Une personne qui vous a fait du mal ne vous aidera pas à aller mieux

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Gardez bien cela à l’esprit. La personne qui vous a brisé ne peut pas recoller tous vos morceaux. Ne commettez pas cette erreur, ne pensez pas que cette personne pourra vous aider à aller mieux, à surmonter tout ce mal, à éliminer la douleur.

Ne retombez pas si cette relation vous fait du mal, ne retombez pas par peur d’être seul, par peur de ne pas savoir avancer dans la vie sans cette personne à vos côtés. Car les relations dysfonctionnelles, si l’on ne les travaille pas de la façon adéquate, ne se transforment pas du jour au lendemain à coups de baguette magique.

Souvenez-vous que, quand vous avez éclaté en mille morceaux, votre esprit s’est empli d’arguments en faveur d’une vie sans cette personne. Vous aviez mal, vous aviez des raisons de vouloir être à ses côtés mais vous vouliez vous convaincre que sa compagnie n’était pas la meilleure chose pour vous et votre vie.

Tout ce que nous fuyons est condamné à se répéter

Le temps passe et les conflits se répètent. Les humiliations, le doute, la douleur d’une blessure mal cicatrisée. Tout ce que nous fuyons et ne résolvons pas est condamné à se répéter. Freud a établi une théorie sur ce fait en 1920 dans son livre Le principe du plaisir, lui donnant alors le nom de compulsion à la répétition.

Cela signifie que les personnes ont tendance à buter sur la même pierre (chacun ayant sa pierre personnelle, bien sûr). Par conséquent, quand notre pierre est l’établissement d’un type de relation, nous retombons dans ce même schéma de façon systématique.

Le fait que la pierre sur laquelle nous trébuchons ait un “nom de personne” ou représente un “style de personne” signifie que nous avons tendance à nous lier de la même façon, à générer des dépendances émotionnelles, à chercher l’amour d’une façon déterminée et, très souvent, dans une personne concrète.

Ainsi, nous faisons souvent face à des problèmes similaires alors que nous nous trouvons à des étapes différentes de nos vies. Pourquoi? Parce que tout ce que nous fuyons est condamné à se répéter. Si nous ne réfléchissons pas, si nous ne remettons pas en question nos décisions ou notre manière de nous lier aux autres, nous sommes condamnés à commettre indéfiniment les mêmes erreurs.

“Il est toujours nécessaire de savoir quand se termine une étape de la vie. Si tu insistes à vouloir rester en elle au-delà du temps nécessaire, tu perds la joie et le sentiment du reste. Il faut fermer des cercles, ou fermer des portes, ou fermer des chapitres, comme tu voudras le nommer.

L’important est de pouvoir les fermer, et laisser aller les moments de la vie qui se clôturent.

Nous ne pouvons pas être dans le présent en regrettant le passé. Ni même en nous demandant pourquoi. Ce qui s’est passé, est passé, et il faut le lâcher, il faut s’en détacher.

Nous ne pouvons pas être éternellement des enfants, ni des adolescents tardifs, ni des employés d’entreprises inexistantes. Les faits passent et il faut les laisser partir !”

Paulo Coelho

Quand quelque chose se brise à l’intérieur de nous, plus rien n’est comme avant

Quand nous nous brisons en mille morceaux, quand nous ressentons une douleur très intense au fond de nous, nous aspirons à la stabilité, au bien-être que cette personne nous faisait ressentir lorsque nous étions à ses côtés. L’incertitude nous convainc que “nous allions mieux en étant accompagnés”.

Evidemment, ces relations de dépendance ont un passé construit sur un style d’attachement dysfonctionnel ; or, il s’agit d’une chose que l’on peut changer grâce à la ré-élaboration continue que nous offrent nos expériences et réflexions.

Le changement se construit en formant de nouveaux liens d’attachement et en en supprimant d’autres. Si les expériences sont très différentes et significatives, le propre contenu des représentations, des stratégies et des sentiments parvient à changer la tendance consistant à chercher des relations basées sur la dépendance.

Soigner nos failles émotionnelles ne dépend que de nous-mêmes. La tâche consistant à nous reconstruire nous appartient; personne n’a le pouvoir ou la responsabilité de le faire pour nous. Nous devons bien être conscients que tout processus de changement passe automatiquement par de la douleur et des efforts.

Réussir à dire adieu à une personne ne signifie pas reculer; cela signifie séparer ce qui nous enrichit de ce qui nous use, nous concentrer sur notre valeur et cesser de poursuivre les miettes d’un amour qui n’est pas sain pour nous. 

Nous détacher de la douleur nous aide à alimenter notre auto-estime

Nous détacher de tout ce qui implique de l’égoïsme, des intérêts et des absences injustifiées nous aidera à commencer une nouvelle étape, à semer des graines et à récolter des fruits pour notre auto-estime et pour grandir sur le plan émotionnel.

Nous éloigner des liens qui nous ont fait du mal signifie nous libérer, grandir et commencer une nouvelle vie. Une nouvelle vie qui nous sera propre, qui évoluera à partir d’un oxygène psychologique permettant le développement d’une atmosphère fertile.

Recouvrir la douleur de terre n’est pas la garantie d’une prospérité dans la relation. Il faut parfois faire disparaître les points de suspension d’une histoire pour les remplacer par un point final. Cet adieu implique de changer pendant une période de temps indéterminée.

Ceci peut nous angoisser mais les conséquences de cet acte ne seront autres que la reconstruction de notre être et l’harmonie interne. Il s’agit d’être honnêtes et exigeants avec nos compagnies émotionnelles. Ce n’est pas toujours facile mais c’est toujours nécessaire.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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VOICI UN MAGNIFIQUE TÉMOIGNAGE DE JIM CARREY SUR L’EXPÉRIENCE HUMAINE

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Quand je pense à un grand professeur bouddhiste, Jim Carrey n’est pas la première personne à qui je pense.

Mais quand-même. L’acteur qui affiche désormais une longue barbe, a créé un buzz quand il a rendu publiques des choses assez profondes à dire sur cette chose compliquée, amusante, difficile et belle que nous appelons l’expérience humaine.

Carrey partage la réalisation saisissante qu’il est devenu après des années de gloire: il est totalement inutile de passer toute notre vie à créer et à organiser une identité spécifique pour nous-mêmes.

C’est tout l’ ego : vouloir être important, être quelqu’un, imposer. En réalité, cette prise d’identité singulière ne nous apporte que peine et souffrance, pour trois raisons principales.

Premièrement, elle introduit une séparation entre nous et tous les autres êtres qui déshonore notre nature inhérente et interconnectée.

Deuxièmement, cela nous fait croire que les choses ne sont pas censées changer, que nous ne sommes pas censés changer.

Troisièmement, cela nous empêche de nous reposer sur notre propre bonté fondamentale , car cela nous fait sentir que nous ne sommes pas assez comme nous le sommes, en ce moment.

L’antidote à cette souffrance est de lâcher ce désir d’être «quelqu’un». Comme le dit si bien Carrey, « le sentiment de complétude est un sentiment différent de celui que nous ressentons réellement.» Pour se sentir entier, nous devons nous arrêter d’essayer de maintenir une image du « moi ».

Puisant dans sa propre expérience, Carrey relie cette vérité à la condition de la dépression:

« Les gens parlent de la dépression tout le temps. La différence entre la dépression et la tristesse est que la tristesse vient du hasard – tout ce qui s’est passé ou n’est pas arrivé pour vous, ou le chagrin, ou quoi que ce soit. La dépression, c’est ton corps qui te dit: je ne veux plus être ce personnage, je ne veux plus supporter cet avatar que tu as créé dans ce monde. C’est trop pour moi.

Vous devriez penser au mot «déprimé» comme «repos profond». Votre corps a besoin d’être déprimé. Il a besoin de repos profond du au personnage que vous avez essayé de jouer. « 

Cela pourrait être la meilleure évaluation de la dépression que j’ai jamais entendue.

Donnons-nous pour ce qui est notre « soi », de toute façon. Une pause et laissons aller toutes les identités que nous avons eu tellement de mal à créer. Vivons plutôt avec un cœur ouvert et un sens de l’humour sur nous-mêmes et notre monde – puisque, selon les mots de Jim Carrey, rien ne compte de toute façon.

Et c’est une pensée réconfortante.~

« Je n’ai aucune dépression dans ma vie, littéralement aucune. J’ai de la tristesse, de la joie, de l’allégresse, de la satisfaction et de la gratitude au-delà de toute croyance. Mais tout comme la météo, qui tourne autour de la planète. Cela ne m’atteint pas assez longtemps pour me tuer. Ce sont juste des idées. « ~ Jim Carrey

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La Foi Absolue en Qui Je Suis pour m’Accueillir dans ma Totalité…

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par Sohie Riehl

Les énergies du moment continuent de grandir et font remonter à la surface tout ce qui n’est pas encore complètement vu et accueilli. Contrairement à ce qui se passe habituellement il n’est plus proposé d’accueillir une chose à la fois mais plusieurs. Ce travail est accentué lorsque nous traversons les pleines lunes, qui participent à notre réalignement aux rythmes universels et galactiques. Nos contractions et nos empêchements remontent, il s’agit donc de cultiver au maximum l’accueil de Soi, la gentillesse et l’innocence pour vivre cela sans en être profondément bouleversé régulièrement.

C’est une accélération bienveillante car nous sommes capables aujourd’hui de l’accueillir. Bien sûr et comme toujours, chacun vit cela à son rythme dans la perfection de là où il se trouve. L’essentiel est d’être clair avec la définition de Qui Je Suis. C’est la Présence, la Lumière et l’Amour les plus absolus qui cherchent à se révéler et à s’exprimer en nous. Et bien sûr cette renaissance fait remonter tout ce qui n’est pas en accord avec cela dans nos mondes intérieurs.

La Reconnaissance de Soi, de Qui Je Suis vraiment nous amène à la Foi Absolue et cela permet d’accueillir, de s’accueillir dans la Totalité de ce “Qui Je Suis”. Cet engagement dans la Foi vivante nous permet de ressentir de manière encore plus concrète la présence de nos frères et sœurs galactiques et intra terriens qui nous soutiennent inconditionnellement. Sachons les inviter dans la présence silencieuse de notre cœur sacré. Prenons le temps, quotidiennement, de nous ressourcer en nous laissant aimer par la Vie et notre famille galactique. Le cosmos est un vaste espace de fraternité et d’amour, nous habitons en ce moment l’étoile Terre qui fait partie intégrante de ce Tout. Il est temps de quitter toute impression de séparation et de solitude pour se laisser porter et inspirer par la Lumière de Vie. La Présence de la Vie en nous et autour de nous devient permanente.

Le lâcher prise est cet acte de Foi Absolue qui ne peut venir que de l’intérieur. Le doute s’efface et l’Amour Créateur devient plus solide, s’impose comme une priorité qui permet de dépasser les défis extérieurs et de relativiser les expériences. L’Union s’installe entre la Lumière la plus haute et la matérialité la plus dense car ce ne sont que les extrémités de la même vie et cette certitude s’installe en nous. Le conflit et la division s’effacent dans ce retour à l’Unité.

A partir du moment où je me reconnais, ou la Foi absolue s’installe, alors plus rien ne peut s’accrocher dans les mailles du filet du mental/égo et peu importe le jeu qui se joue, la contraction n’est plus possible. Je reste alors positionné au centre du jeu et je peux observer la totalité de ma création sans rien rejeter ni rien nier. C’est une vision à 360 degrés de Tout ce qui Est, je m’observe sans donner plus d’importance à une partie ou une autre de Qui Je Suis. J’accueille mes parts “d’ombre” avec autant d’Amour que tout le reste et c’est ce qui me positionne au centre.

La Joie que Je Suis peut alors Grandir et s’exprimer jusqu’au travers du filtre du mental/égo depuis ce centre parfait peu importe ce qui se présente dans l’expérience vécue. La libération est là et la matière n’a plus d’emprise, les attachements se défont car je vibre la certitude que l’Esprit est plus puissant que la matière.

Auteurs : Stéphane Colle et Sophie Riehl

« Chronique trouvée sur lapressegalactique.org » Partagé par www.eveil.tv

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SE CHOISIR EN CONSCIENCE ET FAIRE LE PARI DE SOI !

par Théo Friant

Le « déni de soi » ou comment perpétuer la séparation ?

La première alternative est le choix de la résistance. En effet, tu peux aisément entretenir l’ignorance et le sentiment de séparation, car, c’est ce que tu as choisis de vivre en venant t’incarner en ce monde.

Depuis cet espace, tu verras le mental perpétuer les sempiternels doutes, excuses et blâmes que tu te reproches à toi-même et que tu projettes sur autrui. Ton mental, directeur en chef de ton ego t’enfermera dans un carcan de peurs, ce qui figera ton expansion. Tu ressentiras alors une sensation d’étouffement voire d’écrasement dans ton corps, dans tes nocturnes et de manière générale dans ta vie.

Par ce choix, tu rejettes ce que la vie t’invite à reconnaître dans tes espaces de déni. Alors, tu te condamnes à revivre invariablement l’abaissement de ta vibration, la densification de tes expériences. La conséquence de ce positionnement prendra la forme d’un immense fardeau telle une maladie ou encore un accident.

La voie des audacieux !

La seconde alternative est le choix de voir au-delà de ce qui semble perdu d’avance. Pour cela ouvrir ton coeur n’est pas une option. En effet, par ce puissant choix, tu actives le GPS de ton âme. Allumer le feu en ton coeur, c’est accueillir la lumière à tous les étages de ton temple et surtout voir au-delà du décor en carton-pâte… la majesté que tu es !

Ici, pas de piège, même si cela peut paraître trop simple… Un enfant est en mesure de prendre l’enjeu de ce choix, alors pourquoi pas toi ?

L’alternative proposée est simplement de faire descendre la lumière dans ton corps, de te gorger de l’amour que tu es. Tel l’enfant, connecté à sa joie, tu pourras rire de ce qui semblait dramatique pour l’adulte (qui se prend trop au sérieux). La conséquence de ce choix attirera dans ton sillage des êtres ayant fait, eux aussi, le choix du coeur.

Ce que nous sommes au-delà du monde de la forme n’est pas altérable et encore moins négociable. Nous sommes des êtres sans limites, composés de pur amour et de pure lumière.

Et même si dans le monde de l’illusion de la séparation tout semble s’opposer à la réalisation de tes rêves d’enfant, n’oublie jamais, tu es créateur et tu as la capacité de réconcilier les opposants et marier les contraires.

Je nous aime au-delà des mots et au-delà des clivages qui semblent apparemment nous séparer.

image pixabay

À tout bientôt dans les sessions privées

Théo Friant

Source laPresseGalactique.org  Partagé par www.eveil.tv

NOUVEAUTÉ L’ORACLE DE SHINE 🔮

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Des traits de personnalité caractéristiques aux gens qui apprécient la solitude

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Préférez-vous la solitude à la compagnie des autres personnes? De nombreuses personnes sont dans le même cas que vous, et en tant qu’introverti, vous possédez certaines caractéristiques que les autres n’ont pas.

Évidemment, le besoin de solitude n’est pas spécifique aux introvertis, car même certains extravertis apprécient cela de temps en temps. Mais voici 7 traits de personnalité caractéristiques aux gens qui préfèrent la solitude :

1. Ils sont provocateurs

Les conversations ennuyeuses ne les intéressent absolument pas. Ils s’efforcent plutôt de communiquer véritablement et de parler réellement.

2. Ils apprécient la compagnie d’un ou deux véritables amis

Au lieu de passer des heures entières avec de grands groupes de personnes qui sapent leur énergie, ils apprécient la compagnie d’un ou deux véritables amis.

3. Ce sont de bons auditeurs

Être capable d’apprécier le temps seul permet d’avoir des moments de réflexion. Ainsi, les gens qui aiment vraiment être seuls sont de meilleurs auditeurs.

4. Ce sont de bons chercheurs

Tout ce temps passé seul et à réfléchir loin de la foule fait de vous un bon chercheur car vous êtes capable de découvrir des choses par vous-même.

5. Ils sont à l’écoute de leurs sentiments

Passer plus de temps seul vous permet d’être plus à l’écoute de vos émotions et de vos sentiments. D’autre part, cela vous donne la capacité de déchiffrer les pensées et les émotions négatives et de les séparer du bien.

6. Ils sont indépendants

Quand vous êtes capable de passer du temps seul, vous améliorez vos capacité à ne dépendre que de vous-même, au lieu de dépendre de la présence des autres pour vous sentir bien.

7. Ils sont observateurs

Ceux qui aiment être seuls sont très sensibles à leur environnement. Ainsi, ils sont très bons pour remarquer quelque chose de différent, comme une nouvelle coupe de cheveux ou d’autres détails plus subtils.

Source https://www.sain-et-naturel.com Partagé sur http://eveil.tv

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Les mêmes situations peuvent être vécues comme des réalités différentes par des personnes différentes

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par Mikael

L’impact de toute situation dépend de la signification personnelle, et donc subjective, que la personne lui attribue. Par conséquent, les mêmes situations peuvent être vécues comme des réalités différentes par des personnes différentes.

Par ailleurs, il existe des difficultés pour que les personnes reconnaissent la construction sociale des situations. Même dans la perception d’objets et de situations simples. Ces difficultés ont, en outre, des conséquences, comme nous le verrons plus loin.

Les personnes construisent leurs réalités

Le simple fait de se souvenir est un processus constructif. Ainsi, pour autant que nous soyons doués pour nous souvenir, notre mémoire est imparfaite. En effet, la mémoire est inévitablement influencée par le contexte du souvenir (conversations relatives au souvenir, le nombre de fois que nous y avons songé, la présence d’autres témoins …).

Loftus et Palmer ont démontré “l’effet de l’information erronée” à travers une recherche scientifique connue sous le nom de “l’accident de voiture”. Cette recherche explique comment différentes personnes, face à un même accident, construisirent leurs propres réalités de ce qui s’était passé en fonction de la manière dont elles furent interrogées sur ledit accident. Par exemple, en présence des même faits, l’accident parut moins grave aux personnes qui furent interrogées sur les voitures s’étant heurtées qu’aux personnes interrogées sur les voitures s’étant écrasées.

Différentes fonctions amènent à différentes réalités

Le monde compte différentes formes de structures, de fonctions et d’organisations sociale de la vie et, par conséquent, des réalités très différentes. Par exemple, le concept de famille n’est pas le même pour une tribu que pour un clan, même s’ils sont constitués pour atteindre des objectifs similaires.

Pourquoi est-il si difficile de comprendre parfaitement les autres cultures ? Si nous observons un édifice en construction, nous ne sommes pas surpris par la méthode de construction car il s’agit de la méthode habituellement utilisée das notre réalité. En revanche, si nous observons une ancienne cathédrale, il se peut que nous rencontrions des difficultés pour imaginer quel fut les procédés de construction qui furent mis en oeuvre dans la mesure où ces derniers faisaient partie d’une autre réalité.

Les conséquences de ne pas accepter l’existence de différentes réalités

De même qu’il est fondamental d’accepter le fait que la réalité est quelque chose que nous construisons, nous devons être conscient d’un autre élément : cette construction fusionne très bien avec les objectifs qu’elle pourrait avoir, de sorte qu’il est difficile de la reconnaître. Et si nous ne la reconnaissons pas facilement, quelles sont les conséquences de ne pas reconnaître cette subjectivité ?

La principale conséquence de ne pas prendre en compte la construction sociale est le “biais de faux consensus”. Le biais du faux consensus (la croyance que notre jugement est le plus commun et partagé par les autres) conduit à des biais d’attribution (erreurs dans l’attribution des causes). Les principales conséquences de ne pas reconnaître les différentes réalités expliquent à leur tour le biais du faux consensus :

  • Nous croyons que nos jugements, choix, croyances et opinions sont relativement communs et appropriés aux circonstances.
  • Ne pas considérer que les autres réagissent à une situation différente de la nôtre.
  • Nous surestimons le degré auquel les autres partagent nos croyances, comportements et confions dès lors exagérément en nos prédictions (sur nous mêmes et sur les autres).
  • Ne pas prendre en compte ou ne pas considérer suffisamment la perspective de l’autre.
  • Nous les considérons comme déviants ou inappropriés les réponses alternatives que d’autres personnes apportent à nos croyances.
  • Ne pas reconnaître que la réalité se construit de manière différente.
(image pixabay)

La réalité est comme la personnalité

Chaque personne possède une personnalité unique et irremplaçable, il n’est pas possible de la copier ou de l’imiter à 100%, et il en va de même pour la réalité. S’il nous était demandé comment nous expliquerions à un extraterrestre le monde dans lequel nous vivons, chacun d’entre nous donnerait une réponse différente.

Le contexte et l’apprentissage sculptent notre être dès la naissance, mais notre héritage génétique fait également partie de nous. Nous ne pouvons pas sentir, penser, regarder, respirer, nous souvenir… exactement de la même manière que les autres, de sorte que la réalité sera toujours vécue de manière différente.

Combien de fois avons-nous entendu ou dit que nous devions être réaliste dans une situation donnée ? Il est difficile de comprendre que la réalité en soi n’existe pas et que, par conséquent, chacun possède sa propre vérité. Etre conscient de cela nous donne la responsabilité de respecter et de comprendre les réalités des autres, sans impositions ni jugements de valeur.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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Vivre pour faire plaisir aux autres est un sacrifice inutile

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Le problème auquel nous devons faire face en essayant de faire plaisir à tout le monde c’est qu’en plus de nous oublier, tout ce que nous ferons ne sera jamais du goût de tous.

Faire plaisir aux autres peut être très bien vu, mais cela suppose une grande usure pour la personne si bonne et si complaisante qui pense à tout le monde sauf à elle.

Depuis tout petit on nous enseigne cette attitude, en nous éduquant à faire des choses que nous n’aimons pas mais qui plaisent aux autres.

C’est ainsi que nous commençons à toujours regarder vers l’extérieur, tandis que nous nous oublions.

Lisez : Je suis cette femme qui n’a rien besoin de démontrer
Mais il arrive un jour où la fatigue est si grande que nous nous arrêtons et nous nous demandons « qui suis-je ? », « qu’est-ce que je souhaite? ». Malheureusement, nous ne le savons pas.

Toutefois, en prendre conscience peut être un début sur la voie vers la découverte de nous-même.

Faire plaisir aux autres peut nous faire souffrir

Faire plaisir aux autres peut nous faire beaucoup de mal. Car nous allons faire des choses que nous ne voulons pas et qui, bien souvent, vont à l’encontre de nos valeurs.

Par exemple, si nous sommes en couple et que nous ne tolérons pas l’odeur de tabac chez nous, il se peut que pour faire plaisir à l’autre nous le laissions fumer à l’intérieur sans rien dire.

Ceci provoquera une grande frustration en nous, de la colère et du mal-être qui augmentera avec le temps et qui, tôt ou tard, ressurgira.

De la même manière, il est possible que nos parents veuillent que nous agissions d’une certaine manière qui n’est pas cohérente avec notre manière d’être ou de procéder. Toutefois, si nous faisons le contraire, ils en seront contrariés.

Face à cette situation, l’anxiété devient l’écho de notre intérieur pour activer le bouton de « faire plaisir aux autres ». Ainsi, nous arrivons à y palier en permettant aux autres de se sentir bien.

Mais, à quel prix ?

Au prix de ne pas nous donner la priorité, de nous reléguer au second plant et d’être à la rechercher constante de l’approbation des autres.

Les autres sont-ils votre source de bonheur ?

Il semble paradoxal de se dire que faire plaisir aux autres peut nous faire souffrir. Toutefois, il y a une explication à cela : nous laissons notre propre bonheur dans les mains des autres.

Au moment où nous faisons plaisir pour nous sentir bien, à l’instant où nous essayons que la colère ou la déception de l’autre envers quelque chose que nous n’avons pas voulu faire comme elle le souhaitait, nous angoissons d’inverser la situation.

Nous nous trouvons dans une impasse.

Nous essaierons d’éviter les conflits, nous donnerons notre opinion quand nous saurons ce que les autres veulent entendre et nous nous laisserons guider par ce que veulent les autres, pas par ce que nous souhaitons.

Au final, quelle vie vivons-nous ? La nôtre ou celle que les autres désirent ? Si nous ne prenons pas le contrôle, il se peut que la vie n’ait plus aucun sens.

Nous ne pouvons pas ne pas dormir parce qu’un-e ami-e s’est mis-e en colère parce que nous lui avons dit « non » pour se voir, parce que l’on n’en avait pas envie ou parce qu’on avait mal à la tête.
Nous ne pouvons pas non plus nous inquiéter de ne pas avoir répondu aux attentes des autres.
Nous devons apprendre à accepter la colère, le refus, les mauvaises têtes des autres face à nos propres opinions, actes ou décisions. Cela finira par leur passer !

Commencez à vous faire plaisir

Pour commencer à cesser de faire plaisir aux autres il faut faire un grand travail pour augmenter l’estime de soi, car c’est sans doute cela, ajouté à votre manque d’assurance, qui vous pousse à agir ainsi.

Une fois que votre estime de vous-même se trouve à l’endroit où elle doit se trouver, il faut commencer à changer les vieilles habitudes.

Commencez à dire « non » lorsque vous voudrez dire « non ». Si quelqu’un se met en colère, ne soyez pas désespéré car tôt ou tard cela lui passera (ce n’est pas la fin du monde) et donnez-vous la priorité.

Donnez la priorité à vos décisions, à ce que vous souhaitez, à vos opinions et à vos rêves. Mais surtout, donnez la priorité à votre bien-être.

Vous n’avez pas à faire quoi que ce soit qui vous empêche de vous sentir bien. Vous vous usez pour rien. Vous souffrez et cela se paie en anxiété voire en dépressions.

Pourquoi ne pas commencer à vivre pour vous-même ?

Source : amelioretasante.com

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La colère joue un rôle sur le corps

Nous naissons et portons déjà en nous la colère. Lpeur et la douleur également. Ces émotions viennent au monde avec chaque être humain, indépendamment des circonstances dans lesquelles chacun naît. Dès la naissance, chacune de ces réalités subjectives sera modelée et prendra le cours que l’environnement induit.

La colère possède différents niveaux. Ils vont de la gène ou de l’irritation pour une quelconque contrariété à la passion aveugle qui conduit aux actes les plus destructeurs de l’être humain. Il s’agit, en fait, de l’une des émotions les plus intenses que nous puissions ressentir. L’une des plus nocives également. Qu’elle explose ou soit réprimée, elle finit par nous rendre malade.

 

” Contre la colère, la procrastination.

Sénèque

L’être humain se trouve donc face à un grand paradoxe. Il ressent de la colère, quoiqu’il advienne. Il n’est pas possible de mutiler cette partie de lui-même. Il doit néanmoins apprendre à la gérer, au risque de tomber malade, du corps et de l’esprit. La bonne nouvelle est que cela est possible. Il est possible de canaliser la colère de manière constructive. Concourir, entreprendre, prendre des risques sont autant de moyens de le faire. Mais si nous n’y parvenons pas, le corps lui-même en paiera les conséquences.

La colère rend malade

Tant les médecines alternatives que conventionnelles insistent sur le fait que toutes les maladies possèdent des composantes émotionnelles. Du point de vue des approches holistiques, toute maladie est une émotion non résolue. Lorsque cette émotion atteint son degré le plus élevé, elle est capable de détériorer considérablement la santé et même conduire à la mort.

Ces perspectives indiquent que chaque émotion affecte une partie du corps en particulier. Dans le cas de la colère, il est connu que celle-ci a des effets principalement sur toute la zone du tronc et de l’estomac.

La colère prend plusieurs formes. Ressentiment, rancœur, haine, etc. Toutes ces formes finissent par générer des répercussions sur la santé. En effet, il s’agit de véritables bombes à retardement qui finissent par se manifester sous forme de calculs biliaires, de problèmes de vésicule biliaire et de différents troubles digestifs.

Les différents effets sur l’organisme

Des chercheurs du National Institute on Aging ont récemment mené une enquête sur les effets de la colère sur l’organisme. Les conclusions de l’étude furent publiées dans le Journal of the American Hearth Association. Il fut vérifié que les personnes qui restent envahis par la colère tendent à montrer des traces de cette émotion dans leur corps.

Il fut constaté que ceux qui se mettent en colère ont souvent tendance à avoir des anomalies dans les artères carotides. Ceci, bien évidemment, augmente le risque d’avoir un accident vasculaire cérébral. De même, il fut découvert que ceux qui ont un caractère de type “antagoniste”, autrement dit très conflictuel, présentent généralement un épaississement des parois artérielles.

Par ailleurs, tout excès de colère provoque une augmentation visible de la production de certaines hormones. Parmi eux, l’adrénaline. L’augmentation de cette substance provoque une altération de l’équilibre de l’organisme et peut éventuellement mener à des crises cardiaques ou à des troubles cérébraux.

Ni la contenir…ni la laisser prendre le contrôle

Nous disposons chaque jour de nombreuses raisons de nous mettre en colère, quels que soient nos intérêts. Rien ne fonctionne parfaitement, et le conflit et la contrariété jalonnent nos journées. Pour canaliser ces sentiments de rejet et d’irritation, la première chose est de reconnaître que nous éprouvons de la colère. Ce simple fait augmente déjà les possibilités de canaliser intelligemment son énergie.

Comme nous l’avons mentionné précédemment, cette émotion possède différentes facettes. Il en existe essentiellement quatre :

  • La colère incontrôlée
  • La colère “contagieuse” ou transférée d’une personne à l’autre
  • La colère pour couvrir un autre sentiment inconscient, que la personne ne peut pas accepter consciemment
  • La colère qui provient du manque d’affirmation de soi

Les processus de colère proviennent principalement de quatre sources : la peur, la frustration, le doute et la culpabilité. La colère ne résout ni la peur ni la frustration ni le doute ni la culpabilité. Elle ne fait que leur offrir une sortie dangereuse. Elle produit un sentiment de libération momentanée, mais n’élimine pas les causes du problème. Elle présente en outre la circonstance aggravante qu’elle se nourrit elle-même. Plus nous ressentons de colère, moins nous sommes susceptibles de la contrôler, de sorte qu’elle s’intensifie. C’est ainsi qu’elle fonctionne.

La solution ne consiste ni à la réprimer ni à la libérer de manière incontrôlée. Le chemin consiste à accepter que nous ressentons de la colère, de l’exposer face à la conscience. Elle commence alors à se désamorcer. Il suffit de 10 secondes pour faire cet exercice. Il convient ensuite d’essayer d’identifier quelle est la véritable source de la colère. Cela nous donne des indices sur la façon de résoudre le problème qui se trouve derrière.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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COMMENT ÊTRE MOINS DANS LE MENTAL

développement personnel

Message de St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron

Comment être moins dans le mental ?  

Une question qui contient « moins » n’est pas la question la plus judicieuse. L’attention reste toujours sur comment être plus. Être plus ce que Je Suis maintenant, telle est ta question, n’est-ce pas ?

Intensifier la présence en intensifiant l’attention. Il ne s’agit plus de rêver la spiritualité. Il ne s’agit plus de rêver de chimères lumineuses. Il s’agit maintenant de s’installer dans la présence avec une intensité multipliée par mille peut-être.

Mettre toute l’attention sur le souffle qui traverse le corps verticalement maintenant. Mettre toute l’attention sur ramener le souffle dans sa nature propre. Le souffle est l’expression, le flot de l’énergie divine, cosmique. Qualifier le souffle de son intention la plus profonde, être le cœur de ce que Je Suis.

Il ne s’agit pas d’une recette magique que Merlin l’Enchanteur aurait pu vous donner du bout de sa baguette. Vous êtes les magiciens de votre propre magie. Vous avez la baguette. La baguette, souvenez-vous, est l’union de l’amour, de l’intention, de l’attention. Intensifier l’amour en intensifiant la présence. Intensifier l’attention sur cette base de l’amour. Sur cette base de l’attention offerte à l’amour, affirmer l’intention, non mentalement. Inscrivez-la dans la structure de vos cellules.

Le mental n’est que l’illusion de l’indolence, même pour ceux qui se croient enfermés, dont l’énergie mentale semble se battre comme de vrais guerriers pour briser les chaînes. Ces guerres sont les jeux d’enfants indolents. L’audace et le courage s’actualisent par l’intensification de l’attention sur la base de l’amour offert à l’amour.

Nous vous remercions. Nous vous saluons.

Source : http://anandamath.org Partagé par www.eveil.tv

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Quels-sont les bénéfices quotidiens que le sport peut apporter à la psychologie

La psychologie du sport est une discipline qui s’applique surtout aux sportifs de haut niveau; son but ultime est d’améliorer le rendement du sportif en s’appuyant sur plusieurs outils. Par ailleurs, en analysant les sportifs, on observe que leurs différences sont de plus en plus minces: des facteurs auxquels on n’accordait pas d’importance dans le passé parce qu’on pensait qu’ils amélioraient peu le rendement sont maintenant étudiés minutieusement… et cette petite différence peut être celle qui distinguera le premier du dernier.

En outre, toute personne peut utiliser au quotidien les techniques et les instruments dont se sert la psychologie du sport. En fin de compte, nous avons tous des défis à surmonter, jour après jour. Nous sommes aussi en compétition avec nous-mêmes pour devenir meilleurs.

Les sportifs savent qu’une bonne partie de leurs triomphes dépend du plan mental. Ils ont besoin de concentration, de confiance, d’une grande tolérance à la frustration et d’une orientation vers le succès. Nous avons également besoin de tout ceci pour faire face à nos tâches quotidiennes. Il n’y a donc rien de mal à en apprendre un peu plus sur les tactiques utilisées par la psychologie du sport et à songer à les incorporer à notre vie.

“Tout ce que je sais de plus sûr à propos de la moralité et des obligations des hommes, c’est au football que je le dois.”

-Albert Camus-

Trois techniques à succès associés à la psychologie du sport

Il existe une infinité de techniques de psychologie du sport. Elles sont toutes valables. Cependant, parmi toutes celles que l’on recense, trois sont particulièrement utilisées. Cela est dû au fait qu’elles sont très efficaces au moment de participer à une compétition. Les trois techniques sont les suivantes:

  • La visualisation. Il s’agit d’imaginer des scénarios et de penser à la façon dont nous allons agir s’ils ont réellement lieu. Ceci doit se faire de la façon la plus détaillée possible. La personne doit se visualiser dans une position de vainqueur dans chacune de ces trois circonstances. C’est une technique particulièrement utilisée par ces sportifs qui doivent réaliser un type d’exécution isolée, comme tirer un coup franc.
  • Le dialogue intérieur positif. Il comprend ce qu’une personne se dit à elle-même et ce qu’elle se répond. Quand ce dialogue est positif et motivant, les habiletés sont renforcées. Cette technique est très employée par ceux qui pratiquent des sports individuels comme le golf ou le tennis.
  • La technique “Si… alors”. Elle consiste à imaginer les possibles problèmes qui peuvent se présenter dans une compétition et, en même temps, les stratégies ou réponses qui seront utilisées pour les surmonter. Il s’agit d’une technique qui augmente la confiance en soi.

Chaque personne parvient à mieux développer une technique. Cependant, les trois peuvent être utilisées de manière simultanée. Pour les sportifs de haut niveau, c’est presque un mantra. Ils les pratiquent inlassablement, comme composant de leur entraînement.

Une expérience suggestive

Pour essayer de mesurer l’efficacité de certaines des techniques qui s’utilisent le plus dans la psychologie du sport, une expérience a été réalisée. Elle a été organisée par la BBC et s’est déroulée de manière virtuelle en 2012. Plus de 44000 personnes ont participé à cette étude.

Il a été demandé aux participants de passer par une série d’épreuves définies par une caractéristique commune: une situation au cours de laquelle la pression était très haute. Les résultats ont été mesurés numériquement. Ensuite, on leur a enseigné les trois techniques de base de la psychologie du sport et l’épreuve a été réalisée une nouvelle fois. Les résultats ont été surprenants.

Pratiquement tous les volontaires ont amélioré leur rendement. Les résultats ont été si marquants qu’ils ont éveillé l’attention d’autres chercheurs. Actuellement, ces résultats sont encore examinés pour améliorer et affiner les techniques utilisées.

Application quotidiennes des techniques

Les techniques de base de la psychologie du sport ont été pratiquées dans plusieurs domaines. Il y a peu de cas où elles n’ont pas eu d’incidence favorable sur un meilleur rendement. On sait aujourd’hui que certaines techniques sont plus applicables à certaines situations qu’à d’autres.

Étudions quelques exemples :

  • Parler en public. Il a été prouvé que la technique du “Si… alors” fonctionne très bien pour vaincre la peur de parler en public. Cette tactique augmente la confiance en soi. En imaginant les possibles difficultés et les stratégies pour y faire face, la peur de s’exprimer en public disparaît.
  • Des activités qui supposent un haut risque. Les activités à risque génèrent plus d’anxiété. Il a été démontré que la technique de visualisation est particulièrement efficace pour ce type de défi. Par exemple, les chirurgiens en tirent un grand nombre de bénéfices. Ils peuvent construire un plan mental de l’intervention chirurgicale et cela les aide à améliorer leur rendement.
  • Des situations sociales stressantes. Cela comprend les situations qui génèrent une tension à cause, par exemple, de la présence d’une figure d’autorité. Ou à cause de l’excessive rigidité de l’atmosphère sociale. Selon les observations, dans ces cas, le plus adéquat est d’avoir recours à la technique du dialogue interne positif. Cela renforce la sécurité et permet de mieux affronter la situation.

Ces techniques associées à la psychologie du sport ont été efficaces pour de nombreux athlètes. Alors, pourquoi ne le seraient-elles pas pour n’importe quelle personne? L’essentiel est de maintenir une discipline dans leur pratique. En fait, elles commencent à nous aider quand nous les intégrons en tant qu’habitude dans notre quotidien.

Source https://nospensees.fr/ Partagé par www.eveil.tv

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