60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Eveil Tv - L'au delà

« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Après la mort, on voit son corps

 

« La preuve du paradis » est un des livres dont on ne ressort pas indemne. L’histoire de ce neurochirurgien est tellement énorme que je suis persuadé qu’elle n’est pas due au hasard. Imaginez un neurochirurgien qui est non seulement victime de son propre métier en contractant une méningite bactérienne, mais qui plus est fait l’expérience d’une NDE ou EMI, c’est-à-dire l’expérience d’une vie après la mort.

L’expérience du Dr Eben Alexender a même fait la une du célèbre magazine Newsweek, « Le paradis existe » :




 

Le paradis existe

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e plus surprenant, de par sa formation scientifique le neurologue Dr Eben Alexander était quelqu’un de très sceptique, il ne croyait qu’en ce qu’il voyait. D’ailleurs, quand il entendait des témoignages de personnes de personnes après un accident raconter l’histoire du tunnel, pour lui, c’est leur cerveau qui leur jouait des tours à ces pauvres gens.

Le destin a voulu que lui aussi vive ce genre d’expérience pendant un coma profond d’une semaine.

Dans son livre il raconte donc ce qu’il a vu, des jardins, des paillons, des nuages… Des paysages de toute beauté, mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il y a de fascinant est qu’il balaye d’un revers de main toutes les objections que peuvent avoir les scientifiques sur les témoignages de la vie après la mort. Car il affirme haut et fort que son cerveau était tellement attaqué par cette maladie qu’il n’avait plus les capacités de créer des images telles qu’il les a vus.

En fait, son cerveau pendant son coma n’avait pratiquement plus aucune activité, son néocortex était « out ».  Il insiste bien que l’expérience qu’il a vécue n’est en aucun cas comparable à un rêve, c’était pour lui aussi réel que la lecture de cet article pour vous par exemple.

Il nous révèle aussi dans son livre que nous revoyons dans cette autre dimension les êtres disparus. Ce qui est un point commun à de nombreux témoignages de vie après la mort (NDE).

En revanche, il nous donne un détail qu’apparemment je n’ai jamais entendu dans d’autres témoignages. Il entendait comme un son qu’il est difficile de décrire, une sorte de « Om » hindouiste qui serait peut être la source de ce qu’il nomme Dieu à défaut de connaitre son origine.

Depuis, ce neurologue est devenu totalement croyant et il est convaincu que la conscience n’est pas dans la matière grise du cerveau, elle est ailleurs…

Il y a vraiment de plus en plus de témoignages en faveur de la vie après la mort que même les plus athées ne peuvent être indifférents.

De plus,  je crois que ces remontées de témoignages sont vraiment bénéfiques pour l’humanité. Car, si les scientifiques admettaient enfin que la conscience ne meurt pas après la mort clinique, on serait obligés d’admettre que nos actes présents auront une influence après notre mort, donc à mon avis, non seulement on serait plus « cool » avec son prochain, mais aussi les biens matériels seraient vraiment illusoires.

C’est peut-être pour cette raison que quelles que soient les preuves, l’existence de la vie après la mort aura toujours de forts opposants surtout parmi les intellectuels de ce monde, car c’est tout le système qui s’effondrerait.

Si le livre « la preuve du paradis » vous intéresse, vous pouvez vous le procurer à la FNAC :

http://livre.fnac.com/a5102074/Eben-Alexander-La-preuve-du-Paradis




 

Source: Le nouveau Paradigme

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L’étrange pont de Overtoun ou les chiens se suicident

L'étrange pont de Overtoun ou les chiens se suicident

En Écosse occidentale, près de Dumbarton, le Pont Overtoun est entré dans la légende. En effet, depuis les années 1950, il est le théâtre d’au moins cinquante morts inexpliquées de chiens, qui se sont jetés dans le vide depuis le pont jusqu’à la cascade de la propriété d’Overtoun. Tous les chiens ont sauté du même côté du pont et surtout par temps clair, chose rare dans cette région humide de l’Écosse. La majorité des chiens sont morts sur le coup, alors que d’autres se relevant indemnes sont revenus au même endroit, pour sauter à nouveau.

L'étrange pont de Overtoun ou les chiens se suicident
L’étrange pont de Overtoun ou les chiens se suicident

Ce phénomène a conduit les habitants de cette contrée écossaise à penser que ce lieu était maléfique pour les chiens à long museau, tels que les labradors, les colleys et les golden retrievers. Certains ont demandé que le pont d’Overtoun soit détruit, d’autres se sont étonnés que ce pont soit toujours accessible aux chiens et à leurs maîtres…




L’émotion des propriétaires de chiens a donné ainsi naissance à la théorie du suicide des chiens, supposés particulièrement sensibles à l’atmosphère étrange du Manoir d’Overtoun.

Les hypothèses les plus variées ont été posées sur les causes de ce comportement, puis balayées les unes après les autres, laissant le mystère entier : la peur, mais on sait que les chiens savent se protéger du danger et qu’ils ont la notion de la hauteur, le vent du Loch Lomond, un fantôme de femme errant sur le pont, la télépathie entre le chien et son maître, l’odeur des visons qui pullulent dans cette région… On précise que la société protectrice des animaux écossaise est venue enquêter sur les lieux, ainsi que des experts en paranormal, mais l’« explication » par le suicide des chiens a toujours ressurgi.

Or, les chiens peuvent-ils, comme les hommes, être suicidaires ?

D’après le Petit Robert, le suicide est « l’action de causer volontairement sa propre mort (ou de le tenter), pour échapper à une situation psychologique intolérable, lorsque cet acte, dans l’esprit de la personne qui le commet, doit entraîner à coup sûr la mort ». Certes, on entend parler de chiens qui ne survivent pas à la mort de leur maître, mais peut-on dire qu’ils se laissent mourir « volontairement » ? Plutôt que tristes ou désespérés, ne sont-ils pas simplement privés de leurs repères habituels, en raison de la perte de celui qui a joué pour eux le rôle du « chef de meute » ? Leur instinct n’a pas prévu cette situation à laquelle ils ne parviennent pas à s’adapter.

L'étrange pont de Overtoun ou les chiens se suicident
L’étrange pont de Overtoun ou les chiens se suicident

Depuis soixante ans, cette légende a été transmise par le bouche à oreille puis relayée par les médias, The Times1 et Mailonline2, or le nombre de chiens disparus de cette façon ne dépasserait pas une cinquantaine, ce qui fait moins d’un chien par an. Elle se nourrit des mystères qui entourent ces régions étranges de l’Écosse et, telle la légende du monstre du Loch Ness, elle attire les touristes et donnent de l’importance à ceux qui la racontent.

Il eut été plus instructif, mais bien sûr moins lucratif, de vérifier l’authenticité de l’événement, avant de s’interroger sur les causes qui l’ont produit.

C’est ce que nous enseigne Fontenelle dans le petit conte philosophique « La dent d’or »3 : « Assurons-nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause. Il est vrai que cette méthode est bien lente et pour la plupart des gens, qui courent naturellement à la cause, et passent par-dessus la vérité du fait ; mais enfin nous éviterons le ridicule d’avoir trouvé la cause de ce qui n’est point ».

Vidéo

Source: sciences.org

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Les 10 lieux les plus hantés

Eveil Tv

Connaissez-vous les 10 lieux les plus hantés ?

Voici donc la liste de ces maisons hantées qui font frissonner bien des personnes.

Qu’on le veuille ou non, les histoires de fantômes pique notre curiosité. Le paranormal a quelque chose de fascinant.




 

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Aujourd’hui considéré à tort ou à raison comme un haut lieu de phénomènes inexpliqués, le sanatorium a avant tout été un hôpital accueillant les malades de la tuberculose durant de nombreuses années. Construit en 1910 et abandonné depuis longtemps, le Waverly Hill Sanatorium. est considéré comme hanté depuis que 63 000 personnes y soient décédées de manières très étrange.

 

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Le château des Lumières fait partie des plus beaux joyaux de l’architecture française. Ce chef d’oeuvre dissimulerait cependant une terrible malédiction, une série d’incendie inexpliquée (treize au totale) dont l’origine du foyer est inconnue et qui s’y abattraient quasiment tous à la même date.

 

 

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Fougeret est un Château du XIV-XVI-XIXème siècle. Construit lors de la déclaration de la guerre de Cent ans vu comme un des lieux les plus hanté de france par de nombreuse équipe du paranormal depuis peu il est possible dit passer la nuit.

 

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Datant du début des années 1900, la Maison Allen à Monticello, Arkansas est le repère rêvée de tout les traqueurs de fantômes du monde, la Maison Allen est un lieu de légende. Depuis long temps, la maison et réputé comme étant l’endroit le plus hanté dans le pays.

 

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Stephen King, est, sans nul doute l’invité le plus célèbre de L’Hôtel Stanley il la inspiré pour écrire son livre, The Shining, en seulement une semaine après avoir passé une nuit à l’hôtel. Il est resté dans la chambre 217 désormais tristement célèbre.

 

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Située en Italie, non loin de la ville des amoureux, Venise, une île hantée du nom de Poveglia regorge d’histoires sordides. Des phénomènes étranges y sont constatés depuis des décennies. Elle n’a plus de propriétaires et son accès est interdit…

 

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La maison de Villisca est dotée d’un terrible passé, cette maison  emblématique qui se trouve dans le petit milieu-ouest de la ville de Villisca Iowa, fut le théâtre d’une horrible tragédie. Durant la nuit du 10 juin 1912, toute une famille, la famille Moore, y fut tué a coup de hache dans leurs lits pendant leur sommeil.

 

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La Maison Blanche est elle hantée Une série de photographies datant des années cinquante prises dans la Maison Blanche nous montrerait d’étranges apparitions. Nous sommes dans les années cinquante lors des travaux de rénovation de la Maison Blanche à Washington. Un photographe officiel, Abbie Rowe a pris une série de photographie d’apparitions.

 

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Les voutes d’Edimbourg sont une série de chambres formées de 19 neufs arches au Pont Sud D’Edimbourg, en Ecosse. Elles ont étés achevée en 1788. Pendant environ 30 ans, elles ont été utilisés par les tavernes, cordonniers et autres artisans, comme espace de stockage de materiel souvent illicite.

 




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La Mystérieuse Maison Winchester est une demeure de Californie situé à San José, près de Santa Clara (États-Unis), réputée pour être hantée par des esprits malveillants.

Source

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Les fantômes du World Trade Center vus par la police

Lors du terrible attentat qui a touché les États-Unis le 11 septembre 2001, plusieurs policiers ont avoué avoir vu d’étranges apparitions qui ressemblaient de près à des fantômes, alors qu’ils triaient les décombres du World Trade Center…

Le 11 septembre 2001, une terrible attaque terroriste a touché la ville de New York, déciment les tours jumelles du World Trade Center. Depuis, plusieurs histoires de fantômes ont été relayées par certains agents de police, déplacés sur les lieux, en charge de passer au crible les décombres des deux tours. Plusieurs rapports d’observations « paranormales » ont alors vu le jour, des observations qui aujourd’hui, demeurent un mystère.

Frank Marra, policier retraité, témoin d’un fantôme au World Trade Center

Frank Marra, aujourd’hui retraité, et ancien lieutenant de police de la ville de New York, a récemment raconté son étrange histoire ces fameux jours de 2001. Alors qu’il se trouvait dans les décombres des tours jumelles, l’ancien policier se rappelle avoir observé à plusieurs reprises une femme étrange, vêtue de noir, en vêtements de l’époque de la Seconde Guerre mondiale, et tenant ce qui ressemblait être un plateau de rations alimentaires.

Le « fantôme » semblait toujours apparaître à environ 50 mètres de lui, mais disparaissait inexplicablement très vite lorsque l’homme tentait de fixer ces yeux dessus pour tenter de mieux l’observer. Certains policiers ont également affirmé avoir vu de mystérieuses grandes masses noires, telles des ombres, apparaître et disparaître alors qu’ils fouillaient les décombres.

Plus tard, Frank Marra a avoué avoir consulté un médium pour donner un sens à ce dont il avait été témoin, et lui aurait fait une étrange révélation. Pour le médium, le fantôme que l’ancien agent de police a pu observer à plusieurs reprises, était en réalité un passeur d’âmes, qui a pour but d’aider et de guider les esprits des défunts vers l’au-delà.

Cependant, quant à savoir si les agents de police ont véritablement vécu une expérience paranormale dans les décombres du World Trade Center, cette question reste et restera sans doute un mystère qui ne sera vraisemblablement jamais résolu.

Source : RAWSTORY

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Un squelette géant a été découvert en Bulgarie

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Un squelette géant a été découvert en Bulgarie

Une équipe d’archéologues a découvert les restes d’un géant dans la ville de Varna, en Bulgarie.

Située sur la rive orientale de la mer Noire, Varna est désormais une attraction touristique majeure. La région possède une culture riche et son histoire remonte tout droit jusqu’à 5000 avant JC. Le trésor le plus ancien contenant de l’or du monde a été trouvé lors de fouilles dans la Nécropole de Varna et la datation au carbone 14 a révélé qu’il a été enterré il y a plus de 6500 années.

Au 7ème siècle avant JC, les Grecs ont fondé un poste d’échanges appelé Odessos dans ce qui est maintenant Varna. Il a été peuplé par un mélange de Grecs et de Thraces. Vers la fin du deuxième siècle de notre ère, Odessos a été transformé en une retraite romaine et a été rebaptisé Odessus.

Le squelette géant a été trouvé plus tôt ce mois-ci, enterré près des ruines de l’ancienne muraille de la ville de Odessus. On estime que l’humain géant vécut et mourut au cours du 5ème siècle après JC.

Valeri Yotov, un membre de l’équipe des fouilles archéologiques a été cité en déclarant que la taille des os était «impressionnante», mais a refusé de fournir des détails précis.

« Comme nous avons commencé à découvrir l’ancien mur de la forteresse, nous nous posons beaucoup de questions, et, bien sûr, nous avons dû continuer à creuser pour atteindre les fondations du mur. Voilà comment nous sommes tombés sur le squelette », at-il dit.

La position du squelette est une indication claire qu’il a été enterré selon un rituel. Ses mains ont été placées sur sa taille, et sa tête est alignée avec l’Est.

En attendant d’obtenir de plus amples détails, nous ne pouvons que spéculer à son sujet. Si le squelette possède effectivement des proportions gigantesques, il constituerait alors une avancée archéologique majeure et ce serait encore mieux si cette découverte ne se retrouvait pas poussée d’un coup de balais sous le tapis.
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Ceci étant dit, ce n’est pas l’unique squelette géant qui a été découvert en Europe de l’Est. Durant l’été 2012, des archéologues ont fait une découverte similaire près de la ville roumaine de Carei. L’excavation d’une grande guerrière de 2,50 mètres de haut, enterrée avec un poignard à côté de sa tête, remontant à 5,0000 ans en arrière durant l’âge de bronze. À l’époque, la hauteur moyenne d’un individu était d’environ un mètre cinquante, ce qui fait que la propriétaire de ce squelette était une vraie géante parmi ses pairs.

Source: Before It’s News

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Une petite fille de 1 an poussée par terre par une force invisible

Une petite fille de 1 an poussée par terre par une force invisible

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