S’aimer soi-même : le début d’une histoire d’amour éternelle

Eveil Tv - Développement personnel

par Camille Legrand

Le point de départ de l’aventure de notre vie, c’est un amour inconditionnel pour soi-même. En effet, tout au long de notre vie, nous n’aurons d’autre choix que de cohabiter avec nous-même. S’aimer soi-même est primordial.

Pour s’accepter tel que l’on est, avec nos erreurs et nos réussites, nos lumières et nos ombres, on doit s’aimer nous-même.




Bien sûr, s’aimer soi-même n’est pas facile, d’autant plus lorsque l’on prend conscience de toutes les exigences et autres ordres auxquels on doit se plier pour être reconnu socialement. On doit lutter pour que les autres nous admirent, et pour parvenir à se sentir en connexion.

Avec le temps, on se rend compte à quel point le fait de dépendre de la reconnaissance des autres nous rend malheureux et fait naître en nous un sentiment d’insatisfaction que l’on ne sait pas comment gérer, puisque notre monde tourne en fonction des autres et du regard qu’ils portent sur nous.

Il n’est pas facile de comprendre que notre valeur personnelle va au-delà de la reconnaissance, au-delà de notre façon de faire les choses, de notre capacité à atteindre ou non les objectifs qu’on s’était fixés.

C’est en nous-même que réside notre valeur, et notre capacité à nous montrer tel que nous sommes.

Je suis digne d’amour

Nous sommes tous dignes d’amour. Souvent, on essaie de trouver l’amour autour de nous, puisqu’on nous a toujours dit que l’amour, ça se gagne.

Notre être est imprégné d’amour, même si on ne vit pas toujours en harmonie avec nous-même, ce qui a de graves conséquences.

Dans de telles conditions, il est plus difficile pour nous de prêter attention à nos besoins primaires, tels que l’expression des émotions que l’on a socialisées ou bien réprimées.

On s’inquiète pour tout et on est distrait par des choses banales qui ne nous enrichissent pas et qui n’apportent rien d’important à notre vie.




On souffre à cause de nos expectatives, de notre désir insatiable et de notre incapacité à prendre des décisions, à cause de toutes les craintes que l’on nous a inculquées.

– Qu’est-ce que l’amour ? demanda le disciple.

– L’absence totale de peur, répondit le maître.

– Et de quoi a-t-on peur ? demanda de nouveau le disciple.

– De l’amour, rétorque le maître.

-Anthony de Mello-

S’aimer soi pour pouvoir aimer les autres

Si on veut aimer vraiment et sincèrement, la première étape consiste à s’aimer soi-même, à se sentir digne d’amour, et ce sans nous juger nous-même, afin de pouvoir nous comprendre et nous respecter.

Cela passe donc par la validation de nos sentiments, de nos ressentis, et de nos besoins en fonction des circonstances. On doit prendre soin de nous-même.

Souvent, on se retrouve déconnecté de soi-même, on ne prend pas soin de soi, et on ne veut pas ouvrir les yeux sur toutes ces choses qui nous manquent.

Par conséquent, toute notre énergie va passer dans l’attention que l’on porte aux autres. On va leur offrir la compréhension et l’attention que l’on n’est pas disposé à nous donner nous-même.

Ainsi, notre amour propre s’estompe, et on remplit le vide qui se creuse en nous, en nous consacrant aux autres.

Il est indispensable de s’aimer soi-même si on veut aimer les autres, mais aussi si on veut être en mesure de recevoir l’amour d’une autre personne, et ainsi avoir confiance en l’amour que cette dernière peut nous offrir.




Si on n’apprend pas à se sentir digne d’être aimé et si on ne commence pas par s’aimer soi-même, il nous sera alors bien difficile d’être réceptif à toute la beauté que les autres peuvent apporter à notre vie.

«Je n’ai pu aider les autres qu’à partir du moment où je me suis trouvé moi-même. Si je veux les aider, je dois totalement me comprendre et surtout, me porter un Amour Infini.» -Krishnamurti-

Oui, ces mots sont pour vous, vous qui avez tout l’amour du monde à portée de main

On vous a appris que l’amour se gagne, que l’amour est toute une série de conditions, et que l’on doit faire un effort non négligeable afin de parvenir à se sentir digne d’être aimé.

Voilà pourquoi vous avez tendance à vous méfier de toute la beauté que les autres vous offrent, voilà pourquoi parfois, vous vous sentez seul.

Tout simplement parce que vous ne vous êtes pas vu, vous n’avez pas reconnu votre propre essence, vous n’avez pas capté la lumière qui irradie de votre sourire et de votre regard.

Vous êtes une personne merveilleuse digne d’être éternellement aimée, digne de gratitude, de sourires, de joie, d’harmonie et de bien-être…ainsi que de toute la beauté qui vous entoure.

Mais, surtout, digne de vous-même, de tout l’amour que vous abritez en votre for intérieur.

http://nospensees.com

 

La découverte de Soi

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par Patrice Bailly

La plupart d’entre nous, de part notre éducation, des concepts extérieurs, avons perdu confiance en la vie, en ce que nous sommes, notre intuition profonde, et n’arrivons plus à poser un regard simple sur ce qui est ici et maintenant, dans la paix et la joie du coeur.

L’éducation nous a amené petit à petit à commenter, à analyser, à nommer, à comprendre, à savoir et à devoir à tel point que notre présence, notre « être avec », notre « voir » avec le cœur, tout cela a disparu pour un monde de bruits, de conflits, de discussions, de vrai, de faux, de bien de mal, de j’aime, j’aime pas, de mieux et de moins bien, de définition, un monde mental et illusoire.

Nous ne voyons plus la vie et sa beauté telle qu’elle se présente à nous, nous ne voyons plus la beauté de nos semblables, nous ne voyons plus la grâce et ces petites choses de chaque instant, nous n’avons plus accès en notre cœur à cette plénitude, nous ne dansons et ne chantons plus beaucoup la mélodie de la vie, la liberté qu’est le vivant.

Nous vivons à travers des histoires, avec distance, des illusions, nous posons des filtres qui nous donnent l’impression d’un moi, d’un je séparé, un moi qui possède sa vie et son histoire.

Ainsi nous nous comparons et nous défendons afin de ne pas perdre pied dans cette illusion d’existence vide au delà des mots, au delà du rêve.

Nous nous cramponnons au vide, de peur de tomber et de rencontrer la mort, nous sommes dans l’ignorance, celle qui apporte souffrance, peur, angoisse, attachements au corps, aux pensées, aux émotions, au matériel.

Cette connexion avec l’intérieur, que j’évite presque de nommer aujourd’hui « spiritualité », « éveil », « moment présent », tellement ces mots n’ont plus de sens tellement le mental en a fait une mode de nos jours, cette connexion qui n’est au fond que notre véritable nature nous est pratiquement inconnue, nous sommes endormis au travers de concepts, nous nous sommes extériorisé de nous.

Pourtant, devant toute cette souffrance, de plus en plus d’êtres humains ressentent le besoin de renouer avec leur âme, leur cœur, de retrouver une réelle liberté de vivre.

Nous savons tout au fond de nous, que si nous souffrons c’est justement parce que nous nous sommes éloignés de nous et avons laissé faire les choses et nous voulons retrouver cette paix intérieure, cette détente, cette présence, ce vivant.

Il est effectivement temps de quitter cette illusion, de la voir, de s’en libérer et ainsi de revenir à notre véritable nature et de vivre dans un monde qui nous ressemble.

De retrouver l’amour, l’absence de distance, de mots, pour des sentiments purs, pour des actions de cœur et d ‘unité. Ensemble et non contre. Il est temps de laisser apparaître et de ne plus paraître.

Depuis trop longtemps nous avons cultivé un amour qui plutôt que d’aimer, écarte, éloigne, attaque, combat, élimine, demande, manipule, suspecte, ment, trompe, attache, souffre …

Depuis trop longtemps ce moi qui n’a pensé qu’à lui même a tout fait pour jouir du maximum à travers les autres, les biens, et le voilà aujourd’hui à bénéficier de beaucoup et de jamais ne s’être senti aussi vide, aussi loin des autres, aussi mal d’être.

Nous ressentons pour un grand nombre aujourd’hui qu’il est temps de faire ce chemin vers la joie, et de partager au sens véritable du terme, c’est à dire de retrouver l’unité de l’être parce que libéré de l’individu.

Etre cet « ensemble » sans effort, dans la plus grande simplicité, sans isolement.

Il est temps d’être cet amour inconditionnel, cette vie, cette créativité immédiate, cette joie de l’instant, cette présence qui à travers l’autre ne nous fait que découvrir encore plus ce que nous sommes nous même.

Il est temps de mette fin à cette illusion par la pratique de surveillance de cette folie qu’est l’autre en moi, cet invisible qui m’écarte de la liberté et m’emprisonne dans un monde hors du monde.

Il est temps d’être unique dans l’un, de choisir la paix en soi et ainsi de vivre un monde qui nous ressemble, il est temps d’abandonner ce chemin vers nul part pour ici, pour la Joie, temps de nous découvrir.

Patrice Bailly

http://www.vibrer-l-ici-et-maintenant.com/

Le présent guérisseur

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par Frank Hatem

Le monde conscient de l’espace-temps, lorsqu’il n’est pas reconnu comme le moyen du Vrai éternellement inconscient, est source de mal-être.

On s’imagine souvent que l’inconscient est là pour permettre le conscient, seul réel, c’est exactement l’inverse.

Le Réel vrai est inconcient, notre conscient est l’illusion qui le permet.

Le mal-être habituel et toutes les formes qu’il prend est issu de cette méconnaissance de soi. Cela amène à avoir des attitudes contraires à notre nature, et on en subit évidemment les conséquences. La volonté psychologique d’échapper à l’évidence absolue est très facile à expliquer. Ce dont il faut guérir justement (car on y est tous soumis), c’est justement de cette peur du Vrai qui nous entraîne dans des concepts absurdes de temps absolu, d’espace absolu, de matière absolue, indépendants de soi, illusions du conscient.

Il est tout à fait normal d’avoir peur du Vrai puisque le conscient est régi par le mental. Et que le mental est fait pour donner sa consistance à l’illusion, et défendre nos limites par rapport à la croyance en un ressenti « extérieur » qui en fait n’est que sensations intérieures (les physiciens parlent de « donné extérieur » mais ce n’est pas un « donné extérieur ». Il n’est pas extérieur bien sûr puisqu’il est une forme de notre conscience, et il n’est pas un « donné », puisqu’il est créé et recréé inconsciemment à chaque instant. Penser qu’il est « donné » suppose un « donneur », autrement dit « Dieu ». Tous les physiciens en sont là, qu’ils le reconnaissent ou non).

Se reconnaître la source de toute chose (en tant qu’être, pas en tant que personne évidemment – mais je suis l’Etre et non une personne) c’est reconnaître sa solitude et son infinité potentielle. Insupportable pour le mental bien sûr, d’où une profusion de maladies mentales chez tous ceux qui ont quelque vision ou interrogation métaphysique. Ainsi les bons matérialistes qui ne remettent rien en cause ont-ils plus de facilité à être équilibrés et à tenir le haut du pavé social.

Il n’en reste pas moins que ce vernis cache mal leurs profondes interrogations et angoisses métaphysiques soigneusement rejetées. Et que ce n’est pas en se soumettant à cette peur qu’on réalise le Grand Projet humain, mais en la dépassant. Et pour la dépasser, il faut d’abord que l’ego soit fort. Très fort. Solidement enraciné mais pas dans l’apparence de la dualité. Dans la perception de l’unité qui transcende toutes les dualités. Ce n’est évidemment pas facile. Il n’y a pas de recette. Tout le monde cherche cela avec ses moyens. Il faut simplement faire confiance que ce n’est pas une impasse ni une source de folie. Il est possible d’aboutir à cette compréhension du processus d’illusion universelle, en ne se laissant pas dominer par la peur, et pour cela en méditant toujours sur le Vrai, sur l’infini et ses implications, sur le Présent et le fait qu’il contient tout. Passé comme avenir.



On peut tout à fait trouver le courage de plonger dans l’eau en s’habituant mentalement à l’idée que l’on nage sous l’eau avec aisance. Il faut suivre ce modèle avec les peurs métaphysiques.

Gérer l’esprit en tant que cause (secondaire), cela est l’exercice que tout un chacun devrait s’habituer à pratiquer, car il est cause. Au lieu de persister dans l’illusion que l’on dépend du monde, que nos décisions sont liées aux circonstances, qu’on est dans le monde, qu’on est arrivé alors que le monde était déjà là et qu’il sera encore là quand on aura disparu, il est bon de se regarder créer le monde. Ainsi on se rapproche de son inconscient et on se libère de son conscient.

Toutes ces illusions sont vraies du corps, de l’ego, mais pas de l’esprit. Le corps est dans l’univers, dans l’espace-temps, il dépend largement des autres et du monde, MAIS JE NE SUIS PAS CE CORPS. De même en tant qu’ego je serais le produit de mon entourage et de mon passé. Mais je ne suis pas cet ego.

Ceux qui font de grandes choses sont ainsi spectateurs de leur personnalité au lieu de la revendiquer. Gandhi disait « si vous me torturez, vous posséderez mon corps. Mais vous n’aurez pas mon âme ».

Ce que je suis contient ce corps, et contient tout cet univers, y compris ses passés et ses avenirs ; ce que je suis c’est L’ESPRIT. Et à l’intérieur de cet esprit, de ma conscience en particulier, circulent, bougent, se meuvent, naissent et meurent tous les univers.

Vous mesurez la peur que cela peut susciter. La solitude immense que cela met en évidence. Ce n’est pas le moment de défaillir, de sombrer dans le désespoir ou de prendre la fuite. C’est le moment de ce dire : « chouette, on va visiter cette nouvelle façon de voir, il n’y a rien à craindre de toute façon puisque je suis la conscience, et on m’a déjà prouvé de façon certaine que cette conscience est éternelle. Et donc tout va bien en toute circonstance. C’est un voyage. Je ne peux rien perdre, je ne peux que gagner plus d’infinité, plus de moi-même, plus d’autonomie, de puissance créatrice et d’amour. De toute façon je ne sombrerai jamais dans le néant puisqu’il est impossible… sans la conscience. Le vrai Moi ».

Le seul renoncement est le renoncement à l’attachement. L’attachement aux habitudes de penser et de croire, attachement à l’ego, à ses mémoires, à ce et ceux qui entourent notre corps etc. Pas pour les faire disparaître, mais pour en prendre congé en tant que facteurs de dépendance. Désormais ce sont des parties de moi que j’aime infiniment plus.

Aimer c’est être présent. Comme pour la musique. C’est être l’Eternel. Lui seul aime, et ma douleur c’est de croire que je suis l’ego temporel, car il est incapable de vraiment aimer.

J’entends de ci de là certains qui se raccrochent au temps en pensant : « le temps existe bien puisque les instants présents se succèdent ».

Pas du tout. Les instants ne se succèdent pas, ils sont tous contenus dans un seul instant nul, unique et éternel (éternel cela veut dire indépendant du temps), et de façon FRACTALE (on ne peut donc pas dire où finit un instant et où commence l’autre). C’est-à-dire que dans mon présent sont inclus une infinité potentielle d’autres présents, ceux de mes cellules, de mes atomes etc., de chacun d’entre nous, autant que ceux du Soleil et des étoiles. De même que ce n’est pas de l’espace qui sépare deux individus mais du temps, de même deux instants ne sont pas séparés dans le temps mais l’un est contenu dans l’autre. Tout notre être et tout l’univers n’est qu’à l’image de « cercles » concentriques en spirale, la conscience passant de l’un à l’autre, créant à la fois l’illusion des individus et des époques, tout cela étant vécu par un seul Etre : le seul Soi.

Tout instant est présent mais il n’y en a qu’un et on en vit tous les changements puisque son infinité est impossible (revenez toujours à la vérité fondamentale). Il y a donc une infinité virtuelle de ressentis d’instants tous différents en contenu, et lorsque je crois circuler dans le temps entre un instant et un autre, en fait je ne fais qu’échapper à une illusion sans durée au profit d’une autre illusion sans durée, tout cela étant manipulé par la Nécessité de cet impossible infini, me donnant cette impression d’évoluer et de durer au lieu de n’être que présent. Ne vous étonnez pas que ce soit difficile à raconter avec des mots mentaux. J’espère parvenir à vous faire ressentir un peu de quoi il s’agit.



SI J’ETAIS TOTALEMENT ET UNIQUEMENT UNI A L’INSTANT PRESENT, JE SERAIS CONSCIEMMENT INFINI, et cela est absolument impossible. Il s’ensuit que je crois au temps, succession d’états de conscience, de non-infinités… jusqu’à l’infini.

Comme chaque nombre est un passage obligé vers le nombre infini qui n’existe pas.

Le Présent qui est la seule réalité, c’est comme le Néant qui est la première Nécessité : il n’est jamais vécu vraiment mais il est pourtant le potentiel absolu, le Vrai, qui implique toutes les illusions.

L’instant présent est nul en durée, infini en espace. Comme la conscience qu’il est. Qu’on parvienne à annuler aussi l’espace (c’est le but de l’amour) et alors l’Absolu néant est. Mais il n’est jamais. L’amour est éternel.

Toutes nos activités humaines importantes ont pour but de s’unir davantage à l’instant présent, et en même temps à la solitude totale de l’Etre : l’amour en premier lieu, bien sûr, qui cherche à intégrer l’autre en soi, en le reconnaissant, en le touchant, en le mangeant éventuellement, mais aussi bien sûr la méditation, qui cherche à supprimer la pensée au profit du ressenti immédiat, mais encore des choses bien plus matérielles : le sport, la cuisine, l’art, la danse, la politique, la guerre etc. Allez donc faire un match de foot en pensant à autre chose, à vos vacances ou à votre dispute du matin avec votre femme… vous verrez le résultat pour votre équipe. Allez donc faire la cuisine en téléphonant ou en regardant la télé… allez donc tenter de créer une chanson, une peinture, ou planter un clou bien droit sur votre charpente en n’étant pas entièrement présent à ce que vous faites… Allez donc faire un câlin à votre enfant en pensant aux impôts, il s’en apercevra tout de suite. Toute notre vie est une invitation à être davantage présent parce que c’est là que se situe le But nul et infini. Un homme politique qui calcule, qui pense à sa popularité, aux élections ou à son lobby préféré est un imposteur qui mène sa nation au désastre. S’il est présent, c’est-à-dire s’il est en phase avec son peuple, relié autant aux besoins communs de chaque instant qu’à la Terre et au Ciel, alors il sera un homme politique inspiré et magique qui marquera l’histoire. De même qu’un chef de guerre, invulnérable parce qu’il est plus dans l’unité avec la situation globale que l’adversaire qui lui, calcule et pense, se coupant du présent et attendant un RESULTAT à la place de s’identifier à un BUT.

Vous voyez la différence ? J’incarne le But, je suis présent. Je suis ce but. C’est comme si il était déjà réalisé. Si j’attends un résultat, je suis l’ego qui veut posséder quelque chose, et donc je me coupe de la magie de l’univers qu’est cette Source-but unique. Mais les moyens sont libres. Les moyens sont guidés par le but, je n’ai pas à y penser. On traverse le pont d’Arcole avec audace sans compter combien il y a de fusils en face. Celui qui calcule au contraire, cherche des moyens en fonction d’un résultat, et si le résultat est là il est content, si le résultat n’est pas là il est mécontent. Il n’est pas détaché. Il est cuit. Entre deux adversaires aussi calculateurs l’un que l’autre, ce qui est généralement le cas, évidemment un jour l’un gagnera, un jour ce sera l’autre. Mais il n’y aura jamais la paix. Par contre face à celui qui est présent, il n’y a plus d’adversaire. Son charisme emporte l’adhésion. Et si ce n’est le cas, il marquera l’histoire à jamais. Les autres, on les aura oubliés.

Si Gandhi avait poursuivi un résultat, il n’aurait rien fait. Il n’a été qu’un BUT : incarner et vivre la justice là où il est, quel qu’en soit le prix.

Si je suis le présent, je suis créateur. Ma vie devient un libre choix, car les moyens sont créés par mon choix de même que la limaille de fer de l’univers s’organise lorsqu’on place un aimant au milieu. « La décision crée la magie » comme disait Goethe.

L’Etre est un but. Ce but est la cause. Cette cause est présente.

Mais reconnaître que je suis libre créateur suppose que je reconnaisse que je suis aussi le libre créateur de tout le passé supposé auquel je me suis identifié, de mes conditionnements, des attaques, des joies et des réussites. Rien ne s’est fait autrement que par moi. Si je le reconnais et m’en réjouis, je suis libre.

Mes mémoires sont dans le présent, et c’est dans le présent que je les crée et leur donne ou pas leur pouvoir sur ma vie. Si je leur donne du pouvoir, c’est afin d’échapper à ma transformation. Si je les chasse comme ma création devenue inutile, je m’en libère, et avec moi vient l’énergie créatrice. JE SUIS LA CAUSE, et personne d’autre, jamais, ne possédera mon âme. Et niant l’évidence vraie, en voulant croire que mes parents, l’éducation, les gens qui m’ont violé(e) quand j’étais petit(e), ou le Président de la République, sont responsables de ce que je suis aujourd’hui, de mes réactions, je trouve des tas d’excuses pour ne pas changer, pour continuer à souffrir tel que j’ai l’habitude de souffrir.

C’est pourquoi guérir c’est comprendre.

http://www.hatem.com/ETL%27UNIVERSFUT.htm
Vu sur http://www.arcturius.org/

Les 4 étapes de notre vie selon Carl Gustav Jung

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« Sans plus de préparation, nous parvenons à l’étape de l’après-midi de la vie. Pire encore, nous franchissons cette étape avec la fausse croyance que nos vérités et idéaux nous serviront comme ils l’ont fait jusqu’à présent. Mais il est impossible de vivre l’après-midi de la vie selon le programme du matin de la vie, car ce qui était grand le matin sera petit le soir et ce qui était vrai le matin, sera devenu un mensonge le soir« . Carl Gustav Jung




Selon le psychologue suisse Carl Gustav Jung, il existe 4 archétypes, quatre étapes que nous traversons pendant notre vie et ces étapes sont :

  1. L’étape de l’athlète (le sauvage)

À cette étape, nous nous préoccupons surtout de notre apparence, de ce à quoi ressemble notre corps. Durant cette étape, nous pourrions rester des heures à regarder et admirer notre reflet dans le miroir. Notre corps, notre apparence sont les choses les plus importantes à nos yeux, rien d’autre ne compte.

  1. L’étape du guerrier (l’aventurier)

Pendant cette période, notre principal souci est de partir à la conquête du monde, de faire de notre mieux, d’être le meilleur et de parvenir à l’excellence, de faire ce que font les guerriers et d’agir comme agissent les guerriers. C’est une étape pendant laquelle nous pensons continuellement aux moyens d’avoir plus que tout le monde, une étape de comparaison, de vaincre ceux autour de nous afin de nous sentir meilleurs parce que nous avons réalisé davantage, parce que nous sommes des guerriers, des braves.

  1. L’étape de la communication (l’enseignant)

À cette époque, à ce stade de votre vie, vous réalisez que ce qui a été fait jusqu’ici ne suffit pas à vous contenter, à vous rendre heureux… vous cherchez maintenant les moyens de faire une différence dans le monde, les moyens de servir ceux qui vous entourent. Votre préoccupation est de commencer à donner. Vous réalisez maintenant que dorénavant votre poursuite de l’argent, du pouvoir, des possessions, etc. continueront d’apparaitre dans votre vie, mais vous ne leur attribuez plus la même valeur qu’auparavant, vous n’êtes plus attaché à ces choses, parce que vous êtes maintenant dans une étape différente de votre vie, où vous savez qu’il existe autre chose. Vous les recevez, vous les acceptez et vous en êtes reconnaissant, mais vous êtes prêt à vous en détacher n’importe quand. Vous cherchez des moyens pour arrêter de penser à vous, à la manière de recevoir et à commencer à vous concentrer sur une vie de service. Tout ce qui vous importe à ce stade est le don. Vous savez maintenant que donner c’est recevoir et que c’est le moment de stopper l’égoïsme et de penser aux façons d’aider ceux dans le besoin, de quitter ce monde en étant meilleur que lorsque vous y êtes entré.

  1. L’étape spirituelle (le sage)

Selon Jung, ce sera la dernière étape de votre vie, une étape où nous réalisons qu’aucune de ces trois étapes ne représente réellement qui nous sommes et ce que nous sommes. Nous comprenons que nous sommes plus que notre corps, plus que nos possessions, plus que nos amis, notre pays et ainsi de suite. Nous en venons à réaliser que nous sommes des êtres divins, des êtres spirituels ayant une expérience humaine et non pas des humains ayant une expérience spirituelle.

Nous savons maintenant que ce n’est pas notre foyer et que nous ne sommes pas ce que nous pensons être. Nous sommes dans ce monde mais pas de ce monde. Nous pouvons désormais nous observer à partir d’une autre perspective. Nous pouvons renoncer à notre propre esprit, à notre corps et saisir qui nous sommes vraiment, voir les choses telles qu’elles sont. Nous devenons l’observateur de notre vie. Nous réalisons que nous ne sommes pas celui que nous remarquons mais l’observateur de ce que nous remarquons.

Il y a 2500 ans, Lao Tseu tentait de nous enseigner la manière de comprendre cette dernière étape de vie, cette étape spirituelle : « Pouvez-vous faire machine arrière en pensée et ainsi saisir toutes choses ? Donner la vie et la nourrir, avoir sans posséder, agir sans attentes, diriger sans essayer de contrôler : voici la vertu suprême ».

par Hélios

source

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Une étude suggère l’existence d’un nouvel état ​​de conscience qui n’est ni la conscience ni l’inconscience

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 Avec des anesthésiques correctement données , très peu de patients se réveillent pendant la chirurgie. Cependant, de nouveaux résultats indiquent la possibilité d’un état de conscience dans lequel un patient n’est ni pleinement conscient ni inconscient , disent les experts.

Cette éventuelle troisième état ​​de conscience , peut-être un état dans lequel les patients peuvent répondre à une injontion, mais ne sont pas perturbés par la douleur ou la chirurgie , selon le Dr Jaideep Pandit , anesthésiste à l’université de St John en Angleterre , qui a discuté de cette hypothèse le 19 Septembre 2015  lors d’une réunion des anesthésistes à Dublin .

Pandit a nommé cet état dysanaesthesia , en se basant sur une étude récente , dans laquelle 34 patients chirurgicaux ont été anesthésiés , et avaient tout leur corps paralysé à l’exception de l’avant-bras , ce qui leur permet de passer ses doigts en réponse à des commandes ou pour signifier s’ils sont éveillés ou avaient mal pendant la chirurgie.

Un tiers des patients de l’étude ont déplacé leur doigt si elles ont été invités à , même si elles étaient sous ce qui semblait être une anesthésie adéquate , selon l’étude dirigée par le Dr Ian F. Russell , de Hull Royal Infirmary en Angleterre , et publiée septembre 12 dans la revue anesthésie .

http://redicecreations.com/article.php?id=28238

Vu sur http://www.neotrouve.com

Maladie = « le mal qui a dit » ! Le lien entre nos émotions et maladies

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Maladie = « le mal qui a dit » ! Le lien entre nos émotions et maladies




Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage. C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel »  trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?

Dans son œuvre,  Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle), Vabghata  évoque six stades du développement d’une maladie :

 

Red tulips1. Psychique : le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur

2. Énergétique : le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).

3. Neuroendocrinien : le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;

4. Endotoxique : le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;

5. Visible symptomatique : l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;

6. Terminal : la destruction de l’organe malade.

Il n’est pas difficile de déduire auxquels des ces six stades la médecine occidentale intervient dans la plupart des cas. 

On voit ici que les symptômes qui apparaissent au niveau du corps sont les derniers cris du système pour se faire apercevoir. Et en réponse à ce crie le plus souvent on essaye de faire taire le corps au lieu de lui être gratifiant.

Dictionnaire des maladies 

Il existe aujourd’hui tout un ouvrage composé par Jacques Martel “Le grand dictionnaire des malaises et des maladies” qui permet de comprendre nos états intérieurs en faisant des observations extérieures. Ce livre est une sorte de guide pour comprendre ce qui se joue et de faire remonter en surface les choses que nous pourrions avoir tendance à refouler, ou à ne pas vouloir apercevoir. Toutes les émotions que nous refoulons à l’intérieur de nous-même parce que nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties du corps ou se manifester à travers tel ou tel problème corporel.

   La panique peut provoquer des diarrhées.

 La colère retenue ou la rancune : une crise de foie.

 La difficulté à trouver ou à prendre sa place peut provoquer des infections urinaires à répétition.

 Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne s’écoute pas : des otites, douleurs d’oreilles.

 Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on a ravalé : des angines, des maux de gorge.

 Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre : des problèmes de genoux.




 Peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent : des douleurs lombaires.

 Intransigeance, rigidité : des douleurs cervicales et nuque raide.

 Conflit avec l’autorité : des douleurs d’épaules.

 Quand on prends trop de choses sur soi : également douleurs d’épaules avec une sensation d’un fardeau.

 Affronter une situation ou une personne sans se permettre de s’exprimer : des douleurs dentaires, aphtes, abcès.

L’incapacité d’avancer : des douleurs dans les pieds, les chevilles.

  La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées ! Illustration tirée du livre de R.Fiammetti : les cartes du langage émotionnel du corps avec un “décodage de notre dos”.

  Fiammetti corps mal a dit yoga&vedas

 

Quelques extraits du livre de Jacques Martel 

 Foie 

Le foie représente les choix,  la colère, les changements et l’adaptation. On peut souffrir du foie quand on ne parvient pas à s’adapter à des changements, professionnels ou familiaux.

Difficultés d’ajustement à une situation.

Sentiment de manque continuel ou peur de manquer.

Colère refoulée.

Personnes sujettes aux maladies du foie : les personnes qui critiquent et qui jugent beaucoup (elles-mêmes et les autres) et/ou qui se plaignent souvent.

 Vésicule biliaire 

La vésicule biliaire est en rapport avec l’extérieur, la vie sociale, la lutte, les obstacles, le courage. Se battre. Esprit de conquête.




Se faire de la bile, s’inquiéter, s’angoisser.

Sentiment d’injustice. Colère, rancune.

Se sentir envahi, empiété sur son territoire par une personne autoritaire.

Agressivité rentrée et ruminante, mécontentement retenu.

Se retenir de passer à l’action. Difficultés à faire un choix, de peur de se tromper.

 Glande thyroïde 

Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu’on aurait voulu.

Sentiment d’être trop lent par rapport à ce qu’on attend de nous.

Impuissance, sentiment d’être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une impasse. Être bloqué dans la parole ou dans l’action, être empêché d’agir.

Pas le droit de parler, de s’exprimer. Ne pas se sentir écouté. Difficultés à s’affirmer.

Une déception ou une injustice n’a pas été « avalée » et est restée en travers de la gorge.

 Hernies 

De la détresse implose à l’intérieur et demande à être libérée.

Désir de rompre ou de quitter une situation où on se sent coincé, mais où l’on reste par peur de manquer de quelque chose, généralement du matériel.

Auto-punition parce qu’on s’en veut, incapacité à réaliser certaines choses qu’on voudrait.

Frustration de travailler dur, se sentir poussé à aller trop loin, ou essayer d’atteindre son but d’une manière excessive, qui en demande trop. Une poussée mentale (de stress) essaie de sortir.

Mais en plus, le lieu où siège l’hernie indique son message émotionnel de manière plus précise et complémentaire : 

 Hernie inguinale (dans l’aine) : difficulté à exprimer sa créativité, secret que l’on renferme et qui nous fait souffrir. Désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu’on est obligé de côtoyer. On aimerait sortir, s’extirper de cette situation.

 Hernie ombilicale : nostalgie du ventre de la mère où tout était facile et où se sentait totalement en sécurité. Refus de la vie.

 Hernie discale : conflit intérieur, trop de responsabilité, sentiment de dévalorisation, ne pas se sentir à la hauteur de ce qu’on attend de nous, projets et idées non reconnus. La colonne vertébrale représente le soutien. Besoin d’être appuyé, soutenu, mais difficulté ou impossibilité de demander de l’aide.

 Hernie hiatale : se sentir bloqué dans l’expression de ses sentiments, de son ressenti.

Refouler ses émotions. Tout vouloir diriger, ne pas se laisser porter par la vie mais la contrôler.

 Genoux 




Douleurs aux genoux, genoux qui flanchent, genoux qui craquent, douleurs aux ménisques : refus de plier, de se « mettre à genoux » (de se soumettre) de céder, fierté, ego, caractère inflexible ou au contraire, on subit sans rien oser dire, on s’obstine, mais nos genoux nous disent que nous ne sommes pas d’accord avec cette situation.

Difficultés à accepter les remarques ou les critiques des autres.

Problèmes avec l’autorité, la hiérarchie, problèmes d’ego, d’orgueil.

Devoir s’incliner pour avoir la paix.

Ambition réfrénée ou contrariée par une cause extérieure,

Entêtement, humiliation.

Culpabilité d’avoir raison.

Colère d’être trop influençable

Cet exercice peut vous protéger pendant une heure maximum il y en a d’autres comme le cocon doré qui est bien plus puissant comme protection je vous expliquerai tout ceci dans un autre article

 Peau

Les maladies de peau ont très souvent, à l’origine, un conflit de séparation mal géré, une séparation mal vécue, soit par la mère, soit par l’enfant, ou la peur de rester seul et un manque de communication. Séparation aussi envers soi-même : dévalorisation de soi vis-à-vis de l’entourage. Porter trop d’attention à ce que les autres peuvent penser de nous.

 Eczéma

Anxiété, peur de l’avenir, difficultés à s’exprimer.

Impatience et énervement de ne pas pouvoir résoudre une contrariété.

Séparation, deuil, contact rompu avec un être cher.

Chez les enfants, l’eczéma peut résulter d’un sevrage trop rapide ou d’une difficulté de la mère à accepter que son enfant ne soit plus « en elle ». Sevrage de l’allaitement ou reprise du travail de la maman et culpabilité non exprimée, mais que l’enfant ressent et somatise ainsi. Querelles ou tensions dans la famille, que l’enfant ressent. Insécurité.

 Acné 

Manière indirecte de repousser les autres, par peur d’être découvert, de montrer ce qu’on est réellement, parce qu’on pense qu’on ne peut pas être aimé tel que l’on est. Puisqu’on se rejette, on crée une barrière pour que les autres ne nous approchent pas.

Refus de sa propre image, de sa personnalité ou de sa nouvelle apparence.

Honte des transformations corporelles.

Difficulté à être soi-même, refus de ressembler au parent du même sexe.

 Psoriasis 

Personne souvent hypersensible qui n’est pas bien dans sa peau et qui voudrait être quelqu’un d’autre. Ne se sent pas reconnue, souffre d’un problème d’identité. Le psoriasis est comme une cuirasse pour se défendre.

Besoin de se sentir parfait pour être aimé.




Souvent une double conflit de séparation, soit avec deux personnes différentes, soit un ancien conflit non résolu, réactivé par une nouvelle situation de séparation.

Se sentir rabaissé ou rejeté, à fleur de peau.

Se protéger d’un rapprochement physique, ou protéger sa vulnérabilité, mettre une barrière.

 Bras

Il y a de nombreuses causes émotionnelles liées aux douleurs et aux problèmes de bras.

Les bras sont le prolongement du coeur et sont liés à l’action de faire et de recevoir, ainsi que l’autorité, le pouvoir.

Les douleurs aux bras peuvent être liées à de la difficulté à aimer ce que je dois faire. Se sentir inutile, douter de ses capacités, ce qui amène la personne à se replier sur elle et à s’apitoyer sur ses souffrances.

Se croire obligé de s’occuper de quelqu’un.

Ne pas se sentir à la hauteur lorsqu’on est le « bras droit » de quelqu’un.

Difficulté à prendre les autres dans ses bras, à  leur montrer de l’affection.

S’empêcher de faire des choses pour soi-même, parce qu’on se souviens des  jugements négatifs et des interdictions durant  l’enfance, ce qui était blessant.

Ne pas se permettre de prendre ou je regretter d’avoir pris quelque chose, ou de penser avoir obtenu quelque chose sans le ne mériter.

Se rapporter au fait d’avoir été jugé par ses parents.

Vouloir emprisonner quelqu’un dans ses bras pour l’avoir sous contrôle, mais avoir dû le laisser s’envoler, et ne plus pouvoir l’aimer et le protéger (un enfant, par exemple).

Vivre une situation d’échec, devoir baisser les bras.

 Epaules

La fonction première des épaules est de porter. Les épaules portent les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités.

Le fardeau de nos actions et tout ce qu’on voudrait faire, mais qu’on ne se permet pas, ou qu’on n’ose pas.

On se rend responsable du bonheur des autres, on prend tout sur soi, on a trop à faire, on se sent écrasé, pas épaulé, pas soutenu.

Douleurs possibles aussi quand on nous empêche d’agir, ou que l’on on nous impose des choses.

Lorsqu’on vit une situation dont ont ne veut plus, on désire passer à autre chose, mais le manque de confiance en soi nous bloque.

On manque d’appui, on manque de moyens. On ne se sent pas aidé.

Une personne chère ou l’un de nos parents vit de la tristesse et on aimerait prendre son chagrin et ses problèmes pour l’en libérer.




Colère retenue contre un enfant ou une autre personne qui se la coule douce alors qu’on ne se donne même pas le droit de prendre un temps de pause.

Au travail ou à la maison, avec son conjoint, on se sent dans l’obligation de se soumettre, on se sent dominé sans oser réagir.

On vit de l’insécurité affective (douleur épaule gauche) ou de l’insécurité matérielle (douleur épaule droite).

Épaules rigides et bloquées sont signe d’un blocage de la circulation de l’énergie du coeur, qui va vers l’épaule, puis vers le bras, le bras donne (le bras droit) et reçoit (le bras gauche).

Ce blocage d’énergie est souvent retenu dans une articulation ou un tissu (capsulite, bursite).




L’énergie doit circuler du coeur vers les bras pour permettre de faire, de réaliser ses désirs.

On porte des masques, on bloque ses sentiments, on entretient des rancunes (douleurs dans les trapèzes, surtout à gauche). parfois envers soi-même.

On paralyse ses épaules pour s’empêcher d’aller de l’avant, de faire ce qu’on aimerait vraiment. On prend le fardeau sur soi plutôt que d’exprimer ses demandes et ses ressentis, de peur de mécontenter l’autre.

Difficulté ou impossibilité à lever le bras : conflit profond avec sa famille, difficulté à voler de ses propres ailes.

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Le grand dictionnaire de la santé LIVRE

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Amicalement. Frédérique Shine. Médium & Coach contact : frederiqueshine@gmail.com

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Voici 3 techniques simples pour vous aider à pratiquer la méditation

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Article rédigé par Wesley de EcrireJuste.

Il est possible de commencer avec des exercices simples, que chacun peut intégrer dans son quotidien. Dix minutes par jour est amplement suffisant si vous débutez.




Voici 3 techniques simples pour vous aider à pratiquer la méditation

Concentrez-vous sur votre respiration

Pilier de la méditation et de la plupart des méthodes de relaxation, la respiration est une manière efficace de réduire le flux de pensées qui viennent parasiter l’esprit.

En vous focalisant sur votre respiration, vous « occupez » votre cerveau en le centrant sur quelque chose que vous vivez dans le présent, reléguant alors le bruit de vos pensées au second plan. Il y a deux façons de vous concentrer sur votre respiration.

La première consiste à compter chaque inspiration et expiration en allant jusqu’à 10. Comptez un au premier cycle respiratoire (une inspiration + une expiration), puis deux, puis trois et ainsi de suite. Une fois à 10, recommencez simplement l’opération à zéro ou bien comptez en sens inverse.

La seconde méthode est basée sur l’observation des mouvements du corps au gré des inspirations et expirations. Le but n’est pas d’essayer de respirer d’une certaine manière mais simplement d’observer comment chaque inspiration est différente de la précédente.

Scannez chaque partie de votre corps

Un autre excellent moyen d’ancrer votre esprit dans le présent est de focaliser votre attention sur vos sensations physiques.

Fermez les yeux et visualisez chaque partie du corps l’une après l’autre, de haut en bas, tel un scanner. Front, gorge, poitrine, plexus solaire, nombril, jambes, pieds : arrêtez-vous sur chaque zone et prenez le temps de la ressentir pleinement.

Encore une fois, il est simplement question d’observation ; n’essayez pas de changer la sensation d’une zone ni de l’analyser. Si vous ressentez des tensions dans le dos, constatez simplement la sensation.




Une fois que vous avez passé en revue l’ensemble du corps, une humeur globale devrait émerger naturellement. Votre état émotionnel est connecté à votre état physique et cet exercice permet d’être plus conscient de votre état interne.

Être dans l’instant présent, ça inclut aussi le fait d’avoir conscience de son environnement.

Quels sont les sons que vos oreilles peuvent percevoir ? Pouvez-vous relever les odeurs qui vous entourent ? Qu’en est-il du contact de votre peau avec l’air ambiant ? Ressentez-vous les points de contact avec le sol ou le dossier de la chaise sur laquelle vous êtes assis(e) ?

Tout comme pour les deux méthodes précédentes, l’angle d’approche à favoriser est celui de la perception et de la constatation. N’essayez pas de vous forcer à aller chercher les bruits si vous êtes dans un espace calme. Laissez plutôt les stimuli externes venir à vous, laissez vos sens capter les signaux présents dans votre environnement.

Vous pouvez tout à fait enchaîner ces 3 exercices et vous aurez complété une séance de méditation. La méditation n’est pas un sprint, c’est un marathon : l’important, c’est la régularité. Commencez par en faire 10 minutes par jour, tous les jours.

 

3 techniques simples pour commencer la méditation

Source voici 3 techniques simples pour vous aider à pratiquer la méditation: techniquesdemeditation

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Le bonheur et l’argent

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Pour la première fois depuis que le domaine de la psychologie est formellement devenue une science, il y a seulement un siècle, une attention particulière est accordée au bonheur. Auparavant, l’attention était dirigée sur les causes du malheur, et pour une bonne raison. Les désordres mentaux apportent beaucoup de souffrance et des générations entières de cliniciens ont voulu leur apporter un traitement quel qu’il soit. Psychiatres et psychologues s’y consacrent toujours, mais une question fondamentale se pose désormais: est-il possible de connaître le bonheur durable?




Le verdict n’a pas encore été rendu confirmant un consensus professionnel. Un des points de vue est que le bonheur est plutôt d’une nature aléatoire et accessoire — il va et vient, sans que personne ne puisse prédire quand il arrivera. Un autre point de vue est que le bonheur a besoin d’être redéfini afin que les gens ne courent pas après un fantasme de joie et de félicité permanents. Nos attentes devraient être réduites, avec pour but un état général de contentement. Finalement, il y a les super-optimistes qui soutiennent que le plus haut niveau de bonheur est possible, mais qu’il est atteint seulement lorsqu’on trouve une réalité supérieure et qu’on s’y installe.

Compte tenu de ces messages très contradictoires, la grande majorité de gens ignorent la théorie psychologique, et utilise temps et énergie à se façonner une sorte de bonheur réalisable au jour le jour, alors qu’au fond de leur esprit, ils craignent les catastrophes qui pourraient détruire entièrement leur bonheur — la pauvreté, le crime et la maladie. Une raison pour laquelle le domaine de la  »psychologie positive » a vu le jour, est que cette approche approximative vers le bonheur ne fonctionne pas vraiment bien et est probablement en déclin au moment ou nous en parlons.

C’est là qu’une très mauvaise idée fait surface. Cette idée soutient que l’argent fait le bonheur, et que plus vous avez d’argent, plus vous serez heureux. Dans un sens, le capitalisme fonctionne sur cette idée, mais je ne suis pas ici pour faire le procès du capitalisme. Chaque système économique génère ses propres mythes et est aveugle à ses propres défauts si vous croyez en ce système. Le vrai problème avec « l’argent fait le bonheur » est double. Tout d’abord, ce n’est pas vrai au-delà d’un point très limité. Avoir assez d’argent pour être à l’aise produit plus de bonheur que de vivre avec le stress de la pauvreté et du besoin. Au-delà de cet état relativement modeste de sécurité financière (pas si modeste, si vous êtes né dans un pays pauvre ou venez d’un milieu appauvri dans un milieu riche) l’argent apporte plus de stress que cela n’en vaut la peine.




Les psychologues positifs sont assez convaincus de ce constat, par rapport à un large éventail de sujets, même si bien sûr il y a des exceptions — des gens riches qui semblent extrêmement heureux et des gens pauvres qui le semblent aussi. Toutefois, si vous tenez vraiment plus à votre bonheur qu’à votre compte en banque, vous ne devriez pas consacrer votre vie à la poursuite de la richesse, peu importe combien notre société glorifie le fait d’être riche et mythifie les riches comme s’ils vivaient le paradis sur terre.

La deuxième raison pour laquelle « l’argent fait le bonheur » est une si mauvaise idée est plus subtile. La poursuite de l’argent vous empêche de trouver le bonheur autrement. Je détiens la position minoritaire sur le bonheur, celui qui dit que le bonheur durable dépend de notre état ​​de conscience, et que pour trouver un plus grand état ​​de bonheur, vous devez atteindre un état de conscience supérieur. Toutes les traditions de sagesse du monde ont ce même point de vue depuis des siècles, et ironiquement, maintenant est le meilleur moment pour en faire le test. Dans le passé, l’individu moyen était impuissant face à la pauvreté, la guerre et la maladie. Ce n’est plus vrai pour les millions de personnes qui ont suffisamment de contrôle sur leur destinée afin de chercher leur bonheur plutôt que de simplement essayer de survivre.

Il serait dommage de gaspiller cette occasion en or d’adhérer sans réfléchir à une si mauvaise idée telle que « l’argent fait le bonheur ». De la graine de cette idée se développe un résultat, tel que l’idée que la pauvreté signifie que vous êtes une personne inférieure, un perdant, ou l’idée que la victoire est tout, puisque gagner implique des récompenses monétaires. Ensuite, il y a l’idée que vous pouvez utiliser votre argent pour acheter tant de jouets scintillants et de distractions que celles-ci constituent le bonheur, et ainsi de suite. La vérité est que le bonheur est une quête intérieure qui est très différente de la recherche du plaisir ou de l’accumulation d’une fortune. Personne ne devrait accepter cela comme un acquis; cela doit être testé personnellement. En fin de compte, le message des traditions de sagesse du monde est un appel à découvrir votre propre vérité. Il permet simplement de déblayer le sous-bois des mensonges, et « l’argent fait le bonheur » est justement cela.

Deepak Chopra

Source

Livre de Deepak Chopra

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Voici 5 blessures émotionnelles de l’enfance qui persistent à l’âge adulte

Les adultes que nous sommes aujourd’hui étaient autrefois des enfants. Nous avons tous notre histoire et cette histoire détermine la personne que nous sommes aujourd’hui. Certains événements marquants de notre enfance peuvent avoir une influence sur notre personnalité d’adulte.

Il est  important de connaitre l’origine de certains traits négatifs afin de pouvoir mieux les combattre ou les surmonter. Nous allons énumérer ci-dessous 5 blessures émotionnelles qui persistent à l’âge adulte.

1.  Le rejet : les personnes ayant subit un rejet dans leur enfance sont souvent des personnes repliées sur elles-mêmes se croyant indignes d’affection. Le rejet est une blessure profonde lorsqu’elle est vécue par un enfant, cependant ces adultes doivent réussir à affronter cette peur. Le jour ou ils pourront supporter l’idée de l’éloignement de certaines personnes dans leur vie, elles auront réussit.




2.   L’abandon : tel dans le cas du rejet , ces adultes vivent avec une constante peur d’être abandonnés ce qui fait qu’ils lâcheront prise sur tout ce qu’ils entreprendront pour éviter d’être eux-mêmes rejetés. Cela peut être un partenaire ou un projet en cours. Cependant ce moyen de défense ne permet pas à ces personnes d’être heureuses et il faudra qu’elles apprennent à ne pas avoir peur d’un éventuel rejet. Elles seront guéries le jour ou elles n’auront plus peur d’être seules.

3.   La trahison : ce sont souvent des personne qui quand elles étaient enfant ont fait l’expérience de beaucoup de promesses importantes non-tenues. Ces enfant se sentiront indignes de ce qui leur a été promis et seront des adultes égoïstes et manipulateurs. Ce sont des personnes qui veulent avoir le contrôle et n’ont pas confiance en les compétences des gens. Ces personnes doivent apprendre à léguer certaines responsabilités. Elles doivent travailler les axes de la tolérance, de la patience et du savoir-vivre en société.

4.  L’injustice : les personnes ayant subit des injustices dans leur enfance manquent souvent de confiance en eux face à des situations ou ils doivent prendre des décisions. Ayant subit les espérances souvent irréalisables de leurs parents froids et autoritaires ils deviennent souvent perfectionnistes et obsédés par l’ordre à l’âge adulte. Ils sont mentalement très rigides et ont constamment soif de pouvoir. Il faut que ces personnes travaillent sur leur rigidité, leur méfiance et apprennent à devenir plus flexibles.



5.  L’humiliation : des enfants ayant été humiliés par leurs parents perdent souvent leur estime  de soit face à des mots comme stupide ou bête. Ces personnes resteront dépendantes à l’âge adulte et pourraient même reproduire le schéma familial en humiliant à leurs tours plus faibles qu’eux. Il est important que ces personnes comprennent l’origine de leurs peurs et deviennent plus indépendants.

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Le fluor dans les bouteilles d’eau un répressif des fonctions intellectuelles , voici la liste des eaux contaminées

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e fluor : arme chimique. Le fluorure est un répressif majeur des fonctions intellectuelles. Ajouté aux réserves d’eau et aux dentifrices, le fluorure de sodium (le mot fluor, plus simple, est utilisé dans la suite du texte) est un ingrédient commun aux poisons préparés à l’intention des cafards et des rats, aux médicaments psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques et aux gaz neurotoxiques. C’est l’un des ingrédients de base du Prozac et du gaz neurotoxique Sarin, qui fut employé au Japon dans l’attaque du métro
Liste des eaux minérales qui contiennent le plus de fluor
 

~~Des preuves scientifiques indépendantes montrent que le fluor provoque des troubles mentaux variés et rendent les gens stupides, dociles et serviles, en plus de diminuer la longévité et d’endommager la structure osseuse.

La première utilisation du fluor dans l’eau potable date des camps de concentration NAZIs, grâce à la I .G. Farben, société pharmaceutique géante notoire. C’est elle qui dirigeait des camps comme Auschwitz.

Elle existe encore, elle fait partie intégrante de la compagnie allemande BAYER. Quelqu’un pense-t-il que les NAZIs firent cela parce qu’ils se sentaient concernés par la santé des dents de leurs prisonniers?

Cette médication massive des réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité.

Charles Perkins, chimiste, écrivit ce qui suit à la Fondation pour la recherche nutritionnelle Lee, à Milwaukee (Wisconsin), le 2 octobre 1954 : « … Dans les années 30, Hitler et les NAZIs allemands, envisagèrent un monde dominé et dirigé par la philosophie nazie du pangermanisme.

Les chimistes NAZIs élaborèrent un plan d’une grande portée (et très ingénieux), de contrôle des masses, plan qui fut soumis et adopté par l’état-major allemand. Il consistait à prendre le contrôle de la population de n’importe quelle région, par la médication massive des réserves d’eau potable.

Par cette méthode, ils pourraient contrôler la population de zones entières, la réduire par la médication de l’eau – qui provoquerait la stérilité des femmes – et ainsi de suite. Le fluor tenait une place importante dans ce projet de contrôle des masses. ».

Charles Perkins dit que des doses répétées de fluor, en quantité infinitésimale, réduisent les possibilités d’un individu à résister à la domination, en empoisonnant lentement, par narcotisme, une partie précise de son cerveau, le soumet tant ainsi à la volonté de ceux qui veulent le gouverner.

Il dit que le fluor est une « lobotomie légère et commode » et que la véritable raison qui se cache derrière la fluorisation de l’eau n’a rien à voir avec la santé dentaire des enfants. Si c’était le cas, il existe une quantité d’autres moyens, plus faciles à mettre en place, moins coûteux et de loin plus efficaces, souligne-t-il. Le réel objectif derrière la fluorisation de l’eau était de réduire la résistance des masses à la domination, au contrôle et à la perte de leur liberté.




Perkins dit que lorsque les NAZIs décidèrent d’aller en Pologne, l’état-major Allemand et l’état-major Russe échangèrent leurs idées scientifiques et militaires, leurs plans, leur personnel et le projet du contrôle des masses par la médication de l’eau, que les communistes Russes adoptèrent aussitôt parce qu’il collait parfaitement à leur plan de communiser le monde. « Le plan me fut expliqué en détail par un chimiste Allemand, l’un des officiels de l’immense industrie chimique I.G. Farben. À l’époque, cet homme avait aussi une place importante au sein du mouvement NAZI.

 

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Je dis ça avec toute l’honnêteté et la sincérité d’un scientifique qui a passé près de vingt ans de sa vie à faire des recherches en chimie, en biochimie, en physiologie et en pathologies dues au fluor : Une personne qui boira pendant un an, ou plus, de l’eau à laquelle on a ajouté du fluor, ne sera plus jamais la même, mentalement ou physiquement. ». C’est la raison même pour laquelle, depuis, les « gouvernants » ont continué de plus belle à encourager la consommation de fluor.

Y a-t-il meilleur moyen de diminuer les capacités mentales de la population qu’en contaminant les réserves publiques d’eau potable?

Lorsque nous buvons quelque chose qui contient de l’eau « fluorée », y compris de la bière et des sodas (boissons gazeuses), nous sommes intoxiqués lentement, mais sûrement. Le fluor est un sous-produit de l’industrie de l’aluminium. L’idée d’introduire du fluor dans l’eau potable vient de la famille Mellon, aux États-Unis, qui dirige le cartel de l’aluminium ALCOA .

La lignée des Mellon est très importante. Ce sont des amis intimes de la famille royale d’Angleterre et, par le réseau, ils dictent la politique US. Le fluor ne protège ni les dents, ni les os. Ce ne sont que des prétextes. Le fluor sert à diminuer les fonctions intellectuelles de la population, afin que personne ne pense, ne remette quoi que ce soit en question ou ne se rebelle. Les concentrations en fluor des eaux minérales

Avertissement

Avec un verre de Vichy par jour, on dépasse déjà la dose admissible de fluor (1 mg par jour chez l’adulte).

Les eaux sont classées des plus riches en fluor, à consommer avec grande modération, vers les moins riches, a priori sans danger du point de vue du fluor. Il est préférable de ne pas consommer comme unique eau (soit 1,5 l par jour) des eaux à teneur en fluor supérieure à 0,6 mg/l.

Au bébé, on ne donnera pas d’eau à teneur supérieure à 0,2 mg/l, et 0,3 mg/l

ST-YORRE 8,9

SAIL-LES-BAINS 6,5

VICHY CELESTINS 6,1

PAROT 3,7

ST-ALBAN CESAR 3,4

OREE DU BOIS 2,8

CHATEAUNEUF 2,7

ST-ALBAN ANTONIN 2,7

AMANDA 2,5

ST-AMAND VAUBAN 2,5

WATTWILLER 2,4

CHATELDON 2,2

CLOS DE L’ABBAYE 2,1

FONFORT 2,0

QUEZAC 2,0

DAX 1,9

SOULTZMATT 1,9

ST-CHRISTOPHE 1,9

BADOIT 1,8

MIERS-ALVIGNAC 1,8

VALS-VIVARAISE 1,6

ST-DIERY 1,5

VERNET 1,5

ST-ANTONIN-NOBLE-VAL 1,4

ARCENS 1,2

CRISTALINE 1,1

ARVIE 1,0

VERNIERE 1,0

REINE DES BASALTES 0.9

STE-MARGUERITE 0.9

ROZANA 0.7

VALS ST-JEAN 0.7

PUITS St-GEORGES 0.6

AMELIE-LA-REINE 0.5

SALVETAT 0.5

AUVERGNE 0.4

HEPAR 0.4

DIDIER 0.4

ABATILLES 0.3

CONTREX 0.3

VENTADOUR 0.3

VITTEL 0.3

CHANTEMERLE 0.3

AVENE 0.2

AIZAC 0.2

CHAMBON 0.2

HYDROXYDASE 0.2

VOLVIC 0.2

ALET 0.2

PLANCOET 0.2

PROPIAC 0.2

OREZZA 0.1

EVIAN 0.1

LUCHON 0.07

PERRIER 0.07

THONON 0.07

CELTIC 0.05

DIDIER PLATE 0.05

MONT-ROUCOUS 0.05

NESTLE PURE LIFE Source des Acacias 0.05

ST-MARTIAL 0.03

OGEU 0.09

Sources: http://ecobio-attitude.org/operation-fluor-info.pdf http://www.editionsluigicastelli.com

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