussi quand vous en avez assez.
* La chauve-souris
Que pensez-vous que même Batman a peur? Les chauves-souris, bien sûr. Il y a quelque chose de primordial au sujet des chauves-souris qui ont non seulement inspiré un personnage comme Batman mais aussi Dracula. Il y a quelque chose de foncièrement sombre dans ces créatures de la nuit qui disparaissent à la lumière du jour, pendent du toit dans leurs cavernes sombres et regardent le monde à l’envers. Si la chauve-souris était l’animal de votre choix, alors vous avez une personnalité complexe qui est faite de plusieurs couches. Pour commencer, le monde n’est jamais noir et blanc pour vous, vous vivez dans la zone grise de la vie. Vous n’êtes pas confiné par les préoccupations morales de la société et vous ne vous conformez jamais, quoi qu’il arrive. La façon dont vous regardez le monde est différente des autres. Tout de votre sens de l’humour à vos points de vue sur la vie est vers le côté sombre. C’est quelque chose qui vous distingue vraiment, car tout le monde ne peut pas voir les nuances du monde comme vous le faites. Vous êtes un sceptique et ne faites pas confiance facilement. Le fait est que vous avez une personnalité qui vous a aidé à grandir au-delà des nuances du bien et du mal, au-delà du bien et du mal et au-delà du bien et du mal.

image pixabay

*Le corbeau
Edgar Allen Poe savait exactement de quoi il parlait quand il a choisi Raven comme muse et a écrit ‘Nevermore’. Les corbeaux ont toujours été associés à des présages obscurs et à la mort. Ces oiseaux, aussi sombres que la nuit elle-même, ont été connus comme le précurseur de la mort et de la destruction et même le nom collectif pour les corbeaux est «méchanceté». Mais il est également vrai qu’ils sont des oiseaux intelligents, ils peuvent imiter la voix humaine et sont extrêmement adaptables. Alors pourquoi avez-vous été attiré par un corbeau? Votre personnalité, basée sur votre choix, peut être aussi sombre que celle d’un Corbeau. Vous êtes l’une de ces personnes qui garde leur côté obscur caché. . Vous êtes bon à observer les gens à distance et à comprendre leurs pensées. Vous pouvez clairement voir l’obscurité qui se cache dans le cœur des autres. Tout comme un corbeau, vous attendez que le moment soit venu de libérer votre côté obscur. Vous vous adaptez, changez et changez, vous positionnant pour frapper. Vous êtes persistant vers la réalisation de votre objectif. Un trait de plus qui vous rend corbeau est que vous ne blessez jamais à moins d’être provoqué. C’est seulement quand quelqu’un vous pousse à l’extrême que vous agissez d’une manière qui fait que les ténèbres paraissent vraiment terrifiantes.

*La panthère noire
Il y a très peu de créatures qui inspirent autant de crainte et de crainte que la panthère noire. C’est intrinsèquement une créature mystérieuse qui vit dans l’ombre. Un solitaire par nature, il est craint autant qu’il est respecté. Il y a des histoires de tribus qui adorent la panthère car l’animal est connu pour être farouchement protecteur. Silencieux, vigilant et mortel, il y a tellement de nuances à cette créature que personne ne peut jamais dire ce qu’il pense. Si ce n’est pas la définition même du mystère, alors rien n’est.
Si vous avez choisi la panthère noire, il y a de fortes chances que vous aussi soyez une personne de mystère inhérent, quelqu’un qui est autant une énigme que cette créature fière. Vous avez un mélange complexe de traits qui vous distinguent des autres. D’un côté, vous protégez farouchement ceux que vous aimez, mais d’un autre côté, vous pouvez être brutal envers ceux qui vous menacent. «Vous obtenez ce que vous méritez», c’est ainsi que vous traitez avec les gens. Si elles sont bonnes pour vous, vous pourriez être leur meilleur ami, mais sinon, il y a peu de chance qu’elles survivent à votre colère. Doux en tant que personne mais redoutable en tant qu’opposant, le côté obscur de votre personnalité est quelque chose qu’une personne devrait déclencher à ses risques et périls.

*La veuve noire
Les veuves noires sont connues pour leurs morsures venimeuses et aussi pour leurs actes cannibales de manger leurs propres camarades. Obscurs et mystérieux, ils attendent que leurs victimes soient piégées dans leurs toiles, puis vont travailler dessus. Ils injectent à la victime son venin, les laissent mourir et les consomment en paix. Ils ont une façon d’être sombre de la manière la plus inimaginable et c’est quelque chose qui les rend dangereux, troublants et qui devraient être évités à tout prix.

Votre choix pour la veuve noire laisse entendre que vous avez une personnalité qui peut devenir vraiment sombre. Lorsque provoqué ou poussé à une situation où vous n’avez d’autre choix que de faire ressortir votre côté obscur, vous pouvez être mortel. La première chose que vous faites est d’endormir votre adversaire dans un faux sentiment de sécurité. Une fois que votre rival a laissé tomber sa garde, vous commencez lentement à tisser votre toile autour d’eux, et ils n’ont aucune idée qu’ils sont pris au piège. C’est seulement quand ils sont complètement soumis et ne peuvent plus vous opposer que vous allez pour la dernière tuerie avec vos instincts mortels. Lorsque vous avez terminé, il n’en reste généralement aucune trace. Alors que vous pouvez paraître doux et inoffensif à l’extérieur, ceux qui vous blessent ou ont l’intention de vous faire du mal peuvent voir toute la colère de votre personnalité et vivre pour regretter le moment où ils ont choisi de vous embêter.

*Le chat noir
Les chats ont été associés aux arts sombres et à la mort depuis les temps anciens. La référence des chats étant une créature à mi-chemin entre le monde des morts et celui des vivants pourrait être trouvée dans presque toutes les cultures. Des contes égyptiens antiques à la littérature moderne, les chats ont été décrits comme des créatures sinistres et d’un autre monde, vous regardant à travers leurs yeux fendus. Il y a une raison pour laquelle cette image a persisté au fil des ans. Il doit y avoir quelque chose d’intrinsèquement profond et sombre à propos des chats qui leur donne cette aura.
Si le chat a attiré votre attention, vous avez une personnalité vraiment mystérieuse et dynamique. Le fait est que vous êtes, en tant que personne, aussi ludique qu’un chaton, mais cela n’est vrai que dans la mesure où quelqu’un ne vous menace pas. Une fois que cela arrive, vous pouvez vraiment faire ressortir le mal en vous et devenir, pour ceux qui vous blessent, la réincarnation de Satan lui-même. Vous êtes patient, intelligent et rusé dans vos pensées et vos actions. Quand vous choisissez d’agir, les gens ne vous entendent même pas venir, et encore moins se préparer à la colère que vous déclenchez. Vous agissez calmement, en attendant votre temps à observer. Quand vous voyez que le moment est venu, vous bondissez, avec un effet létal. Avec une personnalité comme la vôtre, n’importe qui qui choisit de vous embêter a une bonne chance de regretter profondément le moment où ils vous blessent.

* Le vautour
Un bec crochu sur un col crocheté avec un corps tout droit sorti d’un film d’horreur, les vautours sont les éboueurs ultimes de la nature. Ils chassent en meute, volent en cercles, se concentrent sur leur cible, attendent jusqu’au moment où ils sont morts. Puis ils descendent et encerclent la carcasse, et lentement mais régulièrement arrachent leurs victimes sans pitié. Si le vautour était celui qui attirait votre attention, vous pourriez avoir une personnalité terrifiante qui sommeille juste sous votre attitude calme et douce. La chose est, les vautours attaquent seulement quand ils doivent et ne mangent que ce dont ils ont besoin. Comme le vautour, votre personnalité est profonde et sombre. Vous êtes perspicace quand il s’agit de vos transactions dans la vie. Vous avez un œil vif et une concentration inébranlable sur ce que vous voulez. Vous êtes rusé et rusé mais seulement pour ceux qui le méritent. En réalité, vous ne ferez jamais de mal à une âme, mais seul Dieu peut aider la personne qui déclenche votre côté obscur. Pour ceux qui méritent votre colère, il tombe sur eux comme la fureur des dieux, descendant du ciel jusqu’à ce qu’ils ne soient plus. Tu n’es sombre que quand tu as besoin d’être, sinon tu te contentes de voler haut dans le ciel, loin des autres, libre de tout ce qui est humain.

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Sincérité et sincéricide : quelle est la différence ?

Est-il bon de toujours dire la vérité ? La sincérité des personnes est-elle est réellement valorisée ? Quand parlons-nous de sincérité et quand parlons-nous de sincéricide ? Parler de « sincéricide » évoque le fait de dire la vérité sans prudence, sans limites, sans tenir compte de ce que ressent ou de ce que désir l’autre. En clair, nous pourrions dire que la sincérité appliquée sans intelligence peut occasionner des blessures non nécessaires.

Le meilleur serait d’avoir recours à la vérité pour aider et à la sincérité pour construire, mais jamais pour détruire ou faire tomber les autres. Ayons à l’esprit que la vérité est une arme très puissante, que ne doit pas manquer d’empathie et d’intelligence sociale.

D’autre part, il se peut que lorsque nous avons recours à un sincéricide nous disions réellement la vérité, sans mensonges, mais lorsque nous le faisons sans prendre compte de l’effet que cela peut avoir sur l’autre ou uniquement pour nous défouler, nous n’agissons pas correctement et nous n’employons pas la vérité comme nécessaire. Nous exprimons uniquement des réalités objectives qui blessent, et cela à des moments non adéquats.

Par conséquent, pour ne pas blesser faut-il mentir ? L’explication n’est pas si simple que le fait de dire la vérité ou de mentir, parfois, une vérité ne va servir à rien et va uniquement empirer la situation. La meilleure chose que nous puissions faire serait d’exprimer ce que nous souhaitons dire, mais avec sensibilité, en trouvant le moment et le contexte adéquat ou en cherchant la meilleure manière de le faire.

Qu’est ce qui se passe dans mon cerveau lorsque je mens ?

Une étude publiée dans le magazine Neuroscience démontra que lorsque nous mentons, l’amygdale, l’aire qui travaille dans notre cerveau lorsque nous réalisons cette action, diminue son activation à mesure que nous mentons. En fait, cela veut dire qu’elle se désensibilise face à la répétition d’une telle action.

Avec cela, nous pouvons faire la conclusion suivante : en mentant, nous obligeons notre cerveau à se relaxer et à s’habituer à ne pas dire la vérité. Cependant, notre fonction n’est pas dans le fait de mentir, mais dans le fait d’apprendre à sélectionner et à transmettre la vérité. Nos relations sociales ne résisteront pas si nous ne mettons pas de filtres dans notre communication, indépendamment du fait que le message que nous transmettons s’empare ou non de la réalité.

Comme nous l’avons signalé, le sincéricide n’améliore pas nos habilités, n’améliore pas non plus notre estime personnelle, et ne nous aide pas à améliorer nos relations sociales. Ce qui nous aide en revanche est la sensibilité. Certaines vérités doivent être transmises avec la délicatesse avec laquelle une plume se pose, d’autres doivent être gardées jusqu’à ce qu’arrive le bon moment, d’autres ne doivent jamais être partagées car elles ne sont pas d’un grand intérêt et avec d’autres il est nécessaire de réaliser une communication graduelle, afin que la personne ait le temps de l’assimiler.

Ceux qui savent exprimer ce qu’ils ressentent sans blesser sont les vrais

héros, ce sont ceux qui prennent le temps de mesurer leurs mots et d’améliorer l’environnement ou les personnes qui les entoure grâce à leurs actions.

Est-il bon de toujours dire la vérité ou est-ce un sincéricide ?

La psychologue Claudia Castro réalisa une étude cognitive sur le mensonge et affirma le faut qu’au cours de la journée nous disons au minimum un ou deux mensonges, peu importe qu’ils soient grands ou petits ; mais nous les utilisons pour transformer la réalité en notre faveur.

Nous connaissons tous l’affirmation qui dit que les personnes ivres ou les enfants disent toujours la vérité. Cela se passe lorsque nos systèmes cérébraux de censure et d’inhibition sont relaxés, en étant soûls ou lorsque nous sommes jeunes. Chez les petits, ces systèmes ne fonctionnent pas du tout comme chez l’adulte : ils se forment. Cependant, notre capacité cérébrale ainsi que la société nous préparent à occulter la vérité ou à la masquer avec l’intention de contrôler son impact.

« Ce qui devrait prévaloir ne devrait pas être le fait d’être 100% sincère, mais celui de ne jamais dire le contraire de ce que nous pensons. »

-Carmen Terrasa-

Ceux qui ont de bonnes capacités sociales sont ceux qui savent être sincères, mais sans blesser. Il ne s’agit pas de mentir, mais de transmettre l’information de manière adéquate. Il ne s’agit pas d’être le plus sincère, mais celui qui communique le mieux la vérité. Le mieux est de continuer d’être fidèles à nous-mêmes sans oublier le mal que nous pouvons faire aux autres. La vérité, transmise avec intelligence est motivée par la bonne intention, sera toujours productive.

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