60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Eveil Tv - L'au delà

« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Après la mort, on voit son corps

 

« La preuve du paradis » est un des livres dont on ne ressort pas indemne. L’histoire de ce neurochirurgien est tellement énorme que je suis persuadé qu’elle n’est pas due au hasard. Imaginez un neurochirurgien qui est non seulement victime de son propre métier en contractant une méningite bactérienne, mais qui plus est fait l’expérience d’une NDE ou EMI, c’est-à-dire l’expérience d’une vie après la mort.

L’expérience du Dr Eben Alexender a même fait la une du célèbre magazine Newsweek, « Le paradis existe » :




 

Le paradis existe

L

e plus surprenant, de par sa formation scientifique le neurologue Dr Eben Alexander était quelqu’un de très sceptique, il ne croyait qu’en ce qu’il voyait. D’ailleurs, quand il entendait des témoignages de personnes de personnes après un accident raconter l’histoire du tunnel, pour lui, c’est leur cerveau qui leur jouait des tours à ces pauvres gens.

Le destin a voulu que lui aussi vive ce genre d’expérience pendant un coma profond d’une semaine.

Dans son livre il raconte donc ce qu’il a vu, des jardins, des paillons, des nuages… Des paysages de toute beauté, mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il y a de fascinant est qu’il balaye d’un revers de main toutes les objections que peuvent avoir les scientifiques sur les témoignages de la vie après la mort. Car il affirme haut et fort que son cerveau était tellement attaqué par cette maladie qu’il n’avait plus les capacités de créer des images telles qu’il les a vus.

En fait, son cerveau pendant son coma n’avait pratiquement plus aucune activité, son néocortex était « out ».  Il insiste bien que l’expérience qu’il a vécue n’est en aucun cas comparable à un rêve, c’était pour lui aussi réel que la lecture de cet article pour vous par exemple.

Il nous révèle aussi dans son livre que nous revoyons dans cette autre dimension les êtres disparus. Ce qui est un point commun à de nombreux témoignages de vie après la mort (NDE).

En revanche, il nous donne un détail qu’apparemment je n’ai jamais entendu dans d’autres témoignages. Il entendait comme un son qu’il est difficile de décrire, une sorte de « Om » hindouiste qui serait peut être la source de ce qu’il nomme Dieu à défaut de connaitre son origine.

Depuis, ce neurologue est devenu totalement croyant et il est convaincu que la conscience n’est pas dans la matière grise du cerveau, elle est ailleurs…

Il y a vraiment de plus en plus de témoignages en faveur de la vie après la mort que même les plus athées ne peuvent être indifférents.

De plus,  je crois que ces remontées de témoignages sont vraiment bénéfiques pour l’humanité. Car, si les scientifiques admettaient enfin que la conscience ne meurt pas après la mort clinique, on serait obligés d’admettre que nos actes présents auront une influence après notre mort, donc à mon avis, non seulement on serait plus « cool » avec son prochain, mais aussi les biens matériels seraient vraiment illusoires.

C’est peut-être pour cette raison que quelles que soient les preuves, l’existence de la vie après la mort aura toujours de forts opposants surtout parmi les intellectuels de ce monde, car c’est tout le système qui s’effondrerait.

Si le livre « la preuve du paradis » vous intéresse, vous pouvez vous le procurer à la FNAC :

http://livre.fnac.com/a5102074/Eben-Alexander-La-preuve-du-Paradis




 

Source: Le nouveau Paradigme

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Corps en lévitation, cris d’enfants… Les surprenantes anecdotes d’un embaumeur




Thanatopracteur depuis près de trente ans, Olivier Emphoux a été témoin de plusieurs phénomènes paranormaux. Il nous livre aujourd’hui un incroyable témoignage de son expérience auprès des morts.

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Planet : Si vous exercez ce métier, c’est donc que le contact des morts ne vous effraie pas…
Olivier Emphoux* : « Je n’ai pas grandi dans cet univers, mon enfance a été tout ce qu’il y a de plus normal mais j’ai toujours pensé que les morts relevaient du domaine du sacré. Et ce sentiment n’a fait que se renforcer avec le temps. Je suis ainsi entré dans l’univers du funéraire au plus bas de l’échelle il y a une vingtaine d’années et suis aujourd’hui thanatopracteur. Une expérience qui m’a permis de vérifier une théorie que j’avais développée bien des années auparavant et selon laquelle quelque chose se passe dans les quelques heures (48 heures, tout au plus) qui suivent un décès. Le défunt est alors sur le point de quitter son existence pour trouver un autre état. A ce moment-là, il est soit très calme, soit apeuré à l’idée de passer ce cap. C’est d’ailleurs pourquoi j’essaie à chaque fois de prendre le temps de m’assoir à côté du mort et de lui prendre la main pour le rassurer.

Planet : Quand avez-vous pu vérifier votre théorie pour la toute première fois ?
Olivier Emphoux : C’était au début de ma carrière. J’avais été appelé pour aller récupérer les corps de deux enfants à la morgue d’un hôpital. Quand je suis arrivé, le responsable avait une mine défaite et m’a dit qu’il était incapable d’aller les chercher dans les frigos. J’y suis donc allé. Là, j’ai découvert une petite fille de dix ans qui avait encore les yeux ouverts, je les lui ai fermés, et un petit garçon de quatre ans en pyjama, les poings serrés. Je me suis occupé de leurs corps et les ai ensuite emmenés pour la présentation à leur famille. Une fois les cercueils scellés, je les ai mis dans le corbillard et ai conduit jusqu’au lieu où ils devaient être inhumés. J’étais seul dans le véhicule. A un moment pendant le trajet, j’ai entendu des cris d’enfants. Je me suis arrêté et suis descendu pour voir si les bruits ne venaient pas des cercueils. Après tout, on lit parfois dans les journaux que des gens se réveillent à la morgue. Mais là, il n’y avait plus aucun bruit. J’ai donc redémarré en me disant que mon imagination m’avait joué un tour. Mais les cris ont recommencé. Comme j’étais certain de les entendre, j’ai alors compris que cela ne venait pas de moi mais d’un phénomène paranormal.

Planet : Avez-vous ensuite cherché à savoir ce qui était arrivé à ces deux enfants ?
Olivier Emphoux : J’ai ensuite appris que leur mère avait décidé de vérifier s’ils savaient nager en plongeant leur voiture dans un étang. Ils étaient tous les trois à bord, la mère au volant, les deux enfants attachés à l’arrière. Elle s’en est sortie mais les deux petits sont morts…



Planet : Vous demandez-vous parfois pourquoi vous êtes témoin de ces phénomènes paranormaux ?
Olivier Emphoux : Non, je ne cherche pas à savoir pourquoi. On ne peut pas expliquer ces phénomènes irrationnels en étant vivant. Chercher à comprendre leur origine et pourquoi j’en suis témoin serait le meilleur moyen de ne plus rien voir. Les autres thanatopracteurs qui ont assisté à ce type de phénomènes, en France ou à l’étranger, sont comme moi : ils en parlent très peu. Que ce soit aux familles des défunts – par respect on ne les questionne pas – entre eux ou avec leurs collègues. C’est comme ça, ça ne se fait pas.

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Planet : Vous avez pourtant écrit un livre pour raconter ce dont vous avez été témoin…
Olivier Emphoux : C’est différent. Le livre est né tout seul. Annette Gefffroy est tombée sur mes notes et a eu envie de les mettre en forme. Le but n’était pas de chercher à comprendre ce qu’elles pouvaient révéler mais simplement d’en rendre compte.

Planet : Y-a-t-il des phénomènes plus marquants que d’autres ?
Olivier Emphoux : Il y a notamment eu la fois où je faisais un soin à domicile, seul dans une pièce avec le défunt. A un moment, le corps s’est soulevé à un mètre de hauteur, jusqu’à atteindre la hauteur de mes yeux…. J’ai encore du mal à décrire l’effet que cela m’a fait. Je ne savais plus quoi dire ou faire, j’étais tétanisé.

Il y a aussi eu la fois où, avec trois de mes collègues et alors que nous déplacions le cercueil d’un homme sur un chariot à l’hôpital, nous avons été témoins d’un phénomène très troublant. Nous venions de passer une porte que nous avions silencieusement refermée derrière nous. Dans notre métier, nous devons sans cesse veiller à être invisibles. On dit souvent que la famille du défunt ne doit pas nous voir arriver ni vous voir repartir. Mais tout d’un coup, la porte s’est rouverte et refermée dans un fracas. Ensuite, pendant que nous avancions avec le chariot, nous avons entendu un bruit de métal régulier. Ce bruit nous suivait et s’arrêtait en même temps que nous. Arrivés dans l’ascenseur, j’ai regardé dans le cercueil pour voir si un objet en métal n’’était pas à l’origine de ce bruit. C’est alors que j’ai découvert des talonnettes en métal sur les chaussures du défunt… Il nous avait suivis… Quand nous nous en sommes rendus compte, nous nous sommes tous regardés, perplexes, mais aucun de nous n’a dit quoi que ce soit. Par la suite, nous n’en avons jamais parlé ».

*Olivier Emphoux est l’auteur d’ Aux portes de l’inconnu, un embaumeur raconte… (éd. de L’Opportun)

Source

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Pourquoi oublie-t-on ses rêves ?

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Le rêve se présente au dormeur toutes les nuits. Il est prouvé qu’il en est ainsi. Ceux qui prétendent ne pas rêver se trompent ; simplement, ils n’ont aucune souvenance d’un vécu nocturne. Plusieurs raisons aussi bien physiques que psychiques s’y rattachent.



Si le réveil à lieu à la fin ou au cours du rêve, celui-ci persiste environ
un quart d’heure en mémoire. En revanche, le souvenir d’un rêve reste très vague si le réveil intervient plus d’une heure après le rêve. Il est même parfois difficile de se remémorer un scénario qui, pourtant, a laissé son empreinte dans notre esprit.

Vainement, nous essayons de rassembler les pièces du puzzle. Tout comme un réveil inopportun entre les cycles du sommeil profond, les rêves se déroulent surtout pendant cette phase, à intervalles réguliers. Si le dormeur est dérangé pendant ce laps de temps, il aura du mal à se remémorer sa nuit.

À l’inverse, s’il se réveille en sursaut au cours du sommeil paradoxal, le rêve revient en mémoire sans difficultés. On se souvient plus facilement du dernier rêve que des précédents.

D’autres raisons favorisent l’oubli du rêve



Comme on ne peut dissocier le rêve du sommeil, je ne recommanderai pas assez d’éviter l’abus des médicaments. Les paradis artificiels tels que les drogues, l’alcool, le café, le thé à fortes doses, les barbituriques, les tranquillisants, endommagent considérablement la vie onirique.

Il y a aussi le fait qu’en dehors du manque d’intérêt porté au rêve, si nous pensons que ces images ne sont que le reflet de notre vie de tous les jours, sans aucun doute, une telle impression provoquera l’amnésie au réveil. Dans l’interprétation des rêves, Freud ne nie pas qu’il y ait un rapport entre le rêve et la veille, mais il a constaté que les faits ou les impressions qui ont intensément occupé la pensée n’apparaissent au cours du rêve que lorsqu’ils ont été, d’une certaine manière, refoulés.

Le rêve est loin d’être une simple projection fantaisiste de nos préoccupations. Au contraire, il permet d’échapper à l’emprise du temps.Son analyse aidera à cerner notre moi profond. En rêvant, nous purifions notre esprit et le libérons des pensées de toutes natures que nous lui imposons à l’état de veille. Il est même possible de résoudre certains problèmes, certaines énigmes, à condition de respecter notre sommeil. (source  dictionnaire des rêves)

Vous pouvez partager cet article en incluant « Chronique trouvée sur Eveil Tv  http://eveil.tv

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Quelle est la signification de la couleur de tes yeux ?

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Voyage aux confins de la conscience, entretien avec Claudes Charles Fourrier le cas Nicolas Fraisse

EVEIL TV - DOCUMENTAIRE 5

Voyage aux confins de la conscience, entretien avec Claudes Charles Fourrier

« Je suis malade au fond de mon lit, impossible de me rendre à l’anniversaire de mon ami… et pourtant, j’y suis… hors de mon corps… je vois tout, j’entends tout, je pénètre dans les pensées des personnes présentes… Le lendemain, j’appelle mon ami, qui me confirme tout ce que je lui décris… »

Ce livre est né de la rencontre d’une scientifique et d’un psychothérapeute avec un jeune homme qui dit « sortir hors de son corps » depuis l’enfance. Rencontre qui va bouleverser la vie de ce dernier et l’emmener toujours plus loin à la découverte de ses capacités.

Pendant dix ans, tous trois vont tâtonner, explorer, tester et sans cesse repousser les limites de Nicolas Fraisse, en s’appuyant tantôt sur les connaissances de Sylvie Dethiollaz, la scientifique, qui voit ses savoirs théoriques ébranlés, tantôt sur l’expérience de l’humain de Claude Charles Fourrier, le psychothérapeute, qui se réfère à son propre vécu.

Un parcours passionnant, parsemé d’épisodes étonnants et d’anecdotes tout aussi étranges que déroutantes. Une aventure hors du commun, à la découverte des « sorties hors du corps », de la « vision à distance », de la « télépathie » et de bien d’autres phénomènes stupéfiants, qui les conduira à une ultime expérience dont les résultats défient toute rationalité. Une étude qui soulève des questions essentielles quant à la véritable nature de la conscience et de la réalité, et renvoie chacun au mystère de l’existence




DOCUMENTAIRE 5 – EVEIL TV – Voyage aux confins de la conscience

 

LE LIVRE

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Voyage aux confins de la conscience : Dix années d’exploration scientifique des sorties hors du corps : le cas Nicolas Fraisse

Voyage aux confins de la conscience : Dix années d’exploration scientifique des sorties hors du corps : le cas Nicolas Fraisse

« Je suis malade au fond de mon lit, impossible de me rendre à l’anniversaire de mon ami… et pourtant, j’y suis… hors de mon corps… je vois tout, j’entends tout, je pénètre dans les pensées des personnes présentes… Le lendemain, j’appelle mon ami, qui me confirme tout ce que je lui décris… » Ce livre est né de la rencontre d’une scientifique et d’un psychothérapeute avec un jeune homme qui dit « sortir hors de son corps » depuis l’enfance. Rencontre qui va bouleverser la vie de ce dernier et l’emmener toujours plus loin à la découverte de ses capacités. Pendant dix ans, tous trois vont tâtonner, explorer, tester et sans cesse repousser les limites de Nicolas Fraisse, en s’appuyant tantôt sur les connaissances de Sylvie Dethiollaz, la scientifique, qui voit ses savoirs théoriques ébranlés, tantôt sur l’expérience de l’humain de Claude Charles Fourrier, le psychothérapeute, qui se réfère à son propre vécu. Un parcours passionnant, parsemé d’épisodes étonnants et d’anecdotes tout aussi étranges que déroutantes. Une aventure hors du commun, à la découverte des « sorties hors du corps », de la « vision à distance », de la « télépathie » et de bien d’autres phénomènes stupéfiants, qui les conduira à une ultime expérience dont les résultats défient toute rationalité. Une étude qui soulève des questions essentielles quant à la véritable nature de la conscience et de la réalité, et renvoie chacun au mystère de l’existence.

LIEN DU LIVRE

Documentaire sur les états modifiés de la conscience avec Sylvie Dethiollaz qui est un des auteurs du livre Voyage aux confins de la conscience

 

 

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Conscience et cerveau

Eveil Tv - conscience

Conscience et cerveau

Article de Vincent.S

Est-ce que le cerveau produit la conscience ou est-ce que la conscience utilise le cerveau ?

C’est pendant une expérience hors du corps que la réponse m’est apparue. Si je vois mon corps endormi au-dessous de moi, avec mon cerveau bien à sa place dans mon crâne et que je réfléchis, pense et perçois mieux les choses, de façon bien plus claire qu’à l’état de veille, ça ne peut pas être le fruit du cerveau.




Pour moi, la conscience précède le cerveau. Elle utilise le cerveau qui peut être perçu comme une interface entre l’immatérielle et la matière, entre la conscience et le corps. Plus qu’un corps, nous sommes un esprit qui utilise le corps le temps d’une vie.

Avec la physique quantique et les milliers de témoignages recueillis sur, entre autres, la survie de la conscience après la mort, il y a de plus en plus de recherches dans ce domaine qui tendent à démontrer que la conscience n’est pas issue du cerveau. Par exemple le cardiologue Pim Van Lommel a fait une étude sur des personnes ayant vécu des NDE (Expérience de mort imminente), voici l’une de ses interviews.

Tout récemment, une équipe scientifique anglaise a réalisé une étude sur plus de 2000 cas et a, selon elle, les preuves d’une vie après la vie.
En France le Docteur Charbonnier est convaincu de la survie de la conscience après la mort (Site et vidéos), en Suisse le centre ISSNOE (Institut Suisse des sciences noétiques (www.issnoe.ch Fondation reconnue d’utilité publique) s’intéresse aux états modifiés de conscience tout comme l’INREES en France. Il y a plusieurs Professeurs en médecine, docteurs qui, soudainement après avoir vécu une expérience ont changé radicalement de point de vue alors qu’ils avaient une approche exclusivement matérialiste, par exemple le neurochirurgien et ancien enseignant à Harvard Eben Alexander.

Ce cas n’est pas isolé, il y en a beaucoup, il suffit d’une expérience pour savoir et changer.

À chacun de se faire sa propre opinion en respectant celle des autres. Ce qui n’aide personne, c’est la pensée exclusive.

Souvenons-nous également qu’il y a quelques siècles à peine, la terre était plate et l’univers tournait autour. Ceux qui ne pensaient pas comme la pensée dominante étaient considérés comme des fous, des illuminés. À chaque grand changement, grandes découvertes qui peuvent bouleverser le mode de pensée dominant, nous pouvons nous rappeler de l’aphorisme d’Arthur Schopenhauer « Toute vérité passe par trois étapes. Tout d’abord, elle est ridiculisée. Deuxièmement, elle est violemment combattue. Puis finalement, elle est acceptée comme une évidence ».

Source de l’article https://sapprendre.ch

 




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Interview de Vincent
 

les différents types de médium

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 les différents types de médium Chaque médium a des capacités médiumniques différentes selon les personnes, une voir :
 

l’empathie: Elle consiste à ressentir facilement les émotions. Tout d’abord en provenance de personnes (tristesse, joie, colère) elles peuvent aussi provenir d’entités dans un contact très basique. Exemple: médium qui change d’humeur au contact des autres, sans que ce soit la sienne, qui se met à pleurer sans raison en présence de personnes tristes, ou qui rit alors qu’il est lui même triste au contact de personne joyeuse.




 

les sensitifs: L’extension (ou amélioration si vous préférez) des empathes, c’est un médium qui ressent une entité, son degré d’évolution (positive, négative, dynastie auquel elle appartient) mais aussi sensibles aux lieux, aux objets chargés, aux courants énergétiques. exemple: un médium qui entre dans une pièce et qui ressent une présence, ou bien qui ne supporte pas certains lieux qui le rendent malade sans explication. Une autre étape qui peut être issue de l’empathie, on est toujours dans la capacité de lecture énergétique et d’interprétation de celle-ci. Des objets, des lieux qui sont chargés d’énergies à cause d’évènements violents ou répétitifs et que le médium est capable de « voir ». Exemple: un médium sensible à ce type d’énergie qui aurait un morceau du mur de Berlin serait en mesure de voir les violences, l’histoire associée à cet objet.

 

clairaudience: La capacité qui consiste à entendre une entité parler. Elle débute généralement par des sensations d’appels au moment de l’endormissement, puis progresse généralement sur un plan mental, en entendant des voix dans sa tête, puis de façon réelle (qui est la clairaudience aboutie) Bien sur, il faut distinguer ce genre de « voix » avec celles provenant de troubles psychiatriques avérés. Exemple: des médiums qui vous disent: « ma grand mère me souffle que… » ou des médiums qui entendent des idées, des phrases qui ne proviennent pas d’eux. -> permet l’écriture intuitive.

 




clairvoyance: Elle permet de voir une entité. En gros, il y a un fantôme dans la pièce en face de moi! De divers degrés elle commence par entrapercevoir des ombres, discerner des formes et dans sa possibilité absolue voir une entité de façon « en chair et en os » face à soit. C’est probablement l’une des capacités les plus difficiles à supporter même pour un médium confirmé. Exemple: les châteaux hantés, où l’on voit passer l’entité à travers le mur lol.

 

Clair touché: Médium qui ressent les entités par le toucher, commence par l’effleurement et peut se manifester dans l’absolue par des brûlures, des marques physiques sur le corps. Exemple: un médium clair touché en entrant dans une pièce peut ressentir une entité parce qu’il a une sensation au niveau de la main, comme si on lui tenait.

 

Odorat astral: Capacité qui se manifeste par l’odorat, le médium sent des odeurs particulières qui sont le reflet d’un état de santé d’une personne, du niveau d’évolution d’une entité, ou bien du taux vibratoire d’un lieu. Bien sur ces odeurs ne peuvent être expliquées par des causes physiques. Exemple: odeur de tabac avec des entités du bas astral, on dit de plus que sentir la rose est un signe de la Vierge, je corrigerais en disant que c’est le signe d’un développement des corps subtils très particulier (une forme d’élévation)

 

A effets physiques: Médium peu courant, aux manifestations hors normes. Les capacités du médium, au travers de contact avec une entité, ou dans un surplus d’énergies qui se manifestent sur un plan physique. Ampoule qui explose, problème électrique la majorité du temps (problème de gestion de l’élément feu), souci avec de l’eau (eau qui apparait sans raison physique vérifiable), robinet qui saute (problème d’élément eau), courant d’air avec portes et fenêtres fermées sans aérations (problème d’élément air), verre qui explose sans contact (élément terre)…ces manifestations sont souvent rares, propre aux médiums les plus poussés (dans le sens capacité) car demande un haut niveau d’énergie naturelles chez la personne. C’est une capacité plutôt exceptionnelle, et rarement contrôlable (en tout cas je n’ai rencontré personne dans ce cas) et la maitrise passerait par la maitrise de chacun des éléments, donc lévitation, télépathie…des capacités hors norme donc.

 

Medium à incorporation: Médium qui prêtent leur corps, de façon volontaire (ou pas, mais là ça relève du cadre de la possession) à plus ou moins grande échelle à une ou des entités pour qu’elles puissent faire des actions: on relève donc: parler, écrire, agir, peindre… On relève par exemple des cas de xenoglossie: capacités à parler des langues inconnues du médium. Généralement, le médium se contente de l’écriture automatique (permettant un minimum de contrôle et donc de danger pour lui-même). De façon absolue, la capacité de se manifeste par la possession récurrente du médium (volontaire ou non). Il faut préciser que ces médiums, dans la branche absolue, sont un peu de véritables passoires (je m’excuse d’avance) quand ils ne contrôlent pas la capacité. Attention cette pratique reste dangereuse et nécessite des protections.

 

Les médiums guérisseurs: capacité rare, elle se manifeste par une aide au guérisseur (magnétiseur) pour guérir et soulager les personnes qu’il rencontre. Exemple: un médium qui décrit que quelque chose prend ses mains pour guérir (attention on parle aussi d’incorporation là)




les différents types de médium Chaque médium a des capacités médiumniques différentes selon les personnes, une voir :
 

L’empathie: Elle consiste à ressentir facilement les émotions. Tout d’abord en provenance de personnes (tristesse, joie, colère) elles peuvent aussi provenir d’entités dans un contact très basique. Exemple: médium qui change d’humeur au contact des autres, sans que ce soit la sienne, qui se met à pleurer sans raison en présence de personnes tristes, ou qui rit alors qu’il est lui même triste au contact de personne joyeuse.

Les sensitifs: L’extension (ou amélioration si vous préférez) des empathes, c’est un médium qui ressent une entité, son degré d’évolution (positive, négative, dynastie auquel elle appartient) mais aussi sensibles aux lieux, aux objets chargés, aux courants énergétiques. exemple: un médium qui entre dans une pièce et qui ressent une présence, ou bien qui ne supporte pas certains lieux qui le rendent malade sans explication. Une autre étape qui peut être issue de l’empathie, on est toujours dans la capacité de lecture énergétique et d’interprétation de celle-ci. Des objets, des lieux qui sont chargés d’énergies à cause d’évènements violents ou répétitifs et que le médium est capable de « voir ». Exemple: un médium sensible à ce type d’énergie qui aurait un morceau du mur de Berlin serait en mesure de voir les violences, l’histoire associée à cet objet.

 Clairaudience: La capacité qui consiste à entendre une entité parler. Elle débute généralement par des sensations d’appels au moment de l’endormissement, puis progresse généralement sur un plan mental, en entendant des voix dans sa tête, puis de façon réelle (qui est la clairaudience aboutie) Bien sur, il faut distinguer ce genre de « voix » avec celles provenant de troubles psychiatriques avérés. Exemple: des médiums qui vous disent: « ma grand mère me souffle que… » ou des médiums qui entendent des idées, des phrases qui ne proviennent pas d’eux. -> permet l’écriture intuitive.
 




Clairvoyance: Elle permet de voir une entité. En gros, il y a un fantôme dans la pièce en face de moi! De divers degrés elle commence par entrapercevoir des ombres, discerner des formes et dans sa possibilité absolue voir une entité de façon « en chair et en os » face à soit. C’est probablement l’une des capacités les plus difficiles à supporter même pour un médium confirmé. Exemple: les châteaux hantés, où l’on voit passer l’entité à travers le mur lol.

 

Clair touché: Médium qui ressent les entités par le toucher, commence par l’effleurement et peut se manifester dans l’absolue par des brûlures, des marques physiques sur le corps. Exemple: un médium clair touché en entrant dans une pièce peut ressentir une entité parce qu’il a une sensation au niveau de la main, comme si on lui tenait.

 

Odorat astral: Capacité qui se manifeste par l’odorat, le médium sent des odeurs particulières qui sont le reflet d’un état de santé d’une personne, du niveau d’évolution d’une entité, ou bien du taux vibratoire d’un lieu. Bien sur ces odeurs ne peuvent être expliquées par des causes physiques. Exemple: odeur de tabac avec des entités du bas astral, on dit de plus que sentir la rose est un signe de la Vierge, je corrigerais en disant que c’est le signe d’un développement des corps subtils très particulier (une forme d’élévation)

 

A effets physiques: Médium peu courant, aux manifestations hors normes. Les capacités du médium, au travers de contact avec une entité, ou dans un surplus d’énergies qui se manifestent sur un plan physique. Ampoule qui explose, problème électrique la majorité du temps (problème de gestion de l’élément feu), souci avec de l’eau (eau qui apparait sans raison physique vérifiable), robinet qui saute (problème d’élément eau), courant d’air avec portes et fenêtres fermées sans aérations (problème d’élément air), verre qui explose sans contact (élément terre)…ces manifestations sont souvent rares, propre aux médiums les plus poussés (dans le sens capacité) car demande un haut niveau d’énergie naturelles chez la personne. C’est une capacité plutôt exceptionnelle, et rarement contrôlable (en tout cas je n’ai rencontré personne dans ce cas) et la maitrise passerait par la maitrise de chacun des éléments, donc lévitation, télépathie…des capacités hors norme donc.

 

Medium à incorporation: Médium qui prêtent leur corps, de façon volontaire (ou pas, mais là ça relève du cadre de la possession) à plus ou moins grande échelle à une ou des entités pour qu’elles puissent faire des actions: on relève donc: parler, écrire, agir, peindre… On relève par exemple des cas de xenoglossie: capacités à parler des langues inconnues du médium. Généralement, le médium se contente de l’écriture automatique (permettant un minimum de contrôle et donc de danger pour lui-même). De façon absolue, la capacité de se manifeste par la possession récurrente du médium (volontaire ou non). Il faut préciser que ces médiums, dans la branche absolue, sont un peu de véritables passoires (je m’excuse d’avance) quand ils ne contrôlent pas la capacité. Attention cette pratique reste dangereuse et nécessite des protections.

 Les médiums guérisseurs: capacité rare, elle se manifeste par une aide au guérisseur (magnétiseur) pour guérir et soulager les personnes qu’il rencontre. Exemple: un médium qui décrit que quelque chose prend ses mains pour guérir (attention on parle aussi d’incorporation là)
 
Extrait du livre des médiums , un excellent livre de Allan Kardec, voici le lien si vous désirez lire ce livre

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Trop lucides pour être heureux ?

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Les surdoués ont de grandes difficultés à appréhender leur vie intérieure, leurs émotions par exemple, mais aussi le monde qui les entoure. Leur lucidité extraordinaire, qui leur permet une perception inhabituelle du monde, peut aussi les fragiliser. Extrait du livre « Trop intelligent pour être heureux ? » de Jeanne Siaud-Facchin.

La difficulté d’être un adulte surdoué peut s’aborder sous deux angles : celui, essentiel, de la lente construction de soi, de sa personnalité, de l’image que l’on a de nous-mêmes et qui détermine notre rapport au monde, aux autres. Mais aussi sous l’angle plus spécifique des particularités de fonctionnement des surdoués qui vont prendre un relief, une présence, singulières à l’âge adulte. Ces singularités, déjà présentes dans l’enfance, vont devenir des façons d’être au monde qui peuvent compliquer l’équilibre de vie. L’intrication, on le comprend, est étroite entre le parcours de l’enfant surdoué que l’on a été, et l’adulte que l’on devient.
On peut repérer dans les lignes qui suivent des modes de fonctionnement qui se retrouvent dans d’autres profils de personnalité. C’est vrai. Mais ce qui est spécifique au surdoué, comme toujours, est l’intensité de chacune de ces expressions de soi. Et la souffrance qui peut y être associée. La fréquence d’apparition de ces caractéristiques de personnalité permet d’identifier ce groupe, distinct parmi les autres, que composent les adultes surdoués. Ni tout à fait pareils ni complètement différents…



La lucidité étourdissante

Comment vivre avec cette lucidité qui inonde tout ce qui entoure. Qui scrute le moindre recoin. Qui repère le plus petit détail. Une lucidité qui pénètre au plus profond de l’autre. La lucidité du surdoué est d’autant plus puissante qu’elle s’alimente à une double source :
– l’intelligence aiguisée qui dissèque et analyse,
– l’hyperréceptivité émotionnelle qui absorbe la plus infime particule d’émotion ambiante.

Cette lucidité pénétrante ne laisse aucun répit. Et le surdoué ne peut débrancher ce rayon laser qui l’habite, qui fonctionne sans relâche. Il devient plus difficile de se sentir en sécurité, de faire confiance, de se laisser porter par la vie. La lucidité créé un véritable trouble, non identifié dans les manuels de psychologie, et pourtant proche du vertige, de la perte de conscience parfois. De la souffrance toujours. Tous les adultes surdoués expliquent combien il est douloureux d’être envahi par cette perception grossie du monde. Comme lorsque, petit, on regarde les fourmis évoluer dans la fourmilière aux parois grossissantes. La lucidité exacerbe et amplifie, mais surtout ne permet jamais de « ne pas voir ». Comme il est plus facile de vivre quand on ne repère pas les dysfonctionnements ambiants, que l’on ne se retrouve pas à penser, réfléchir, sur un problème anodin, que l’on ne se sent pas touché par une émotion à priori négligeable !
Une telle lucidité fragilise l’équilibre de vie. Interroge le sens de la vie. Inlassablement. Mais aussi entraine une remise en question permanente car rien n’est accepté sans condition. Avant de considérer une situation, une compétence, un savoir, une connaissance, comme valide et acceptable, le surdoué l’aura d’abord passé au crible de son analyse. (…)

La lucidité sur le monde donne une grande lucidité sur soi

 

Quand on fonctionne avec cette faculté acérée de repérer et disséquer inlassablement le monde, que l’on perçoit avec acuité les fragilités et les limites des autres, comment ne pas percevoir, d’abord, ses propres failles ? Voilà ce qui guette, à chaque pas, le surdoué : douter de lui, de ce qu’il est, de ses possibilités, de ses compétences, de ses qualités. Quand on est surdoué, on ne se sent jamais, mais alors jamais, supérieur aux autres. Bien au contraire. Et pourtant, cette idée du sentiment de supériorité que l’on éprouverait parce qu’on est surdoué hante tellement les esprits… de ceux qui ne le sont pas ! Ce qui est vrai, cependant, est que certains surdoués « gonflent leur égo ». Ils développent une personnalité qui apparaît suffisante, méprisante parfois. Ils donnent l’image de personnes qui se pensent tellement au dessus de la masse. Mais ne nous y trompons pas ! Comme la grenouille de la fable de La Fontaine qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf, le surdoué qui semble prétentieux est le plus vulnérable parmi tous. Sa suffisance tente de masquer son sentiment d’impuissance, de profonde fragilité. Celui-là a peur. Il est terrifié par l’idée d’être rejeté. S’il adopte ce type de comportement, c’est qu’il ne va pas bien. Qu’il souffre. La lucidité sur le monde et sur soi ouvre les portes d’une compréhension percutante et acérée. La puissance de cette lucidité peut être douloureuse mais elle est aussi la source d’une vision des choses que l’on pourrait finalement qualifier d’extralucide. Source : http://www.inrees.com LIVRE SUR LES SOCIETES SECRETE QUI DIRIGENT LE MONDE ET NOUS MANIPULE

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