Science et expérience de Kundalini

Science et expérience de Kundalini

Science et expérience de Kundalini
Article de Louis Nahum

Qu’est ce que l’expérience de Kundalini?

Il s’agit de la montée le long de la colonne vertébrale, en partant du sacrum, d’une énergie vitale (appelée kundalini) qui se réveillerait chez l’individu. L’expérience de Kundalini peut être déclenchée par des méditations, des prières, des exercices physiques comme le yoga ou spontanément. Certaines personnes rapportent même avoir été tirées de leur sommeil par une telle expérience. Celle-ci s’accompagne typiquement par des sensations motrices, sensorielles, mentales et émotionnelles extrêmes. Elle pourrait amener à des processus de guérison physique et mentale.




Que se passe-t-il dans le corps et le cerveau durant une expérience de Kundalini?

Faire une expérience de kundalini ne se commande pas facilement et il s’agit d’une expérience très personnelle qui se fait difficilement dans un laboratoire. Néanmoins, nous pouvons inférer sur la base des expériences relatées que le corps en entier réagit très fortement, avec bien entendu des différences entres les personnes. De manière générale, l’activation du corps est très marquée avec une tension musculaire, une augmentation du rythme cardiaque, de la pression sanguine et des mouvement involontaires.

A notre connaissance, il n’existe qu’une seule recherche scientifique sur ce qui se passe dans le cerveau durant une expérience de Kundalini. Cette dernière a été publiée sur internet (http://www.newbrainnewworld.com/?Awakening_of_Kundalini) et n’a pas fait l’objet d’une parution dans un journal scientifique officiel. Il s’agit de l’enregistrement de l’activité cérébrale pendant une montée de Kundalini d’une personne dite « éveillée » spirituellement, disciple des maîtres indiens Amma et Bhagavan. L’auteur, Erik Hoffmann, un psychologue danois, s’est limité à l’utilisation de quatre électrodes placées sur la zone frontale gauche et droite du cerveau, et à l’analyse des ondes gamma: un pattern d’oscillation naturelle des neurones de 40 Hz. Les ondes gamma sont souvent un indice d’effort mental, d’attention augmentée et impliquées également dans la mémoire. L’analyse des données récoltées indique une augmentation de l’activité gamma seulement 12 secondes après avoir donné l’instruction à la personne d’essayer d’avoir une montée de Kundalini. Après 37 secondes, l’activité gamma, telle qu’enregistrée par les deux côtés de la partie frontale du cerveau, est maximale avant de redescendre. Les électrodes gauches indiquent cependant une réponse plus rapide et plus intense que les électrodes placées sur l’hémisphère droite. Par ailleurs, c’est à 37 secondes, quand l’énergie semble maximum, que la synchronisation de l’activité gamma entre les deux hémisphères est la plus élevée.

Si ce travail pionnier et singulier est loin d’être une démonstration suffisante des effets sur le cerveau lors de l’expérience de Kundalini, elle suggère l’existence de phénomènes neuronaux d’envergure, compatibles avec l’intensité des changements perçus par les personnes durant cette expérience.




Est-ce que ces résultats montrent que l’expérience de kundalini est différente d’une autre expérience d’état modifié de conscience ?

Dans l’étude décrite ci-dessus, l’auteur rapporte également les résultats de l’enregistrement électrophysiologique du cerveau de la même personne faisant un autre type de méditation : la méditation de la gratitude. Dans cette méditation, Hofmann observe également une augmentation des ondes gamma. A nouveau, les électrodes gauches mesurent une réponse plus rapide et plus intense que les électrodes placées sur l’hémisphère droite, mais dans un premier temps seulement. En effet, et contrairement à l’expérience de Kundalini, il note la présence d’une deuxième vague d’ondes gamma avec cette fois-ci une moins grande intensité sur les électrodes gauches.

Il est difficile sur la base de ces seuls résultats de conclure que les deux types de méditation soient fondamentalement différents ou non. Il faut souligner le fait que la méthode utilisée – l’électroencéphalogramme – ne mesure qu’une infime partie des phénomènes qui se passent réellement dans le cerveau. Ce que nous pouvons affirmer sans se tromper, c’est qu’il y a des éléments communs.

Source de l’article https://sapprendre.ch




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La science prouve que vos intentions et vos pensées créent votre monde physique

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La science a prouvé que les pensées regroupent solidement le champ d’énergie qui est en constante évolution dans les objets que nous voyons.

Le Dr. Masaru Emoto, célèbre chercheur japonais, docteur en médecine alternative et guérisseur l’a démontré par ses expériences avec la molécule d’eau, présenté dans le film What the bleep do we know ? (extrait) en français …‘Le pouvoir de la Pensée’. Le thème commun qui revenait constamment lors de ses expériences consistait à démontrer que les pensées humaines et les intentions peuvent modifier la réalité physique.

Son expérience réalisée sur le riz était simple et facile à reconstituer. Elle justifie cette attention particulière sur les différents effets de la pensée positive et négative.

Le Dr. Emoto a placé des portions de riz cuit dans deux récipients. Il a ensuite donné le nom de « Merci » à un bocal et « Idiot » à l’autre.

Masuru Emoto a ensuite fait placer les bocaux dans une école, à gauche et à droite de l’entrée des classes. Les étudiants ont été invités tous les jours à dire à haute voix le nom marqué sur les étiquettes des bocaux avant d’entrer dans l’école. Les résultats étaient tout à fait stupéfiants.




Après trente jours, on a pu observer un changement notable entre les deux récipients. Le pot étiqueté « Idiot » s’est décomposé à un rythme rapide. Les pensées négatives et les intentions affectaient profondément et d’une manière plus rapide la répartition du riz.

Le pot étiqueté « merci », n’avait quasiment aucune décomposition. La positivité avait permis de maintenir la structure et la santé du riz.

Cette preuve de pensées qui interagissent en évidence avec le physique a des conséquences considérables. Toutefois, il n’est pas encore possible de quantifier l’impact exact que produisent nos pensées, mais les conséquences sont évidentes, simplement dans l’attente de se manifester.

L’Expérience du Reiki et du riz: l’énergie vitale en action, vidéo :

 

Vous pouvez afficher les sous-titres en franÁais. Appuyez sur lecture puis allez dans options sous-titres « oui » , puis traduire en franÁais

Source monde physique: thespiritscience.net

et http://www.espritsciencemetaphysiques.com/

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Les expériences de mort imminente – Entretien avec Olivier Chambon

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La vie après la mort, les expériences de mort imminente, le chamanisme, Eveil Tv documentaire numéro  3

Entretien avec Olivier Chambon autour des expériences de mort imminente, les phénomènes vu par la science , parler de la mort aux enfants

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une femme de 41 ans en état de mort cérébrale accouche d’un enfant

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Une Polonaise en état de mort cérébrale a été maintenue en vie artificiellement pendant 55 jours pour accoucher d’un enfant à l’hôpital universitaire de Wroclaw (Pologne).




Le garçon est né au début de l’année, dans la 26e semaine de grossesse. Il pesait 1000 grammes, déclare Barbara Krolak-Olejnik, cheffe du département de néonatologie. Au bout de trois mois de soins, son état de santé correspond à celui d’un prématuré extrême, sans complications. Il vient de quitter l’hôpital.»

C’était une longue bataille de 55 jours. Toute sa famille a désiré qu’on tente de préserver l’enfant », a indiqué Mme Krolak-Olejnik celui direct matin. Nous, néonatologues, on souhaitait que le petit homme devienne le plus grand possible mais un jour, un danger pour sa vie est devenu réel et nous avons opté pour l’accouchement », une césarienne, a-t-elle précisé.




Au bout de trois mois de soins intensifs, le garçon pèse trois kilos, respire de manière autonome, est nourri au biberon et a quitté l’hôpital. Désormais, « il faut s’armer de patience et attendre de voir comment il va grandir ».

source direct matin

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Qui a tué la momie cinq fois centenaire découverte au sommet d’un pic des Andes

Une chambre froide à Arequipa, 1000 kilomètres au sud de Lima,

Pérou. Ce sera là, la dernière adresse de Juanita, douze, quatorze ans à peine. Une enfant sacrifiée il y a de cela 500 ans. Sans doute une vierge. La plus belle momie inca congelée découverte à ce jour. En fait, la seule. Cinq mois déjà, qu’elle a quitté son cercueil de glaces, tout là-haut, au sommet du mont Ampato à 6 300 mètres d’altitude, pour poursuivre sa longue nuit, d’abord dans un frigo de fortune, puis depuis décembre dans sa chambre à moins 15$. Là, Sonia Guillen, à la tête de l’institut Mallqui qui compte 500 momies de tous âges, veille sur elle. Si fragile. Elle a, paraît-il, l’air paisible de ceux qui ont glissé tout doucement dans la mort. Pas de traces de coups. Ni sur la nuque, ni sur les doigts. Pas de signes de strangulation. Enveloppée dans de fins morceaux de laine, peut-être de lama, un châle autour du cou, elle avait sans doute revêtu une tenue des grands jours, dans des tons rouge, crème, brun, jaune safran. Dessous, recroquevillé en position foetale, son corps (chair et organes) serait intact. Seul son visage a vu le soleil. Et si par petites touches, il reste brun et gelé, il s’est décoloré. A commencé à se craqueler. Quelques semaines de plus, et c’en était fini. «Elle a été trouvée juste à temps», dit l’anthropologue Sonia Guillen.

C’était en septembre dernier. L’Américain Johan Reinhard, qui depuis les années 80, écume les sommets des Andes (déjà une centaine) à la recherche de sites incas, jette son dévolu sur le mont Ampato au sud du Pérou. «A vrai dire, j’hésitais, je redoutais la glace et une éruption volcanique.» Mais cet archéologue affilié au Field Museum of Natural History de Chicago se lance, avec son guide le Péruvien Miguel Zarate, dans le froid et les nuages de poussière volcanique. Au point le plus haut, il aperçoit des têtes de statues, le derrière dans le cratère du volcan qui depuis 5 ans s’est réveillé. «J’ai tout de suite compris aux coiffures avec plumes, que c’était de l’inca. Et puis il y avait des graviers, de la glace brisée, des cendres du volcan. Très vite aussi, il m’est apparu qu’il y avait eu une véritable plate-forme, une structure qui s’était effondrée après que le volcan eut fait fondre la glace.» Il s’approche, se penche. C’est là, en contrebas, dans une sorte de ravin que dort Juanita. Dans sa chute, l’enfant qui avait dû périr au sommet, a perdu le tissu qui lui couvrait le visage. Le soleil a commencé ses ravages. Mais le corps est encore glacé. «Je me suis approché, et j’ai voulu la soulever, mais elle était trop lourde. 40 kilos. Et puis la nuit tombait, j’ai glissé plusieurs fois. Je n’ai pas réussi à la dégager et J’ai décidé d’attendre le lendemain.» Péniblement, Johan Reinhard remonte la momie sur son dos, celle-ci finit la descente du mont Ampato à dos de mulet, isolée de la chaleur de la bête par un sac de couchage. Enfin, chargée dans le coffre à bagages d’un bus de nuit, elle gagne l’université catholique d’Arequipa et son frigo de fortune, le 11 septembre.

 

La merveilleuse découverte est tenue secrète. Johan Reinhard sait déjà que Juanita n’était pas seule au sommet de l’Ampato. Il veut repartir dans le calme. En équipe. Cette fois, des 6 300 mètres du sommet à 5 800, la fouille est systématique. Et là, plusieurs sites de cérémonies sont découverts. A chaque fois, ils regorgent de poteries, de statuettes, de figurines, d’or, d’argent, de feuilles de coca et de spondylus, de ces coquillages dont se servaient les Incas pour sculpter leurs figurines… Et puis deux nouveaux corps d’enfants (un garçon et une fille) sont retrouvés. Sans doute offerts comme Juanita à la montagne, que les Incas vénéraient. «L’Ampato nous a livré trois preuves de sacrifices humains. En tout, sur l’ensemble des Andes, cela porte à 12 le nombre de momies dont nous disposons. J’entends par là, momies naturelles, pas à l’égyptienne.» Douze parmi lesquelles seule Juanita est vraiment congelée et en excellent état de conservation. Les autres, souvent, sont congelées sèches, et s’effritent lorsqu’on les touche. Les trésors de l’Ampato sont révélés fin octobre.

 

A cette époque, l’autopsie de Juanita commence à peine. Sortie quelques brefs instants de son frigidaire, par crainte d’un coup de chaud, un premier examen aux rayons X révèle l’extraordinaire état de conservation de son corps. Seulement voilà, la momie est un vrai casse-tête. Son corps a besoin d’humidité, tandis que son visage craquelé ne doit surtout pas être réhydraté. Sonia Guillen décide de faire appel au professeur Konrad Spindler, de l’université d’Innsbruck (Autriche). L’homme qui a coordonné toute l’expertise scientifique d’Ötzie, l’Hibernatus de 5 300 ans découvert en 1991 dans les glaces du Tyrol. Un temps, il est question que Juanita parte se faire expertiser en Autriche. «Finalement, ce serait beaucoup trop compliqué. Au moins autant que d’envoyer Ötzie au Pérou.» Alors, on lui offre une chambre froide. «J’ai préconisé une température moyenne, de -15$, parce qu’au sommet du mont Ampato, il fait entre -10$ et -20$. Pour l’instant, le degré d’humidité est de 70%. Mais je pense que c’est insuffisant», affirme Konrad Spindler qui doit revenir au Pérou en mars, le temps de consulter d’autres chercheurs. Le temps d’analyser les petits bouts de textile et de peau déjà prélevés. «Je veux notamment m’assurer que des champignons qui pourraient abîmer la momie ne sont pas en train de proliférer», dit Konrad Spindler. Le temps aussi qu’une véritable équipe internationale soit totalement constituée. Alors, la momie sera véritablement passée à la question. On veut tout savoir. Juanita a-t-elle vraiment escaladé les 6 300 mètres? «L’examen de ses pieds devrait le dire, explique Johan Reinhard. Mais on peut aussi imaginer qu’on l’a portée. C’est même fort probable, vue l’ampleur du matériel retrouvé, qu’il a dû y avoir tout un convoi, avec des tas de prêtres, leurs assistants, des lamas…», suppute Johan Reinhard. Comment est-elle morte? «Il n’y a aucune trace de violence. On l’a sans doute abandonnée au sommet. Exposée au froid, elle a dû s’endormir, dormir et s’en aller vraiment», suppose Sonia Guillen. Et son expression paisible? Peut-être avait-elle mâché des feuilles de coca: on en a retrouvé sur elle. Et Konrad Spindler traque déjà des traces d’alcaloïdes. Ou alors avait-elle bu de la chicha, cet alcool de maïs? Et ce n’est pas tout, par-delà, une classique autopsie, des fragments d’ADN devraient aussi parler. Etait-elle malade? «En comparant avec l’ADN des autres momies incas, nous voudrions aussi savoir si l’on peut vraiment parler d’un peuple, ajoute Konrad Spindler. Et puis voir aussi à quel groupe d’Indiens actuels on peut rattacher Juanita.»

En attendant, méticuleusement, les Péruviens tentent de déshabiller Juanita. Ils ont commencé par le châle. L’épingle qui l’attachait a fini par être ôtée. De tout petits bouts du tissu sont réchauffés au séchoir, «le plus difficile étant de les décoller sans arracher la chair, explique Sonia Guillen. Ensuite, enlever la tunique sera beaucoup plus simple. Presque aussi facile que de déshabiller une poupée, mais nous n’en sommes vraiment pas là.» Alors, pour quelques semaines encore, Juanita devra dormir enveloppée dans ses mystères, dans sa chambre d’Arequipa, 1000 kilomètres au sud de Lima.

source:   Catherine Mallaval http://www.liberation.fr

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L’influence de la méditation sur l’espérance de vie et le cerveau

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Nous sommes nombreux à connaître les différents avantages d’une pratique régulière de la méditation, mais connaissons-nous l’influence de la méditation sur notre cerveau? Voici 5 effets positifs de la méditation sur l’espérance de vie et le cerveau.

1. La méditation garde l’hippocampe sain et améliore l’apprentissage et la mémoire.

L’hippocampe est une petite région du cerveau profondément enfouie sous le cortex. Elle joue un rôle important dans l’apprentissage, la régulation des émotions et aide à la consolidation de l’information de la mémoire à court terme vers la mémoire à long terme.

En 2011, des chercheurs de Harvard ont été parmi les premiers à prouver que seulement huit semaines de pratiques méditatives de la Pleine Conscience entraîneraient l’augmentation significative de l’épaisseur de l’hippocampe.

2. La méditation signale à l’amygdale de se détendre et aide à faire baisser le niveau de stress.

La même équipe de chercheurs de Harvard a aussi découvert que la méditation attentive diminuait le volume des cellules du cerveau dans l’amygdale, la partie de notre cerveau responsable de la peur, de l’anxiété et du stress.

Ces changements correspondent aux données déclarées par les participants sur leur niveau de stress, ce qui prouve de quelle façon les changements dans le cerveau sont en corrélation avec la perception subjective.

3. Influence de la méditation : elle crée un cortex frontal plus rapide, plus gros et plus en forme, favorisant l’amélioration de la concentration et de l’attention.

Etant donné que focaliser notre attention sur un objet (ex: respiration ou mantra) est l’une des pratiques centrales de la méditation, il n’est pas étonnant que la méditation contribue à améliorer notre capacité à nous concentrer et à être moins sensibles aux distractions.

L’amélioration de la concentration et de l’attention est l’un des avantages les mieux étudiés de la méditation.

La façon dont cela se produit est en réalité assez simple. Lorsque nous concentrons notre esprit, nous activons le cortex frontal et nous augmentons le flux sanguin vers cette zone. Si nous faisons cela suffisamment de fois, nous commençons à voir que l’activité de la circulation sanguine devient plus stable. Cette activité mène à la croissance de la matière grise (connue sous le nom Épaississement cortical) observée dans le cerveau des méditants.

4. La méditation augmente la matière grise et allonge les télomères qui aident à ralentir le vieillissement.

Le cerveau humain diminue de volume et de poids lorsque nous vieillissons, en revanche, les méditants ont, à plus long terme, un cerveau en meilleure condition que les non-méditants et un volume plus grand de matière grise.
La méditation aide également à protéger nos télomères, les capuchons de protection à la fin de nos chromosomes. Les télomères sont plus longs lorsque nous sommes jeunes et se raccourcissent naturellement quand nous vieillissons. Les télomères plus courts sont associés au stress et à un risque plus élevé à développer de nombreuses maladies, dont le cancer. Ils dépendent de l’enzyme télomérase qui leur permet de se reconstruire et de se réparer.

Des chercheurs de l’Université de Californie ont été les premiers à prouver que les méditants ont une activité de télomérase significativement plus élevée que les non-méditants. Leurs conclusions ont depuis été répliquées.

5. La méditation active l’insula, renforçant ainsi l’empathie et la compassion.

L’empathie est la capacité à comprendre les sentiments des autres. La compassion est quelque chose de différent – c’est la préoccupation pour la souffrance d’un autre ou de soi-même.

Une décennie de recherches a montré de façon constante que la méditation améliorait ces deux qualités à la fois. Ces avantages sont attribués à une région du cerveau appelée l’insula.

L’insula a un rôle majeur dans la conscience de soi. Elle nous permet d’être conscient de nos propres réactions émotionnelles, ainsi que de mieux lire et comprendre celles des autres.

Les méditants montrent une activité accrue de l’insula et une plus grande épaisseur corticale dans cette région. Des études plus récentes ont aussi démontré que la méditation augmentait les réponses de compassion à la souffrance des autres.

Maintenant que vous connaissez l’influence de la méditation sur notre cerveau, pourquoi ne pas essayer? Plus vous pratiquez la méditation de façon régulière, plus votre cerveau en récolte les bienfaits. En outre, vous serez beaucoup plus heureux et en meilleure santé.

source

Un Indien, premier mort par chute de météorite?

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Un mystérieux cratère laissé sur le lieu où est décédé un chauffeur de bus quadragénaire, samedi, intrigue les chercheurs

Les scientifiques font une incroyable découverte sous les statues de l’Île de Pâques !

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Le grand mystère des têtes des statues de l’île de Pâques ne cesse de croître… littéralement ! Les archéologues ont creusé autour des têtes et devinez ce qu’ils ont découvert ? Les têtes ont des corps complets ! Les corps sont couverts et recèlent de pétroglyphes indéchiffrables.

Les fouilles archéologiques sur l’Ile de Pâques ont commencé au début des années 1900 et se poursuivent toujours. Il y a quelques temps, les scientifiques ont même découvert que les fameuses statues avaient un corps !

On dénombre exactement 884 statues jusqu’à maintenant dont 150 ont été enfouies avec le temps. Lors d’une expédition qu’il avait organisé en 1936, l’anthropologue suisse Alfred Métraux avait déjà émis l’hypothèse que les ″Moaï″ avaient un corps mais ce n’est qu’en 2010 qu’une équipe d’archéologues a entrepris de déterrer les statues afin de vérifier l’hypothèse qui s’est avérée vraie.

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Voici quelques photos prises lors des travaux effectués autour des statues. Vous allez voir à quel point elles deviennent encore plus fascinantes et spectaculaires

″La raison pourquoi les gens pensent que ce ne sont que des têtes est qu’il y a en a 150 enterrées jusqu’aux épaules tout autour d’un volcan. Ce sont ces magnifiques statues de l’île de Pâques que nous avons vu en photo″ a déclaré Van Tilburg, qui est aussi un membre du Cotsen Institute of Archeology de l’Université de Californie, à Los Angeles. ″Cela veut dire que pour les gens qui ont uniquement vu ces photos, ne savent pas qu’elles ont des corps, et pensent que ce ne sont que des têtes.″

Regardez la vidéo ci-dessous pour apprécier les œuvres mégalithes de nos aïeux :

Note : Encore une fois tout ce que nous pensons à propos de certaines recherches archéologiques s’avère être faux. Les fameuses têtes de l’Île de Pâques sont en fait bien plus que des têtes…Évidemment le monde archéologique connait cette découverte depuis quelques années mais la population en général reste malheureusement insensible à de telles informations !

Les têtes de l’Île de Pâques sont censées représenter les monuments des anciens dirigeants de la tribu, et d’autres personnalités qui étaient importantes pour les habitants de l’île. L’une des îles les plus isolées de la Terre qui se situe à 3’550 kilomètres à l’ouest du continent sud-américain.

Séraphin

Source : Anonymousmag

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Que dit le science sur l’expérience de mort imminente?

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D’après une étude menée pendant quatre ans sur 2 060 patients, le cerveau continue de fonctionner quelques minutes après la mort.




Dans les premières minutes après la mort, la conscience n’est pas annihilée. » Le docteur Sam Parnia a dirigé l’étude AWARE, « la plus grande étude au monde sur les expériences de mort imminente » (EMI), aussi appelées en anglais near death experiences (NDE). Généralement, on parle d’EMI lorsqu’une personne se réveille après s’être trouvée dans un état de mort clinique ou dans le coma. Avec les progrès de la médecine, ces situations sont de plus en plus fréquentes et les témoignages se multiplient aux quatre coins du monde.

Les résultats de l’étude AWARE, menée pendant quatre ans sur 2 060 patients, ont été publiés, mardi 7 octobre, par l’université britannique de Southampton (en anglais). Ils permettent d’affiner des hypothèses déjà formulées sur la vie dans les instants qui suivent la mort. Francetv info revient sur les pistes de travail des scientifiques à ce sujet.

Le cerveau est conscient plusieurs minutes après l’arrêt du cœur

Il y a encore quelques années, les experts estimaient que le cerveau s’arrêtait quelques dizaines de secondes après l’arrêt du cœur. En 2012 encore, ce délai était estimé à 15 secondes, précisait au quotidien régional Midi libre le docteur Jean-Jacques Charbonier, médecin anesthésiste-réanimateur, auteur de plusieurs ouvrages sur les expériences de mort imminente.

Mais les hypothèses sur ce laps de temps ont rapidement évolué. En 2013, une expérience menée sur des rats montre que leur cerveau enregistre une intense activité 30 secondes après un arrêt cardiaque provoqué. Cette augmentation de l’activité cérébrale, très organisée dans tout le cerveau, correspond à un état d’éveil élevé. Les conclusions font grand bruit, même si l’étude est contestée par de nombreux scientifiques qui pointent l’impossibilité de comparer l’électro-encéphalogramme d’un rat et d’un humain, ou l’impossibilité d’établir si les rats possèdent un état de conscience ou non.

Aujourd’hui, l’étude AWARE chiffre à trois minutes la période durant laquelle une activité consciente du cerveau humain existe après l’arrêt cardiaque. « Nous ne savons pas si elle s’estompe après, mais directement après la mort, nous sommes encore conscients. Le cerveau ne s’arrête pas quand le cœur s’arrête de battre », explique Sam Parnia dans une interview au Daily Mail (en anglais).

Autrement dit, la question d’une redéfinition de la mort se pose. En 2013, Steven Laureys, patron du Coma Science Group, collectif de l’université de Liège (Belgique) en pointe dans les neurosciences, a déclaré dans la revue spécialisée La Recherche qu’il était nécessaire de la penser autrement. Selon lui, il ne faut plus considérer la mort « comme un événement ponctuel » mais comme « un processus qui se produit en plusieurs étapes ».

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Que dit le science sur l’expérience de mort imminente? image pixabay

Avec l’arrêt cardiaque, le cerveau manque d’oxygène, ce qui provoque des hallucinations

Que se passe-t-il dans cet intervalle entre l’arrêt du cœur et l’arrêt du cerveau ? Une lumière blanche au bout d’un tunnel, des êtres lumineux, une extrême sensation de bien-être… plusieurs éléments récurrents ponctuent les récits des personnes qui ont vécu des EMI.

Des images et des sensations décrites par Nicole Canivenq, victime d’un grave accident de voiture il y a dix ans, ou encore l’écrivain Philippe Labro, qui évoque, en 2009, « un espace un peu velouté, un peu diaphane, un peu blanc (…) et une sensation de paix ».

Parfois, les témoins d’EMI affirment aussi avoir eu la sensation de quitter leur corps. Ils disent s’être observés de l’extérieur, en lévitation, avoir suivi les discussions et les actes qui se déroulaient autour d’eux. Certains racontent, par exemple, avoir vu les gestes des médecins en train de les secourir.

Les scientifiques reconnaissent la réalité de l’expérience des témoins. « Les EMI, c’est un phénomène physiologique qui existe et est bien réel. Les gens qui racontent cela l’ont vraiment ressenti. Sinon, il faudrait supposer qu’ils mentent. Or, il y a des milliers de témoignages ! », expose Steven Laureys au quotidien belge La Libre Belgique, en 2013.

Reste que pour la majorité des scientifiques, l’EMI est le produit d’un cerveau endommagé. Ils pensent, comme les chercheurs du Coma Science Group, que chaque élément d’une telle expérience (tunnel de lumière, bien-être, sortie hors du corps, etc.) est provoqué par l’atteinte d’une région cérébrale spécifique, en raison du manque d’oxygène qui survient lors de tout arrêt cardiaque.

Ainsi, pour l’un des coauteurs de l’étude sur les rats, George Mashour, professeur d’anesthésiologie et de neurochirurgie à l’université du Michigan (Etats-Unis), la hausse de l’activité du cerveau après l’arrêt cardiaque « montre qu’une réduction d’oxygène, ou d’oxygène et de glucose lors d’un arrêt cardiaque peut stimuler l’activité cérébrale caractéristique d’un état conscient ».




Par exemple, de nombreux scientifiques s’accordent à dire que le dysfonctionnement de l’ensemble du cerveau, et notamment du cortex pariétal droit, provoquerait cette sensation de sortie hors du corps. En 2011, Olaf Blank, un chercheur en neurosciences de l’université de Lausanne (Suisse), explique dansun article (en anglais), publié par le Centre américain pour les informations biotechnologiques, avoir provoqué une sensation de sortie hors du corps chez une patiente en stimulant différentes régions de son cerveau avant une opération.« L’activité cérébrale liée à ces sensations corporelles était focalisée dans le cortex pariétal, une région du cerveau bien connue pour son rôle dans la formation de l’image du corps », commente Angela Sirigu, chercheuse en neurosciences au CNRS, dans Le Monde (article payant), en 2013.

La sensation de ralenti lorsque l’on croit mourir est due à notre mémoire qui se met à tout enregistrer

L’américain David Eagleman s’est penché sur cette sensation, rapportait Slate en 2010, citant un article de la station NPR (en anglais). Ce chercheur en neurosciences a utilisé avec ses étudiants une attraction qui procure des sensations particulièrement fortes : une chute libre de 3 secondes, dos au sol, avant qu’un filet de sécurité ne vous rattrape.

A l’issue de ces expérimentations, il estime que l’impression de ralenti décrite par certains témoins d’EMI est due à la mémoire. « Normalement, notre mémoire fonctionne comme une passoire. Nous n’enregistrons pas tout ce qui est perçu par notre système », explique le chercheur. Autrement dit, notre cerveau fait habituellement le tri entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas.

Mais cela change radicalement lorsqu’un événement potentiellement fatal survient.« Si tout à coup une voiture surgit et file dans votre direction, votre mémoire ne va plus faire la distinction entre l’accessoire et l’essentiel », écrit Slate. En cause, l’activation de l’amygdale, une zone cérébrale capitale pour la mémorisation. Le cerveau enregistre alors un important volume d’informations sans les hiérarchiser. Résultat, « les événements stressants sont associés à des souvenirs plus riches et plus denses. Et plus vous avez de souvenirs sur un événement, plus vous avez l’impression qu’il a duré longtemps », expliquait déjà le chercheur en 2007, dans la revue Plos One (en anglais).

Reste qu’il s’agit de science, et que ces hypothèses sont réfutables si des éléments tangibles permettent de les ébranler. Mais pour penser la mort, les contre-arguments ne viendront pas forcément des scientifiques. « L’avancée viendra de la philosophie, avec de nouveaux concepts logiques. Il faut de toutes nouvelles structures de pensée, un nouvel angle de vue », avance dans La Libre Belgique l’Américain Raymond Moody, psychiatre et auteur du best-seller La Vie après la vie, qui compile des témoignages d’EMI.




Un point de vue avisé car les philosophes sont déjà au travail. L’un d’eux, Michel Bitbol, a accordé un entretien au journal du CNRS, en février, après la sortie d’un livre sur « l’expérience consciente ». Selon lui, les récits d’EMI sont à prendre au sérieux. Toutefois, il rappelle cette pensée du philosophe antique Epicure qui relativise cette idée de revenir de l’au-delà pour pouvoir en témoigner : « Quand la mort est là, nous ne sommes plus. » Par Louis San

Source de l’article Que dit le science sur l’expérience de mort imminente?: www.francetvinfo.fr

 

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Un moine Bouddhiste de 200 ans momifié retrouvé en position de méditation

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Un moine bouddhiste mongol, de 200 ans, a été découvert dans la province de Songino Kharikhan le 27 Janvier 2015. Il est soupçonné d’être en «méditation profonde» et «n’est pas mort». Selon le Siberian Times, le moine a été recouvert d’une peau de bête et a été trouvé les jambes croisées dans la position du lotus. Non seulement il était toujours en position assise mais ses paumes ouvertes sont placées l’une sur l’autre dans le «dhyaan mudra».

Le Dr. Barry Kerzin, un docteur renommé et lui-même moine bouddhiste selon le Dalaï Lama, croit que le moine est dans le tukdam, qui est l’une des étapes les plus profondes de la méditation. « J’ai eu le privilège de m’occuper de quelques adeptes de la méditation qui étaient plongés en état de tukdam. Si la personne est capable de rester dans cet état pendant plus de trois semaines – ce qui arrive peu souvent – son corps rétrécie graduellement, et au final il ne reste que les cheveux, ongles et vêtements de l’individu. Comme c’est souvent le cas, les gens qui vivent près du moine peuvent voir un arc en ciel briller dans le ciel pendant plusieurs jours. Cela veut dire qu’il a trouvé un corps ‘arc en ciel’. C’est l’état le plus proche de celui du Bouddha’, a dit le Dr Kerzin.

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Un moine Bouddhiste de 200 ans momifié retrouvé en position de méditation

Les journaux locaux ont rapporté que le moine a été trouvé dans une cave de la région de Kobdsk par un homme, qui a d’abord caché la momie à son domicile de Oulan Bator, la capitale de la Mongolie. L’homme qui n’est connu que par son prénom pour l’instant – Enhtor, prévoyait de vendre la momie sur le marché noir quand la police a eu des échos de son projet et l’a arrêté.

Alors que le moine est actuellement sous la garde du Centre national d’expertise médico-légale, Enhtor risque de 5 à 12 ans de prison ou une amende pouvant aller jusqu’à $ 43,000, s’il est reconnu coupable de trafic de contrebande des biens patrimoniaux en vertu de la législation mongole.

Les rumeurs vont bon train que le moine momifié a pu être le professeur du 12è Pandito Hambo Lama Dashi-Dorzho Itigilov (1852 – 1927), dont le corps a aussi été retrouvé dans un état similaire de contemplation méditative. Cependant dans ce cas là, il est dit que Dashi-Dorzho a donné l’ordre à ses disciples d’exhumer son corps 30 ans après sa mort. Ses disciples ont découvert le corps dans la position du lotus, son corps n’étant pas encore rentré en phase de décomposition.

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