Guérir ses blessures émotionnelles

Par Arthur Mantes



Guérir ses blessures émotionnelles fait partie du processus d’éveil. Nos blessures émotionnelles qui se réactivent demandent à être libérées. Ce processus de guérison est au centre du développement de soi, car il permet un retour à notre vraie nature, et une connexion véritable avec la vie.

Guérir ses blessures émotionnelles

Parce que notre histoire de vie(s) n’est pas toujours facile, chacun de nous se voit marqué par certaines blessures. Notre corps émotionnel porte en lui la trace de nos expériences passées. Certaines peuvent même être traumatisantes, et portées comme des blessures. Ces blessures peuvent se réactiver dans notre vie, lorsque des événements, situations ou relations résonnent avec.
Alors, face à ces blessures profondes, la réaction commune est de sombrer dans l’inconscience de la blessure, de souffrir à travers elle, d’agir par défaut et de se couper de soi-même.

Ces blessures émotionnelles sont à l’origine de nos maux physiques, psychologiques et émotionnels dans notre vie. Plus on guérit ces blessures, et plus on devient vraiment nous-même. Car c’est possible, et c’est le chemin de libération qui nous mène à vraiment être nous-même.

L’origine de nos blessures émotionnelles

Une blessure émotionnelle est une partie de notre énergie qui, faute d’avoir été exprimée et libérée, est bloquée en nous.

A travers notre développement, nous vivons toute sorte d’expériences, de circonstances, de relations. Certaines sont agréables et permettent un développement harmonieux de qui nous sommes, car elles résonnent directement avec notre Âme.
D’autres, à l’opposé, viennent nous « faire mal » et créent en nous une sorte de déconnexion d’avec qui nous sommes vraiment. Certaines situations, surtout dans les premiers stades de la vie, font naître en nous des émotions que nous ne savons pas gérer sur le moment. Ces instants sont alors vécus sans solutions, et la meilleure manière que l’on a, à ce moment, de régler le « problème émotionnel » est de faire comme s’il n’était pas là, et de l’enfouir en nous.

C’est là la naissance de ce que j’appelle une « bulle émotionnelle », une énergie non résolue, en tension, qui existe en nous. Le souvenir de l’événement, associé à l’émotion dite « négative » (haine, peur, colère, tristesse…), est comme restée en suspend en nous. C’est une énergie qui est figée dans le temps, à l’intérieur de nous.

Notre expérience conditionne ce que nous sommes. La plupart de nos blessures remontent à l’enfance. Car souvent, lorsque nous sommes enfant, nous n’avons pas la conscience, la volonté et la force intérieure de l’adulte qui nous permettrait de faire face à nos émotions négatives et de leur apporter résolution. Aussi, les émotions demandent à être vécues et exprimées, ce pour quoi l’enfant n’est pas souvent encouragé et guidé à faire.
De plus, les expériences sont d’autant plus marquantes qu’un enfant est très sensible et ouvert au monde. En effet, aux premiers stades de sa vie, nous fonctionnons en onde lentes du cerveau (delta pour un bébé, thêta pour un bambin, alpha pour un enfant), ce qui correspond aux états d’hypnose profonds. Plus on est jeune, et plus on vit et construit une couche profonde de notre personnalité.
Cela veut dire que lorsque l’on est enfant, on n’a pas le cerveau analytique des ondes beta (comme l’adulte) qui nous permet de penser et réfléchir les situations. Non, un enfant vit pleinement dans son corps émotionnel, il n’a pas la capacité de vraiment comprendre une situation qui est vécue comme un conflit. Il l’imprime directement en lui. Etant enfant, les expériences sont marquées directement en nous dans nos couches de personnalité les plus profondes (subconscient, sous le conscient).

Certaines situations, relations, et circonstances sont vécus comme des traumas au niveau émotionnel. Sans solution, elles sont enfouies en nous et laissées en suspend, attendant une plus grande conscience de soi pour trouver résolution. Chaque blessure émotionnelle qui prend naissance en nous est comme une partie de nous qui se sépare de nous-même.

On peut dire que notre corps émotionnel est façonné les premières années de notre vie, jusqu’au stade « grand enfant » et adolescent.
C’est à dire que, arrivé au stade ado/adulte, notre dimension émotionnelle est un vaste ensemble de bulles émotionnelles non résolues, en tension, qui demandent à se libérer. Car chacune de ses bulle émotionnelle contient des émotions et a besoin de trouver résolution pour que nous puissions être vraiment nous-même et incarner pleinement notre valeur et notre potentiel.

Quand nos blessures émotionnelles se réactivent

Nos blessures émotionnelles semblent toujours se réactiver tant qu’on ne les a pas vraiment guéries.

Au niveau invisible de l’énergie et de la conscience, l’humain pourrait être comparé à un grand résonateur vibratoire. Lorsqu’une situation, expérience, circonstance, interaction se présente à lui, elle a un effet sur lui : elle réveille ce qui est similaire à l’intérieur de lui. L’extérieur vibre et l’humain résonne.
C’est ce que l’on appelle l’effet de résonance. La plupart du temps, il se passe au delà de nous, au delà de notre conscience. C’est de cette manière que peuvent se réveiller les blessures.

Illustrons cela par un exemple :
Imaginons que je suis enfant et que mes parents divorcent. La vie était belle et j’étais comblé d’attention et d’amour. Alors, à partir de ce moment là, tout change et bascule. Mes parents sont malheureux chacun de leur côté et ils ne m’accordent plus d’attention.
Vivant cela, en temps qu’enfant, je ne sais pas comment interpréter et vivre ce manque d’amour que je ressens. Il y a de la tristesse, de la peur, de la colère. Alors, je l’enfouis en moi.
C’est ce que l’on peut appeler une blessure d’abandon : la blessure du manque d’amour.
Voici ce que mon inconscient retient : séparation => manque d’amour => émotions négatives
Du coup, non seulement cette blessure se réactivera à chaque séparation que je peux vivre, directement ou indirectement (couple, animal, amis, travail…), mais aussi lorsque mon mental perçoit un potentiel danger : conflit, dispute, désaccord, compromis, distance…

Notre comportement se voit totalement affecté par cette blessure qui est en nous. Ne voulant pas qu’elle se reproduise, on peut prendre des mesures fortes pour cela. On peut tout faire pour éviter de reproduire ce qu’il s’était produit qui nous a marqué.

 

Aussi, dès qu’une situation résonne de près ou de loin avec cet événement, la bulle émotionnelle qui existe en nous se réactive.
Alors, imaginons que vous avez cette blessure. Votre conjoint voudrait aller au cinéma voir tel film et vous tel autre film. Cette situation vibre « séparation », une séparation néanmoins sans danger ni gravité. Cependant, la bulle émotionnelle peut se réactiver, et alors remettre au premier plan les émotions du passé que l’on n’a pas résolu : énorme tristesse, peur, colère, sensation d’être abandonné…

C’est ça, l’effet résonance. Lorsque le présent réactive le passé non résolu en nous, une partie de notre conscience y est projetée. Nous ne sommes plus nous-même, nous sommes la blessure.

Voilà pourquoi, dans certaines circonstances, les personnes semblent réagir d’une manière émotionnelle totalement disproportionnée, comme si leur vie entière en dépendait : car ils portent une blessure émotionnelle qui se réactive. Et cette blessure, l’ayant vécue sans possibilité d’expression, de libération et de solution, ils interprètent inconsciemment le présent « problème » comme un drame vital.

Le problème n’est jamais la situation, la relation, le conflit en eux-mêmes. Le problème est toujours intérieur : il s’agit d’un conflit émotionnel qui se réveille et qui demande résolution. Et celui-ci n’a rien à voir avec le présent, il a à voir avec le passé, avec ce que l’on porte dans notre champs de conscience : la bulle émotionnelle.
Les émotions que l’on a toujours en nous, celles que l’on n’a pas exprimées et libérées, ce sont elles, qui, se réactivant, viennent alourdir le présent et lui donner un air de drame dont notre vie semble dépendre. C’est le signe que notre corps émotionnel a besoin d’être guéri.

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image pixabay

Guérir nos blessures émotionnelles

La vie, dans chaque situation, nous invite à guérir notre corps émotionnel et devenir vraiment nous-même.




Les blessures que l’on a toujours en nous, sous forme de bulles émotionnelles non résolues, se réactivent dès que la vie résonne de près ou de loin avec. C’est plus fort que nous, au delà de nous, c’est comme ça. Car nos blessures demandent à être reconnues, exprimée et libérées. Elles demandent notre conscience et notre attention, pour se résoudre, et que l’on redevienne nous-même.
Car lorsque nous sommes libres de nos blessures émotionnelles, elles ne se réactivent plus de manière inconsciente, et nous sommes libres d’être vraiment nous-même.

On peut dire qu’il existe 5 blessures émotionnelles fondamentales. Lise Bourbeau en parle dans son livre, Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même. C’est une manière de voir qui semble bien marcher. Ces blessures sont : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice.
Ces blessures sont l’interprétation que l’on a eu, et que l’on garde en nous, des situations marquantes. Derrière celles-ci s’expriment les émotions que l’on peut qualifier de « négatives » : la peur, la haine, la colère, la tristesse.
La blessure c’est l’aspect mental : « ce qu’il s’est passé selon moi », et en son cœur est l’émotion : « ce que j’ai ressenti dans mon être ».

Il y a fort à parier que chaque humain possède ces 5 blessures, dans des proportions différentes, selon son histoire.
Chaque situation qui n’a pas été résolue, et dont les émotions n’ont pas été libérées et exprimées, donne naissance à une bulle émotionnelle. Une bulle émotionnelle est une partie de notre être qui attend que la résolution se fasse, qui attend d’être soulagée de son état, pour retrouver son état d’amour.

Comment guérir notre corps émotionnel ?

Le processus de guérison émotionnel est un processus de toute une vie. Lorsqu’il devient conscient, on peut utiliser toute notre volonté, notre dévotion, pour guérir ces blessures qui nous empêchent d’être vraiment heureux. Le plus dur est le début, lorsque l’on prend conscience qu’on est blessé. Après une certaine pratique et attention à soi-même, on peut vraiment s’en libérer et trouver une vie plus légère et heureuse.
Guérir nos blessures consiste à libérer nos blessures originelle, celles qui sont en notre centre et nous empêchent le plus d’être libre et nous-même. Guérir ces blessures, c’est exprimer et donc libérer l’énergie en suspend dans nos bulle émotionnelle : les émotions non résolues.

Pour cela, il est nécessaire de reconnaître la blessure, de la comprendre, de toucher les émotions, et de les libérer.
C’est par la Conscience que l’on peut faire cela.

Il suffit d’apprendre à s’écouter. Lorsqu’une blessure se réactive, la première chose est de s’en rendre compte. Car souvent, on a tendance à partir en mode « totalement inconscient », à reprocher aux autres, à se sentir victime et à réagir comme un enfant blessé.
Ensuite, il y a besoin de s’intérioriser, et d’écouter vraiment ce que l’on ressent. Quelles sont les émotions qui sont présentes ? Qu’est-ce que je ressens ?
Ensuite, il faut donner notre attention inconditionnelle, notre présence aimante et compassionnée, à cette énergie, cette partie de nous.
En écoutant, en étant présent avec nos émotions, et en leur laissant la possibilité de s’exprimer (pas forcément verbalement, le simple fait de les reconnaître suffit), les émotions diminuent et se dissipent.



Votre but, à chaque fois qu’une blessure se réactive, est d’entrer avec votre être intérieur, et de l’aider à exprimer ses émotions, à les vivre. Car de cette manière, elles peuvent trouver résolution, de plus en plus, petit à petit, jusqu’à qu’elles soient totalement libérées.

La méditation est une pratique qui permet de développer la conscience intérieure de soi-même et ainsi d’accéder à son corps émotionnel. En prenant le temps de pratiquer cela, de toucher les émotions que l’on vit, et de les accompagner à trouver libération, on guérit notre corps émotionnel.

Source http://www.sciencedesoi.com

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Qu’est-ce que la pratique de l’ EFT et comment ça marche ?

(Emotional Freedom Techniques)
techniques de liberté émotionnelle



On pourrait dire qu’ EFT est une forme d’acupression pour libérer les émotions négatives.

C’est une méthode rapide,efficace,amusante, et facile à apprendre qui donne des résultats de longue durée, même permanents et apporte souvent un soulagement là où d’autres thérapies ont échoué.
Cette méthode est utile pour toutes les émotions négatives telles que :

tristesse,
peur,
phobie,
colère,
dégoût,
honte,
anxiété,
culpabilité, etc…,

et peut également aider à résoudre les problèmes physiques :

douleurs, maigreur, obésité, mauvaise image de soi, etc…

ou à vous défaire de certaines manies :

tabagisme,
envies compulsives,
se laver les mains souvent,
bégaiement,
etc

L’EFT, comment ça marche ?

Il s’agit de tapoter ou de frotter doucement certains points spécifiques situés sur nos méridiens.
En tapotant ainsi tout en pensant à ce qui nous dérange, on équilibre les méridiens perturbés.

Vous conservez la mémoire de l’évènement qui vous a dérangé, mais n’en ressentez plus la charge émotive qui l’accompagnait.

C’est dire comme cette méthode peut trouver de nombreuses utilisations.
Les enfants l’adorent car elle les aide à gérer de nombreux petits maux au quotidien :
peurs ou phobies( du noir, des araignées, de l’école…), colères, moqueries, anxiété de séparation, pipi au lit,..
Son efficacité est sans pareil pour se débarrasser des craintes , peurs et phobies et d’une rapidité époustouflante. source technique-eft.com

VIDEO MODE D’EMPLOI POUR UTILISER LA TECHNIQUE DE L’EFT!

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Paralysie du sommeil : un mal étrange, aux portes du paranormal

 

 

Parallèlement à la littérature médicale se développent, à toutes les époques et tout autour du monde, de nombreuses croyances populaires attribuant à des interventions d’origine surnaturelle ou des phénomènes extraordinaires les manifestations hallucinatoires de la paralysie du sommeil.



Durant l’Antiquité, les médecins grecs dénonçaient les superstitions qui voyaient en l’ephialtes l’agression d’esprits des morts, de satyres ou de la déesse Hécate, nécessitant des rites propitiatoires.

Les Romains appelleront cette forme de cauchemar incubus (signifiant « couché sur »). Le terme désignera aussi l’agresseur nocturne supposé, un démon masculin qui possède les femmes. À partir du Moyen Âge, la théologie chrétienne reprendra la notion d’incube et elle insistera sur sa composante sexuelle (qui semble pourtant assez rare, du moins de nos jours) : le débat portera moins sur la réalité du phénomène, admis comme étant l’œuvre de créatures diaboliques, que sur la possibilité donnée à celles-ci d’engendrer.

Mais dans la réalité, que savons-nous vraiment ?

La paralysie du sommeil est un trouble du sommeil, ou plus précisément une parasomnie selon la Classification internationale des troubles du sommeil, qui se caractérise par le fait que le sujet, sur le point de s’endormir (paralysie hypnagogique) ou de s’éveiller (paralysie hypnopompique) mais tout à fait conscient, se trouve dans l’incapacité d’effectuer tout mouvement volontaire.

À cette sensation d’immobilisation sont couramment associées des hallucinations auditives, kinesthésiques ou visuelles ainsi que des impressions d’oppression, de suffocation, de présence maléfique et de mort imminente. Le sujet, dans l’impossibilité d’articuler les sons et de prévenir l’entourage, éprouve le plus souvent un sentiment d’anxiété et de frayeur.

Ce trouble du sommeil est dû à des intrusions du sommeil paradoxal et de l’absence de tonus musculaire qui l’accompagne lors des transitions entre veille et sommeil. Relativement fréquente dans la population générale, la paralysie du sommeil apparaît généralement chez des personnes dépourvues de tout trouble clinique. Elle peut cependant être aussi l’un des symptômes de la narcolepsie.

La paralysie du sommeil est mentionnée dans les traités médicaux depuis l’Antiquité. Son caractère étrange et déconcertant a été à l’origine, au cours des âges et à travers les diverses cultures, de nombreuses superstitions et thèmes mythologiques ou fantastiques, dont plusieurs artistes, littérateurs, peintres, sculpteurs, se sont inspirés.

Hallucinations associées

À la paralysie du sommeil sont souvent associées des expériences qu’on peut à proprement parler qualifier d’hallucinations dans le sens où ceux qui les vivent sont parfois convaincus de leur réalité, une remise en question n’intervenant le plus souvent qu’après la prise de connaissance du phénomène et de son aspect hallucinatoire. Leur origine est à rapprocher de celle des rêves qui caractérisent le sommeil paradoxal.

Ces hallucinations visuelles, auditives, tactiles, kinesthésiques, tournent souvent autour du thème de la présence menaçante d’un intrus dans la chambre. Elles sont parfois intenses. Il serait cependant exagéré de croire qu’elles seraient systématiquement éprouvées par l’ensemble des individus dans la population générale qui ont occasionnellement connu une telle expérience. En fait, seuls 5 % décrivent avoir vécu une expérience de paralysie du sommeil associant la peur à un panel complet d’hallucinations comprenant vision et audition d’un intrus, sensations d’écrasement ou d’étouffement, etc. Ainsi, si l’hallucination la plus caractéristique et la plus fréquente est la sensation d’une présence (sans qu’elle soit nécessairement aperçue), selon une étude portant sur un échantillon de la population générale, les hallucinations visuelles sont bien moins courantes.

Les hallucinations auditives (bruits de pas, voix et autres sons), les impressions de pression, d’écrasement par un poids sur le torse, les sensations de picotements électriques, les hallucinations kinesthésiques et cénesthésiques (sensations de « sortie du corps », de chute ou de lévitation) sont rapportées par plus de la moitié des sujets. Un peu moins de la moitié signalent une impression d’étouffement ou bien des hallucinations tactiles.

Beaucoup moins communes sont d’autres impressions comme des sensations de vibration, de douleur ou de froid, des odeurs, des mouvements des couvertures ou des interactions sexuelles.

Ces hallucinations sont accompagnées d’émotions, les plus fréquentes et ressenties avec le plus d’intensité étant la peur et le sentiment de danger ou de mort imminente ; mais certaines personnes ont décrit, plus rarement, avoir ressenti de la colère, de la tristesse, un sentiment agréable d’extase ou bien des désirs érotiques.

Il semble que divers facteurs augmentent la probabilité de paralysie et d’hallucinations :

Dormir sur le dos

Avoir des horaires de sommeil irréguliers, siestes

Stress important

Changement de style de vie ou d’environnement

Certains exhausteurs de gouts, contenant notamment du glutamate de sodium

La lumière ambiante.

 

Hallucinations connexes
Ces hallucinations varient généralement selon l’individu, mais certaines sont plus communes à l’expérience que d’autres :



La plus courante

– Peur

Très courant

– Sentir une « présence » (souvent maléfique)

– Pression/poids sur le corps (particulièrement la poitrine)

– Sentiment de danger/mort imminent

Assez courant

– Hallucinations auditives (souvent respirations, bruits de pas, voix indistinctes ou bruits de palpitation, grognements)

– Hallucinations visuelles telles que des personnes ou des ombres marchant autour de la pièce

Moins courant

– Sensation de flottement (parfois liée à des expériences de mort imminente)

– Hallucinations tactiles (telles qu’une main touchant ou saisissant)

– Hallucinations agréables (la présence a alors un caractère protecteur et rassurant)

Rares

– Sensation en chute

– Vibrations

– Interaction sexuelle

Source :  informationhospitaliere.com

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Ayez confiance en votre devenir !

Par  Monique Mathieu

« Que pouvons-nous vous dire sur vos dirigeants ?

Nous dirons d’abord qu’au premier niveau, les dirigeants sont choisis par ceux qui les élisent ; malgré cela, il y a beaucoup de manipulations dont les êtres humains ne se rendent pas compte, mais les peuples évoluent au travers de leurs dirigeants comme les dirigeants évoluent au travers des peuples.



Beaucoup de dirigeants ont l’impression qu’ils ont tous pouvoirs, mais les peuples, même si les dirigeants ne s’en souviennent pas souvent, ont leur mot à dire et aussi un immense pouvoir. (Bien que le mot « pouvoir » ne nous convienne pas, nous l’utilisons quand même).

Nous vous avons souvent demandé d’envoyer beaucoup d’Amour à tous gouvernants, afin qu’ils s’éveillent à une autre conscience, afin qu’ils travaillent pour leur peuple et non contre leur peuple.

Nous vous disons cependant ceci : parfois les gouvernants ne font pas exactement ce qu’ils souhaitent, parce qu’au-dessus d’eux il y a ceux que vous pourriez appeler des « marionnettistes », et au-dessus de ces marionnettistes il y en a d’autres qui, malgré qu’une grande partie d’entre eux aient quitté votre planète, peuvent encore demeurer près d’elle et avoir un impact difficile sur la vie terrestre.

Sachez cependant que les gouvernements de tous les pays de votre planète sont très, très surveillés par ceux qui ont pour mission de protéger la Terre et de la faire évoluer dans le sens qui est prévu pour le destin de la planète Terre et celui de l’humanité. Il faudra cependant qu’il y ait un choc important pour que les tous les humains de la planète Terre se réveillent ; ce choc ne sera pas forcément la conséquence des actions menées par les chefs de gouvernements.

Trouvez-vous normal que, sur une si petite planète, il y ait un si grand nombre de pays, parfois gouvernés par des êtres irresponsables ?

Ce n’est pas le destin futur de la planète Terre ! Plusieurs Collèges de Sages gouverneront le monde. Il ne s’agira certes pas du « nouvel ordre mondial » que certains êtres humains pensent établir ! Ces Collèges de Sages seront aidés par des Etres venant d’autres mondes, par vos Frères Galactiques, ceci pour le bonheur de chaque être humain, parce que la Terre abritera de magnifiques humanités.

Avant que cela ne soit, il faudra passer comme par le chas d’une aiguille, c’est-à-dire par des moments plus ou moins difficiles ; il en sera fait selon ce que les êtres humains voudront qu’il en soit fait !

Certains grands pays dominants de votre planète (nous ne les nommerons pas car cela n’a pas d’importance) sont guidés par certains êtres n’appartenant pas à la Terre. Nous ne disons pas que ce sont eux qui dirigent le monde, mais ils guident, ils instruisent certains êtres afin que la paix s’installe sur Terre, afin que le basculement puisse s’accomplir sans trop de difficultés.

Vous reconnaîtrez ces êtres à leurs œuvres, ces êtres guidés par certains Frères Galactiques et par leur désir profond de paix entre les peuples, ces êtres totalement positifs, quand ils feront tout ce qu’ils pourront pour éviter les conflits.

Certains pays sont là pour essayer de dresser les états les uns contre les autres, pour le profit matériel de certains, notamment ceux qui fabriquent des armes destructives, quelles qu’elles soient.




Demain, si c’était le moment et si nous le souhaitions, (mais il faut que l’être humain aille jusqu’au bout et comprenne réellement ses erreurs), nous pourrions, en l’espace d’une seconde, enlever toutes les armes se trouvant sur la planète Terre, nous pourrions les dématérialiser instantanément car nous avons d’immenses possibilités. Cependant cela ne servirait à rien, parce que les êtres humains n’auraient pas compris leurs erreurs, ils n’auraient pas grandi au travers de leurs erreurs.

Nous pourrons peut-être faire cela lorsqu’une masse critique sera atteinte, lorsque beaucoup d’êtres humains ne voudront plus de guerres, qu’ils voudront réellement la paix et la fraternité. A ce moment-là nous pourrons non seulement annihiler toutes les armes de ce monde, quelles qu’elles soient, mais nous pourrons également faire beaucoup d’autres choses.

Les êtres humains ne peuvent pas tout savoir ! Ils ont l’impression qu’ils ont tous pouvoirs sur la nature, sur les autres êtres humains, mais en définitive ils n’ont qu’un pouvoir très limité. Vos Frères Galactiques ont des possibilités mille fois supérieures à celles des êtres humains.

Bien sûr, les humains ont trouvé la fission de l’atome, ils ont inventé les armes nucléaires, construit des centrales atomiques, mais si nous n’étions pas là en permanence, la vie sur Terre ne pourrait plus exister ! Nous dépolluons en permanence, souvent la nuit pendant que vous dormez paisiblement.

Ceux qui ne dormaient pas ont peut-être pu percevoir, dans le ciel, des sphères un peu bleutées ; ce sont des sphères de dépollution. Il y a également, comme il y a eu au-dessus de Fukushima et au-dessus d’autres centrales nucléaires, des espèces de grands vaisseaux de forme ovoïde qui nettoient en permanence le surplus de radioactivité pour qu’elle ne soit pas trop destructrice pour la vie humaine et pour la vie dans sa grande généralité.

Nous en revenons aux chefs de gouvernements, Certains d’entre eux (nous ne dirons pas lesquels, c’est à vous de le découvrir parce que nous ne devons pas tout vous dire), ont la volonté de maintenir la paix. Ceux qui suscitent encore la dualité, la guerre, et grâce à la volonté de ceux qui s’éveillent sur la planète Terre, donc de vous tous, seront, d’une certaine manière, mis hors d’état de nuire. De quelle façon ? Ce qui compte le plus pour eux : le pouvoir, l’argent, et peut-être la vie, leur seront enlevés. Bien évidemment, ce n’est pas à nous à leur enlever la vie.

Si, à certaines personnes qui dirigent le monde dans l’ombre, vous enleviez ce qui compte le plus pour eux, c’est-à-dire le pouvoir et l’argent, d’une certaine manière ils seraient déjà détruits. Nous pouvons les leur enlever. Quand le moment sera venu, l’argent tel que vous le connaissez n’existera plus – nous l’avons déjà dit – et ceux qui en souffriront le plus seront ceux qui ont basé leur vie uniquement sur le pouvoir de l’argent, qu’il soit fictif ou réel, que ce soit de l’or ou des biens matériels ; si vous enlevez ce pouvoir à ceux qui ne vivent qu’au travers de ce lui, d’une certaine manière vous leur enlevez la vie.

Les êtres humains, dans leur grande majorité, sont beaucoup plus sages et ne demandent pas beaucoup plus que ce qui est utile à leur confort de vie ; ceux-là, d’une certaine manière, seront récompensés, soyez-en certains !

Alors ayez confiance en votre devenir ! Le petit pays qu’est la France vient de vivre des élections, ensuite ce sera le tour d’autres pays. Faites ce que votre cœur vous dicte de faire, mais sachez qu’au-delà de ce que vous ferez, il y a un plan que vous ignorez et qui pourra aller dans un sens ou dans l’autre si les êtres qui gouvernent momentanément vos pays ont suffisamment d’intuition et de perceptions pour se laisser guider par ce que nous sommes.

L’être humain n’est pas foncièrement « méchant » (ce mot ne nous convient pas). La méchanceté n’existe pas, c’est simplement la souffrance qui rend parfois les gens méchants.

Nous pouvons vous dire ceci : ce qui n’est pas juste, ce qui n’est pas dans l’équilibre, ce qui n’est pas dans le respect de l’être, ne demeurera pas !

Alors espérez ! Espérez que les gouvernants de votre monde se réveillent et qu’ils se libèrent des puissances néfastes qui, parfois, les empêchent d’accomplir ce qu’ils auraient souhaité accomplir.

En ce qui concerne la politique, ce qui peut paraître un mal aujourd’hui sera peut être un bien demain, ce qui peut paraître catastrophique aujourd’hui pourra s’avérer nécessaire pour l’avenir de l’humanité de demain. Alors essayez, malgré tout, de faire ce qui vous est imparti, c’est-à-dire d’être dans l’Amour, la confiance, le respect et la fraternité ! »

source de l’article ducielalaterre.org

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CESSONS D’ÊTRE CONS

par Jérôme RodAnge

Hello les Amis 🙂

Aujourd’hui les Guides m’ont montré une chose étonnante. Je dis étonnante car une fois cette étrangeté vue avec une grande acuité et lucidité, il ne fait aucun doute que nombre d’entre nous jouent encore à être imbéciles. À quoi je fais allusion? Et bien tout simplement au fait qu’en ces temps actuels où les énergies de la Conscience sont omniprésentes et omnidisponibles pour tous ceux et celles qui ouvrent les yeux pour voir et les oreilles pour entendre, je trouve cela surprenant que nous soyons encore si nombreux à continuer de jouer au jeu de l’ignorance, au jeu de l’égo qui nous balade comme on baladerait un toutou avec une laisse. On se fait balader oui, mais dans qu’elle mesure, dans quel sens du terme? Le plus souvent il s’agit d’entretenir le jeu de l’idiotie. L’égo pour se faire va vous trouver ce qu’on appelle des « contradictions ». Il va opposer des dires, des points de vues, des opinions, et vous proposer de rétorquer que cela est contradictoire. En général l’égo aime beaucoup cela. Pourquoi? Parce que ça fonctionne! Ça fonctionne tant et si bien que nombreux et nombreuses ne s’en rendent même pas compte. Il ne se rendent pas compte qu’ils se font littéralement balader. Le pire dans tout ça, c’est que bien souvent, la personne est en capacité d’avoir une opinion plus JUSTE.



C’est à dire que la « vision juste » est disponible en elle. Mais la personne, le personnage, la personnalité, qui joue au jeu, au scénario de l’ignorant, ne peut percevoir cette « évidence ». Pourquoi?
Simplement parce qu’elle puise ses réponses, son côté analytique dans le cerveau gauche (Mental) plutôt que d’aller directement puiser la « juste vision » dans le Coeur (SupraMental). Car c’est bien le Coeur qui EST « évidence ». Et jusqu’à preuve du contraire nous avons tous un Coeur! Alors pourquoi j’écris tout ça? Évidemment non pas pour blâmer quiconque, bien au contraire. Mais plutôt pour r-éveiller le personnage qui pense s’être éveillé mais qui dort encore. Car à ce jour un potentiel de Conscience dont nous ne soupçonnons même pas l’étendue est à notre disponibilité!

ALORS UTILISONS-LE ! ET CESSONS D’ÊTRE CONS !




Un paragraphe supplémentaire s’impose car j’en entends déjà certains se dire qu’ils ne savent pas comment choisir d’écouter la vision du Coeur. Encore une idiotie!
Vous voyez? Comment l’égo nous balade!
Il n’y a rien de plus SIMPLE, actuellement parlant pour ceux et celles qui souhaitent écouter l’évidence du Coeur. Il suffit de le vouloir, de le vouloir avec le Coeur, c’est à dire de le souhaiter de manière sincère, transparente et authentique. De le souhaiter en étant VRAI. De le décider avec fermeté, non pas avec contrôle, mais fermeté dans cette « injonction du Coeur ». Rien, ABSOLUMENT RIEN ne peut être refusé si votre souhait vient du Coeur. Alors maintenant que les cartes sont dans vos mains, que souhaitez vous entretenir?
Le jeu qui consiste à jouer à être con? Ou la Vérité, l’Évidence qui est DÉJÀ vôtre.

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TEST DE LA PERSONNALITE




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Devenir plus conscient, la pleine conscience

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La pleine conscience

Mieux voir, mieux entendre, mieux sentir, mieux comprendre… c’est sortir des réflexes conditionnés et des habitudes qui ferment le cœur et l’esprit. C’est aussi prendre la mesure de notre puissance et notre vulnérabilité. Une étape indispensable pour vivre une vie plus juste, plus vivante et plus consciente.


Au cœur du moment présent, ni l’ennui, ni la peur, ni la colère ne peuvent déployer leurs ailes. Tel est l’un des grands enseignements du bouddhisme zen. Lorsque nous prêtons vraiment attention à ce qui se passe en nous et autour de nous – les battements de notre cœur, la rumeur de la ville -, les rouages de notre mental ralentissent, nos émotions s’apaisent. S’installent alors le sentiment d’une sécurité intérieure et la sensation d’exister pleinement. Soi, les autres, le monde : ce que nous percevons n’est plus déformé par nos émotions et nos projections. Dans les années 1970, le professeur de médecine américain Jon Kabat-Zinn est ainsi l’un des premiers à appliquer la pratique de la mindfulness (« pleine conscience ») à la gestion du stress et au traitement de la douleur chronique.

A lire : Mindfulness, approviser le stress par la pleine conscience d’Edel Maex (De Boek).

La respiration essentielle

A découvrir

Apprenez à prendre conscience de votre respiration avec  l’exercice de Thich Nhat Hanh !

Trop souvent distraits, pressés, perdus dans nos pensées, nous négligeons notre respiration. Dans son ouvrage Respirer la vie, Catherine Ternaux raconte que, lorsqu’une personne venait le voir, le psychothérapeute Karlfried Graf Dürckheim lui demandait de s’allonger pour la regarder respirer : « Par sa façon de respirer, vous reconnaîtrez immédiatement si elle est encore proche de son être essentiel ou plutôt éloignée de celui-ci », disait-il. Dans l’Antiquité grecque, le philosophe Héraclite affirmait que l’âme se renouvelait et se régénérait en puisant l’énergie vitale dont elle avait besoin dans la respiration. Le yoga, et plus précisément l’une de ses branches appelée le pranayama yoga, voit dans la maîtrise du souffle (en sanskrit prana, « énergie de l’univers ») le moyen de rester en bonne santé physique et spirituelle. La voie du souffle consiste à ralentir et à allonger sa respiration afin de libérer son corps et son esprit. Cette technique de base, appelée kumbaka, est considérée comme une cure de désintoxication qui devrait être pratiquée chaque fois que nous abusons de nourritures trop riches ou que nous vivons des émotions trop intenses. Le maître zen Thich Nhat Hanh considère que la pleine conscience de la respiration est la voie la plus accessible et la plus efficace pour apaiser les turbulences du mental, et nous permettre de changer notre regard sur notre vie et ce qui nous entoure. Ses préconisations sont simples et claires. Elles pourraient être résumées en une seule phrase : il nous est possible de devenir plus conscients de notre souffle simplement en le suivant…

A lire : Respirer la vie de Catherine Ternaux (La Table Ronde).

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La plongée en soi

A découvrir

Affûtez votre lucidité et améliorez votre sens des responsabilités avec   l’exercice d’Ignace de Loyola !




Dans le Yi-king, l’un des textes spirituels et philosophiques les plus anciens de la Chine, l’hexagramme 61, « Tchoung fou » (« la vérité intérieure »), exprime parfaitement la posture du sage taoïste. C’est-à-dire « l’homme vrai, sincère, fiable », qui vide son cœur du superflu et se libère de ses préjugés, comme le décrit le commentateur américain du Yi-king Stephen Karcher. Grâce à cette introspection en forme de nettoyage, le sage peut libérer « des énergies bénéfiques pour lui-même et pour son entourage ». Dans la tradition chrétienne, l’examen de conscience fait partie de ce que l’on pourrait appeler l’hygiène de base de la spiritualité, préalable indispensable au dialogue avec Dieu. C’est Ignace de Loyola, l’un des grands pionniers catholiques de l’introspection, qui a défini le premier les modalités techniques de l’examen de conscience.

source de l’article http://www.psychologies.com

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Karmathérapie, ils explorent leurs vies antérieures

Ils explorent leurs vies antérieures

Et si la clé de nos difficultés actuelles se trouvait dans nos existences passées ? C’est l’hypothèse, dérangeante, de la « karmathérapie », qui séduit de plus en plus de patients et de psys. Voyage à travers le temps.



 

« Les paysages que j’aime – l’Irlande, ses brumes, ses collines – défilent sous mes yeux. Je vois une jeune femme rousse en larmes, ses vêtements laissent penser qu’elle vit au XIXe siècle. Elle avance sur un ponton avec l’intention de se noyer, rapporte Gaëlle, 47 ans, bibliothécaire, en séance d’hypnothérapie. Cette femme, c’est moi et simultanément ce n’est pas moi. Je fais pleinement corps avec elle, je sens sa douleur. » « Pourquoi veut-elle en finir ? » interroge sa thérapeute. « Son homme, un marin, a disparu en mer », répond Gaëlle. « Que peux-tu faire pour la sauver ? » demande à nouveau la psy. « Je vois un enfant qui court vers elle, le sien. À mesure qu’il approche, la jeune femme est de plus en plus heureuse. Elle a retrouvé une raison de vivre. » Ce jour-là, Gaëlle est sortie de chez sa thérapeute le coeur joyeux, elle aussi, et la tête pleine de rires d’enfant. Déprimée sans raison depuis la naissance de son fils, pourtant ardemment désiré, elle avait décidé d’entreprendre un travail de régression mentale fondé sur l’hypnose et la relaxation profonde. Une « karmathérapie » – c’est le terme utilisé par les thérapeutes – supposée faire voyager à travers les vies antérieures pour dénouer des difficultés actuelles. Certains disent voir se dérouler un film sous leurs yeux. D’autres sentent, plus qu’ils ne voient. La conscience reste lucide, elle flotte dans un état intermédiaire entre la veille et le rêve, proche du moment où nous sombrons dans le sommeil. L’esprit vagabonde librement à travers émotions, sensations et images mentales. « On n’est pas transporté d’un seul coup ailleurs, à une autre époque, précise Gaëlle. C’est comme un scénario qui s’écrit progressivement. En fait, on observe en touriste, en voyageur du temps. D’où la nécessité d’un bon guide. Mais après l’avoir expérimenté plusieurs fois, on peut le faire seul, chez soi, avec une musique relaxante pour se placer en état d’autohypnose. »

Y croire est enivrant et poétique

 

L’idée de vies antérieures revécues dans le cabinet d’un thérapeute ou dans son salon est assez déroutante. La raison nous dit : « Impossible. » Mais le rêveur en nous murmure : « Et si c’était vrai ? » « Y croire est enivrant et poétique, c’est une façon de vivre l’éternité », explique Sonia, 49 ans, attachée d’administration, qui, elle aussi, a fait appel à la karmathérapie pour venir à bout d’une anxiété rebelle. « Au lieu de décortiquer des symptômes issus de l’histoire familiale, je suis partie à la rencontre de “malédictions” multiséculaires et ça m’a fait du bien. Je me suis vue autre, métamorphosée, c’est ce qui m’a fait comprendre que je pouvais changer. » Quel réconfort aussi d’imaginer que, de vie en vie, nous allons croiser les êtres que nous aimons.



« Cette idée ne m’a pas soutenue à la mort de ma mère, avoue Jeanne, 32 ans, fleuriste. En revanche, avoir rencontré mon amoureux dans d’autres vies m’a apaisée et a renforcé notre lien. » L’amour plus fort que la mort… La curiosité grandissante des thérapeutes et des patients pour la régression dans les vies antérieures rejoint l’intérêt actuel pour le bouddhisme et les spiritualités orientales. Toutefois, elle est loin de ne concerner que des adeptes de la spiritualité ou des croyants. Des « matérialistes » affirmés n’hésitent pas à essayer. C’est que, face aux interrogations existentielles générées par la crise, elle rassure, en véhiculant l’idée que nous faisons partie d’un grand tout et que la mort n’est qu’une étape vers une nouvelle existence. Inutile pourtant de chercher un karmathérapeute dans l’annuaire. En France, la karmathérapie n’existe pas en tant que telle. Elle est pratiquée par des hypnothérapeutes ou des thérapeutes énergéticiens qui plongent leurs patients dans un état de relaxation profonde ou les invitent à méditer pour leur permettre de retrouver un lien moins conflictuel avec leur corps ou leurs émotions. Beaucoup d’entre eux ont découvert les vertus de la régression spatio-temporelle par hasard. Mima Salloum, énergéticienne, s’est aperçue un jour qu’elle saisissait mieux la problématique d’une patiente en la voyant jeune homme en habit du XVIIIe siècle. Parmi les précurseurs de cette façon de travailler, citons Patrick Drouot, physicien de formation, Gilles Guattari, Denise Desjardins, qui s’appuie sur le « lying », méthode qui consiste à creuser dans les couches les plus profondes du « subconscient », qui seraient encore imprégnées des restes de nos vies antérieures, ou encore Myriam Brousse ainsi que son élève France Lagneau, pour qui les souvenirs de nos vies passées seraient enregistrés dans nos cellules, en une sorte de « mémoire cellulaire ». Lise Bartoli, psychologue clinicienne, psychothérapeute et hypnothérapeute, utilise les régressions en s’appuyant sur l’idée jungienne d’inconscient collectif. Pour Jung, en effet, l’inconscient abrite les vestiges du passé le plus reculé de l’humanité et ses croyances ancestrales. En fait, de nombreux thérapeutes formés à l’hypnose pratiquent ces régressions sans oser l’annoncer, de peur de passer pour des charlatan

 

J’étais un guerrier indien

Aux États-Unis, en revanche – en Californie, surtout –, la karmathérapie ne choque plus personne. Depuis que Catherine, l’une de ses patientes, a décrit sous hypnose des scènes supposées avoir eu lieu au Proche-Orient il y a environ quatre mille ans, guérissant simultanément de ses phobies et de ses accès de panique, Brian Weiss, psychiatre et hypnothérapeute, l’utilise couramment. Au fil des années, il a entendu des hommes et des femmes parler des langues étrangères ou relater des faits qu’ils n’étaient pas censés connaître. La preuve selon lui de vies antérieures. Au départ, rien n’attirait dans cette approche ce psy orthodoxe ne croyant pas à la réincarnation. Aujourd’hui, il soutient que les scènes vécues sous hypnose sont des souvenirs d’existences passées qui déterminent nos symptômes et nos choix actuels. Pour le Dr Weiss, par exemple, si nous sommes irrésistiblement attirés par l’Irlande, les sables du désert ou les montagnes neigeuses, c’est probablement que nous y avons vécu. Les questions qui poussent les patients vers la karmathérapie sont identiques à celles qui les orientent vers une psychothérapie brève ou un atelier de développement personnel.




Selon le psychologue

Salomé, 48 ans, cadre administratif, y a eu recours pour traiter ses accès de colère irrépressibles. Dans ce travail guidé par Patrick Drouot, elle s’est retrouvée dans la peau d’un guerrier mongol, ivre de rage après avoir perdu son meilleur ami dans une bataille. « J’ai pu revivre cette rage désespérée en toute sécurité, dans le cabinet thérapeutique. Et cette décharge émotionnelle m’a libérée de mes colères. » Quelques années plus tard, elle y a eu recours à nouveau, avec un hypnothérapeute, pour prendre une décision délicate : partir en province et donc s’éloigner de ses parents alors qu’elle est fi lle unique. « Cette fois, j’étais un guerrier indien hésitant entre s’enfuir ou se battre avec sa tribu. D’où culpabilité. Une traduction romancée de ma propre situation, en fait : j’avais mis le doigt sur un confl it de loyauté – continuer à me sacrifier pour les autres, la famille ou oser être un peu plus égoïste. Par la suite, ces problèmes de conscience ne m’ont plus tourmentée. » C’est pour tester le bien-fondé de ses choix professionnels que Jeanne, 38 ans, sage-femme, a régressé dans ses vies antérieures. « En trois séances, j’ai été un médecin, désespéré car son épouse était atteinte d’un mal incurable, puis un noble égyptien, pleurant son enfant mort faute de soins adaptés. Enfi n, dans la dernière séance, c’est ma thérapeute qui m’a vue en chamane, emprisonnée par un despote jaloux de ses secrets. Je me suis totalement appropriée cette vision, aussi, je résistais de toutes mes forces à ce tyran, consciente qu’il en ferait mauvais usage. » source de l’artilce http://www.psychologies.com



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LES DIX SECRETS DES COUPLES HEUREUX

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L’observation des 15 à 20 % de couples heureux à long terme a permis aux psychologues de dénicher certains de leurs secrets. Même s’ils ont été confrontés aux mêmes crises et conflits que les couples malheureux, ils ont appris à réagir différemment.

LES DIX SECRETS DES COUPLES HEUREUX :
Secret #1 : Le partage du pouvoir

Les membres des couples heureux ont un rapport de force… d’égal à égal. Ils partagent donc le pouvoir ou, du moins, ils l’alternent. Ils font le moins de compromis possible car, dans un compromis, les deux sont perdants. Ils sont exigeants face à leur couple, mais s’organisent pour qu’il y ait toujours deux gagnants. Ils ont décidé d’être heureux plutôt que de chercher à savoir qui a raison, qui a tort. Contrairement aux couples malheureux, ils ne cherchent pas l’approbation de leur partenaire, mais savent l’apprécier lorsqu’ils l’obtiennent.
Secret #2 : La juste distance

Les couples heureux ont appris à établir une juste distance entre leur besoin de fusion émotive et leur désir d’autonomie. Étant bien différenciés, ils sont alors capables d’une véritable intimité. Ils ont trouvé un équilibre entre des moments de frustration, lesquels entretiennent le désir, et des moments de satisfaction, lesquels ravivent leur bonheur. Ils ont compris que l’intimité n’est pas synonyme de fusion, mais qu’il fallait être deux pour être en relation. De plus, ils sont aussi heureux seuls qu’ensemble. Les couples fusionnels sont effectivement les plus dysfonctionnels.




Secret #3 : Une véritable amitié

La base fondamentale des couples heureux à long terme, contrairement à la croyance populaire, n’est pas la passion, mais bien l’amour et l’amitié, soit un sentiment basé sur la connaissance réelle de l’autre et non sur l’intensité des sensations et des émotions. La passion a pu être à l’origine de leur attirance, mais celle-ci s’est lentement transformée en amour plus tranquille, plus stable.

Un couple heureux est formé de deux personnes qui, d’amants passionnés, sont devenus deux amoureux, deux parents, deux associés, deux amis qui continuent de faire l’amour ensemble et de réaliser des projets à court, moyen et long terme. Comme des amis, ils mettent l’accent sur ce qui les rassemble, plutôt que sur ce qui les oppose. Ils considèrent l’autre comme un invité très spécial dans leur vie.Lorsque interrogés par les psychologues sur le secret de la longévité de leur amour, la principale réponse des membres des couples heureux est le plus souvent : « Je n’ai jamais cherché à changer mon partenaire ».
Secret #4 : Le désamorçage

Les personnes heureuses en couple vivent aussi des crises, mais au lieu de remettre leur couple en question, ils utilisent leur énergie et leur créativité pour développer l’art de la négociation. Loin de surenchérir, ils désamorcent toute escalade par des excuses, en faisant de l’humour ou en donnant raison à l’autre. Les psychologues disent souvent que c’est la façon dont les couples se font la guerre qui constitue le véritable indice pronostic de leur évolution et non comment ils vivent en temps de paix. Ils s’organisent pour ne jamais avoir de besoin de dire « : « Veux-tu, on efface tout et on recommence à zéro ?

LES DIX SECRETS DES COUPLES HEUREUX – image pixabay




».Secret #5 : Le réalisme.

Les membres des couples heureux ont lu, eux aussi, des contes de fées, des romans d’amour et visionnés des films langoureux, mais ils ne les ont pas pris pour la réalité, même s’ils ont pu y rêver. Ils se sont rapidement défaits des nombreuses illusions entourant le couple, l’amour, la communication… Ils ont su renoncer à leurs perceptions adolescentes, égocentriques et/ou narcissiques. Ils savent que la fameuse « âme sœur » n’existe que dans leur tête et ils ont accepté leur partenaire dans sa réalité quotidienne, avec ses qualités et ses défauts.


Secret #6 : Un partenaire approprié

On dit que les contraires s’attirent, mais la science conjugale démontre que les partenaires qui se ressemblent, dans une proportion d’au moins 70 %, augmentent considérablement leurs probabilités d’être heureux ensemble. Loin d’avoir trouvé la fameuse « âme sœur », laquelle n’est qu’illusion, les membres des couples heureux sont suffisamment compatibles pour éviter la polarisation sur les conflits conjugaux insolubles : ils s’assurent ainsi stabilité et bonne entente. Mais ils sont aussi suffisamment différents pour s’influencer l’un l’autre, stimulant ainsi leur créativité et leur capacité d’évoluer, mais dans la même direction.
Secret #7 : La confiance réciproque

Aucune relation – amoureuse, professionnelle ou commerciale – ne peut survivre si cette relation n’est pas empreinte de confiance réciproque, de respect mutuel et d’admiration. Les membres des couples heureux ne se surveillent pas l’un l’autre. Même lorsqu’ils ne sont pas en accord, ils respectent le point de vue de l’autre et ne mettent pas en doute leur bonne foi. Même si l’un n’approuve pas les projets personnels de l’autre, il le soutiendra, moralement et financièrement, dans la réalisation de ses projets.




Secret #8 : L’acceptation des conflits

Contrairement à la croyance populaire, le couple n’est pas une garantie absolue de bonheur ; il serait plutôt le creuset de nombreux conflits : l’éducation des enfants, la gestion financière, les relations avec les belles-familles, le partage des tâches ménagères, le temps accordé à la vie privée, la sexualité. Les membres des couples heureux se sont rapidement rendus compte que la majorité des conflits tournant autour de ces six sources sont souvent insolubles (69 % selon l’équipe du psychologue John Gottman, auteur du livre. Ces couples ont leurs secrets). Ils ne s’acharnent donc pas à résoudre ces conflits et se mettent d’accord pour vivre avec des désaccords… à vie. Ils préfèrent être heureux et préserver leur amour que de chercher à résoudre leurs conflits et chercher un consensus à tout prix.

Secret #9 : L’acceptation des inégalités

Les membres des couples malheureux surveillent et calculent ce que l’un fait et l’autre ne fait pas. Ils cherchent à imposer la règle donnant – donnant. Ce que ne font évidemment pas les membres des couples heureux. Ceux-ci acceptent qu’ils puissent y avoir une répartition inégale et variable des salaires, des tâches ménagères, des soins aux enfants… Ces couples acceptent et reconnaissent qu’il puisse y avoir des modes de fonctionnement différent selon le sexe. Ils ont renoncé à la fameuse égalité – similarité entre les hommes et les femmes et laissent chacun être et agir selon sa nature et ses convictions. Égalité, oui, mais vive la différence !

Secret #10 : Le jardin secret

Les membres des couples heureux ne communiquent pas toutes leurs pensées, tous leurs actes, toutes leurs frustrations ou leurs emmerdements. Ils ne croient pas à la communication à tout prix et qu’il faille tout se dire dans un couple. Chacun a droit à sa vie privée, à ses pensées secrètes, à des désirs inavouables, mais à la condition que ce jardin secret ne sape pas les bases de leur relation. Tout devrait pouvoir se dire, mais aucune obligation n’est faite en ce sens. Un peu de réserve et de mystère sont nécessaires pour l’entretien du respect et de la séduction à long terme.

Les membres des couples heureux ont décidé de préserver leur bonheur plutôt que de chercher à avoir raison sur l’autre.

extrait de SECRETS DES COUPLES : http://psycho-ressources.com/

trouvé sur https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/



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BONHEUR ET GUIDANCE ÉMOTIONNELLE

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Les émotions sont notre instrument de guidance intérieure le plus précieux : elles sont la direction de notre cœur et de notre esprit face à ce que l’on vit.

En apprenant à les écouter, on s’ouvre à nos désirs, on s’ouvre à l’évolution personnelle, on se reconnecte profondément à qui nous sommes.




Est-ce que, vous souhaitez être heureux? Réaliser vos rêves ? Manifester vos désirs ?

Nous sommes tous dans cette quête d’aller bien, dans une recherche de manifester une vie qui nous plaît.

Oui mais voilà, parfois on ne va pas bien, ou alors on ne va pas totalement bien. Parfois on n’a pas d’énergie pour nos projets. Parfois on ne sait pas dans quel sens aller. Parfois les émotions que l’on vit sont écrasantes, et nous empêchent d’avancer.

Que faire de ces paradoxes ? Comment s’en servir positivement ?
Comment retrouver du sens et de l’entrain pour se créer une vie de rêve ?
Comment s’orienter grâce à nos émotions ?

Les émotions sont une clé de compréhension de soi inestimable.
C’est ce que je propose d’aborder dans cet article !

BONHEUR ET GUIDANCE ÉMOTIONNELLE

Les émotions, c’est quoi ?

Une émotion est une sensation qui se fait ressentir dans notre corps. C’est un signal du corps émotionnel, qui cherche à nous montrer une information particulière vis-à-vis de la situation actuelle.
C’est un message que l’on se délivre, de Soi à Soi.
En fait, on ressent des émotions tout le temps. Elles sont plus ou moins intenses, et plus ou moins visibles.

Les émotions les plus communes peuvent être :

* La joie, la paix, l’amour, l’apaisement, …
* La peur, l’angoisse, la tristesse, le désespoir, la colère, la haine, la rancune, …

Les émotions se font ressentir dans notre corps.
Bien souvent on pense avoir des douleurs physiques alors que ce ne sont que des émotions qui cherchent à se faire voir.

Le ventre, le cœur, la gorge, la tête, sont autant d’endroits enclins à héberger des émotions.

Chaque émotion apparaît d’une manière distincte.

image pixabay

Par exemple :

* La peur apparaît au niveau du chakra du cœur et de la gorge,
* L’anxiété peut se faire sentir au niveau du ventre,
* La colère se montre au niveau de la gorge, et du bas ventre,
* La tristesse se ressent sur le cœur et la gorge.

L’émotion est une sensation qui se fait sentir dans le corps.
Elle est une réponse et une réaction aux événements extérieurs : elle nous montre comment est-ce que l’on vit les choses.
Les émotions sont une sorte de voyants internes qui ont pour but de nous donner des informations sur nous-même.

La pensée et l’émotion

En fait, derrière chaque émotion se cache une ou plusieurs pensées.
L’émotion est la manifestation de « quel rapport ai-je avec cette pensée » : elle nous donne l’interprétation sensitive de la pensée. C’est à dire que l’on ressent la ou les pensées directement dans notre corps, et on peut alors savoir si ces pensées nous font du bien ou non.
C’est un signal qui ne trompe pas car l’émotion dit toujours la vérité !

Donc en fait, lorsque l’on observe un événement dans notre vie, naît spontanément en nous un positionnement particulier :

* Nous pensons certaines pensées : nous apprécions, jaugeons, jugeons, tirons des conclusions, faisons des liens, des analogies, nous rappelons des souvenirs…
* Si les pensées sont alignées avec nos désirs, alors l’émotion qui jaillit va être agréable.
* Si les pensées vont à l’encontre de nos désirs, alors l’émotion sera désagréable.

C’est aussi simple que cela :

L’émotion est là pour nous montrer à quel point nos pensées sont alignées avec notre bonheur.
Si nos pensées servent notre évolution et notre expansion, alors nous allons nous sentir bien. Au contraire si nos pensées vont dans le sens contraire, nous allons nous sentir mal.




Pourquoi certaines émotions sont si intenses

L’intensité des émotions ressentie est directement reliée à l’adéquation (ou à l’écart) entre ce que je vis, et ce que je souhaite vivre.

Mais aussi, lorsque certaines situations résonnent avec des situations non résolues du passé, alors d’anciennes blessures peuvent se réveiller.
Les blessures qui ne sont pas guéries se réveillent dès lors que l’on observe des composantes plus ou moins proche de l’événement racine.

En fait, certains événements dans la vie ne sont pas faciles à vivre. Parfois on fait face à des choses qui sont plus grandes que nous.

Il arrive que l’on n’ait pas les ressources nécessaires pour intégrer pleinement les émotions qui surgissent.

L’événement est alors vécu partiellement, et certaines émotions sont occultées. Elles sont stockées dans le subconscient, qui les rappellera plus tard pour les « résoudre ».

Les traumas sont un exemple de ces situations. Cependant, toutes les situations peuvent être vécues comme un trauma. Surtout lorsque l’on est enfant, par exemple.

Les situations du passé qui n’ont pas été intégrées pleinement créent une bulle émotionnelle :

Celle-ci sera réveillée à chaque fois qu’une situation similaire (ou juste certains aspects) se présentera. Le but étant d’intégrer les émotions afin de relâcher la tension interne, et enfin de changer le mécanisme automatique d’observation pour retrouver notre liberté.

Pour résumer :

Les émotions qui surgissent peuvent être d’une intensité disproportionnée par rapport à l’événement qui les a déclenchées.

C’est normal : ceci est dû au fait que certaines blessures et bulles émotionnelles non résolues peuvent se réveiller par effet de résonance.

D’où l’importance d’être conscient et d’écouter ce qui se passe en soi.

Le simple fait de prendre conscience de ces mécanismes et réactions permet déjà d’en changer.

Les émotions sont des messages

En fait, les émotions cherchent toujours à nous montrer quelque chose : elles sont des messagers.

Elles nous permettent de sentir et ressentir le positionnement qui est adopté par le corps et l’esprit par rapport aux situations extérieures.

Les faits qui se passent à l’extérieur de nous peuvent être observés de différentes manières : nous avons intérieurement le choix d’observer les choses comme nous le désirons.

L’émotion qui surgit va nous montrer à quel point l’observation que nous avons d’une chose est agréable et adaptée pour nous (ou non).

Et ce, même si le comportement est inconscient.

Car oui, parfois (et même souvent), on réagit de manière inconsciente : se réveillent en nous des comportements et réactions automatiques, qui trouvent leur origine dans nos conditionnements et nos croyances : éducation, expériences, dogmes, croyances collectives, traumas, souvenirs, …

L’émotion est alors là pour nous montrer à quel point nos comportements sont adaptés ou à quel point ils ne le sont pas.
Et, si nous sommes inconscient des comportements, elles sont justement là pour nous les montrer afin que l’on en prenne conscience et que l’on change.

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Le message est le suivant :

* Si l’émotion est perçue négative, son message est le suivant : « Attention, tu adoptes un positionnement qui te n’est pas bon pour toi. Change! »
Plus ce que je pense vivre est éloigné de ce que je souhaite vivre, plus l’émotion va être désagréable.
* Si l’émotion est perçue positive, son message est le suivant : « Le positionnement que tu adoptes est bon pour toi, continue dans cette voie! »
Plus ce que je pense vivre est en adéquation avec ce que je désire vivre, plus l’émotion va être agréable.

L’émotion nous fait ressentir la qualité du positionnement intérieur que nous adoptons.

Elle nous permet de ressentir à quel point nos pensées sont en alignement avec qui-nous-sommes-vraiment.

Il est facile de le savoir : si l’émotion est positive nous sommes en alignement, si elle est négative nous sommes en désalignement

Les réactions déclenchées peuvent aussi être inconscientes. Dans ce cas, c’est justement l’émotion qui va nous permettre de la mettre en lumière, afin d’en changer.

Comprendre le message derrière les émotions

Derrière chaque émotion se trouve un message.

En réalité le message présent derrière une émotion est toujours le même : c’est un besoin, une envie, un désir.

Ce message peut être ensuite coloré par tout l’éventail possible d’émotions, en fonction de la manière dont on observe la réalisation de notre désir.

Un petit exemple pour illustrer :

Je suis un enfant. Je souhaite jouer avec de grandes personnes à un jeu de société.
Les adultes ne me proposent pas et m’ignorent.

Je suis en colère.
J’en veux aux adultes car ils m’ignorent. La colère me montre que j’ai l’impression que l’on ne respecte pas mes limites.
En fait, je pense et je crois que l’autre peut être responsable de mon mal-être.
Le désir derrière cela est : Je souhaite que l’on me respecte.
Prenant conscience de cela, la colère se dissipe.

Laisse place de la tristesse.
Je ne me sens pas considéré, et cela réveille en moi une blessure de valeur. J’ai l’impression que si on ne m’invite pas, c’est que je n’ai pas de valeur.
La situation a réveillé cette croyance qui se trouve en moi.
Le désir derrière cela est : Je souhaite que l’on considère ma valeur. Autrement dit, je souhaite être conscient de ma valeur…
La tristesse me montre que j’ai l’impression que l’on ne considère pas ma valeur.
Prenant conscience de cela, la tristesse se dissipe.

Les émotions délivrent un message qui est totalement unique.

Chaque situation et chaque individu trouvera derrière ses émotions un message totalement adapté à lui-même.

En fait, à chaque fois qu’une émotion surgit en nous, elle nous donne des informations sur :

* Le désir qui est derrière (qu’est-ce que je veux ?)
* Notre rapport à ce désir (les pensées que l’on pense, les croyances que l’on a, les limites et conditionnements qui s’y raccrochent)

La manière dont le désir transparaît, c’est à dire notre rapport à un désir précis, est :

* Soit en alignement : Je suis aligné avec ce désir / il me paraît possible / je me l’autorise : l’émotion est positive.
* Soit en désalignement : Je suis désaligné avec ce désir / il m’apparaît impossible / je ne me l’autorise pas : l’émotion est négative.

L’émotion est un message de réaction. Désirs, besoins et envie sont les intentions qui en sont la source.
Les émotions sont polarisés et leur intensité peut varier : elles peuvent être négative ou positives. Leur caractéristique nous permettra de savoir quel rapport nous entretenons avec le désir qui se trouve derrière.

Trouver le chemin du bonheur grâce aux émotions

Lorsque l’on est attentif à ses émotions, il nous est facile de reconnaître son chemin de vie et de le suivre : il suffit de s’écouter.
Nous possédons toutes les réponses à l’intérieur.

Acceptez de vivre vos émotions, car c’est les émotions sont les couleurs de la vie.
Acceptez d’exprimer vos émotions car derrière se trouvent des envies.
Intégrez le sens qui se trouve derrière vos émotions.
Affirmez ce que vous désirez vraiment.




Il peut être utile de :

* Ressentir et savoir identifier les émotions,
* Reconnaître le désir, l’envie ou le besoin qui se cache derrière,
* Guérir les blessures et les structures qui se réactivent par résonnance,
* Affirmer clairement, et d’une manière positive, nos désirs/envies/besoins

La vie est faite pour nous faire évoluer.

Chaque situation est l’occasion de mieux nous connaître et de mieux savoir ce que nous désirons.
Nous avons la capacité à prendre conscience des comportements qui se trouvent activés de manière automatique, afin d’en changer.
Nous avons la possibilité, à chaque expérience, de mieux comprendre et affirmer ce que nous souhaitons.

Source GUIDANCE ÉMOTIONNELLE : http://www.pensactiv.com

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Vivre les séparations sans se détruire

Je considère que le déroulement d’une vie humaine est semblable à une succession de naissances faites de rencontres et de séparations.

C’est ainsi que nous passons l’essentiel de notre existence à nous mettre au monde… et cela jusqu’à la fin de notre vie terrestre.




Le propre du vivant sur cette terre, c’est que tout à un début, (une naissance), une vie (une croissance) et une mort (une finitude ou un passage suivant nos croyances).

Ce qui nous invite à introduire beaucoup de relativité dans nos certitudes ou nos mythologies personnelles concernant les séparations.
Nous aurons donc à côtoyer trois types de séparations :

celles qui sont nécessaires à notre propre croissance,

celles qui nous sont imposées,

et celles que nous choisiront à travers l’évolution et les péripéties de notre existence.

Vivre les séparations nécessaires

– La première des séparations que nous devons affronter, sera une des aventures les plus extraordinaires de notre vie : sortir du ventre, se séparer de sa génitrice, qui va devenir ainsi (dans le meilleur des cas) une maman et une mère.

– Autre séparation nécessaire : prendre le risque de se séparer, (c’est à dire de mieux se différencier) de l’enfant imaginaire qui habitait l’esprit, le cœur et les rêves de nos géniteurs.

– Sortir des désirs et des peurs que nos proches déposent sur nous. Cela suppose de trouver la bonne distance pour ne pas nous laisser envahir par les attentes ou les bonnes intentions de ceux qui prétendent nous aimer.
Vivre les séparations imposées

Il y aura les premières pertes, celles liées à l’éloignement, l’abandon ou la disparition d’un être cher qui, si l’attachement est fort, seront vécues soit comme un rejet, soit comme une trahison par celui qui voit disparaître, mourir, ou s’éloigner celui ou celle à qui il s’était attaché.

Ce sera le cas des grands parents, des amis d’enfance, des premières amours qui peuvent être versatiles !

image pixabay




De plus dans le déroulement de toute existence, vont surgir un certain nombre de crises.

– Celles liées à l’évolution des sentiments (déplacement, disparition, désamour…)

– Celles inhérentes à la vie en couple. Comment passer du “UN” à “TROIS” ; donc sortir de la fusion pour accepter la différenciation : un “JE + JE” et ensuite à la triangulation : l’autre, moi et la relation qui nous relie. Il y aura également des risques de séparations liées à des évènements qui seront vécus par l’un ou l’autre comme une violence qui nous est imposée, sur laquelle nous n’avons aucun pouvoir : trahisons amoureuses.

Parfois l’évolution de l’un, dans une relation proche, peut l’éloigner de nous, lui faire découvrir brutalement qu’il vit avec une personne (nous) qui n’a plus les mêmes valeurs ou engagements, que ses choix de vie sont antipodes des nôtres. Une succession de prises de conscience peuvent l’entraîner à découvrir qu’il a besoin de se respecter, de ne plus se laisser définir ou maltraiter par un conjoint/une conjointe qui est devenu en quelques années un étranger ou une étrangère.

Vivre les séparations choisies

Elles peuvent surgir dans une existence à tout moment, et en particulier à la suite de l’irruption d’évènements imprévisibles ou d’un travail sur soi, d’une maladie, d’un accident. Autant de circonstances qui déclenchent des ouvertures, qui réveillent des énergies, qui vont nous permettre d’accéder à de nouveaux choix de vie.

Déménagement, éloignement, choix d’un nouveau pays, autant de situations qui vont nous éloigner, nous séparer de personnes proches, significatives ou chères et entraîner des changements dans nos relations. Divorce, rupture amoureuse, qui vont laisser parfois laisser des traces douloureuses, réveiller des blessures anciennes, mais qui peuvent mobiliser aussi des ressources inattendues.

Apprendre à se séparer sans se détruire est possible

En particulier en respectant un certain nombre de démarches relationnelles et en clarifiant quelques points essentiels en soi-même.

Mieux distinguer en nous, les sentiments positifs de ceux qui sont négatifs, à l’égard d’une même personne, pour ne pas rester prisonnier d’un amalgame de ressentis et de souffrances qui nous fait tout rejeter de l’autre. Pouvoir témoigner de la qualité de la relation vécue (de tout le bon partagé, comme du pas bon et du toxique, qui ont pu circuler dans les échanges, les partages, les affrontements ou les conflits. Mieux conscientiser l’impact de la séparation sur notre passé et entendre le réveil des blessures archaïques qui peuvent nous envahir lors d’une séparation ou d’une perte. A partir de là, il devient possible de commencer à faire le deuil d’une relation.)
Faire le deuil lié à la perte d’un être cher

Cette expression, fréquemment utilisée par l’entourage de celui qui vit une séparation, est souvent une invitation à ne plus rester dans la tristesse, le chagrin ou le ressentiment qui sont des ressentis qui habitent celui ou celle qui a vécu une perte ou une séparation.

Les conseils les plus fréquents (et pas nécessairement les plus efficaces) sont : « Il faut oublier », « Tu as la vie devant toi », « Il faut laisser faire le temps », « C’est l’avenir qui est important » etc.

Dans ma pratique d’accompagnant, pouvoir faire le deuil, découle d’une démarche très concrète, à partir de modalités accessibles à chacun et autour d’enjeux précis.

La finalité en sera d’accepter de se réconcilier avec soi-même, pour accéder à une nouvelle naissance, à une autre façon d’être.

– Mieux conscientiser que toute perte, toute séparation, fait violence à celui/celle qui l’a subie et que cet évènement, non seulement remet à jour des blessures anciennes, mais va aussi créer (ou réactiver) une blessure narcissique autour de l’image de soi.




– Accepter de s’appuyer sur un outil accessible à chacun : la visualisation. Et, à partir de là, mettre en œuvre une démarche de symbolisation. Ainsi, avec l’aide d’un ou plusieurs objets symboliques, librement choisis par la personne, on pourra :

– Restituer la violence reçue à travers la perte, l’éloignement de l’autre.

– Mieux se représenter la blessure crée ou réveillée par cette violence. Mieux conscientiser la souffrance produite et accepter de percevoir l’apparition de certains symptômes ou somatisations, comme étant des signaux d’alerte nous invitant à prendre soin de nous.

– Pouvoir prendre conscience de “l’auto violence” que nous nous infligeons à partir d’une violence reçue et de la façon dont nous entretenons nos blessures, notre désarroi ou notre détresse en restant dans l’accusation de l’autre ou la dévalorisation de soi.

Cela supposera d’apprendre à reconnaître ce qui se passe en nous, plutôt que de rester centré ou bloqué sur le pourquoi du comportement de l’autre ou d’entretenir une véritable hémorragie énergétique en restant dans l’accusation, le reproche, la mise en cause, la dévalorisation de soi ou de l’autre.

Il faut savoir que pouvoir reconnaître la violence reçue à travers le départ ou la disparition de l’autre et que prendre le risque de la restituer symboliquement, va libérer des énergies, modifier l’image de soi, dynamiser de façon positive notre relation au monde. Que cela nous rend plus disponible pour prendre soin des sentiments qui peuvent rester vivaces et présents en nous, à l’égard de celui ou celle qui nous quitté. Que cela peut entraîner une meilleure clarification de la qualité de la relation qui a été meurtrie, blessée ou coupée, ce qu’il en reste (que je peux garder) ce qui n’a pas été bon (que je peux rendre).

Dans les séparations conjugales et les divorces, il peut être souhaitable de pouvoir reprendre, de se réapproprier le rêve de vie déposé chez l’autre au moment du passage de la rencontre amoureuse à la relation de couple. Ne pas oublier que dans un couple qui se sépare, le divorce est la rupture du lien conjugal et non celle du lien parental. Celui ci doit être maintenu et nourri par chacun des parents, pour éviter que les enfants ne deviennent l’enjeu d’une relation fictive qui s’auto entretient et continuent à alimenter les conflits des ex conjoints.
L’ultime séparation, notre propre mort

La fin de notre cycle de vie, qu’on appelle la mort, constitue l’ultime séparation. Séparation d’avec notre état d’être vivant, d’avec un entourage proche, de projets ou d’engagements.

S’approcher du passage qui nous conduira vers un au-delà, autour duquel, suivant nos croyances, nous allons donner différents sens et visages.




Il me semble que cela peut s’accomplir dans la paix si nous avons pu nous réconcilier avec l’une ou l’autre des situations inachevées de notre histoire.

Source le site de Jacques Salomé : .j-salome.com

Trouvé sur https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com

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