Certaines personnes ne se laissent-elles pas aider, découvrez les raisons ..

Nous avons tout rencontré plus d’une fois des personnes auxquelles il est difficile de donner un coup de main car elles ne se laissent pas aider. Le plus habituel est qu’elles correspondent à l’un de ces deux cas : soit elles font partie des personnes qui sont disposées à aider tout le monde mais qui ont du mal à recevoir de l’aide, soit il s’agit de personnes qui ont un graveproblème et qui, même dans ce cas, n’acceptent l’aide de personne.

Dans les deux cas, la situation est très frustrante pour les autres. Ceux qui croisent des personnes comme cela ne comprennent pas pourquoi elles ne se laissent pas aider alors qu’elles en ont besoin. L’affaire devient parfois irritante et pourrait être interprétée comme une négligence ou un manque de volonté pour solutionner les problèmes.

“Le plus grand spectacle est un homme s’efforçant de lutter contre l’adversité; mais il y en a un autre plus grand: voir un autre homme lui porter secours.”

-Oliver Goldsmith-

Le fait est que les choses ne se déroulent presque jamais ainsi. Les raisons pour lesquelles certaines personnes ne se laissent pas aider résident dans un problème de fond. Même si elles souffrent et ont besoin des autres, elles ont beaucoup de mal à accepter de recevoir de l’aide. Ce peut être à cause d’un blocage inconscient ou simplement parce qu’elles ont du mal à reconnaître qu’elles ont besoin de changer.

Ceux qui aident tout le monde mais ne se laissent pas aider

Il est relativement fréquent de voir que ceux qui aident tout le monde ont des problèmes pour demander ou accepter l’aide des autres. Il s’agit de personnes qui ont construit une identité à partir de laquelle elles peuvent donner, mais pas recevoir. Elles croient qu’elles ont le devoir de répondre aux besoins des autres alors qu’elles-même se débrouillent ou ignorent les leurs.

D’une façon ou d’une autre, elles ne se laissent pas aider par les autres parce qu’elles pensent que, de cette façon, elles trahiraient leur “mission” dans la vie, étant donné qu’elle serait incohérente avec l’image et la personne qu’elles veulent construire (totalement indépendante). Elles peuvent aussi avoir l’impression qu’accepter l’aide des autres suppose un dérangement pour ces derniers. En d’autres termes, leur causer des problèmes. Cela leur fait honte.

Il est aussi possible qu’elles ne se laissent pas aider parce qu’elles pensent que bénéficier de cette aide génère une dette que l’autre pourra réclamer quand il le souhaitera, pour n’importe quoi. Elles ne comprennent pas que les autres puissent être contents d’aider et que cela ne crée pas d’obligations de compensation. C’est pour cela qu’il est parfois nécessaire de le leur montrer, en faisant preuve d’affection.

Avoir besoin d’aide mais ne pas en accepter en retour

L’autre cas concerne ces personnes qui ne se laissent pas aider alors qu’elles traversent des situations très difficiles. Il est évident qu’elles ont besoin de l’aide des autres mais si quelqu’un essaye de les aider à sortir de leurs problèmes, elles rejettent cette personne. L’exemple le plus typique est celui d’une personne qui souffre d’une addiction. Le plus habituel est qu’elle refuse, parfois obstinément, d’accepter que d’autres lui donne un coup de main pour sortir de la situation dans laquelle elle se trouve.

Dans ces cas, il est normal que la personne n’admette même pas qu’elle a un problème. Elle se laissera donc encore moins aider. Une partie de son problème consiste précisément en la négation de ce dernier. Cela se produit avec les personnes souffrant d’addictions mais aussi avec celles qui souffrent de dépression, d’anxiété ou d’un autre trouble et qui n’en ont pas conscience ou en ont une vision biaisée.

Aussi étrange que cela paraisse, dans ce cas, le symptôme même est une réponse adaptative que la personne a construite pour supporter sa vie. Elle est “adaptative” dans le sens où elle lui permet d’interpréter la réalité d’une façon qui l’aide à aller de l’avant. Par exemple, une personne déprimée imagine qu’elle est triste parce qu’elle est plus sensible que les autres personnes et pas parce qu’elle est malade. Cependant, cette illusion lui permet d’expliquer sa vie et de continuer à la vivre, même au prix d’une grande souffrance.

Que faire avec ceux qui ne se laissent pas aider ?

Dans le premier cas, celui de ceux qui aident tout le monde mais ne se laissent pas aider, nous vous conseillons de contribuer à éclaircir la situation. Leur faire voir, avec affection, que notre aide naît d’une véritable estime. Et que pouvoir leur donner un coup de main est source de satisfaction et ne représente pas un sacrifice ou un grand effort.

Dans le second cas, celui de ceux qui ne se laissent pas aider alors qu’ils en ont besoin, la situation est un peu plus complexe. Il faut ici faire preuve de plus de patience et de tact. Être présent, s’intéresser à cette personne et essayer de l’accepter telle qu’elle est constitue une excellente clé pour que l’autre nous ouvre sa porte et nous laisse entrer. Le plus important est de ne pas céder à la tentation de leur mettre la pression pour qu’elles changent. Parfois, la préoccupation vis-à-vis de cette personne prend cette forme et notre intervention, pleine de bonnes intentions, finit par lui être nocive.

Il faut respecter les rythmes de chaque personne. La majorité du temps, elles ont besoin de temps pour comprendre qu’elles ont besoin d’aide. Dans les cas les plus graves, il convient de consulter un professionnel pour savoir comment nous pouvons être aidés de manière efficace.

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5 façons de faire face aux personnes toxiques

Toutes les personnes, individuellement, peuvent changer. Nous pouvons faire l’effort d’améliorer ce qui ne nous plaît pas. Cependant, nous ne pouvons pas changer les autres personnes. C’est quelque chose qu’il ne faut pas oublier lorsque nous sommes confrontés aux personnes toxiques. Face à eux, nous avons seulement deux possibilités : les éviter ou s’y confronter.

Beaucoup de personnes préfèrent fuir les personnes toxiques, mais quand vous n’avez plus le choix et que vous devez faire face à quelqu’un, le mieux est de chercher à le faire de manière intelligente. Finalement, les personnes toxiques trouvent toujours le moyen de dilapider leur négativité, en la transmettant aux autres personnes, en créant un mauvais sentiment et environnement, en ruinant l’instant.

Les personnes toxiques défient la logique des relations personnelles. De fait, certaines, même si c’est inconscient dans la plupart des cas, ne sont heureuses que quand elles créent un impact sur les autres. D’autres obtiennent une satisfaction en créant le chaos dans la sensibilité d’autrui. Dans tous les cas, les personnes toxiques créent inutilement de la complexité, des conflits et du stress.

“Les personnes toxiques se collent à vous comme des blocs de béton attachés aux chevilles, et ensuite vous invitent à nager dans leurs eaux empoisonnées.”

-John Mark Green-

Voici les 5 façons intelligentes de faire face aux personnes toxiques 

1. Face personnes toxiques l’intelligence émotionnelle

Cela fait longtemps déjà que les études ont démontré que le stress peut avoir un impact irréversible et négatif sur le cerveau. Même si c’est pendant quelques jours, l’exposition au stress compromet l’efficacité des neurones dans l’hippocampe, une zone importante du cerveau, responsable du raisonnement et de la mémoire. Si le stress dure pendant plusieurs semaines, il finit par endommager les dendrites neuronales (les petits ‘bras” que les cellules cérébrales utilisent pour communiquer entre elles). S’il se prolonge pendant plusieurs mois, le stress peut détruire des neurones de manière permanente.

Une recherche récente du Département de Psychologie Biologique et Clinique de l’Université de Friedrich Schiller en Allemagne a montré que l’exposition à des stimulations qui provoquent de fortes émotions négatives -le même type d’exposition que l’on obtient aux côtés des personnes toxiques- fait que le cerveau des sujets a une réponse massive au stress.

Ainsi, à travers la négativité, la cruauté ou la victimisation (entre autres stratégies), les personnes toxiques provoquent chez les autres un état de stress qui requiert une gestion émotionnelle intelligente pour disparaître.

La clé pour agir de manière intelligente face à ce type de comportements toxiques est de cultiver votre capacité à gérer vos émotions et de rester calme sous la pression. De fait, l’une des plus grandes qualités de ceux qui savent gérer leur stress est leur capacité à neutraliser les effets des personnes toxiques.

“Faites fi de l’opinion des gens toxiques, libérez-vous de leurs critiques et vous vous libérerez de chacun de leurs mots et de leurs actions. N’idéalisez pas. N’attendez rien de personne.”

-Bernado Stamateas-

2. Ignorez les gens toxiques qui recherchent votre attention

Les gens toxiques ne portent pas une insigne qui permette de les distinguer. Mais, nous savons tou-te-s qui autour de nous sont les sources de conflits et de mal être. Nous savons le mal qu’ils peuvent causer. Nous savons aussi par où ils nous attaquent. Vous savez qui vous cherche, et vous savez aussi qui vous trouve. Et quand on vous trouve, ici même, dans ce lieu, vous savez que vous êtes perdu-e.

Si, quelle qu’en soit la raison, vous ne pouvez pas éviter cette personne toxique, alors essayez de ne pas tomber dans ses filets. Vous savez qu’elle va rechercher votre attention, qu’elle va vous provoquer. Ne vous laissez pas “embrouiller”. Faites en sorte qu’elle ne vous trouve pas. Ne vous laissez pas provoquer par ses interruptions, ses commentaires ou ses actions. Soyez bienveillant-e. Soyez patient-e. Prêtez-lui le moins d’attention possible. Mordez-vous la langue si c’est nécessaire pour que son venin ne vous atteigne pas. Soyez assertif-ve s’il est nécessaire de marquer une limite.

“Partagez des choses uniquement avec ceux qui peuvent vous donner des informations et du soutien. Quand vous rencontrez des gens négatifs, fermez la bouche.”

-Israelmore Ayivo-

3. N’acceptez pas le comportement d’une personne toxique : évitez la contagion

La caractéristique principale de la toxicité est qu’elle est contagieuse. C’est ce qui arrive avec les gens toxiques : leur attitude se transmet. Si vous répondez avec un comportement toxique, vous avez perdu la bataille. Même si cette personne toxique parvient à trouver le bouton de votre culpabilité, tout n’est pas perdu. Rester calme devant son pire venin, l’injection de la culpabilité, est possible.

Que ce soit possible ne signifie pas qu’il est facile d’ignorer les demandes d’attention d’une personne toxique. De fait, les gens toxiques ont souvent tendance à ridiculiser la personne en public quand ils ne parviennent pas à la confrontation directe, s’ils ont opté pour cette méthode. C’est pour cela que garder le contrôle sur ses émotions est essentiel dans une telle situation.

D’autre part, maintenir une distance émotionnelle demande de la conscience. Vous ne pouvez pas toujours empêcher les autres d’appuyer sur vos points sensibles. Quand cela arrive, vous devez surmonter vos peurs et vos complexes, et aller de l’avant. D’une certaine manière, mieux vaut ignorer ce qui s’est passé, car il sera ainsi plus facile de contrôler vos émotions. Mais il y a une autre option : défendre vos limites.

“Celui qui disqualifie a pour objectif de contrôler notre estime de nous-mêmes, de nous faire croire que nous ne sommes rien face aux autres, pour pouvoir briller et devenir le centre de l’univers.”

-Bernardo Stamateas-

4. Mettez et défendez vos limites

Vous devez savoir que l’attaque d’une personne toxique ne sape pas votre dignité. De fait, votre dignité peut être attaquée et ridiculisée, mais vous ne pouvez jamais la perdre à moins que vous ne la donniez volontairement. Ainsi, vous n’avez pas à vous défendre avec des arguments mais à clarifier vos propres limites.

N’est pas offensé-e celui/celle qui veut, mais celui/celle qui peut. Si vous vous mettez sur la défensive, vous démontrez à l’autre qu’iel peut vous atteindre. Si vous posez vos limites, vous lui faites comprendre qu’il ne peut pas vous attaquer.

Face à une personne toxique, les raisonnements et les explications ne valent pas grand chose. Il faut clarifier les choses, avec fermeté et assertivité, pour que votre autorité dans vos propres décisions soient claires, et en même temps montrer votre responsabilité.

Sachez que pour établir une limite, vous devrez le faire de manière consciente et proactive. Si vous laissez les choses arriver naturellement, vous vous verrez dans l’obligation de vous retrouver systématiquement dans des conversations difficiles. Si vous établissez des limites, vous pourrez contrôler une grande partie du chaos provoqué par une personne toxique.

3. Pratiquez la compassion

Comme nous l’avons vu, face à quelqu’un de toxique, nous pouvons adopter une attitude d’attaque, une position sur la défensive ou simplement l’ignorance. Mais nul besoin de toujours faire cela. Parfois, cela a du sens d’être sympathique avec les personnes toxiques. Peut-être qu’elles traversent une période difficile, une situation émotionnelle qu’elles ne savent pas comment gérer.

Cependant il est triste de constater que le comportement toxique de quelqu’un est souvent une façon d’affronter une situation personnelle difficile. Bien sûr, ce n’est pas juste et honnête de faire payer sa douleur aux autres. Mais il n’y a pas non plus de soulagement personnel quand les autres sont blessés. Au fond, il n’y a pas toujours de la méchanceté, de la rancœur ou de la colère envers les autres dans le comportement toxique.

Cela ne signifie pas que vous devez tout laisser tout passer ou que vous devez tout accepter. Finalement, nous avons chacun nos propres problèmes, nos propres démons. Face à une telle situation, affrontez la situation avec compassion, en pardonnant. Sans suivre la même route et en marquant bien vos limites, bien sûr, mais sans tenir trop compte l’attitude de l’autre car ce n’est rien d’autre qu’une ombre de sa très douloureuse et agitée vie intérieure.

Source Source : nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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Frédérique Shine Médium
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PAR OÙ COMMENCER POUR CROIRE EN VOUS

par Jean-Charles R

Peut-être n’avez-vous pas encore atteint la position que vous désirez professionnellement. Bien que votre performance au boulot soit acceptable, votre progression dans la hiérarchie n’est pas aussi rapide que vous l’espérez. À moins que ce ne soit votre vie personnelle qui n’est pas satisfaisante. Vous vous êtes fixé des buts que vous ne pouvez atteindre ou vous vous efforcez d’adopter de bonnes habitudes alors que les “mauvaises” ne cessent de refaire surface.

Peu importe le secteur de votre vie pour lequel vous avez le plus d’attentes, vous pouvez atteindre vos objectifs en croyant en vous-mêmes.

Je vous le concède, ça peut représenter tout un défi de faire cela, spécialement lorsque persiste cette minuscule petite voix dans votre tête qui vous répète inlassablement que vous n’êtes pas “assez bon”, ou “pas suffisamment intelligent” ou “pas assez beau” ou pas assez quoi que ce soit.

Mais voici le truc : ce ne sont que des pensées. Et vous ne pouvez laisser ces pensées devenir votre réalité. Vous ne pouvez laisser ces croyances devenir votre réalité.

Vous devez les combattre – voici comment.

Commencer par prétendre (faire comme si)1

Une option consiste à “faire comme si jusqu’à ce que vous y parveniez.” Prétendez que vous êtes quelqu’un qui croit en lui.

C’est correct si vous n’y croyez pas pleinement. Mais il est important de croire et d’avoir confiance en vous juste un peu plus que le contraire. En d’autres mots, vous avez besoin de croire en vos forces et en vos capacités plus souvent que vous en doutez et que vous pensez qu’elles sont inférieures à la norme.

Lorsque vous constatez que vos doutes refont surface, vous faisant sentir faible et incertain, imaginez que vous êtes quelqu’un de puissant et d’influent avec une confiance complète et totale. Entrainer votre cerveau à penser ainsi – éventuellement, il le fera.

Assouplissez vos muscles du courage

Lorsque vous vous aventurez à l’extérieure de votre zone de confort en faisant des choses que vous ne feriez normalement pas, vous douterez probablement de vous – mais vous vous exercez également à vaincre ce doute. En vous insérant à répétition dans ces situations de construction de votre force, vous commencerez à construire votre courage et la confiance que vous aurez en vous.

Dressez une liste de vos succès

Lors de ces moments où vous ne croyez pas en vous-même autant que vous le devriez, il est utile de vous souvenir que vous avez déjà eu du succès dans votre vie – des moments où, bien que vous doutiez de vous, vous avez tout de même accompli de grandes choses.

Dressez une liste de ces accomplissements, de celles dont vous êtes fiers d’avoir accomplies, et référez-vous y lorsque vous avez besoin d’un petit rappel de ce dont vous êtes capable.

Utilisez cette liste pour vous aider à passer par-dessus les incertitudes afin que vous puissiez, encore, atteindre le succès.

« Nous devons être l’incarnation du succès. Avant qu’il ne vienne à nous, nous devons irradier le succès. On doit d’abord devenir, mentalement, d’un point de vue attitudinal, la personne que nous voulons devenir. » – Earl Nightingale

1 Structure « comme si » (As-If Frame) : « Prétendre, » faire comme si. Supposer qu’une situation se produit au moment présent et y réagir comme si elle se produisait vraiment. C’est une technique créatrice favorisant la résolution de problèmes en faisant mentalement fi d’obstacles apparents posés sur le chemin vers la solution souhaitée.

SOURCE : Traduction de How to Start Believing in Yourself More par Chris Winfield. 7 juin 2016. Paru dans motto.time.com

Traduction de Richard Parent, Mont St-Hilaire, Québec.

Trouvé sur https://www.espritsciencemetaphysiques.com/

 

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La simplicité est une qualité de personnes extraordinaires

La simplicité est une vertu merveilleuse et pas aussi commune qu’elle devrait l’être. Il s’agit de l’un de ces attributs dont les autres disposent. Elle est toujours associée à l’humilité et dénote la noblesse et la maturité. Par conséquent, même cela peut paraître paradoxal, seules les personnes extraordinaires disposent réellement de cette qualité.

Certains définissent la simplicité comme “la célébration du peu. En d’autres termes, celui qui est simple est capable de profiter des petites choses. Il en est également reconnaissant. Il ne met ni ses attentes ni ses ambitions dans quelque chose de trop élevé. Par conséquent, le premier bénéficiaire de la simplicité est celui qui la possède.

Pour agiter le drapeau de la simplicité il est nécessaire de savoir s’adapter et de savoir s’accepter soi-même et accepter. Ces caractéristiques permettent d’obtenir la fluidité, sans la forcer ou modifier son cap. Tout cela favorise la spontanéité, autre vertu présente chez des personnes équilibrées et en bonne santé.

Simplicité dans les relations avec les autres

La simplicité se retrouve également dans notre façon d’interagir avec les autres. Une personne qui dispose de cette vertu extraordinaire est très respectueuse d’elle-même et des autres. Elle s’accepte et, par conséquent, accepte les autres. L’un et l’autre sont liés.

Une autre caractéristique marquant leurs relations est l’horizontalité de ces dernières. Quiconque agit avec simplicité donne la même valeur aux puissants et aux personnes modestes. Ces personnes ne changent pas leur personnalité, ni leur manière de traiter les autres en fonction de qui elles ont en face d’elles.

La simplicité nous conduit par ailleurs à valoriser les réussites des autres. A être heureux de ce que les autres ont réussi à accomplir et à partager leurs tristesses le cas échéant. Les autres sont considérés comme des égaux, raison pour laquelle les personnes simples possèdent un sentiment de solidarité intrinsèque. La simplicité nous permet de comprendre que nous appartenons tous à la communauté humaine et que nous sommes inévitablement unis par un lien commun : l’humanité elle-même.

Le chemin qui mène à la simplicité

Nous devenons généralement “coincés” ou “compliqués” parce que nous nous laissons envahir par les peurs. Peur de ce que les autres pourront dire. Peur du rejet. Inquiet du fait de croire que nous devrions peut-être être davantage, meilleur ou plus puissant, riche ou beau. En un mot, parce que nous ne parvenons pas nous accepter tels que nous sommes ou à évaluer les circonstances dans lesquelles nous vivons.

C’est assurément ici que se trouve la clé de beaucoup de nos souffrances. Nous construisons souvent de fausses croyances sur ce que nous sommes et ce que nous devrions être. Nous vivons davantage en fonction du fait d’obtenir ce que nous n’avons pas et non pour profiter de ce dont nous disposons.

La simplicité ne signifie pas conformisme ou passivité. Nous pouvons avoir des objectifs très élevés tout en appréciant tout ce qui a été accompli et ce que nous sommes. En effet, la simplicité nous aide à marcher plus léger à travers la vie et à avancer toujours dans un sens évolutif.

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7 étapes pour oublier un amour impossible

développement personnel

Un amour impossible est celui qui ne parvient jamais à se transformer en relation stable ou qui finit avant d’avoir commencé ou d’avoir mûri. Cela peut sembler paradoxal mais ce sont ces amours qui donnent lieu aux deuils les plus profonds et qui sont parfois les plus difficiles à oublier. Et c’est aussi paradoxal parce que si, finalement, elles ne se sont pas développées, elles ne devraient pas – en théorie – engendrer autant de souffrance.

Les plus pragmatiques ne se compliquent pas la vie avec un amour impossible. Quand iels voient qu’il n’y a pas de bonnes conditions pour construire ou maintenir un lien amoureux, iels l’acceptent et mettent un point final à temps. D’autres, cependant, ont plus de mal à renoncer aux attentes, aux espoirs et aux rêves qui se sont formés autour d’une relation. Le sentiment est plus fort que les preuves de son impossibilité.

D’une façon ou d’une autre, un amour impossible ne s’oublie jamais. Il laisse de grandes traces, précisément parce qu’il n’a pas été vécu ni consommé au moment où l’on doit y renoncer ; l’idéalisation ne s’est pas brisée. Mais, même s’il ne s’oublie pas complètement, il est quand même possible de traiter ce sentiment et de réussir à le mettre de côté pour continuer à aller de l’avant. Et voici 7 conseils pour y parvenir.

“L’amour est comme une guerre, facile à commencer, difficile à terminer, impossible à oublier.”

-Henry Louis Mencken-

1. Définissez ce qui le transforme en amour impossible

Il existe une grande différence entre un amour difficile et tumultueux et un amour impossible. Ce dernier n’a aucune chance d’exister. Le cas le plus typique, et qui entraîne le plus de difficultés émotionnelles, concerne l’amour qui n’est pas réciproque. Une personne aime l’autre, mais l’inverse n’a pas lieu. Il serait d’ailleurs peut-être plus exact de dire qu’une personne aime et a besoin de l’autre, mais que cet autre ne ressent pas la même chose. L’amour véritable fonctionne toujours à deux.

Bien sûr, on peut essayer de conquérir quelqu’un qui n’est, au début, pas intéressé. Mais il est aussi important de comprendre qu’il arrive un moment où il est nécessaire d’accepter que cette entreprise n’a pas de futur. La même chose s’applique pour d’autres impossibilités qui ont normalement le même élément en commun : l’un aime et l’autre non. S’il n’y a pas de sentiment mutuel, il n’y a pas de viabilité

D’une façon ou d’une autre, un amour impossible ne s’oublie jamais. Il laisse de grandes traces, précisément parce qu’il n’a pas été vécu ni consommé au moment où l’on doit y renoncer ; l’idéalisation ne s’est pas brisée. Mais, même s’il ne s’oublie pas complètement, il est quand même possible de traiter ce sentiment et de réussir à le mettre de côté pour continuer à aller de l’avant. Et voici 7 conseils pour y parvenir.

“L’amour est comme une guerre, facile à commencer, difficile à terminer, impossible à oublier.”

-Henry Louis Mencken-

1. Définissez ce qui le transforme en amour impossible

Il existe une grande différence entre un amour difficile et tumultueux et un amour impossible. Ce dernier n’a aucune chance d’exister. Le cas le plus typique, et qui entraîne le plus de difficultés émotionnelles, concerne l’amour qui n’est pas réciproque. Une personne aime l’autre, mais l’inverse n’a pas lieu. Il serait d’ailleurs peut-être plus exact de dire qu’une personne aime et a besoin de l’autre, mais que cet autre ne ressent pas la même chose. L’amour véritable fonctionne toujours à deux.

Bien sûr, on peut essayer de conquérir quelqu’un qui n’est, au début, pas intéressé. Mais il est aussi important de comprendre qu’il arrive un moment où il est nécessaire d’accepter que cette entreprise n’a pas de futur. La même chose s’applique pour d’autres impossibilités qui ont normalement le même élément en commun : l’un aime et l’autre non. S’il n’y a pas de sentiment mutuel, il n’y a pas de viabilité

Même s’il s’agit d’un beau fantasme, cela ne correspond pas à la réalité. Les êtres humains ont une infinie capacité d’aimer. Quand on vit une relation, on affronte son final et on en tire une expérience et une sagesse qui permettent, en général, de mieux vivre la relation suivante.

Nous pouvons toujours recommencer et chaque nouvelle expérience peut être meilleure que la précédente. En fait, les années nous préparent à aimer avec une plus grande générosité et une plus grande tolérance si nous ne restons pas ancrés dans des rêves impossibles.

3. Reconnaissez les aspects négatifs

Le fait d’être amoureux-se, et non l’amour, nous pousse facilement à idéaliser les personnes et les situations. Parfois, nous leur donnons des vertus et des attributs qu’elles n’ont pas réellement ou qu’elles possèdent uniquement dans une certaine mesure. Pour diluer ces constructions mentales, il est très important de commencer à évaluer les éléments négatifs.

Quels défauts a cette personne que vous croyez tant aimer ? Quels aspects insatisfaisants existaient ou existent dans les situations que vous partagiez ou partagez avec lui/elle ? Pourriez-vous imaginer la façon dont ces défauts et ces erreurs se manifesteraient d’ici 10 ans ? Voici les questions que vous devez vous poser et auxquelles vous devez essayer de répondre en toute honnêteté. Au final, il est probable que votre point de vue soit plus réaliste.

image pixabay

4. Acceptez qu’il est temps d’oublier

Il s’agit de l’étape la plus difficile. Il a été vérifié que quand une personne désire vivre une relation amoureuse avec quelqu’un et que celle-ci n’est pas possible, des réactions similaires à celles d’un-e drogué-e qui ressent un syndrome d’abstinence se produisent. Le mal-être émotionnel, voire même physique, est parfois difficile à tolérer.

Et comme c’est le cas pour toutes les addictions, le plus difficile à accepter est que la dépendance existe, qu’elle crée une profonde tristesse et qu’on se sent impuissant face à elle. Cela semble facile à admettre, mais ça ne l’est pas. Nous sommes parfois capables d’inventer et de rationaliser n’importe quel prétexte pour ne pas accepter que nous sommes effectivement victimes d’une dépendance. Quand vous parvenez à l’accepter, vous franchissez l’étape la plus importante. Cela clarifie les pas à suivre après cette étape.

5. Éliminez les liens et supprimez les souvenirs

Après avoir accepté l’idée selon laquelle il est temps de laisser cet amour impossible, il faut commencer à couper tous les liens qui subsistent. Cela suppose de ne pas appeler la personne, de ne pas essayer de la voir, de prendre ses distances avec ses ami-e-s et de faire tout ce qui nous permet de rompre les liens qui restent présents avec cette personne. Il faut, en particulier, couper toute relation dans les réseaux sociaux.

Dans ce même ordre d’idées, il est nécessaire de supprimer tous les souvenirs. Éliminez les photos, éloignez les cadeaux. Si vous n’êtes pas prêt-e à vous en défaire, réunissez-les et rangez-les dans un endroit difficilement accessible. Et si votre décision est plus ferme, mettez tout à la poubelle. C’est une façon d’atténuer et de diluer la présence de cet amour impossible.

6. Changez votre routine, essayez de nouvelles choses

Il est temps de commencer une nouvelle étape. Cet amour impossible a peut-être occupé la majorité de votre temps, de vos journées et même de vos années. Le laisser partir ne sera absolument pas simple. Cependant, si vous prenez réellement la décision d’effectuer ce changement, tout deviendra beaucoup plus facile. Il y a sûrement des choses que vous avez toujours voulu faire et que, pour une raison ou une autre, vous avez remises à plus tard. Il est donc temps de se concentrer sur ces nouveaux défis.

Le moment de l’adieu définitif est aussi l’occasion de s’aventurer vers de nouvelles choses ou de nouveaux endroits. Voyager est toujours une excellente alternative. Et si vous releviez ce défi ? Il est aussi utile d’explorer vos facultés, de vous inscrire à un cours qui vous poussera à connaître de nouvelles personnes ou de pratiquer une nouvelle activité intéressante. La vie continue et il y a des milliers de choses à faire.

7. Donnez du temps au temps

Il y a de nombreuses amours, et certaines laissent des traces si profondes qu’elles ne partiront jamais. Un amour impossible est toujours enraciné pendant un long moment, et le fait de ne pas l’évoquer ne suffit pas à le faire disparaître. C’est une chose que l’on n’atteint pas du jour au lendemain. Cela exige du courage et du caractère. Ce sera difficile, il y aura des rechutes mais le temps vous aidera à grandir.

Si vous êtes sûr-e que vous ne pouvez plus continuer avec cet amour impossible, si vous coupez les liens et êtes décidé-e à commencer une nouvelle vie, vous réussirez petit à petit à faire occuper une place différente à cette personne, aussi bien dans votre cœur que dans votre esprit. Vous sentirez progressivement une plus grande paix dans votre âme. Vous découvrirez que, après avoir aimé et laissé partir cette personne, vous avez beaucoup appris et mûri.

Renoncer à des choses impossibles est un acte quotidien, et l’amour n’est pas une exception à la règle. Sans le vouloir, beaucoup de personnes sont des rêveuses éperdues. Nous n’acceptons pas si facilement le fait qu’il y ait des limites et que nous ne pouvons rien faire d’autre que de les respecter. Mais il y a une chose merveilleuse : en découvrant les frontières de nos propres possibilités et en les acceptant, nous franchissons un cap et apprenons à être de meilleures personnes.

Tout ce que vous vivez en vaut la peine. Même ces frustrations qui nous font autant de mal se transforment, par la suite, en semences pour nos plus grandes réussites. Elles constituent aussi la base sur laquelle nous bâtissons notre personnalité adulte. Il s’agit d’une manière d’être, à travers laquelle on comprend que la limite de nos fantasmes amoureux se trouve dans ce que les autres souhaitent, en toute liberté.

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Ne vous en faites pas si vous ne pouvez pas tout gérer

par Elodie

Ne vous en faites pas si vous ne pouvez pas tout gérer, cela ne fait rien si vous ne pouvez pas encore vous relever: prenez votre temps. N’oubliez pas que les personnes brisées ont des morceaux de vie qui peuvent être infectés et que tout cela peut faire du mal en marchant, en respirant et même en pensant… Reposez-vous, entamez ce processus de deuil, acceptez vos blessures car, petit à petit, vous sentirez à quel point votre corps est plus léger et votre esprit plus fort…

Albert Ellis disait que l’un des automatismes que nous mettons en marche chaque fois que nous souffrons d’une déception, d’une perte ou d’un fait traumatique est de culpabiliser. Qui plus est, ce que nous faisons le plus fréquemment est de projeter sur nous-mêmes un certain “mépris” à cause de notre incapacité à tout gérer, à trouver la motivation suffisante pour nous lever tous les matins ou le courage pour affronter certaines situations et circonstances.

Prenez votre temps pour guérir, celui dont vous avez besoin. Car il s’agit d’un voyage et personne ne sait quelle sera la date d’arrivée. En revanche, vous arriverez bien à une autre station: celle de la calme, de la paix interne et du bien-être. 

C’est comme si nous voulions aller courir après nous être fait une entorse. Nous nous mettons en colère parce que nous avons mal et parce que nous ne pouvons pas aller aussi vite que nous le voudrions. Nous oublions que ce pied est blessé, qu’il doit être soigné, que nous avons besoin de repos, d’un traitement et, avant tout, de prendre conscience que nous ne pourrons ni marcher ni courir pendant un certain temps…

Prenez votre temps mais faites-en bon usage

Prenez votre temps, tout le temps dont vous avez besoin et pas celui que vous recommandent les autres. Car chaque personne a son propre rythme, chaque personne a besoin de ses propres normes, de ses propres stratégies, de ses réveils internes et de ces aides externes à travailler au quotidien. Comprendre ce point est essentiel car aujourd’hui, que nous le voulions ou non, nous assumons certaines idées erronées qui nous empêchent de donner vie à un authentique processus de guérison.

Comme on nous l’explique dans un travail intéressant publié dans la revue “Perspectives on Psychological Sciencie”, au cours de ces dernières années, l’idée selon laquelle les personnes sont résilientes par nature s’est popularisée. On nous dit souvent que le temps soigne tout, qu’il faut seulement laisser notre cerveau agir, en laissant petit à petit émerger cette force intérieure qui permet de tout dissoudre, qui permet de tout surmonter.

C’est une erreur. Le temps, en lui-même, ne soigne rien. Nous n’avons pas non plus un pilote automatique capable de s’activer pour nous guider sur le chemin de la résilience. Ainsi, les chercheurs sur ce thème nous indiquent qu’assumer ce type d’idées nous situe sur une scène d’authentique passivité psychologique et nous fait plonger de manière irrémédiable dans des sables mouvants, dans lesquels nous attendons une guérison qui n’arrive jamais.

Idées que nous devons cesser de croire sur la guérison psychologique

La psychologie populaire, ainsi que certains champs spirituels, font souvent germer en nous des croyances erronées très éloignées de ce que nous disent réellement les chercheurs. Assumer un grand nombre de ces concepts peut ralentir notre guérison psychologique et il faut donc avoir à l’esprit quelques-uns de ces faux mythes. Les voici.

  • Le temps soigne tout (faux) ⇔ Ce que nous faisons nous soigne.
  • Tous les deuils durent trois mois (faux) ⇔ Chaque personne a besoin d’un certain temps pour faire face à une perte ou à une rupture sentimentale.
  • Les personnes fortes peuvent tout gérer (faux) ⇔ Qu’entendons-nous par personnes fortes? Étiqueter une personne comme “forte” peut l’obliger à se sentir mieux le plus rapidement possible et ceci est dangereux.
  • Nous sommes tous résilients (faux) ⇔ La résilience se travaille, se développe, s’affine et s’individualise sur la base de nos caractéristiques et besoins. Ce n’est pas un réveil spontané, c’est un art que l’on doit apprendre et pratiquer au quotidien, pas seulement dans les moments où l’on en a besoin.

Prenez votre temps pour hiberner, prenez votre temps pour guérir

Nous le disions au début en prenant Albert Ellis pour référence : nous nous mettons toujours en colère contre nous-mêmes parce que nous ne guérissons pas rapidement, parce que nous n’allons pas aussi vite que nous le voudrions, parce que nous ne pouvons pas être comme nous le sommes d’habitude. Si tel est le cas, c’est parce que nous vivons dans un monde où l’on nous pousse à toujours aller bien, à toujours être fonctionnels, à vendre une image de bonheur immaculé et épatant.

Cependant, la vie ne vient pas avec des filtres d’Instagram ; nous ne pouvons pas améliorer notre humeur en un “click”. Une telle tâche requiert du temps, du travail et, surtout, une intention réelle. Voici deux stratégies simples pour y parvenir.

  • Prenez votre temps pour hiberner. Il ne s’agit pas de dormir et de s’isoler mais d’appliquer un des avantages de ce processus physiologique que mettent en pratique les animaux qui hibernent: conserver leur énergie. Si votre corps n’en peut plus, si votre esprit est épuisé, reposez-vous, cessez de prioriser les autres, mettez de côté le bruit externe pour vous occuper de vos besoins internes.

Prenez votre temps pour guérir. Celui dont vous avez besoin et pas celui que vous disent les autres. Comprenez que la guérison n’est pas un voyage avec une date de fin et une date d’arrivée : c’est un processus, un chemin sans facilités où il ne faut pas regarder le paysage ou ce qui nous entoure : le regard se situe dans l’être lui-même

Enfin, ce qui n’est pas moins important, nous ne pouvons pas oublier que lors de ce processus de guérison, il est bon de ne pas renoncer à de la compagnie ; il faut choisir de bons compagnons de voyage. Choisir un bon professionnel qui nous guide lors de ce processus le rendra plus simple et nous aidera à comprendre qu’avant de recommencer à courir librement, une fois de plus, il faut réapprendre à marcher.

Y parvenir est possible. Cela prendra du temps mais nous atteindrons cet objectif.

Source: https://nospensees.fr/ Partagé par www.eveil.tv

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Le chemin du guerrier les 7 enseignements

développement personnel

La culture japonaise est millénaire et, tout au long de son histoire, a accordé une grande valeur aux qualités de combat. Le combattant japonais, à la différence de ceux d’autres pays ou continents, doit être empli de valeurs pour être digne. Le mot bushido parle précisément de cela et se traduit comme le chemin du guerrier.

Ce chemin du guerrier ou bushido parle d’un code éthique qu’appliquaient les samouraïs. Il contient une série de principes mais surtout sept valeurs qui devaient régir le comportement. On dit qu’il était enseigné aux membres de la classe dirigeante dès leur plus jeune âge.

Le chemin du guerrier est aussi connu sous le nom de code samouraï. Des principes du bouddhisme y sont condensés, ainsi que des principes du confucianisme et d’autres philosophies orientales. C’est, encore aujourd’hui, un précieux guide de vie. Voici les sept vertus et enseignements qu’il nous offre.

1. Le courage, une vertu indispensable pour être libre

Selon le chemin du guerrier, ce n’est que lorsque l’on a du courage que l’on peut être libre. C’est le courage qui permet de vivre pleinement, sans les attaches imposées par la peur. Le courage est nécessaire pour décider d’agir et surtout pour réaliser de grandes choses.

Le courage n’est pas une hardiesse aveugle. Le courage véritable doit être accompagné d’intelligence et de force. La peur existe mais nous ne devons pas la laisser nous vaincre. Au lieu de cela, nous devons la remplacer par le respect et la précaution. C’est de cette façon qu’émergera le vrai courage.

2. La courtoisie ne doit jamais manquer

Sur le chemin du guerrier, la courtoisie n’est pas simplement un ensemble de gestes aimables ou de bonnes manières. En réalité, il s’agit d’une vertu qui est étroitement liée au respect de l’autre, même s’il s’agit d’un ennemi.

 La courtoisie est, avant tout, un respect et une considération envers l’autre, quelles que soient les circonstances. Cela signifie ne pas être cruel et ne pas faire de démonstrations superflues de force ou de pouvoir. Il s’agit d’une vertu qui démontre un caractère et une grande force intérieure.

3. La compassion doit toujours être présente

La force et le pouvoir que l’on a doivent être employés pour faire le bien chez les autres. C’est ce que signale le chemin du guerrier, qui insiste par ailleurs sur l’énorme valeur de la solidarité. Il s’agit d’une caractéristique qui enrichit la force.

La compassion n’est pas seulement un sentiment: elle doit aussi se traduire par des actions concrètes. Dès que l’on peut aider quelqu’un, il faut le faire. Et si l’on n’a pas l’opportunité de l’aider, il faut partir à la recherche de cette possibilité.

4. La justice avant tout

Le chemin du guerrier dit que la justice n’a pas de demie teinte. Selon cette sagesse antique, la justice signifie simplement définir ce qui est correct et le différencier de ce qui ne l’est pas. Les choses correctes sont récompensées et les choses incorrectes sont punies.

Être juste signifie chercher à agir continuellement de façon correcte. Cela ne doit pas dépendre de ce que les autres disent mais de la personne elle-même. Chacun sait, au plus profond de son cœur, ce qui est juste ou non. On doit seulement suivre cette lumière qui émane de nous-même.

image pixabay

5. La loyauté est propre aux esprits forts et nobles

Ce que chacun dit ou fait lui appartient complètement. Par conséquent, les conséquences aussi. On doit donc avoir un grand sens de la responsabilité avant d’agir ou de s’exprimer.

La loyauté est, surtout, une loyauté envers soi-même. La capacité à être conséquent ou cohérent. C’est aussi un engagement envers les actes que l’on a réalisés et les mots que l’on a prononcés. La loyauté est propre aux plus forts et aux plus nobles.

6. Le mot et la sincérité

Pour les samouraïs, le mot a une immense valeur. On ne parle pas pour parler, on ne dit pas pour dire. Sur le chemin du guerrier, les mots sont totalement équivalents aux actes. Quand on dit quelque chose, c’est comme si on l’avait déjà fait.

Dans cette philosophie, on élimine la valeur d’une promesse. Celle-ci n’est pas nécessaire. Il suffit de dire que l’on fera quelque chose pour s’engager à le faire. Cela n’est possible que pour ceux qui sont entièrement sincères avec eux-mêmes et avec les autres.

7. L’honneur exalte l’être humain

Selon le chemin du guerrier, la plus grande des vertus est l’honneur. Être honorable signifie agir avec droiture, quelles que soient les circonstances. Respecter son devoir et s’attacher aux valeurs, sans prendre en compte si les autres l’approuvent ou non.

L’honneur est associé au respect que l’on ressent envers soi-même. Cela implique de ne pas permettre de tomber dans des comportements peu éthiques ou méprisables. L’honneur est si important dans cette philosophie que, si on le perd, la seule façon de le récupérer est de se donner la mort.

Le plus intéressant dans le chemin du guerrier est que les valeurs qu’il promeut restent encore vivaces dans l’actualité, étant donné qu’il s’agit d’un code éthique très ancien. Le monde serait très différent si, dans chaque conflit ou chaque confrontation, nous appliquions ces précieux principes des guerriers samouraïs.

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ÊTES-VOUS ANCRÉ ?

développement personnel

Quand on est ancré, on est centré

Plus on est ancré, plus on s’élève

L’enracinement est essentiel. Il nous permet :

  • D’équilibrer nos corps physique, mental et émotionnel ;
  • D’avoir un lien profond entre le ciel et la terre ;
  • D’augmenter notre capacité de guérison ;
  • De libérer plus facilement l’énergie bloquée qui est en nous. 

Si vous n’êtes pas ancré et solidement enraciné dans la terre, vous serez coupé du réel. De nombreuses personnes souffrent de ne pas être ancrées. Elles ne sont plus dans le « ici et maintenant », mais sont souvent perdues dans leurs pensées à ressasser le passé ou à se projeter dans l’avenir.

Il est difficile aujourd’hui d’être bien ancré car le monde actuel nous sollicite en permanence et nous conduit à être toujours par la pensée à plusieurs endroits en même temps. Le mode de vie moderne, le stress, les déplacements fréquents (voiture, train, avion, métro) font que nous n’avons plus une bonne prise terre. Nous sommes aussi de moins en moins en contact avec la nature, et nous sommes continuellement absorbés et sollicités par les informations qui nous viennent de nos smartphones, des écrans télé, de l’actualité …

L’ancrage va nous aider à revenir dans l’instant présent. Il va permettre une connexion énergétique entre votre corps et le centre de la terre. Il va également relancer la circulation des énergies telluriques dans le corps et permettre une meilleure élimination des énergies stagnantes.

Lorsque vous vous enracinez, les énergies usées ou stagnantes, qui sont dans votre corps, vont se libérer sous vos pieds en retournant dans la Terre. Si vous n’êtes pas ancré, les énergies usées vont s’accumuler et elles vont peu à peu vous affecter. Si tel est le cas, vous allez-vous sentir fatigué, souffrir de douleur et de maux physiques inhabituels, et vous sentir émotionnellement vidé.  

Vous n’êtes pas ancré ?

  • Quand vous êtes trop dans le mental.
  • Quand vous êtes stressé, en train de courir partout, débordé, surmené, submergé.
  • Quand vous pensez tout le temps aux évènements du futur qui pourraient arriver.
  • Quand vous êtes en train de ressasser, de ruminer. Quand vous êtes tout le temps dans le passé.
  • Quand vous avez des difficultés à vous concentrer sur une tâche présente parce que vous pensez soit au passé, soit au futur.
  • Quand vous êtes fatigué, épuisé.
  • Quand vous avez des angoisses, des peurs, des idées négatives.

Pourquoi s’ancrer ?

  • Pour soulager tout un tas de problèmes tels que migraines, stress, pensées négatives.
  • Pour être moins fatigué et moins angoissé.
  • Pour être serein et confiant ici et maintenant, peu importe l’endroit où vous êtes.
  • Pour vous sentir à votre place et vous sentir mieux dans votre corps.
  • Pour être plus présent à son environnement et son entourage, ne pas être à côté de la plaque.
  • Pour relancer la circulation des énergies. Pour lâcher prise plus facilement : accepter la vie et moins lui résister.
  • Pour accomplir plus facilement vos projets.
  • Pour s’élever spirituellement. 

Que faire pour rester enraciné ?

  • Marcher pieds nus sur la terre et visualiser l’énergie qui s’écoule le long de vos pieds jusque dans la terre.
  • Technique de visualisation : installez-vous confortablement dans un fauteuil, Inspirez et expirez. Visualiser des racines qui sortent de vos pieds et de votre chakra racine. Imaginez que ces racines se ramifient et s’enfoncent, de plus en plus profondément, dans la terre, jusqu’au milieu de la terre. Arrivé là, demeurez un instant, l’esprit vide, et ressentez cet enracinement. Inspirez et Expirez. Demandez à recevoir les énergies de la terre, les énergies telluriques, qui sont puissantes et chaudes. Celles-ci vont remonter par les racines, puis entrer dans la plante de vos pieds, dans vos jambes, vos cuisses, votre ventre et se répandre dans tout votre corps. Vous êtes, maintenant, parfaitement ancré et relié à la terre. Les énergies telluriques vous donnent de la puissance, de la confiance, et de la sérénité. Faites cet exercice tous les jours.

  • Se promener dans la nature, se connecter à la nature environnante.
  • Faire du jardinage. Travailler la terre avec vos mains.
  • Activités sportives : marche, course, yoga, Tai chi…
  • Portez sur vous des cristaux qui ancrent tels que : la tourmaline noire, l’obsidienne noire, l’onyx noire, le quartz fumé ou les Moki Balls (pour le recentrage énergétique).
  • Prendre des huiles essentielles : cèdre de l’atlas, patchouli ou vétiver. Mettre deux gouttes sous la plante des pieds ou une goutte sur les avants bras. On peut aussi le faire en olfaction.

        Yannick Tschanz, Thérapeute énergéticienne

Source: http://www.neobienetre.fr/

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Parler tout seul n’a rien de dingue, c’est même efficace

Tout le monde a déjà exprimé une pensée tout haut sans même forcément s’en rendre compte. Et si parler tout seul est si répandu, c’est bien parce que ce discours auto-dirigé a une utilité.

Parler tout seul peut parfois s’avérer très efficace.

Getty Images
Tout le monde a déjà exprimé une pensée tout haut sans même forcément s’en rendre compte. Et si parler tout seul est si répandu, c’est bien parce que ce discours auto-dirigé a une utilité.

La mère de Clémentine, 33 ans, a la fâcheuse habitude de commenter tout haut ce qu’elle fait. « C’est un flot continu de paroles, comme si la télé était allumée. » Héloïse, 26 ans, aussi: « J’aime bien me dire à moi-même ce que je fais. » Bien sûr, tout le monde n’est pas constamment en train de parler tout seul. Mais cela nous est tous arrivé, dans des tas de situations.
Un phénomène courant

Pour Jacques, 60 ans, c’est entre autres quand il a égaré quelque chose chez lui ou ne sait plus où il a garé sa voiture: « Il m’arrive de me dire: ‘D’habitude, je le mets là’, de réfléchir tout haut à la dernière fois que je l’ai vu. » Barbara, 27 ans, va, elle, se parler à voix haute quand elle est très stressée: « Je vais essayer de me calmer en me disant: ‘Tout va bien se passer…’. » Pour Nathalie, 24 ans, c’est quand il faut se motiver: « Pour toutes les choses que je n’ai pas envie de faire sur le moment, par exemple quand j’ai du mal à me préparer le matin, je me dis: ‘Allez!' » Quand elle commet une maladresse, les mots de Nathalie sont plus réprobateurs: « Je m’écrie ‘ça m’énerve’ ou ‘je suis une boloss’. »

Ces exclamations ou réflexions à voix haute ont surtout lieu quand ces personnes sont seules. Entre autres par peur du regard d’autrui, explique Barbara: « J’ai tendance à juger les personnes qui parlent en marchant dans la rue. Et donc à me taire brusquement si cela m’échappe alors qu’il y a des gens autour de moi. »

LIRE AUSSI >> « Se plaindre, c’est avant tout une manière de réclamer de l’amour »
Du ‘je’ au ‘tu’ en passant par un ‘on fédérateur’

Parler tout seul peut en effet être perçu comme un signe de folie, confirme Sébastien Dupont, psychologue auprès d’enfants, d’adolescents et de leurs familles, entre autres auteur de Seul parmi les autres: le sentiment de solitude chez l’enfant et l’adolescent (éd. Érès): « En psychiatrie, le soliloque, c’est-à-dire le discours qu’une personne seule se tient à elle-même, est l’un des premiers signes diagnostiques isolés de la schizophrénie ou de certaines formes de psychose. Il est donc très associé dans l’imaginaire à la folie. »

Mais, rassurez-vous, ni l’absence d’un destinataire tiers ni l’utilisation du « tu » pour se parler à soi-même ne fait automatiquement de cette prise de parole un signe de schizophrénie, poursuit le psychologue: « Pour Freud, on a ce dialogue car il y a plusieurs instances à l’intérieur de nous. C’est comme un dialogue entre plusieurs dimensions de notre personnalité. Le ‘tu’ dénote d’ailleurs d’une position d’extériorité. La personne s’identifie alors à son surmoi. »

C’est peut-être pour cela que Sarah varie entre ‘je’, ‘tu’ et ‘on’: « Quand le regard est critique, par exemple si je fais tomber quelque chose ou si je suis maladroite, ce sera plutôt un ‘tu’ qui me réprimandera: ‘Ah ben bravo, t’es bien avancée, là…’ Et je peux aussi dire mon prénom, histoire de me tirer les oreilles: « Tu soûles Sarah!’ Alors que si je dois me motiver ou me remémorer une liste de choses à faire, c’est un ‘je’ ou un ‘on’ fédérateur. » Barbara aussi est parfois adepte du ‘on’, « comme si c’était une équipe ». Tandis qu’Héloïse se dit que le ‘tu’ « fait peut-être office de coach: ‘OK, la première étape, c’est fait. Du coup, tu peux passer à la suite.' »
Éclaircir ses idées avec des mots

« Se parler à soi-même et à haute voix répond au besoin de focaliser son attention et de se concentrer », relève Martine Batt, professeure en psychologie à l’Université de Lorraine, spécialisée en psychologie de la communication. « Il se manifeste dès l’enfance », souligne Agnès Florin, professeure de psychologie de l’enfant et de l’éducation à l’Université de Nantes, auteure de l’ouvrage Le développement du langage (Dunod, avril 2016): « Pour une tâche qui doit être coordonnée, comme lacer ses chaussures, l’enfant va s’y prendre étape par étape et se parler à lui-même pour se concentrer, il réfléchit en parlant et en agissant. Comme chez l’enfant, le fait, à l’âge adulte, d’avoir une parole orale pour soi lors d’une action qui nécessite de la vigilance ou de la précision permet de clarifier et de valider des décisions et d’atteindre certains objectifs. »

Passer par la forme verbale aide en effet à structurer la pensée avec le langage, ajoute Martine Batt. « Le fait que cette dernière soit mise en mots veut dire que c’est finalisé du point de vue de la conceptualisation, que l’on a trouvé le mot qui exprime précisément la pensée. Cela revient à éclaircir ses idées. »

Ce n’est pas pour rien que « le langage intérieur et silencieux est un phénomène très fréquent. Les études actuelles montrent que sa fréquence d’occurrence est en moyenne de 26%, signale Marcela Perrone-Bertolotti, enseignante-chercheuse en psychologie et neuro-cognition à l’université de Grenoble. Cela veut dire que nous passons un quart de notre vie éveillée à nous parler à nous-mêmes. »
Se recentrer dans l’instant présent

Mais pourquoi alors se mettre à penser tout haut et ne pas juste parler dans sa tête? « A l’oral, on ne peut pas tout dire en même temps, contrairement à ce qui se passe dans la tête, où les pensées viennent simultanément, sont confuses et peuvent s’exclurent les unes les autres. Il faut choisir les mots, énoncer les choses dans l’ordre, les mettre à plat, ce qui nous aide à organiser notre pensée », pointe Sébastien Dupont. C’est ce qu’indique Nathalie: « Dans une situation où tout est embrouillé dans ma tête, parce que je pense toujours à trois mille choses en même temps, penser à voix haute me permet de faire le tri. »

Prendre la parole plutôt qu’écouter sa petite voix intérieure remet ainsi dans l’instant présent en convertissant la pensée en action et en la rendant plus percutante. « Cela recentre, rend la situation plus concrète, note Barbara. Après tout, on est dans l’action puisque l’on parle. » Ce que confirme Martine Batt: « Dire les mots, même si ce n’est rien que pour soi, c’est un passage à l’acte. Au moment de l’énonciation, on inscrit ce qu’on dit dans une réalité. »

Entendre sa propre voix pour mieux penser

Sans compter que « créer un son et entendre ses propres mots permet de mieux se représenter sa pensée, ne serait-ce que parce que deux sens sont stimulés. Cela résonne différemment », précise Martine Batt. C’est ce qu’avait révélé une étude en 2011, qui nous apprenait que nommer à haute voix le produit que l’on cherchait dans le rayon d’un magasin aidait à le trouver plus vite, l’expression verbale et orale augmentant l’acuité visuelle

Un constat que corrobore la chercheuse Marcela Perrone-Bertolotti: « Écouter sa propre voix pourrait permettre de mieux encoder l’information. Ce n’est pas seulement ce que l’on a voulu dire mais aussi ce qu’on a entendu. On stimule l’audition, ce qui va déclencher des cascades de réactions dans la région cérébrale allouée à cette information et rendre ainsi accessible la pensée à la conscience. » C’est bien pour cela qu’Héloïse arrive davantage à penser en paix à voix haute: « Je réfléchis mieux quand je m’entends parler. »

De quoi regarder avec plus de bienveillance les gens qui pensent tout haut. Et peut-être même d’oser parler seul soi aussi. « Je le conseille à mes étudiants quand ils ne comprennent pas quelque chose: lisez à haute voix. Le fait de fractionner la phrase, d’entendre les mots va permettre de mieux structurer votre pensée », appuie Martine Batt. Mais avec retenue: « Parler pour soi-même est intime, on dévoile le cheminement de sa pensée privée puisqu’on est en train de l’élaborer. »

Source https://www.lexpress.fr Partagé par www.eveil.tv

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Le petit guide essentiel de la gratitude

développement personnel

Être reconnaissant, pratiquer la gratitude. Voilà une façon simple et efficace de reconsidérer positivement sa vie dans son ensemble et ses propres actions, et d’augmenter sensiblement sa satisfaction de vie et son bien-être.

Le manque de confiance en soi amène généralement une attitude négative, pessimiste et défaitiste.

Plutôt que de s’attaquer frontalement à ce manque de confiance, il pourrait être judicieux de s’en prendre en premier lieu à cette attitude négative.

Pourquoi ? Et bien pour 2 raisons essentielles :

  1. la première est qu’il est plus simple et plus facile de changer une attitude négative en une attitude positive que de conquérir une grande confiance en soi ;
  2. la seconde est qu’une attitude positive est d’une grande aide pour retrouver confiance en soi.

Un premier pas vers une telle attitude positive, c’est la gratitude, c’est à dire être reconnaissant de ce que nous possédons et de ce que nous faisons, de même que des événements qui nous arrivent.

D’une manière générale, ce qui est négatif (les mauvaises nouvelles, les mauvaises circonstances, les échecs, …) nous marque plus que ce qui est positif. La nature humaine est ainsi faite. Si en plus nous y ajoutons une attitude et un état d’esprit négatif propices à les cultiver …

La gratitude permet, à l’inverse, de cultiver une attitude positive. Sa force vient du fait qu’elle est au carrefour entre le monde extérieur (les autres, les événements, le résultat de nos actions, …) et notre monde intérieur (notre perception, nos sentiments, …).

Elle nous permet de dicter la façon dont nous interprétons et ingérons les circonstances extérieures plutôt que de nous laisser influer par eux.

Les bienfaits de la gratitude

Cicéron désignait la gratitude comme la mère de toutes les vertus.

Je ne sais pas si la gratitude mérite un tel statut. Mais les récentes découvertes scientifiques tendent à montrer qu’elle est d’une toute première importance pour une satisfaction de vie accrue.

Jusque durant les années 1990, la psychologie avait tendance à s’occuper essentiellement des troubles psychologiques. La psychologie pouvait nous expliquer comment être moins malheureux (ou malade …) mais pas comment être plus heureux.

Puis, sous l’impulsion de plusieurs praticiens, dont le Docteur Martin Seligman ou le Docteur Mihály Csíkszentmihályi, le champ d’investigation de la psychologie a évolué et s’est tourné vers la psychologie positive. La science s’attelait enfin à nous expliquer comment être heureux !

Et donc ?… Qu’est-ce que la recherche nous apprend ?

Pour parler plus spécifiquement de la gratitude, elle est reconnue comme ayant 5 bénéfices majeurs :

  1. un bonheur accru : la pratique active de la gratitude permet d’accroître la sensation de bonheur de 25 % (si tant est que cela mesure …) ;
  2. un bonheur durable : la pratique active de la gratitude pendant 3 semaines a des effets notables pendant quelques mois (jusqu’à 6 🙂 ) ;
  3. un matérialisme réduit : les biens matériels sont moins importants, moins recherchés et moins significatifs de votre réussite ;
  4. une sociabilité accrue : être reconnaissant rend plus empathique, serviable et disposé à être disponible pour les autres ;
  5. une meilleure santé : cultiver la gratitude diminue le stress, améliore la qualité du sommeil, augmente la capacité de concentration, …

De plus, une vie sociale plus active et nourrissante est en soi une source de bien-être et de satisfaction accrus.

À la lumière de tout cela, il ne fait aucun doute que vous devriez vous engager sur la voie de la gratitude.

Tenir un journal de gratitude

La méthode la plus simple est de tenir un journal de gratitude.

Le conseil souvent donné est de remplir un tel journal tous les jours. Or la recherche scientifique nous montre que vous n’avez pas besoin d’être aussi assidu : faire cela 4 fois par semaine est suffisant pour ressentir les premiers effets.

À l’inverse, il est important d’être constant sur la durée : il est nécessaire de faire cela 3 semaines de suite. Et vu que 3 semaines semble être un minimum pour prendre une habitude, il est fort probable que vous preniez le pli définitivement 🙂

Vous pouvez par exemple faire cet exercice :

  • le mardi, le jeudi et la samedi pour ressortir le positif par paire de journées ;
  • le dimanche pour prendre de la hauteur et faire la même chose pour la semaine ou le mois écoulé.

Une autre organisation pourrait être :

  • le mardi et le jeudi pour ressortir le positif par paire de journées ;
  • le vendredi pour ressortir le positif de la journée écoulée puis de la semaine (orientation professionnelle) ;
  • le dimanche pour ressortir le positif du week-end (orientation privée) puis prendre de la hauteur et évaluer votre semaine dans son ensemble.

Ou alors 1 jour sur 2, tout simplement. Sans se soucier de la semaine, du week-end ou du mois.

Essayez et adoptez le rythme qui vous convient le mieux.

Comment bien pratiquer la gratitude

Quelques derniers conseils.

Privilégier la qualité à la quantité

Il n’est pas nécessaire de lister des dizaines d’éléments. En fait, il est préférable d’en lister moins mais de vous assurer que vous êtes réellement reconnaissant et que vous pouvez aussi expliquer pourquoi vous êtes reconnaissant, pourquoi c’est significatif et important pour vous. Indirectement, cela vous permet aussi de vous connaître encore mieux et de comprendre encore mieux ce qui a de l’importance pour vous.

Privilégier les personnes

Voilà qui entre en résonance avec la sociabilité …

L’exercice sera encore plus bénéfique si vous êtes attentif aux personnes de votre entourage. Il s’agit autant d’être reconnaissant des interactions avec votre entourage (comment vous les avez aidé ou comment eux vous ont aidé) que de ce qu’il peut leur arriver de positif. Par exemple, vous pouvez être reconnaissant du fait que votre partenaire ait pu obtenir une promotion alors que vous n’en bénéficiez pas directement et que vous n’y êtes pour rien. Mais vous êtes content pour lui/elle.

Se rappeler des surprises

N’oubliez pas les surprises et tous les événements inattendus. Il sont d’autant plus importants qu’ils sont associés à une émotion positive et heureuse. Ils ont donc un effet majeur sur votre bien-être. Se les rappeler est une excellente façon de faire perdurer leur effet.

Ne pas devenir accroc

Cela fait écho au premier conseil.

Il ne faut pas confondre « être reconnaissant de … » et « voir le positif partout ». Chercher le positif, c’est bien : cela permet de ne pas s’apitoyer longtemps. Par exemple, après une chute, vous pouvez vous féliciter de n’avoir qu’une fracture car cela aurait pu être bien pire. Mais il n’y a pas vraiment de quoi être reconnaissant outre mesure : une fracture reste une fracture. C’est handicapant et douloureux. Point. Bien sur, si cela touche votre enfant, c’est d’un tout autre niveau …

Pour prendre un exemple plus trivial, il n’y a pas à être reconnaissant de ne pas être obligé d’aller faire les courses ce soir 🙂

Conclusion

Les effets de la pratique régulière et prolongée de la gratitude a des effets bénéfiques sur votre niveau de bien-être et de satisfaction de vie, ainsi que sur votre santé plus généralement.

Prenez l’habitude, 1 jour sur 2 au minimum, de noter les événements de vos journées dont vous êtes le plus reconnaissant. Votre vie n’en sera que plus satisfaisante.

 

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