L’importance de l’attachement

Il existe différente formes d’attachement.

Nous avons tous une façon bien à nous d’interagir avec les autres, qui diffère en fonction du point auquel nous faisons confiance ou non aux personnes avec qui nous interagissons. Ce style ou cette manière d’interagir avec l’autre est intimement liée à l’attachement. Découvrons ensemble l’importance de l’attachement dans nos vies !

Ce qui est sûr, c’est que durant notre enfance, nous avons tous eu des modèles qui nous ont, au moins en partie, appris ce que les autres peuvent attendre de nous et ce que nous pouvons attendre d’eux. Un apprentissage qui le plus souvent a beaucoup d’influence sur nous et sur la façon dont nous allons nous « attacher » aux autres.

Comprendre l’attachement

Vous avez besoin de l’approbation des autres pour vous assurez que vous faites ce qu’il faut ? Vous avez besoin de recevoir l’affection de ceux qui vous aiment pour vous sentir en sécurité dans la relation ? D’une certaine façon, vous vous sentez abandonné à chaque fois que votre partenaire sort avec ses amis ? La jalousie vous fait souffrir ? Il vous est difficile de vous ouvrir à des personnes que vous ne connaissez pas ? Il est compliqué pour vous de sortir de votre zone de confort ? Derrière chacune de ces questions se trouve l’importance de l’attachement.

Notre façon de nous attacher est intimement liée à la manière dont nous bâtissons nos relations et dont nous en prenons soin. L’attachement identifie la façon dont nous interagissons avec les êtres qui nous sont chers ou avec quelqu’un de notre cercle de confiance. Il a une étroite relation avec notre tendance à donner ou à recevoir ce que les autres nous offrent. Sans oublier notre tendance à nous méfier ou à nous protéger en société.

image pixabay

L’expérience de Mary Ainsworth et l’attachement

En 1954, Mary Ainsworth a réalisé une expérience des plus singulières et notables de l’histoire de la psychologie. Cette expérience sera nommée la « technique de la situation étrange ». Son objectif était d’en apprendre davantage sur les relations qu’avaient les bébés avec leur mère. Mais aussi d‘analyser le comportement de ces bébés en présence ou en l’absence de ces dernières. Le lien qu’avaient tissé dès le départ est ce qui se refléterait dans cette situation.

Ces analyses ont mené à la découverte de 4 types d’attachement :

  • L’attachement sécure se rapporte aux bébés qui jouaient tranquillement dans des lieux qui ne leur étaient pas familiers. Et ce aussi bien en présence de leur mère qu’en leur absence
  • L ‘attachement ambivalent : dans ce cas, les bébés étaient très anxieux quand leur mère quittait la pièce où ils se trouvaient. Ils arrêtaient de jouer, regardaient fixement le vide et faisaient des gestes de protestation vers l’endroit par où était sortie leur mère. Il s’agit d’un attachement de dépendance
  • L’attachement évasif ou évitant : les bébés concernés par ce type d’attachement ont prêté peu d’attention à la présence de la mère dans la chambre y n’ont montré aucun type de réaction quand elle est revenue. D’une certaine manière, c’est comme s’ils étaient indifférents à sa présence ou à son absence
  •  L’attachement craintif ou préoccupé : il comprend tous les comportements anormaux, et ceux qui ne figurent pas dans les autres types d’attachemet.

Comment se reflète l’importance de l’attachement chez un adulte ?

Ainsi, les chanceux qui ont créé de bonnes relations d’attachement avec leur figure de référence et qui, en plus, ont eu de bons modèles d’interaction sociale, ont tendance à montrer cette même habileté à l’âge adulte.

Ils ne font pas confiance au premier contact mais attendent de voir si la personne le mérite. Ainsi, ils profitent des relations sérieuses et remplies de complicité. Et ils sont capables de faire des plans et de miser sur ces derniers. Ensuite, ils comprennent qu’il y a des moments, où ils ne peuvent pas être la priorité des autres car ces derniers doivent porter leur attention à d’autres personnes ou activités. Ils profitent du contact, mais ils ne vivent pas avec la même anxiété l’absence des autres.

L’importance de l’attachement est très grande dans l’étape de l’enfance, comme il peut tout aussi l’être dans les étapes d’après. Cependant, cela ne veut pas dire que nous sommes condamnés à nous attacher de la même manière. Car ne pas avoir eu de bons modèles ou ne pas avoir établi de bonnes relations sur la base de la confiance ne veut pas dire que l’on ne pourra pas apprendre plus tard… Et inversement.

À chaque fois que nous établissons ou entretenons une relation, nous avons une nouvelle opportunité de changer notre façon de nous attacher. Ce qui est encourageant, étant donné que l’attachement est la base de notre manière d’aimer et de nous sentir aimé.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv

[wysija_form id= »1″]

REJOINDRE LA CHAINE YOUTUBE EVEIL TV AFIN DE RECEVOIR LES NOUVEAUX DOCUMENTAIRES

eveil tv - chaine youtube

Interpréter les silences, un art méconnu

Pour bien interpréter les silences, il est important d’être plus en phase avec la logique de l’autre, plutôt qu’avec nos peurs et nos fantasmes. Le silence dit toujours quelque chose, mais dans les situations conflictuelles, il est plus sain de se tourner vers la parole.

Interpréter les silences n’est pas chose facile ; ils n’ont pas toujours un sens et, lorsque c’est le cas, le trouver exige d’être sûr de soi et de bien connaître les autres. C’est pourquoi, en réalité, il s’agit d’un véritable art qui met à l’épreuve nos insécurités, nos complexes et nos désirs explicites ou implicites.

Supposons que l’on ne puisse pas tout dire. Il y a des sentiments ou des expériences qui échappent aux mots. Ils ne trouvent pas de moyen d’expression et, par conséquent, ils deviennent une sorte de silence « plein » de contenu. Ce n’est pas à ce type de silence que nous allons nous référer, car ils correspondent simplement à l’impossibilité de tout communiquer.

Le genre de silence dont nous allons parler est délibéré. Celui dans lequel une personne exige une réponse d’une autre et ne l’obtient pas. Interpréter les silences de quelqu’un qui ne veut pas parler devient alors autre chose. Le silence est une façon de dire, sans dire. Le problème, c’est de dire quoi ? Examinons ça plus en détail.

« La véritable musique est le silence et toutes les notes ne font qu’encadre ce silence. »

-Miles Davis-

Interpréter les silences de quelqu’un qui ne veut pas parler

Pour connaître l’art d’interpréter les silences, la première chose que nous voulons souligner est qu’ils donnent lieu à une situation asymétrique. À une extrémité de la communication se trouve quelqu’un qui demande une expression, une réponse ou simplement quelques paroles. A l’autre pôle se trouve celui qui est silencieux et a le pouvoir de répondre ou non à cette attente. Ceci, bien sûr, lui donne un pouvoir sur l’autre.

Or, l’intention du silence est parfois positive et parfois non. Elle est positive lorsque le silence est une façon de prendre un moment pour réfléchir ou lorsque vous voulez éviter une situation embarrassante, par exemple. Ce n’est pas le cas si l’intention est de négliger les besoins de l’autre ou de se réjouir du quota de pouvoir que cela génère, ou, peut-être, de cacher quelque chose.

Pour ceux qui attendent la communication, il n’est jamais facile d’interpréter les silences. Dans ces cas, il est très facile pour les peurs, les insécurité et les désirs insatisfaits de remonter à la surface. Celui qui craint d’être rejeté, par exemple, pourrait interpréter le silence comme un signe de rejet justement. Ou bien celui qui veut ardemment être aimé peut penser que le silence est un étrange moyen de lui rendre son affection. Il est facile de se tromper soi-même quand l’autre est silencieux.

promo code les merveilles de shine Bénéficier de 15% de rabais sur votre commande avec le code: merveillesdeshine

Dire et ne pas dire

Interpréter des silences devient une épée à double tranchant lorsque nous laissons ces silences se remplir de fantômes. Pour le faire correctement, nous avons besoin d’empathie. Regarder l’autre dans son propre contexte, se mettre à sa place et aborder ce qu’il veut exprimer quand il est silencieux. Nous n’aurons jamais de réponse exacte, mais il est possible de comprendre l’idée générale.

Toute personne a le droit de prendre la parole ou de garder le silence si elle le souhaite. Il est important de le comprendre. Il est également important de savoir que parler est toujours sain, en particulier dans les situations qui impliquent un germe de conflit.

Face à des situations problématiques, il est beaucoup plus valable de chercher et de trouver les mots qui expriment le mieux ce que nous ressentons et pensons. En prenant des positions aussi claires que possible.

Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv[/vc_column_text]

[wysija_form id= »1″]

REJOINDRE LA CHAINE YOUTUBE EVEIL TV AFIN DE RECEVOIR LES NOUVEAUX DOCUMENTAIRES

eveil tv - chaine youtube

[/vc_column][/vc_row]

LES ÉMOTIONS SONT DE L’ÉNERGIE

spiritualité - eveil tv

Les émotions sont de l’énergie : elles nous créent et nous transforment




Elles sont la partition qui orchestre notre quotidien. Parfois, la musique est joyeuse, vive et intense mais au bout d’un moment, elle nous enveloppe de sa mélodie triste et pleine de désenchantement.

Ce sont les notes qui nous nourrissent, qui nous offrent l’énergie nécessaire pour transformer notre réalité…

Il existe un vieux proverbe arabe qui dit : “qui ne comprend pas un regard ne comprendra pas non plus une explication”. Une phrase pleine d’une grande sagesse, car c’est d’elle qu’émane la nature des émotions comme langage universel. Vos émotions peuvent être votre grande forteresse ou le cristal qui embue votre existence de brouillard. Si vous apprenez à les connaître et à les gérer, vous serez un artisan de votre réalité, et donc de votre bonheur.

Peut-être que le sujet de l’intelligence émotionnelle vous intéresse et que vous avez beaucoup lu à ce propos.

Pourtant, nous voulons aujourd’hui vous inviter à voir les émotions d’une autre manière : comme une arme de pouvoir, comme une énergie que l’on peut connaître et contrôler pour redéfinir beaucoup d’aspects de nous-même et de notre propre réalité.

Nos émotions créent notre réalité

Selon un travail publié par la psychologue sociale Barbara Fredrickson dans Review of General Psychology (2008), les émotions positives, en plus de nous donner une satisfaction ponctuelle, agissent comme des mécanismes d’apprentissage.

C’est-à-dire que : plus on accumule des émotions satisfaisantes, meilleures sont les ressources personnelles pour affronter les périodes de crise.

En tant qu’être humains, nous désirons tous être heureux. Pour cela, il est nécessaire de se souvenir que parfois, il suffit d’être en paix intérieure, d’être libéré de ses rancœurs du passé, des haines ou des frustrations. Un esprit libre est un cœur qui se permet de sourire…

Si les émotions sont capables de transformer notre réalité, ce n’est pas par magie. Il faut savoir que l’émotion n’est pas seulement un état intérieur, c’est une association de plusieurs éléments puissants :




* Les cognitions, c’est-à-dire, la manière dont nous transformons tout ce qui nous enveloppe, ce que nous voyons, ressentons, expérimentons. Tout acquiert une signification interne pour nous.

* Nos sentiments et la manière dont nous réagissons. Pour comprendre, nous allons vous donner un exemple simple : vous êtes amoureux de quelqu’un et vous n’osez pas le lui dire. Puis, il est trop tard et cette personne disparaît de votre vie. Vous perdez alors l’opportunité de lui dire, au moins d’essayer.

L’émotion que vous ressentirez est la tristesse car vous n’avez pas su réagir à temps quand ce sentiment était positif et intense.

Vous n’avez pas fait l’action adaptée à la situation et votre réalité est maintenant noyée dans un conditionnel que vous ne pourrez plus résoudre : «si j’avais fait ça…».

Notre cerveau, une danse chimique incroyable

Notre cerveau est un réseau complexe qui transforme de grandes quantités d’informations à chaque seconde. Nous transformons les stimuli sensoriels, nous stockons des expériences, des rêves, des décors vus…

La plupart de ces éléments, que vous le croyez ou non, se stockent dans notre cerveau, en fonction de l’émotion ressentie.

Mon regard cherche toujours les belles choses qui m’entourent, et si je ne les vois pas, je l’aide. Car cela ne coûte rien de sourire, car cela ne demande aucun effort de se permettre d’avoir confiance et de rêver aux choses, de penser que l’on mérite d’être heureux et qu’à un mauvais moment, ce n’est pas une raison de se ruiner sa journée.

Souvent, on voit aussi notre cerveau comme un petit chaos biochimique où nous sommes déterminés par l’influence des neurotransmetteurs. En réalité, ce sont d’authentiques facilitateurs de nos émotions.

Les principaux neurotransmetteurs en lien avec les émotions

Les principaux neurotransmetteurs qui agissent comme des facilitateurs d’émotions sont :

* La dopamine est liée aux expériences du plaisir et récompense notre processus d’apprentissage. C’est-à-dire que quand nous faisons quelque chose de bien, nous sommes gratifiés par la sécrétion de dopamine et nous ressentons une sensation de plaisir.

* La sérotonine, de son côté, est un neurotransmetteur lié à la mémoire et à l’apprentissage. Il est important de savoir qu’un déséquilibre des niveaux de sérotonine peut être à l’origine de la colère, de l’anxiété, de la dépression et de la sensation de panique.

* La norepinéphrine, à des niveaux adaptés, garde sous contrôle le stress et l’anxiété.

L’énergie émotionnelle pour transformer votre vie

La docteure Fredrickson, citée précédemment et experte en psychologie émotionnelle, nous explique qu’il existe un paradoxe curieux concernant nos émotions positives : leur intensité est bien plus brève que les émotions négatives.

C’est-à-dire que la sensation de bonheur est plus brève que l’état de tristesse.

Le mieux est d’accumuler beaucoup d’expériences positives qui peuvent contrecarrer de manière plus efficace ces états de négativité. Nous allons vous l’expliquer plus en détails.

La théorie de l’élargissement et de construction des émotions positives

Comment nous l’avons dit dans l’introduction, si l’être humain est capable d’accumuler des émotions positives, il aura les outils basiques les plus compétents pour affronter les moments difficiles.

* Les experts l’appelle la «théorie de l’élargissement et de la construction» et elle se base sur le besoin de multiplier nos expériences positives pour acquérir de nouvelles compétences.

* Alors que les émotions négatives ont pour réponse habituelle l’évitement, la négation ou l’immobilité, nos émotions positives nous «grandissent» et favorisent la relation entre «la pensée et l’action».

Ainsi, selon le principe de cette théorie, nous devrions orienter nos journées vers des émotions positives, vers des choses aussi simples que l’apprentissage de nouvelles choses, avoir des relations sociales, se promener, toucher, danser, sentir, marcher ou lire…




Ce sont de petites pierres de positivité qui édifient petit à petit un changement continu. Osez essayer !

Les émotions, parfois sont comme des étoiles à la dérive qui se meuvent sans contrôle. Quand nous les connaissons et que nous nous connaissons bien nous-même, elles deviennent alors des astres lumineux capables de guider notre chemin.

Source : nospensees.fr & conscience-et-eveil-spirituel.com

[wysija_form id= »1″]

REJOINDRE LA CHAINE YOUTUBE EVEIL TV AFIN DE RECEVOIR LES NOUVEAUX DOCUMENTAIRES

eveil tv - chaine youtube

 

Branchez-vous!

par Diane Gagnon

Sur quoi vous branchez-vous habituellement? Sur les mauvaises nouvelles, les discours négatifs, la contestation, la déception, les sentiments négatifs de tout acabit? Ou sur l’Amour, la compassion, la bonté, la générosité, le soutien, l’entraide, les valeurs positives?

Imaginons que nous sommes dotés d’un long fil qui part de notre taille et que nous pouvons nous brancher à notre guise sur la prise énergétique qui nous convient. Lorsque nous branchons ce fil sur la prise du bas, nous recevons des énergies négatives, celles qui nous rendent maussades, qui nous vident de notre substance, qui nous font de la peine, qui nous maintiennent dans un état dépressif, triste, frustré. Nous n’avons peut-être pas réalisé que nous étions branchés à cette prise, mais le résultat est que nous ne nous sentons ni heureux ni joyeux. Nous sommes affectés, que nous le voulions ou non, par ces énergies que nous choisissons d’écouter, de regarder, de supporter. Et au final, nous devenons comme ce courant négatif puisque nous y sommes branchés en continuité.




Mais nous pouvons choisir de nous brancher sur la prise du haut, celle où le courant est positif, celle où nous recevons de bonnes vibrations, où les gens que nous rencontrons nous élèvent, nous font du bien, où les événements semblent plus positifs, plus « porteurs d’espoir », plus heureux. Lorsque nous nous branchons à cette prise, nous recevons l’amour, la compassion, la bonté, la générosité car c’est ce qui circule dans ce courant. Et par le fait même, nous devenons de plus en plus aimants, généreux, bienveillants, compatissants car nous nous nourrissons de ce qui nous rend heureux.

Si nous réalisons que nous ne sommes pas dans un état positif, nous pouvons toujours visualiser que nous nous débranchons de cette prise négative et que nous nous rebranchons immédiatement sur le courant positif. Cette simple visualisation peut suffire à nous faire changer d’humeur, de pensées, d’état et à nous rendre plus joyeux.

J’aime croire que nous pouvons toujours choisir de nous brancher sur l’Amour n’importe quand. De fait, l’énergie d’cest toujours disponible pour chacun de nous. Nous n’avons qu’à nous y connecter!

Diane Gagnon

Source:  http://lasolutionestenvous.com/  Trouvé sur http://lapressegalactique.com

Soutenez Eveil Tv – rejoignez la chaine Youtube