Utiliser ses 5 sens pour surmonter le stress

Utiliser ses 5 sens pour surmonter le stress est une stratégie très facile à appliquer. Il s’agit d’une manière très particulière de synchroniser les canaux de l’odorat, de la vue, de l’ouïe, du goût et du toucher avec des stimuli relaxants, tout en les purifiant, afin de calmer notre esprit et harmoniser la rumeur de nos pensées. Il s’agit d’une stratégie défensive par laquelle stimuler notre cerveau pour lui apporter paix et bien-être.

Les actions les plus simples sont parfois celles qui nous offrent les meilleurs résultats. Nous savons que pour affronter le stress nous disposons de diverses théories, thérapies et perspectives afin d’apprendre à prioriser ou améliorer l’orientation de nos pensées. Toutes sont valables, mais les stratégies les plus élémentaires sont parfois celles qui nous aident le plus et le mieux à un moment donné.

“Nos expériences et nos émotions peuvent changer en fonction de la façon dont nous utilisons nos sens. Si nous leur permettons d’interagir avec des stimuli relaxants, nous trouverons une harmonie intérieure.”

L’une d’entre elles repose simplement sur la bonne utilisation de ce que la nature nous a offert : notre corps, notre organisme, nos merveilleux 5 sens. Nous devons préciser que nous les négligeons parfois, que nous oublions le pouvoir qui est en eux. En effet, nous ne sommes pas toujours conscients de toutes les informations qu’ils nous transmettent, de leur énergie et de cet univers fascinant de sensations et de perceptions avec lequel nous organisons notre monde.

La Gestalt thérapie, par exemple, nous rappelle que nos sens sont la porte d’entrée de nos émotions. Grâce à eux, nous explorons, relions et permettons à une information d’entrer, et non une autre. Amener tous nos sens à être en harmonie nous permettrait d’atteindre la réconciliation interne, nous permettant de mieux gérer le stress. Voyons à présent comment y parvenir.

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1. Comment utiliser les 5 sens pour surmonter le stress : l’odorat

L’odeur de l’herbe fraîchement coupée, de la mer au crépuscule, l’odeur du gâteau de notre grand-mère,celle de la terre humide, des crayons de couleur lorsque nous allions à l’école … Tous sont des ancrages directs avec notre passé ou vers un moment agréable de notre passé. Il en est ainsi en raison d’un fait aussi concret que fascinant : l’odeur ouvre souvent la porte de notre monde émotionnel.

Plus encore, notre cortex olfactif primaire est relié à l’hippocampe et à l’amygdale, deux structures cérébrales intimement liées aux émotions. Par conséquent, l’aromathérapie a toujours été d’une grande aide afin de mieux gérer le stress, nous faisant entrer en contact avec certains parfums relaxants.

Certains d’entre eux seraient :

  • La lavande
  • La vanille
  • L’eucalyptus
  • La menthe
  • L’odeur du thé au jasmin
  • L’odeur du géranium
  • L’arôme de la mélisse
  • L’huile essentielle de Ylang Ylang

2. Les couleurs qui relaxent

Lorsqu’il s’agit d’utiliser les 5 sens pour surmonter le stress, nous ne pouvons pas sous-estimer celui que nous utilisons le plus : la vue. Croyons-le ou non, notre environnement et le manque d’équilibre, ainsi que le désordre ou la présence de certaines couleurs dominantes peuvent intensifier le sentiment de stress et d’anxiété.

Nous devons parvenir à ce que nos scénarios quotidiens présentent systématiquement quelque stimuli visuel relaxant : là où nous pourrons reposer nos yeux de temps à autre. Nous réaliserons quelques propositions à continuation.

  • Mettre une plante avec des fleurs sous la fenêtre que nous avons le plus prêt
  • Placer des tableaux ou des affiches montrant les rivières, les océans, la pluie, les lacs…
  • Il existe par ailleurs des études qui révèlent que la couleur bleue est la plus thérapeutique, celle qui génère le plus de calme et de bien-être

3. Le goût pour combattre le stress

Il est tout à fait possible que de nombreux lecteurs pensent que peu de choses peuvent être autant relaxantes que de satisfaire notre palais avec une bonne tasse de chocolat, ou toute autre chose que constitué de ce précieux ingrédient. Il convient toutefois de nuancer cela : lorsqu’il s’agit de réduire le stress par le goût, nous devons savourer, autrement dit manger lentement, saliver, profiter sans hâte, arrêter l’horloge…

Ainsi, et avant de recourir aux bonbons exclusivement, il existe d’autres options alimentaires plus adaptées pour traiter le stress :

  • Banane.
  • Amandes
  • Saumon

  • Avocat
  • Raisin
  • Avoine
  • Pommes
  • Thé vert
  • Myrtille

4. Le son de l’harmonie, le calme du silence

Nous vivons dans un monde surchargé de sons de toutes sortes, de sons qui dépassent souvent les décibels autorisés et qui nous empêchent “d’écouter” cette chose précieuse et cathartique pour notre cerveau : le silence.

Lorsqu’il s’agit d’utiliser les 5 sens pour surmonter le stress, nous ne pouvons pas négliger notre audition. Ainsi, et pour parvenir cette relaxation nécessaire, nous pouvons choisir deux stratégies. La première consiste à écouter de la musique et des chansons qui génèrent certains types d’émotions, telles que la joie, la nostalgie, la motivation, le sentiment de vaincre

L’autre stratégie serait basée sur l’écoute de sons relaxants, tels que la pluie, le chant des baleines, le son blanc, le vent dans la forêt, etc.

5. Le toucher, les sensations qui nous font nous sentir en vie

Notre peau est une surface constituée de milliers de récepteurs qui aspirent à être stimulés. Une caresse, l’eau chaude, la brise marine, des draps propres, la sensation de flotter en nageant dans une piscine, le câlin d’un être cher qui nous enveloppe pour atteindre notre âme … L’être humain a besoin de contact, la peau a besoin d’être agréablement stimulée chaque jour, et par conséquent, il est essentiel que nous nous “offrions” ces expériences chaque fois que nous le pouvons.

Tout manque de stimulation de notre peau génère un appétit sensoriel. Nous nous sentons vides et le sentiment de stress s’intensifie. Cependant, quelque chose d’aussi élémentaire que de prendre une douche relaxante ou de serrer nos proches dans nos bras plusieurs fois par jour, éteins un certain nombre de nos peurs, de nos tensions et de nos angoisses.

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Sincérité et sincéricide : quelle est la différence ?

Est-il bon de toujours dire la vérité ? La sincérité des personnes est-elle est réellement valorisée ? Quand parlons-nous de sincérité et quand parlons-nous de sincéricide ? Parler de « sincéricide » évoque le fait de dire la vérité sans prudence, sans limites, sans tenir compte de ce que ressent ou de ce que désir l’autre. En clair, nous pourrions dire que la sincérité appliquée sans intelligence peut occasionner des blessures non nécessaires.

Le meilleur serait d’avoir recours à la vérité pour aider et à la sincérité pour construire, mais jamais pour détruire ou faire tomber les autres. Ayons à l’esprit que la vérité est une arme très puissante, que ne doit pas manquer d’empathie et d’intelligence sociale.

D’autre part, il se peut que lorsque nous avons recours à un sincéricide nous disions réellement la vérité, sans mensonges, mais lorsque nous le faisons sans prendre compte de l’effet que cela peut avoir sur l’autre ou uniquement pour nous défouler, nous n’agissons pas correctement et nous n’employons pas la vérité comme nécessaire. Nous exprimons uniquement des réalités objectives qui blessent, et cela à des moments non adéquats.

Par conséquent, pour ne pas blesser faut-il mentir ? L’explication n’est pas si simple que le fait de dire la vérité ou de mentir, parfois, une vérité ne va servir à rien et va uniquement empirer la situation. La meilleure chose que nous puissions faire serait d’exprimer ce que nous souhaitons dire, mais avec sensibilité, en trouvant le moment et le contexte adéquat ou en cherchant la meilleure manière de le faire.

Qu’est ce qui se passe dans mon cerveau lorsque je mens ?

Une étude publiée dans le magazine Neuroscience démontra que lorsque nous mentons, l’amygdale, l’aire qui travaille dans notre cerveau lorsque nous réalisons cette action, diminue son activation à mesure que nous mentons. En fait, cela veut dire qu’elle se désensibilise face à la répétition d’une telle action.

Avec cela, nous pouvons faire la conclusion suivante : en mentant, nous obligeons notre cerveau à se relaxer et à s’habituer à ne pas dire la vérité. Cependant, notre fonction n’est pas dans le fait de mentir, mais dans le fait d’apprendre à sélectionner et à transmettre la vérité. Nos relations sociales ne résisteront pas si nous ne mettons pas de filtres dans notre communication, indépendamment du fait que le message que nous transmettons s’empare ou non de la réalité.

Comme nous l’avons signalé, le sincéricide n’améliore pas nos habilités, n’améliore pas non plus notre estime personnelle, et ne nous aide pas à améliorer nos relations sociales. Ce qui nous aide en revanche est la sensibilité. Certaines vérités doivent être transmises avec la délicatesse avec laquelle une plume se pose, d’autres doivent être gardées jusqu’à ce qu’arrive le bon moment, d’autres ne doivent jamais être partagées car elles ne sont pas d’un grand intérêt et avec d’autres il est nécessaire de réaliser une communication graduelle, afin que la personne ait le temps de l’assimiler.

Ceux qui savent exprimer ce qu’ils ressentent sans blesser sont les vrais

héros, ce sont ceux qui prennent le temps de mesurer leurs mots et d’améliorer l’environnement ou les personnes qui les entoure grâce à leurs actions.

Est-il bon de toujours dire la vérité ou est-ce un sincéricide ?

La psychologue Claudia Castro réalisa une étude cognitive sur le mensonge et affirma le faut qu’au cours de la journée nous disons au minimum un ou deux mensonges, peu importe qu’ils soient grands ou petits ; mais nous les utilisons pour transformer la réalité en notre faveur.

Nous connaissons tous l’affirmation qui dit que les personnes ivres ou les enfants disent toujours la vérité. Cela se passe lorsque nos systèmes cérébraux de censure et d’inhibition sont relaxés, en étant soûls ou lorsque nous sommes jeunes. Chez les petits, ces systèmes ne fonctionnent pas du tout comme chez l’adulte : ils se forment. Cependant, notre capacité cérébrale ainsi que la société nous préparent à occulter la vérité ou à la masquer avec l’intention de contrôler son impact.

« Ce qui devrait prévaloir ne devrait pas être le fait d’être 100% sincère, mais celui de ne jamais dire le contraire de ce que nous pensons. »

-Carmen Terrasa-

Ceux qui ont de bonnes capacités sociales sont ceux qui savent être sincères, mais sans blesser. Il ne s’agit pas de mentir, mais de transmettre l’information de manière adéquate. Il ne s’agit pas d’être le plus sincère, mais celui qui communique le mieux la vérité. Le mieux est de continuer d’être fidèles à nous-mêmes sans oublier le mal que nous pouvons faire aux autres. La vérité, transmise avec intelligence est motivée par la bonne intention, sera toujours productive.

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9 signes qui indiquent que vous devriez laisser partir certaines personnes de votre vie

par Magali Caille

Il est vrai que c’est courageux de s’accrocher, mais souvent c’est lâcher prise et aller de l’avant qui nous rend plus fort et plus heureux.

Voici 9 signes qui indiquent que vous devriez laisser partir certaines personnes de votre vie

1. On ne vous donne jamais l’occasion de dire ce que vous pensez. – Parfois, une dispute peut sauver une relation, mais le silence peut la briser. Exprimez-vous pour ne pas avoir de regrets.

La vie ne consiste pas à rendre les autres heureux. La vie consiste à être honnête et à partager votre bonheur avec les autres.

2. Vous êtes souvent obligé de sacrifier votre bonheur. –  Il est toujours préférable d’être seul et de garder sa dignité au lieu d’être dans une relation qui vous oblige constamment à sacrifier votre bonheur et votre amour-propre.

3. Vous n’aimez pas votre situation actuelle, la routine, le travail, etc. – Il vaut mieux échouer à quelque chose que vous aimez que réussir à faire quelque chose que vous détestez. La meilleure chose que vous pouvez faire dans la vie est de suivre votre cœur. Prenez des risques.

Ne faites pas que des choix sûrs et faciles parce que vous avez peur de ce qui pourrait arriver. Si vous le faites, il ne se passera jamais rien. Il faut tenter sa chance, faire des erreurs, et apprendre des leçons.

4. Quelqu’un s’attend à ce que vous soyez quelqu’un que vous n’êtes pas. – Ne changez pas qui vous êtes pour quelqu’un d’autre. Il est plus sage de perdre quelqu’un pour rester comme vous êtes , plutôt que de rester avec cette personne en étant quelqu’un que vous n’êtes pas.

Parce qu’il est plus facile de réparer un cœur brisé que de reconstituer une identité brisée.

5. Les actions d’une personne ne correspondent pas à leurs mots. – Tout le monde mérite quelqu’un qui l’aide à attendre demain avec impatience. Si quelqu’un a l’effet contraire sur vous, parce qu’il est constamment incompatible et que ses actions ne correspondent pas à ses mots, il est temps de le laisser partir. Il vaut mieux être seul que mal accompagné. N’écoutez pas ce que les gens disent, regardez ce qu’ils font. Vos vrais amis se révéleront lentement au fil du temps.

6. Vous vous surprenez à forcer quelqu’un à vous aimer. – N’oublions pas que nous ne pouvons pas forcer qui que ce soit à nous aimer. Nous ne devons pas demander à quelqu’un de rester lorsqu’il veut partir. La fin d’une relation n’est pas la fin de votre vie.

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Ce devrait être le début d’une compréhension que l’amour part parfois pour une raison, mais ne part jamais sans leçon. Si quelqu’un vous aime vraiment, il ne vous donnera jamais une raison d’en douter. N’importe qui peut entrer dans votre vie et dire à quel point il vous aime, mais il faut quelqu’un de vraiment spécial pour rester dans votre vie et prouver combien il vous aime. Parfois, il faut un certain temps pour trouver la bonne personne, mais la bonne personne vaut toujours la peine d’être attendue.

7. Votre relation est basée strictement sur l’attraction physique. – Être beau, c’est plus que ce que les autres perçoivent de vous en un seul coup d’œil. Il s’agit de ce pour quoi vous vivez. Il s’agit de ce qui vous définit. Il s’agit de la profondeur de votre cœur et de ce qui vous rend unique.

Il s’agit d’être qui vous êtes et de vivre votre vie honnêtement. Il s’agit de ces petits caprices qui font votre personnalité. Les gens qui sont attirés par vous à cause de votre joli visage ou de votre joli corps ne resteront pas à vos côtés pour toujours. Mais les gens qui peuvent voir combien votre coeur est beau ne vous quitteront jamais.

8. Quelqu’un brise continuellement votre confiance. – L’amour signifie donner à quelqu’un l’opportunité de vous faire du mal, mais en lui faisant confiance. Lorsque vous faites complètement confiance à une personne, sans aucun doute, vous obtiendrez automatiquement l’un des deux résultats – un ami pour la vie ou une leçon pour la vie.

De toute façon, il y aura un résultat positif. Soit vous confirmerez le fait que cette personne tient à vous, soit vous aurez l’opportunité de l’éliminer de votre vie et de faire de la place pour ceux qui vous aiment.

9. Quelqu’un néglige continuellement votre valeur. – Quand vous vous donnez à quelqu’un qui ne vous respecte pas, vous perdez des morceaux de votre âme que vous ne retrouverez jamais. Il arrive un moment où vous devez lâcher prise et arrêter de courir après certaines personnes.

Si quelqu’un vous veut dans sa vie, il trouvera un moyen de vous faire une place Parfois, vous avez juste besoin de lâcher prise et d’accepter le fait qu’ils ne vous aiment pas comme vous les aimez. Laissez-les quitter tranquillement votre vie. Lâcher prise est souvent plus facile que de tenir le coup. Nous pensons que c’est trop dur de lâcher prise, jusqu’à ce que nous le fassions réellement.  Puis nous nous demandons: « Pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt? »

La seule chose que vous ne devriez jamais abandonner, c’est l’espoir. N’oubliez jamais ce que vous méritez et continuez à avancer. Un jour, toutes les pièces du puzzle se rassembleront. Des choses inimaginables se passeront dans votre vie, même si tout ne se passe pas exactement comme vous l’aviez prévu.

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Certaines personnes ne se laissent-elles pas aider, découvrez les raisons ..

Nous avons tout rencontré plus d’une fois des personnes auxquelles il est difficile de donner un coup de main car elles ne se laissent pas aider. Le plus habituel est qu’elles correspondent à l’un de ces deux cas : soit elles font partie des personnes qui sont disposées à aider tout le monde mais qui ont du mal à recevoir de l’aide, soit il s’agit de personnes qui ont un graveproblème et qui, même dans ce cas, n’acceptent l’aide de personne.

Dans les deux cas, la situation est très frustrante pour les autres. Ceux qui croisent des personnes comme cela ne comprennent pas pourquoi elles ne se laissent pas aider alors qu’elles en ont besoin. L’affaire devient parfois irritante et pourrait être interprétée comme une négligence ou un manque de volonté pour solutionner les problèmes.

“Le plus grand spectacle est un homme s’efforçant de lutter contre l’adversité; mais il y en a un autre plus grand: voir un autre homme lui porter secours.”

-Oliver Goldsmith-

Le fait est que les choses ne se déroulent presque jamais ainsi. Les raisons pour lesquelles certaines personnes ne se laissent pas aider résident dans un problème de fond. Même si elles souffrent et ont besoin des autres, elles ont beaucoup de mal à accepter de recevoir de l’aide. Ce peut être à cause d’un blocage inconscient ou simplement parce qu’elles ont du mal à reconnaître qu’elles ont besoin de changer.

Ceux qui aident tout le monde mais ne se laissent pas aider

Il est relativement fréquent de voir que ceux qui aident tout le monde ont des problèmes pour demander ou accepter l’aide des autres. Il s’agit de personnes qui ont construit une identité à partir de laquelle elles peuvent donner, mais pas recevoir. Elles croient qu’elles ont le devoir de répondre aux besoins des autres alors qu’elles-même se débrouillent ou ignorent les leurs.

D’une façon ou d’une autre, elles ne se laissent pas aider par les autres parce qu’elles pensent que, de cette façon, elles trahiraient leur “mission” dans la vie, étant donné qu’elle serait incohérente avec l’image et la personne qu’elles veulent construire (totalement indépendante). Elles peuvent aussi avoir l’impression qu’accepter l’aide des autres suppose un dérangement pour ces derniers. En d’autres termes, leur causer des problèmes. Cela leur fait honte.

Il est aussi possible qu’elles ne se laissent pas aider parce qu’elles pensent que bénéficier de cette aide génère une dette que l’autre pourra réclamer quand il le souhaitera, pour n’importe quoi. Elles ne comprennent pas que les autres puissent être contents d’aider et que cela ne crée pas d’obligations de compensation. C’est pour cela qu’il est parfois nécessaire de le leur montrer, en faisant preuve d’affection.

Avoir besoin d’aide mais ne pas en accepter en retour

L’autre cas concerne ces personnes qui ne se laissent pas aider alors qu’elles traversent des situations très difficiles. Il est évident qu’elles ont besoin de l’aide des autres mais si quelqu’un essaye de les aider à sortir de leurs problèmes, elles rejettent cette personne. L’exemple le plus typique est celui d’une personne qui souffre d’une addiction. Le plus habituel est qu’elle refuse, parfois obstinément, d’accepter que d’autres lui donne un coup de main pour sortir de la situation dans laquelle elle se trouve.

Dans ces cas, il est normal que la personne n’admette même pas qu’elle a un problème. Elle se laissera donc encore moins aider. Une partie de son problème consiste précisément en la négation de ce dernier. Cela se produit avec les personnes souffrant d’addictions mais aussi avec celles qui souffrent de dépression, d’anxiété ou d’un autre trouble et qui n’en ont pas conscience ou en ont une vision biaisée.

Aussi étrange que cela paraisse, dans ce cas, le symptôme même est une réponse adaptative que la personne a construite pour supporter sa vie. Elle est “adaptative” dans le sens où elle lui permet d’interpréter la réalité d’une façon qui l’aide à aller de l’avant. Par exemple, une personne déprimée imagine qu’elle est triste parce qu’elle est plus sensible que les autres personnes et pas parce qu’elle est malade. Cependant, cette illusion lui permet d’expliquer sa vie et de continuer à la vivre, même au prix d’une grande souffrance.

Que faire avec ceux qui ne se laissent pas aider ?

Dans le premier cas, celui de ceux qui aident tout le monde mais ne se laissent pas aider, nous vous conseillons de contribuer à éclaircir la situation. Leur faire voir, avec affection, que notre aide naît d’une véritable estime. Et que pouvoir leur donner un coup de main est source de satisfaction et ne représente pas un sacrifice ou un grand effort.

Dans le second cas, celui de ceux qui ne se laissent pas aider alors qu’ils en ont besoin, la situation est un peu plus complexe. Il faut ici faire preuve de plus de patience et de tact. Être présent, s’intéresser à cette personne et essayer de l’accepter telle qu’elle est constitue une excellente clé pour que l’autre nous ouvre sa porte et nous laisse entrer. Le plus important est de ne pas céder à la tentation de leur mettre la pression pour qu’elles changent. Parfois, la préoccupation vis-à-vis de cette personne prend cette forme et notre intervention, pleine de bonnes intentions, finit par lui être nocive.

Il faut respecter les rythmes de chaque personne. La majorité du temps, elles ont besoin de temps pour comprendre qu’elles ont besoin d’aide. Dans les cas les plus graves, il convient de consulter un professionnel pour savoir comment nous pouvons être aidés de manière efficace.

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5 façons de faire face aux personnes toxiques

Toutes les personnes, individuellement, peuvent changer. Nous pouvons faire l’effort d’améliorer ce qui ne nous plaît pas. Cependant, nous ne pouvons pas changer les autres personnes. C’est quelque chose qu’il ne faut pas oublier lorsque nous sommes confrontés aux personnes toxiques. Face à eux, nous avons seulement deux possibilités : les éviter ou s’y confronter.

Beaucoup de personnes préfèrent fuir les personnes toxiques, mais quand vous n’avez plus le choix et que vous devez faire face à quelqu’un, le mieux est de chercher à le faire de manière intelligente. Finalement, les personnes toxiques trouvent toujours le moyen de dilapider leur négativité, en la transmettant aux autres personnes, en créant un mauvais sentiment et environnement, en ruinant l’instant.

Les personnes toxiques défient la logique des relations personnelles. De fait, certaines, même si c’est inconscient dans la plupart des cas, ne sont heureuses que quand elles créent un impact sur les autres. D’autres obtiennent une satisfaction en créant le chaos dans la sensibilité d’autrui. Dans tous les cas, les personnes toxiques créent inutilement de la complexité, des conflits et du stress.

“Les personnes toxiques se collent à vous comme des blocs de béton attachés aux chevilles, et ensuite vous invitent à nager dans leurs eaux empoisonnées.”

-John Mark Green-

Voici les 5 façons intelligentes de faire face aux personnes toxiques 

1. Face personnes toxiques l’intelligence émotionnelle

Cela fait longtemps déjà que les études ont démontré que le stress peut avoir un impact irréversible et négatif sur le cerveau. Même si c’est pendant quelques jours, l’exposition au stress compromet l’efficacité des neurones dans l’hippocampe, une zone importante du cerveau, responsable du raisonnement et de la mémoire. Si le stress dure pendant plusieurs semaines, il finit par endommager les dendrites neuronales (les petits ‘bras” que les cellules cérébrales utilisent pour communiquer entre elles). S’il se prolonge pendant plusieurs mois, le stress peut détruire des neurones de manière permanente.

Une recherche récente du Département de Psychologie Biologique et Clinique de l’Université de Friedrich Schiller en Allemagne a montré que l’exposition à des stimulations qui provoquent de fortes émotions négatives -le même type d’exposition que l’on obtient aux côtés des personnes toxiques- fait que le cerveau des sujets a une réponse massive au stress.

Ainsi, à travers la négativité, la cruauté ou la victimisation (entre autres stratégies), les personnes toxiques provoquent chez les autres un état de stress qui requiert une gestion émotionnelle intelligente pour disparaître.

La clé pour agir de manière intelligente face à ce type de comportements toxiques est de cultiver votre capacité à gérer vos émotions et de rester calme sous la pression. De fait, l’une des plus grandes qualités de ceux qui savent gérer leur stress est leur capacité à neutraliser les effets des personnes toxiques.

“Faites fi de l’opinion des gens toxiques, libérez-vous de leurs critiques et vous vous libérerez de chacun de leurs mots et de leurs actions. N’idéalisez pas. N’attendez rien de personne.”

-Bernado Stamateas-

2. Ignorez les gens toxiques qui recherchent votre attention

Les gens toxiques ne portent pas une insigne qui permette de les distinguer. Mais, nous savons tou-te-s qui autour de nous sont les sources de conflits et de mal être. Nous savons le mal qu’ils peuvent causer. Nous savons aussi par où ils nous attaquent. Vous savez qui vous cherche, et vous savez aussi qui vous trouve. Et quand on vous trouve, ici même, dans ce lieu, vous savez que vous êtes perdu-e.

Si, quelle qu’en soit la raison, vous ne pouvez pas éviter cette personne toxique, alors essayez de ne pas tomber dans ses filets. Vous savez qu’elle va rechercher votre attention, qu’elle va vous provoquer. Ne vous laissez pas “embrouiller”. Faites en sorte qu’elle ne vous trouve pas. Ne vous laissez pas provoquer par ses interruptions, ses commentaires ou ses actions. Soyez bienveillant-e. Soyez patient-e. Prêtez-lui le moins d’attention possible. Mordez-vous la langue si c’est nécessaire pour que son venin ne vous atteigne pas. Soyez assertif-ve s’il est nécessaire de marquer une limite.

“Partagez des choses uniquement avec ceux qui peuvent vous donner des informations et du soutien. Quand vous rencontrez des gens négatifs, fermez la bouche.”

-Israelmore Ayivo-

3. N’acceptez pas le comportement d’une personne toxique : évitez la contagion

La caractéristique principale de la toxicité est qu’elle est contagieuse. C’est ce qui arrive avec les gens toxiques : leur attitude se transmet. Si vous répondez avec un comportement toxique, vous avez perdu la bataille. Même si cette personne toxique parvient à trouver le bouton de votre culpabilité, tout n’est pas perdu. Rester calme devant son pire venin, l’injection de la culpabilité, est possible.

Que ce soit possible ne signifie pas qu’il est facile d’ignorer les demandes d’attention d’une personne toxique. De fait, les gens toxiques ont souvent tendance à ridiculiser la personne en public quand ils ne parviennent pas à la confrontation directe, s’ils ont opté pour cette méthode. C’est pour cela que garder le contrôle sur ses émotions est essentiel dans une telle situation.

D’autre part, maintenir une distance émotionnelle demande de la conscience. Vous ne pouvez pas toujours empêcher les autres d’appuyer sur vos points sensibles. Quand cela arrive, vous devez surmonter vos peurs et vos complexes, et aller de l’avant. D’une certaine manière, mieux vaut ignorer ce qui s’est passé, car il sera ainsi plus facile de contrôler vos émotions. Mais il y a une autre option : défendre vos limites.

“Celui qui disqualifie a pour objectif de contrôler notre estime de nous-mêmes, de nous faire croire que nous ne sommes rien face aux autres, pour pouvoir briller et devenir le centre de l’univers.”

-Bernardo Stamateas-

4. Mettez et défendez vos limites

Vous devez savoir que l’attaque d’une personne toxique ne sape pas votre dignité. De fait, votre dignité peut être attaquée et ridiculisée, mais vous ne pouvez jamais la perdre à moins que vous ne la donniez volontairement. Ainsi, vous n’avez pas à vous défendre avec des arguments mais à clarifier vos propres limites.

N’est pas offensé-e celui/celle qui veut, mais celui/celle qui peut. Si vous vous mettez sur la défensive, vous démontrez à l’autre qu’iel peut vous atteindre. Si vous posez vos limites, vous lui faites comprendre qu’il ne peut pas vous attaquer.

Face à une personne toxique, les raisonnements et les explications ne valent pas grand chose. Il faut clarifier les choses, avec fermeté et assertivité, pour que votre autorité dans vos propres décisions soient claires, et en même temps montrer votre responsabilité.

Sachez que pour établir une limite, vous devrez le faire de manière consciente et proactive. Si vous laissez les choses arriver naturellement, vous vous verrez dans l’obligation de vous retrouver systématiquement dans des conversations difficiles. Si vous établissez des limites, vous pourrez contrôler une grande partie du chaos provoqué par une personne toxique.

3. Pratiquez la compassion

Comme nous l’avons vu, face à quelqu’un de toxique, nous pouvons adopter une attitude d’attaque, une position sur la défensive ou simplement l’ignorance. Mais nul besoin de toujours faire cela. Parfois, cela a du sens d’être sympathique avec les personnes toxiques. Peut-être qu’elles traversent une période difficile, une situation émotionnelle qu’elles ne savent pas comment gérer.

Cependant il est triste de constater que le comportement toxique de quelqu’un est souvent une façon d’affronter une situation personnelle difficile. Bien sûr, ce n’est pas juste et honnête de faire payer sa douleur aux autres. Mais il n’y a pas non plus de soulagement personnel quand les autres sont blessés. Au fond, il n’y a pas toujours de la méchanceté, de la rancœur ou de la colère envers les autres dans le comportement toxique.

Cela ne signifie pas que vous devez tout laisser tout passer ou que vous devez tout accepter. Finalement, nous avons chacun nos propres problèmes, nos propres démons. Face à une telle situation, affrontez la situation avec compassion, en pardonnant. Sans suivre la même route et en marquant bien vos limites, bien sûr, mais sans tenir trop compte l’attitude de l’autre car ce n’est rien d’autre qu’une ombre de sa très douloureuse et agitée vie intérieure.

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Frédérique Shine Médium
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7 étapes pour oublier un amour impossible

développement personnel

Un amour impossible est celui qui ne parvient jamais à se transformer en relation stable ou qui finit avant d’avoir commencé ou d’avoir mûri. Cela peut sembler paradoxal mais ce sont ces amours qui donnent lieu aux deuils les plus profonds et qui sont parfois les plus difficiles à oublier. Et c’est aussi paradoxal parce que si, finalement, elles ne se sont pas développées, elles ne devraient pas – en théorie – engendrer autant de souffrance.

Les plus pragmatiques ne se compliquent pas la vie avec un amour impossible. Quand iels voient qu’il n’y a pas de bonnes conditions pour construire ou maintenir un lien amoureux, iels l’acceptent et mettent un point final à temps. D’autres, cependant, ont plus de mal à renoncer aux attentes, aux espoirs et aux rêves qui se sont formés autour d’une relation. Le sentiment est plus fort que les preuves de son impossibilité.

D’une façon ou d’une autre, un amour impossible ne s’oublie jamais. Il laisse de grandes traces, précisément parce qu’il n’a pas été vécu ni consommé au moment où l’on doit y renoncer ; l’idéalisation ne s’est pas brisée. Mais, même s’il ne s’oublie pas complètement, il est quand même possible de traiter ce sentiment et de réussir à le mettre de côté pour continuer à aller de l’avant. Et voici 7 conseils pour y parvenir.

“L’amour est comme une guerre, facile à commencer, difficile à terminer, impossible à oublier.”

-Henry Louis Mencken-

1. Définissez ce qui le transforme en amour impossible

Il existe une grande différence entre un amour difficile et tumultueux et un amour impossible. Ce dernier n’a aucune chance d’exister. Le cas le plus typique, et qui entraîne le plus de difficultés émotionnelles, concerne l’amour qui n’est pas réciproque. Une personne aime l’autre, mais l’inverse n’a pas lieu. Il serait d’ailleurs peut-être plus exact de dire qu’une personne aime et a besoin de l’autre, mais que cet autre ne ressent pas la même chose. L’amour véritable fonctionne toujours à deux.

Bien sûr, on peut essayer de conquérir quelqu’un qui n’est, au début, pas intéressé. Mais il est aussi important de comprendre qu’il arrive un moment où il est nécessaire d’accepter que cette entreprise n’a pas de futur. La même chose s’applique pour d’autres impossibilités qui ont normalement le même élément en commun : l’un aime et l’autre non. S’il n’y a pas de sentiment mutuel, il n’y a pas de viabilité

D’une façon ou d’une autre, un amour impossible ne s’oublie jamais. Il laisse de grandes traces, précisément parce qu’il n’a pas été vécu ni consommé au moment où l’on doit y renoncer ; l’idéalisation ne s’est pas brisée. Mais, même s’il ne s’oublie pas complètement, il est quand même possible de traiter ce sentiment et de réussir à le mettre de côté pour continuer à aller de l’avant. Et voici 7 conseils pour y parvenir.

“L’amour est comme une guerre, facile à commencer, difficile à terminer, impossible à oublier.”

-Henry Louis Mencken-

1. Définissez ce qui le transforme en amour impossible

Il existe une grande différence entre un amour difficile et tumultueux et un amour impossible. Ce dernier n’a aucune chance d’exister. Le cas le plus typique, et qui entraîne le plus de difficultés émotionnelles, concerne l’amour qui n’est pas réciproque. Une personne aime l’autre, mais l’inverse n’a pas lieu. Il serait d’ailleurs peut-être plus exact de dire qu’une personne aime et a besoin de l’autre, mais que cet autre ne ressent pas la même chose. L’amour véritable fonctionne toujours à deux.

Bien sûr, on peut essayer de conquérir quelqu’un qui n’est, au début, pas intéressé. Mais il est aussi important de comprendre qu’il arrive un moment où il est nécessaire d’accepter que cette entreprise n’a pas de futur. La même chose s’applique pour d’autres impossibilités qui ont normalement le même élément en commun : l’un aime et l’autre non. S’il n’y a pas de sentiment mutuel, il n’y a pas de viabilité

Même s’il s’agit d’un beau fantasme, cela ne correspond pas à la réalité. Les êtres humains ont une infinie capacité d’aimer. Quand on vit une relation, on affronte son final et on en tire une expérience et une sagesse qui permettent, en général, de mieux vivre la relation suivante.

Nous pouvons toujours recommencer et chaque nouvelle expérience peut être meilleure que la précédente. En fait, les années nous préparent à aimer avec une plus grande générosité et une plus grande tolérance si nous ne restons pas ancrés dans des rêves impossibles.

3. Reconnaissez les aspects négatifs

Le fait d’être amoureux-se, et non l’amour, nous pousse facilement à idéaliser les personnes et les situations. Parfois, nous leur donnons des vertus et des attributs qu’elles n’ont pas réellement ou qu’elles possèdent uniquement dans une certaine mesure. Pour diluer ces constructions mentales, il est très important de commencer à évaluer les éléments négatifs.

Quels défauts a cette personne que vous croyez tant aimer ? Quels aspects insatisfaisants existaient ou existent dans les situations que vous partagiez ou partagez avec lui/elle ? Pourriez-vous imaginer la façon dont ces défauts et ces erreurs se manifesteraient d’ici 10 ans ? Voici les questions que vous devez vous poser et auxquelles vous devez essayer de répondre en toute honnêteté. Au final, il est probable que votre point de vue soit plus réaliste.

image pixabay

4. Acceptez qu’il est temps d’oublier

Il s’agit de l’étape la plus difficile. Il a été vérifié que quand une personne désire vivre une relation amoureuse avec quelqu’un et que celle-ci n’est pas possible, des réactions similaires à celles d’un-e drogué-e qui ressent un syndrome d’abstinence se produisent. Le mal-être émotionnel, voire même physique, est parfois difficile à tolérer.

Et comme c’est le cas pour toutes les addictions, le plus difficile à accepter est que la dépendance existe, qu’elle crée une profonde tristesse et qu’on se sent impuissant face à elle. Cela semble facile à admettre, mais ça ne l’est pas. Nous sommes parfois capables d’inventer et de rationaliser n’importe quel prétexte pour ne pas accepter que nous sommes effectivement victimes d’une dépendance. Quand vous parvenez à l’accepter, vous franchissez l’étape la plus importante. Cela clarifie les pas à suivre après cette étape.

5. Éliminez les liens et supprimez les souvenirs

Après avoir accepté l’idée selon laquelle il est temps de laisser cet amour impossible, il faut commencer à couper tous les liens qui subsistent. Cela suppose de ne pas appeler la personne, de ne pas essayer de la voir, de prendre ses distances avec ses ami-e-s et de faire tout ce qui nous permet de rompre les liens qui restent présents avec cette personne. Il faut, en particulier, couper toute relation dans les réseaux sociaux.

Dans ce même ordre d’idées, il est nécessaire de supprimer tous les souvenirs. Éliminez les photos, éloignez les cadeaux. Si vous n’êtes pas prêt-e à vous en défaire, réunissez-les et rangez-les dans un endroit difficilement accessible. Et si votre décision est plus ferme, mettez tout à la poubelle. C’est une façon d’atténuer et de diluer la présence de cet amour impossible.

6. Changez votre routine, essayez de nouvelles choses

Il est temps de commencer une nouvelle étape. Cet amour impossible a peut-être occupé la majorité de votre temps, de vos journées et même de vos années. Le laisser partir ne sera absolument pas simple. Cependant, si vous prenez réellement la décision d’effectuer ce changement, tout deviendra beaucoup plus facile. Il y a sûrement des choses que vous avez toujours voulu faire et que, pour une raison ou une autre, vous avez remises à plus tard. Il est donc temps de se concentrer sur ces nouveaux défis.

Le moment de l’adieu définitif est aussi l’occasion de s’aventurer vers de nouvelles choses ou de nouveaux endroits. Voyager est toujours une excellente alternative. Et si vous releviez ce défi ? Il est aussi utile d’explorer vos facultés, de vous inscrire à un cours qui vous poussera à connaître de nouvelles personnes ou de pratiquer une nouvelle activité intéressante. La vie continue et il y a des milliers de choses à faire.

7. Donnez du temps au temps

Il y a de nombreuses amours, et certaines laissent des traces si profondes qu’elles ne partiront jamais. Un amour impossible est toujours enraciné pendant un long moment, et le fait de ne pas l’évoquer ne suffit pas à le faire disparaître. C’est une chose que l’on n’atteint pas du jour au lendemain. Cela exige du courage et du caractère. Ce sera difficile, il y aura des rechutes mais le temps vous aidera à grandir.

Si vous êtes sûr-e que vous ne pouvez plus continuer avec cet amour impossible, si vous coupez les liens et êtes décidé-e à commencer une nouvelle vie, vous réussirez petit à petit à faire occuper une place différente à cette personne, aussi bien dans votre cœur que dans votre esprit. Vous sentirez progressivement une plus grande paix dans votre âme. Vous découvrirez que, après avoir aimé et laissé partir cette personne, vous avez beaucoup appris et mûri.

Renoncer à des choses impossibles est un acte quotidien, et l’amour n’est pas une exception à la règle. Sans le vouloir, beaucoup de personnes sont des rêveuses éperdues. Nous n’acceptons pas si facilement le fait qu’il y ait des limites et que nous ne pouvons rien faire d’autre que de les respecter. Mais il y a une chose merveilleuse : en découvrant les frontières de nos propres possibilités et en les acceptant, nous franchissons un cap et apprenons à être de meilleures personnes.

Tout ce que vous vivez en vaut la peine. Même ces frustrations qui nous font autant de mal se transforment, par la suite, en semences pour nos plus grandes réussites. Elles constituent aussi la base sur laquelle nous bâtissons notre personnalité adulte. Il s’agit d’une manière d’être, à travers laquelle on comprend que la limite de nos fantasmes amoureux se trouve dans ce que les autres souhaitent, en toute liberté.

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La simplicité est une qualité de personnes extraordinaires

La simplicité est une vertu merveilleuse et pas aussi commune qu’elle devrait l’être. Il s’agit de l’un de ces attributs dont les autres disposent. Elle est toujours associée à l’humilité et dénote la noblesse et la maturité. Par conséquent, même cela peut paraître paradoxal, seules les personnes extraordinaires disposent réellement de cette qualité.

Certains définissent la simplicité comme “la célébration du peu. En d’autres termes, celui qui est simple est capable de profiter des petites choses. Il en est également reconnaissant. Il ne met ni ses attentes ni ses ambitions dans quelque chose de trop élevé. Par conséquent, le premier bénéficiaire de la simplicité est celui qui la possède.

Pour agiter le drapeau de la simplicité il est nécessaire de savoir s’adapter et de savoir s’accepter soi-même et accepter. Ces caractéristiques permettent d’obtenir la fluidité, sans la forcer ou modifier son cap. Tout cela favorise la spontanéité, autre vertu présente chez des personnes équilibrées et en bonne santé.

Simplicité dans les relations avec les autres

La simplicité se retrouve également dans notre façon d’interagir avec les autres. Une personne qui dispose de cette vertu extraordinaire est très respectueuse d’elle-même et des autres. Elle s’accepte et, par conséquent, accepte les autres. L’un et l’autre sont liés.

Une autre caractéristique marquant leurs relations est l’horizontalité de ces dernières. Quiconque agit avec simplicité donne la même valeur aux puissants et aux personnes modestes. Ces personnes ne changent pas leur personnalité, ni leur manière de traiter les autres en fonction de qui elles ont en face d’elles.

La simplicité nous conduit par ailleurs à valoriser les réussites des autres. A être heureux de ce que les autres ont réussi à accomplir et à partager leurs tristesses le cas échéant. Les autres sont considérés comme des égaux, raison pour laquelle les personnes simples possèdent un sentiment de solidarité intrinsèque. La simplicité nous permet de comprendre que nous appartenons tous à la communauté humaine et que nous sommes inévitablement unis par un lien commun : l’humanité elle-même.

Le chemin qui mène à la simplicité

Nous devenons généralement “coincés” ou “compliqués” parce que nous nous laissons envahir par les peurs. Peur de ce que les autres pourront dire. Peur du rejet. Inquiet du fait de croire que nous devrions peut-être être davantage, meilleur ou plus puissant, riche ou beau. En un mot, parce que nous ne parvenons pas nous accepter tels que nous sommes ou à évaluer les circonstances dans lesquelles nous vivons.

C’est assurément ici que se trouve la clé de beaucoup de nos souffrances. Nous construisons souvent de fausses croyances sur ce que nous sommes et ce que nous devrions être. Nous vivons davantage en fonction du fait d’obtenir ce que nous n’avons pas et non pour profiter de ce dont nous disposons.

La simplicité ne signifie pas conformisme ou passivité. Nous pouvons avoir des objectifs très élevés tout en appréciant tout ce qui a été accompli et ce que nous sommes. En effet, la simplicité nous aide à marcher plus léger à travers la vie et à avancer toujours dans un sens évolutif.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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Le petit guide essentiel de la gratitude

développement personnel

Être reconnaissant, pratiquer la gratitude. Voilà une façon simple et efficace de reconsidérer positivement sa vie dans son ensemble et ses propres actions, et d’augmenter sensiblement sa satisfaction de vie et son bien-être.

Le manque de confiance en soi amène généralement une attitude négative, pessimiste et défaitiste.

Plutôt que de s’attaquer frontalement à ce manque de confiance, il pourrait être judicieux de s’en prendre en premier lieu à cette attitude négative.

Pourquoi ? Et bien pour 2 raisons essentielles :

  1. la première est qu’il est plus simple et plus facile de changer une attitude négative en une attitude positive que de conquérir une grande confiance en soi ;
  2. la seconde est qu’une attitude positive est d’une grande aide pour retrouver confiance en soi.

Un premier pas vers une telle attitude positive, c’est la gratitude, c’est à dire être reconnaissant de ce que nous possédons et de ce que nous faisons, de même que des événements qui nous arrivent.

D’une manière générale, ce qui est négatif (les mauvaises nouvelles, les mauvaises circonstances, les échecs, …) nous marque plus que ce qui est positif. La nature humaine est ainsi faite. Si en plus nous y ajoutons une attitude et un état d’esprit négatif propices à les cultiver …

La gratitude permet, à l’inverse, de cultiver une attitude positive. Sa force vient du fait qu’elle est au carrefour entre le monde extérieur (les autres, les événements, le résultat de nos actions, …) et notre monde intérieur (notre perception, nos sentiments, …).

Elle nous permet de dicter la façon dont nous interprétons et ingérons les circonstances extérieures plutôt que de nous laisser influer par eux.

Les bienfaits de la gratitude

Cicéron désignait la gratitude comme la mère de toutes les vertus.

Je ne sais pas si la gratitude mérite un tel statut. Mais les récentes découvertes scientifiques tendent à montrer qu’elle est d’une toute première importance pour une satisfaction de vie accrue.

Jusque durant les années 1990, la psychologie avait tendance à s’occuper essentiellement des troubles psychologiques. La psychologie pouvait nous expliquer comment être moins malheureux (ou malade …) mais pas comment être plus heureux.

Puis, sous l’impulsion de plusieurs praticiens, dont le Docteur Martin Seligman ou le Docteur Mihály Csíkszentmihályi, le champ d’investigation de la psychologie a évolué et s’est tourné vers la psychologie positive. La science s’attelait enfin à nous expliquer comment être heureux !

Et donc ?… Qu’est-ce que la recherche nous apprend ?

Pour parler plus spécifiquement de la gratitude, elle est reconnue comme ayant 5 bénéfices majeurs :

  1. un bonheur accru : la pratique active de la gratitude permet d’accroître la sensation de bonheur de 25 % (si tant est que cela mesure …) ;
  2. un bonheur durable : la pratique active de la gratitude pendant 3 semaines a des effets notables pendant quelques mois (jusqu’à 6 🙂 ) ;
  3. un matérialisme réduit : les biens matériels sont moins importants, moins recherchés et moins significatifs de votre réussite ;
  4. une sociabilité accrue : être reconnaissant rend plus empathique, serviable et disposé à être disponible pour les autres ;
  5. une meilleure santé : cultiver la gratitude diminue le stress, améliore la qualité du sommeil, augmente la capacité de concentration, …

De plus, une vie sociale plus active et nourrissante est en soi une source de bien-être et de satisfaction accrus.

À la lumière de tout cela, il ne fait aucun doute que vous devriez vous engager sur la voie de la gratitude.

Tenir un journal de gratitude

La méthode la plus simple est de tenir un journal de gratitude.

Le conseil souvent donné est de remplir un tel journal tous les jours. Or la recherche scientifique nous montre que vous n’avez pas besoin d’être aussi assidu : faire cela 4 fois par semaine est suffisant pour ressentir les premiers effets.

À l’inverse, il est important d’être constant sur la durée : il est nécessaire de faire cela 3 semaines de suite. Et vu que 3 semaines semble être un minimum pour prendre une habitude, il est fort probable que vous preniez le pli définitivement 🙂

Vous pouvez par exemple faire cet exercice :

  • le mardi, le jeudi et la samedi pour ressortir le positif par paire de journées ;
  • le dimanche pour prendre de la hauteur et faire la même chose pour la semaine ou le mois écoulé.

Une autre organisation pourrait être :

  • le mardi et le jeudi pour ressortir le positif par paire de journées ;
  • le vendredi pour ressortir le positif de la journée écoulée puis de la semaine (orientation professionnelle) ;
  • le dimanche pour ressortir le positif du week-end (orientation privée) puis prendre de la hauteur et évaluer votre semaine dans son ensemble.

Ou alors 1 jour sur 2, tout simplement. Sans se soucier de la semaine, du week-end ou du mois.

Essayez et adoptez le rythme qui vous convient le mieux.

Comment bien pratiquer la gratitude

Quelques derniers conseils.

Privilégier la qualité à la quantité

Il n’est pas nécessaire de lister des dizaines d’éléments. En fait, il est préférable d’en lister moins mais de vous assurer que vous êtes réellement reconnaissant et que vous pouvez aussi expliquer pourquoi vous êtes reconnaissant, pourquoi c’est significatif et important pour vous. Indirectement, cela vous permet aussi de vous connaître encore mieux et de comprendre encore mieux ce qui a de l’importance pour vous.

Privilégier les personnes

Voilà qui entre en résonance avec la sociabilité …

L’exercice sera encore plus bénéfique si vous êtes attentif aux personnes de votre entourage. Il s’agit autant d’être reconnaissant des interactions avec votre entourage (comment vous les avez aidé ou comment eux vous ont aidé) que de ce qu’il peut leur arriver de positif. Par exemple, vous pouvez être reconnaissant du fait que votre partenaire ait pu obtenir une promotion alors que vous n’en bénéficiez pas directement et que vous n’y êtes pour rien. Mais vous êtes content pour lui/elle.

Se rappeler des surprises

N’oubliez pas les surprises et tous les événements inattendus. Il sont d’autant plus importants qu’ils sont associés à une émotion positive et heureuse. Ils ont donc un effet majeur sur votre bien-être. Se les rappeler est une excellente façon de faire perdurer leur effet.

Ne pas devenir accroc

Cela fait écho au premier conseil.

Il ne faut pas confondre « être reconnaissant de … » et « voir le positif partout ». Chercher le positif, c’est bien : cela permet de ne pas s’apitoyer longtemps. Par exemple, après une chute, vous pouvez vous féliciter de n’avoir qu’une fracture car cela aurait pu être bien pire. Mais il n’y a pas vraiment de quoi être reconnaissant outre mesure : une fracture reste une fracture. C’est handicapant et douloureux. Point. Bien sur, si cela touche votre enfant, c’est d’un tout autre niveau …

Pour prendre un exemple plus trivial, il n’y a pas à être reconnaissant de ne pas être obligé d’aller faire les courses ce soir 🙂

Conclusion

Les effets de la pratique régulière et prolongée de la gratitude a des effets bénéfiques sur votre niveau de bien-être et de satisfaction de vie, ainsi que sur votre santé plus généralement.

Prenez l’habitude, 1 jour sur 2 au minimum, de noter les événements de vos journées dont vous êtes le plus reconnaissant. Votre vie n’en sera que plus satisfaisante.

 

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Cinq pensées parasites (et comment les neutraliser)

Vous avez le sentiment de ne pouvoir compter sur personne. Cela a peut-être été vrai à un moment de votre vie, mais est-ce pertinent aujourd’hui alors que tout va bien?

« Je suis trop gentil », « on m’utilise et après, on me jette »… Vous avez le sentiment que le sort vous maltraite. Et si vous y étiez un peu pour quelque chose? Les conseils du coach Jean-Yves Arrivé* pour vous libérer de ces constats négatifs.

On est tous plus ou moins habités par des croyances qui nous minent et nous freinent dans une carrière ou un projet professionnel. Il est pourtant possible de les dépasser, en en prenant conscience et en acceptant d’agir progressivement pour les contrecarrer. Illustrations.

Pensée n°1: « Je suis trop ordinaire (moyen) pour faire une belle carrière »

Au moindre challenge proposé – un nouveau poste, une négociation de haut vol -, vous partez perdant. « Je ne suis pas au niveau, pas brillant comme untel… »: vous vous comparez, à votre désavantage. Soit il s’agit d’un manque de confiance en vous, soit d’un processus de victimisation, en vue de vous faire plaindre…

A faire. Revenez à des faits, à des réalités. Réalisez un tableau avec 3 colonnes. 1/Les compétences que vous possédez. 2/Celles que vous pouvez développer. 3/Celles qui vous semblent inaccessibles. Ne remplissez les n°2 et n°3, que si vous récoltez des éléments pertinents dans la n°1, vérifiés par des actions concrètes. L’objectif est de considérer la fierté des tâches accomplies, et de révéler votre potentiel en étant bienveillant avec vous-même!

Pensée n°2: « Je dois me battre pour réussir »

Savoir être un « winner », un « killer » … Autant de vertus glorifiées chez les commerciaux et qui ont fait tache d’huile. Ces mots, ancrés en vous, sont une variante de la ritournelle qui vous serine: « sois fort ». Or, il n’est pas nécessaire de créer des rapports de force pour être reconnu, valorisé ou pour garder sa place face à un nouvel embauché talentueux. Le risque de déchoir ou d’être évincé est dans votre tête.

A faire. Jouez la complémentarité. Persuadez-vous du bienfait de nouer des alliances plutôt que de combattre. Notez sur un papier, tout ce qui vous pousse à vous battre et tout ce qui vous pousserait à coopérer. Confrontez les réponses, et choisissez-en 2 ou 3 positives afin de bâtir un plan d’action. Exemples: « Je connais mon job, je peux laisser mes clients s’exprimer un peu plus ».

Pensée n°3: « Je dois toujours m’en sortir seul »

Vous avez le sentiment de ne pouvoir compter sur personne. Cela a peut-être été vrai à un moment de votre vie, mais est-ce pertinent aujourd’hui alors que tout va bien? Face à la difficulté, vous refusez de demander de l’aide, craignant que celle-ci ne soit jamais au rendez-vous. Risqué.

A faire. Sollicitez des coups de main, en démarrant par des choses simples. Vous prévoyez une surcharge sur un dossier à rendre dans un mois? Recherchez le soutien modeste d’un collègue sachant que vous aurez le temps de vous retourner s’il dit non. Et si c’est lui qui suggère son appui répondez: « Qu’est-ce que tu proposes? », l’amenant ainsi à préciser son offre, sans avoir à formuler vous-même la demande.

Pensée n°4: « J’échoue toujours dans la dernière ligne droite »

C’est le syndrome de l’éternel second. Vous êtes toujours dans la short-list des candidats à une promotion, sans jamais parvenir à décrocher le job. Ou encore, vous n’arrivez pas à conclure ce fichu contrat avec le client. In extremis, vous êtes rattrapé par un doute: « ça ne va peut-être pas marcher! ». Et patatras, vous perdez le contrôle de la situation. Stimulé au départ, devant l’obstacle vous calez, prêt à laisser la place.

A faire. Travaillez sur l’image que vous renvoyez, sur vos objectifs, pour montrer aux autres votre détermination. 1/Listez vos atouts et vos défauts sur le plan professionnel, en interrogeant aussi des proches, et ce que vous voudriez changer. 2/ Exercez-vous, hors du bureau, à tenir la distance de vos désirs: mener à son terme un match de tennis, résister au découragement lors d’une partie de cartes, etc.

Pensée n°5: « On sait m’utiliser, et après on me jette comme un kleenex »

Serviable, trop gentil, vous avez l’impression de vous faire avoir. Or, par votre comportement, vous faites naître chez l’autre un sentiment de gratitude, une sorte de dette symbolique qui satisfait votre soif de reconnaissance. Cela devient un mécanisme, qui crée un chantage affectif de la part de l’entourage. « Si tu ne fais pas ça, tu ne m’aimes plus, donc moi non plus. » Votre estime de soi est en jeu.

A faire. Apprenez à dire « non », en vous mettant sur un pied d’égalité. « Je suis heureux que tu aies pensé à moi sur ce dossier, je veux bien contribuer, qu’est-ce que j’y gagne? ». Dire non, ne signifie pas que l’on va se détourner de vous. Et repérez ce qui se cache derrière vos « oui »: des affects, des émotions à canaliser objectivement.

* Fondateur de Co-Acting, Jean-Yves Arrivé vient de publier  » Se Libérer des pensées parasites « , Larousse, février 2017.

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Prenez du recul et relativisez pour garder confiance en vous et en la vie

Prendre du recul est important. Pour ne pas sombrer dans le défaitisme et le pessimisme. Pour garder confiance en soi et en la vie. Mais ce n’est pas la tendance naturelle de l’Homme. Nous devons donc apprendre à prendre du recul. Voici un point de départ.

Dans le flot sans fin des mauvaises nouvelles et des contraintes, il n’est pas forcément simple de se couper de ce flux, de sortir la tête de l’eau, de relativiser et de prendre du recul.

Pourtant, prendre du recul est véritablement important pour garder confiance en soi et ne pas se noyer.​

La question qui se pose alors est « comment prendre du recul ? »​

Je vous propose quelques pistes …

Coupez court aux pensées négatives

La première chose qui va vous empêcher de prendre du recul, c’est vous-même. Et les pensées négatives que vous ressassez en boucle. Ou les problèmes et autres contraintes sur lesquels vous restez bloqué.

Aussi longtemps que vous ne verrez que le mauvais côté de toutes choses, vous attirerez davantage les aspects négatifs dans votre vie. Alors que des aspects positifs existent bel et bien. Mais vous ne les regardez pas.

Apprenez à contrôler et chasser vos pensées négatives.​

Revenez à aujourd’hui, et à maintenant

Une peur classique et récurrente, c’est la peur de l’avenir. Et il y a son pendant, la nostalgie et les regrets du passé.

Entre les 2, il y a le seul moment qui compte : maintenant.

« C’était mieux avant », ce n’est qu’illusion. Sur quels critères pouvez-vous dire que vos parents, et les parents de vos parents, vivaient mieux que vous ? Uniquement sur vos suppositions et votre imagination ? Ou les histoires des nostalgiques ? Quant au futur, et bien il n’est pas encore là. Alors pourquoi s’inquiéter d’un avenir que, de fait, vous ignorez ?

Revenez et restez essentiellement dans le moment présente, concentrez-vous sur votre attitude et vos actions quotidiennes.​

Distinguez ce qui dépend de vous, ignorez le reste

Sachez faire la différence entre ce qui dépend de vous et ce qui ne dépend pas de vous. Puis apprenez à ne pas vous inquiéter et à ne pas vous focaliser sur ce qui ne dépend pas de vous. Vous n’y pouvez rien ? Donc pourquoi vous en préoccupez ? À part vous faire du mauvais sang, vous miner le moral et rester dans une spirale négative.

La seule que vous pouvez faire de ce qui ne dépend pas de vous, c’est justement de ne pas vous en occuper. Vous économiserez du temps et de l’énergie. Que vous pourrez investir dans ce qui dépend de vous.​

Souvenez-vous de vos réussites​

Je suis sur que vous avez la mémoire courte.

Vous vous inquiétez des défis à venir, des problèmes à surmonter, des imprévus qui surviendront.

Mais vous rappelez-vous de tout ce que vous avez surmonté ? De tout ce que vous avez réussi ?

Je suis sur que cette liste est très longue. Surtout, elle est bien plus concrète que celle des problèmes qui pourraient arriver.

Si vous avez été capable de ces réussites, pourquoi ne le seriez-vous plus ? Listez ces moments, et aussi les apprentissages que vous en avez tirés. Cela permet de gagner confiance en soi et en la vie.​

Informez-vous avec intelligence et parcimonie​

Les actualités sont anxiogènes. Et les médias vous présentent un monde inquiétant et en proie à des problèmes sans fin. Surtout si vous les recevez sans sélection ni effort d’approfondissement.

Une première solution pourrait être de se déconnecter complètement. Une alternative est d’en faire un usage raisonnable :

  1. ​ne pas rester branché en continu sur les actualités ;
  2. s’accorder un unique mais long moment dans la journée pour s’informer ;
  3. diversifier ses sources ;
  4. approfondir afin de remettre en perspective ce que nous entendons au fil des flashs infos.​

Revenez à votre propre ressenti

Vous consommez maintenant les actualités intelligemment. Vous comprenez bien mieux les « crises » actuelles du monde. Cela étant, soyez honnête, ce n’est pas parce que c’est la crise par ailleurs que c’est la crise dans votre vie.

Dans votre vie, maintenant et tout de suite, comment êtes-vous concerné et touché ? Cette petite question vous permettra de réaliser l’écart entre le discours global et les actualités, et votre propre vécu.

Pour bien relativiser, il faut minimiser l’impact que peuvent avoir certains éléments dans votre existence.​

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