BEAUCOUP D’ÉNERGIES SONT ENTRAIN DE FRAPPER LA TERRE

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Très Chers,

Nous vous exhortons à atteindre les étoiles. Car en effet, vous êtes les étoiles. Vous êtes les deux, étoiles Olympiques Universelles et des étoiles. Car les étoiles ont été créées et habitées par vous plus de fois que vous ne pouvez compter.

Vous vous sentez donc paisible et reposé lorsque vous observez les étoiles. Non pas pour vous vanter de vos talents de créateur, mais pour vous rappeler à quel point vous étiez et êtes doué.

Il est temps pour vous ” d’aspirer à de hautes destinées ” en souvenir de tout ce que vous avez accompli et de tout ce que vous êtes en train de faire. Pour beaucoup d’entre vous, vous êtes frustrés et en colère à cause de tel ou tel événement sur terre, sans vous souvenir qu’une telle colère n’est qu’une nanoseconde dans votre réalité globale.

Si quelque chose vous contrarie ou vous met en colère, changez-le. Et si vous êtes joyeux à propos de quoi que ce soit, amplifiez-le.

Car vous avez oublié à quel point vous êtes vraiment magnifique, une fois que vous avez fait partie de la lourdeur de la terre. Même si la terre est maintenant de 5D, vous continuez à mener des batailles en 3D qui n’ont plus grand-chose à voir avec vous aujourd’hui – montrant votre penchant pour la victimisation.

Vous n’avez aucune raison de vous sentir victime. Vous avez créé des mondes, des planètes et des étoiles et pourtant vous laissez quelques humains vous maintenir dans la misère ou la peur.

Réclamez-vous ! Revendiquez votre pouvoir de créer et d’aller au-delà des règles 3D qui dictent ce que quelqu’un doit vous dire quoi faire.

Vous êtes plus grand et meilleur que les règles 3D. Tenez-vous droit. Vous n’avez plus besoin de vous cacher derrière la servitude et la docilité. Vous jouez le rôle de Clark Kent depuis trop longtemps. Il est temps pour vous de revendiquer votre statut de Superman et Superwoman. Un statut d’être dans lequel vous pouvez faire tout ce que vous voulez – qui peut vous arrêter ?

Beaucoup d’entre vous clament que ce patron, ce parent ou ami, ou ce politicien est mesquin avec vous ou quelqu’un que vous aimez. Qu’allez-vous faire à ce sujet ? Allez-vous courir dans votre coin en pleurant de colère ou de peur ? Ou allez-vous mettre votre pantalon de grande fille et de grand garçon et déclarer votre liberté ?

Vous avez suivi les messages terrestres de faiblesse, de soumission et de victimisation pendant des éons. Effacez ces messages car vous n’êtes pas un serviteur, ni un prisonnier. Vous êtes un être Universel extrêmement puissant qui a créé le sol même sur lequel vous vous tenez et oui, l’élément de peur que vous êtes en train d’éliminer.

Vous êtes un créateur, pas un serviteur. Envisagez-vous Jésus, Mahomet, Bouddha ou tout autre personne que vous considérez comme étant grand, des victimes dans votre processus de pensée ? Ou les voyez-vous comme des êtres forts et puissants qui vivaient dans leur société parce qu’ils voulaient montrer des possibilités ?

Vous en masse sont ces possibilités. Les précurseurs ci-dessus de cette transition ont planté les graines de l’amour et de la joie. Vous êtes les fleurs – fortes, capables, flexibles et joyeusement brillantes et colorées. C’est vous qui transformez le paysage gris qui a été la terre pendant des éons en une planète colorée de joie. Comme c’est souvent le cas dans les déserts de la terre.

La différence, c’est que vos fleurs ne fanent pas, mais plutôt qu’elles s’épanouissent et se multiplient rapidement.
Vous n’êtes pas une victime. Personne n’est plus fort ou plus puissant que vous. Arrêtez de prétendre que vous ne pouvez pas faire quelque chose, ou que vous devez demander la permission ou attendre que cette terrible chose passe.

Vous êtes la puissance, la gloire et la lumière.

Que ce soit ainsi. Amen.

Traduit par Diane L. pour https://messagescelestes.ca

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Bouddha – témoin de la souffrance

Les récits suivants concernant la vie de Bouddha sont extraits du livre de Guéshé Kelsang Gyatso, Introduction au bouddhisme :

Le jeune prince grandit et maîtrisa tous les arts traditionnels et les sciences sans l’aide d’aucune instruction. Il connaissait soixante-quatre langues, chacune avec son propre alphabet et de plus, il était très doué en mathématiques. Un jour, il dit à son père qu’il pouvait compter tous les atomes du monde en l’espace d’une seule inspiration.

Bien qu’il n’eut pas besoin d’étudier, il le fit pour plaire à son père et pour aider les autres. À la requête de son père, il suivit une école où, en plus de l’étude de divers sujets académiques, il devint très bon en sports tels que les arts martiaux et le tir à l’arc.

Le prince profitait de chaque occasion pour transmettre des enseignements spirituels et encourager les autres à suivre la voie spirituelle. Un jour, alors qu’il participait à un tournoi de tir à l’arc, il déclara : « Avec l’arc de la concentration méditative, je vais décocher la flèche de la sagesse et tuer le tigre de l’ignorance qui se trouve dans les êtres vivants. » Puis il décocha la flèche qui transperça cinq tigres de fer et sept arbres avant de disparaître dans la terre !

Après avoir assisté à de telles démonstrations, des milliers de personnes commencèrent à avoir foi en le prince.

Le prince Siddhartha allait parfois dans la capitale du royaume de son père pour voir comment les gens vivaient. Au cours de ces visites, il rencontra de nombreuses personnes âgées, des malades et une fois, il vit un cadavre.

Ces rencontres laissèrent une profonde impression dans son esprit et l’amenèrent à comprendre que tous les êtres vivants sans exception doivent éprouver les souffrances de la naissance, de la maladie, de la vieillesse et de la mort. Parce qu’il comprenait les lois de la réincarnation, il réalisa aussi qu’ils enduraient ces souffrances non seulement une fois, mais encore et encore, vie après vie, sans interruption.

Voyant comment tous les êtres vivants sont prisonniers de ce cercle vicieux de souffrance, il ressentit à leur égard une profonde compassion et il développa le désir sincère de les libérer tous de leurs souffrances. Comprenant que seul un bouddha pleinement illuminé a la sagesse et le pouvoir d’aider ainsi tous les êtres vivants, il décida de quitter le palais et de se retirer dans la solitude de la forêt, où il pratiquerait de profondes méditations jusqu’à l’accomplissement de l’illumination.

Pour en savoir plus sur Bouddha, lisez Introduction au bouddhisme.

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L’importance de l’Éthique

Respecter le libre arbitre des autres

Transmis par Untwine

Transmis par Untwine

Je pense qu’un élément essentiel pour nous aider à obtenir la libération le plus rapidement possible est de ramener l’éthique à notre attention. Au cours des dernières décennies, en particulier depuis 1996, les énergies ont été plus intenses, ce qui tend à pousser les gens vers un mode de survie, et dans ces conditions, la simple idée d’éthique a souvent été « jetée au vent ». Cependant, notre bien-être est très lié à l’éthique appliquée personnellement et collectivement. Je ne prétends évidemment pas avoir toujours agi parfaitement. Cependant, ce qui importe vraiment, c’est de reconnaître une meilleure façon de procéder et de la mettre en pratique, alors je vais suggérer quelques points que je trouve importants:

1) Respecter le libre arbitre des autres :

Ceci est très important, et devrait être fait dans tous les contextes, pour les petites ou grandes choses, pour chaque être sensible. Nous avons appris que les forces lumineuses respectent toujours sérieusement le libre de cette façon, par exemple, elles ne nous assisteront personnellement que si nous le demandons avec notre libre arbitre. Même notre propre Soi Supérieur ne se connecte avec nous que si notre Soi inférieur coopère. Ils peuvent nous inviter, mais nous laisseront toujours le choix.

C’est un comportement qui devrait vraiment être adopté par tous, et comprend aussi la critique, petite ou grande, franche ou silencieuse.

Laissons les gens vivre leur vie, et faisons nos propres choix pour notre propre vie, ce n’est pas notre travail de gérer ce que les autres font, nous ne pouvons jamais être responsables de quelqu’un, le meilleur service à faire (et à nous-mêmes) est de les respecter pleinement et de leur permettre d’exercer leur propre volonté souveraine.

Cela ne signifie pas que nous devenons des « paillassons », mais que nous maintenons notre propre volonté, notre discernement et notre mode de vie, mais simplement que nous ne l’appliquons qu’à nous-mêmes. Si ce que quelqu’un fait nous affecte négativement, on peut s’éloigner. Faisons tout simplement de notre mieux et montrons ce que nous croyons être le meilleur par notre propre exemple.

2) Nous sommes UN :

Oui, cette phrase est devenue un cliché dans certains contextes, et c’est parce qu’elle est parfois prononcée sans applications de ce que cela signifie vraiment ( Merci le « New âge »!). Nous n’existons pas dans une réalité isolée, nous faisons tous partie d’un même organisme. Vivre un mode de vie isolé, ne pensant qu’à la survie personnelle, aux avantages personnels, à l’illumination personnelle, en imaginant que nous pouvons simplement nous sauver et oublier le reste, a conduit des individus et des communautés à la ruine à maintes reprises.

Certains des êtres les plus éclairés comme Bouddha qui ont atteint des niveaux élevés de conscience, n’iront pas plus loin vers la Source jusqu’à ce que tous les êtres sensibles soient libérés, ils restent à ce niveau pour aider.

La souffrance de certains a un impact réel sur l’ensemble puisque nous sommes vraiment tous un seul organisme. Je ne parle pas de sacrifice, je parle de comprendre qu’aider l’ensemble, c’est aider tout le monde, y compris nous-mêmes, et c’est là que les énergies devraient être dirigées. L’une des meilleures questions à se poser est : «Quelle est la chose la plus bénéfique que je puisse faire ?» En ces temps où nous sommes en ce moment, de telles questions apportent des réponses très rapidement, parce qu’il y a beaucoup d’êtres de Lumière cherchant des humains qui sont prêts à aider.

3) La corrélation n’est pas une cause :

En d’autres termes, ne tirez pas de conclusions trop hâtives. Ce n’est pas parce que deux éléments semblent liés entre eux que nous pouvons établir un lien de cause à effet. Par exemple, vous pouvez observer que le nombre de cendriers dans la maison de quelqu’un a tendance à augmenter quand ils fument, donc nous pourrions être tentés de dire que plus il y a de cendriers, plus le propriétaire de la maison fume, mais cela ne fonctionne pas, quelqu’un pourrait ne pas fumer du tout et utiliser des cendriers pour les invités ou jeter des graines de fruits.

Ce serait bon de garder cela à l’esprit lorsque vous appliquez votre discernement. Ce monde de la dualité est très sujet aux illusions, beaucoup de ceux qui sont sensibles aux énergies tombent dans l’obscurité astrale/émotionnelle, éthérique ou des tours mentaux inférieurs, par exemple c’est le cas de certains « canaux », »guérisseurs », »voyants », »médiums », etc.

Quelqu’un peut vraiment percevoir les choses, mais ce n’est pas parce que quelque chose que nous voyons ou entendons dépasse le physique qu’il est automatiquement et absolument vrai. On peut être capable de voir ou de sentir le mental éthérique, astral ou inférieur, et ces plans peuvent sembler très magiques par rapport au physique, et on peut être distrait par tout ce qui s’y passe, oubliant que ces plans ne sont pas le Soi Supérieur, qu’ils sont encore sujets à des illusions, et que le guidage ou l’information venant de là, qu’il vienne consciemment ou inconsciemment, ne provient pas nécessairement du monde du Soi Supérieur. Par l’auto-purification, l’entraînement, l’honnêteté personnelle, la mise en équilibre de tous les aspects du moi, et surtout la connexion avec la présence intérieure du Soi Supérieur, alors une bien meilleure compréhension vient.

4 ) Branchez-vous sur la présence intérieure du Soi Supérieur :

Ce qui suit peut vous aider : si vous observez vos sens, vos désirs, vos émotions (en d’autres termes le corps astral), vous pouvez remarquer qu’ils peuvent avoir tendance à gouverner vos actions. Mais vous pouvez aussi remarquer qu’il y a un autre aspect en vous, qui est au-delà de cela et qui est l’observateur qui peut contrôler vos actions, par exemple si vos sens désirent quelque chose mais vous savez à l’intérieur que ce n’est pas la bonne chose à faire, alors vous êtes capable de vous arrêter, et dans ce processus distinguer votre corps astral (ce que les sens désirent) d’un aspect plus élevé de vous-même, en réalisant que vous n’êtes pas les sens mais l’observateur, et donc en choisissant de faire ce que votre présence supérieure vous inspire.

On peut d’abord penser que c’est le mental, les pensées, qui peuvent faire un meilleur choix malgré ce que les sens disent, et bien que cela soit vrai dans une certaine mesure, le mental est encore un autre véhicule et non la présence du Soi Supérieur. Nous pouvons le voir en observant nos pensées, et donc réaliser qu’il y a une autre présence à l’intérieur qui peut observer les pensées, et s’il y a des pensées que nous savons n’étant pas bénéfiques, alors nous pouvons les rejeter, et choisir de meilleures pensées pour ainsi modeler l’esprit comme nous le choisissons. Et alors nous pouvons réaliser que nous sommes l’observateur, celui qui peut choisir de façonner l’esprit, et non pas les pensées ou le mental lui-même.

Ce processus peut aider à s’accorder de plus en plus avec le Soi Supérieur réel, à se désidentifier avec le véhicule, et en choisissant de suivre ce que le Soi Supérieur dit, et en ramenant toujours notre attention sur lui, nous obtenons un vrai sens intérieur pour différencier le bien du mal, car le Soi Supérieur est la seule présence qui peut jamais vraiment discerner le bien du mal, la personnalité seule (le mental inférieur, les émotions, le désir, le corps physique) est par définition égoïste et a besoin d’être réintégrée. Alors nos actions seront beaucoup plus positives, et nous serons de plus en plus disponibles pour recevoir les pouvoirs venant du Soi Supérieur pour travailler dans nos vies.

5) Discerner et savoir par vous-même :

Je citerai ici Bouddha comme le dit Helena Blavatsky :

«Nous ne devons pas croire en une chose dite simplement parce qu’elle est dite; ni les traditions parce qu’elles ont été transmises de l’antiquité; ni les rumeurs, en tant que telles; ni les écrits par des sages, parce que les sages les ont écrits : ni de fantaisies que nous pouvons soupçonner d’avoir été inspirées en nous par un Deva (c’est-à-dire une inspiration spirituelle présumée); ni d’inférences tirées de quelque supposition fortuite que nous ayons pu faire; ni de ce qui semble être une nécessité analogique; ni de la simple autorité de nos enseignants ou maîtres. Mais nous devons croire quand l’écriture, la doctrine ou la parole est corroborée par notre propre raison et conscience.»

Pour cela, dit-il en conclusion,

«Je vous ai enseigné à ne pas croire simplement parce que vous avez entendu, mais quand vous avez cru par votre conscience et alors à agir en conséquence.»

Ne laissons pas nos esprits s’atrophier, attendant les petites gouttes de compréhension que nous ont données quelques personnes, parce qu’aucune libération définitive ne peut jamais venir par là. Étudions et pratiquons les choses aussi profondément que possible pour nous-mêmes et nous pourrons alors faire beaucoup plus en tant que groupe.

6) Honnêteté personnelle :

Une des clés ici est d’apprendre à dissiper les illusions astrales/émotionnelles et les illusions du mental inférieur. Il est important de comprendre que l’idée émotionnelle/mentale d’une qualité n’est pas nécessairement la même que la qualité elle-même. Je vais citer ici le livre d’Alice Bailey : « Discipleship in the New Age volume 1 » :

«Je vais énumérer quelques-unes des séductions majeures pour vous, vous laissant ainsi libre d’appliquer et d’étendre ces idées en partant de l’individu jusqu’à l’humanité dans son ensemble

La séduction de l’aspiration. Ceux ainsi conditionnés sont entièrement satisfaits de leur aspiration vers la lumière et se reposent sur le fait qu’ils sont des aspirants. De telles personnes doivent aller de l’avant sur le Chemin du Disciple et cesser de se préoccuper et de satisfaire leurs ambitions.

La séduction de la confiance en soi ou de ce que l’on pourrait appeler les principes astraux du disciple. C’est la croyance, en langage clair, que le disciple considère que son point de vue est tout à fait juste. Cela nourrit de nouveau l’orgueil et tend à faire croire au disciple qu’il est une autorité infaillible.

La séduction du devoir. Cela conduit à une trop grande insistance sur le sens de la responsabilité, ce qui produit une perte de mouvement et la focalisation sur le non-essentiel.

La séduction des conditions extérieures, conduisant fréquemment à un sentiment de frustration et de futilité.

La séduction de l’esprit et de son efficacité et de sa capacité à traiter tout problème. Cela conduit inévitablement à l’isolement et à la solitude.

La séduction de la dévotion, conduisant à une stimulation excessive du corps astral.

L’homme ou la femme ainsi charmé ne voit qu’une seule idée, une seule personne, une seule autorité et un seul aspect de la vérité. Il nourrit le fanatisme et l’EGO spirituelle.
La séduction du désir avec son effet réfléchi sur le corps physique. Cela conduit à un état constant de combat et d’agitation. Elle annule toute paix et tout travail fructueux.
La séduction de l’ambition personnelle.

Il y a beaucoup d’autres séductions, à la fois individuelles et générales, mais cela sert à indiquer une tendance générale.»

Une bonne façon de discerner, c’est de vérifier si nous avons un attachement mental et/ou émotionnel à une situation, ou si nous sommes capables de lâcher prise sur cette dernière si nécessaire.

S’il y a un attachement, c’est probablement une illusion/séduction, parce que le mental inférieur et l’astral doivent être séparés pour que les choses justes se produisent, simplement parce que le moi inférieur ne peut pas les générer car cela doit émaner du Soi Supérieur. Le Moi inférieur est comme un lac qui reflète le paysage à sa surface, et le Soi Supérieur est le vrai paysage. Si les eaux du lac sont agitées, le paysage n’est jamais bien visible.

Les illusions sont généralement entretenues par le moi personnel pour cacher les émotions refoulées, donc en lâchant l’illusion, nous pouvons alors prendre conscience de l’émotion, la libérer et choisir une meilleure voie. C’est particulièrement important en ce moment parce que l’obscurité utilise toutes les émotions et pensées non résolues, les fait grandir, les utilise pour créer des conflits et les utilise comme attracteurs magnétiques pour attirer les situations négatives dans la vie des gens.

Se purifier soi-même est toujours la meilleure et la seule protection définitive, et une préparation nécessaire pour une vie plus évoluée. Si la situation n’est pas une illusion, nous serons alors contraints à une action constructive claire et détachée par la présence intérieure que je mentionnais au point 4.

7) Chercher à fusionner les polarités :

Évitez de penser, de parler, de ressentir, d’agir, etc., de façon à polariser les situations, en séparant davantage les points de vue et les énergies opposés. La séparation des polarités opposées est un produit de l’anomalie primaire, tandis que la présence de la Source les amène à l’Unité, donc par notre comportement nous alimentons soit l’un, soit l’autre. Avec le temps, bien purifiés, tous les opposés se complètent et s’unissent. Si la situation n’est pas prête, il vaut mieux la mettre de côté et au moins ne pas pousser plus loin la situation dans la séparation.

Il ne s’agit pas d’une liste exhaustive, mais je crois que ces quelques points clés, lorsqu’ils sont réellement mis en pratique, peuvent être très utiles pour manifester une réalité de Lumière à un niveau individuel et collectif.

Source : http://recreatingbalance1.blogspot.fr/2017/12/ethics.html

Traduction : https://exoportail.com/

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de citer l’auteur, les sources, et le site: http://elishean-portesdutemps.com www.eveil.tv

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Mantra : leur pouvoir et leur définition et usage

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Une petite définition du Mantra s’impose car on en entend quelques fois parler. On parle souvent de mantra Tibétain ou mantra Bouddhiste mais cela existe aussi en Inde.




Je pense qu’il n’est pas nécessaire de donner son origine, le plus important à savoir c’est qu’ un mantra est une suite de syllabes, ou de mots, qu’il est nécessaire de répéter un certains nombre de fois. ils sont prononcés à voix haute ou intériorisés.

Le mantra est universel et peut être utilisé par tout le monde  ce n’est pas réservé à une certaine religion, seule la prononciation peut être difficile quelques fois mais avec un peu de travail on y arrive…

Le plus important c’est le son émis et non sa signification, quand on récite un mantra, on génére une vibration, c’est cette dernière qui possède un pouvoir. Le mantra est généralement utilisé pour la méditation, il agit sur le mental, le physique, l’émotionnel et le spirituel. Et oui quand notre mental est présent dans la méditation, il bloque le processus, le fait de réciter un mantra pendant un certains temps, permet de se détourner du mental et ainsi profiter de la méditation.

Dans le Tantra, on compare ces sons aux divinités, ce sont des identités conscientes et vivantes.

QUELQUES EXEMPLES DE MANTRAS SACRÉS :

Le mantra OM :




Le mantra le plus connu est le mantra OM (ou en encore AUM), c’est un son universel, on le considère comme le son primordial, il contient la vibration de l’univers, il symbolise dieu,  il est utilisé comme préfixe et parfois suffixe aux mantras.

Le Mantra : OM MANI PADME HUM

Bien connu des tibétains et même au dela, ce mantra est puissant et il représente la compassion et la grâce de tous les bodhisattvas et bouddhas. Il a la capacité de purifier notre esprit, de l’ouvrir à l’ Amour et à la Compassion.

Le GAYATRI mantra :

Ce mantra a d’immenses pouvoirs, il apporte la sagesse, purifie le karma négatif , peut aider à l’illumination

Une expérience intéressante à faire est d’associer un mantra avec un mandala* ce qui a pour but d’augmenter la puissance de la méditation. De cette manière on se concentre sur l’image et le son et on évite le bavardage mental.

*Un mandala est une image sacré au même tire que le mantra est un son sacré.

On peut ouvrir ses chakras par le chant d’ un mantra, par exemple on utilise le mantra om pour le chakra ajna (troisième oeil)

Note : Ne pas confondre mantra et sutra, les sutras peuvent être chantés mais ce sont des textes attribués à Bouddha.

Source : www.ouvrirseschakras.net   

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La légende bouddhiste sur les chats

Le Chat était tenu en très grande considération chez les anciens. Il est l’emblème du courage, de l’indépendance mais aussi et surtout de la liberté. Symbole de la vigilance, il représente souvent des citoyens qui ont bien gardé une ville ou une commune.

Le chat jouait un grand rôle dans la religion égyptienne, mais ce rôle purement mythologique était assez obscur. II se nommait en égyptien miaou, nom qui rappelle notre mot miauler. Il en est question dans le Livre des morts comme d’un allié du Soleil (Râ), détruisant les ennemis de l’astre du jour.




En France, il symbolise la malchance et le mal. Au Japon c’est un porte-bonheur. Au moyen Age, en Europe le Diable. Au Royaume-Uni : la chan

Ce sont des êtres illuminés qui transmettent calme et harmonie, et on dit souvent que qui n’a pas un bon rapport à son inconscient ne réussit jamais à se connecter complètement à un chat ou à comprendre ses mystères.

Personne n’est surpris d’apprendre que la figure de ces animaux est associée au Bouddhisme.

À tel point qu’en Thaïlande, il existe une légende précieuse qui s’est propagée au fil du temps et qui a transformé les chats en des êtres de paix et d’intime union dans les temples des pays asiatiques.

C’est pour cela qu’il est très fréquent de voir les chats somnoler et se pelotonner dans le giron des multiples figures de Bouddha qui ornent les jardins et les sanctuaires.

Les chats voient bien au-delà de nos sens, entre leurs siestes et leurs moments de jeu et d’exploration, ils creusent en notre âme avec leur flair raffiné.

Ils soulagent les tristesses et nous protègent avec leurs regards nobles et reluisants.

On dit souvent qu’avoir un chien, c’est profiter de compagnon le plus fidèle qui existe.

C’est totalement vrai, mais qui connaît le caractère d’un chat sait que la connexion est plus intime et profonde, d’où le fait que plusieurs moines bouddhistes comme le maître Hsing Yun, parlent du pouvoir guérisseur de cet animal.

Nous vous invitons à en découvrir plus à ce sujet…

Une légende bouddhiste sur les chats, originaire de Thaïlande

Tout d’abord, nous devons savoir quelque chose d’important. Le bouddhisme n’est pas organisé avec une hiérarchie verticale.

L’autorité religieuse repose sur des textes sacrés mais il existe une grande flexibilité dans ses approches.

La légende dont nous allons vous parler prend racine dans une école en particulier : dans le bouddhisme theravāda, ou le bouddhisme du lignage des ancêtres.

C’est en Thaïlande et dans ce contexte qu’a été écrit «Le livre des poèmes du chat» ou le Tamra Maew, que l’on trouve aujourd’hui à la bibliothèque national de Bangkok et qui est un authentique trésor à préserver.

Sur les anciens papyrus, on peut lire une histoire enchanteresse qui racontait que quand une personne avait atteint les niveaux les plus hauts de spiritualité et mourait, son âme s’unissait placidement au corps d’un chat.

La vie pourrait donc être très courte, ce que la longévité féline permettait, mais quand on arrivait à la fin, l’âme savait qu’elle atteindrait l’illumination.

Le peuple thaïlandais de cette époque, connaissant cette croyance, avait une autre pratique très curieuse…

Quand un proche mourait, on l’enterrait dans une crypte avec un chat vivant.

La crypte avait toujours un trou par lequel l’animal pouvait sortir, et quand il le faisait, les gens savaient que l’âme de l’être aimé était à l’intérieur de l’animal…

Ainsi, ils atteignaient la liberté et ce sentier de calme et de spiritualité capable de préparer l’âme au chemin postérieur jusqu’à l’ascension.

image pixabay La légende bouddhiste sur les chats

Les chats et la spiritualité

On dit des chats que ce sont comme de petits moines qui méditent et qui sont capables d’apporter l’harmonie dans un foyer.

Pour l’ordre bouddhiste de Fo Guang Shan, par exemple, ce sont comme des personnes qui ont atteint l’illumination.

  • Les chats sont des êtres libres qui boivent quand ils ont soif, qui mangent quand ils ont faim, qui dorment quand ils ont sommeil et qui font ce qu’ils doivent faire sans besoin de plaire à personne.
  • Il ne se laissent pas dominer par leur ego, et, selon cette branche du bouddhisme, ils ont appris à sentir les humains depuis des temps très anciens, alors qu’à l’inverse les humains ont appris à ressentir les chats dans le présent.
  • Ils sont loyaux, fidèles et affectueux, mais leurs démonstrations de tendresse sont intimes et subtiles, et donc extrêmement profondes. Seuls ceux qui savent creuser dans leur intérieur, avec respect et dévouement, jouiront de leur amour inébranlable, mais ceux qui sont déséquilibrés ou qui lèvent souvent la voix ne seront jamais à leur goût.

Pour conclure, nous savons que nous devons recourir à des textes bouddhistes pour comprendre que les chats sont spéciaux, que leurs regards nous transportent à des univers introspectifs, que leurs postures étranges nous invitent à pratiquer le yoga, que ce sont des exemples d’élégance et d’équilibre…

Nous les aimons et nous les vénérons, et même s’ils se prennent pour d’authentiques dieux en hommage aux temps de l’Égypte Antique, c’est quelque chose que nous leur accordons avec fierté.




Nous disposons tous de nos propres histoires avec ces animaux, des moments inoubliables qui nous permettent de profiter de petits instants chargés de magie et d’authenticité.

Ces moments qui, sûrement ont servi d’inspiration pour tisser cette magnifique légende bouddhiste qui est restée imprimée sur du papier plein de mysticisme.

“Le temps passé avec des chats n’est jamais du temps perdu.”
-Sigmund Freud-

Source : nospensees.fr




7 citations importantes de Bouddha

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  • Rester en colère, c’est comme saisir un charbon ardent avec l’intention de le jeter sur quelqu’un ; c’est vous qui vous brûlez. Bouddha

 

  • Le bonheur est né de l’altruisme et le malheur de l’égoïsme. Bouddha

 

  • C’est par la foi que l’on peut traverser les courants. Et c’est par la sagesse que l’on obtient la pureté. Bouddha

 

  • On peut allumer des dizaines de bougies à partir d’une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant. Bouddha

 

  • Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde.  Bouddha

 

  • Celui qui se livre à des méditations claires trouve rapidement la joie dans tout ce qui est bon. Il voit que les richesses et la beauté sont impermanentes et que la sagesse est le plus précieux des joyaux. Bouddha

 

  • Soyez à vous-mêmes votre propre refuge. Soyez à vous-mêmes votre propre lumière. Bouddha
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Les expériences de mort imminente – Entretien avec Olivier Chambon




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Médiation très puissante : La boule d’amour

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Les pensées sont puissantes, et la méditation est prouvée pour sa puissance positive sur notre cerveau et notre corps .
Comme vous le savez la pensée est un outil puissant, » la puissance de la pensée positive »




Chaque jour les moines bouddhistes se réunissent pour méditer pour la paix dans le monde , cette méditation guidée et pour moi la meilleure et la plus puissante en terme de médiation guidée , elle amène à une sensation de paix et d’harmonie , elle me donne un bien-être incroyable , à chaque fois que vous la mettrez en pratique vous aiderez la planète et vous même car chaque geste pour autrui vous revient au centuple .

Je tenais à partager cette méditation très puissante avec vous, qu’elle vous apporte du bonheur ! Dans la première partie il y a un exercice de mise en état d’hyperconscience du corps suivie d’une expérience poignante de méditation.

 

Frédérique Shine – Eveil Tv

 

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Les 14 Entraînements à la Pleine Conscience

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Les 14 Entraînements de l’Ordre de l’Inter-Etre 

 Les 14 Entraînements à la Pleine Conscience représentent l’essence de la Communauté de l’Inter-Etre. Ils sont la torche qui éclaire notre chemin, le bateau qui nous porte, le maître qui nous guide. Ils nous permettent de toucher la nature de l’inter-être dans tout ce qui est, et de voir que notre bonheur est étroitement lié à celui des autres. L’inter-être n’est pas une théorie ; c’est une réalité que chacun d’entre nous peut expérimenter directement, à tout moment dans sa vie quotidienne. Les 14 Entraînements à la Pleine Conscience nous aident à cultiver la concentration et la vision profonde qui nous libèrent de l’angoisse et de l’illusion d’un soi séparé.




 

Premier Entraînement : Ouverture d’esprit

Conscients de la souffrance provoquée par le fanatisme et l’intolérance, nous sommes déterminés à ne pas faire preuve d’idolâtrie et à ne pas nous attacher à une doctrine, une théorie ou une idéologie, même bouddhiste. Nous nous engageons à voir les enseignements bouddhistes comme des moyens pour nous guider et développer notre compréhension et notre compassion. Ce ne sont pas des doctrines pour lesquelles nous nous battrons, nous tuerons ou nous mourrons. Nous comprenons que le fanatisme, quelle que soit sa forme, est la conséquence d’une vision dualiste et discriminante. Nous nous entraînerons à regarder toute chose avec ouverture d’esprit et avec la vision de l’inter-être pour transformer le dogmatisme et la violence en nous et dans le monde.

Deuxième Entraînement : Non-attachement aux vues

Conscients de la souffrance provoquée par l’attachement aux vues et aux perceptions erronées, nous sommes déterminés à éviter de faire preuve d’étroitesse d’esprit et de nous attacher aux vues actuelles. Nous nous engageons à apprendre à pratiquer le non-attachement aux vues en gardant l’esprit ouvert aux expériences et aux visions profondes des autres afin de bénéficier de la sagesse collective. Nous sommes conscients que notre savoir actuel n’est pas une vérité absolue et immuable. La vision profonde se révèle par la pratique de l’écoute compatissante, du regard profond et du lâcher-prise des notions plutôt que par l’accumulation de connaissances intellectuelles. La vérité est à trouver dans la vie, nous observerons à chaque instant la vie en nous et autour de nous pour apprendre tout au long de notre vie.

 

Troisième Entraînement : Liberté de pensée

Conscients de la souffrance provoquée quand nous imposons nos vues à autrui, nous sommes déterminés à ne forcer personne, pas même nos enfants, à adopter nos vues, que ce soit en ayant recours à l’autorité, à la menace, à l’argent, à la propagande ou à l’endoctrinement. Nous nous engageons à respecter le droit d’autrui d’être différent, d’exercer sa liberté de conscience et de prendre ses propres décisions. Néanmoins, nous apprendrons à aider les autres à se libérer aussi du fanatisme et de l’attachement aux vues par la parole aimante et un dialogue compatissant.

 

Quatrième Entraînement : Conscience de la souffrance

Conscients que le regard profond sur la nature de la souffrance peut nous aider à développer notre compréhension et notre compassion, nous sommes déterminés à revenir à nous-mêmes pour reconnaître notre souffrance, pour l’accepter, l’embrasser et l’écouter avec l’énergie de la pleine conscience. Au lieu de la fuir et de la masquer par le recours à la consommation, nous ferons de notre mieux pour pratiquer la respiration consciente et la marche méditative afin de regarder profondément ses racines. Nous sommes conscients que c’est seulement en les appréhendant que nous trouverons le chemin de la cessation de la souffrance. Une fois notre propre souffrance pénétrée, nous serons capables de comprendre celle des autres. Nous nous engageons à trouver tous les moyens : contact personnel, téléphonique, électronique, audiovisuel ou autre… pour nous éveiller à la souffrance actuelle présente partout dans le monde. Nous chercherons à aller vers ceux qui souffrent afin de comprendre leur situation et de les aider.

Cinquième Entraînement : Vie saine et compatissante

Conscients que le vrai bonheur est enraciné dans la paix, la solidité, la liberté et la compassion, nous sommes déterminés à ne pas amasser d’argent, de biens alors que des millions de gens meurent de faim, à ne pas vivre dans le but d’acquérir la célébrité, le pouvoir, les richesses ou les plaisirs sensuels qui peuvent provoquer beaucoup de souffrance et de désespoir. Nous regarderons profondément comment nous nourrissons notre corps et notre esprit par la nourriture comestible, les impressions sensorielles, la volition et la conscience. Nous nous engageons à nous abstenir de jeux de hasard, d’alcool, de drogues et de tout autre produit tel que certains sites internet, jeux électroniques, émissions de télévision, films, magazines, livres et conversations, qui peuvent intoxiquer notre corps, notre conscience ainsi que le corps et la conscience collectifs. Nous consommerons de manière à préserver la compassion, la joie, le bien-être dans notre corps, notre conscience et dans le corps et la conscience collectifs de notre famille, de notre société et de la terre.

Sixième Entraînement : Prendre soin de la colère

Conscients que la colère bloque la communication et crée de la souffrance, nous nous engageons à prendre soin de l’énergie de la colère quand elle surgit, à reconnaître et à transformer ses semences qui sont profondément enfouies dans notre conscience. Quand la colère se manifeste, nous sommes déterminés à ne rien dire, à ne rien faire mais à pratiquer la respiration consciente ou la marche méditative pour la reconnaître, l’embrasser et la regarder profondément. Nous sommes conscients que les racines de la colère ne sont pas extérieures à nous-mêmes mais se trouvent dans nos perceptions erronées et dans le manque de compréhension de notre propre souffrance et de celle de l’autre personne. En contemplant l’impermanence, nous pourrons nous regarder ainsi que la personne qui, selon nous, est à l’origine de notre colère, avec les yeux de la compassion et alors reconnaître combien nos relations sont précieuses. Nous pratiquerons la Diligence Juste pour cultiver notre capacité de compréhension, d’amour, de joie et d’inclusivité. Ainsi, nous transformerons progressivement la colère, la violence, la peur en nous et nous aiderons les autres à faire de même.

Septième Entraînement : S’établir heureux dans le moment présent

Conscients que la vie n’est accessible que dans le moment présent, nous nous engageons à nous entraîner à vivre pleinement chaque instant de notre vie quotidienne. Nous essaierons de ne pas nous perdre dans la dispersion, de ne pas nous laisser emporter par les regrets du passé, les soucis du futur ou l’avidité, la colère et la jalousie du présent. Nous pratiquerons la respiration consciente pour être attentifs à ce qui se passe dans l’ici et le maintenant. Nous sommes déterminés à apprendre l’art de vivre en pleine conscience en touchant les éléments merveilleux, rafraîchissants et porteurs de guérison qui sont en nous et autour de nous, quelle que soit la situation. Ainsi, nous pourrons cultiver les semences de joie, de paix, d’amour et de compréhension en nous-mêmes, afin de faciliter le travail de transformation et de guérison dans notre conscience profonde. Nous sommes conscients que le vrai bonheur dépend principalement de notre attitude mentale et non des conditions extérieures. Nous pouvons vivre heureux dans le moment présent simplement en reconnaissant que nos conditions de bonheur sont déjà plus que suffisantes.

Huitième Entraînement : Communauté véritable et communication

Conscients que le manque de communication mène toujours à la division et à la souffrance, nous nous engageons à nous entraîner à la pratique de l’écoute compatissante et de la parole aimante. Sachant qu’une communauté véritable est fondée sur l’inclusivité et la pratique concrète de l’harmonie des vues, de la pensée et de la parole, nous nous efforcerons de partager notre compréhension et nos expériences avec les membres de la communauté afin de parvenir à une vision profonde collective.

Nous sommes déterminés à apprendre à écouter attentivement sans juger ni réagir et à ne rien dire qui puisse entraîner discorde ou rupture au sein de la communauté. A chaque difficulté, nous resterons avec notre sangha et pratiquerons le regard profond sur nous-mêmes et les autres pour en reconnaître toutes les causes et conditions, y compris nos propres énergies d’habitudes. Nous assumerons la part de responsabilité que nous avons probablement eue dans le conflit et garderons la communication ouverte. Nous ne nous comporterons pas en victime mais ferons de notre mieux pour trouver les moyens de nous réconcilier et de résoudre tous les conflits, aussi petits soient-ils.

 

Neuvième Entraînement : Parole sincère et aimante

Conscients que les paroles peuvent être source de souffrance et de bonheur, nous nous engageons à apprendre à dire la vérité de manière aimante et constructive. Nous utiliserons seulement des paroles qui inspirent la joie, la confiance et l’espoir autant que la réconciliation et la paix avec nous-mêmes et avec les autres. Nous parlerons et écouterons de façon à nous aider et à aider les autres à transformer la souffrance et à trouver les moyens de surmonter les difficultés. Nous sommes déterminés à ne pas dire de mensonges dans notre intérêt personnel ou pour impressionner les gens, à ne rien dire qui puisse susciter division ou haine. Nous protègerons le bonheur et l’harmonie de notre sangha en évitant de parler des fautes d’une autre personne en son absence et en interrogeant sans cesse la justesse de nos perceptions. Nous ne parlerons que dans l’intention de comprendre et d’aider à transformer les situations. Nous ne répandrons aucune rumeur et nous nous abstiendrons de critiquer ou de condamner ce dont nous ne sommes pas certains. Nous ferons tout notre possible pour parler ouvertement des situations injustes, même si cela peut nous créer des difficultés ou menacer notre sécurité.

Dixième Entraînements : Protéger et nourrir la Sangha

Conscients que l’essence et le but d’une sangha sont la réalisation de la compréhension et de la compassion, nous sommes déterminés à ne jamais utiliser la communauté bouddhiste pour notre pouvoir ou notre profit personnel et à ne pas transformer notre communauté en un instrument politique. Cependant, en tant que membres d’une communauté spirituelle, nous devrions prendre une position claire par rapport à l’oppression et à l’injustice. Nous ferons tout notre possible pour changer ces situations, sans prendre parti dans les conflits. Nous nous engageons à regarder avec les yeux de l’inter-être pour nous voir et voir les autres comme les cellules d’un corps de sangha. Etant une vraie cellule du corps de sangha qui génère la pleine conscience, la concentration et la vision profonde pour nous nourrir et nourrir toute la communauté, chacun de nous est en même temps une cellule du corps de bouddha. Nous cultiverons activement la fraternité, coulerons comme une rivière et nous exercerons à développer les trois pouvoirs véritables : comprendre, aimer et trancher net les afflictions afin de réaliser l’éveil collectif.

Onzième Entraînement : Moyens d’Existence justes




Conscients que notre environnement et notre société sont détériorés par la violence et les nombreuses injustices, nous nous engageons à ne pas utiliser de moyens d’existence nuisibles aux humains et à la nature. Nous ferons tout notre possible pour choisir des moyens d’existence qui contribuent au bien-être de toutes les espèces sur terre et nous permettent de réaliser notre idéal de compréhension et de compassion. Conscients de la réalité mondiale de l’économie, de la politique et de la société, ainsi que de notre interrelation avec l’écosystème, nous sommes déterminés à nous comporter de façon responsable en tant que consommateurs et citoyens. Nous n’investirons pas et ne commercerons pas avec les sociétés qui contribuent au tarissement des ressources naturelles, qui nuisent à la terre et privent les autres de leur chance de vie.

 

Douzième Entraînement : Respect de la vie

Conscients de la grande souffrance provoquée par la guerre et les conflits, nous sommes déterminés à cultiver la non-violence, la compassion et la vision profonde de l’inter-être dans notre vie quotidienne, à promouvoir l’éducation à la paix, la médiation en pleine conscience et la réconciliation dans les familles, les communautés, les groupes ethniques et religieux, les nations et le monde. Nous nous engageons à ne pas tuer et à ne pas laisser les autres tuer. Nous ne soutiendrons aucun acte meurtrier dans le monde, par nos pensées ou par notre façon de vivre. Nous pratiquerons continuellement le regard profond avec notre sangha pour découvrir les meilleurs moyens de protéger la vie, d’empêcher la guerre et de bâtir la paix.

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Treizième Entraînement : Générosité

Conscients de la souffrance provoquée par l’exploitation, l’injustice sociale, le vol et l’oppression, nous nous engageons à cultiver la générosité dans notre manière de penser, de parler et d’agir. Nous apprendrons à agir avec bonté aimante en œuvrant pour le bien-être des personnes, des animaux, des végétaux et des minéraux, et en partageant notre temps, notre énergie et nos ressources matérielles avec ceux qui en ont besoin. Nous sommes déterminés à ne pas voler et à ne pas prendre possession de ce qui ne nous appartient pas. Nous respecterons les biens d’autrui ; néanmoins, nous essaierons d’éviter tout soutien, sous une forme quelconque, à ceux qui amassent de l’argent et des biens en créant de la souffrance aux humains et aux autres espèces.

Quatorzième Entraînements : Amour véritable 

Pour les membres laïcs :

Conscients que le désir sexuel n’est pas l’amour et que les relations sexuelles motivées par l’avidité ne peuvent pas dissiper les sentiments de solitude mais qu’elles engendrent encore plus de souffrances, de frustration et de solitude, nous sommes déterminés à ne pas avoir de rapports sexuels sans compréhension et amour mutuels, sans engagement profond, durable et connu de nos proches. Sachant que le corps et l’esprit sont un, nous nous engageons à apprendre les moyens appropriés pour prendre soin de notre énergie sexuelle et à cultiver la bonté aimante, la compassion, la joie et la non-discrimination pour notre propre bonheur et pour celui des autres. Nous devons être conscients de la souffrance qui pourrait être provoquée dans le futur par nos relations sexuelles. Nous savons que pour préserver notre bonheur et celui des autres, nous devons respecter nos engagements ainsi que les droits et engagements d’autrui. Nous ferons tout notre possible pour protéger les enfants des abus sexuels et pour empêcher les couples et les familles de se briser à cause de comportements sexuels irresponsables. Nous traiterons notre corps avec compassion et respect. Nous sommes déterminés à regarder profondément les Quatre Aliments et à apprendre les moyens de préserver et de canaliser nos énergies vitales (sexe, respiration et esprit) pour réaliser notre idéal de bodhisattva. Avant de contribuer à l’apparition de nouvelles vies, nous serons pleinement conscients de notre responsabilité et nous méditerons régulièrement sur leur futur environnement.

source/http://villagedespruniers.net

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Se connaitre, pourquoi c’est important

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La sagesse est devenue un mot dépassé bien qu’elle décrivait la plus haute vision de la vie depuis de nombreux siècles. Dans un précédent article j’ai décrit ce qu’est le principe de la sagesse. Mais le seul test valable doit venir de la vie quotidienne. Quelqu’un qui fait des choix judicieux dans la vie devrait en sortir plus heureux et couronné de plus de réussite que quelqu’un qui n’en fait pas. Ce test repose sur le fait de savoir quels sont les choix qui sont sages et ceux qui ne le sont pas.




On peut avoir une vision très large de la sagesse – Cela a été enseigné par Jésus, Bouddha, Confucius, Platon et Mohammed, différents comme ils l’étaient l’un de l’autre. Parce que nous classons ces personnages soit comme religieux, soit comme philosophe, l’application de la sagesse aux dures réalités du travail, de la famille, des relations, etc. a été largement ignorée. Ceci est je pense une grave erreur. La sagesse traite de l’habileté à vivre ici et maintenant.

Dans l’article précédent je suggérais que la première condition pour quiconque veut être sage est un désir de connaître la réalité. Les traditions de la sagesse du monde s’accordent sur ce point. Le désir de connaître la réalité implique de nombreux points. Le premier d’entre eux est que la réalité n’existe pas véritablement devant nos yeux. Il est voilé par l’illusion et l’illusion est née de l’esprit. Voici une liste d’idées illusoires auxquelles adhère un nombre incalculable de personnes aujourd’hui, comme c’était le cas 2000 ans plus tôt.




• L’illusion d’habiter un corps séparé
• L’illusion d’avoir un esprit séparé
• L’illusion de croire que le bonheur vient de l’emphase du plaisir et de la réduction de la douleur
• L’illusion que nous sommes seuls dans l’univers, coupés d’une puissance ou d’une intelligence supérieure
• L’illusion de la mort comme une fin imposante
• L’illusion que la vie n’est pas juste du fait du hasard et des accidents
• L’illusion que les objets physiques sont la mesure de ce qui est réel
 
La dernière illusion est appelée matérialisme qui s’impose et ce n’est pas nouveau, dans la culture moderne avec une énorme validation du monde scientifique. Si vous êtes un pur matérialiste, toutes les autres illusions de la liste  vous apparaitront plutôt comme la réalité. Comme Richard Dawkins et d’autres matérialistes scientifiques le font valoir rapidement, « bien-sûr » l’univers est dû au hasard, dépourvu d’une intelligence supérieure, et purement physique. « Bien-sûr » Dieu est absurde; nous sommes absolument seuls, et la meilleure vie consiste à avoir le courage de vivre avec la solitude jusqu’à ce que la mort vous appelle inévitablement et vous êtes éteint à jamais.

La sagesse n’est pas de tourner le matérialisme « en bourrique » et de dire non à Dawkins et compagnie (bien que cela puisse être un bon début). La sagesse consiste à prendre sérieusement en compte que la réalité puisse être différente du spectacle qu’elle offre quotidiennement à nos yeux et de prendre ensuite le temps d’investiguer sérieusement la validité de chacune de ces illusions. Les sceptiques protestent que la « philosophie pérenne » qui épouse la sagesse s’accumule à une pensée faite de vœux et de promesses vides. Je pense qu’ils ont tout compris de travers. Le matérialisme a promis beaucoup plus qu’il ne peut fournir, comme en témoigne l’épidémie de dépression et d’anxiété dans notre culture, la poussée de stress chronique et le sentiment de vide qui provient d’un consumérisme sans fin et la poursuite de distractions pour remplir ce vide intérieur.



La motivation à trouver un meilleur chemin existait il y a des milliers d’années sous des conditions bien plus sévères pour l’individu moyen mais elle ne s’est pas éteinte en gagnant plus de confort. Le voyage vers la sagesse peut aussi se révéler fascinant parce qu’il impose d’explorer votre propre conscience, en trouvant des connections vers l’âme, en frappant à la source de l’intelligence cosmique et en maîtrisant  de nombreuses aptitudes dans la conscience qui sont inconnues à ceux qui se satisfont d’une vie de vernis.

« Connais-toi toi-même » n’était pas un sage conseil parce qu’il disait aux gens de connaître ce qu’ils aimaient et ce qu’ils n’aimaient pas et de suivre les impulsions de leur égo et de rechercher constamment le numéro un. « Connais-toi toi-même » était un sage conseil pour dire aux gens de regarder au-delà de ces choses, pour qu’ils trouvent leur vrai soi sous les distractions et les appels du je, du moi et du mien. Dans un prochain article, nous examinerons les récompenses du vrai soi et comment les acquérir. source www.lesmotspositifs.com

Deepak Chopra (Extrait du livre)

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