Les mêmes situations peuvent être vécues comme des réalités différentes par des personnes différentes

développement personnel

par Mikael

L’impact de toute situation dépend de la signification personnelle, et donc subjective, que la personne lui attribue. Par conséquent, les mêmes situations peuvent être vécues comme des réalités différentes par des personnes différentes.

Par ailleurs, il existe des difficultés pour que les personnes reconnaissent la construction sociale des situations. Même dans la perception d’objets et de situations simples. Ces difficultés ont, en outre, des conséquences, comme nous le verrons plus loin.

Les personnes construisent leurs réalités

Le simple fait de se souvenir est un processus constructif. Ainsi, pour autant que nous soyons doués pour nous souvenir, notre mémoire est imparfaite. En effet, la mémoire est inévitablement influencée par le contexte du souvenir (conversations relatives au souvenir, le nombre de fois que nous y avons songé, la présence d’autres témoins …).

Loftus et Palmer ont démontré “l’effet de l’information erronée” à travers une recherche scientifique connue sous le nom de “l’accident de voiture”. Cette recherche explique comment différentes personnes, face à un même accident, construisirent leurs propres réalités de ce qui s’était passé en fonction de la manière dont elles furent interrogées sur ledit accident. Par exemple, en présence des même faits, l’accident parut moins grave aux personnes qui furent interrogées sur les voitures s’étant heurtées qu’aux personnes interrogées sur les voitures s’étant écrasées.

Différentes fonctions amènent à différentes réalités

Le monde compte différentes formes de structures, de fonctions et d’organisations sociale de la vie et, par conséquent, des réalités très différentes. Par exemple, le concept de famille n’est pas le même pour une tribu que pour un clan, même s’ils sont constitués pour atteindre des objectifs similaires.

Pourquoi est-il si difficile de comprendre parfaitement les autres cultures ? Si nous observons un édifice en construction, nous ne sommes pas surpris par la méthode de construction car il s’agit de la méthode habituellement utilisée das notre réalité. En revanche, si nous observons une ancienne cathédrale, il se peut que nous rencontrions des difficultés pour imaginer quel fut les procédés de construction qui furent mis en oeuvre dans la mesure où ces derniers faisaient partie d’une autre réalité.

Les conséquences de ne pas accepter l’existence de différentes réalités

De même qu’il est fondamental d’accepter le fait que la réalité est quelque chose que nous construisons, nous devons être conscient d’un autre élément : cette construction fusionne très bien avec les objectifs qu’elle pourrait avoir, de sorte qu’il est difficile de la reconnaître. Et si nous ne la reconnaissons pas facilement, quelles sont les conséquences de ne pas reconnaître cette subjectivité ?

La principale conséquence de ne pas prendre en compte la construction sociale est le “biais de faux consensus”. Le biais du faux consensus (la croyance que notre jugement est le plus commun et partagé par les autres) conduit à des biais d’attribution (erreurs dans l’attribution des causes). Les principales conséquences de ne pas reconnaître les différentes réalités expliquent à leur tour le biais du faux consensus :

  • Nous croyons que nos jugements, choix, croyances et opinions sont relativement communs et appropriés aux circonstances.
  • Ne pas considérer que les autres réagissent à une situation différente de la nôtre.
  • Nous surestimons le degré auquel les autres partagent nos croyances, comportements et confions dès lors exagérément en nos prédictions (sur nous mêmes et sur les autres).
  • Ne pas prendre en compte ou ne pas considérer suffisamment la perspective de l’autre.
  • Nous les considérons comme déviants ou inappropriés les réponses alternatives que d’autres personnes apportent à nos croyances.
  • Ne pas reconnaître que la réalité se construit de manière différente.
(image pixabay)

La réalité est comme la personnalité

Chaque personne possède une personnalité unique et irremplaçable, il n’est pas possible de la copier ou de l’imiter à 100%, et il en va de même pour la réalité. S’il nous était demandé comment nous expliquerions à un extraterrestre le monde dans lequel nous vivons, chacun d’entre nous donnerait une réponse différente.

Le contexte et l’apprentissage sculptent notre être dès la naissance, mais notre héritage génétique fait également partie de nous. Nous ne pouvons pas sentir, penser, regarder, respirer, nous souvenir… exactement de la même manière que les autres, de sorte que la réalité sera toujours vécue de manière différente.

Combien de fois avons-nous entendu ou dit que nous devions être réaliste dans une situation donnée ? Il est difficile de comprendre que la réalité en soi n’existe pas et que, par conséquent, chacun possède sa propre vérité. Etre conscient de cela nous donne la responsabilité de respecter et de comprendre les réalités des autres, sans impositions ni jugements de valeur.

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Vivre pour faire plaisir aux autres est un sacrifice inutile

développement personnel

Le problème auquel nous devons faire face en essayant de faire plaisir à tout le monde c’est qu’en plus de nous oublier, tout ce que nous ferons ne sera jamais du goût de tous.

Faire plaisir aux autres peut être très bien vu, mais cela suppose une grande usure pour la personne si bonne et si complaisante qui pense à tout le monde sauf à elle.

Depuis tout petit on nous enseigne cette attitude, en nous éduquant à faire des choses que nous n’aimons pas mais qui plaisent aux autres.

C’est ainsi que nous commençons à toujours regarder vers l’extérieur, tandis que nous nous oublions.

Lisez : Je suis cette femme qui n’a rien besoin de démontrer
Mais il arrive un jour où la fatigue est si grande que nous nous arrêtons et nous nous demandons « qui suis-je ? », « qu’est-ce que je souhaite? ». Malheureusement, nous ne le savons pas.

Toutefois, en prendre conscience peut être un début sur la voie vers la découverte de nous-même.

Faire plaisir aux autres peut nous faire souffrir

Faire plaisir aux autres peut nous faire beaucoup de mal. Car nous allons faire des choses que nous ne voulons pas et qui, bien souvent, vont à l’encontre de nos valeurs.

Par exemple, si nous sommes en couple et que nous ne tolérons pas l’odeur de tabac chez nous, il se peut que pour faire plaisir à l’autre nous le laissions fumer à l’intérieur sans rien dire.

Ceci provoquera une grande frustration en nous, de la colère et du mal-être qui augmentera avec le temps et qui, tôt ou tard, ressurgira.

De la même manière, il est possible que nos parents veuillent que nous agissions d’une certaine manière qui n’est pas cohérente avec notre manière d’être ou de procéder. Toutefois, si nous faisons le contraire, ils en seront contrariés.

Face à cette situation, l’anxiété devient l’écho de notre intérieur pour activer le bouton de « faire plaisir aux autres ». Ainsi, nous arrivons à y palier en permettant aux autres de se sentir bien.

Mais, à quel prix ?

Au prix de ne pas nous donner la priorité, de nous reléguer au second plant et d’être à la rechercher constante de l’approbation des autres.

Les autres sont-ils votre source de bonheur ?

Il semble paradoxal de se dire que faire plaisir aux autres peut nous faire souffrir. Toutefois, il y a une explication à cela : nous laissons notre propre bonheur dans les mains des autres.

Au moment où nous faisons plaisir pour nous sentir bien, à l’instant où nous essayons que la colère ou la déception de l’autre envers quelque chose que nous n’avons pas voulu faire comme elle le souhaitait, nous angoissons d’inverser la situation.

Nous nous trouvons dans une impasse.

Nous essaierons d’éviter les conflits, nous donnerons notre opinion quand nous saurons ce que les autres veulent entendre et nous nous laisserons guider par ce que veulent les autres, pas par ce que nous souhaitons.

Au final, quelle vie vivons-nous ? La nôtre ou celle que les autres désirent ? Si nous ne prenons pas le contrôle, il se peut que la vie n’ait plus aucun sens.

Nous ne pouvons pas ne pas dormir parce qu’un-e ami-e s’est mis-e en colère parce que nous lui avons dit « non » pour se voir, parce que l’on n’en avait pas envie ou parce qu’on avait mal à la tête.
Nous ne pouvons pas non plus nous inquiéter de ne pas avoir répondu aux attentes des autres.
Nous devons apprendre à accepter la colère, le refus, les mauvaises têtes des autres face à nos propres opinions, actes ou décisions. Cela finira par leur passer !

Commencez à vous faire plaisir

Pour commencer à cesser de faire plaisir aux autres il faut faire un grand travail pour augmenter l’estime de soi, car c’est sans doute cela, ajouté à votre manque d’assurance, qui vous pousse à agir ainsi.

Une fois que votre estime de vous-même se trouve à l’endroit où elle doit se trouver, il faut commencer à changer les vieilles habitudes.

Commencez à dire « non » lorsque vous voudrez dire « non ». Si quelqu’un se met en colère, ne soyez pas désespéré car tôt ou tard cela lui passera (ce n’est pas la fin du monde) et donnez-vous la priorité.

Donnez la priorité à vos décisions, à ce que vous souhaitez, à vos opinions et à vos rêves. Mais surtout, donnez la priorité à votre bien-être.

Vous n’avez pas à faire quoi que ce soit qui vous empêche de vous sentir bien. Vous vous usez pour rien. Vous souffrez et cela se paie en anxiété voire en dépressions.

Pourquoi ne pas commencer à vivre pour vous-même ?

Source : amelioretasante.com

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La colère joue un rôle sur le corps

Nous naissons et portons déjà en nous la colère. Lpeur et la douleur également. Ces émotions viennent au monde avec chaque être humain, indépendamment des circonstances dans lesquelles chacun naît. Dès la naissance, chacune de ces réalités subjectives sera modelée et prendra le cours que l’environnement induit.

La colère possède différents niveaux. Ils vont de la gène ou de l’irritation pour une quelconque contrariété à la passion aveugle qui conduit aux actes les plus destructeurs de l’être humain. Il s’agit, en fait, de l’une des émotions les plus intenses que nous puissions ressentir. L’une des plus nocives également. Qu’elle explose ou soit réprimée, elle finit par nous rendre malade.

 

” Contre la colère, la procrastination.

Sénèque

L’être humain se trouve donc face à un grand paradoxe. Il ressent de la colère, quoiqu’il advienne. Il n’est pas possible de mutiler cette partie de lui-même. Il doit néanmoins apprendre à la gérer, au risque de tomber malade, du corps et de l’esprit. La bonne nouvelle est que cela est possible. Il est possible de canaliser la colère de manière constructive. Concourir, entreprendre, prendre des risques sont autant de moyens de le faire. Mais si nous n’y parvenons pas, le corps lui-même en paiera les conséquences.

La colère rend malade

Tant les médecines alternatives que conventionnelles insistent sur le fait que toutes les maladies possèdent des composantes émotionnelles. Du point de vue des approches holistiques, toute maladie est une émotion non résolue. Lorsque cette émotion atteint son degré le plus élevé, elle est capable de détériorer considérablement la santé et même conduire à la mort.

Ces perspectives indiquent que chaque émotion affecte une partie du corps en particulier. Dans le cas de la colère, il est connu que celle-ci a des effets principalement sur toute la zone du tronc et de l’estomac.

La colère prend plusieurs formes. Ressentiment, rancœur, haine, etc. Toutes ces formes finissent par générer des répercussions sur la santé. En effet, il s’agit de véritables bombes à retardement qui finissent par se manifester sous forme de calculs biliaires, de problèmes de vésicule biliaire et de différents troubles digestifs.

Les différents effets sur l’organisme

Des chercheurs du National Institute on Aging ont récemment mené une enquête sur les effets de la colère sur l’organisme. Les conclusions de l’étude furent publiées dans le Journal of the American Hearth Association. Il fut vérifié que les personnes qui restent envahis par la colère tendent à montrer des traces de cette émotion dans leur corps.

Il fut constaté que ceux qui se mettent en colère ont souvent tendance à avoir des anomalies dans les artères carotides. Ceci, bien évidemment, augmente le risque d’avoir un accident vasculaire cérébral. De même, il fut découvert que ceux qui ont un caractère de type “antagoniste”, autrement dit très conflictuel, présentent généralement un épaississement des parois artérielles.

Par ailleurs, tout excès de colère provoque une augmentation visible de la production de certaines hormones. Parmi eux, l’adrénaline. L’augmentation de cette substance provoque une altération de l’équilibre de l’organisme et peut éventuellement mener à des crises cardiaques ou à des troubles cérébraux.

Ni la contenir…ni la laisser prendre le contrôle

Nous disposons chaque jour de nombreuses raisons de nous mettre en colère, quels que soient nos intérêts. Rien ne fonctionne parfaitement, et le conflit et la contrariété jalonnent nos journées. Pour canaliser ces sentiments de rejet et d’irritation, la première chose est de reconnaître que nous éprouvons de la colère. Ce simple fait augmente déjà les possibilités de canaliser intelligemment son énergie.

Comme nous l’avons mentionné précédemment, cette émotion possède différentes facettes. Il en existe essentiellement quatre :

  • La colère incontrôlée
  • La colère “contagieuse” ou transférée d’une personne à l’autre
  • La colère pour couvrir un autre sentiment inconscient, que la personne ne peut pas accepter consciemment
  • La colère qui provient du manque d’affirmation de soi

Les processus de colère proviennent principalement de quatre sources : la peur, la frustration, le doute et la culpabilité. La colère ne résout ni la peur ni la frustration ni le doute ni la culpabilité. Elle ne fait que leur offrir une sortie dangereuse. Elle produit un sentiment de libération momentanée, mais n’élimine pas les causes du problème. Elle présente en outre la circonstance aggravante qu’elle se nourrit elle-même. Plus nous ressentons de colère, moins nous sommes susceptibles de la contrôler, de sorte qu’elle s’intensifie. C’est ainsi qu’elle fonctionne.

La solution ne consiste ni à la réprimer ni à la libérer de manière incontrôlée. Le chemin consiste à accepter que nous ressentons de la colère, de l’exposer face à la conscience. Elle commence alors à se désamorcer. Il suffit de 10 secondes pour faire cet exercice. Il convient ensuite d’essayer d’identifier quelle est la véritable source de la colère. Cela nous donne des indices sur la façon de résoudre le problème qui se trouve derrière.

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COMMENT ÊTRE MOINS DANS LE MENTAL

développement personnel

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron

Comment être moins dans le mental ?  

Une question qui contient « moins » n’est pas la question la plus judicieuse. L’attention reste toujours sur comment être plus. Être plus ce que Je Suis maintenant, telle est ta question, n’est-ce pas ?

Intensifier la présence en intensifiant l’attention. Il ne s’agit plus de rêver la spiritualité. Il ne s’agit plus de rêver de chimères lumineuses. Il s’agit maintenant de s’installer dans la présence avec une intensité multipliée par mille peut-être.

Mettre toute l’attention sur le souffle qui traverse le corps verticalement maintenant. Mettre toute l’attention sur ramener le souffle dans sa nature propre. Le souffle est l’expression, le flot de l’énergie divine, cosmique. Qualifier le souffle de son intention la plus profonde, être le cœur de ce que Je Suis.

Il ne s’agit pas d’une recette magique que Merlin l’Enchanteur aurait pu vous donner du bout de sa baguette. Vous êtes les magiciens de votre propre magie. Vous avez la baguette. La baguette, souvenez-vous, est l’union de l’amour, de l’intention, de l’attention. Intensifier l’amour en intensifiant la présence. Intensifier l’attention sur cette base de l’amour. Sur cette base de l’attention offerte à l’amour, affirmer l’intention, non mentalement. Inscrivez-la dans la structure de vos cellules.

Le mental n’est que l’illusion de l’indolence, même pour ceux qui se croient enfermés, dont l’énergie mentale semble se battre comme de vrais guerriers pour briser les chaînes. Ces guerres sont les jeux d’enfants indolents. L’audace et le courage s’actualisent par l’intensification de l’attention sur la base de l’amour offert à l’amour.

Nous vous remercions. Nous vous saluons.

Source : http://anandamath.org Partagé par www.eveil.tv

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Quels-sont les bénéfices quotidiens que le sport peut apporter à la psychologie

La psychologie du sport est une discipline qui s’applique surtout aux sportifs de haut niveau; son but ultime est d’améliorer le rendement du sportif en s’appuyant sur plusieurs outils. Par ailleurs, en analysant les sportifs, on observe que leurs différences sont de plus en plus minces: des facteurs auxquels on n’accordait pas d’importance dans le passé parce qu’on pensait qu’ils amélioraient peu le rendement sont maintenant étudiés minutieusement… et cette petite différence peut être celle qui distinguera le premier du dernier.

En outre, toute personne peut utiliser au quotidien les techniques et les instruments dont se sert la psychologie du sport. En fin de compte, nous avons tous des défis à surmonter, jour après jour. Nous sommes aussi en compétition avec nous-mêmes pour devenir meilleurs.

Les sportifs savent qu’une bonne partie de leurs triomphes dépend du plan mental. Ils ont besoin de concentration, de confiance, d’une grande tolérance à la frustration et d’une orientation vers le succès. Nous avons également besoin de tout ceci pour faire face à nos tâches quotidiennes. Il n’y a donc rien de mal à en apprendre un peu plus sur les tactiques utilisées par la psychologie du sport et à songer à les incorporer à notre vie.

“Tout ce que je sais de plus sûr à propos de la moralité et des obligations des hommes, c’est au football que je le dois.”

-Albert Camus-

Trois techniques à succès associés à la psychologie du sport

Il existe une infinité de techniques de psychologie du sport. Elles sont toutes valables. Cependant, parmi toutes celles que l’on recense, trois sont particulièrement utilisées. Cela est dû au fait qu’elles sont très efficaces au moment de participer à une compétition. Les trois techniques sont les suivantes:

  • La visualisation. Il s’agit d’imaginer des scénarios et de penser à la façon dont nous allons agir s’ils ont réellement lieu. Ceci doit se faire de la façon la plus détaillée possible. La personne doit se visualiser dans une position de vainqueur dans chacune de ces trois circonstances. C’est une technique particulièrement utilisée par ces sportifs qui doivent réaliser un type d’exécution isolée, comme tirer un coup franc.
  • Le dialogue intérieur positif. Il comprend ce qu’une personne se dit à elle-même et ce qu’elle se répond. Quand ce dialogue est positif et motivant, les habiletés sont renforcées. Cette technique est très employée par ceux qui pratiquent des sports individuels comme le golf ou le tennis.
  • La technique “Si… alors”. Elle consiste à imaginer les possibles problèmes qui peuvent se présenter dans une compétition et, en même temps, les stratégies ou réponses qui seront utilisées pour les surmonter. Il s’agit d’une technique qui augmente la confiance en soi.

Chaque personne parvient à mieux développer une technique. Cependant, les trois peuvent être utilisées de manière simultanée. Pour les sportifs de haut niveau, c’est presque un mantra. Ils les pratiquent inlassablement, comme composant de leur entraînement.

Une expérience suggestive

Pour essayer de mesurer l’efficacité de certaines des techniques qui s’utilisent le plus dans la psychologie du sport, une expérience a été réalisée. Elle a été organisée par la BBC et s’est déroulée de manière virtuelle en 2012. Plus de 44000 personnes ont participé à cette étude.

Il a été demandé aux participants de passer par une série d’épreuves définies par une caractéristique commune: une situation au cours de laquelle la pression était très haute. Les résultats ont été mesurés numériquement. Ensuite, on leur a enseigné les trois techniques de base de la psychologie du sport et l’épreuve a été réalisée une nouvelle fois. Les résultats ont été surprenants.

Pratiquement tous les volontaires ont amélioré leur rendement. Les résultats ont été si marquants qu’ils ont éveillé l’attention d’autres chercheurs. Actuellement, ces résultats sont encore examinés pour améliorer et affiner les techniques utilisées.

Application quotidiennes des techniques

Les techniques de base de la psychologie du sport ont été pratiquées dans plusieurs domaines. Il y a peu de cas où elles n’ont pas eu d’incidence favorable sur un meilleur rendement. On sait aujourd’hui que certaines techniques sont plus applicables à certaines situations qu’à d’autres.

Étudions quelques exemples :

  • Parler en public. Il a été prouvé que la technique du “Si… alors” fonctionne très bien pour vaincre la peur de parler en public. Cette tactique augmente la confiance en soi. En imaginant les possibles difficultés et les stratégies pour y faire face, la peur de s’exprimer en public disparaît.
  • Des activités qui supposent un haut risque. Les activités à risque génèrent plus d’anxiété. Il a été démontré que la technique de visualisation est particulièrement efficace pour ce type de défi. Par exemple, les chirurgiens en tirent un grand nombre de bénéfices. Ils peuvent construire un plan mental de l’intervention chirurgicale et cela les aide à améliorer leur rendement.
  • Des situations sociales stressantes. Cela comprend les situations qui génèrent une tension à cause, par exemple, de la présence d’une figure d’autorité. Ou à cause de l’excessive rigidité de l’atmosphère sociale. Selon les observations, dans ces cas, le plus adéquat est d’avoir recours à la technique du dialogue interne positif. Cela renforce la sécurité et permet de mieux affronter la situation.

Ces techniques associées à la psychologie du sport ont été efficaces pour de nombreux athlètes. Alors, pourquoi ne le seraient-elles pas pour n’importe quelle personne? L’essentiel est de maintenir une discipline dans leur pratique. En fait, elles commencent à nous aider quand nous les intégrons en tant qu’habitude dans notre quotidien.

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Les troubles psychosomatiques qui font mal au corps

Les troubles psychosomatiques sont la preuve de l’impact que l’esprit peut avoir sur notre corps. Il s’agit d’états où apparaissent clairement une série de symptômes physiques réels liés à des maladies invisibles, avec des conditions qui n’existent pas organiquement, mais qui sont le résultat de conflits mentaux, de problèmes non résolus qui nous consument de l’intérieur.

Lire qu’il existe des étudiants qui, en raison de l’anxiété, peuvent perdre la vue juste avant un examen peut sembler incroyable. En outre, parler du cas d’une femme de 60 ans qui a perdu la mobilité de ses jambes parce qu’elle était convaincue qu’elle avait une tumeur à la colonne vertébrale, peut également sembler une histoire exagérée et difficile à comprendre.

Cependant, les preuves sont là et de tels cas se produisent tous les jours, partout dans le monde et à chaque instant. Par conséquent, les neurologues ou les psychologues spécialisés dans les troubles psychosomatiques ont rapidement appris à donner de l’espace au récit que les patients font de ce qui leur arrive. S’ils disent ressentir de la douleur, cette douleur est probablement réelle même si elle ne se reflète pas dans une IRM ou une analyse sanguine.Donner de la crédibilité à la souffrance de ces patients est essentiel. Il en va de même avec les personnes qui prétendent avoir des pensées suicidaires lors d’une dépression, ou pour une personne souffrant de schizophrénie qui déclare avoir des visions et certaines hallucinations. Cette réalité existe, existe dans l’esprit dudit patient et peut devenir dévastatrice. Lorsque notre esprit prend le contrôle, est traumatisé ou soumis à un état d’anxiété très convulsive, tout peut s’avérer possible.

Les troubles psychosomatiques, est-il vrai que tout est dans ma tête ?

Le trouble psychosomatique est définit comme le cadre symptomatique où un corrélat physique ou organique n’est pas trouvé, là où tous les maux et toutes les limitations dont souffre la personne sont exclusivement dus à ses processus mentaux. Réfléchissons désormais à ce que cela peut supposer…tout est-il vraiment tout dans ma tête ?

La réalité est qu’aujourd’hui les troubles psychosomatiques restent un domaine d’étude rempli d’inconnues pour les experts. Ce qui est connu est que ce spectre de troubles physiques associés au stress mental présente un corrélat cérébral : l’hyperactivité des impulsions nerveuses du cerveau pour communiquer avec diverses zones de notre corps.

  • Un excès d’adrénaline dans le sang peut également survenir, outre certains paramètres biologiques modifiés tels que l’accélération du métabolisme du glucose ou des acides aminés …
  • Par ailleurs, il a également été démontré qu’il existe des personnes davantage susceptibles de souffrir de troubles psychosomatiques. Les patients vivant dans un état de grande anxiété ou qui ont connu une enfance traumatisante suite à des abus, à la privation affective, etc., sont également davantage susceptibles de souffrir de ce type de trouble.

Au-delà du fait de comprendre ou de la non les conséquences des maladies psychosomatiques, il existe un fait encore plus important. Pensons à un médecin qui explique à son patient que ce dont il souffre n’est pas réel, que la douleur qu’il ressent dans  la poitrine n’est pas une crise cardiaque, que la perte de sa voix n’est pas due à un problème de cordes vocales, ou sa terrible migraine à une tumeur. Il convient de préciser au patient “ce dont il ne souffre pas”, mais…de quelle manière est-il possible de l’aider à guérir ce dont il “souffre” et qui trouve son origine dans son esprit ?

“Il s’agit de quelque chose qui arrive à tout le monde. Mais nous ne pourrions dire pourquoi chez certains individus ce mécanisme décide de créer une pathologie. Il se passe que nous avons tous une façon différente de gérer le stress.”
-Suzanne O’Sullivan-

Ce que notre esprit peut générer

Les troubles psychosomatiques peuvent affecter n’importe quel organe, système, tissu ou structure. Son impact est immense, raison pour laquelle nous ne devrions pas sous-estimer la puissance de notre psyché. Il est par ailleurs nécessaire de différencier les troubles somatoformes des troubles psychosomatiques. Alors qu’ il n’existe a jamais de symptôme physique dans le premier cas, des dommages visibles dans l’organisme (par exemple, des ulcères) apparaissent dans le second.

Un exemple classique de troubles psychosomatiques sont les dermopathies, telles que l’eczéma, l’urticaire, les infections, l’acné…
L’hypertension, la tachycardie, la sensation d’étouffement ou les perforations cardiaques sont un autre symptôme
Les troubles du système digestif sont très communs, l’irritation de l’intestin et les ulcères étant les conditions les plus communes
Les maux de tête intenses, tels que les migraines sont également très fréquents
Pertes de mémoire
Asthme bronchique
Dysménorrhée, troubles menstruels…
Alopécie
Dans les cas extrêmes, certaines personnes peuvent souffrir de cécité temporaire, du manque de mobilité de certains membres, d’évanouissements…

Comment les maladies psychosomatiques sont-elles traitées ?

Les troubles psychosomatiques sont abordés de deux manières différentes. D’une part, il est évidemment nécessaire de prendre en charge le symptôme physique que présente le patient (ulcère, infection, eczéma …). Ensuite, le plus important dans ces cas est de faire face au vrai problème sous-jacent, son univers psychologique et cette tension mentale non résolue qui est somatisée avec plus ou moins de gravité dans l’organise.

Les techniques utilisées pour ces cas sont multiples et dépendront toujours de la réalité personnelle de chaque patient. Il est par ailleurs parfois approprié d’essayer différentes thérapies afin de déterminer ce qui fonctionne le mieux chez le patient, ce qui génère les résultats les plus positifs et les plus attendus.

  • Les techniques de relaxation sont toujours très efficaces.
  • La thérapie cognitivo-comportementale est d’une grande aide pour amener les patients à apprendre de nouvelles façons de faire face à leurs problèmes. Ils comprendront leurs réalités internes, appliqueront des objectifs de vie réalistes et identifieront les schémas de pensée qu’ils devraient changer pour disposer d’un style de vie plus positif.
  • Par ailleurs, un autre type de thérapie qui apporte généralement des résultats positifs lorsqu’il s’agit de conflits mentaux et émotionnels, ainsi que des troubles anxieux, est la psychanalyse.
  • La thérapie de groupe telles que le psychodrame, créé à l’époque par Jacob Levy Moreno, est une autre stratégie idéale, révoltante et très enrichissante qu’il est possible de tester pour observer si elle génère les résultats escomptés.

En conclusion, nous devons signaler l’importance et le défi que suppose pour de nombreux médecins d’essayer d’offrir une solution pour tous ceux qui aujourd’hui souffrent de maladies psychosomatiques. Il s’agit parfois de réalités très dures qui méritent notre attention et notre prise de conscience.

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LÂCHER TOUTE FORME DE RÉSISTANCE ET SE LAISSER ÊTRE

par Lydia

Ceux qui me suivent régulièrement peuvent se demander pourquoi je ne publie rien en ce moment. C’est tout simplement parce que je suis dans l’écoute, l’accueil, l’ouverture et la libre expression des émotions refoulées.

Cela n’a aucun intérêt que je répète inlassablement les mêmes choses au sujet du pouvoir de l’amour, de l’accueil, de l’acceptation parce que c’est quelque chose qui se vit.

Il est question de se dépouiller des croyances et des conditionnements tellement nombreux que les énumérer serait impossible.

Et le but est plutôt de se détacher de tous ces systèmes de croyances basés sur la peur.

La peur elle-même envisagée comme un danger, une ennemie alors que c’est juste une énergie qui par nature a besoin de se mouvoir. Les peurs sont aussi nombreuses et elles génèrent des réactions de lutte, de fuite, de résistance, le besoin de comprendre, de trouver des solutions…

En ce sens elles sont utiles mais elles nous emprisonnent dans le mental, le passé, la souffrance lorsque nous les nourrissons, lorsque nous les rejetons ou lorsque nous les fuyons.

Apprendre à accueillir, à reconnaitre et à laisser cette peur s’exprimer nous en libère, du moins l’énergie peut circuler, peu à peu notre vision de la peur, de nous même, change.

Il en va de même pour toute émotion qualifiée de négative comme la colère, la tristesse qui sont des formes d’incompréhension.

Tant que nous contraignons ces énergies, nous ne pouvons pas être nous-même, nous nous identifions aux masques, nous nous accrochons à toutes sortes de croyances qui apaisent momentanément le mental.

Mais une croyance en amène une autre et bien souvent elle nous conduit à une impasse, soulevant d’autres questions, d’autres incompréhensions. Le mental est ainsi en situation de stress permanent. Et comme le stress est un poison violent puisqu’il génère des sécrétions d’hormones comme le cortisol, notre état de santé s’en trouve affecté.

C’est un cycle infernal qui empêche le corps physique d’être plein de vitalité, d’énergie.

Lorsque nous reconnaissons que les craintes, les interrogations et les réactions émotionnelles sont des expressions naturelles de la condition humaine et quand nous cessons de lutter contre elles, nous ressentons une détente mentale qui impacte notre état d’être, nos corps subtils et finalement le corps physique.

 

par Lydia

Reconnaitre et accepter ces pensées, ces émotions, comme des processus naturels qui ne nous définissent pas en tant qu’être, nous ramène dans la paix et l’unité.

Sans les nier, sans les rejeter, juste en les considérant comme des expressions légitimes de la peur et de l’incompréhension, la paix va peu à peu s’installer entre tous nos corps.

Ce positionnement nous libère à la fois de l’attachement aux croyances et aux conditionnements mais il révèle aussi notre nature véritable.

Il permet à l’amour de circuler entre tous nos corps, à la paix, la tendresse, la compassion de restaurer l’harmonie, l’unité intérieure. La vibration que nous émettons est plus légère, nous sommes plus ouverts, en paix, plus authentiques et spontanés.

La joie peut se manifester naturellement lorsqu’on ne lutte plus contre l’humain que nous sommes et lorsqu’on lâche les croyances au sujet de notre nature « divine ».

Nous sommes à une période de l’humanité ou la transparence, l’intégrité, la paix et l’unité peuvent rayonner de l’intérieur.

Mais ça n’est pas une paix factice provoquée par un semblant de confort matériel, par le refoulement émotionnel, par la fuite dans des croyances spirituelles.

C’est la paix véritable qui nait de l’acceptation de tout ce que nous sommes et de tout ce qui nous traverse.

Lorsque nous pouvons nous autoriser à être tout simplement un humain conditionné et manipulé par des croyances ancestrales, lorsque nous prenons l’habitude d’observer les schémas de pensées, nous nous détachons peu à peu de ces réflexes conditionnés.

Nous venons en aide au mental, à l’émotionnel et au corps physique lorsque nous les acceptons tels qui sont et les reconnaissons comme des aspects de notre multidimensionnalité qui forment un tout cohérent.

Je ne parle plus trop de l’enfant intérieur parce qu’en fait, le mental, l’émotionnel le représentent. Disons que ce sont les outils d’expression, de guidance et d’apprentissage de l’âme. Avoir de la tendresse et de la compassion pour la détresse du mental face à la réalité, ou à sa façon de percevoir les choses au travers de la peur et des croyances basées sur la séparation et le manque, c’est cultiver l’amour en soi.

Avoir ce même regard, ce même accueil vis-à-vis du corps physique et émotionnel, c’est retrouver l’unité, la sensation de complétude. C’est devenir ses propres parents.

Ce sont des mots qui ne remplacent pas l’expérience.

Accepter de libérer les émotions refoulées, c’est lâcher le passé, c’est être incarné au présent et c’est donner toutes les chances au corps physique de retrouver la santé.

Laisser ces émotions refoulées s’exprimer en toute transparence et les offrir à la source en soi, c’est se libérer des croyances au sujet du divin, des religions, c’est devenir sa propre autorité.

Je m’autorise à exprimer la colère envers l’âme pour ses choix, pour cette enfance si difficile et pour ce qu’elle a entrainé, pour les choix destructeurs qui ont suivi, pour la colère dirigée sur mon corps physique. En le faisant, je libère le sentiment d’impuissance, la pression causée par ce refoulement qui prend tant d’énergie que le corps s’affaiblit.

La seule réalité que je garde précieusement en tête, c’est le fait que les cellules soient programmées pour se régénérer continuellement. Cela évite au mental de trop stresser quand des symptômes physiques apparaissent.

Apprendre à accueillir la douleur, à lâcher prise au sujet des façons d’interpréter une réaction physique, c’est aider le système immunitaire et la régénération cellulaire à s’effectuer. Tout comme le fait d’écouter et de suivre les envies du moment sans juger, sans commenter les comportements liés à la peur. Être conscient de ces comportements c’est déjà s’en détacher.

Le corps émotionnel s’équilibre de lui-même lorsqu’il peut exprimer les émotions sans retenue et sans être jugé par le mental. Le mental s’apaise lorsqu’il n’est plus obligé de contenir les émotions et les pensées de jugement, de peur, les pensées qui sont liées aux refoulement des émotions.

Si je laisse les émotions s’exprimer librement sans y ajouter des pensées, ou sans croire à ces pensées, le mental émotionnel trouve la paix et l’équilibre naturellement.

Ne pas demander au mental d’être surhumain et ne pas bloquer les émotions, ne pas demander au corps émotionnel d’être équilibré, ramène la confiance en soi, en eux.

Savoir que le corps physique réagit à la paix et l’amour émanés, par des symptômes lors du rééquilibrage, de la régénération cellulaire, l’aide en ce sens.

Donc ne pas interpréter les symptômes ou sensations physiques comme négatives, ne pas lutter contre elles, favorise l’ajustement, la guérison.

Les réponses intuitives, les besoins et demandes du corps physiques se manifestent dans l’instant au-delà du jugement, de la notion de bien et de mal par la salivation pour la faim, le bâillement pour le sommeil, des signes qu’on a tendance à ignorer ou dont on n’est pas conscient que c’est la voix de notre corps physique, son langage.

Le désir ou l’enthousiasme pour agir, même si ce désir émane d’une stratégie du mental, est le meilleur moyen de suivre l’inspiration de l’âme associée au corps physique.

Mais il a surtout besoin que le mental soit en paix, rassuré, écouté, lâché dans le sens d’arrêter de vouloir qu’il change. Il a besoin que les émotions soient fluides.

Apprendre à le rassurer en commençant par cesser de croire que c’est lui ou la compréhension intellectuelle qui peut trouver les solutions.

Nous sommes bien plus complexes et complets que cela.

Ce sont tous nos corps qui ont besoin d’être alignés sur la fréquence de l’amour, d’agir dans l’unité, chacun selon ses fonctions propres.

9 03 Je viens du jardin et je remarque une fois de plus que c’est une occupation qui favorise l’alignement des corps, qui permet d’être en symbiose avec la terre, avec notre vraie nature, de suivre naturellement le courant de la vie, sans même en avoir conscience.

Ce qui en témoigne c’est le bien-être que ça procure à tous les corps.

C’est idéal pour éviter de ressasser et comme cela fait appel à la créativité, une joie enfantine s’en dégage. Enfantine dans le sens de non calculée ou sans objet, sans autre raison que le fait d’être.

Apprendre à laisser l’émotion et les pensées dites négatives s’exprimer sans s’y attacher n’est pas facile parce que généralement quand ça arrive on a tendance à culpabiliser et c’est cela qui bloque l’énergie. Ou qui crée une forme de résistance. Surtout quand on sait combien les émotions affectent notre état d’être, notre vibration et quand on veut être en paix mais si on observe les choses on va se rendre compte que peu à peu on est moins déstabilisé par ces mouvements intérieurs.

Ce qu’on appelait avant un genre de crise émotionnel apparait comme une libération, une façon d’être plus souple, plus fluide, plus à l’écoute et surtout moins stressé.

Nous avons été tellement conditionné par la peur et les croyances restrictives qu’il est bien naturel que le mental continue de s’inquiéter. Pouvoir reconnaitre et apaiser le mental, le considérer comme un membre à part entière de l’équipe que forment nos corps, c’est autoriser l’amour que nous sommes à se déployer à l’intérieur.

Quand on cesse de lutter contre ce qui est, de vouloir changer en force, la confiance revient alors même qu’on ne sait pas où on va. Passer des croyances à la confiance en l’âme et en la vie se réalise par la désidentification, la déconstruction des schémas de pensée habituels qu’on ne nourrit plus par des raisonnements.

Dans l’observation objective, on se rend compte que finalement nos choix sont autant conditionnés par les croyances, la peur, qu’ils sont inspirés par l’âme ou le soi. Et par dessus tout, nous faisons toujours de notre mieux. On ne contrôle rien du moins notre mental n’a pas ce pouvoir mais nous pouvons être plus ouvert, plus souple simplement en acceptant ce qui est et ce que nous sommes maintenant.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr

« Chronique trouvée sur lapressegalactique.org » Partagé par www.eveil.tv

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Selon l’hindouisme il vaut mieux garder certaines choses secrètes

développement personnel

L’hindouisme nous transmet une manière de nous comporter dans la vie et un sens des responsabilités selon lequel le silence est parfois notre meilleur allié. Ainsi, il y a des choses qu’il vaut mieux garder secrètes, des aspects sur nos propres aspirations, des essences et des réussites qui appartiennent à notre jardin secret, à cette pièce délimitée par la sage réserve personnelle.

On dit souvent de la philosophie hindouiste qu’elle est une invitation directe à la redéfinition de notre existence, à la réflexion sur celle-ci au travers d’un autre angle beaucoup plus ample et également beaucoup plus responsable. L’objectif ultime de cette religion présente notamment en Inde et au Népal est de guider l’être humain vers le chemin de la libération, là où nos pensées, nos émotions, nos actes et nos paroles nous mènent à la sérénité, à un état de conscience où tout n’est qu’harmonie.

Ainsi, parmi tous ces courants à l’essence spirituelle, il est normal de trouver des séries de recommandations qu’il faut mener pour atteindre l’équilibre interne permettant de trouver le bien-être ou le calme. L’hindouisme, pour sa part, représente l’essence de nombreuses doctrines qui nous indiquent ce que nous devons faire, et ce qu’il vaut mieux éviter ou restreindre.

Nous ne pouvons pas oublier qu’au sein de ce champ philosophique, toute action a son effet, et sa conséquence. Le bon hindou par exemple, est la personne qui connaît son devoir, qui connaît sa responsabilité, ce Dharma où tout progrès matériel a son explication spirituelle et le lien qui donnera lieu au bonheur réel dans cette vie et dans la suivante, celle de la réincarnation. Pour cela, il est intéressant de savoir ce qu’il vaut mieux garder secret, en favorisant ainsi cette responsabilisation pour nous-même et pour les autres.

1. Ne propagez pas de rumeurs, de ragots ou de critiques négatives sur des tierces personnes

Si quelqu’un s’approche de nous avec une rumeur, un commentaire dévalorisant au sujet d’une autre personne, une critique offensive concernant un comportement étranger, le mieux est de tirer le rideau. Établissons ce mur qui contient la négativité et l’affronte sans explication. Il est important de rappeler une fois de plus la règle des trois filtres de Socrate, c’est-à-dire : si l’information qui parvient à nous n’est ni bonne, ni utile, ni vrai, il vaut mieux ne pas lui donner de validité et l’apporter au coin du silence.

« Avant de juger une personne, marche pendant trois lunes avec ses chaussures. »

-Proverbe Hindou-

2. Maintenez vos projets secrets

Si vous avez un rêve, un objectif élevé, un projet personnel, soyez prudent. Ne le communiquez pas aux autres avant l’heure, marchez avec des pieds de plomb et soyez attentifs ; mieux vaut ne pas se précipiter. Laissez ces plans gagner en maturité et s’approcher quasiment de la réalité.

Parfois, lorsque nous évoquons un désir ou un objectif, notre interlocuteur loin de partager notre illusion nous offre son scepticisme ou pire encore, ses critiques. Soyez donc organisés et n’hésitez pas à garder secrètes ces cimes personnelles que vous rêvez d’atteindre un jour.

3. Gardez pour vous vos réussites émotionnelles, les moments au cours desquels vous avez été votre propre héros

Vous êtes l’unique personne à savoir ce que vous avez gagné, les barrières personnelles que vous avez surmontées pour vous prouver à vous-même que vous en étiez capable et que vous méritiez vos réussites. Parfois, l’être humain se sent obligé de contourner des pierres sur le chemin qu’il est le seul à comprendre (une déception, un mensonge, un abandon, une frustration…). Ce sont des faits d’une dureté délicate qui nous ont façonnés, qui nous ont laissé des marques, mais qui à la fois nous ont permis de laisser paraître le meilleur de nous.

Ces victoires, les plus intimes, appartiennent bien souvent au domaine privé. Parfois en les évoquant à voix haute, elles perdent de leur valeur, elles sont incomprises ou s’interprètent de manière fausse comme si nos mots avaient transmis une certaine arrogance.

4. L’intimité de votre famille

S’il y a bien un aspect que nous devons absolument garder secret c’est la vie privée de notre foyer, de notre famille, de notre couple. Ce tissu singulier et intime nous appartient uniquement à nous. C’est une dynamique, un héritage, des situations et des liens que nous ne devons pas présenter à voix haute comme quelqu’un qui souffle les graines d’un pissenlit dans le vent.

Lorsque la situation le requière ou si le but ultime est de recevoir de l’aide pour améliorer la qualité de ses liens, nous pourrons faire le pas pour commenter ces choses avec de tierces personnes. Néanmoins, nous serons prudents et nous devrons choisir avec précaution à qui révéler cette intimité.

5. Vos actes de bonté

Un autre aspect de notre vie qu’il vaut mieux garder secret sont nos bonnes actions, nos actes de noblesse. La bonté n’a pas besoin de spectateurs, les bonnes actions n’ont pas besoin d’être publiées sur des pancartes ou mises sous les projecteurs. Elles ne sont pas moins réelles lorsqu’il n’y a pas de regards pour les observer.

La bonté réelle est celle qui ne se voit pas, celle qui se pratique quotidiennement de manière discrète avec des actes qui s’ajoutent aux grandes prouesses et aux situations les plus anonymes.

6. Vos carences

Il y a des personnes qui font une fixation sur ce qui leur manque. Elles s’obsèdent avec ce qu’elles n’ont pas et ne sont pas capables de voir la richesse qu’elles possèdent en observant les aspects qui sont réellement précieux.

Evitez cela car il vaut mieux garder ce que vous n’avez pas pour vous. Si vous manquez d’un téléphone portable haute technologie, ne dites rien, vous êtes peut-être face à quelqu’un qui ne peut pas se permettre d’en avoir un. Si vous n’avez pas de partenaire, si vous n’avez pas la maison de vos rêves, si cette année vous ne pouvez pas vous payer de vacances, ne vous plaignez pas, ne le proclamez pas comme si ce manque était l’objet d’un malheur absolu.

Parfois, nous sommes tristes de ne pas avoir des choses qui en réalité ne sont pas vitales.

« Les objets externes sont incapables de donner un bonheur absolu au cœur de l’homme. »

-Proverbe Hindou-

Pour conclure, comme nous avons pu le voir, la sagesse hindouiste nous fournit des conseils auxquels nous avons tous plus ou moins déjà pensé. En réalité, il s’agit uniquement d’appliquer cet art enrichissant qui devient de plus en plus rare : la prudence, la réserve et le respect d’autrui.

N’oublions donc pas que comme nous l’indique ce champ religieux si inspirant, tout acte a des conséquences. Ainsi, soyons un peu plus réfléchis et comprenons que le silence est parfois le lieu le plus certain pour garder certains mots, certains rêves et certaines pensées.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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La méditation assise

Quand nous pratiquons la méditation, il est important d’avoir un siège confortable et une bonne posture.

L’aspect le plus important de la posture c’est de garder le dos droit. Pour nous y aider, si nous sommes assis sur un coussin, nous nous assurons que l’arrière du coussin est légèrement plus élevé que l’avant, afin que notre bassin soit légèrement incliné vers l’avant.

Au début, il n’est pas nécessaire de s’asseoir les jambes croisées, mais c’est une bonne idée que de s’habituer à s’asseoir dans la posture de Bouddha Vairotchana. Si nous ne pouvons pas garder cette position, choisissons celle qui sera la plus proche possible de celle-ci, tout en restant confortable.

Voici les sept points de la posture de Vairotchana :

1 Les jambes sont croisées dans la posture-vajra. Cela nous aide à diminuer les pensées et les sentiments d’attachement désirant

2 La main droite est posée dans la main gauche, les paumes tournées vers le haut, les bouts des deux pouces tout juste relevés, se touchant légèrement. Les mains sont placées environ quatre largeurs de doigt au-dessous du nombril. Cela nous aide à développer une bonne concentration. La main droite symbolise la méthode et la gauche la sagesse – les deux ensemble symbolisent l’union de la méthode et de la sagesse. Les deux pouces situés au niveau du nombril symbolisent le flamboiement du feu intérieur

3 Le dos est droit, sans être tendu. Cela nous aide à développer et à maintenir un esprit clair, et permet aux vents d’énergie subtile de circuler librement

4 Les lèvres et les dents sont dans leur position habituelle, mais la langue touche l’arrière des dents supérieures. Cela empêche une salivation excessive et évite aussi que notre bouche ne devienne trop sèche

5 La tête est un peu inclinée vers l’avant, avec le menton légèrement rentré de façon à ce que les yeux soient dirigés vers le bas. Cela aide à empêcher l’excitation mentale

6 Les yeux ne sont ni grand ouverts, ni complètement fermés, mais restent à moitié ouverts et regardent vers le bas dans le prolongement de l’arête du nez. Si nos yeux sont grand ouverts, nous serons probablement sujets à l’excitation mentale et s’ils sont fermés, à l’engourdissement mental

7 Les épaules sont au même niveau et les coudes légèrement éloignés du corps, afin de permettre à l’air de circuler

Source http://kadampa.org Partagé par www.eveil.tv

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Utiliser ses 5 sens pour surmonter le stress

Utiliser ses 5 sens pour surmonter le stress est une stratégie très facile à appliquer. Il s’agit d’une manière très particulière de synchroniser les canaux de l’odorat, de la vue, de l’ouïe, du goût et du toucher avec des stimuli relaxants, tout en les purifiant, afin de calmer notre esprit et harmoniser la rumeur de nos pensées. Il s’agit d’une stratégie défensive par laquelle stimuler notre cerveau pour lui apporter paix et bien-être.

Les actions les plus simples sont parfois celles qui nous offrent les meilleurs résultats. Nous savons que pour affronter le stress nous disposons de diverses théories, thérapies et perspectives afin d’apprendre à prioriser ou améliorer l’orientation de nos pensées. Toutes sont valables, mais les stratégies les plus élémentaires sont parfois celles qui nous aident le plus et le mieux à un moment donné.

“Nos expériences et nos émotions peuvent changer en fonction de la façon dont nous utilisons nos sens. Si nous leur permettons d’interagir avec des stimuli relaxants, nous trouverons une harmonie intérieure.”

L’une d’entre elles repose simplement sur la bonne utilisation de ce que la nature nous a offert : notre corps, notre organisme, nos merveilleux 5 sens. Nous devons préciser que nous les négligeons parfois, que nous oublions le pouvoir qui est en eux. En effet, nous ne sommes pas toujours conscients de toutes les informations qu’ils nous transmettent, de leur énergie et de cet univers fascinant de sensations et de perceptions avec lequel nous organisons notre monde.

La Gestalt thérapie, par exemple, nous rappelle que nos sens sont la porte d’entrée de nos émotions. Grâce à eux, nous explorons, relions et permettons à une information d’entrer, et non une autre. Amener tous nos sens à être en harmonie nous permettrait d’atteindre la réconciliation interne, nous permettant de mieux gérer le stress. Voyons à présent comment y parvenir.

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1. Comment utiliser les 5 sens pour surmonter le stress : l’odorat

L’odeur de l’herbe fraîchement coupée, de la mer au crépuscule, l’odeur du gâteau de notre grand-mère,celle de la terre humide, des crayons de couleur lorsque nous allions à l’école … Tous sont des ancrages directs avec notre passé ou vers un moment agréable de notre passé. Il en est ainsi en raison d’un fait aussi concret que fascinant : l’odeur ouvre souvent la porte de notre monde émotionnel.

Plus encore, notre cortex olfactif primaire est relié à l’hippocampe et à l’amygdale, deux structures cérébrales intimement liées aux émotions. Par conséquent, l’aromathérapie a toujours été d’une grande aide afin de mieux gérer le stress, nous faisant entrer en contact avec certains parfums relaxants.

Certains d’entre eux seraient :

  • La lavande
  • La vanille
  • L’eucalyptus
  • La menthe
  • L’odeur du thé au jasmin
  • L’odeur du géranium
  • L’arôme de la mélisse
  • L’huile essentielle de Ylang Ylang

2. Les couleurs qui relaxent

Lorsqu’il s’agit d’utiliser les 5 sens pour surmonter le stress, nous ne pouvons pas sous-estimer celui que nous utilisons le plus : la vue. Croyons-le ou non, notre environnement et le manque d’équilibre, ainsi que le désordre ou la présence de certaines couleurs dominantes peuvent intensifier le sentiment de stress et d’anxiété.

Nous devons parvenir à ce que nos scénarios quotidiens présentent systématiquement quelque stimuli visuel relaxant : là où nous pourrons reposer nos yeux de temps à autre. Nous réaliserons quelques propositions à continuation.

  • Mettre une plante avec des fleurs sous la fenêtre que nous avons le plus prêt
  • Placer des tableaux ou des affiches montrant les rivières, les océans, la pluie, les lacs…
  • Il existe par ailleurs des études qui révèlent que la couleur bleue est la plus thérapeutique, celle qui génère le plus de calme et de bien-être

3. Le goût pour combattre le stress

Il est tout à fait possible que de nombreux lecteurs pensent que peu de choses peuvent être autant relaxantes que de satisfaire notre palais avec une bonne tasse de chocolat, ou toute autre chose que constitué de ce précieux ingrédient. Il convient toutefois de nuancer cela : lorsqu’il s’agit de réduire le stress par le goût, nous devons savourer, autrement dit manger lentement, saliver, profiter sans hâte, arrêter l’horloge…

Ainsi, et avant de recourir aux bonbons exclusivement, il existe d’autres options alimentaires plus adaptées pour traiter le stress :

  • Banane.
  • Amandes
  • Saumon

  • Avocat
  • Raisin
  • Avoine
  • Pommes
  • Thé vert
  • Myrtille

4. Le son de l’harmonie, le calme du silence

Nous vivons dans un monde surchargé de sons de toutes sortes, de sons qui dépassent souvent les décibels autorisés et qui nous empêchent “d’écouter” cette chose précieuse et cathartique pour notre cerveau : le silence.

Lorsqu’il s’agit d’utiliser les 5 sens pour surmonter le stress, nous ne pouvons pas négliger notre audition. Ainsi, et pour parvenir cette relaxation nécessaire, nous pouvons choisir deux stratégies. La première consiste à écouter de la musique et des chansons qui génèrent certains types d’émotions, telles que la joie, la nostalgie, la motivation, le sentiment de vaincre

L’autre stratégie serait basée sur l’écoute de sons relaxants, tels que la pluie, le chant des baleines, le son blanc, le vent dans la forêt, etc.

5. Le toucher, les sensations qui nous font nous sentir en vie

Notre peau est une surface constituée de milliers de récepteurs qui aspirent à être stimulés. Une caresse, l’eau chaude, la brise marine, des draps propres, la sensation de flotter en nageant dans une piscine, le câlin d’un être cher qui nous enveloppe pour atteindre notre âme … L’être humain a besoin de contact, la peau a besoin d’être agréablement stimulée chaque jour, et par conséquent, il est essentiel que nous nous “offrions” ces expériences chaque fois que nous le pouvons.

Tout manque de stimulation de notre peau génère un appétit sensoriel. Nous nous sentons vides et le sentiment de stress s’intensifie. Cependant, quelque chose d’aussi élémentaire que de prendre une douche relaxante ou de serrer nos proches dans nos bras plusieurs fois par jour, éteins un certain nombre de nos peurs, de nos tensions et de nos angoisses.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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