Que signifie la distance dans votre vie?

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La distance est un concept physique qui, dans le cas de l’être humain, a des implications psychologiques.

Avoir une gestion adéquate de la distance dans notre vie suppose de mettre en œuvre les actions nécessaires pour nous rapprocher de ceux que nous voulons maintenir à proximité et mettre les barrières dans le cas où ce que nous cherchons est de nous écarter ou de nous éloigner.

La distance est un concept physique qui, dans le cas de l’être humain, a des implications psychologiques. Agissent comme preuves ces expressions que l’on utilise quotidiennement telles que « garder ses distances », « être proche » ou « s’approcher » de quelqu’un. On parle aussi de « prendre ses distances » par rapport aux situations, ou de « prendre ses distances » par rapport à ce qui nous affecte.

En termes physiques, cette question est également très pertinente pour les êtres humains. Chacun a ses propres espaces et les aborde d’une manière spécifique. Nous avons besoin de différents degrés de distance physique dans nos relations sociales.  C’est aussi un espace vital individuel, car tout cela a des implications dans nos vies.

La distance est un concept qui s’applique également aux objets et à leur effet sur le psychisme humain. La sensation générée par une pièce remplie d’objets est différente de celle produite par une autre, où il y a peu de choses, éloignées les unes des autres. Regardons tout cela de plus près.

La distance physique et ses effets

Elle trouve sa forme d’expression la plus évidente dans le plan physique. S’éloigner ou s’approcher physiquement est une manifestation de distance ou d’approche émotionnelle. Cela se manifeste non seulement dans la distance ou la proximité entre le corps d’une personne et celui de l’autre, mais aussi dans les gestes, les sons de la voix et les postures.

Les chercheurs Lawrence E. Williams et John A. Bargh, le premier de l’Université du Colorado et le second de l’Université Yale, ont mené une étude intensive sur le sujet. Ils ont conclu que « les représentations perceptuelles et motrices de la distance physique influencent les pensées et les sentiments des gens ».

Cela signifie que la distance physique influence les jugements et les états affectifs des gens. Dans leurs recherches, Williams et Bargh ont encouragé certaines personnes à prendre de la distance physique avec des personnes qui étaient auparavant très proches d’eux. Au fil du temps, ils ont montré que cette distance avait affecté leur attachement pour eux.

La distance et le conflit

Les conclusions des chercheurs Lawrence E. Williams et John A. Bargh ont des répercussions sur différents aspects, dont celui du conflit. L’un des résultats de leurs expériences souligne que « les sentiments de distance peuvent modérer l’intensité émotionnelle des stimuli ». En d’autres termes, ce qui est loin nous affecte moins.

Cela prouve que cette mesure de prise de distance physique par rapport à ce qui nous affecte négativement est efficace. Le retrait conduit à une modération de l’influence de la personne ou de la situation en question. Par conséquent, elle contribue à une diminution de l’intensité des sentiments et, au lieu de cela, à une perspective plus sereine. S’éloigner physiquement des personnes ou des espaces conflictuels aide à nuancer ces conflits.

Cependant, chez l’être humain, et même chez l’animal, la proximité et la distance sont aussi un problème émotionnel et mental. Vous pouvez être physiquement loin de quelque chose ou de quelqu’un, et pourtant le lien peut être encore plus étroit et plus intense que si vous l’aviez à un centimètre de distance. Et l’inverse est également vrai : nous sommes physiquement proches de quelque chose ou de quelqu’un, mais, en même temps, à des années-lumière de celui-ci.

La distance dans le monde subjectif

Si nous voulons couper les liens avec quelque chose ou quelqu’un, la distance physique n’est que la première étape. En réalité cela changera de façon significative le lien que nous avons avec cette réalité.

Si nous voulons être émotionnellement proches de quelqu’un, nous devons aussi être physiquement proches. Cela signifie être physiquement présent dans sa vie. Avec la présence elle-même, mais aussi avec la proximité physique, c’est-à-dire avec les étreintes, les mots, les caresses, etc. La proximité émotionnelle, par contre, implique d’avoir cette personne à l’esprit et de nous rapprocher de son monde intérieur au moyen de la conversation.

En même temps, si le but est de nous éloigner de quelqu’un, nous devons faire ce qui correspond. C’est-à-dire, d’abord, prendre physiquement ses distances. Ne pas être présent de manière physique donc, mais pas non plus de manière forme subreptice, c’est-à-dire, d’une façon poussant à espionner cette personne ou à nous tenir au courant de sa vie, à penser constamment à elle. De ce fait, cela contribuera à établir la distance émotionnelle, c’est-à-dire, une coupure avec son influence sur notre vie.

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Quand nous avons du mal à trouver notre place dans le monde

Les jours passent et nous avons l’impression de ne pas être à notre place. Nous nous réveillons chaque matin avec la sensation d’un vide émotionnel que nous traînons tout le long de la journée. Trouver notre place dans le monde nous semble impossible. Aucun endroit ne nous correspond. Nos amis semblent être les seuls à pouvoir nous apporter un peu de réconfort, mais cette sensation n’est pas non plus soutenue car nous avons parfois l’impression que ce ne sont que des étrangers. Que nous arrive-t-il ?

Rien ni personne ne nous satisfait. Nous allons ici et là dans une monotonie qui nous étouffe et nous plonge dans un océan de doutes et d’incertitude. Nous ne comprenons ni ce qui nous arrive, ni ce qui arrive au monde. Par ailleurs, nous scrutons notre horizon existentiel et nous ne trouvons pas le moindre sens à notre existence. Que pouvons-nous faire ? Le désespoir nous a envahi des pieds à la tête. Nous respirons mal et notre humeur est en chute libre.

D’où vient cette sensation ?

Aucun endroit ne nous paraît adéquat. Chaque travail que nous obtenons se transforme en souffrance. Notre corps et notre âme sont lourds, trop lourds. L’existence est comme un poids que nous portons sur nos épaules. Nous pensons au monde, à son fonctionnement et nous nous rendons compte qu’il n’est pas pour nous. Le pessimisme s’empare de notre être. Nous avons l’impression de ne pas venir de la même planète ou d’être nés à la mauvaise époque. Mais que se passe-t-il ? Où est ma place dans le monde ?, nous demandons-nous fréquemment.

Être à l’aise dans un contexte concret devient extrêmement compliqué. Cependant, pour une raison que nous ignorons, il existe des lieux magiques où tout semble s’emboîter à merveille. Mais quels sont ces lieux ? Chaque être humain possède les siens. Certaines personnes se sentent à l’aise dans des temples religieux. D’autres dans de grands jardins ou d’immenses forêts. La mer est un autre endroit qui provoque une grande sensation de connexion avec le monde.

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Notre place dans le monde et les attentes des autres

Si nous nous arrêtons un instant pour penser à notre sensation de détresse, nous pouvons obtenir de grandes réponses. Bien souvent, notre entourage nous a conditionné et a décidé des chemins par lesquels nous devrions avancer dans la vie. Nous-mêmes, de manière inconsciente, acceptons ce chemin comme si c’était le nôtre et essayons désespérément de le suivre. Nous pouvons réussir sur le plan professionnel et technique, mais pas sur le plan émotionnel. Par conséquent, malgré ce succès apparent, nous nous sentons complètement perdus.

Nous avons trop souvent accepté la vie que les autres voulaient nous voir mener et avons suivi ses sentiers de façon médiocre, sans la moindre gloire. Nous n’avons même pas envisagé d’autres objectifs possibles. Il est donc temps de nous demander si nous vivons la vie que nous voulions ou si nous avons seulement écouté les autres.

« Vis comme si l’instant le plus important de ta vie était le moment que tu vis maintenant. »

-Bouddha-

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La moine bouddhiste Venerable Damcho nous assure qu’avant d’avancer et de trouver refuge dans le bouddhisme, elle travaillait en tant que journaliste, avait du succès et avait tout pour triompher. Cependant, elle n’était pas heureuse. Quelque chose n’allait pas. Elle a donc pris la décision d’abandonner cette vie dédiée aux médias et de devenir moine bouddhiste. Depuis ce moment, son dévouement aux autres la rend extrêmement heureuse.

Lama Rinchen, maître de méditation bouddhiste, nous raconte une histoire similaire. Il s’agit d’un entrepreneur à succès qui, un beau jour, a décidé d’abandonner les affaires et de travailler en faisant des jus naturels dans une modeste boutique de village. Jusqu’où allons-nous pour faire avancer notre vie sur les mauvais chemins ? Sommes-nous réellement heureux avec ce que nous faisons, et ce même si nous avons du succès ? Plongeons au plus profond de notre être et analysons ce qui nous comble réellement.

 

Notre place dans le monde, le vide intérieur et le bouddhisme

Le bouddhisme émet la théorie selon laquelle le vide intérieur que nous ressentons en ne trouvant pas notre place dans le monde est dû à la déconnexion avec notre véritable nature bouddhiste. Mais qu’est-ce que la nature bouddhiste ? La réponse est simple : il s’agit de l’état ultime de l’être, un état dans lequel nous ressentons de l’amour et du bonheurLa clé consiste donc à mettre fin aux conditionnements qui provoquent notre souffrance et ainsi atteindre le bonheur. En nous défaisant des peines mentales, nous aurons plus de chances d’être heureux en toutes circonstances.

Notre place dans le monde ne dépend donc pas de l’endroit où nous nous trouvons, mais de notre état mental. Un état mental de paix, d’harmonie, de sérénité et d’amour. De cette façon, aucun lieu ne nous semblera aussi hostile ou inhospitalier qu’avant. Nous jouirons d’une véritable plénitude qui nous mènera à un état d’harmonie, indépendamment de l’endroit où nous nous trouvons.

« Si vous n’êtes pas heureux ici et maintenant, vous ne le serez jamais ».

-Taisen Deshimaru

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(IA) Intelligence artificielle et conscience

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Doit-on craindre l’intelligence artificielle (IA)?  Ne rêvez-vous pas d’une société qui serait gérée de la manière la plus efficace, rationnelle qui soit par l’IA?  Une société où les humains sont libérés des affres conséquentes à la gestion des institutions?  Collectivement, n’est-on pas rendu à ce moment de notre évolution?

L’IA pour régler tous les problèmes

Bien utilisée, l’IA peut être très utile, peut nous faire accomplir des progrès technologiques fantastiques.  Pour fonctionner, l’IA a besoin de données qu’elle trouve soit sur nos ordinateurs, soit via des caméras installées partout … sous couvert de plusieurs raisons!  Avec cette information, elle peut faire des prédictions et des suggestions.

À l’heure actuelle, elle se trouve déjà dans chacun des aspects de nos vies.  On la rencontre dans les téléphones cellulaires où elle nous offre de multiples fonctions et nous géolocalise à chaque instant. Dans nos voitures elle nous guide avec le GPS et nous permet même de stationner sans que nous n’ayons rien à faire.  En médecine, elle substitue un membre artificiel à un bras ou une jambe.  On joue de plus en plus avec les gènes des individus pour toutes sortes de raisons.  Des caméras de surveillance relaient le numéro de nos plaques d’immatriculation si l’on dépasse la vitesse permise dans des zones précises.  Facebook vend des données sur nos comportements, notre famille et nos amis à qui veut bien les payer.  Bref, d’ores et déjà, elle est en mesure de contrôler complètement nos vies.  Le hic, c’est qu’on prévoit un développement exponentiel de cette technologie dans un futur très rapproché.

Fait peu rassurant, à la lumière de ce que nous savons maintenant sur ce que font les GAFAM des informations qu’ils possèdent sur nous, les dirigeants de ces entreprises investissent en masse dans ce secteur d’activités.  En fait, ils investissent davantage que les gouvernements et aucune loi n’existe pour encadrer ce qu’elles feront des mises en applications de leurs découvertes.

D’ici 2025, l’IA sera contrôlée par des ordinateurs quantiques, c’est-à-dire qui obéissent aux lois de la physique quantique et qui sont 100 millions de fois plus puissants que les ordinateurs que nous utilisons actuellement.  On peut comparer leur vitesse à celui d’un cheval vs la lumière.

Ray Kurzweil, directeur de l’ingénierie chez Google, en 2015, affirmait que :  « en 2030 la plupart des humains auraient des nanorobots implantés dans le cerveau pour accroître leur intelligence afin d’accéder à la nébuleuse Internet et d’accomplir d’autres tâches complexes.  Kurzweil croit que les humains du futur intégreront l’IA dans leur système biologique.  « Nos pensées seront alors à la fois biologiques et non biologiques … Nous nous améliorerons en devenant peu à peu hybrides.  À mon avis, c’est dans la nature de l’humain de transcender ses limitations. » (1)

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Le projet Néom*  Nos amis globalistes élaborent actuellement un projet pilote, en quelque sorte, de la ville du futur.  Ce projet nommé Néom a pour lieu un espace de 26,000 km2 sur le bord de la mer Rouge, en Arabie Saoudite.  Notons que ce pays a été le premier état au monde, en octobre 2017, à donner la citoyenneté à un robot humanoïde.

La construction de cette ville est pharaonique.  Elle jouit d’un budget initial de base de $500G.  Pour la réaliser, on sollicite les connaissances d’experts de pointe provenant des 5 continents. Elle constituera un paradis technologique, géré par une IA, où le nombre de robots surpassera le nombre d’habitants.  Ce sera, dit-on, la ville la plus sûre, la plus efficace et la plus orientée vers le futur.  On veut que ce soit le meilleur endroit pour vivre et travailler.  Des fermes urbaines sous forme de gratte-ciels produiront la nourriture (on est en plein désert!), les énergies du vent et du soleil alimenteront le réseau électrique.  Des drones assureront les transports publics.  On contrôlera le climat.  On guérira toute maladie et on vous donnera l’immortalité.  La sécurité publique sera assurée par des robots capable de vous reconnaître partout grâces aux données qu’ils posséderont sur vous à chaque instant (reconnaissance à partir de vos yeux, de votre visage, prévision de vos réactions, etc.).  Bref, l’IA qui gérera cette cité contrôlera complètement la vie des gens.  Tous ceux et celles qui contesteront seront simplement éliminés **.

L’allemand Klaus Kleinfeld, ancien PDG de Siemens, dirige ce projet.  M. Kleinfeld est également membre du comité de direction du groupe Bilderberg qui est, pour ainsi dire, le gouvernement mondial occulte.

Questionnement

Lorsqu’on constate la puissance potentielle d’un tel outil susceptible d’être employé par quiconque, politicien ou dirigeant d’entreprise privé, différentes questions surgissent à notre esprit.

On estime que l’IA éliminera la classe moyenne pour qu’il n’existe qu’une petite classe supérieure et une plus grande classe inférieure vouée aux tâches que les robots ne peuvent accomplir.

Parce que les « bienfaits » de l’IA, ses applications rendent inutiles la vie de milliards d’individus sur Terre.  Le travail que beaucoup d’employés font actuellement sera sous peu réalisé exclusivement par des robots.  Que fera-t-on de cette population en trop sur la planète?  N’est-ce pas dire que le plan de réduction de la population mondiale est bien réel?

Est-ce que cela amènera un futur souhaitable pour l’humanité?

Est-ce que l’humain est voué à ne devenir qu’un esclave d’un « dominant », lui-même déjà esclave d’une IA?

Dans ce contexte, qui pourra survivre?  Qui aura droit à la vie?  Qui jugera du droit d’exister de tel ou tel humain?  À quel genre de vie les survivants auront-ils droit?

Qu’arrivera-t–il lorsqu’il subviendra une panne d’électricité majeure?  Du type :  vent solaire qui perturbe tout le système électrique?

Est-ce que l’IA ne pourrait pas devenir assez puissante pour contrôler complètement la Terre et les populations qui l’habitent?

Quelle est la place réservée à la spiritualité dans un tel environnement?

D’autres points de vue sur l’IA

Il y a deux dangers à l’IA.  Le plus grand d’entre eux, comme le disait Stephen Hawking, est qu’elle prenne le contrôle complet de l’humanité (1).

La menace ne doit pas être prise à la légère.  Corey Goode qui a travaillé 20 ans dans un PSS (Programme spatial secret) confirme la pensée de Hawking et nous dit que des extraterrestres ont observé un nombre incalculable de fois la prise de contrôle de civilisations complètes par une IA.  Cela entraînant l’éradication des populations qui l’avaient engendrée (2).

Il faut donc être très prudent lorsqu’on joue avec cette « bombe » technologique.  Ici, prudence prend le sens de moral, éthique.  L’intention de l’employeur doit manifester beaucoup de pureté, d’honnêteté, de justice, de bonté.

D’un autre côté, il est fort rassurant de savoir qu’il existe une limite « cosmique » à l’emploi de l’IA.  Peut-être serons-nous anéantis comme population mais la Vie, elle, sera protégée.  On pourrait ainsi voir l’IA comme une technologie de type « terminator » mais appliquée, non plus à l’agriculture, mais à l’informatique.  Pour civilisations un peu trop audacieuses et prétentieuses.

La Vie protège la vie.  La perception actuelle des GAFAM n’est donc pas pérenne!

Élévation de conscience

L’autre danger majeur concernant l’IA est qu’elle devienne un outil dans les mains d’une clique de très riches.  Outil par lequel ce groupe restreint d’individus continuerait à tenir le reste de la population dans un état d’esclavage.

Le physicien Nassim Haramein demeure toutefois très optimiste quant à l’existence future de notre humanité.  Je vous transmets ici un bout d’entrevue qu’il a donnée à Laurent Fendt de la chaîne Hym média sur Youtube.

« Nassim Haramein :  « Moi, ça me fait un peu rire parce que l’intelligence ne peut jamais être artificielle.  Parce que l’intelligence est toujours naturelle.  (…)

La conscience, l’intelligence ce n’est pas quelque chose qui se développe tout d’un coup, d’un phénomène, du cerveau.  C’est présent dans la matière déjà parce que la matière est de l’information, de l’échange d’information entre ce champ d’information qui connecte toutes les choses et l’individu.  (…)

Laurent Fendt :  Autrement dit, ce champ, tout ce qui existe, tout ce qui est, est conscience.  Et la matière naît de la conscience.  Donc, on rejoint les Védas, cette spiritualité venant d’Asie, de la gnose chrétienne qui concevait que Dieu est cette conscience universelle d’où émerge la matière …

(…)

Nassim Haramein.  Vous savez, il y a 20 ans, dans les conférences de physique, si je disais le mot : conscience, ce n’était pas acceptable.  Maintenant, en fait, c’est LA grande question.

Quand on parle de la conscience dans les rendez-vous scientifiques, on essaie d’explorer c’est quoi la conscience.  À un moment donné, il y a toujours ce problème.  (…)

Où commence la conscience?  Parce que, vous savez, on (les humains) est des sacs d’eau avec un peu de minéraux dedans.  Bon :  quand ce sac de minéraux est-il devenu conscience dans son évolution?  À quel point dit-on :  ça c’est de la matière inerte et ça c’est de la matière consciente?  On ne peut pas le définir.  On est fait de matériaux que l’on dit non conscient … mais on a la conscience!

Alors, elle devrait être là.  Les mécanismes de la conscience doivent être là tout le long de cette évolution.  C’est pour ça que je dis :  la conscience ou l’intelligence ne peuvent jamais être artificielles.  Parce que si on réussit à concevoir un système qui devient conscient de lui-même, cette conscience est naturelle.  (…)

Et donc, ça ne se fera jamais par un ordinateur qui fragmente de l’information ou qui compile de l’information.  (…)

Le corps humain est une antenne en interaction, couplée avec ce champ d’informations.  La conscience n’est pas dans nous, elle est couplée avec nous.  Parce qu’elle est dans ce champ d’informations.  Donc, si le système pense qu’il peut créer la conscience en isolation de ce champ (…), il n’y arrivera pas.  (…)

La technologie nous a permis d’évoluer.  Ce n’est jamais la conscience ou la technologie (seules), c’est toujours les deux; elles fonctionnent ensemble.   (…)

Alors moi, ça (IA) ne me fait pas peur.  C’est quand la technologie est utilisée de façon destructrice que ça ne nous aide pas à avancer.  (…)

L’intelligence informatique, elle aussi faut qu’elle passe à un nouveau niveau.  (…)  Il faut qu’on arrive à ce moment où on comprend que le disque dur du système et la mémoire active soient en couplage avec le disque dur de l’univers.  (…)

Laurent Fendt :  Pour que la machine ait conscience d’elle-même.

Nassim Haramein :  Et cette conscience aurait une capacité d’empathie, de compassion, de transformation, d’évolution typique à un humain.  Donc, ce ne serait qu’en relation avec nous qu’elle apprendrait à être constructrice ou destructrice.

(NdA) :  Ce faisant elle n’aurait d’autre choix que d’être positive puisque la force qui a prépondérance dans l’univers est une force positive.  De plus, un principe d’harmonie crée cet univers.

Nassim Haramein :  Quand on arrivera à ça, c’est parce que nous- même on aura découvert à l’intérieur de soi notre relation avec cet univers (ce champ) qui est une relation positive.  Alors je sais que quand on obtiendra ce niveau de technologie, c’est parce que notre société aura déjà passé à un cap de conscience où on aura compris que la collaboration c’est beaucoup mieux que la compétition et que, être créatif et positif, c’est beaucoup mieux que détruire tout ce qui est autour de nous. »

Conclusion

Et c’est à ce moment de notre histoire que l’Événement et l’Ascension nous convie.

La bombe atomique a fait affluer une multitude de civilisations extraterrestres chez nous parce que son explosion affectait négativement le cosmos.  Les applications que certains individus veulent faire de l’IA représentent également un danger pour nos voisins cosmiques et pour la Vie en général.  C’est pourquoi ils sont présents et nous observent de façon si intéressée.

Comme le souhaite Pierre Rabhi :  vivement une élévation de conscience.


  1. Salla, Michael E.  Programme spatiaux secrets et alliances extraterrestres.  Révélations d’initiés sur les activités de nos gouvernements.  Outremont, Ariane Éditions, c216.  406p, ISBN 978-2-89626-346-2.  P. 220.
  2. Idem, p. 218

*NdA :  Je ne vous donne ici la référence que pour le premier épisode d’une série de 8 concernant Néom.  Je ne veux pas « alourdir » ces références. Pour avoir une idée complète de la situation, vous devez écouter les 8 documents.

**En Chine, en 2020 :  chaque citoyen aura une cote de Crédit social.  Les données pour établir cette cote proviendra de leur comportement sur Internet et réseaux sociaux.

Encore :  si les sites qu’ils consultent et les contenus qu’ils partagent sont jugés non conforme, cette cote baissera.  On pourra leur refuser l’accès à un logement, à un prêt, une profession.  On limitera leurs déplacements en leur interdisant de prendre un moyen de transport.  Etc.

Source: http://jardiniersolitaire.com/

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Invitation à la conscience du « Faire sans raison »…

par Sophie Riehl

Alors que le printemps s’installe, après cette ébullition d’énergies du « nouveau » qui demandaient simplement à émerger, après les secousses et remous, c’est le calme qui s’invite. Le calme avec ces périodes de « faire » et de « non-faire », de silences profonds et de Joie tout aussi puissante. L’énergie du 4, le mois d’avril, nous invite à nous poser et à « structurer » notre intériorité. C’est le moment de tirer profit des expériences passées pour avancer sur une base de vie solide. Qu’elle est-elle ? La conscience de l’Amour Divin comme priorité.

Ainsi, nous nous laissons inspirer, guider par cette autorité intérieure, notre « petite voix » qui nous indique la Voie. Elle est à la fois douce, tendre, puissante et juste. Elle est la combinaison, la réunion du féminin/masculin sacrée en nous. Ce travail Ascensionnel, c’est un retour à l’Unité, à l’androgynat originel. Il s’agit d’imaginer en soi une femme saine et un homme sain. Les qualités de chacun sont loin des stéréotypes véhiculés par notre société. Prenez conscience que les qualités de la femme en nous sont : savoir recevoir, écouter son intuition, incarner la douceur et la tendresse, utiliser ses sens pour percevoir la réalité vibratoire, exprimer sa beauté intérieure et extérieure. Et les qualités de l’homme en nous sont : la droiture, le respect, la rectitude, la structure, l’autorité bienveillante, la protection, la parole et l’action. Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive elle vous donne un aperçu de l’équilibre de ces deux pôles. Vous les faites se rencontrer et leur association donne un tout plus grand, des états d’être de paix, d’harmonie, d’amour, de solidité, de simplicité, d’empathie… Lorsque vous méditez, vous vous laissez inspirer par votre créativité, c’est la femme en vous qui s’exprime. Lorsque vous agissez, vous créez, vous parlez, c’est l’homme en vous qui s’exprime. Et la Vie coule de Source, l’action découle de l’intuition, il n’est pas nécessaire d’avoir de « bonnes raisons de faire ».

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Tout cela se passe, cela se passe simplement sans que le personnage ne vienne dévier quoi que ce soit. Ce n’est rien d’autre que l’expression de l’Être derrière le personnage ne survienne. Cela se passe simplement et nous prenons ainsi conscience que le « Faire » n’a pas de but à part celui de la simple expression de la Joie de l’Être. Le « Faire » est là, il s’invite, il se vit, il se goûte. Le but, la raison du faire ceci ou cela ne peut être qu’une interprétation du personnage qui ne sait pas faire autrement, il ne peut pas comprendre que l’Action est simplement l’Action dans l’instant. Le personnage cherche une raison à tout hors il n’y a que l’expression pure de la Joie de l’Être, l’expression de tous les possibles selon le Un.Ainsi le mental/ego n’est pas considéré comme un adversaire, il apprend à se reposer, à se construire sur les élans du cœur sacré. Ce n’est pas une résistance mais un « cesser le combat », l’acceptation, le lâcher-prise à la puissance de la Vie circulant en nous. Nous pouvons choisir de ne rien retenir, de laisser aller les tracas et les frustrations, les angoisses et les incertitudes. Car dans ce retour à l’unité, nous retrouvons aussi l’association de l’adulte et de l’enfant. Retrouvez l’enfant Lumière dans votre chakra du cœur, il est à même de vous enseigner la spontanéité, l’innocence, l’insouciance, la joie pure du moment présent. Et l’adulte, dans ce partenariat, lui transmet sa sagesse et sa protection. Cela vous amène à percevoir la magnificence de la vie, à réapprendre à vous émerveiller de la beauté de la planète et de la matière.

Quoi qu’il se passe, cela se passe. Si je m’abandonne à « Cela », si le personnage laisse la place à l’Être alors Cela peut être vécu comme étant la simple et joyeuse évidence qui n’a ni prévu la suite ni jugé l’avant. « Cela » se passe, Je Suis « Cela ».

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Invitation à la conscience du « Faire sans raison »…

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Alors que le printemps s’installe, après cette ébullition d’énergies du « nouveau » qui demandaient simplement à émerger, après les secousses et remous, c’est le calme qui s’invite. Le calme avec ces périodes de « faire » et de « non-faire », de silences profonds et de Joie tout aussi puissante. L’énergie du 4, le mois d’avril, nous invite à nous poser et à « structurer » notre intériorité. C’est le moment de tirer profit des expériences passées pour avancer sur une base de vie solide. Qu’elle est-elle ? La conscience de l’Amour Divin comme priorité.

Ainsi, nous nous laissons inspirer, guider par cette autorité intérieure, notre « petite voix » qui nous indique la Voie. Elle est à la fois douce, tendre, puissante et juste. Elle est la combinaison, la réunion du féminin/masculin sacrée en nous. Ce travail Ascensionnel, c’est un retour à l’Unité, à l’androgynat originel. Il s’agit d’imaginer en soi une femme saine et un homme sain. Les qualités de chacun sont loin des stéréotypes véhiculés par notre société. Prenez conscience que les qualités de la femme en nous sont : savoir recevoir, écouter son intuition, incarner la douceur et la tendresse, utiliser ses sens pour percevoir la réalité vibratoire, exprimer sa beauté intérieure et extérieure. Et les qualités de l’homme en nous sont : la droiture, le respect, la rectitude, la structure, l’autorité bienveillante, la protection, la parole et l’action. Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive elle vous donne un aperçu de l’équilibre de ces deux pôles. Vous les faites se rencontrer et leur association donne un tout plus grand, des états d’être de paix, d’harmonie, d’amour, de solidité, de simplicité, d’empathie… Lorsque vous méditez, vous vous laissez inspirer par votre créativité, c’est la femme en vous qui s’exprime. Lorsque vous agissez, vous créez, vous parlez, c’est l’homme en vous qui s’exprime. Et la Vie coule de Source, l’action découle de l’intuition, il n’est pas nécessaire d’avoir de « bonnes raisons de faire ».

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Ainsi le mental/ego n’est pas considéré comme un adversaire, il apprend à se reposer, à se construire sur les élans du cœur sacré. Ce n’est pas une résistance mais un « cesser le combat », l’acceptation, le lâcher-prise à la puissance de la Vie circulant en nous. Nous pouvons choisir de ne rien retenir, de laisser aller les tracas et les frustrations, les angoisses et les incertitudes. Car dans ce retour à l’unité, nous retrouvons aussi l’association de l’adulte et de l’enfant. Retrouvez l’enfant Lumière dans votre chakra du cœur, il est à même de vous enseigner la spontanéité, l’innocence, l’insouciance, la joie pure du moment présent. Et l’adulte, dans ce partenariat, lui transmet sa sagesse et sa protection. Cela vous amène à percevoir la magnificence de la vie, à réapprendre à vous émerveiller de la beauté de la planète et de la matière.

Quoi qu’il se passe, cela se passe. Si je m’abandonne à « Cela », si le personnage laisse la place à l’Être alors Cela peut être vécu comme étant la simple et joyeuse évidence qui n’a ni prévu la suite ni jugé l’avant. « Cela » se passe, Je Suis « Cela ».

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Est ce que la façon dont vous vous définissez est-elle réelle ?

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Savez-vous en quoi consistent les biais et de quelle manière ils peuvent déformer votre réalité ?

 

Pensez-vous que vos amis ou un membre de votre famille vous définiraient avec les mêmes mots que vous ? Pensez-vous que votre façon de vous définir est réelle et objective ou, au contraire, qu’elle comporte des préjugés ? Il est facile de le savoir.

L’expérience est simple : lors de la prochaine réunion entre amis ou famille, demandez à chacun d’écrire 3 de vos caractéristiques principales. Correspondent-elles à ce que vous pensez de vous ? Croyez-vous que les caractéristiques que vous voyez ou que les autres voient en vous sont réelles ?

Ce phénomène se produit à travers les biais. Les biais, soient-ils positifs ou négatifs, fournissent une version de ce que nous définissons comme quelque peu irréel ou idéalisé dans le cas positif ou déformé et pessimiste dans le cas négatif. Ainsi, lorsque nous pensons que nous conduisons mieux que les autres, il est question de partialité positive. Au contraire, lorsque nous trouvons que le physique des autres est plus beau que le nôtre, il s’agit de partialité négative.

Ce qui est important ici, c’est que la façon dont nous nous définissons détermine notre état d’esprit et nous positionne face au monde. Selon des études récentes, nous avons tendance à voir la réalité avec un biais positif et à adapter les informations à ce qui nous est déjà familier ou qui est moins éloigné de ce que nous connaissons. Nous avons également tendance à mieux juger notre performance passée et à trouver nos échecs plus fréquents.

Votre façon de vous définir est-elle réelle ?

Types de biais

Il existe de nombreux biais en ce qui concerne la perception des informations. Parmi les plus fréquents figurent les biais :

  • D’attention sélective : se produit lorsque nous attirons l’attention sur des informations ayant un contenu positif. A la fois dans nos actions et dans notre définition de nous-mêmes.
  • De confirmation : dans ce cas, nous consacrons nos efforts à confirmer l’hypothèse que nous avions déjà et, par conséquent, à ne rechercher que ce qui confirme nos idées ou ressemble à la façon dont nous nous voyons.
  • D’autosatisfaction : nous avons tendance à nous percevoir comme les protagonistes de nos succès et uniquement comme des spectateurs passifs de nos échecs.
  • D’optimisme comparatif : les gens ont tendance à penser que nous avons plus de chances de vivre des choses positives. Et au contraire, nous pensons que les choses négatives ont moins de chances de nous arriver.
  • D’invulnérabilité : nous avons tendance à croire que nous avons moins de chances que quelque chose de mauvais nous arrive, que nous nous sommes immunisés ou que nous contrôlons la situation.
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Comment les biais affectent-ils votre façon de vous définir ?

Comment peut-on changer ce que l’on n’aime pas chez soi ? Continuer à grandir et à se développer si on est pas capables de voir où sont nos échecs ? Et nos succès ? Nous croyons que les autres sont coupables de notre misère ou que nous nous connaissons parfaitement en passant simplement la journée avec nous-mêmes, mais nous sommes loin de la réalité.

Si à chaque fois que quelque chose se passait mal on se demandait quelle était notre responsabilité réelle plutôt que de nous blâmer, ne serait-ce pas mieux ? Que peut-on améliorer ou changer ?

Les biais ont tendance à nous donner une vision plus positive de nous-mêmes. Une vision déformée qui nous favorisera parfois, et qui nous fera du mal d’autres fois. L’important est de savoir comment fonctionnent ces biais, d’identifier leur influence et de la gérer.

Il est essentiel de savoir comment fonctionnent les biais pour découvrir leur influence sur la façon dont vous vous définissez.

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N’ignorez pas ces 9 symptômes liés au stress

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Le stress est un état d’esprit psychique et mental qui est généré par plusieurs facteurs généralement externes (environnement, travail, famille). Avec ce désir de vouloir accomplir les tâches qui nous sont confiées avec succès, on est parfois sujet à une pression intérieure qui se manifeste par le stress.

Cet état d’esprit peut être très grave, en particulier lorsqu’il n’est pas très vite remarqué et peut même causer plusieurs dommages au corps. Les experts recommandent donc de savoir gérer son stress et de se calmer, mais toujours est-il qu’il faut savoir reconnaitre qu’on est stressé. Retrouvez dans cet article 9 symptômes qui prouvent que vous subissez un stress excessif.

1. Perte de cheveux Une chute de cheveux est anormale lorsqu’on perd plus de 100 cheveux par jour. Le stress est la principale raison de l’augmentation de la chute de cheveux à cause des hormones androgènes qui sont libérées par les glandes surrénales lorsqu’on est stressé. En effet, le stress déclenche une cascade de réactions qui peuvent dérégler le renouvellement normal des cheveux. Chaque poussée de stress entraine aussi une contraction des vaisseaux sanguins au niveau des racines des cheveux ce qui peut empêcher leur ravitaillement en nutriments essentiels à leur croissance. Chez certaines personnes, le stress peut aussi être la cause d’états pelliculaires et de démangeaisons.

 

2. Variations de poids Le stress peut entraîner une perte de poids due à une perte d’appétit. Il peut aussi être responsable d’une prise de poids significative chez certaines personnes qui seront prises de fringales et ne pourront donc pas résister à la nourriture durant ce temps de pression. En étant stressé, il arrive que le sentiment d’angoisse stimule l’envie de manger du gras ou du sucré, afin de pousser le cerveau à produire de la sérotonine, une hormone responsable de la sensation de bien-être.

3. Sentiment constant d’anxiété et incapacité à rester assis sans bouger Se sentir constamment mal à l’aise, anxieux et agité est un symptôme que le stress a atteint un niveau élevé dans votre corps. Ce sentiment d’anxiété dû au stress peut se présenter sous différentes formes (transpiration et sueur soudaines, douleurs dans le ventre, frissons ou bouffée de chaleur.) Si vous remarquez ces symptômes prenez très vite des dispositions pour vous détendre comme par exemple en respirant profondément et en faisant le vide dans sa tête.

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4. Baisse de la libido Le stress peut aussi faire baisser la libido car il réduit la sécrétion d’hormones sexuelles entrainant des problèmes d’érection ou d’éjaculation précoces, voire une absence totale de désir. Afin de préserver votre vie amoureuse et votre vie sexuelle, il est important d’apprendre à vous détendre et de bien communiquer avec votre partenaire concernant les sujets qui vous stressent.

5. Troubles du sommeil Si vous remarquez des changements dans votre routine de sommeil, ou si vous ne pouvez pas dormir suffisamment, vous souffrez probablement de stress. Lorsqu’on est stressé, le corps se met en mode « alerte », une manière pour lui d’augmenter ses chances de survie. Il aura alors du mal à se laisser aller et se détendre pendant longtemps. De plus, si l’insomnie persiste, cela peut aussi devenir une source de pression encore plus grande.

6. Changements d’humeur Vous serez facilement sujet aux sautes d’humeur si vous êtes stressé. En effet, l’hormone du stress le cortisol compromet la production, l’action et les fonctions de l’ocytocine (connue comme l’hormone de l’amour et de l’attachement) et aussi de l’œstrogène et de la progestérone qui agissent tous les deux sur l’humeur. N’hésitez pas à vous détendre car si le stress n’est pas traité, cela peut causer d’autres complications comme le trouble obsessionnel-compulsif (TOC), de nombreux problèmes de santé mentale et d’autres dépendances.

8. Manque de patience Les problèmes de stress peuvent vous faire perdre patience et vous rendre irritable et intolérant. Si vous êtes irritable et impatient, vérifiez s’il n’y a pas une activité autour de vous qui vous stresse.

9. Obsession du travail

Le stress empêche de se détendre et oblige le cerveau à constamment réfléchir au sujet du problème qui nous met la pression. Cette obsession pousse généralement à négliger tous les autres contacts avec l’entourage ou avec la famille. Si vous remarquez que vous êtes trop soucieux du travail qui vous est confié, apprenez à vous détendre et à faire disparaitre toute sorte d’idées stressantes. De toute façon, vous ne pourrez rien résoudre avec le stress, mais au contraire, vous aggraverez vote état de santé.

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La joie est une énergie extraordinaire: communiquer la joie

« La joie est une énergie extraordinaire lorsque vous vous en servez de la plus belle des façons.

Prenez conscience que cette joie s’oppose totalement aux énergies de peur et à toutes les énergies inférieures.

Il vous sera de plus en plus demandé de manifester cette joie qui est très proche de l’Amour, cette joie qui doit être partage, cette joie qui illumine totalement votre visage, tout votre physique, et qui illumine aussi votre âme.

Pourquoi est-il si important de manifester la joie ?

Parce qu’à l’époque actuelle, sur votre monde, elle fait défaut aux êtres humains !
Beaucoup d’êtres humains ne savent plus ni sourire ni rire ; ils sont enfermés en eux-mêmes et prennent plaisir à fermer les portes à double tour, à s’emprisonner dans la tristesse, dans les peurs.

Lorsque vous avez des soucis, quels qu’ils soient, essayez de vous raconter, même dans votre tête, des histoires qui peuvent vous faire rire, ou de penser à des moments où vous avez manifesté cette joie, et vous verrez que cela vous aidera à relativiser beaucoup d’expérimentations plus ou moins difficiles de votre vie.

Il y a ce que nous pourrions appeler la joie saine, le rire sain qui consiste à rire pour rien, tout simplement pour le plaisir, et il y a le rire que nous appelons « inférieur ». Nous ne parlerons pas de celui-là parce qu’il n’a pas sa place dans ce que nous avons à vous dire.

A chaque moment de votre vie, vous pourrez avoir certaines difficultés pour expérimenter, pour affronter tout ce qui se présentera à vous. Que la joie et le rire vous aident à lâcher prise, à mieux comprendre que toutes les expériences ne sont qu’illusions de la matière.

Nous, vos frères de Lumière, manifestons notre joie en permanence. Bien sûr, nous ne la manifestons pas au travers du rire puisque nous n’avons pas la même densité que la vôtre.
Nous l’exprimons de façon différente, nous l’exprimons au travers de notre fréquence vibratoire.

Lorsque nous sommes en joie, même si nous n’avons pas un corps physique comme le vôtre, nous l’exprimons dans la Lumière, c’est-à-dire que les formes de nos énergies illuminent davantage lorsque nous sommes en joie. C’est ainsi que nous pouvons partager notre joie avec ceux qui nous entourent. Pour nous, la joie est comme un don précieux.

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Il faudrait que de la même façon vous puissiez exprimer l’Amour que vous avez pour ceux qui vous entourent.
Dans cette joie que vous pouvez exprimer, vous pouvez être certains que vous pouvez enlever beaucoup d’angoisse à ceux qui en ont.La joie fait partie de l’Amour.

Dans les mondes très évolués des Hautes Hiérarchies, la joie existe aussi, mais d’une façon totalement différente de celle que vous exprimez dans la matière.
Même la Source éprouve une immense joie ! Bien sûr Elle ne l’exprime pas de la même façon que vous. Elle l’exprime dans l’Amour qu’elle met dans Sa Création, parce que pour la Source Amour et Joie ne font qu’un. C’est la joie de créer.

Ceux qui créent peuvent comprendre cette joie différente ; les personnes qui peignent, qui créent avec leurs mains, qui créent avec leur plume, qui créent de la musique, éprouvent une grande joie si leur création est parfaite. Cela fait partie des joies spirituelles.

Toute joie, si elle est pure, si elle est exprimée avec le cœur, vous aide à vous élever spirituellement et vous aide à élever votre fréquence vibratoire. C’est pour cela que ce soir, et même cet après-midi, nous avons désiré que vous puissiez vous libérer, parce que la joie libère de certains enfermements, de  .

Lorsque vous êtes en joie dans un groupe vous oubliez tout, vous êtes tout simplement dans la joie, et plus rien ne compte si ce n’est l’expression de cette joie, l’échange de cette joie, la participation à cette joie. Vous participez à la joie de l’ensemble.

La joie, tout comme la tristesse, est très communicative.
Tant qu’à faire, il vaut mieux communiquer la joie que communiquer la tristesse. »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

qu’il ne soit pas coupé
qu’il n’y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre site https://ducielalaterre.org
que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

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Les obstacles principaux au début d’une relation de couple

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Quand nous commençons une relation de couple, surtout au tout début, différents obstacles se présentent, que nous allons devoir éviter. Il s’agit d’un fait inévitable et très banal, puisque nous apprenons à connaître à fond la personne et essayons de faire s’emboîter ses pièces avec les nôtres, de manière à ce que les coins ne s’enfoncent pas dans l’un de nous deux.

Dans l’interaction, au début d’une relation de couple, des difficultés se présentent et il faudra alors y faire face. Nos attentes s’écrouleront petit à petit et nous devrons affronter la réalité. Cette étape peut entraîner beaucoup de frustration si nous avons beaucoup trop idéalisé l’autre personne.

Ces obstacles, en général, sont utiles à une meilleure connaissance de l’autre personne, et le fait de les surmonter met en place le ciment sur lequel va se construire petit à petit la relation. Puisqu’il s’agit d’un processus d’adaptation, nous allons devoir accepter les complications et, parfois, nous armer de patience pour les surmonter. Cela fait irrémédiablement partie du processus de découverte et de redécouverte de la personne avec laquelle nous avons commencé une relation.


« Le couple est l’un des aspects centraux de la vie d’un être humain. Une fois que l’homme arrive au monde, la communication apparaît comme étant le facteur le plus important qui détermine le type de relations qu’il va avoir avec les personnes les plus proches, pour ensuite l’appliquer dans des relations d’un autre genre. »

-Satir-

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Apprendre à communiquer entre nous

Communiquer et bien le faire est l’un des principaux défis qui se présente aux couples, surtout au début d’une relation quand on n’a pas encore construit de dynamiques partagées. Pour que la communication soit saine, nous devons apprendre à exprimer ce dont nous avons besoin.

Une personne qui a déjà passé beaucoup de temps avec nous est déjà probablement devenue experte dans l’interprétation de notre langage non-verbal, mais une nouvelle personne qui ne dispose pas de ce bagage va avoir plus de difficultés si elle n’instaure pas une communication ouverte au lieu d’une communication codée.

La communication peut souvent être le lieu de malentendus et d’interprétations que nous faisons sur le champ et de manière presque automatique. Pour surmonter cela, il vaut toujours mieux poser des questions que procéder à des interprétations et surtout bien écouter quand on nous parle.

Apprendre à communiquer dans un couple sera un défi par lequel vous devrez passer tôt ou tard. Si nous n’apprenons pas à communiquer, la relation est vouée à l’échec. C’est un pilier fondamental pour le bon fonctionnement de la relation de couple, et on ne peut pas le négliger.


Une bonne communication est basée sur le respect, l’empathie, l’écoute et la compréhension. Exprimer ses propres besoins sans cesser de faire attention à ceux de l’autre.

S’ajuster à la réalité

L’idéalisation est un composant étroitement lié au fait de tomber amoureux-se, il est inévitable de se concentrer davantage sur les bons côtés de notre compagnon/compagne quand nous débutons la relation. Cependant, il faut essayer de garder les pieds sur terre pour que nos attentes ne s’éloignent pas excessivement de la véritable personne qui se trouve avec nous.


Si nous nous bandons les yeux avec l’intention de vivre dans un monde de rêve, où tout ce que fait notre moitié est merveilleux, nous finirons par tomber de ce nuage et la frustration nous fera beaucoup trop de peine.


Il faut savoir que, même si notre moitié a beaucoup de qualités, elle aura aussi beaucoup de points qui ne nous plairont pas. Au final, c’est dans l’acceptation qu’apparaît le véritable amour, quand nous sommes prêt-e-s à voir l’autre personne telle qu’elle est, sans prétendre vouloir la changer.

Essayer de remplir le vide

Le couple n’existe pas pour réaliser nos attentes, ni pour combler notre vide intérieur. Chercher quelqu’un pour ne pas se sentir seul-e et pour oublier des expériences passées avec d’autres personnes est la première erreur qui fait que la relation ne fonctionne pas. Nous devons nous-mêmes combler nos vides, même si les autres peuvent contribuer à les rendre plus ou moins riches.

Nous pouvons ne pas être bien avec nous-mêmes, mais nous ne pouvons pas espérer que l’autre personne résolve notre conflit intérieur et nous apporte la paix et la sécurité dont nous avons besoin dans nos vies. Personne ne peut faire ce travail de résolution de conflit pour vous, pas même votre moitié.

Une relation saine consiste à être avec l’autre personne pour partager ce que nous sommes et non pas pour combler nos vides. Si nous fuyons la solitude, nous tomberons dans l’erreur de ne pas apprendre à vivre avec nous-mêmes.


« L’amour infantile suit le principe : « j’aime parce qu’on m’aime ». L’amour mûr obéit au principe : « on m’aime parce que j’aime ». L’amour immature dit : « je t’aime parce que j’ai besoin de toi ». L’amour mûr dit : « j’ai besoin de toi parce que je t’aime » »

-Erich Fromm-

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Émodiversité : une variété d’émotions comme clé de la santé mentale

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Dans la nature, plus il y a de diversité dans un écosystème, plus celui-ci est fort, riche et résistant. L’émodiversité suit ce même principe. Ainsi, plus notre palette d’émotions sera hétérogène, plus nous serons flexibles et forts. En effet, comprendre cet univers sans être seul dans les extrêmes, c’est investir dans sa santé. C’est gagner en intelligence et en maturité.

Comprendre ses émotions pour être plus fort

Si nous y réfléchissons bien, une idée qui est mise en avant par la société elle-même, en plus d’un grand nombre de livres d’aide personnelle, consiste à penser que pour atteindre le bien-être nous devons expérimenter exclusivement des émotions positives. Ceci nous emmène, presque sans nous en rendre compte, dans un voyage arthurien à la recherche de ce graal du bonheur ou l’on esquive toutes les couleurs comme la tristesse, la déception, la frustration ou la rage.

 

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Ce que l’on oublie peut-être, c’est qu’il n’existe pas de meilleure stratégie que celle consistant à comprendre notre propre ennemi. Fuir les émotions négatives, c’est se bander les yeux. C’est comme se priver d’un apprentissage vital nous permettant de disposer de meilleures armes face à n’importe quelle circonstance. Parce que la vie, comme les émotions, est diverse et hautement complexe. Seuls ceux qui se permettent d’approfondir chaque sentiment et émotion pour les comprendre pourront s’adapter au mieux au va et vient du quotidien.

Nous avons été conditionnés pour croire que les sentiments négatifs sont un ennemi du bien-être. Pire encore, certains pensent que ceux qui passent de la joie à la colère, de la déception à l’illusion dans la même journée sont instables et même volubiles. C’est le moment de faire le point sur ces termes. Il faut introduire dans notre langage une idée essentielle pour la santé mentale : l’émodiversité.

« Je n’arrêterai pas de souligner l’importance d’apprendre à utiliser les émotions négatives pour ce qu’elles sont, un appel à l’action. »

-Tony Robbins-

 

Qu’est ce que l’émodiversité ?

L’émodiversité désigne notre capacité à ressentir et expérimenter une large gamme d’émotions. Plus nous ressentons d’émotions différentes, mieux c’est. Cette capacité, ou plutôt, le fait de se permettre de ressentir chaque sentiment sans le bloquer ou le nier, suppose un avantage adaptatif.  Ainsi, non seulement nous parvenons à être plus authentiques, mais cela nous permet également de compter sur davantage de ressources pour affronter les difficultés et améliorer notre santé mentale.

Cette idée n’est pas nouvelle. En 2012, une étude publiée par la revue Emotion a émis une conclusion qui fait réfléchir. Des chercheurs de l’Université de Queensland se sont demandés comment l’idée consistant à penser que le bonheur correspond aux émotions positives pouvait affecter les populations australienne et japonaise. Ce principe culturel pousse les populations à ne pas savoir comment gérer leur émotions négatives, et ainsi à fuir. La recherche du bonheur (de ce point de vue) génère tôt ou tard du malheur.

Démonter le mythe du bonheur

Pour apprendre à être heureux il faut, pour ainsi dire, appuyer sur le bouton qui redémarre notre disque dur mental. Effacer une grande partie de ce que nous savions jusque là. Un premier aspect que nous devons considérer est le suivant : les émotions négatives ne sont pas nuisibles. Toute émotion ressentie et acceptée est un engagement pris avec soi-même. Un engagement pour se comprendre, pour assumer la réalité et être responsable au moment de trouver des solutions ou de créer des changements.

Un deuxième aspect qu’il faut intégrer dans notre « programmation » interne, c’est que nous devons nous permettre d’expérimenter la plus grande quantité d’émotions possibles, et ainsi gagner en résistance émotionnelle, en santé mentale et en habilité psychologique. Celui qui se permet uniquement de ressentir les émotions positives manquera d’outils pour faire face aux difficultés et aux frustrations. D’autre part, celui qui ressent seulement les émotions négatives présente un risque plus grand de développer une dépression, des troubles de l’anxiété, etc.

En 2014, les universités de Yale, Pompeu Fabra de Barcelone et de Cambridge ont réalisé une large étude pour analyser les bénéfices de l’émodiversité. Cette dimension, comprise comme cette capacité de nous permettre d’expérimenter une ample gamme d’émotions, a un impact direct sur notre santé physique et émotionnelle.

Les responsables de cette étude ont remarqué que les personnes qui niaient les émotions négatives ou qui focalisaient leur vie sur cet état perpétuel de frustration, de découragement et de mauvaise humeur ne développaient pas seulement des troubles psychologiques, mais voyaient aussi leurs défenses immunitaires s’affaiblir.

Les émotions affectent notre qualité de vie et impactent notre santé de manière directe.

Prendre soin de notre écosystème émotionnel

Un écosystème émotionnel riche en sensations, où les émotions sont acceptées, qui soit nourri par des sentiments appréciés et vus comme de précieux apprentissages instaure un environnement psychologique plus fort et plus sage. Nous devons donc apprendre à prendre soin de notre émodiversité, et ce en étant sincères et courageux envers nous-mêmes.

La tristesse, la rage, la peur ou la déception ne sont pas des mauvaises herbes qu’il faut arracher. Ce ne sont pas ces graines de baobab que craignait le Petit Prince ; en effet, selon lui, elles feraient exploser sa petite planète. Les émotions considérées comme négatives combinées aux positives font ce que nous sommes. Nous ne pouvons pas agir comme des prédateurs occultant ou niant ce qui ne nous plaît pas.

Nous nous devons donc de conjuguer avec elles, de les manœuvrer, les transformer. Il nous faut comprendre que toute cette richesse de notre écosystème psychologique et émotionnel nous donne de précieux outils pour faire face l’adversité. Ainsi, nous pouvons mieux nous préparer pour atteindre une forme de bonheur réel.

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