Faut-il traiter l’autre comme nous aimerions être traité ?

Au moment d’interagir avec les autres, souvenez-vous qu’ils ont eux-mêmes leurs propres désirs, priorités et besoins. Par conséquent, les traiter de la façon dont vous aimeriez être traité n’est pas toujours une bonne chose.

Traiter l’autre de la façon dont vous aimeriez être traité est un principe moral partagé par de nombreux peuples et courants de pensée. Philosophes, leaders religieux et personnalités importantes font l’éloge de ce précepte qui devrait guider les relations humaines.

Or, même si nous connaissons tous cette règle d’or et l’avons bien à l’esprit, l’appliquer n’est pas toujours bénéfique pour les relations sociales. Il arrive que nos meilleures intentions soient mal interprétées par l’autre personne ou nuisent à ses intérêts.

Le fait que l’intérêt sincère pour le bien-être de l’autre puisse représenter une atteinte contre ce dernier semble injuste. Mais c’est peut-être parce que nous considérons cette aide d’un point de vue erroné : le nôtre.

Est-il positif de traiter l’autre comme nous aimerions être traité ?

Traiter l’autre comme nous aimerons être traité semble, sans aucun doute, être une bonne idée. Cela indique effectivement de bonnes intentions. Par ailleurs, en suivant ce principe, nous serons davantage conscients de la façon dont nous nous comportons avec les autres.

Nous serons alors probablement sincères, compréhensifs, solidaires et amicaux. Cette règle morale peut aussi nous motiver à rendre un service à un ami ou à une connaissance quand nous n’en avons pas envie ou peut nous forcer à réfléchir avant de critiquer.

Nous n’attendons pas tous la même chose

Cependant, quand nous oublions les généralités et passons à un plan plus pratique et concret, cette idée ne fonctionne pas toujours si bien que cela. Prenons quelques exemples pour illustrer cela.

Imaginez, par exemple, que c’est l’anniversaire de l’un de vos très bons amis. Vous lui avez acheté une montre, dépensant ainsi une somme importante. Lorsque vous lui offrez votre cadeau et voyez la déception sur son visage, vous vous sentez en colère.

Vous ne vous êtes peut-être pas dit que cette personne espérait plutôt un cadeau plus intime et personnel. Un cadeau fait à la main et avec un sens émotionnel. Ou qu’elle espérait peut-être une expérience partagée au lieu d’un cadeau matériel.

Cela peut nous arriver dans n’importe quel domaine de la vie. Si vous êtes parent, il se peut qu’après avoir vu votre enfant faire face à une situation stressante, vous ayez voulu la mettre en contexte, afin qu’il se rende compte que ce qui l’inquiète n’allait sans doute pas arriver ou que les conséquences n’allaient pas être si désastreuses.

Même si vous-même réagissez bien à ce type de soutien, votre enfant, lui, peut peut-être penser que vous cherchez en réalité à lui faire oublier ce problème pour qu’il cesse de vous embêter avec. Il n’adopte pas forcément votre point de vue.

De la même façon, après une dispute avec votre conjoint au cours de laquelle vous avez reconnu vos torts, il se peut que vous décidiez de l’appeler ou d’aller le voir pour lui parler. Cette personne peut se montrer contrariée, irritable et refuser d’avoir une telle conversation. Pourquoi ?

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Alors que vous considérez votre comportement comme un signe de bonne foi, l’autre personne peut considérer qu’il est trop tôt pour en parler. Elle a besoin d’un moment tout seul pour gérer sa colère. Autrement dit, vous n’avez pas pris en considération ses besoins à elle.

Prenez en compte les besoins des autres

En définitive, nous pouvons dire que traiter l’autre de la façon dont vous aimeriez être traité est plutôt une bonne chose. Cependant, il est nécessaire d’émettre une réserve : vous aimeriez que l’on prenne en compte votre personnalité et vos besoins concrets, et c’est précisément ce que vous devez offrir à l’autre.

Ayez la considération de prendre en compte ses préférences ses besoins et ses désirs. Montrez-lui votre capacité à sortir de votre propre peau pour essayer de comprendre ses points de vue. Ne pensez pas autant à ce qui vous plairait ; demandez-vous plutôt ce que l’autre espère et attend, car nous  sommes tous différents.

Même si vous aimez que les personnes soient totalement honnêtes et directes avec vous, l’être humain qui se trouve devant vous préfère peut-être autre chose et a peut-être besoin de tact, de compréhension et de délicatesse. Vous préférez peut-être être seul après une dispute. Si vous savez que l’autre a besoin de compagnie, offrez-lui cela.

Les relations humaines sont complexes. Il n’est en effet pas facile de concilier nos souhaits et pensées et ceux des personnes qui nous entourent. Cependant, si vous voulez savoir comment traiter quelqu’un d’autre, mettez-vous à sa place. Traitez l’autre comme il aimerait qu’on le traite.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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On dit que les opposés s’attirent mais est-ce vraiment la réalité ?

Par Frédérique Shine

On dit que les opposés s’attirent et on a tendance à penser qu’ils sont faits l’un pour l’autre mais la réalité est bien différente.

Deux personnes opposées et bien différentes ne sont pas forcément faites pour être ensemble, s’il y en a un du couple qui est créatif, dynamique, entrepreneur et que l’autre n’a aucune passion, pas de projets et ne sait pas ce qu’il veut dans sa vie, celui qui est créatif ne supportera pas de rester avec une personne qui ne l’inspire pas et pour qui, il ne peut pas avoir d’admiration, à la longue ce couple se brise car le NON créatif déprimera le créatif qui se sentira envahi par la mort intérieure de son partenaire.

Il sera son thérapeute et non son partenaire, l’ennui, l’étouffement, les douleurs physiques, la fatigue, le manque d’énergie se fera ressentir fortement pour le créatif qui se verra ralenti et démotivé par son partenaire qui lui videra son énergie …

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Dans un couple il faut faire des concessions mais si votre conjoins n’évolue pas vous allez souffrir et vous sentir mal, démotivé, ralenti voire déprimé par les énergies pesantes et dévorantes de votre partenaire !Vous méritez un partenaire qui vous motive, vous soutient, vous fait sentir vivant, précieux, qui vous laisse votre espace et qui fait tout pour construire un havre de paix avec vous en acceptant vos besoins, même s’ils diffèrent de vôtres ! Un partenaire qui vous déprime vous ralentit et vous tire vers le bas ne vous attireront que des problèmes.

Vous avez le droit au bonheur, vous pouvez soutenir, être celui ou celle qui motive les autres mais si vous voulez aller au bout de vos projets et être heureux, vous devez vous entourer de personnes qui vous font ressentir la joie, le bonheur, la sécurité, l’amour, et qui ont des projets tout comme vous… Vous ne pouvez pas être le thérapeute de votre conjoint, même si c’est difficile, au bout d’un certain temps de patience et de non-évolution de votre partenaire vous allez devoir vous séparer de lui pour votre bien-être, si vous vous laissez envahir, vous risquez de passer à côté du bonheur que vous méritez en tant qu’être humain.

Bien qu’il soit difficile de se séparer d’une personne qu’on aime, après un temps vous vous sentirez plus léger, plus vivant et plus heureux seul. Vous pourrez ainsi vous épanouir et vous respecter … De même que cela fera évoluer le partenaire également qui doit évoluer dans son parcours.

Article de Frédérique Shine (Médium et Coach de vie)

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60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Eveil Tv - L'au delà

« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

Les âmes soeurs et le baiser du prince charmant…

Eveil Tv

par Sandrine Laroche

Les contes de fées n’existent pas…n’est-ce pas?… mais ils s’inspirent de phénomènes réels. Ainsi le « baiser » capable de réveiller la « belle au bois dormant » est une réalité.

Cette belle (ou ce beau) au bois dormant n’est autre qu’une âme égarée, endormie, anesthésiée par ses vécus traumatisants. De vies en vie notre âme se charge d’expériences plus ou moins traumatisantes et si elle fait de la résistance en les conservant, alors l’âme s’égare peu à peu de sa véritable nature.

Heureusement, des âmes soeurs ne sont pas loin… elles ont déjà partagé nos vies précédentes et ont pu se lier plus ou moins fortement à nous.

Parmi elles se trouvent les soeurs et frères d’âmes avec qui vous entretenez de très belles et profondes amitiés, et les âmes soeurs qui font battre votre coeur avec qui vous avez pu déjà être lié en tant qu’homme ou femme. Certaines ont pu s’incarner des dizaines de fois en tant que votre femme ou votre mari.

Ce lien de coeur est très puissant et lorsque vous croisez leur chemin vous ne pouvez pas être indifférent. Cela vous remuera, à tel point que cela bouleversera votre vie. Elles arrivent tel le prince charmant venant réveiller sa belle… vous ne les voyez pas arriver car vous êtes endormi(e), parfois dans une douleur tétanisante, tant votre vie vous éloigne de ce que vous êtes. Mais à son contact vous ouvrez les yeux et c’est là que commence une autre réalité…

Au début vous pourrez croire à un conte de fées car vous êtes heureux, il y a ce sentiment d’être de retour à la maison. Puis au fur et à mesure, cette relation qui n’est pas un long fleuve tranquille vous bouscule, vous pousse vers l’introspection la plus profonde. Vous faites le tri le ménage dans ce que vous avez vécu, dans vos croyances, dans vos façons de voir et de réagir. C’est un nouveau moi qui voit le jour et comme toute naissance ce peut-être plus ou moins difficile et douloureux.

Cette relation arrive dans votre vie quand votre « sur-âme » ou l’Univers décide qu’il vous faut sortir de vos anciennes expériences de vie, mais cette relation est un électrochoc, elle n’est pas une relation stable. Lorsqu’elle prend fin , c’est tout votre monde qui s’écroule, toutes vos fondations s’écroulent, c’est un bouleversement à l’image d’un tsunami dans votre vie.

Vous êtes à nouveau coupé de votre maison, c’est tout du moins ce que vous ressentez, vous croyez. En réalité vous vous êtes approché de votre maison, car cette relation vous a propulsé plus haut en vibration… c’est d’ailleurs pourquoi c’était si fort entre vous.

Cette âme sœur vous a fait un cadeau immense, celle de votre retour à la maison, car maintenant vous êtes sur le bon chemin, vers un avenir plus radieux en osmose avec votre étincelle et votre mission de vie.

Et lorsque vous serez entièrement guéri des meurtrissures de cette séparation nécessaire à votre évolution mutuelle, que votre coeur sera débarrassé de toutes ses blessures de vies passées, que vos chakras seront parvenus à une purification suffisante… vous serez en mesure de rencontrer une autre catégorie d’âme sœur, une âme sœur qui sera votre complémentaire, votre flamme.

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Pour parvenir à les rencontrer, il faut avoir beaucoup nettoyé ses enveloppes énergétiques, émotionnelles, mentales et physiques. C’est une rencontre sous haute tension énergétique, il faut avoir une élévation spirituelle suffisante car sans cela vous passerez à côté.Une fois réunis, vous pourrez par la puissance de l’amour que vous rayonnerez apporter au monde l’énergie de guérison à Gaïa et à l’humanité. Vous voyez lorsque l’on arrive ce stade cela signifie que l’on a dépassé les barrières de l’égo, sans quoi il ne pourrait pas y avoir de création avec cet amour. Sans quoi c’est une bulle d’amour entre deux personnes et cela ne profite pas au monde. Ce genre d’amour n’est pas fermé, il est ouvert. Mais pour y parvenir l’égo doit s’être débarrassé de ses peurs, celle de l’abandon, du rejet, de l’humiliation car avec elle, c’est une confiance sans limite qui s’installe, des bases solides qui permettent à l’amour de rayonner.

Si pour vous, votre mission est de faire rayonner la puissance de l’amour sur Terre, alors vous êtes sans nul doute un grand romantique… car en vous il y a cette certitude qu’il existe une personne avec qui vous devez être lié. Au niveau de l’égo cela se manifeste par le désir de trouver le grand amour, vous êtes persuadé qu’un autre être est fait pour vous et pourra vous rendre heureux.

Pour parvenir à les rencontrer, il faut avoir beaucoup nettoyé ses enveloppes énergétiques, émotionnelles, mentales et physiques. C’est une rencontre sous haute tension énergétique, il faut avoir une élévation spirituelle suffisante car sans cela vous passerez à côté.

Une fois réunis, vous pourrez par la puissance de l’amour que vous rayonnerez apporter au monde l’énergie de guérison à Gaïa et à l’humanité. Vous voyez lorsque l’on arrive ce stade cela signifie que l’on a dépassé les barrières de l’égo, sans quoi il ne pourrait pas y avoir de création avec cet amour. Sans quoi c’est une bulle d’amour entre deux personnes et cela ne profite pas au monde. Ce genre d’amour n’est pas fermé, il est ouvert. Mais pour y parvenir l’égo doit s’être débarrassé de ses peurs, celle de l’abandon, du rejet, de l’humiliation car avec elle, c’est une confiance sans limite qui s’installe, des bases solides qui permettent à l’amour de rayonner.

Si pour vous, votre mission est de faire rayonner la puissance de l’amour sur Terre, alors vous êtes sans nul doute un grand romantique… car en vous il y a cette certitude qu’il existe une personne avec qui vous devez être lié. Au niveau de l’égo cela se manifeste par le désir de trouver le grand amour, vous êtes persuadé qu’un autre être est fait pour vous et pourra vous rendre heureux.

Mais en réalité votre âme sait qu’il y a sur Terre une autre âme avec qui vous devez vous unir pour réaliser votre mission.

Ce n’est donc pas au niveau de la dimension terrestre que cette rencontre se joue. La puissance de cette réunion est « divine » et ne peut se faire qu’avec au préalable une connexion avec sa propre divinité pour que l’égo s’estompe au profit de l’âme. Une âme qui a fait « peau » neuve afin d’accueillir ce qui doit venir.

Comment savoir si l’on est en présence d’une âme sœur « électrochoc » ou d’une âme sœur de « coeur »? La première fait remonter en vous les émotions qui vous bloquaient jusqu’alors (peur, sentiment de rejet…) malgré une attirance très puissante et l’autre vous apporte paix intérieure et puissance de créativité.

Le baiser du prince charmant est donc celui de l’âme sœur « électrochoc » car lorsque vous rencontrerez votre âme sœur de « coeur » vous serez déjà bien réveillé.. sinon vous ne pourrez la « Voir ». Quand deux âmes se « voient », il s’instaure un lien puissant capable de soulever des montagnes

Cette période est propice à notre élévation spirituelle, aux grands nettoyages car ce printemps est chargé à la fois de l’énergie renaissante de la Gaïa et celle de l’Univers qui nous propulse vers un autre état de conscience…

Alors mes amis je vous souhaite un bon nettoyage, un bon recalibrage et surtout gardez  la foi, gardez confiance, malgré les tensions liées aux émotions qui vous traversent ou qui remontent pour être guéris. Ne vous laissez pas emporter par le flot de mal être qui agite l’humanité, résistez , vous ancrerez ainsi la Lumière, la Paix et l’Amour sur Gaïa.

Paix, Amour et Lumière

Source: http://sagessequantique.over-blog.com/

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LES 5 FRÉQUENCES D’UNITÉ

par Véronique Rauzy

Comment vivre des relations saines, libres et fraternelles, sans prédation ? Comment être ensemble autrement ? La prédation semble si banale, si normale, si profondément incrustée dans les comportements… Et pourtant ! Elle n’est pas invincible ni incontournable. La dépasser est une des grandes épreuves de maîtrise, pour accéder à l’humain divin.

Je vous propose l’alignement sur une synergie de 5 fréquences qui transcendent le paradigme de la prédation et construisent le paradigme de la coopération.

Les fréquences sont des forces, des énergies disponibles sur lesquelles nous pouvons nous aligner. Elles forment un socle, une base par lesquels l’énergie source circule. Elles nous restructurent en profondeur et construisent la nouvelle matrice éthérique, psychique et génétique, modifiant nos pensées, nos comportements, nos réactions émotionnelles et notre façon d’être au monde.

Dans mon expérience, quand je reçois une fréquence, il y a un champ énergétique puissant qui s’ouvre dans une partie de mon Cœur (que j’appelle la chambre à tachyons). Ce champ énergétique est relié à l’énergie source, il porte le mouvement originel au-delà de la vitesse de la lumière et n’a pas de forme. Dans la chambre à tachyons (qui est un lieu de mon Cœur, en fractal d’autres lieux), cette énergie-mouvement va se condenser dans des fréquences qui descendent ensuite dans ma structure sous forme de rayons, avec des caractéristiques très précises. Elles sont cohérentes, harmoniques, et ont pour propriété de restructurer nos matrices éthériques, énergétiques et génétiques. Elles vont tout d’abord agir sur ma structure, puis quand je les ai intégrées, je les émane au-delà de moi et elles vont informer ceux qui sont prêts à les recevoir et acceptent de se syntoniser, de s’aligner dessus.

L’ancienne matrice est tenue par une grille de fréquences basses axées sur la peur, créatrices de programmes de manque, de destruction, de normes rigides et de filtres posés sur la conscience.

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LE RESPECT

Lieu du pilier Yang.

Le respect commence par nous-même. En cultivant notre ESTIME DE SOI, en prenant soin de notre corps et de notre âme, de comment nous nous nourrissons, autant physiquement que psychiquement et énergétiquement.

Désactivons tous les programmes de dénigrement de soi. Ces filtres nous entraînent dans des relations où nous ne sommes pas honoré et apprécié.

Offrons-nous ce que nous voudrions que les autres nous offrent.

Nous voulons des amis et des proches en qui avoir confiance ? Soyons quelqu’un de fiable, à qui autrui peut se fier, responsable, qui fait ce qu’il dit. Développons d’abord la confiance en nous-même, pour nous-même. Sentons-nous en sécurité en nous, apprécions notre propre compagnie.

Nous souhaitons être reconnu par les autres ? Reconnaissons-nous nous-même d’abord. Cessons de nous juger et de nous dénigrer. N’attendons pas que les autres fassent notre travail à notre place. Nous nous devons de nous estimer. Ayons conscience de notre valeur.

Le respect commence par soi et ce n’est pas de l’égoïsme. C’est la compréhension que nous sommes responsable avant tout de notre incarnation, de notre interface humaine. Nous lui devons respect, soin et appréciation. C’est la base, le socle. Notre exigence doit se porter à cet endroit-là. Nous n’avons pas à être parfait. Nous avons à prendre soin de nous, de la qualité de ce que nous nous offrons, de ce que nous offrons au monde et de ce que nous recevons du monde.

Choisissons des relations qui nous élèvent et nous soutiennent, respectueuses pour toutes les parties.

Assumons nos RESPONSABILITÉS. Depuis l’intégrité, l’honnêteté, la vigilance, le discernement, la persévérance : renonçons aux habitudes de prédation.

Honorons-nous nous-même et honorons l’autre. Réduisons nos demandes vis-à-vis d’autrui. Désamorçons nos attentes, projections et déceptions. Cessons de nous approprier nos proches. Cessons de juger et de médire.

Émettons des propositions et ne forçons pas l’autre. Soyons une force de proposition, et pas de pression.

Apprenons la responsabilité et l’autonomie aux enfants.

Cultivons le réel CONSENTEMENT : si nous ne savons pas dire non, notre oui n’a pas de valeur. Lorsqu’on s’honore, chacun de nos choix devient pleinement conscient et consenti.

Apprenons à reconnaître en nous le plein consentement… et les situations qui relèvent de compromis. Lorsque c’est le cas, prenons le temps de tout mettre en lumière, et de nous positionner en conscience. Vérifions que nous n’agissons pas sous une contrainte (familiale, amoureuse, amicale, professionnelle, sociale). Quand nous identifions une contrainte : révoquons-la et proposons autre chose. N’acceptons pas de compromis par crainte de la solitude. Si nous devons vivre une période de solitude, réjouissons-nous de nous découvrir profondément, de plonger à l’intérieur nous rencontrer et de laisser jaillir l’authenticité, ce qui nous anime réellement. Quand nous changeons de vibration, si notre entourage ne change pas en même temps, certaines relations peuvent se trouver en décalage et alors nous devons affronter la question de savoir si la relation continue ou si elle s’arrête. Tout est OK avec ça. D’autres viendront en résonance sur notre nouvelle vibration, et/ou notre entourage suivra…

Apprenons à reconnaître ce qui fait vibrer notre Cœur, et refusons le reste, avec douceur et fermeté.

Prenons le soin de demander à l’autre la permission et l’expression de son consentement. Acceptons quand c’est non et n’insistons pas. Apprenons à supporter tranquillement de recevoir des refus sans dramatiser ni se contrarier.

Osons fixer clairement nos LIMITES. Apprenons à nous positionner : décrétons nos limites, exprimons-les et exigeons qu’elles soient respectées. Cessons de participer à ce qui ne nous honore pas pleinement.

Quand un autre tente de nous charger de son énergie négative – sa basse vibration, ses émotions, ses problèmes, sa souffrance, ses attentes, ses projections, ses plaintes, son agressivité – : apprenons à identifier ce qui ne nous correspond pas, et ne permettons pas à la charge d’entrer dans notre champ.

Ne nous impliquons pas dans les émotions de l’autre et dans ses drames : on aide d’autant mieux qu’on n’abonde pas dans l’émotion et la souffrance de l’autre mais qu’on l’invite à changer de perspective, à élargir son point de vue.

En nous accordant au respect, nous entrons dans un profond processus de RÉSILIENCE, de lâcher-prise sur les anciens conflits. Nous décrétons nos limites, tant intérieures, quant aux exigences que l’on s’impose, qu’extérieures dans ce que nous sommes d’accord pour partager dans l’espace de nos relations.

Quand nous nous respectons, nous aiguisons notre discernement, nous conscientisons nos comportements et pouvons décider d’abandonner tout ce qui est irrespectueux et ne nous correspond pas. Nous ne nous sentons plus obligé de répondre à des attentes pour plaire ou convenir.

Élevons en nous le pilier Yang qui sait se faire respecter, se faire entendre, qui est stable et cohérent (on peut l’assimiler à l’énergie de l’archange Michaël). Ce pilier Yang stable centré dans le Cœur permettra la libre circulation de l’énergie Yin, la danse de la vie, tout autour.

 




 

L’ÉQUANIMITÉ

L’équanimité, c’est l’égalité d’âme. Rester égal à soi-même, égal à son âme quels que soient les événements.

Dans la paix du Cœur, en ce lieu, nous sommes stables, imperturbables à l’agitation extérieure. Nous pouvons être traversé par tous les éléments, et vérifier que notre centre est l’unique singularité. Quoi qu’il se passe, ce point ne bouge pas, on peut le comparer à l’œil du cyclone. Il est stable malgré l’impermanence.

Depuis cette singularité, ce POINT-ZÉRO, l’équanimité nous donne accès au CHAMP DES POSSIBLES. Nous pouvons choisir parmi toutes les propositions, tous les potentiels. Nous avons une perspective élargie et les voies d’accès pour créer notre propre réalité.

Nous sommes à la fois parfaitement centré, et partout simultanément.

Le DÉTACHEMENT est une condition de l’équanimité. Nous sommes détaché quand nous lâchons prise de ce sur quoi nous ne pouvons pas influer directement, de ce qui ne relève pas de notre décision.

Le DÉSINTÉRESSEMENT n’est pas désintérêt ni indifférence, il est le fait de mettre ses intérêts personnels au même niveau que les intérêts personnels des autres et que l’intérêt collectif. Il est la compréhension que je peux être en relation avec les autres sans vouloir leur prendre quelque chose, me défendre ou conquérir un espace. Dans cette TRANSPARENCE peuvent jaillir la vision commune et la syntonisation.

C’est le lieu de l’OBSERVATEUR intérieur neutre, qui discerne sans juger ni polariser.

L’équanimité participe au processus énergétique d’absorption/neutralisation/réaffectation des forces.

L’équanimité nous permet de savourer chaque être rencontré. De voir en chacun la Vie et la promesse de l’Unité retrouvée. Nous nous reconnaissons Un parmi les autres, les semblables. Nous percevons notre singularité dans l’unicité.

Dans l’équanimité jaillit la COMPASSION vis-à-vis de l’autre dont on a vu la part prédatrice, et dont on a la certitude qu’il n’est pas que ça. Sans s’attacher aux défauts apparents, nous mobilisons la tendresse, la patience, l’espérance, pour apprécier le beau, le bon et le bien en chacun, en germe en chacun.

Nous acceptons l’autre au-delà des aversions ou préférences personnelles. Nous considérons tous avec impartialité. Nous parvenons à la NEUTRALITÉ BIENVEILLANTE devant tout ce et tous ceux qui se présentent : ami, inconnu ou ennemi.

Nous tolérons mieux l’inconfort, le désagréable, grâce à la compréhension de l’impermanence et à la sérénité de la patience et de la Présence.

Nous sommes indifférents, neutres, impassibles face aux drames, aux histoires, aux provocations. Cela a été reconnu comme faux et manœuvre involutive. Nous ne sommes plus affecté par les tentatives de prédation extérieures (absence de peur et d’obligation de réagir).

Nous acceptons de nombreuses expériences et possibilités, ainsi que l’impermanence des formes. Nous dépassons d’anciennes limites et le connu, sans se renier ni s’aliéner.

L’équanimité constitue une attitude cohérente : centrée, alignée sur une aspiration consciente, avec une perspective élevée et de multiples choix possibles. Nous avons alors la capacité de choisir, de trancher. Elle nous aide à faire le bon choix = le choix qui nous correspond vraiment.

L’équanimité transcende la réalité limitée, l’inconscience, la culpabilité, la peur.




LA JOIE SANS OBJET

La joie sans objet est une fréquence extrêmement élevée, qui nous amène à côtoyer la grâce. Elle nous permet de découvrir ce qui nous anime véritablement et de libérer nos ressources profondes. Elle nous aide à canaliser nos pulsions.

La joie sans objet fait jaillir en nous la PULSION DE VIE originelle et nous permet d’exprimer le meilleur de nous-même. Lors des moments d’épreuve, elle soutient nos capacités d’aller au-delà de ce dont on se croyait capable.

Elle nous permet de vivre ce qui nous anime véritablement, ce qui nous mobilise tout entier. Nous sommes animé de l’intérieur, c’est-à-dire mû par l’âme.

C’est une véritable libération et l’ÉPANOUISSEMENT de notre être. Stimulée de l’intérieur, notre créativité se déploie, nous nous autorisons à exprimer dans la matière, en dehors, ce qui nous anime en dedans. Nous créons nos propres formes et pratiques, nous n’avons plus besoin de reproduire ce qui a été initié par d’autres auparavant. Nous sommes la source jaillissante de la vie qui se renouvelle et se réinvente à chaque instant.

Joie sans objet rime avec SIMPLICITÉ et FLUIDITÉ.

Les relations deviennent source de plaisir simple et authentique. Il n’est plus possible de voir l’autre comme un objet dont on pourrait se servir. La joie gratuite d’être ensemble est le seul moteur de la relation.

La joie sans objet propose d’ouvrir le ROBINET D’AMOUR : faire circuler l’énergie Amour, partout, tout le temps, pour tous. Que cela soit notre activité principale !

C’est le lieu de la danse Yin – la libre circulation énergétique de l’Amour.

En élevant notre vibration, la Joie sans objet nous amène à élever nos buts, nos aspirations, elle nous accompagne vers L’ENGAGEMENT AU SERVICE D’AUTRUI, à offrir à l’œuvre commune ce qui nous anime et nous met en joie.

Nous accédons à une autre expérience. La vie prend une nouvelle saveur, à la fois douce et intense.

Le champ de la libido est transformé : nous apprenons à CANALISER LES PULSIONS, à les sublimer et nous honorons le pouvoir de créer avec l’énergie sexuelle au lieu de la subir.

La libido est un immense réservoir d’énergie, de ressources profondes. Nous nous ouvrons enfin à notre PUISSANCE créatrice.

Au sein des pulsions considérées comme négatives : pulsions destructrices, de mort, par un travail énergétique nous apprenons à dissocier le « mal » de la « force » et à neutraliser les charges, puis à réaffecter l’énergie disponible.

L’énergie jaillissante doit circuler. L’art consiste à la dépolariser et la canaliser en conscience. Permettons à la force qui veut jaillir de s’écouler sans se défouler sur les autres. Ne retenons pas l’énergie : tout l’enjeu est de favoriser la libre circulation du flot en nous. Délivrons nos ressources profondes, issues des tripes et du sexe, et lions-les aux ressources du Divin afin qu’elles se fusionnent et s’harmonisent.

Faisons lui monter le chemin énergétique intérieur afin qu’elle stimule et active les chakras successifs, ce qu’on appelle le feu de la KUNDALINI. Ainsi liée à la Terre et au Ciel, l’énergie va se structurer sur un TORE de plus en plus vigoureux qui va nous nourrir, nous guérir, nous reposer, nous ressourcer, élever nos vibrations, activer nos gènes endormis. Nous avons alors accès à L’AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE et à des facultés de régénération nouvelles.

Avec la joie sans objet, nous sortons de la dépendance sexuelle : la sexualité s’éveille à une dimension plus subtile, liée, créatrice. Nous ne partageons plus la relation sexuelle pour nous remplir ou nous décharger, mais pour la rencontre d’une autre âme incarnée, pour la FUSION DES CORPS, DES CŒURS ET DES ÂMES. Oui aux désirs, non à ce qu’ils nous gouvernent. Nous sublimons les pulsions et exprimons notre libido de manière créative et respectueuse.

La satisfaction n’est plus liée à l’assouvissement d’un besoin/désir tourné vers l’extérieur. La joie sans objet transcende la vénalité, l’animalité, la pulsion incontrôlée destructrice.




LE SERVICE À L’ŒUVRE COMMUNE

Le service à l’œuvre commune, ou service d’autrui, est l’engagement de tout notre être dans l’incarnation, depuis la conscience d’UNITÉ. Le service à l’œuvre commune (à l’intérieur comme à l’extérieur) transcende le service à soi-même, l’intérêt personnel prioritaire.

Nous œuvrons chacun depuis notre centre singulier, avec nos caractéristiques, nos capacités évolutives, dans la conscience de participer à une dynamique collective de soutien du vivant. La motivation à l’œuvre est une amélioration collective, une œuvre collective pour le collectif.

Nous mobilisons la PRÉSENCE. Notre service est avant tout d’offrir ce que nous sommes. Nous choisissons les situations et relations qui nous élèvent, nous respectent, nous honorent et font émerger le meilleur en nous. Nous décidons d’incarner la meilleure version de nous-même. Nous nous épanouissons dans notre essence, notre authenticité. Nous sommes celui/celle que nous voulons rencontrer. Nous développons en nous ses vertus. Nous choisissons des motifs élevés et nous adorons œuvrer pour eux. Nous élevons tout, nous transcendons, nous sublimons, nous magnifions. Nous amenons tout au Cœur, tout le temps.

Notre identité, notre identification se modifient : en se mettant d’abord au service des intérêts du collectif avant ses intérêts particuliers, en soutenant la vie avec la conscience du Cœur, l’identité s’élargit, on se laisse advenir, être une meilleure version de soi-même.

Nous mobilisons la CONSCIENCE. Nous choisissons de nous engager, de nous vouer à une œuvre qui dépasse de très loin notre histoire personnelle. Nous acceptons d’être l’instrument du divin, par l’intérieur. Personne d’extérieur ne nous dicte comment doit être notre contribution au service. Nous le savons depuis l’information intérieure. Et nous savons que la forme de ce service n’est jamais figée, elle est multiple, connectée sur l’infini champ des possibles.

Nous modifions nos priorités et nos manières de comprendre l’expérience vécue. Nous apprenons de nouvelles manières de fonctionner. Les SYNCHRONICITÉS s’enchaînent et nous permettent de suivre le fil, tout prend du sens, le puzzle se constitue, nous ne sommes plus perdu dans un monde hostile et incompréhensible, même si nous continuons de percevoir l’absurdité et la déroute de l’ancien monde.

Quand nous opérons cette bascule en nous, le CANAL s’ouvre et nous sommes guidé par le maître intérieur, pour savoir où et comment œuvrer. Nous recevons les informations adéquates au fur et à mesure, nous n’avons pas besoin de les stocker, elles circulent. Cette capacité de « LÂCHER », de ne pas s’accrocher à de l’information ou de la forme nous permet d’élargir toujours plus la conscience et l’accès au champ de possibles afin de manifester des réalités élevées. Nous comprenons que ce n’est pas compliqué. Au contraire, tout se simplifie à mesure que l’on s’installe dans le Cœur et qu’on se connecte durablement à son âme.

En liant le service à l’œuvre commune et la joie sans objet, nous mobilisons la PUISSANCE, c’est-à-dire les moyens adéquats et alignés, les ressources nécessaires à l’accomplissement de ce qui nous anime vraiment. Nous canalisons nos forces vers le but élevé. L’impulsion, la tension, l’attention et l’intention sont alignées pour faire converger l’énergie vers la manifestation, la réalisation.

Nous créons les formes de notre service selon ce qui nous correspond. Nos parts intérieures s’alignent et convergent pour servir le but élevé, nous sommes moins fragmenté, plus cohérent. Nous prenons des initiatives et assumons nos responsabilités.

Tout ce que nous recevons dans notre élévation spirituelle, nous l’offrons, nous le restituons au collectif comme force de PROPOSITION. Grâce à cette oscillation entre vide et plein, nous sommes toujours disposé à recevoir de nouvelles informations, de nouvelles ouvertures, de nouvelles aventures.

Nous nous reconnaissons comme Huma-Unité. Nous sommes enfin À NOTRE PLACE, selon ce qui nous anime profondément et en suivant notre connexion intérieure. Au-delà des formes, nous partageons CE QUE NOUS SOMMES.

Ce que vit chacun est important. Nous nous soutenons mutuellement en syntonisant nos structures vibratoires, nos fréquences intégrées et nos informations.

Depuis la compréhension que nous sommes tous liés, nous échangeons l’information et partageons l’énergie disponible en SYNTONISATION. Nous le faisons depuis la coopération et la compréhension d’œuvrer dans un but commun, collectif. En haute vibration l’énergie est abondante et circule incessamment, l’objet de l’œuvre est précisément de la faire circuler partout et de maintenir les fréquences élevées par nos émanations, nos rayonnements.

Le NOUS devient plus important que le JE. Mais ce n’est pas un « nous » exclusif, fermé, rigide, de clan. C’est un « nous » qui se renouvelle à chaque instant, au fil des interactions et des partages. Les relations deviennent lieu d’échange profond, de communion, depuis la compréhension de l’ESSENCE COMMUNE.

Quand nous entrons dans ce service, la solitude n’existe plus. Nous sommes en permanence connecté à nos hautes parts intérieures, relié par les Cœurs humains et nous communiquons aussi par les âmes. Nous pouvons appeler et sentir les présences de nos compagnons de chemin, à chaque instant, c’est une réalité de plus en plus tangible.

Nous décidons de nous engager dans une œuvre qui nous transcende, nous transforme, dans un but collectif, qui est de vivre une nouvelle humanité, en conscience d’Unité et non plus de séparation. Nous favorisons les intérêts de tous et pas d’abord le nôtre personnel.

L’œuvre est à la fois individuelle ET collective. C’est ENSEMBLE que nous pouvons basculer dans une nouvelle expérience, et plus d’êtres humains s’éveillent et s’élèvent, plus l’expérience s’enrichit et le champ des possibles s’étend. Chaque fois qu’un nouveau Cœur s’ouvre, chaque Cœur est renforcé et rehaussé : nous comprenons, soutenons et vibrons cela.

Nous comprenons qu’au-delà des expériences et interfaces individuelles, nous vivons une expérience collective, interconnectée, d’espèce, avec un rôle précis qui est celui d’être un pont entre les mondes.

LA SOUVERAINETÉ

Le lieu du Roi / de la Reine

Nous sommes souverain quand nous exprimons l’être humain divin : présent, conscient, puissant.

Nous acceptons pleinement l’incarnation, avec ses hauts et ses bas, sa grâce et sa densité. Nous choisissons d’être à la hauteur du cadeau qui nous est offert : ce temps de vie humaine.

Par notre innocence restaurée dans le Cœur, notre émerveillement devant la beauté du vivant harmonieux, nous apprécions toutes les « petites choses » qui peuplent notre environnement.

Dans notre souveraineté, depuis notre autonomie énergétique, nous avons la capacité de discerner, de nous positionner et de décider librement, en interdépendance avec les autres.

Nous cultivons l’AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE en permettant à l’énergie de circuler librement à travers nous, en élevant et soutenant nos fréquences, en nous nourrissant correctement et en dissolvant les programmes de prédation qui nous restreignent et nous séparent. Nos potentiels énergétiques augmentent, le tore associé à notre structure se renforce et draine de plus en plus d’énergie de qualité vibratoire plus haute. Nous nous connectons à l’axe vertical représenté par la Terre et le Ciel et nous permettons d’être un canal entre les deux dans lequel l’énergie se renouvelle sans cesse. Peu à peu l’énergie de Kundalini s’éveille et active nos chakras successivement, qui deviennent alors des centrales énergétiques autonomes, chacun depuis son niveau de vibration.

Dans cette dynamique, nos structures s’harmonisent et deviennent plus cohérentes ; notre aura remplit efficacement ses fonctions de filtre protecteur ; l’énergie qui circule informe toutes les strates de notre être, puis quand notre structure est pleine d’énergie de vie, notre rayonnement, notre émanation et notre vibration se déploient à l’extérieur.

À mesure que l’énergie circule toujours plus puissante et rapide dans nos structures, nous activons nos programmes génétiques endormis, nous restaurons notre ADN mitochondrial et construisons le système corporel le plus adapté à notre expérience, avec l’introduction du siliciumdans certaines de nos molécules pour nous adapter progressivement à la réalité quantique.

Nous ne cherchons plus de ressources à l’extérieur, nos besoins alimentaires changent et se réduisent, nos facultés de régénération et d’homéostasie sont décuplées.

Depuis l’autonomie énergétique, il est impossible de se faire vampiriser ou encore de baisser en vibration du fait d’être en présence de quelqu’un perçu comme négatif. Notre circuit énergétique cohérent, notre aura, nos fréquences élevées nous protègent des attaques.

Il existe des fonctions avancées de l’aura et des feux intérieurs qui permettent de récupérer la charge reçue lors d’une attaque énergétique/psychique, de la dépolariser et de la réutiliser pour des objectifs élevés, j’appelle cette pratique l’absorption/ neutralisation/ bénédiction. Je détaillerai cela dans un article à part, mais ce qui est passionnant c’est de comprendre que lors d’une attaque nous ne sommes pas forcément blessé, ni forcément obligé de riposter et de renvoyer la charge à l’expéditeur, ce qui s’assimile à la loi du Talion et est à la source des guerres. Il existe une ALTERNATIVE HAUTE : prendre la charge énergétique, la dépolariser et s’en servir pour créer, pour construire !

Lorsque nous soutenons quelqu’un énergétiquement, nous ne nous vidons pas et ne nous déchargeons pas de notre énergie. Nous nous branchons sur la circulation énergétique universelle, nous servons de canal jusqu’à la personne, et nous nous élevons avec elle, progressivement, afin qu’elle reçoive depuis l’énergie source les informations nécessaires à l’amélioration de sa structure. Nous ne sommes pas des sauveurs, nous servons de branchement depuis la compréhension que nous sommes tous liés et avons des capacités de syntonisation.

Grâce au DISCERNEMENT, nous connaissons et respectons nos états de l’instant. Nous communiquons avec les autres en exprimant nos véritables besoins, ressentis, sentiments ; et en accueillant, écoutant, acceptant le réciproque. Nous trouvons le curseur qui nous permet d’être attiré là où nous sommes apprécié tel que l’on est. Aussi avec notre personnalité.

Nous ressentons l’autre comme semblable et nous nous enrichissons mutuellement de nos différences et singularités.

Nous comprenons que le choix du sain, le choix du simple, est celui de la vie en nous.

Nous affirmons notre POSITIONNEMENT. Tout part de notre source. Nous sommes la vie.

Dans la souveraineté intérieure, notre personne se soumet à notre être, à notre essence. C’est l’ÂME qui s’exprime à travers la souveraineté, bien plus que les filtres et masques de la personnalité. L’ego est remis à sa place de « gardien » mais il ne lui est plus accordé le pouvoir de nous gouverner et de prendre les décisions à la place de notre âme.

Positionné au Cœur de notre incarnation, nous assumons nos responsabilités et ce qu’il nous appartient de prendre en charge. La souveraineté va de pair avec la MATURITÉ. Nous revenons à notre Essence et n’essayons pas d’être tel que nous « croyons » qu’il siérait d’être pour convenir. Nous nous honorons : nous respectons la personne et célébrons le divin en nous.

Nous savons que selon notre ATTITUDE, nous n’allons pas vivre de la même manière ce que la vie nous propose, et le déroulement des expériences sera différent. Nous avons nos propres clés de changement et la capacité d’intervenir sur les situations. Nous acceptons de nous engager depuis nous-même, par nous-même, pour tous.

Nous n’avons pas besoin d’avoir raison ; nous ne sommes pas obligé de nous justifier. Nous jouissons de l’HUMILITÉ qui nous permet de reconnaître lorsque nous avons des réactions inappropriées et de modifier notre attitude.

En RENONÇANT à la prédation, en désactivant les programmes, nous dissolvons le karma.

Dans la souveraineté extérieure s’exprime notre pouvoir de DÉCISION. Nous prenons nos décisions en nous fondant sur la justesse de notre Cœur, et sur la vision la plus large possible de la situation, en tenant compte de toutes les parties. Nos choix sont en cohérence avec nos aspirations les plus élevées.

La seule autorité que nous reconnaissons est celle du divin EN NOUS. La seule loi qui nous oblige est la loi harmonique du vivant : Amour, Joie, Harmonie, et les fréquences qui lui sont associées.

Nous vivons debout, dignes et goûtons à la LIBERTÉ. Un engagement ne nous oblige pas pour l’éternité. Nous pouvons revoir les contrats, dans le respect, la communication et la justesse.

Face à une demande qui nous est faite et n’est pas confortable au premier abord, nous n’évitons pas la situation : nous la discernons sans fuite ni déni. Ensuite nous consentons ou non à nous engager dedans. Nous n’y sommes pas forcé. Si nous estimons qu’elle ne nous correspond pas ou plus, nous pouvons la délaisser sans culpabilité. Nous ne sommes pas obligé de répondre à une demande.

Nous rompons les anciens contrats qui ne sont plus adéquats, les loyautés auxquelles nous nous croyions attaché sans l’avoir véritablement décidé. Nous transgressons les fausses obligations afin de nous aligner sur la véritable loi de l’Univers, basée sur les principes Amour, Joie et Harmonie.

Pour ne pas être rigide et écrasante, la souveraineté englobe la SENSIBILITÉ, le souci du plus grand bien de tous, la nuance et l’adaptation, tant que cela ne la déshonore pas.

Quand une situation nous affecte, permettons-nous de vivre complètement l’émotion qui jaillit en réaction, mais ne la gardons pas en nous. Le corps émotionnel fait tampon avec l’extérieur. Système de RÉGULATION, il permet d’évacuer le stress reçu lors d’une interaction intense. N’ayons pas peur ou honte de ressentir des émotions, mais ne soyons pas non plus accro à elles, permettons qu’ici aussi l’énergie circule librement sans qu’on s’y accroche ni qu’on fasse des nœuds.

La VULNÉRABILITÉ est une force de la souveraineté, elle est la corde sensible qui nous appelle à bouger pour modifier l’équilibre. Elle tempère, nuance, ventile. Elle nous apprend qu’on peut tomber et se relever, qu’on peut grandir et apprendre de chaque situation et que l’échec n’est qu’une manière d’appréhender le vécu. Au centre de l’expérience, nous acceptons d’être traversé par tout ce qui se présente, le lumineux, le venteux, le pluvieux, le boueux, d’avoir des expériences intenses, et nous vérifions que tout est OK. Que chaque petite mort est suivie d’une renaissance.

Au crible de la pleine conscience, nous percevons tout ce qui nous honore et tout ce qui nous abaisse. Et nous trions, nous nous offrons la liberté de choisir le meilleur. Nous sommes souverain tout en tenant compte des autres et de leur propre souveraineté.

Nous découvrons la magie de l’INTERDÉPENDANCE. Nous ne sommes plus dépendant des autres pour combler des manques, nous ne sommes plus indépendant au point de préférer rester seul dans son coin. Nous ne voyons plus les autres comme de simples miroirs de nous-même, ce qui cultive l’ego et le désespoir de la solitude, mais nous comprenons que nous évoluons avec nos semblables, les êtres qui vibrent en résonance, en correspondance, et que le résultat de chaque interaction modifie la réalité de l’ensemble. L’interdépendance est une clé majeure du nouveau paradigme de la coopération.

Nous ouvrons notre Univers aux autres et nous pénétrons dans l’Univers des autres : nous créons le temps de l’expérience un Univers ensemble.

Nous développons la capacité à comprendre de manière multidimensionnelle, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur, à avoir plusieurs points de vue simultanément sur le vécu, en situation, et à pouvoir naviguer entre ces niveaux de conscience accessibles. L’empathie, l’intuition, la vigilance se déploient et nos perspectives s’élargissent.

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Les obstacles principaux au début d’une relation de couple

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Quand nous commençons une relation de couple, surtout au tout début, différents obstacles se présentent, que nous allons devoir éviter. Il s’agit d’un fait inévitable et très banal, puisque nous apprenons à connaître à fond la personne et essayons de faire s’emboîter ses pièces avec les nôtres, de manière à ce que les coins ne s’enfoncent pas dans l’un de nous deux.

Dans l’interaction, au début d’une relation de couple, des difficultés se présentent et il faudra alors y faire face. Nos attentes s’écrouleront petit à petit et nous devrons affronter la réalité. Cette étape peut entraîner beaucoup de frustration si nous avons beaucoup trop idéalisé l’autre personne.

Ces obstacles, en général, sont utiles à une meilleure connaissance de l’autre personne, et le fait de les surmonter met en place le ciment sur lequel va se construire petit à petit la relation. Puisqu’il s’agit d’un processus d’adaptation, nous allons devoir accepter les complications et, parfois, nous armer de patience pour les surmonter. Cela fait irrémédiablement partie du processus de découverte et de redécouverte de la personne avec laquelle nous avons commencé une relation.


« Le couple est l’un des aspects centraux de la vie d’un être humain. Une fois que l’homme arrive au monde, la communication apparaît comme étant le facteur le plus important qui détermine le type de relations qu’il va avoir avec les personnes les plus proches, pour ensuite l’appliquer dans des relations d’un autre genre. »

-Satir-

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Apprendre à communiquer entre nous

Communiquer et bien le faire est l’un des principaux défis qui se présente aux couples, surtout au début d’une relation quand on n’a pas encore construit de dynamiques partagées. Pour que la communication soit saine, nous devons apprendre à exprimer ce dont nous avons besoin.

Une personne qui a déjà passé beaucoup de temps avec nous est déjà probablement devenue experte dans l’interprétation de notre langage non-verbal, mais une nouvelle personne qui ne dispose pas de ce bagage va avoir plus de difficultés si elle n’instaure pas une communication ouverte au lieu d’une communication codée.

La communication peut souvent être le lieu de malentendus et d’interprétations que nous faisons sur le champ et de manière presque automatique. Pour surmonter cela, il vaut toujours mieux poser des questions que procéder à des interprétations et surtout bien écouter quand on nous parle.

Apprendre à communiquer dans un couple sera un défi par lequel vous devrez passer tôt ou tard. Si nous n’apprenons pas à communiquer, la relation est vouée à l’échec. C’est un pilier fondamental pour le bon fonctionnement de la relation de couple, et on ne peut pas le négliger.


Une bonne communication est basée sur le respect, l’empathie, l’écoute et la compréhension. Exprimer ses propres besoins sans cesser de faire attention à ceux de l’autre.

S’ajuster à la réalité

L’idéalisation est un composant étroitement lié au fait de tomber amoureux-se, il est inévitable de se concentrer davantage sur les bons côtés de notre compagnon/compagne quand nous débutons la relation. Cependant, il faut essayer de garder les pieds sur terre pour que nos attentes ne s’éloignent pas excessivement de la véritable personne qui se trouve avec nous.


Si nous nous bandons les yeux avec l’intention de vivre dans un monde de rêve, où tout ce que fait notre moitié est merveilleux, nous finirons par tomber de ce nuage et la frustration nous fera beaucoup trop de peine.


Il faut savoir que, même si notre moitié a beaucoup de qualités, elle aura aussi beaucoup de points qui ne nous plairont pas. Au final, c’est dans l’acceptation qu’apparaît le véritable amour, quand nous sommes prêt-e-s à voir l’autre personne telle qu’elle est, sans prétendre vouloir la changer.

Essayer de remplir le vide

Le couple n’existe pas pour réaliser nos attentes, ni pour combler notre vide intérieur. Chercher quelqu’un pour ne pas se sentir seul-e et pour oublier des expériences passées avec d’autres personnes est la première erreur qui fait que la relation ne fonctionne pas. Nous devons nous-mêmes combler nos vides, même si les autres peuvent contribuer à les rendre plus ou moins riches.

Nous pouvons ne pas être bien avec nous-mêmes, mais nous ne pouvons pas espérer que l’autre personne résolve notre conflit intérieur et nous apporte la paix et la sécurité dont nous avons besoin dans nos vies. Personne ne peut faire ce travail de résolution de conflit pour vous, pas même votre moitié.

Une relation saine consiste à être avec l’autre personne pour partager ce que nous sommes et non pas pour combler nos vides. Si nous fuyons la solitude, nous tomberons dans l’erreur de ne pas apprendre à vivre avec nous-mêmes.


« L’amour infantile suit le principe : « j’aime parce qu’on m’aime ». L’amour mûr obéit au principe : « on m’aime parce que j’aime ». L’amour immature dit : « je t’aime parce que j’ai besoin de toi ». L’amour mûr dit : « j’ai besoin de toi parce que je t’aime » »

-Erich Fromm-

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

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Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Après la mort, on voit son corps

 

« La preuve du paradis » est un des livres dont on ne ressort pas indemne. L’histoire de ce neurochirurgien est tellement énorme que je suis persuadé qu’elle n’est pas due au hasard. Imaginez un neurochirurgien qui est non seulement victime de son propre métier en contractant une méningite bactérienne, mais qui plus est fait l’expérience d’une NDE ou EMI, c’est-à-dire l’expérience d’une vie après la mort.

L’expérience du Dr Eben Alexender a même fait la une du célèbre magazine Newsweek, « Le paradis existe » :




 

Le paradis existe

L

e plus surprenant, de par sa formation scientifique le neurologue Dr Eben Alexander était quelqu’un de très sceptique, il ne croyait qu’en ce qu’il voyait. D’ailleurs, quand il entendait des témoignages de personnes de personnes après un accident raconter l’histoire du tunnel, pour lui, c’est leur cerveau qui leur jouait des tours à ces pauvres gens.

Le destin a voulu que lui aussi vive ce genre d’expérience pendant un coma profond d’une semaine.

Dans son livre il raconte donc ce qu’il a vu, des jardins, des paillons, des nuages… Des paysages de toute beauté, mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il y a de fascinant est qu’il balaye d’un revers de main toutes les objections que peuvent avoir les scientifiques sur les témoignages de la vie après la mort. Car il affirme haut et fort que son cerveau était tellement attaqué par cette maladie qu’il n’avait plus les capacités de créer des images telles qu’il les a vus.

En fait, son cerveau pendant son coma n’avait pratiquement plus aucune activité, son néocortex était « out ».  Il insiste bien que l’expérience qu’il a vécue n’est en aucun cas comparable à un rêve, c’était pour lui aussi réel que la lecture de cet article pour vous par exemple.

Il nous révèle aussi dans son livre que nous revoyons dans cette autre dimension les êtres disparus. Ce qui est un point commun à de nombreux témoignages de vie après la mort (NDE).

En revanche, il nous donne un détail qu’apparemment je n’ai jamais entendu dans d’autres témoignages. Il entendait comme un son qu’il est difficile de décrire, une sorte de « Om » hindouiste qui serait peut être la source de ce qu’il nomme Dieu à défaut de connaitre son origine.

Depuis, ce neurologue est devenu totalement croyant et il est convaincu que la conscience n’est pas dans la matière grise du cerveau, elle est ailleurs…

Il y a vraiment de plus en plus de témoignages en faveur de la vie après la mort que même les plus athées ne peuvent être indifférents.

De plus,  je crois que ces remontées de témoignages sont vraiment bénéfiques pour l’humanité. Car, si les scientifiques admettaient enfin que la conscience ne meurt pas après la mort clinique, on serait obligés d’admettre que nos actes présents auront une influence après notre mort, donc à mon avis, non seulement on serait plus « cool » avec son prochain, mais aussi les biens matériels seraient vraiment illusoires.

C’est peut-être pour cette raison que quelles que soient les preuves, l’existence de la vie après la mort aura toujours de forts opposants surtout parmi les intellectuels de ce monde, car c’est tout le système qui s’effondrerait.

Si le livre « la preuve du paradis » vous intéresse, vous pouvez vous le procurer à la FNAC :

http://livre.fnac.com/a5102074/Eben-Alexander-La-preuve-du-Paradis




 

Source: Le nouveau Paradigme

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Méditer pour élever votre taux vibratoire

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La méditation est un outil très utile pour qui désire élever son taux vibratoire. Il n’y a pas une technique unique pour méditer et augmenter son taux vibratoire. C’est plutôt un concept à comprendre, un principe à saisir pour l’appliquer et pour diriger son travail méditatif dans le bon sens. Vous aussi, vous pourrez bientôt méditer et élever votre taux vibratoire.

Taux vibratoire et méditation

Comment élever son taux vibratoire

Notre taux vibratoire s’élève à mesure que l’on devient conscient du monde, que l’on s’ouvre à lui et que l’on affine notre perception de ce qui nous entoure, de ce qui existe plus ou moins loin de nous. Il nous faut devenir de plus en plus conscient et toujours chercher à déceler de plus en plus précisément ces éléments qui ne font tout d’abord que nous effleurer. Lorsqu’on les perçoit dans toute leur puissance malgré leur apparente légèreté, on a alors élevé son taux vibratoire, on a affiné nettement l’énergie que l’on diffuse.

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image pixabay www.eveil.tv




Il faut aussi chercher à nous débarrasser des éléments négatifs nous empêchant d’avancer. En ne nous focalisant plus sur les seuls parties négatives de ce qui nous entoure, nous nous ouvrons à la lumière de chaque chose, à l’énergie positive qui peut alors venir nous enrichir et nous élever à notre tour.

Méditer pour élever son taux vibratoire

Méditer pour élever son taux vibratoire demande donc un travail conscient d’affinage de ses perceptions. Il faut en permanence chercher à percer à jour ce qui repose dans l’ombre. En le portant ainsi à la lumière de notre être, il est possible de s’en enrichir, sans jamais rien ôter de leur beauté, de leur richesse à ces objets de l’esprit que l’on observe et découvre. Il faut également chercher à rendre toujours plus fortes les impressions ténues que l’on ressent à peine. On affine alors son être, sa capacité de sensations. D’un être brut, lourdaud, l’on peut devenir un être de plus en plus raffiné, sans rien sacrifier de sa force, de sa puissance, en sachant simplement bien mieux les maîtriser et les diriger pour en faire des outils toujours plus efficaces.




En méditant, il nous faut découvrir par un long travail de recherche en soi ce que sont les boulets que l’on a attachés à ses pieds. Il faut s’assurer de ne jamais être entraîné vers le fond par des poids qui n’ont pas de raisons d’être. Ce sont souvent des jugements que l’on porte, des ennemis que l’on se crée que viennent les difficultés. À nous de ne pas nous alourdir inutilement, de savoir traverser l’existence en se consacrant plus à la découverte qu’à la critique. Cela, la méditation peut nous l’apprendre en nous montrant les causes de toute chose, en faisant de nous des êtres capables de déceler ce que d’autres ne peuvent seulement imaginer.

Vous pouvez, si vous le voulez, appliquer une technique tout simple.

  1. Imaginez une lumière pure, aussi pure que vous pouvez le concevoir.
  2. Laissez-la entrer en vous, visualisez cette lumière avec autant de réalité que possible. Efforcez-vous de la créer, de lui donner vie, de ne plus seulement l’imaginer. Lorsqu’elle entre en vous, par la tête, la lumière vous purifie. Elle ne se charge pas de vos basses vibrations, elle est trop pure pour cela, mais elle vous débarrasse des vôtres.
  3. Laissez cette lumière descendre, ressentez la bienveillance en elle à votre égard. Voyez comme elle se diffuse à travers votre être et en dépasse les frontières, parce qu’elle rayonne pour l’instant bien plus que vous ne le pouvez.
  4. Lorsque vous êtes empli de lumière, profitez de sa chaleur, de sa pureté aussi longtemps que vous le pouvez.
  5. Lorsque vous sentez qu’elle vous fuit, prenez le temps de l’accompagner, de la faire sortir en douceur, en vous sentant plein d’énergie, de sensations nouvelles, fines, précieuses.

Méditer pour élever son taux vibratoire est simple, mais long, parce qu’il faut s’appliquer à exercer un être qui n’est tout d’abord que fruste, maladroit, grossier dans ses manières. Puis à mesure que l’on travaille, l’on découvre ce qu’il est possible d’atteindre, et l’on ne peut que s’en inspirer.

Lien pour des méditations guidées

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Corps en lévitation, cris d’enfants… Les surprenantes anecdotes d’un embaumeur




Thanatopracteur depuis près de trente ans, Olivier Emphoux a été témoin de plusieurs phénomènes paranormaux. Il nous livre aujourd’hui un incroyable témoignage de son expérience auprès des morts.

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Planet : Si vous exercez ce métier, c’est donc que le contact des morts ne vous effraie pas…
Olivier Emphoux* : « Je n’ai pas grandi dans cet univers, mon enfance a été tout ce qu’il y a de plus normal mais j’ai toujours pensé que les morts relevaient du domaine du sacré. Et ce sentiment n’a fait que se renforcer avec le temps. Je suis ainsi entré dans l’univers du funéraire au plus bas de l’échelle il y a une vingtaine d’années et suis aujourd’hui thanatopracteur. Une expérience qui m’a permis de vérifier une théorie que j’avais développée bien des années auparavant et selon laquelle quelque chose se passe dans les quelques heures (48 heures, tout au plus) qui suivent un décès. Le défunt est alors sur le point de quitter son existence pour trouver un autre état. A ce moment-là, il est soit très calme, soit apeuré à l’idée de passer ce cap. C’est d’ailleurs pourquoi j’essaie à chaque fois de prendre le temps de m’assoir à côté du mort et de lui prendre la main pour le rassurer.

Planet : Quand avez-vous pu vérifier votre théorie pour la toute première fois ?
Olivier Emphoux : C’était au début de ma carrière. J’avais été appelé pour aller récupérer les corps de deux enfants à la morgue d’un hôpital. Quand je suis arrivé, le responsable avait une mine défaite et m’a dit qu’il était incapable d’aller les chercher dans les frigos. J’y suis donc allé. Là, j’ai découvert une petite fille de dix ans qui avait encore les yeux ouverts, je les lui ai fermés, et un petit garçon de quatre ans en pyjama, les poings serrés. Je me suis occupé de leurs corps et les ai ensuite emmenés pour la présentation à leur famille. Une fois les cercueils scellés, je les ai mis dans le corbillard et ai conduit jusqu’au lieu où ils devaient être inhumés. J’étais seul dans le véhicule. A un moment pendant le trajet, j’ai entendu des cris d’enfants. Je me suis arrêté et suis descendu pour voir si les bruits ne venaient pas des cercueils. Après tout, on lit parfois dans les journaux que des gens se réveillent à la morgue. Mais là, il n’y avait plus aucun bruit. J’ai donc redémarré en me disant que mon imagination m’avait joué un tour. Mais les cris ont recommencé. Comme j’étais certain de les entendre, j’ai alors compris que cela ne venait pas de moi mais d’un phénomène paranormal.

Planet : Avez-vous ensuite cherché à savoir ce qui était arrivé à ces deux enfants ?
Olivier Emphoux : J’ai ensuite appris que leur mère avait décidé de vérifier s’ils savaient nager en plongeant leur voiture dans un étang. Ils étaient tous les trois à bord, la mère au volant, les deux enfants attachés à l’arrière. Elle s’en est sortie mais les deux petits sont morts…



Planet : Vous demandez-vous parfois pourquoi vous êtes témoin de ces phénomènes paranormaux ?
Olivier Emphoux : Non, je ne cherche pas à savoir pourquoi. On ne peut pas expliquer ces phénomènes irrationnels en étant vivant. Chercher à comprendre leur origine et pourquoi j’en suis témoin serait le meilleur moyen de ne plus rien voir. Les autres thanatopracteurs qui ont assisté à ce type de phénomènes, en France ou à l’étranger, sont comme moi : ils en parlent très peu. Que ce soit aux familles des défunts – par respect on ne les questionne pas – entre eux ou avec leurs collègues. C’est comme ça, ça ne se fait pas.

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Planet : Vous avez pourtant écrit un livre pour raconter ce dont vous avez été témoin…
Olivier Emphoux : C’est différent. Le livre est né tout seul. Annette Gefffroy est tombée sur mes notes et a eu envie de les mettre en forme. Le but n’était pas de chercher à comprendre ce qu’elles pouvaient révéler mais simplement d’en rendre compte.

Planet : Y-a-t-il des phénomènes plus marquants que d’autres ?
Olivier Emphoux : Il y a notamment eu la fois où je faisais un soin à domicile, seul dans une pièce avec le défunt. A un moment, le corps s’est soulevé à un mètre de hauteur, jusqu’à atteindre la hauteur de mes yeux…. J’ai encore du mal à décrire l’effet que cela m’a fait. Je ne savais plus quoi dire ou faire, j’étais tétanisé.

Il y a aussi eu la fois où, avec trois de mes collègues et alors que nous déplacions le cercueil d’un homme sur un chariot à l’hôpital, nous avons été témoins d’un phénomène très troublant. Nous venions de passer une porte que nous avions silencieusement refermée derrière nous. Dans notre métier, nous devons sans cesse veiller à être invisibles. On dit souvent que la famille du défunt ne doit pas nous voir arriver ni vous voir repartir. Mais tout d’un coup, la porte s’est rouverte et refermée dans un fracas. Ensuite, pendant que nous avancions avec le chariot, nous avons entendu un bruit de métal régulier. Ce bruit nous suivait et s’arrêtait en même temps que nous. Arrivés dans l’ascenseur, j’ai regardé dans le cercueil pour voir si un objet en métal n’’était pas à l’origine de ce bruit. C’est alors que j’ai découvert des talonnettes en métal sur les chaussures du défunt… Il nous avait suivis… Quand nous nous en sommes rendus compte, nous nous sommes tous regardés, perplexes, mais aucun de nous n’a dit quoi que ce soit. Par la suite, nous n’en avons jamais parlé ».

*Olivier Emphoux est l’auteur d’ Aux portes de l’inconnu, un embaumeur raconte… (éd. de L’Opportun)

Source

Lien du livre

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L’âme soeur parfaite pour chaque signe du zodiaque

astrologie, numérologie

L’astrologie peut nous en apprendre beaucoup sur notre âme sœur idéale.

En analysant de près votre signe astrologique vous pouvez avoir une meilleure idée sur le signe avec lequel vos êtes le plus susceptible d’être compatible au rayon des amours.

Alors voici les traits et les caractéristiques dont chaque signe devrait tenir compte lors de la recherche de son âme soeur.

Ce que le Bélier recherche: quelqu’un de confiant avec un caractère fonceur qui peut suivre son rythme.
Le Bélier a une personnalité entreprenante à tendance quelque peu agressive, et aime profiter de la vie au maximum. Il n’aime pas être freiné et a besoin d’un partenaire capable de s’adapter à lui. Son âme soeur idéale serait quelqu’un de confiant, qui s’impose, et qui n’a pas peur de prendre des risques audacieux.

Âmes sœurs potentielles: Le Bélier, Le Lion, Le Sagittaire, Le Gémeaux et Le Verseau.

Ce que le Taureau recherche: quelqu’un de loyal et de romantique qui n’a d’yeux que pour lui.
Le Taureau sera prêt à rester loyal jusqu’à la fin pour la bonne personne. Mais il a besoin de quelqu’un avec un sens de l’engagement profond et qui lui rendra la pareille. Son âme soeur idéale serait quelqu’un de digne de confiance, de direct, et qui ne joue pas des bizarreries du mental, car honnêtement, un Taureau n’a de temps pour ce genre de choses. Les Taureaux sont plutôt du genre à être attirés par des personnes exprimant des sentiments d’amour romantique et qui savent leur donner l’impression d’être la seule personne au monde!

Âmes sœurs potentielles: Le Cancer, Le Capricorne, Le Vierge et Le Poissons.

Ce que le Gémeaux recherche: quelqu’un d’intelligent, avec un bon sens de l’humour, et qui sait rendre les choses encore plus intéressantes.
Les Gémeaux peuvent être pointilleux au sujet de la personne avec qui ils sortent. Donc s’ils vous choisissent c’est que vous êtes spécial! Leur âme sœur idéale serait quelqu’un de drôle, d’intelligent et d’intéressant. Il peut être aussi utile que vous soyez suffisamment différent du Gémeaux pour vous assurer que les choses ne deviennent jamais obsolètes ou ennuyeuses!

Âmes sœurs potentielles: le Lion, la Balance, le Bélier et le Verseau.

Ce que le Cancer recherche: un être intelligent, affectueux et sensuel avec un coeur empathique.
Le Cancer a beaucoup de coeur, et beaucoup d’amour à donner. Mais si vous voulez vraiment gagner son affection, alors vous devez être en mesure de rendre la pareille. Les Cancers ont besoin de quelqu’un qui soit assez intelligent pour stimuler leur esprit, et d’assez affectueux pour se sentir aimés, choyés et appréciés. Ils ont du mal avec l’égoïsme, donc leur compagnon idéal doit aussi être attentionné et emphatique.

Âmes sœurs potentielles: le Scorpion, le Taureau, le Poissons et le Vierge.

Ce que le Lion recherche: quelqu’un qui de confiant, mystérieux et capable de le tenir sur un pied d’alerte.
Le Lion a une grande attirance pour les personnalités confiantes mais mystérieuses. Il cherche quelqu’un qui soit toujours prêt pour l’aventure et qui n’a pas peur de se jeter à l’eau. Mais il cherche aussi quelqu’un d’assez intriguant, qui a quelque chose de fascinant pour le garder en haleine assez longtemps!

Âmes sœurs potentielles: Le Gémeaux, la Balance, le Sagittaire et le Bélier.

Ce que la Vierge recherche: quelqu’un de complexe, sophistiqué, ambitieux et dévoué.
L’âme soeur d’une Vierge est aussi raffinée qu’une princesse. Mais il devrait être tout aussi motivé et ambitieux, et pas juste se contenter de ne rien faire à longueur de journée. Mais avant tout, la Vierge a besoin de quelqu’un qui soit aussi engagé qu’elle dans la relation.

Âmes sœurs potentielles: Le Scorpion, le Capricorne, le Cancer et le Taureau.

Ce que la Balance recherche: quelqu’un avec une image, un cerveau, et assez de confiance pour lui correspondre!
La Balance est très exigeante en matière d’amour et ne se contentera pas de prendre n’importe qui. Son âme soeur est susceptible d’avoir ces trois caractéristiques: une image, de l’intelligence et de la confiance en soi. La Balance aime la beauté physique parce qu’elle a un faible pour l’esthétique. L’intelligence compte beaucoup parce qu’il est lui-même intelligent et s’ennuie facilement avec les esprits lents. Et il recherche aussi quelqu’un de confiant, qui sait ce qu’il veut!

Âmes sœurs potentielles: Le Gémeaux, le Verseau, le Sagittaire et le Lion.

Ce que le Scorpion recherche: quelqu’un qui le défie, d’intense, et qui va poursuit ses passions.
L’amour d’un Scorpion est profond, intense et entièrement inconditionnel. Toutefois, il a besoin de quelqu’un qui saura le défier et alimenter le feu ardent de son amour. Son âme soeur idéale serait quelqu’un qui a de la profondeur et de la fantaisie, qui pense et qui ressent profondément les choses, mais qui ne révèle pas nécessairement toutes ses cartes à la fois. Le Scorpion aime qu’il y ait un brin de mystère et d’intrigue, et est aussi profondément attiré par l’esprit vif!

Âmes sœurs potentielles: Le Poissons, le Vierge, le Capricorne et le Cancer.

Ce que le Sagittaire recherche: un être libre et ouvert d’esprit qui ne cherche pas à le « changer ».
Les Sagittaires apprécient leur liberté et leur indépendance, et n’ont nul besoin de quelqu’un de trop possessif ou qui chercherait à s’accaparer d’eux ou à les changer. Leur âme soeur idéale serait quelqu’un d’ouvert d’esprit et qui a une âme aventurière. Ils n’aspirent pas à fonder leur vie sur des règles et une routine sans fin. Les Sagittaires recherchent chez une âme soeur quelqu’un qui leur permettra de renforcer leurs propres capacités, et avec qui ils pourront conquérir le monde… et non quelqu’un qui leur coupera les ailes!

Âmes sœurs potentiels: Lion, Verseau, Bélier et Balance.

Ce que le Capricorne recherche: une âme élégante, intrigante, qui impliquera son esprit et qui restera fidèle jusqu’à la fin.
Le Capricorne n’a pas peur d’être pointilleux quand il s’agit d’amour, surtout quand il s’agit de trouver son « âme soeur ». Son partenaire idéal est quelqu’un qui a suffisamment de classe et de style, et une certaine fierté de qui il/elle est. Son partenaire idéal devrait aussi être suffisamment intelligent et être en mesure de s’engager avec lui sur un niveau profond et significatif. Mais par-dessus tout, cette personne devrait être digne de confiance et loyale! Car le Capricorne a besoin de quelqu’un sur qui il peut compter!

Âmes sœurs potentielles: Le Poissons, le Taureau, le Vierge et le Scorpion.

Ce que le Verseau recherche: quelqu’un de dévoué mais qui aime s’amuser, qui a un sens de l’humour et un talent pour la cuisine!
L’âme soeur idéale pour le Verseau devrait avoir une personnalité amusante et extravertie, et ne devrait pas avoir peur de se lancer dans une aventure délirante si l’occasion se présentait. Les Verseaux sont également très attirés par ceux qui ont un sens de l’humour et un esprit vif. Si vous arrivez à les faire rire, vous pouvez tout simplement attirer leur attention en un claquement de doigts. Savoir cuisiner est aussi un gros plus, car les Verseaux adorent manger!

Âmes sœurs potentielles: La Balance, le Bélier, le Gémeaux et le Sagittaire.

Ce que le Poissons recherche: quelqu’un de confiant, qui a un esprit créatif et une capacité à se mettre sur la même longueur d’onde que lui.
Les Poissons vivent dans leur propre monde et essayent de ne jamais prendre la vie trop au sérieux. Leur âme soeur idéale serait quelqu’un qui a une grande confiance en elle, un esprit sauvage et créatif, et une capacité à penser de manière non linéaire. Mais par dessus tout, les Poissons ont juste besoin de quelqu’un avec qui ils peuvent se connecter et communiquer de manière profonde et significative.

Âmes sœurs potentielles: Le Cancer, le Scorpion, le Capricorne et le Taureau.

Source Source: https://lesloisduzodiaque.com/lame-soeur-parfaite-signe-zodiaque Partagé par www.eveil.tv

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