Les troubles psychosomatiques qui font mal au corps

Les troubles psychosomatiques sont la preuve de l’impact que l’esprit peut avoir sur notre corps. Il s’agit d’états où apparaissent clairement une série de symptômes physiques réels liés à des maladies invisibles, avec des conditions qui n’existent pas organiquement, mais qui sont le résultat de conflits mentaux, de problèmes non résolus qui nous consument de l’intérieur.

Lire qu’il existe des étudiants qui, en raison de l’anxiété, peuvent perdre la vue juste avant un examen peut sembler incroyable. En outre, parler du cas d’une femme de 60 ans qui a perdu la mobilité de ses jambes parce qu’elle était convaincue qu’elle avait une tumeur à la colonne vertébrale, peut également sembler une histoire exagérée et difficile à comprendre.

Cependant, les preuves sont là et de tels cas se produisent tous les jours, partout dans le monde et à chaque instant. Par conséquent, les neurologues ou les psychologues spécialisés dans les troubles psychosomatiques ont rapidement appris à donner de l’espace au récit que les patients font de ce qui leur arrive. S’ils disent ressentir de la douleur, cette douleur est probablement réelle même si elle ne se reflète pas dans une IRM ou une analyse sanguine.Donner de la crédibilité à la souffrance de ces patients est essentiel. Il en va de même avec les personnes qui prétendent avoir des pensées suicidaires lors d’une dépression, ou pour une personne souffrant de schizophrénie qui déclare avoir des visions et certaines hallucinations. Cette réalité existe, existe dans l’esprit dudit patient et peut devenir dévastatrice. Lorsque notre esprit prend le contrôle, est traumatisé ou soumis à un état d’anxiété très convulsive, tout peut s’avérer possible.

Les troubles psychosomatiques, est-il vrai que tout est dans ma tête ?

Le trouble psychosomatique est définit comme le cadre symptomatique où un corrélat physique ou organique n’est pas trouvé, là où tous les maux et toutes les limitations dont souffre la personne sont exclusivement dus à ses processus mentaux. Réfléchissons désormais à ce que cela peut supposer…tout est-il vraiment tout dans ma tête ?

La réalité est qu’aujourd’hui les troubles psychosomatiques restent un domaine d’étude rempli d’inconnues pour les experts. Ce qui est connu est que ce spectre de troubles physiques associés au stress mental présente un corrélat cérébral : l’hyperactivité des impulsions nerveuses du cerveau pour communiquer avec diverses zones de notre corps.

  • Un excès d’adrénaline dans le sang peut également survenir, outre certains paramètres biologiques modifiés tels que l’accélération du métabolisme du glucose ou des acides aminés …
  • Par ailleurs, il a également été démontré qu’il existe des personnes davantage susceptibles de souffrir de troubles psychosomatiques. Les patients vivant dans un état de grande anxiété ou qui ont connu une enfance traumatisante suite à des abus, à la privation affective, etc., sont également davantage susceptibles de souffrir de ce type de trouble.

Au-delà du fait de comprendre ou de la non les conséquences des maladies psychosomatiques, il existe un fait encore plus important. Pensons à un médecin qui explique à son patient que ce dont il souffre n’est pas réel, que la douleur qu’il ressent dans  la poitrine n’est pas une crise cardiaque, que la perte de sa voix n’est pas due à un problème de cordes vocales, ou sa terrible migraine à une tumeur. Il convient de préciser au patient “ce dont il ne souffre pas”, mais…de quelle manière est-il possible de l’aider à guérir ce dont il “souffre” et qui trouve son origine dans son esprit ?

“Il s’agit de quelque chose qui arrive à tout le monde. Mais nous ne pourrions dire pourquoi chez certains individus ce mécanisme décide de créer une pathologie. Il se passe que nous avons tous une façon différente de gérer le stress.”
-Suzanne O’Sullivan-

Ce que notre esprit peut générer

Les troubles psychosomatiques peuvent affecter n’importe quel organe, système, tissu ou structure. Son impact est immense, raison pour laquelle nous ne devrions pas sous-estimer la puissance de notre psyché. Il est par ailleurs nécessaire de différencier les troubles somatoformes des troubles psychosomatiques. Alors qu’ il n’existe a jamais de symptôme physique dans le premier cas, des dommages visibles dans l’organisme (par exemple, des ulcères) apparaissent dans le second.

Un exemple classique de troubles psychosomatiques sont les dermopathies, telles que l’eczéma, l’urticaire, les infections, l’acné…
L’hypertension, la tachycardie, la sensation d’étouffement ou les perforations cardiaques sont un autre symptôme
Les troubles du système digestif sont très communs, l’irritation de l’intestin et les ulcères étant les conditions les plus communes
Les maux de tête intenses, tels que les migraines sont également très fréquents
Pertes de mémoire
Asthme bronchique
Dysménorrhée, troubles menstruels…
Alopécie
Dans les cas extrêmes, certaines personnes peuvent souffrir de cécité temporaire, du manque de mobilité de certains membres, d’évanouissements…

Comment les maladies psychosomatiques sont-elles traitées ?

Les troubles psychosomatiques sont abordés de deux manières différentes. D’une part, il est évidemment nécessaire de prendre en charge le symptôme physique que présente le patient (ulcère, infection, eczéma …). Ensuite, le plus important dans ces cas est de faire face au vrai problème sous-jacent, son univers psychologique et cette tension mentale non résolue qui est somatisée avec plus ou moins de gravité dans l’organise.

Les techniques utilisées pour ces cas sont multiples et dépendront toujours de la réalité personnelle de chaque patient. Il est par ailleurs parfois approprié d’essayer différentes thérapies afin de déterminer ce qui fonctionne le mieux chez le patient, ce qui génère les résultats les plus positifs et les plus attendus.

  • Les techniques de relaxation sont toujours très efficaces.
  • La thérapie cognitivo-comportementale est d’une grande aide pour amener les patients à apprendre de nouvelles façons de faire face à leurs problèmes. Ils comprendront leurs réalités internes, appliqueront des objectifs de vie réalistes et identifieront les schémas de pensée qu’ils devraient changer pour disposer d’un style de vie plus positif.
  • Par ailleurs, un autre type de thérapie qui apporte généralement des résultats positifs lorsqu’il s’agit de conflits mentaux et émotionnels, ainsi que des troubles anxieux, est la psychanalyse.
  • La thérapie de groupe telles que le psychodrame, créé à l’époque par Jacob Levy Moreno, est une autre stratégie idéale, révoltante et très enrichissante qu’il est possible de tester pour observer si elle génère les résultats escomptés.

En conclusion, nous devons signaler l’importance et le défi que suppose pour de nombreux médecins d’essayer d’offrir une solution pour tous ceux qui aujourd’hui souffrent de maladies psychosomatiques. Il s’agit parfois de réalités très dures qui méritent notre attention et notre prise de conscience.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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11 remèdes naturels contre le cholestérol

Le cholestérol touche des millions de personnes en France et dans le monde. Le cholestérol est un corps gras apporté par notre régime alimentaire mais également synthétisé par le foie. Notre corps est une machine infiniment intelligente qui sait ce qu’il y a de mieux pour lui. Le foie produit lui-même le cholestérol lorsque nous n’en apportons pas assez par les aliments. À l’inverse, il diminue sa production endogène lorsque notre alimentation est chargé en bonnes graisses.

Oui vous avez bien lu, en bonnes graisses. Il est important de distinguer les bonnes des mauvaises. Les bonnes graisses sont indispensables parce qu’elles permettent entre autres de :

  • –  Lutter contre l’inflammation en neutralisant les toxines
  • –  Rétablir les muqueuses de l’organisme
  • –  Excellente source d’énergie
  • –  Apporte la bonne humeur

-En revanche, les mauvaises graisses ou les graisses trans introduites dans notre alimentation moderne, il y a un peu plus d’une cinquantaine d’annéee sont à éviter. Le mauvais cholestérol et les autres maladies cardiovasculaires ont explosé en nombre depuis l’introduction de ces graisses transformées.

C’est pourquoi, je vous propose 11 remèdes naturels pour réguler votre cholestérol.

1. La carotte.

La carotte est notre aliment le plus reconstructeur de l’organisme de manière générale. Elle est d’autant plus bénéfique concernant le cholestérol pour deux principales raisons :

  •  La carotte est riche en carotène, c’est à dire en pro-vitamine A parfaitement assimilable par l’organisme humain. La provitamine A joue un rôle préventif. Excellent antioxydant qui permet de freiner l’évolution de l’athérosclérose, c’est à dire l’encrassement des artères par notamment le mauvais cholestérol LDL.
  •  La carotte est extrêmement riche en fibres, ce qui en fait un aliment majeur pour rétablir le transit intestinal. De plus les sels biliaires qui encombrent la bile se verront éliminés par la consommation de carottes crues ou de jus de carotte.

Une étude réalisée aux États-Unis suggère que 200 grammes de carottes crues par jour permet de réduire de 11% le taux de mauvais cholestérol.

Si vous avez du mal à digérer la carotte à l’état brut parce que trop riche en fibres, je vous conseille de la râper pour assurer une bonne digestion ou de la couper en fines lamelles. De plus, évitez de la faire cuire parce que la cuisson va diminuer la valeur des fibres. A l’état naturel, les fibres traversant l’intestin vont subir une magnétisation par le massage musculaire dû à l’action péristaltique. Elles attirent ainsi tous les résidus, les cellules et tissus consumés pour les amener vers les portes de sortie.

Les fibres cuites sont dépourvues de vie et de cellulose crue, c’est pourquoi elles sont privées d’attraction magnétique. Les fibres mortes agissent comme une serpillère qui se contente de pousser les résidus vers l’avant alors que des fibres pleines de cellulose crues agissent comme un aspirateur en retirant le moindre résidu logé dans une zone spécifique. Les fibres de bonne qualité sont des balais intestinaux dont on ne doit pas négliger la valeur et d’autant plus lorsqu’on souffre de mauvais cholestérol.

2. L’avoine.

L’avoine fait partie des produits ayant le plus d’impact positif sur le taux de cholestérol dans le sang. En effet, la richesse en fibres solubles de l’avoine permet de réduire le cholestérol LDL par son action nettoyante. L’avoine est également l’une des meilleures céréales que l’on puisse consommer.

Je vous conseille dans le même temps de prendre du lait végétal fait à base d’avoine et d’éviter les autres laits le temps de traiter votre cholestérol. L’avoine comme toutes les céréales sont déconseillées aux personnes intolérantes au gluten. Si vous êtes intolérant au gluten, je vous conseille de vous orienter vers le sarrasin et le lait de sarrasin. Le sarrasin n’est pas une céréale et ne contient pas de gluten.

3. Les graines de Chia.

Haute teneur en Oméga-3, les graines de chia permettent de prévenir le cholestérol. Elles protègent notre coeur et l’ensemble du système cardiaque par une régulation de la tension artérielle. Les graines de Chia permettent également une diminution des risque d’AVC, d’infarctus et autres troubles cardiaques. Sa richesse en antioxydants, vitamines et sels minéraux confère à la graine de chia, une action bienveillante sur l’organisme. En effet, elles apportent :

  • –  6 fois plus de fer que les épinards,
  • –  5 fois plus de calcium que le lait de vache,
  • –  Plus de potassium que la banane, -…

Les graines de chia restent des aliments concentrés pauvres en eau donc évitez d’en prendre trop. Vous pouvez ajouter des graines de chia dans vos smoothies, vos salades ou encore dans la pâte pour faire du pain sans gluten. Trempez vos graines 15 minutes dans de l’eau, elles vont augmenter de volume, c’est normal. C’est pourquoi, ces graines vont vous rassasier et vous tenir dans le ventre bien longtemps.

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4. La pomme.

La pomme BIO est un allié anti-cholestérol de taille. Sa teneur en pectine et sa richesse en fibres de bonne qualité lorsqu’elle est consommée à l’état cru, permettent de lutter contre l’absorption et la stagnation des graisses saturées. La pomme est un aliment très peu calorique qui permet d’en consommer plusieurs par jour. Aussi, la pomme contient une grande quantité d’antioxydants qui permet de neutraliser les toxines ou les radicaux libres qui sont responsables des maladies.

La pomme est riche en magnésium, en fer et en silice. Elle a également une teneur élevée en potassium. Elle renferme une grande quantité d’eau (85%), idéal pour favoriser la digestion. De plus, la pomme consommée à jeun est un puissant stimulant sur les intestins inférieurs, idéal pour une bonne élimination des résidus.

Le vinaigre de cidre de pomme est le plus salutaire des vinaigres sur l’organisme que l’on connaisse à l’heure actuelle.

5. L’avocat.

Les avocats renferment 70% d’eau et sont notre plus grande source de lipide organique. 20% de leur teneur sont des acides gras insaturés bénéfiques au système cardiovasculaire, les artères et le coeur. En effet, les avocats apportent de l’acide oléique qui permet la production de bon cholestérol et de l’acide linoléique qui permet de diminuer le mauvais cholestérol LDL.

Veillez à consommer les avocats mûrs, c’est à dire souple au toucher et lorsque leur consistance est proche de celle du beurre. D’ailleurs, le beurre est un aliment qui augmente votre mauvais cholestérol, c’est pourquoi vous pouvez parfaitement remplacer votre beurre par la chair de l’avocat. Vous pouvez consommer l’avocat dans vos salades, vous pouvez le présenter comme base, en dés ou en lamelle.

Bien que l’avocat soit un aliment lourd, il est d’une richesse nutritive exceptionnelle à ne pas négliger que l’on peut consommer quotidiennement.

 

6 Faites du sport

Pratiquer un sport permet de faire baisser le taux de cholestérol LDL (le « mauvais ») et d’augmenter ainsi le taux de cholestérol HDL (le « bon »), selon de nombreuses études. Lors de la pratique d’une sportive, le corps utilise plus de cholestérol afin de fonctionner normalement.

Il est conseillé d’avoir une activité physique régulière d’intensité moyenne ou élevée et d’une durée de 30 à 60 minutes au moins 5 fois par semaine pour améliorer le bilan lipidique.

7. L’oignon.

L’oignon est un aliment particulièrement reconnu pour ses vertus thérapeutiques et préventives sur la santé. Outre son rôle protecteur contre le cancer, les allergies, le diabète, l’oignon est bon pour le système cardiovasculaire. Il abaisserait le taux de mauvais cholestérol LDL et augmenterait le bon HDL.

Il est maintenant démontré que les flavonoïdes comme la quercétine ont une action bénéfique pour lutter contre le mauvais cholestérol. C’est pourquoi je vous conseille d’ajouter de l’oignon en faible quantité dans vos repas. Privilégier l’oignon à l’état cru dans vos salades, vos entrées de crudités. Veillez toutefois à ne pas en abuser non plus.

8 Les fibres solubles

Les fibres solubles et plus précisément le bêta-glucane se métamorphosent en gels visqueux au contact de l’eau contenue dans le corps. Grâce à cette matière visqueuse, les fibres solubles capturent le cholestérol et permettent d’en éliminer une partie dans les selles. 3 g de fibres solubles par jour permettraient de réduire le taux de cholestérol sanguin d’environ 10%. Les fibres solubles auraient également l’avantage de limiter l’absorption des glucides.

Voici de très bonnes sources de fibres solubles :

  • 153 g de son d’avoine = 4 g de fibres
  • 100 g de lentilles cuites = 7,8 g de fibres
  • 1 banane de taille moyenne = 1,9 g de fibres
  • 1 poire de taille moyenne = 5,1 g de fibres
  • 1 pomme de taille moyenne consommée avec sa pelure = 2,6 g fibres
  • 100 g d’haricots verts cuits = 3 g de fibres
  • 100 g de carottes = 2,6 g de fibres.

9. Les amandes sont une très bonne source de phytostérols.

30 g de ces fruits(ce qui équivaut à 25 amandes) contiennent 34 mg de phytostérols. Une méta-analyse4 a démontré que la prise de 2 g par jour de phytostérols réduisait de 10% le taux de cholestérol LDL.

Les fruits à écales comme les noix, les noix de cajou ou les noisettes sont un bon moyen d’augmenter sa consommation de phytostérols qui, en plus de réduire le taux de cholestérol LDL, permettraient à terme de prévenir les maladies cardiovasculaires.

10. Les oméga-3.

Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés reconnus comme « bons » pour la santé. Une alimentation riche en oméga-3 est primordiale pour être en bonne forme et pour que notre corps fonctionne de façon optimale car notre organisme ne peut pas les synthétiser.

Il existe 3 sortes d’acides gras oméga-3 :

L’acide alpha-linolénique (AAL) présent dans l’huile et les graines de chanvre et de lin et l’huile de colza.
L’acide eicosapentaénoïque (AEP) qui est synthétisé à partir de l’AAL. Mais son taux de conversion est faible car moins d’1% d’AEP est obtenu à partir de l’AAL. Il est donc insuffisant pour assurer le bon fonctionnement de l’organisme. L’AEP est notamment présent dans les poissons gras.
L’acide docosahexaénoïque (ADH), que l’on retrouve aussi dans les poissons gras. Il aide au bon développement cognitif et de la rétine.

Bien que les oméga-3 n’aient pas d’effet direct sur le cholestérol, ils permettent cependant de réduire le taux de triglycérides et protégeraient des maladies coronariennes, l’une des conséquences à long terme d’un taux de cholestérol LDL (le « mauvais ») trop élevé.

L’American Heart Association a d’ailleurs reconnu les bienfaits des oméga-3 ; c’est pourquoi elle conseille de consommer du poisson 2 fois par semaine au minimum et de remplacer l’huile de palme ou le beurre, par de l’huile de canola (colza), de lin ou de chanvre.

Les besoins d’un personne en oméga-3 selon l’OMS (l’Organisation Mondial de la Santé) sont :

Pour l’AAL : de 0,8 g à 1,1 g par jour.
Pour l’AEP + l’ADH : de 0,3 g à 0,5 g par jour.

Pour obtenir 1,3 g d’oméga-3 AAL il faut par exemple consommer : ½ cuillère à café (2 ml) d’huile de lin ou 1 cuillère à soupe (15 ml) d’huile de canola (colza).

Pour donner à l’organisme 1,3 g d’oméga-3 AEP + ADH il faut manger par exemple :50 g de maquereau, 65 g de saumon, 80 g de hareng, 130 g de thon blanc ou 130 g de sardines.

11. Le gingembre.

Le gingembre est une racine aux propriétés énergisantes et revitalisantes par excellence. Extrêmement riche en minéraux et en oligo-éléments mais c’est aussi l’un des végétaux les plus riches en antioxydants. Si vous avez un taux de triglycérides élevé, vous pouvez prendre régulièrement une infusion au gingembre car cela stimule la circulation sanguine.

Vous pouvez prendre la recette suivante :

  • –  1 morceau de gingembre frais d’environ 2 cm sur la longueur
  • –  1 litre d’eau (ou plus selon le goût)
  • –  1 citron
  • –  5 cuillères à café de miel si vous voulez ajouter une touche sucrée

Coupez le gingembre en fines lamelles et mettez-le dans de l’eau bouillante. Laissez le gingembre pendant 15 minutes environ à feu doux et laissez ensuite reposer pendant 5 à 10 minutes. Filtrez l’infusion à laquelle vous pouvez ajouter ensuite le miel et le citron entier ou en jus pressé.

En ajoutant ces aliments dans votre alimentation quotidienne et en diminuant votre consommation de graisses transformées (biscuits, gâteaux, …) ainsi que les viandes rouges, vous mettez toutes les chances de votre côté d’un point de vue alimentaire.

En associant de l’activité physique intensive une seule fois par semaine (ou plus selon votre condition physique) pendant 10 à 20 minutes, vous faciliterez l’élimination des résidus. Enfin le jeûne intermittent peut être une bonne solution également pour vous débarrasser des mauvaises graisses.

Et vous, qu’avez-vous essayé pour prévenir le cholestérol ?

Adrien Lamacchia -Son site .santebienetreglobal.com trouvé sur https://www.sain-et-naturel.com

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Les bienfaits de l’artichaut

Même s’il est connu surtout pour ses propriétés qui aident à perdre du poids, l’artichaut est aussi très fameux pour contrôler le cholestérol et pour favoriser la purification des toxines.

Faisant partie du groupe des meilleurs légumes pour l’organisme, l’artichaut a la capacité d’absorber l’eau de notre estomac.

Ses fibres végétales nous aident calmer l’appétit. En plus de générer une sensation de satiété, il stimule l’amincissement et la perte de poids.

L’artichaut dans l’histoire

image pixabay

Ce légume savoureux a été très utilisé dans l’Antiquité grâce à son goût et son apport en vitamines, antioxydants, minéraux etc.

Les Grecs et les Romains en consommaient déjà, et pendant le Moyen-Âge, le roi Henri VII l’introduit en Angleterre.

Au Moyen-Âge, l’artichaut était un aliment très cher.

Sur le marché, on peut le trouver sous différentes formes.

Même s’il est vendu sous forme de capsules dans les magasins naturels, on préfère toujours le légume au naturel. Il faut le choisir avec les bouts épais et une couleur vert clair. 

 

Les bienfaits de l’artichaut

  • Les propriétés digestives de ce légume en font un remède naturel idéal pour traiter les maladies comme l’excès d’acide urique, les rhumatismes et les problèmes de calculs dans la vésicule biliaire.
  • L’artichaut réduit aussi les triglycérides dans le sang, ce qui est excellent pour combattre le cholestérol, car il nous aide à réduire le mauvais (LDL) et augmente le bon (HDL).
    Grâce à leurs avantages pour contrôler le cholestérol, les artichauts sont de parfaits alliés pour affronter les problèmes d’hypertension et d’athérosclérose.
  • Dans les cas de constipation et de diarrhées, l’artichaut offre une grande aide grâce à son apport en fibres.
  • De plus, l’artichaut peut être un excellent purifiant pour aider notre organisme à expulser les différentes toxines et substances dont il n’a pas besoin.

Bienfaits pour le système digestif

  • Parmi les propriétés de l’artichaut, on trouve celle de soulager l’acidité de l’estomac. De plus, il est très adapté pour éliminer les douleurs, les distensions et autres gênes.
  • Ce légume prend soin de notre estomac et l’aide à réaliser la digestion. De plus, il est parfait pour éliminer le flux de la bile.
  • Comme nous le savons, l’artichaut est très fréquent dans les régimes. Grâce à ses fibres végétales, il est idéal pour contrôler notre appétit, car il nous apporte une sensation de satiété très efficace.
  • Il est connu pour son apport en vitamines (A et B) et en minéraux (sodium, fer, magnésium, potassium).
  • Il a aussi des propriétés diurétiques, et nous aide à éliminer la rétention de liquides du corps, et à le purifier des toxines.
    Il est donc idéal pour les problèmes de goutte, d’arthrite, de maladies hépatiques, de problèmes de circulation sanguine et pour réduire les graisses en cas d’obésité.

Comment consommer l’artichaut ?

Comment consommer l’artichaut ? image pixabay

La meilleure manière de consommer l’artichaut est à la vapeur et cuit. Une fois qu’il est prêt, il peut être accompagné d’huile d’olive et de vinaigre de pomme. Il est très sain et savoureux.

  • Avant la cuisson, il faut le nettoyer et le couper un peu : le pied et la peau extérieure.
  • Pour le cuire, mettez-le dans une casserole d’eau et ajoutez le jus d’un ou deux citrons.
  • Ensuite, couvrez la casserole et quand l’eau commence à bouillir, laissez 30 ou 40 minutes à feu doux.

L’un des grands problèmes lorsqu’on fait bouillir un artichaut, c’est son oxydation rapide. Quand on lui enlève les feuilles, il devient vite noir. C’est pour cela qu’il est important de le frotter avec du citron.

Cela aide également d’ajouter un peu de persil dans l’eau de cuisson de l’artichaut. Le persil génère une substance qui évite l’oxydation.

  • Une fois le temps écoulé, sortez-le du liquide (que vous pouvez conserver) et égouttez. Il est prêt à la consommation.

Nous vous recommandons de lire : Contrôlez vos niveaux élevés de sucre dans le sang avec ces 5 jus maison

L’infusion à l’artichaut




Source https://amelioretasante.com Partagé par www.eveil.tv

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Les meilleurs remèdes naturels pour soulager et mieux contrer la toux

Il y a deux types de toux:

La toux grasse: C’est le moyen qu’utilise votre organisme pour évacuer le mucus. Vous devriez l’encourager, histoire de vous débarrasser du mucus le plus vite possible et, en conséquence, de la toux elle-même. Si une toux incessante irrite votre gorge, essayez la technique suivante: dès que vous sentez la toux venir, toussotez à plusieurs reprises puis allez-y d’une bonne expectoration. Les toussotements rapides contribuent à faire remonter le mucus dans les voies respiratoires et la toux forte permet de l’évacuer.

La toux sèche: Dans ce cas, la solution consiste à enduire la gorge d’une couche protectrice et à calmer le chatouillement.

Découvrez sans plus tarder les meilleurs remèdes maison pour mieux combattre et soulager la toux.

Sirops maison contre la toux

1. Sirop à base de jus de citron, piment de Cayenne et miel

Mélangez du jus de citron avec un peu de miel, ajoutez une pincée de piment de Cayenne et avalez. Le miel revêt la gorge d’une couche protectrice, calmant les tissus irrités tandis que le jus de citron soigne l’inflammation tout en fournissant de la vitamine C, aux propriétés anti-infectieuses. Quant au piment, il augmente l’apport de sang dans la région atteinte, accélérant ainsi la guérison. Ou, mélangez 2 cuillerées à soupe de jus de citron et 1 cuillerée à soupe de miel, et réchauffez la préparation. Prenez une cuillerée à thé à la fois, aussi souvent qu’il en faut pour vous soulager.

2. Sirop à base de jus de citron, miel et fleurs de marrube

Voici la recette d’un sirop ancien particulièrement savoureux : coupez 3 citrons en tranches que vous mettrez dans une casserole avec du miel et quelques feuilles et fleurs de marrube. Le marrube, une plante amère qui a longtemps été utilisée dans la confection de bonbons pour la toux, agit comme irritant, suscitant le réflexe de la toux et l’évacuation du mucus. Faites mijoter la préparation jusqu’à ce que le sirop épaississe, passez et laissez refroidir.

3. Sirop maison à base d’oignons et de miel

Ou encore, pelez et hachez finement 6 oignons moyens. Ce légume contient des composés irritants qui provoquent le réflexe de la toux et font remonter le mucus. Mettez-les dans la partie supérieure d’un bain-marie avec ½ tasse de miel. Couvrez et laissez mijoter 2 heures. Passez la préparation et versez dans un pot. Prenez 1 cuillerée à soupe de ce sirop toutes les 2 ou 3 heures.

4. Sirop à base de miel et de clous de girofle

Vous pouvez aussi mélanger 5 ou 6 clous de girofle avec 1 tasse de miel. Laissez la préparation reposer au réfrigérateur toute la nuit. Le lendemain matin, retirez les clous. Prenez 1 cuillerée à thé ou à soupe de ce miel au besoin. Le clou de girofle apaise la douleur tandis que le miel calme les tissus enflammés de la gorge.

Tisanes maison, thé vert et soupe pour mieux combattre la toux

1. Tisane antitussive à base de thym frais

En plus d’être expectorant, le thym renferme des substances qui calment les voies respiratoires. Mettez 2 cuillerées à soupe de thym frais (ou 1 cuillerée de thym sec) dans une tasse d’eau chaude. Laissez infuser, filtrez, ajoutez du miel si désiré et buvez.

2. Tisane à base de guimauve

Mélangée avec de l’eau, la guimauve libère du mucilage, une substance visqueuse qui revêt la gorge d’une couche protectrice et éclaircit le mucus présent dans les poumons, ce qui facilite son évacuation. Faites infuser 2 cuillerées à thé de la plante séchée dans une tasse d’eau chaude. Prenez trois tasses par jour.

3. Tisane à base de réglisse

Diluez 45 gouttes de teinture de réglisse dans une tasse d’eau chaude et buvez cette préparation à petites gorgées. La réglisse éclaircit le flegme et soulage les spasmes bronchiques. Mise en garde: ne prenez pas de réglisse pendant plus de quelques semaines, car elle peut causer une élévation de la pression artérielle.

4. Tisane aux fleurs de marrube

Faites infuser 2 cuillerées à thé de feuilles ou de fleurs de marrube dans une tasse d’eau bouillante, passez et buvez.

5. Tisane épicée

Les praticiens de l’ayurveda, médecine traditionnelle de l’Inde, recommandent de prendre chaque jour quelques tasses d’une tisane épicée. Pour la préparer, mettez dans une tasse d’eau bouillante 1/2 cuillerée à thé de gingembre, une pincée de cannelle et une pincée de clou de girofle, toutes trois sous forme de poudre.

6. Thé vert et jus de citron

Si vous voulez un remède naturel, vous pouvez opter pour le thé vert avec un filet de jus de citron. Cette boisson aide à rester hydraté, ce qui est essentiel pour être en bonne santé. Le fait que le thé vert renferme de puissants antioxydants, tels que l’EGCG, est un avantage supplémentaire. Le filet de citron apporte du limonène antioxydant, de la vitamine C, ainsi que des bioflavonoïdes, qui aident à mieux absorber la vitamine C. Vous ne raffolez pas du thé vert? Vous pouvez de dissoudre un comprimé de vitamine C dans un verre d’eau.

7. Soupe au bouillon de poulet

Et n’oubliez pas la soupe au bouillon de poulet, cet excellent aliment réconfortant. Assurez-vous juste qu’elle est faite à partir de poulet. La vertu de soupe au bouillon de poulet viendrait en partie de la moelle osseuse. Ce doit être du bouillon d’un poulet, cuit avec les os.

Bonbons maison pour contrer la toux

1. Bonbons au marrube

Pour soigner une toux grasse, sucez un bonbon au marrube, une plante douce-amère qui agit comme expectorant, c’est-à-dire qu’elle suscite le réflexe de la toux en vue d’évacuer le mucus. Vous trouverez des bonbons au marrube à la pharmacie.

2. Pastilles à l’orme rouge

Pour soigner une toux sèche, prenez des pastilles à l’orme rouge. Préparées avec l’écorce de l’arbre, ces pastilles se retrouvaient jadis dans toutes les armoires à pharmacie des maisons. L’écorce contient une substance gélatineuse qui revêt la gorge d’une couche protectrice et calme la toux.

3. Bonbons au citron

Vous ne disposez pas de pastilles à l’orme rouge? Pour la toux sèche, n’importe quel bonbon fera l’affaire : en vous faisant saliver, les bonbons ont pour effet de supprimer la toux. Les bonbons au citron sont particulièrement efficaces contre la toux grasse.

4. Bonbons à la menthe et jus de citron

Ou encore, préparez la « potion » suivante : mettez des bonbons à la menthe et du jus de citron dans une petite casserole et faites chauffer jusqu’à ce que les bonbons soient dissous. Ajoutez du miel et mélangez bien. Prenez 1 ou 2 cuillerées à soupe de ce mélange au besoin.

5. Sucre candi préparé à la maison

Fait de sucre cristallisé, le sucre candi était jadis largement utilisé dans les sirops pour la toux. Voici une recette : mélangez une boîte de ce sucre avec 450 g de raisins secs, le jus de 3 citrons, ½ tasse de sucre blanc et assez de whisky pour que la préparation forme un sirop. En voici une autre : 450 g de sucre candi, 4 dés à coudre de brandy, ½ pot de miel et le jus de 3 citrons. Dans les deux cas, vous devrez faire la préparation à l’avance afin d’en avoir sous la main la prochaine fois que vous aurez la toux. C’est qu’il faut quelques semaines pour que le sucre candi se dissolve.

D’autres remèdes naturels pour mieux combattre la toux

1. L’eau pour mieux évacuer le mucus par la toux

L’eau fait partie des remèdes maison que des experts conseillent tant aux adultes qu’aux enfants. «En cas de toux productive, souligne Andrew Leeds, l’eau est le meilleur expectorant. Une bonne hydratation facilite l’évacuation du mucus par la toux.»

2. Vapeurs nocturnes

Pour prévenir les toux nocturnes, veillez à ce que l’air de votre chambre soit humide, particulièrement durant l’hiver : installez un humidificateur.

3. Vaporisateur à base d’eucalyptus ou menthe poivrée

Pour dégager vos voies respiratoires et soulager la sensation de serrement dans votre gorge, vous pouvez mettre quelques gouttes d’essence d’eucalyptus ou de menthe poivrée dans un vaporisateur à vapeur; pour diminuer les sécrétions de mucus, irriguez vos voies nasales au moyen d’un pot neti.

4. Le chocolat chaud comme antitussif

À l’instar du thé vert, le chocolat chaud renferme de la théobromine, substance qui supprime la toux, un peu comme le fait la codéine.

5. Onguent à frictionner

Procurez-vous un onguent à frictionner qui contient du camphre ou du menthol et appliquez-en sur votre gorge et votre poitrine. Attention, toutefois : ne prenez pas ce genre de produit par voie interne.

6. Mouche de moutarde

Vous pouvez aussi appliquer une mouche de moutarde qui agira comme décongestionnant. Mélangez dans un bol une partie de moutarde en poudre et deux parties de farine. Ajoutez juste assez d’eau pour former une pâte. Étalez la pâte sur un linge propre que vous replierez avant de l’appliquer contre votre poitrine (ne mettez jamais la mixture directement en contact avec la peau).

Vérifiez régulièrement l’état de votre peau; si elle est rouge ou irritée, interrompez le traitement. Certains utilisent un blanc d’œuf à la place de l’eau afin d’atténuer la sensation de chaleur que produit la moutarde sur la peau. Il faut toutefois être prudent, car la moutarde produit une chaleur chimique et peut entraîner une brûlure chimique. Assurez-vous d’avoir la bonne proportion de moutarde et de farine et couvrez avec une gaze. Vérifiez régulièrement l’état de votre peau; si elle est rouge ou irritée, interrompez le traitement. Certains utilisent un blanc d’œuf à la place de l’eau afin d’atténuer la sensation de chaleur que produit la moutarde sur la peau.

7. Remède à percussion

Si vous pouvez obtenir le concours d’un partenaire, cette technique de percussion contribuera à dégager vos bronches. Couchez-vous à plat ventre sur un lit ferme ou un tapis. Demandez à votre partenaire de former une coupe avec ses mains et de frapper votre dos de manière rythmique en partant du bas et en remontant vers le cou. Demandez-lui de continuer ainsi jusqu’à ce que vos bronches soient dégagées.

Médicaments en ventre libre contre la toux

1. Produits comprenant de la codéine

Parmi ces produits, le Benylin Rhume et grippe, avec codéine (que les pharmaciens gardent habituellement derrière le comptoir, bien qu’il ne soit pas nécessaire d’obtenir une ordonnance pour se le procurer), agissent en supprimant le réflexe de la toux. Ils présentent toutefois des effets indésirables, dont de la somnolence et des troubles gastro-intestinaux. Chez les personnes qui en font un usage anormal, ils peuvent également provoquer la dépendance.

2. Décongestionnants

Les décongestionnants, qui agissent en rétrécissant les vaisseaux sanguins des voies nasales et en asséchant les sécrétions de mucus (par exemple, Sudafed Décongestionnant 12 heures et Tylenol Douleur et congestion sinusales, qui renferme de la pseudoéphédrine). Habituellement vendus pour soulager les symptômes allergiques, ils peuvent être utiles si la toux est causée par la rhinopharyngite.

3. Antihistaminiques

Certains antihistaminiques peuvent calmer le réflexe de la toux quand il est déclenché par des allergies (par exemple, Benadryl allergies, qui contient de la diphenhydramine). Ils bloquent l’effet des histamines, substances chimiques que l’organisme produit en présence d’une réaction allergique. Ils peuvent causer de la somnolence, des vertiges et des hallucinations.

4. Pastilles au miel

Les pastilles sont aussi à recommander parce que la salive supplémentaire contribue à apaiser la toux. Lorsque vous vous procurez des pastilles, veillez à ce qu’ils contiennent du miel, un antitussif éprouvé.

Polémique entourant les médicaments en ventre libre contre la toux

Il existe présentement une certaine confusion autour de l’efficacité des médicaments en vente libre, ce qui n’empêche pas les gens d’en prendre régulièrement: en effet, les Canadiens dépensent plus de 80 millions de dollars par année pour s’en procurer. Les médicaments contre la toux en vente libre ne soulagent que les symptômes. «Il y en a deux grandes catégories», rappelle Andrew Leeds, pharmacien et conférencier à la pharmacie clinique de l’Université de la Californie à San Francisco:

Les antitussifs: ils contiennent du dextrométhorphane, substance qui, en agissant sur des récepteurs du cerveau, inhibe le réflexe de la toux, explique Andrew Leeds. (Les principaux: Vicks Custom Care Toux sèche, Robitussin DM CoughGels, Antitussif à action prolongée Triaminic et Buckley’s DM.)

Les expectorants: ils ont pour effet de diluer les sécrétions des voies respiratoires, habituellement sous l’action de la guaifénésine, ce qui permet de les évacuer plus facilement, souligne Andrew Leeds (Les principaux: les produits anti-mucosités Benylin et Balminil expectorant.)

Certains experts disent que les médicaments en vente libre ne sont pas efficaces

Il n’y a pas de doute que des millions de Canadiens y trouvent un soulagement à leurs symptômes. Cependant, après avoir passé en revue 25 essais, des chercheurs en ont conclu que rien ne permettait d’affirmer que les médicaments en vente libre aient un quelconque effet sur la fréquence ou la gravité de la toux aiguë. Au vu des résultats, d’autres chercheurs pensent qu’ils n’ont qu’un effet placébo.

Lors d’une étude menée par Ronald Eccles au Common Cold Centre de l’Université Cardiff (Royaume-Uni), on a découvert que le soulagement qu’éprouvent les personnes qui prennent des antitussifs est dû, dans 85 pour cent des cas, au fait qu’elles croient à l’efficacité du médicament, l’effet réel de ce dernier ne comptant que pour 15 %. Quant aux expectorants, il n’existe pour l’heure aucune preuve indiquant qu’ils seraient plus efficaces qu’un placébo.

…Mais d’autres experts affirment au contraire affirment qu’ils le sont pour contrer la toux

En revanche, Gerry Harrington, directeur des affaires publiques pour Produits de santé consommateurs Canada, organisation représentant les fabricants de médicaments en vente libre et de produits de santé naturels, est convaincu que les médicaments contre la toux soulagent temporairement les symptômes et affirme que la dernière étude précitée présente des lacunes. Quand le dextrométhorphane a été approuvé dans les années 1950, explique-t-il, les essais ont été effectués sur des sujets chez qui on avait provoqué artificiellement la toux; on a prouvé que le médicament était efficace.

Cependant, les études plus récentes excluent cette méthodologie et préfèrent mener les essais sur des sujets enrhumés. Selon lui, il n’est pas pertinent de faire entrer en ligne de compte la cause de la toux, puisque «ces produits ne sont pas présentés comme des médicaments qui peuvent guérir, mais plutôt qui soulagent les symptômes de la toux. Nous savons pertinemment qu’il n’y a pas de traitement pour le rhume et que les médicaments contre la toux ne sont pas des antiviraux».

Toujours selon lui, ce n’est pas étonnant que les résultats des derniers essais indiquent que ces médicaments ne sont guère plus efficaces qu’un placébo. «Au quatrième ou cinquième jour d’un rhume, ce qui correspond habituellement au moment où l’on recrute pour un essai, les sujets des deux groupes vont déjà nettement mieux, dit-il. Il est donc très difficile de relever des différences significatives entre leurs résultats, seule méthode permettant de démontrer l’efficacité d’un médicament.»

Quand consulter un médecin lorsque vous avez la toux?

La toux disparaît habituellement d’elle-même au bout de 7 à 10 jours. Si la vôtre dure plus de 2 semaines ou si vous crachez du sang lorsque vous toussez, vous devriez consulter.

La toux chronique est habituellement sèche, donc non productive, et dure plus d’un mois. Divers facteurs peuvent la causer, dont l’asthme, une allergie, la rhino-pharyngite, le reflux acide ou certains médicaments. La toux grave peut avoir pour conséquence de déchirer des muscles ou de casser des côtes, sans compter qu’elle peut perturber le sommeil, ce qui entraîne de la fatigue et d’autres problèmes de santé. Il est donc important de la soulager, ne serait-ce que temporairement. Selon la cause sous-jacente, elle est habituellement traitée au moyen d’anti-inflammatoires en inhalation, de décongestionnants topiques, de solutions salines nasales ou de médicaments anti-reflux.

La toux peut être le symptôme d’une maladie plus grave, par exemple la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ou l’asthme. Elle pourrait même être le signe d’une insuffisance cardiaque congestive, particulièrement si elle est accompagnée d’une respiration sifflante, d’un souffle court, ou d’une enflure des jambes. Si, en plus de tousser, vous ressentez des douleurs aiguës à la poitrine, vous frissonnez ou votre température est de plus de 38.3°C (101°F), vous avez peut-être une pneumonie.

Consultez votre médecin si votre toux change, si elle augmente plutôt que de diminuer ou si vous constatez une augmentation de la glaire. Un mucus épais et jaune, par exemple, pourrait être le symptôme d’une infection bactérienne; s’il est vert, d’une infection virale; s’il est clair, d’allergie ou de bronchite. «Si votre toux et la glaire persistent ou s’aggravent après une semaine, dit Wylde, consultez un médecin sans attendre.»

La majorité des pneumologues affirment que la toux est une bonne chose. «C’est un réflexe naturel qui permet d’éliminer des voies respiratoires les irritants nocifs et les sécrétions telles que le mucus (ou flegme)», rappelle le docteur Andreas Freitag, professeur adjoint de médecine et de pédiatrie à l’Université McMaster. La toux est considérée comme aiguë (toux habituellement sèche et causée par une infection virale) si elle dure une ou  deux semaines; si elle se prolonge au-delà de deux semaines, consultez votre médecin.

Les infections virales affaiblissent l’immunité, explique le docteur Brian Levine, directeur médical de The Cough Center de Laguna Hills (Californie). En conséquence, les personnes atteintes peuvent contracter une infection bactérienne, par exemple une bronchite ou une pneumonie, que l’on pourra traiter au moyen d’antibiotiques. La toux est alors dite «productive», c’est-à-dire qu’elle s’accompagne de sécrétions bronchiques, et est accompagnée de fièvre. Si c’est votre cas, consultez un médecin.

Comment mieux prévenir la toux?

Bien sûr, afin d’éviter que votre toux ne revienne, le meilleur remède demeure la prévention. Maintenir un bon système immunitaire est essentiel. Adoptez de saines habitudes de vie, assurez-vous de dormir suffisamment et d’avoir une alimentation riche en légumes et fruits colorés. Vous pouvez également consommer des aliments et suppléments de vitamine D.

La vitamine D est essentielle à la fonction immunitaire. Il est donc sage de faire vérifier votre taux de vitamine D par votre médecin. Découvrez également nos meilleurs trucs et conseils pour stimuler votre système immunitaire.  

 

Source http://selection.readersdigest.ca Partagé par www.eveil.tv

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Comment renforcer votre système immunitaire ?

Être immunisé signifie être protégé. Et le système immunitaire a cette mission : il s’agit de la défense naturelle que possède le corps pour lutter contre les infections. Ainsi, s’il est affaibli, la capacité de lutte de notre organisme s’affaiblit et nous devenons plus vulnérables à certaines maladies. Nous vous donnons ici quelques clés pour renforcer votre système immunitaire de manière naturelle.

Comment agit le système immunitaire

Les principales cellules du système immunitaire sont les leucocytes ou globules blancs. Ainsi, quand l’organisme détecte une menace, ces cellules se mobilisent et voyagent à travers le sang vers la source du problème. Leur fonction est de réparer le tissu qui a été endommagé, de servir de barrière de contention face à l’infection et de produire des substances qui sont à l’origine de la douleur, les algogènes.

L’inflammation est la façon qu’a le système immunitaire de lutter contre les infections, qu’elles soient causées par des bactéries, des champignons, des virus, des protozoaires ou des prions. Elle détecte les particules qui sont nocives à la santé et, face à leur invasion, réagit en les attaquant et en les détruisant. L’inflammation s’achève seulement quand la menace disparaît.

S’il ne fonctionne pas correctement…

Quand le système immunitaire est touché, les répercussions négatives sur l’organisme peuvent être multiples. Parmi elles, l’immunodéficience, la “baisse de la garde” du système. De cette façon, les mécanismes de protection et les défenses naturelles de l’organisme sont moins actifs que d’habitude.

On peut aussi voir apparaître certaines maladies auto-immunes qui font que le système attaque par erreur les cellules saines du corps. L’organisme ne parvient plus à faire la différence entre ses propres tissus et les agents infectieux. Etant donné qu’il est confus, il enflamme des parties du corps qui sont saines. Il existe plus de 80 types de maladies auto-immunes et même si dans beaucoup de cas leurs causes sont inconnues, on pense qu’elles ont un fort composant héréditaire. Elles ont une plus forte prévalence chez les femmes.

Les clés pour renforcer votre système immunitaire

Tout comme il existe des facteurs internes qui altèrent son bon fonctionnement, il existe d’autres facteurs externes que nous pouvons mieux contrôler. Par conséquent, nous pouvons intervenir afin de les modifier et renforcer notre système immunitaire. Quels sont ces facteurs ?

Une alimentation équilibrée

Il s’agit du principal facteur qui peut renforcer le système immunitaire. L’alimentation doit être équilibrée. En d’autres termes, elle doit être basée sur la consommation de tous les nutriments dont nous avons besoin dans une juste mesure.

Les voici : des acides gras mono insaturés (fruits secs, saumon, thon, huile d’olive), des produits laitiers, des protéines, des hydrates de carbone, des vitamines, des minéraux et au moins 5 portions de fruits et légumes. En outre, d’autres nutriments qui peuvent compléter votre régime et contribuer à renforcer votre système immunitaire sont :

  • La vitamine E : elle est présente dans les huiles de germe de blé, de tournesol, de carthame, de maïs et de soja, ainsi que dans les amandes, les cacahuètes, les noisettes ou les légumes verts comme les épinards.
  • La vitamine C : elle prédomine dans des légumes comme le chou, des légumes verts comme le brocoli, et des fruits comme l’orange, le pomélo, la goyave et les citrons.
  • La vitamine A : on la retrouve dans le lait, le beurre ou le cheddar, ainsi que dans des légumes comme la carotte ou le chou.
  • Le fer : il est présent dans les viandes rouges maigres comme le veau ou le bœuf, les fruits de mer (coquillages), le foie et les œufs.
  • Le zinc et le sélénium : on les retrouve dans la viande de bœuf, de dinde et de poulet ou dans les crevettes, la langouste et, en général, dans la majorité des poissons. L’avantage est que ces minéraux sont présents dans presque tous les aliments que nous consommons habituellement.

Evitez les infections

Très souvent, notre hygiène et celle des aliments brillent par leur absence. Tout au long de la journée, nous mettons nos mains dans un grand nombre d’endroits : sur des poignées de portes, dans les toilettes, sur les touches des ordinateurs… Ainsi, les possibles virus ou bactéries qui se trouvent dans l’environnement peuvent nous affecter. C’est pour cette raison que vous devez bien vous laver les mains avant de porter n’importe quoi à votre bouche. Même si cela peut sembler évident, ce n’est pas quelque chose de futile et c’est une bonne manière d’empêcher les infections.

Par ailleurs, même si les aliments passent par une chaîne de sécurité alimentaire, il convient de bien laver les fruits et les légumes avant de les consommer. L’eau et le vinaigre suffisent pour cela. De la même façon, il est recommandé de maintenir la chaîne du froid au moment de cuisiner de la viande et du poisson.
Faire du sport

Une autre habitude qui peut nous aider est la pratique d’un exercice physique pendant 30 minutes et au moins 3 fois par semaine. Cette régularité maintient nos muscles en activité et aide à ce que chaque cellule de notre corps soit oxygénée et puisse mieux réaliser ses fonctions.

Il est fondamental que l’activité que nous réalisons implique de mettre en mouvement presque tous les groupes musculaires du corps. Par exemple, la natation, le tennis, le cyclisme, courir ou simplement marcher. Toutes ces activités favorisent la coordination, la flexibilité et la locomotion complète du corps.

Mais attention ! Car tout comme le sédentarisme nuit à la circulation sanguine et favorise l’apparition de certaines maladies cardiovasculaires, l’excès d’exercice peut faire augmenter la vulnérabilité de votre système immunitaire. Dépasser les limites de votre propre corps endommage vos défenses car vous le poussez à l’extrême et à l’exténuation. Il est important de calibrer cette intensité et de savoir jusqu’où vous pouvez aller ou non.
Méditation et relaxation

Le stress, l’anxiété ou la dépression ont très souvent le pouvoir de réduire votre capacité à faire face aux adversités. S’ils se présentent de manière continue, en plus d’altérer l’humeur, ils détériorent et affaiblissent vos résistances et favorisent l’apparition de maladies. Une bonne manière d’éviter cela et de renforcer votre système immunitaire est de pratiquer le yoga, le tai chi, le mindfulness ou la méditation. Ce sont des techniques de relaxation qui vous permettent d’améliorer votre respiration et, par conséquent, l’équilibre entre le corps et l’esprit.

image pixabay

Nous sommes constamment exposés à des agents nocifs: la fumée d’une cigarette, la pollution, la poussière, les aérosols… Renforcer votre système immunitaire est donc la meilleure façon de prévenir les dommages dans votre organisme. Si vous mettez en pratique ces quelques normes, votre système immunitaire sera renforcé et votre corps, au niveau général, vous en sera reconnaissant.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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ÊTES-VOUS ANCRÉ ?

développement personnel

Quand on est ancré, on est centré

Plus on est ancré, plus on s’élève

L’enracinement est essentiel. Il nous permet :

  • D’équilibrer nos corps physique, mental et émotionnel ;
  • D’avoir un lien profond entre le ciel et la terre ;
  • D’augmenter notre capacité de guérison ;
  • De libérer plus facilement l’énergie bloquée qui est en nous. 

Si vous n’êtes pas ancré et solidement enraciné dans la terre, vous serez coupé du réel. De nombreuses personnes souffrent de ne pas être ancrées. Elles ne sont plus dans le « ici et maintenant », mais sont souvent perdues dans leurs pensées à ressasser le passé ou à se projeter dans l’avenir.

Il est difficile aujourd’hui d’être bien ancré car le monde actuel nous sollicite en permanence et nous conduit à être toujours par la pensée à plusieurs endroits en même temps. Le mode de vie moderne, le stress, les déplacements fréquents (voiture, train, avion, métro) font que nous n’avons plus une bonne prise terre. Nous sommes aussi de moins en moins en contact avec la nature, et nous sommes continuellement absorbés et sollicités par les informations qui nous viennent de nos smartphones, des écrans télé, de l’actualité …

L’ancrage va nous aider à revenir dans l’instant présent. Il va permettre une connexion énergétique entre votre corps et le centre de la terre. Il va également relancer la circulation des énergies telluriques dans le corps et permettre une meilleure élimination des énergies stagnantes.

Lorsque vous vous enracinez, les énergies usées ou stagnantes, qui sont dans votre corps, vont se libérer sous vos pieds en retournant dans la Terre. Si vous n’êtes pas ancré, les énergies usées vont s’accumuler et elles vont peu à peu vous affecter. Si tel est le cas, vous allez-vous sentir fatigué, souffrir de douleur et de maux physiques inhabituels, et vous sentir émotionnellement vidé.  

Vous n’êtes pas ancré ?

  • Quand vous êtes trop dans le mental.
  • Quand vous êtes stressé, en train de courir partout, débordé, surmené, submergé.
  • Quand vous pensez tout le temps aux évènements du futur qui pourraient arriver.
  • Quand vous êtes en train de ressasser, de ruminer. Quand vous êtes tout le temps dans le passé.
  • Quand vous avez des difficultés à vous concentrer sur une tâche présente parce que vous pensez soit au passé, soit au futur.
  • Quand vous êtes fatigué, épuisé.
  • Quand vous avez des angoisses, des peurs, des idées négatives.

Pourquoi s’ancrer ?

  • Pour soulager tout un tas de problèmes tels que migraines, stress, pensées négatives.
  • Pour être moins fatigué et moins angoissé.
  • Pour être serein et confiant ici et maintenant, peu importe l’endroit où vous êtes.
  • Pour vous sentir à votre place et vous sentir mieux dans votre corps.
  • Pour être plus présent à son environnement et son entourage, ne pas être à côté de la plaque.
  • Pour relancer la circulation des énergies. Pour lâcher prise plus facilement : accepter la vie et moins lui résister.
  • Pour accomplir plus facilement vos projets.
  • Pour s’élever spirituellement. 

Que faire pour rester enraciné ?

  • Marcher pieds nus sur la terre et visualiser l’énergie qui s’écoule le long de vos pieds jusque dans la terre.
  • Technique de visualisation : installez-vous confortablement dans un fauteuil, Inspirez et expirez. Visualiser des racines qui sortent de vos pieds et de votre chakra racine. Imaginez que ces racines se ramifient et s’enfoncent, de plus en plus profondément, dans la terre, jusqu’au milieu de la terre. Arrivé là, demeurez un instant, l’esprit vide, et ressentez cet enracinement. Inspirez et Expirez. Demandez à recevoir les énergies de la terre, les énergies telluriques, qui sont puissantes et chaudes. Celles-ci vont remonter par les racines, puis entrer dans la plante de vos pieds, dans vos jambes, vos cuisses, votre ventre et se répandre dans tout votre corps. Vous êtes, maintenant, parfaitement ancré et relié à la terre. Les énergies telluriques vous donnent de la puissance, de la confiance, et de la sérénité. Faites cet exercice tous les jours.

  • Se promener dans la nature, se connecter à la nature environnante.
  • Faire du jardinage. Travailler la terre avec vos mains.
  • Activités sportives : marche, course, yoga, Tai chi…
  • Portez sur vous des cristaux qui ancrent tels que : la tourmaline noire, l’obsidienne noire, l’onyx noire, le quartz fumé ou les Moki Balls (pour le recentrage énergétique).
  • Prendre des huiles essentielles : cèdre de l’atlas, patchouli ou vétiver. Mettre deux gouttes sous la plante des pieds ou une goutte sur les avants bras. On peut aussi le faire en olfaction.

        Yannick Tschanz, Thérapeute énergéticienne

Source: http://www.neobienetre.fr/

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S’alimenter d’une nourriture vivante, un mode alimentaire idéal à adopter

L’alimentation vivante est le moyen de mieux consommer pour une meilleure santé.

Croyant de plus en plus dans le concept de la santé préventive, des habitudes de vies quotidiennes responsables sont l’un des meilleurs moyens pour :

– Ne plus tomber malade

– Avoir de la vitalité au quotidien

– Être débordant de créativité

– etc …

I. Qu’est ce que l’alimentation vivante ?

a) Les aliments vivants.

L’alimentation vivante consiste à manger une majorité d’aliments vivants. Les aliments vivants sont les aliments tels qu’on les trouve à l’état brut dans la nature, c’est à dire sans transformation de la part de l’homme (cuisson ou pasteurisation industrielle).

Concrètement, les aliments vivants sont :

– Tous les fruits sucrés,

– Tous les fruits gras,

– Tous les fruits oléagineux,

– Tous les légumes,

– Toutes les verdures,

– etc…

Les aliments vivants sont gorgés d’eau organique, essentielle à l’organisme parce qu’il est bon de rappeler que notre corps est composé à hauteur de 75% d’eau. Cette eau organique est riche en micronutriments dont :

– Les vitamines,

– Les antioxydants,

– Les sels minéraux,

– Les oligo-éléments,

– Les enzymes,

– etc …

Essentiels à l’organisme pour fonctionner de manière optimale, les micronutriments de nature organique sont présent principalement dans les aliments vivants.

b) Pourquoi est-il nécessaire de manger cru ?

Pour que les aliments soient vivants et riches en nutriments organiques, il est important qu’ils soient crus.

Depuis les célèbres travaux de Pasteur, on a pris conscience qu’un excès de bactéries (bonnes ou mauvaises) peut être responsable du développement des maladies. C’est pourquoi, depuis on a pris l’habitude de cuire et de pasteuriser nos aliments sans se rendre compte des conséquences. La chaleur détruit les micronutriments parce que ce sont des molécules très instables. Le simple fait d’élever la température d’un aliment vivant par la cuisson va détruire ses micronutriments.

Pour vous donner quelques chiffres :

– De 35°C à 50°C → Les arômes sont libérés et modifiés

– De 60°C à 75°C → La vitamine C est détruite

– De 40°C à 75°C → Les enzymes digestives sont détruites

– De 90°C à 95°C → Les vitamines B et E sont détruites en partie

– A 110°C → Les vitamines A et D sont oxydées

– A 120°C → Destruction des dernières vitamines et formation de composés néfastes

Il n’est pas bien méchant d’ajouter un aliment cru et vivant à chacun de ses repas de la journée :

– Un repas de fruits lorsque vous avez un creux entre les repas

– Une entrée de crudités avant votre repas habituel

– Un jus de fruit fraîchement pressé au petit-déjeuner pour faire le plein de vitalité

– Un jus de légumes avant le repas du midi et du soir pour favoriser la digestion

– Un smoothie aux fruits dès que vous avez envie de boire quelque chose

– etc …

c) Les différents types de cuissons.

Toutes les cuissons ne se valent pas. Il y a les cuissons douces et les cuissons intenses.

Faisons un récapitulatif très rapide des différentes cuissons :

– La cuisson à l’huile → Cuisson rapide et perte totale de micronutriments

– La cuisson au four → Cuisson lente et perte totale de micronutriments

– La cuisson au barbecue → Cuisson qui carbonise les aliments

– Le four au micro-ondes → Cuisson qui irradie les aliments

Ces cuissons sont les cuissons à éviter parce qu’elles détruisent tout le potentiel micro-nutritionnel des aliments. À l’inverse, il y a des cuissons douces à privilégier :

– La cuisson à l’eau → Pas de carbonisation, fuite des vitamines dans l’eau, évitez de faire cuire trop longtemps les aliments

– La cuisson à la vapeur → La meilleure des cuissons qui existe à l’heure actuelle.

Limite la déperdition micronutritionnelle.

II. L’alimentation vivante selon son créateur.

Le professeur Edmond Szekely a créé le concept de l’alimentation vivante dans les années 30 en instaurant une classification des aliments qui se distingue de la classification actuelle. La classification du professeur distingue les aliments en 4 catégories non pas en fonction de leur teneur en protéines, lipides, glucides ou autres mais en fonction de leur degré de vitalité.

a) Les aliments biogéniques.

Les aliments biogéniques génèrent la vie.

C’est la catégorie des super-aliments qui sont d’une richesse nutritionnelle considérable.

Voici quelques exemples de super-aliments :

– Les graines germées

– Les algues comme la spiruline

– La gelée royale

– Le ginseng

– Le cacao

– L’acérola

– etc …

b) Les aliments bioactifs.

Les aliments bioactifs maintiennent la vie.

C’est la catégorie d’aliments qui regroupe tous les végétaux crus qui ont conservé leur parfait état de fraicheur. Ce sont les aliments vivants cités précédemment qui respectent les 3 critères de la qualité nutritive : biologique, frais et local.

c) Les aliments biostatiques.

Les aliments biostatiques ralentissent la vie.

C’est la catégories des aliments cuits ou des aliments crus qui ont été conservés trop longtemps et ont perdu par conséquent leur état de fraicheur. Les plats surgelés sont les aliments les plus bioactifs des aliments biostatiques. Ce sont les produits animaux qui ont été élevé dans de bonnes conditions et nourris avec des aliments issus de l’agriculture biologique.

d) Les aliments biocidiques.

Les aliments biocidiques détruisent la vie.

C’est la catégorie d’aliments qui regroupe les aliments chimiques comme les aliments transformés par les industries en contenant notamment des additifs alimentaires. Les produits animaux issus des élevages intensifs contiennent des éléments chimiques qui dénaturent l’aliment de base. C’est pourquoi, ils détruisent la vie.

L’alimentation vivante regroupe les deux premières catégories d’aliments, c’est à dire les aliments vivants. Les aliments morts sont les deux dernières catégories qui n’apportent aucune vie à l’organisme. Un aliment qui ne pourrit pas (comme les sucreries) est mort et ne contient aucune valeur nutritive. Un aliment vivant pourrit rapidement parce qu’il contient une valeur nutritive qui s’estompe avec le temps.

En adoptant l’alimentation vivante comme principal mode alimentaire à mon quotidien avec des repas d’exception pour ne pas tomber dans la rigidité alimentaire, cela m’a permis de retrouver de l’énergie au quotidien, un meilleur état de santé en prévenant les maladies tout au long de l’année en assurant un équilibre du pH corporel même si l’alimentation n’est pas le seul facteur de santé.

Adrien Lamacchia –

Après avoir parcouru un certain chemin vers la santé parce que souvent malade jusqu’à l’âge de 22 ans, j’ai pris conscience de certains dangers et adopté plusieurs habitudes alliant santé, bien-être et vitalité que je partage désormais sur mon site internet : www.santebienetreglobal.com/

 

 

Trouvé sur https://www.sain-et-naturel.com Partagé par www.eveil.tv

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Le jeûne intermittent et ses bienfaits pour détoxiner le corps en profondeur

Thérapie millénaire reconnue à travers le monde entier dans de nombreuses médecines traditionnelles pour ses vertus thérapeutiques, le jeûne fait de plus en plus parler de lui. L’un des meilleurs moyens pour purifier le corps et l’esprit, le jeûne fut longtemps oublié mais revient à l’ordre du jour. Mais laissez-moi vous parler plus spécifiquement des bienfaits du jeûne intermittent.

1. Qu’est ce que c’est ?

 

Le jeûne intermittent, c’est jeûner “à moitié”. Contrairement au jeûne traditionnel qui consiste à s’abstenir de manger des journées entières, le jeûne intermittent permet d’alterner des périodes de jeûne et des périodes de prises alimentaires pendant une même journée.

Il est possible de découper sa journée selon un certain rapport : – 16 heures de jeûne / 8 heures de prises alimentaires
– 17 heures de jeûne / 7 heures de prises alimentaires,
– etc…


Sachez que plus la période de jeûne est prolongée, plus le jeûne intermittent sera efficace.

Concrètement, pour un rapport 16h/8h, j’arrête de manger à 20h et le lendemain je ne mange pas avant midi. J’organise mes repas entre 12h et 20h, j’arrête de nouveau à 20h et ainsi de suite. En résumé, le jeûne intermittent consiste à ne pas manger d’aliment solide pendant la matinée et d’attendre les alentours de midi pour faire son premier repas.

2. Pourquoi est-il difficile de ne pas manger le matin ?

Bien que le jeûne intermittent soit plus facile que le jeûne traditionnel et sans danger pour la santé, il ne s’agit pas d’une balade de santé pour autant. C’est en effet, très troublant de ne pas manger le matin, en particulier si on y est habitué.

Au réveil, on a le ventre qui peut être douloureux, grognant que l’on associe souvent à un signe de faim. En réalité, c’est le signe que le corps est en plein processus d’élimination. Les sensations d’élimination ne sont pas agréables à vivre mais il est important de patienter pour nettoyer le corps en profondeur. SI on mange, on arrête l’élimination et une nouvelle digestion se lance. C’est pourquoi il est préférable d’attendre la fin de l’élimination. C’est le but principal de pratiquer le jeûne intermittent.

Au bout de quelques jours de pratique du jeûne intermittent, les grognements de ventre s’arrêteront et vous pourrez vous passer de petit déjeuner facilement. Ça a été personnellement mon cas et la majorité d’entre nous doit passer par ces quelques jours de difficultés avant d’en tirer profit. Mais je vous conseille de prendre ces sensations positivement, en vous disant que votre corps est en train de se nettoyer donc c’est un mal pour un bien.

 

3. Manger dès le réveil : est-ce vraiment une bonne habitude ?

Manger dès le réveil est-il vraiment naturel pour l’être humain ? Est-il programmé physiologiquement pour manger dès le lever ? Nos ancêtres n’avaient pas l’habitude d’avoir de la nourriture à portée de main, les moyens de conservation de notre monde moderne n’existaient pas à l’époque. Ils devaient faire la cueillette des végétaux ou aller à la chasse pour se procurer de la nourriture. C’est ainsi qu’ils se nourrissaient plus tard dans la matinée.

Physiologiquement, le cycle d’élimination dure entre 5 heures et 10 heures du matin en moyenne. C’est pourquoi, nous devrions éviter de manger durant cette période. Notre corps a été génétiquement programmé pour fonctionner sous ce modèle d’alimentation. C’est pourquoi, le jeûne intermittent permet de s’alimenter de façon plus juste en fonction de nos besoins physiologiques durant la journée.

Le petit déjeuner est arrivé bien plus tard dans notre quotidien et a été considéré comme le repas le plus important de la journée. Rien de mieux qu’un pain au chocolat avec une tasse de café pour faire le plein d’énergie et se rendre productif au travail.

Cependant, physiologiquement, ce repas n’est pas indispensable et en particulier s’il est constitué de croissant, pain au chocolat et tartines avec du beurre et de la confiture. Evidemment rien n’empêche de prendre le petit déjeuner typique français quelques fois dans la semaine tant que ce n’est pas quotidien.

4. Le jeûne intermittent : un allié de santé.

De plus en plus d’études sortent tous les jours pour montrer les bienfaits incroyables du jeûne intermittent. Il s’agirait de l’une des thérapies les plus efficaces pour prévenir et traiter de nombreux troubles de santé.

Voici une liste non exhaustive des bienfaits des bénéfices que l’on peut attendre du jeûne intermittent :

  • –  Perdre du poids
  • –  Réguler la satiété (l’envie de manger)
  • –  Améliore les facultés intellectuelles
  • –  Alcalinise le corps et ré-équilibre le pH corporel
  • –  Prévient les risques de diabète de type 2
  • –  Prévient les risques de maladies cardio-vasculaires
  • –  Prévient le mauvais cholestérol
  • –  Allonge la durée de vie
  • etc…5. Pourquoi le jeûne intermittent est-il si efficace ?

Lorsque l’on jeûne, le corps est en mode nettoyage. Lorsque vous ne mangez pas, l’énergie que vous économisez parce que la digestion utilise 50% de l’énergie totale du corps en moyenne, cette énergie sera utilisée pour nettoyer le corps. Derrière le nettoyage dont je parle se cache le principe de l’homéostasie propre à tout organisme humain.

“Tout système laissé à lui-même en l’absence de perturbation extérieure revient spontanément au bout d’un certain temps à son état d’équilibre au travers de multiples processus régulateurs.“

Concrètement, lorsqu’on ne digère pas un repas, notre corps mobilise son énergie pour se nettoyer et s’autoguérir naturellement. C’est un moyen gratuit et accessible à tout moment et pour tout le monde. L’homéostasie est régénérateur de l’organisme, c’est pourquoi on peut pratiquer le jeûne intermittent sur le court, moyen ou long terme.

J’ai personnellement pratiqué le jeûne intermittent plusieurs mois consécutifs et l’effet général est une sensation de bien-être augmentée, sans maladie (même en hiver) et une vitalité en constante progression.

En conclusion

 Tout jeûne important, qu’il soit complet ou partiel (avec apport calorique journalier inférieur à 300 kcal), ne doit être effectué qu’au sein d’une structure médicalisée pour éviter la survenue d’effets indésirables graves. À ce jour, aucune structure médicalisée ne propose ce type de pratique en France.
Concernant la pratique du jeûne sous encadrement médical, il n’existe à ce jour pas d’études scientifiques suffisamment nombreuses et rigoureuses permettant de conclure quant à son efficacité thérapeutique ou préventive.

Je m’appelle Adrien Lamacchia, après avoir parcouru un certain chemin vers la santé parce que souvent malade jusqu’à l’âge de 22 ans, j’ai pris conscience de certains dangers et adopté plusieurs habitudes alliant santé, bien-être et vitalité que je partage désormais sur mon site internet : www.santebienetreglobal.com/

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Les Huiles Essentielles liées au Chakra du troisième oeil

spiritualité

Arômes et Energie 

Les Huiles Essentielles liées au Chakra du troisième oeil

14/2/2015

Arômes et Energie 

Le sixième Chakra , Ajna (Maîtrise) ou Centre frontal ou encore du troisième oeil , est relié à la couleur Indigo, au sixième sens ou intuition , à l’élément lumière.

« Je perçois »

Ce Chakra est associé aux facultés cognitives de l’esprit , il ouvre les capacités d’analyse et de synthèse mais aussi établit un lien avec les hautes fonctions de la conscience. C’est aussi le centre de la vision interne ou clairvoyance.

Un Chakra du troisième oeil bien équilibré présente quelqu’un de charismatique, une personne intuitive, non attachée aux biens matériels,

En excès, la personne pourra se montrer dogmatique , autoritaire et arrogante, aura une tendance à l’intellectualisation excessive avec une supériorité intellectuelle.

En défaut ou ralenti , la personne est plutot indisciplinée, hypersensible avec un manque de personnalité et d’esprit critique.

Huiles Essentielles et Chakra du troisième oeil

Quelles sont les Huiles Essentielles actives et bénéfiques pour équilibrer le Chakra du troisième oeil ?

– Epinette Blanche, Picea Glauca

– Helichryse Italienne, Helichrysum Italicum

– Hysope Couchée, Hysope decumbens

– Menthe poivrée, Mentha Piperata

Romarin Verbenone ,
Rosmarinus officinalis CT verbenone

– (Sauge Officinale, Salvia officinalis )

Certaines Huiles Essentielles prsentées ici ont une action sur d’autres chakras, telles la Menthe Poivrée ou le Romarin Verbénone ; la sauge officinale est entre parenthèse car neurotoxique et abortive je ne la conseillerais pas sans l’avis d’un médecin.

Comment utiliser ces Huiles Essentielles ?

(Ne pas hésiter à cliquer sur chaque Huile Essentielle pour accéder à la fiche pratique et ainsi trouver celle qui correspond le mieux à votre besoin. Certaines sont en cours d’écriture.)

–  en application : 1 goutte diluée dans 1 goutte d’Huile végétale sur le front loin des yeux
–  en olfaction : 1 goutte sur une touche olfactive ou sur un mouchoir en papier à sentir « en conscience » 5 minutes plusieurs fois par jour

– en méditation : se connecter à l’Energie, l’Âme de la plante pour que celle ci apporte ses bienfaits en toute bienveillance et pour le plus grand bien du méditant.

–  en diffusion 1/2 heure le matin dans la pièce à vivre (sauf Menthe Poivrée et Helichryse Italienne)
– en bain aromatique  (sauf Menthe Poivrée ): diluer 5 gouttes dans un dispersant (Disper, noix de gel douche ou lait ) avant de mélanger dans le bain. En douche aromatique: ajouter 2 à 5 gouttes à du gel douche neutre.

Chaque personne est différente, la diversité des Huiles Essentielles permet de s’adapter aux besoins de chacun, en se liant à l’Energie, l’Âme de la plante. C’est pour cela qu’il n’y a pas qu’une seule réponse, mais plein de possibilités.
Pour connaitre celle qui sera en adéquation avec son besoin, il faut tester, essayer , recommencer! Et pourquoi ne pas faire confiance à son intuition ?

Trouvé sur www.latelierdetara.com

Deux huiles essentielles contre le Rhume

remède naturel - eveil tv

Propriétés et indications sur le plan physique

Propriétés particulières de l’huile essentielle de Cannelle feuille

  • Anti-infectieuse à large spectre (anti-fongique, antivirale, antibactérienne, anti-parasites)
  • Stimulante digestive

Autres propriétés :

  • Tonique générale
  • Stimulant du système immunitaire

Indications et modes d’utilisation de l’huile essentielle de Cannelle feuille sur le plan physique 

Les indications ci-dessous sont listées par ordre alphabétique :

Bienfaits immunitaires :

  • Fatigue : en application cutanée diluée dans une huile végétale, masser le dos et les plantes de pieds ou en olfaction
  • Maladie tropicale (amibiase, fièvre typhoïde ..) : par voie interne, consulter un thérapeute
  • Diarrhées infectieuses : en application cutanée diluée dans une huile végétale, masser l’abdomen ou par voie interne, consulter un thérapeute
  • Infections intestinales (streptocoque, staphylocoque, colibacille, candidose, etc.) : par voie interne, consulter un thérapeute

Bienfaits ORL et respiratoires :

  • Grippe : en application cutanée diluée dans une huile végétale, masser la colonne vertébrale et les voutes plantaires ou par voie interne, consulter un thérapeute
  • Infection ORL ou respiratoire :  en application cutanée diluée dans une huile végétale, masser la colonne vertébrale ou par voie interne, consulter un thérapeute
  • Pharyngite : par voie interne, consulter un thérapeute
  • Rhume : en application cutanée diluée dans une huile végétale, masser le dos et les voutes plantaires ou par voie interne, consulter un thérapeute

Bienfaits uro-génitaux :

  • Infection urinaire (cystite, etc.) : par voie interne, consulter un thérapeute
  • Infection génitale : par voie interne, consulter un thérapeute

Bienfaits cutanés :

  • Mycose des pieds : en application cutanée, diluée dans une huile végétale, appliquer directement sur les zones concernées
  • Verrues : en application cutanée pure directement sur la verrue (veiller à ne pas appliquer sur la peau)

Propriétés particulières de l’huile essentielle de Cannelle feuille

  • Tonifiante du système nerveux
  • Tonique sexuelle

Indications et modes d’utilisation de l’huile essentielle de Cannelle feuille sur le plan psycho-émotionnel

Les indications ci-dessous sont listées par ordre alphabétique :

  • Angoisse : en olfaction
  • Asthénie physique et/ou psychique : en olfaction
  • Déprime latente, idées noires : en olfaction
  • Frigidité, impuissance : en olfaction
  • Inhibitions mentales : en olfaction
  • Somnolence : en olfaction

Bienfaits digestifs :

Précautions d’emploi de l’huile essentielle de cannelle (feuille)

La cannelle (feuille) est déconseillée chez les femmes enceintes et allaitantes et chez les enfants de moins de 8 ans.

Lors d’un usage cutané, il est recommandé de l’utiliser fortement diluée, car l’huile essentielle de cannelle (feuille) est dermocaustique (= irrite la peau). Toujours précéder l’utilisation cutanée d’un test dans le pli du coude.

Ne pas utiliser l’huile essentielle de cannelle (feuille) dans le bain et en inhalation. Lorsqu’elle est utilisée en diffusion, il convient de l’associer à des huiles essentielles plus douces (Lavande, Orange douce, etc.).

La cannelle feuille est hépatotoxique à doses fortes ou répétées.

Les personnes sujettes à l’hypertension et/ou souffrant de problèmes hépatiques doivent impérativement consulter un spécialiste ou éviter son utilisation.

Huile essentielle de pin sylvestre

L’huile essentielle de Pin sylvestre est principalement utilisée sur le plan respiratoire du fait de ses propriétés expectorantes et décongestionnantes. Elles lui permettent d’agir contre la toux et les mucosités rencontrées lors de la sinusite, de la bronchite ou du simple rhume. C’est par ailleurs un antiseptique et un antalgique remarquable au parfum délicatement résineux.

Cette fiche sur l’huile essentielle de pin sylvestre présente ses propriétés thérapeutiques, ses indications principales, ses modes d’utilisation et les précautions spécifiques à prendre avant son usage.

Les principaux maux traités par l’huile essentielle de Pin sylvestre :

  • Fatigue
  • Convalescence
  • Infection virale, infection bactérienne
  • Grippe
  • Rhume
  • Sinusite
  • Bronchite
  • Troubles ORL
  • Douleurs musculaires
  • Circulation sanguine
  • Hypotension
  • Stress

Propriétés de l’huile essentielle de pin sylvestre

Les propriétés de l’huile essentielle de Pin sylvestre s’expliquent par la présence de composés actifs à l’origine présents dans les aiguilles et pommes de pin de Pinus sylvestris.

Pour la santé

Expectorante et mucolytique

La richesse de l’huile en alpha pinène permet de stimuler les glandes à mucine, ce qui fluidifie le mucus et facilite son élimination. Une propriété très intéressante pour lutter contre la toux.

Décongestionnante respiratoire

Grâce à sa richesse en alpha pinène et en limonène, l’huile de pin sylvestre tonifie les parois veineuses et contribue à améliorer la circulation sanguine et lymphatique. Le 1,8-cinéole est par ailleurs très actif pour apaiser les inflammations de l’arbre respiratoire tout entier.

Anti-inflammatoire et analgésique

Les pinènes contenus dans l’huile sont thermogènes, amenant une sensation de chaleur locale tandis que l’acétate de bornyle est un analgésique central et périphérique.

Stimulante hormonale

L’activité cortison-like de l’alpha pinène la rend efficace dans les asthénies, utilisable dans les bronchites, les sinusites et l’asthme.

Autres propriétés :

  • Anti-infectieuse et antiseptique
  • Stimulante immunitaire
  • Anti-allergique
  • Décongestionnante veineuse et lymphatique
  • Décongestionnante utéro-ovarienne

Pour le bien-être

Dynamisante et tonifiante

Grâce à sa richesse en monoterpènes, l’huile essentielle de pin sylvestre est un tonique et stimulant général de l’organisme. Cette propriété s’explique par la stimulation des corticosurrénales.

Indications de l’huile essentielle de pin sylvestre

Grâce aux nombreuses propriétés décrites précédemment, l’huile de Pin sylvestre présente de multiples indications.

Pour la santé

Les déficiences immunitaires

La contribution de l’huile essentielle au système antioxydant et sa capacité immunomodulatrice permet d’augmenter globalement la réponse immunitaire aux agressions extérieures. Elle est donc conseillée en diffusion dans les chambres de malades, en cas de convalescence, d’épidémies et d’infections virales ou bactériennes.

Les troubles ORL et respiratoires

Grâce aux propriétés expectorantes, mucolytiques et antitussives du pin sylvestre, les infections ORL figurent parmi les indications de l’huile en inhalation, en diffusion ou en massage, en journée car l’huile essentielle est tonifiante : asthme, encombrement ORL, mucosités, infection ORL et respiratoire (rhinopharyngite, rhume, bronchite…), nez bouché, rhinite allergique, sinusite, toux.

Les troubles cutanés

Ses propriétés antibactériennes et antiseptiques incitent à l’utiliser en cas d’eczéma, de mycose cutanée ou de parasitose : diluer dans une huile végétale et appliquer sur la partie concernée.

Les douleurs articulaires et musculaires

Le potentiel anti-inflammatoire et antalgique du pin sylvestre permet de soulager l’arthrose, l’arthrite, la sciatique, le lumbago, les rhumatismes, les raideurs et les douleurs musculaires/articulaires (diluer dans une huile végétale et masser la zone douloureuse).

Les troubles de la circulation sanguine et l’hypotension

Diluer avec une huile végétale et masser la zone concernée pour profiter des vertus décongestionnantes veineuses de l’huile de pin sylvestre, et ses bienfaits sur les problèmes suivants : cellulite, jambes lourdes, rétention d’eau.

Incarner sa mission d’âme, c’est accepter de jouer le rôle terrestre qui est le plus aligné sur la vibration de son âme. Cela signifie cesser d’être dans l’errance, de donner son pouvoir à l’extérieur et reprendre notre véritable pouvoir intérieur pour ainsi redevenir le héros de notre vie.

Nous cessons alors d’être des esclaves, d’obéir à un bourreau, à des codes, à des règles et à des concepts de toutes sortes qui ne nous correspondent plus.(Lire l’article « Le courage d’être Soi »)

Nous redéfinissons le monde par rapport à nos propres règles.

Nous arrêtons de survivre et de ramper et nous nous redressons pour vivre enfin.

« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux »

Il ne s’agit pas de viser un point ou un objectif à l’extérieur pour essayer de l’atteindre par la force et la volonté.

C’est plutôt le contraire, c’est-à-dire revenir à l’intérieur et réactiver la connexion avec son jardin intime. Et à partir de cette connaissance de soi alors l’extérieur n’aura pas d’autre choix que de s’aligner. Nous prenons conscience que nous sommes ce que nous cherchons. L’extérieur n’est que le prolongement et le miroir de ce que nous sommes à l’intérieur.

Sur le temple de Delphes il est écrit « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux. ». C’est en faisant le voyage vers l’intérieur que notre compréhension de l’univers peut suivre et peut naturellement s’aligner à l’extérieur.

Nous redevenons le pilote de l’avion

L’auteur américain Mark Twain a écrit la citation suivante : « Les deux jours les plus importants de votre vie sont le jour où vous êtes né et celui où vous avez compris pourquoi. » C’est ce que j’ai personnellement ressenti lorsque je me suis alignée sur la mission de mon âme. C’est comme si tout s’éclairait et que tout faisait sens. Nous naissons une première fois à la terre puis nous venons véritablement au monde lorsque notre âme nous fait naître à la Vie.

Alors, c’est nous qui reprenons les commandes tout en ressentant que nous sommes guidés par notre âme. Tandis qu’avant les autres décidaient à notre place (chef, patron, hiérarchie, état…), nous acceptons désormais que quelque chose de plus grand que notre petit moi prenne les commandes. C’est comme si nous avions été pendant longtemps le passager de l’avion qui se laisse transporter et conduire et que nous redevenions le pilote. C’est grâce aux boutons que nous actionnons que l’avion peut décoller. Il y a cependant une autorité supérieure qui régit nos vols et à laquelle nous faisons entièrement confiance afin que les conditions de notre voyage soient les plus favorables possibles : la tour de contrôle symbolisant notre âme.

Inspirer et expirer Dieu

Incarner sa mission d’âme c’est être à l’écoute de l’inspiration divine et agir selon la volonté supérieure. L’homme de Vitruve dessiné par Léonard de Vinci est une représentation parfaite d’un être aligné sur la mission de son âme. Ses bras tendus à l’horizontale symbolisent son ouverture totale vers les plus hautes fréquences de Dieu. L’homme devient alors une coupe et un réceptacle pouvant recueillir l’information divine. Puis ses jambes, symbolisant l’action, obéissent aux données supérieures.

Lorsque l’on inspire Dieu, cela signifie que l’on ouvre ses antennes et que l’on se branche sur les plus hautes fréquences que nous puissions recevoir. Lorsque l’on expire Dieu, cela veut dire que l’on agit afin que nos guidances prennent vie dans la matière. Nous sommes à la fois le féminin et le masculin, l’inspiration et l’expiration, le réceptacle et le transmetteur, l’écoute et l’action.

Incarner sa mission d’âme c’est mettre au monde (dans la forme) le sans forme (l’âme). Cela signifie matérialiser ce que nous souffle notre âme.

Autres indications

  • Angoisse et anxiété
  • Concentration (favorise)
  • Déprime latente
  • Fatigue physique et psychique
  • Fixations (idées ou pensées persistantes)
  • Nervosité et agitation intérieure
  • Stress
  • Timidité

Utilisation de l’huile essentielle de pin sylvestre

L’huile essentielle de Pin sylvestre peut être utilisée de façons très différentes pour un large spectre de maladies et symptômes. Néanmoins, en cas de doute, il est recommandé de s’adresser à un professionnel afin de recueillir des informations personnalisées et sécurisées, adaptées à votre situation médicale, votre profil et votre âge.

Application cutanée, massage

Il est préférable de tester l’huile essentielle avant de l’utiliser (deux gouttes au creux du coude pendant au moins 24 heures afin de vérifier qu’il n’y ait pas de réaction).

Pour traiter les infections respiratoires, diluer une goutte d’huile essentielle avec quatre gouttes d’une huile végétale, puis appliquer sur le dos, la colonne vertébrale et les plantes de pieds.

  • Fatigue, convalescence : diluer avec une huile végétale et masser le haut des reins, le bas du dos et les plantes de pieds.
  • Toux : diluer avec une huile végétale et masser la colonne vertébrale et la plante des pieds.
  • Arthrite, arthrose, sciatique, lumbago : diluer avec une huile végétale et masser les zones douloureuses, également dans le bain en mélangeant à une base neutre.
  • Raideurs et douleurs musculaires : diluer avec une huile végétale et masser les zones douloureuses, également dans le bain mélangée à une base neutre.
  • Circulation sanguine (cellulite, jambes lourdes, rétention d’eau, etc.) : diluer avec une huile végétale et masser la zone concernée.
  • Hypotension : diluer avec une huile végétale et masser la colonne vertébrale, ou en olfaction et en diffusion.

Voie orale

Pour les problèmes digestifs, il est préférable de consulter un thérapeute avant d’envisager la voie orale.

Inhalation

Pour favoriser le bien-être, dissiper l’hypertension et éloigner les infections ORL, il est possible d’utiliser l’huile essentielle de pin sylvestre par :

  • inhalation humide : diluer quelques gouttes d’huile essentielle dans un récipient d’eau chaude puis inhaler les vapeurs ;
  • inhalation sèche : appliquer quelques gouttes d’huile essentielle de pin sylvestre sur un mouchoir ou un galet puis le respirer de temps en temps.
  • Stress : en olfaction ou en bain (5 gouttes mélangées au savon).

Diffusion

L’huile essentielle de Pin sylvestre fait partie des huiles compatibles avec la diffusion. Car son effet est tonifiant, préférez la diffuser en journée et diluez la avec d’autres huiles essentielles d’agrumes : elle peut être irritante pour les muqueuses. Choisir l’un des modes de diffusion suivants :

  • La diffusion par nébulisation. Ces diffuseurs, qui propulsent l’huile essentielle par une pompe, sont les plus efficaces, mais leur prix est généralement élevé et ils peuvent être plus ou moins bruyants.
  • La diffusion à ultra-sons (brumisation). Moins puissants, ces diffuseurs restent efficaces pour bénéficier des effets de l’huile essentielle dans des pièces fermées.
  • La diffusion par chaleur douce. Verser quelques gouttes d’huile essentielle dans le petit réceptacle de ces diffuseurs. Sous l’effet de la chaleur, les particules aromatiques volatiles se mêleront à l’atmosphère. A utiliser idéalement dans une petite pièce close.

Précautions d’emploi

L’huile essentielle de pin sylvestre convient aux femmes enceintes (de plus de 5 mois) et aux enfants de plus de 6 ans.

Cette huile essentielle est à éviter chez les personnes souffrant d’hypertension.

Le pin sylvestre peut occasionner une irritation cutanée, il est recommandé de procéder à un test cutané au niveau du pli du coude avant toute utilisation et de diluer à 20% dans une huile végétale.

Huile essentielle de pin sylvestre