
Le Wi-Fi: un réseau sans fil avec lequel vous pouvez connecter de nombreux périphériques sans utiliser de câbles. Aujourd’hui le Wi-Fi est partout. Les téléphones mobiles en bénéficient le plus, et les entreprises qui les fabriquent ont des instructions spécifiques pour l’utilisation des services de sorte qu’ils ne nuisent pas à notre santé.
Le Wi-Fi: un tueur silencieux qui nous tue lentement
Nos appareils sans fil comme les téléphones et les tablettes utilisent des routeurs pour se connecter en ligne. Le routeur émet des signaux WLAN – des ondes électromagnétiques qui peuvent causer beaucoup de dommages. Nous ignorons ce fait parce que nous n’avons pratiquement aucune connaissance de celui-ci. Avec le temps, ces signaux nuisent à l’organisme. Une étude menée par la British Health Agency a prouvé que les routeurs entravent la croissance des personnes et des plantes.
Conséquences de l’exposition Wi-Fi:
- fatigue chronique
- douleurs dans les oreilles
- manque de concentration
- forts maux de tête fréquents
- problèmes de sommeil
Nous ne pouvons pas vivre sans la technologie – c’est un fait. Mais nous devons apprendre à nous protéger de ses effets néfastes. Nous avons ici quelques conseils sur la façon d’utiliser le routeur en toute sécurité ou du moins réduire les dommages potentiels.
Comment protéger les enfants contre les ondes électromagnétiques
- Déconnectez les programmes Wi-Fi avant le coucher
- Désactivez le Wi-Fi lorsqu’il n’est pas utilisé
- Remplacez vos téléphones sans fil par des téléphones filaires
- Évitez de placer un routeur dans la cuisine et dans la chambre
Source:http://tdhealthyfood.com
Comment protéger les enfants contre les ondes électromagnétiques
Déconnectez les programmes Wi-Fi avant le coucher
Désactivez le Wi-Fi lorsqu’il n’est pas utilisé
Remplacez vos téléphones sans fil par des téléphones filaires
Évitez de placer un routeur dans la cuisine et dans la chambre
Source:http://tdhealthyfood.com

À la fin des années 1970 et au début des années 1980, plus de 50 femmes américaines ont été tuées par leurs tampons. Bien que la FDA et le secteur de l’hygiène féminine aient déployé des efforts considérables pour tenter de faire oublier cette histoire vraie (en l’appelant une « rumeur »), les tampons fabriqués avec certaines fibres non-naturelles se sont révélées abriter des bactéries mortelles et libérer une quantité suffisante de produits chimiques pour tuer ou blesser plus d’un millier de femmes. Les pires contrevenants étaient les tampons ultra-absorbants Rely de Procter and Gamble. Selon le livre Soap Opera: The Inside Story of Procter and Gamble, l’entreprise a rejeté les plaintes des consommateurs au sujet des tampons pendant des années. Une note de 1975 de l’entreprise a divulgué que les tampons Rely contenaient des agents cancérigènes connus et que le produit altérait les organismes naturels trouvés dans le vagin. Les tampons Rely ont été retirés des rayons en 1980, mais de nombreuses femmes affirment qu’elles ont hérité d’hystérectomies et de perte de fertilité. Parmi les femmes soucieuses de leur santé, la toxicité des tampons traditionnels a longtemps été un sujet de préoccupation. « Comme je dis non à l’huile de coton, c’est pour la même raison que je ne suis pas d’accord pour mettre du coton toxique dans mes parties intimes », écrit


Pour la plupart des médecins qui osent évoquer leur collaboration avec les guérisseurs, celle-ci se justifie de façon très pragmatique. Ainsi, le docteur Alain Marre, chef du service de radio-oncologie du centre hospitalier de Rodez (Aveyron) : « Voilà plus de trente ans que j’oriente mes patients vers des guérisseurs pour soulager les douleurs, sans a priori : j’ai juste constaté que cela améliorait leur état. Dois-je refuser sous prétexte qu’on ignore comment ça marche ? »
Pour Josette, de Montélimar, le phénomène a démarré à 2 ans. « Je croyais que tout le monde était comme ça : quand je pose ma main sur quelqu’un, je ressens de l’électricité. Et quand j’arrive sur une zone souffrante, ça me pique, comme si une pointe jaillissait. Si je laisse ma main un moment, la piqûre s’en va et la souffrance de la personne aussi. Aujourd’hui, j’ai 85 ans et j’en ai soigné, des gens ! Jamais je ne me suis fait payer : ce don me dépasse, impossible de le monnayer. Je ne crois pourtant pas au bon Dieu… » Vivant de sa pension de veuve de gendarme, elle précise : « Si vous voulez que je vous soigne, ne me dites pas ce que vous avez ! Ma tête doit rester au repos. Si elle se met à gamberger, je ne suis plus bonne à rien. » Notre esprit rationnel a d’autant plus de mal à comprendre que les guérisseurs ne se contentent pas de poser leurs mains sur leurs patients. Ils palpent aussi des flux invisibles qu’ils semblent peigner, ou rassembler, ou recoudre, vous expliquant, comme Pierre. Yonas qui soigne l’équipe de handball de Savigny-sur-Orge : « J’ai senti une fuite d’énergie au niveau de l’omoplate d’un joueur, je l’ai colmatée. » L’affaire se corse quand on découvre que beaucoup soignent aussi à distance, souvent en se concentrant sur une photo du patient, et parfois à l’insu de la personne souffrante, celle-ci pouvant être un bébé ou un animal. « Par exemple, mes chevaux, dit Michelle,que je soigne depuis des années, après avoir appris, non seulement à les toucher, mais à me mettre à l’intérieur d’eux, à leur place. »



















