Méditer pour élever votre taux vibratoire

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La méditation est un outil très utile pour qui désire élever son taux vibratoire. Il n’y a pas une technique unique pour méditer et augmenter son taux vibratoire. C’est plutôt un concept à comprendre, un principe à saisir pour l’appliquer et pour diriger son travail méditatif dans le bon sens. Vous aussi, vous pourrez bientôt méditer et élever votre taux vibratoire.

Taux vibratoire et méditation

Comment élever son taux vibratoire

Notre taux vibratoire s’élève à mesure que l’on devient conscient du monde, que l’on s’ouvre à lui et que l’on affine notre perception de ce qui nous entoure, de ce qui existe plus ou moins loin de nous. Il nous faut devenir de plus en plus conscient et toujours chercher à déceler de plus en plus précisément ces éléments qui ne font tout d’abord que nous effleurer. Lorsqu’on les perçoit dans toute leur puissance malgré leur apparente légèreté, on a alors élevé son taux vibratoire, on a affiné nettement l’énergie que l’on diffuse.

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Il faut aussi chercher à nous débarrasser des éléments négatifs nous empêchant d’avancer. En ne nous focalisant plus sur les seuls parties négatives de ce qui nous entoure, nous nous ouvrons à la lumière de chaque chose, à l’énergie positive qui peut alors venir nous enrichir et nous élever à notre tour.

Méditer pour élever son taux vibratoire

Méditer pour élever son taux vibratoire demande donc un travail conscient d’affinage de ses perceptions. Il faut en permanence chercher à percer à jour ce qui repose dans l’ombre. En le portant ainsi à la lumière de notre être, il est possible de s’en enrichir, sans jamais rien ôter de leur beauté, de leur richesse à ces objets de l’esprit que l’on observe et découvre. Il faut également chercher à rendre toujours plus fortes les impressions ténues que l’on ressent à peine. On affine alors son être, sa capacité de sensations. D’un être brut, lourdaud, l’on peut devenir un être de plus en plus raffiné, sans rien sacrifier de sa force, de sa puissance, en sachant simplement bien mieux les maîtriser et les diriger pour en faire des outils toujours plus efficaces.




En méditant, il nous faut découvrir par un long travail de recherche en soi ce que sont les boulets que l’on a attachés à ses pieds. Il faut s’assurer de ne jamais être entraîné vers le fond par des poids qui n’ont pas de raisons d’être. Ce sont souvent des jugements que l’on porte, des ennemis que l’on se crée que viennent les difficultés. À nous de ne pas nous alourdir inutilement, de savoir traverser l’existence en se consacrant plus à la découverte qu’à la critique. Cela, la méditation peut nous l’apprendre en nous montrant les causes de toute chose, en faisant de nous des êtres capables de déceler ce que d’autres ne peuvent seulement imaginer.

Vous pouvez, si vous le voulez, appliquer une technique tout simple.

  1. Imaginez une lumière pure, aussi pure que vous pouvez le concevoir.
  2. Laissez-la entrer en vous, visualisez cette lumière avec autant de réalité que possible. Efforcez-vous de la créer, de lui donner vie, de ne plus seulement l’imaginer. Lorsqu’elle entre en vous, par la tête, la lumière vous purifie. Elle ne se charge pas de vos basses vibrations, elle est trop pure pour cela, mais elle vous débarrasse des vôtres.
  3. Laissez cette lumière descendre, ressentez la bienveillance en elle à votre égard. Voyez comme elle se diffuse à travers votre être et en dépasse les frontières, parce qu’elle rayonne pour l’instant bien plus que vous ne le pouvez.
  4. Lorsque vous êtes empli de lumière, profitez de sa chaleur, de sa pureté aussi longtemps que vous le pouvez.
  5. Lorsque vous sentez qu’elle vous fuit, prenez le temps de l’accompagner, de la faire sortir en douceur, en vous sentant plein d’énergie, de sensations nouvelles, fines, précieuses.

Méditer pour élever son taux vibratoire est simple, mais long, parce qu’il faut s’appliquer à exercer un être qui n’est tout d’abord que fruste, maladroit, grossier dans ses manières. Puis à mesure que l’on travaille, l’on découvre ce qu’il est possible d’atteindre, et l’on ne peut que s’en inspirer.

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LE JUGEMENT

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par Monique Mathieu

» Qu’est-ce réellement que le jugement ? Pour l’un, le jugement correspond à tel comportement ; pour l’autre, le jugement correspond à l’appréciation d’un événement ou au regard qu’il a sur une situation ou sur autrui.




Le jugement demande de la sobriété ! Souvent le jugement est porté par l’ego. Un être humain a malheureusement le travers, il faut le dire, de ramener tout à lui, c’est-à-dire que lorsqu’il voit une situation et il la ramène à lui à sa convenance, il dit « moi, dans telle circonstance, j’agirais de telle façon ». Là, c’est l’ego qui peut parler, mais aussi le jugement !

Les personnes veulent toujours que les autres correspondent à ce qu’elles sont elles-mêmes ! Cependant chacun est unique et réagit d’une façon unique ; chacun aime d’une façon unique ! C’est là la beauté de la Vie ! Si vous étiez tous totalement semblables, ce serait d’une tristesse absolue ! Il ne pourrait même plus avoir d’évolution puisque, lorsque vous êtes en famille, avec des amis ou dans un groupe, chacun de vous évolue selon le regard qu’il a de l’autre.

Vous évoluez dans le non-jugement et grâce à l’acceptation de ce qu’est l’autre. Mais, encore une fois, le non-jugement est arbitraire.

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Le jugement primaire, c’est ramener à soi ce qu’est l’autre (ce que vous aimeriez qu’il soit et qu’il n’est pas). Nous espérons que vous comprenez, ce n’est peut-être pas facile à exprimer, mais c’est la réalité.Nous allons quand même vous rassurer : même si parfois vous portez une petite appréciation sur une situation, une petite appréciation qui pourrait même déborder un tout petit peu sur un jugement, voire même sur une critique, n’en tenez pas trop compte ! C’est l’effet d’un moment ! Vous êtes peut-être fatigué ou vous n’êtes pas en harmonie avec vous-même, ce qui est possible. Aujourd’hui, vous pouvez être totalement en harmonie avec vous-même (et dire « tout est merveilleux » !) et, demain, ne plus l’être pour différentes raisons.

Vous oubliez, en tant qu’humain, que vous êtes en permanence pris dans un immense tourbillon d’énergie et vous avez parfois beaucoup de difficulté à vous stabiliser. Ce tourbillon d’énergie est un tourbillon évolutif. C’est comme si vous étiez en permanence dans un tourbillon ascensionnel qui vous fait monter toujours plus haut.

Il faut garder votre équilibre dans cette espèce de montée vertigineuse vers une autre conscience, vers d’autres vibrations, vers d’autres énergies, vers une connaissance supérieure, que ce soit de ce que vous êtes, de l’Amour ou tout simplement de tout ce qui vous entoure.

Alors, soyez très tolérant vis-à-vis de vous-même et vous serez alors automatiquement tolérant vis-à-vis des autresSi vous ne vous jugez pas vous-même, vous n’aurez pas envie de juger les autres ! Si vous n’êtes pas totalement dans la culpabilité, vous ne culpabiliserez même pas les autres !

Mais il faut malheureusement vous dire ceci : l’éducation a été donnée totalement de travers… Depuis des millénaires, l’éducation et le cours de la vie ont été axés essentiellement sur les religions, avec ce qui est tabou, avec ce qu’il faut faire ou ne faut pas faire. Vous aviez sans cesse des directives à appliquer.

Où était la place de l’homme dans ces directives ? L’homme n’avait plus sa place ! Il ne pouvait même pas l’avoir, car il ne la connaissait pas ! L’homme a donc été, pendant des milliers d’années, soumis aux religions, à des morales, à des directives. Il n’existait qu’au travers d’elles ! Maintenant, malheureusement, il existe trop au travers de la politique (c’est une autre histoire et nous n’allons pas aborder ce sujet).

À travers tout cela, nous voulons dire : restez libre ! Ne restez plus soumis aux vieilles lois ! Ne restez plus soumis aux vieilles religions ! Ne restez plus soumis au « péché » ! Le mot « péché » est un mot terrible ! C’est un poids qu’on vous a mis sur les épaules et vous ne pouvez plus vous relever… Vous vous rendez-vous compte de ce que signifie ce mot ? C’est un mot à bannir ! Ce mot-là ne devrait plus exister !

C’est comme le mot « culpabilité » ! Vous avez fait tel ou tel acte, alors vous êtes « coupable » !

Encore une fois, on vous met des poids énormes sur les épaules ; ce que vous avez fait n’est pas beau, ce que vous avez dit n’est pas beau, etc.

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Enlevez toute culpabilité ! La culpabilité est parfois tellement lourde à porter que cela peut très profondément perturber psychologiquement les humains et peut même les amener à se détruire…

La religion de demain sera celle de la tolérance ! Ce sera celle de l’Amour et de la Sagesse. Ce sera une religion qui libère les humains, sans les enfermer dans la culpabilité, dans le péché, dans tout ce qui a façonné l’humanité depuis des milliers d’années.

Vous êtes maintenant dans une autre vie, dans un autre paradigme, donc dans une autre vibration, dans une autre conscience. Tout ce qui a existé avant 2012 n’a plus la même réalité, la même valeur.

Maintenant, vous devez intégrer d’autres codes. Ces codes-là vous rendent libres, à vous de les accepter ou de rester dans l’ancienne énergie où vous retrouvez le non-pardon, le non-pardon à soi-même, la culpabilité, tous les vieux schémas qu’il faut réellement enlever de votre conscience.

Vous avez été tellement imprégné de tout cela ! Vous en avez hérité parce que vos grands-parents, vos parents, comme vous à vos enfants, avez redonné ce qui vous a été enseigné et qui fait partie de votre mauvaise culture ; nous disons bien de votre « mauvaise culture » !

Maintenant, il faut essayer d’aller vers une bonne culture, celle qui vous élève, celle qui vous déculpabilise, celle où vous prenez conscience du pardon que vous devez accorder, d’abord à vous-même ! La bonne culture vous rend libre, tout simplement. Vous y parviendrez ! Vous y parviendrez parce que l’être humain est pris dans un tourbillon évolutif et qu’il ne peut pas régresser. Il peut s’asseoir sur le bord du chemin ou rester avec un acquis, mais il ne régressera pas.

C’est le cadeau qui est le vôtre ! Ce que vous avez acquis ne vous sera pas enlevé ! Vous l’avez vécu, vous avez expérimenté. Si vous ne pouvez aller plus loin – pour telle ou telle raison, peut-être pour des raisons de programmation – ce que vous avez acquis vous restera acquis jusqu’à la prochaine existence.

Il y aurait encore tellement de choses à dire en ce qui concerne la culpabilité ! Nous aimerions déculpabiliser les humains, quoi qu’ils aient pu subir, quoi qu’ils aient pu faire, en leur disant : « ce sont les expériences que vous avez choisies ! »

À partir du moment où vous commencez à être dans la vibration Amour, il n’y a plus de culpabilité, il n’y a plus de péché ; il y a le pardon, pour soi-même et pour les autres.

Encore une fois, l’Amour est la clé ! L’Amour aplanit tout ! Les choses les plus difficiles de l’existence sont aplanies par Amour et dans l’Amour ! »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à  notre site  https://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
  • www.eveil.tv

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JOIE DE VIVRE, S’INSPIRER DES ENFANTS

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Les enfants escaladent les arbres, sautent dans des flaques d’ eau, sont plein de spontanéité et d’ insouciance… Essayons de nous inspirer d’ eux, cela nous fera le plusgrand bien.

Les enfants sont plus courageux et entreprenants que nous, et en plus, ils savent communiquer
avec les autres et déléguer les corvées ! Pour leur plus grand bonheur, les enfants viventl’ instant présent, ne pensent ni au passé ni à l’avenir. Si nous pouvions conserver toute notre
vie cette légèreté de l’ enfance, nous serions heureux, plus décontractés, moins stressés.

Quoique… Nous avons également besoin de sérieux et de sens des réalités.
Sans retomber dans l’ enfance, nous pouvons tout de même reprendre à notre compte quelques points forts des jeunes enfants pour plus de bien-être!

  •     Ils rient le plus souvent possible 


Les enfants rient environ 400 fois par jour , tandis que nous, les adultes , seulement en moyenne 15 fois …
Pour cette raison, les enfants sont de meilleure humeur, plus optimiste et en meilleure forme.

Comment s’ en inspirer ?

 Faites vous contaminer consciemment. Regardez plus de comédies, entourez-vous de personnes  gaies qui voient la vie du bon côté. C’ est contagieux.

  •     Ils ont une capacité à s’ étonner des choses 


Il est rare de voir un adulte ouvrir grand les yeux et la bouche par respect et/ou par étonnement comme le font les enfants face à quelque chose qui les impressionne.

Pourtant, associer une attitude imperturbable à l’expérience, au savoir et au savoir-faire est un tort! Les personnes qui paraissent trop sérieuses ne sont pas intelligentes, mais blasées. A l’ inverse,  les hommes et les femmes très instruits et cultivés comme les  chercheurs, ou , tout simplement ceux qui ont une passion sont capables de s’ étonner avec respect.
Or, le fait de s’étonner rend enthousiaste et plus heureux.

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Comment s’ en inspirer ?

Essayez de trouver des réponses aux interrogations des enfants et, surtout, posez-vous
des questions sur des choses qui vous paraissent aller de soi, comme ouvrir les yeux et
redécouvrir les merveilles de la nature.

  •    Ils se moquent de la valeur matérielle


Les enfants n’ accordent pas d’importance au prix ou à l’ apparence d’un objet.
La preuve, essayez de remplacer leur nounours sans œil ou sans oreille par un jouet
flambant neuf … Un enfant mise sur des objets qui l’ ont rendu heureux dans le passé,
qu’ il affectionne, et peu importe s’ ils sont abîmés !

Comment s’ en inspirer ?

En tant qu’ adulte, il nous est impossible d’ignorer la pression sociale autour des biens
matériels.
Par ailleurs, il est satisfaisant de pouvoir s’ acheter de beaux objets. Mais se souvenir de
ce qui est réellement important permet de prendre un peu de distance avec la valeur des
choses et les biens de consommation. De temps en temps, cela fait du bien !

  •     Ils savent être insouciants 
 
Bien sûr, un enfant peut être préoccupé, triste, de faire du souci : mais quelques instants
 après,il est capable de penser à autre chose et de retrouver son insouciance. La vie n’ a
jamais autant de simplicité que pendant l’ enfance !
Comment s’ en inspirer?
 
Interrogez-vous régulièrement sur l’importance des problèmes qui vous tourmentent.
 Cela vous permettra, dans la grande majorité des cas, de vous rendre compte à quel
point ce qui nous enlève notre insouciance s’avère, en réalité, le plus souvent parfaitement
 insignifiant !
  •  Ils prennent le temps de l’ observation.

 

Comment fait l’ araignée pour tisser sa toile ? Comment le chien trouve-t-il un objet
caché? Un enfant sait répondre à ce genre de questions, mais aussi à d’autres, car il observe
 de la même  façon le comportement des humains et questionne: » Pourquoi tu pleures? » ou
 « pourquoi dis tu que ce monsieur est handicapé?

Comment s’en inspirer?

Observer, se poser des questions est une attitude qui nous permet, nous, adultes de mieux
comprendre les réactions des autres et de réajuster notre comportement. Quand on observe
bien et que l’on pose des questions directes, nous évitons malentendus, vexations, silences …

  • Ils arrivent vraiment à se concentrer 
 
Souvent, les enfants sont tellement plongés dans leur activité qu’ils oublient tout ce
qui est autour d’eux, ce qui provoque une sensation (et plus tard des souvenirs) d’un
 bonheur profond.
Comment s’ en inspirer?
 
L’ immersion totale dans une activité n’est possible que si elle nous plait.Pour y arriver,
oubliez la capacité trop souvent valorisée de faire plusieurs choses à la fois! elle ne mène
qu’au stress et à la médiocrité.
Si vous voulez accomplir une chose à la perfection, accordez-lui toute votre attention et
donnez-vous tous les moyens pour réussir! vous en retirerez alors de la satisfaction et une
profonde sensation de bonheur.

  • Ils font preuve d’un peu d’égoïsme
Les enfants demandent sans hésitation, et sans mauvaise conscience :  » Tu peux lacer
mes chaussures ? Tu peux m’ouvrir le paquet de biscuits ? » Ils acceptent des cadeaux
sans se sentir aucunement obligés de rendre la pareille et ils se réjouissent sans vergogne
de leurs succès, de leurs progrès et du moindre compliment.
Comment s’ en inspirer ?
 
Si l’ on vous complimente sue votre  tenue, ne répondez pas :  » Elle est toute vieille ».
Dites plutôt:  » Merci, je l’aime beaucoup » et faites ,vous aussi, des compliments: en se
réjouissant du bonheur des autres,  et en le montrant, on augmente la probabilité que les autres réagissent de la même façon devant nos réussites.
  • Ils vont vers les autres et font le premier pas sans hésiter 
Nous remarquons immédiatement le nouveau venu asiatique à la maternelle. Nous
nous demandons alors : sait-il parler français ? Pourra-t-il jouer avec notre enfant ? Les
enfants, eux, haussent les épaules quand on leur demande s’ils ont remarqué quelque chose
de particulier chez le nouveau venu. De leur point de vue, chaque enfant est un camarade
de jeux potentiel, et il ira lui demander de jouer avec lui.
Comment s’ en inspirer?
 
Beaucoup d’adultes partent de l’idée qu’ils ne sont pas assez intéressants pour aller vers les
 autres, ce qui les empêche d’ être décontractés et plus confiants dans leurs démarches.
Pourquoi ne pas oser une tentative d’ approche ? Si l’ autre n’ est pas intéressé, tant pis
pour lui. A l’ inverse, beaucoup partent de l’ idée que si l’ autre est différent, c’ est qu’il
est inintéressant.  Pourquoi ne pas oser une tentative d’ approche ? Vous pourriez être
surpris de ce que peut vous apporter l’ autre en termes de richesse intérieure et de
chaleur humaine.
  •  Ils pardonnent facilement 
Les enfants ne sont pas rancuniers. Capables de se disputer, de se bagarrer, ils se
réconcilient quelques instants après. Sans ressasser par la suite de vieilles histoires.
Comment s’ en inspirer ?
 
La rancœur empoisonne la vie sans apporter la moindre solution! Or, notre rancœur est
la conséquence en même temps que le fruit de notre réaction.
Soit, nous rendons l’autre responsable d’un fait, soit nous allons essayer de comprendre la
situation qui l’ a poussé à se comporter de façon si déplaisante. Essayer de comprendre les
réactions de quelqu’un permet de lui pardonner.
  • Ils ne se découragent pas après l’échec 

Avant de faire ses premiers pas , un enfant tombe en moyenne 500 fois ! Et même s’ il

pleure, il n’ abandonne jamais. Il apprend de ses erreurs et ne se décourage pas. Sinon,
il ne ferait pas de progrès.
Comment s’ en inspirer ?
 
Imaginez votre réussite ainsi que ce que vous allez ressentir après avoir surmonté tous
les obstacles. La fierté, l’ euphorie et le bonheur méritent bien une deuxième tentative !
Si vous continuez à douter, établissez une liste avec tout ce que vous avez réussi jusqu’à
présent dans la vie: cela augmente l’estime de soi et encourage à continuer !
 
 
                                   Nous ne sommes que de grands enfants 

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PRÉPARONS LA CROISSANCE À VENIR

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FARABER LE FAUNE DU FIGUIER transmis par Alain Titeca

Bonjour à toi, Je suis Faraber le faune protecteur de ce figuier et gardien de ce secteur.

Nous sommes dans les jours de renaissance qui succèdent à Imbloc. Le flux de la vie circule partout dans la nature. Les premiers signes du renouveau de la vie apparaissent mais restent encore fragiles. Sur tous les arbres naissent les bourgeons. D’ici une quinzaine de jours si les températures sont clémentes vous pourrez commencer à les récolter pour en faire des remèdes.

La période actuelle qui suit Imbloc est essentielle pour tous les élémentaux mais aussi pour le bon déroulement des cycles naturels à venir sur l’ensemble de l’année. Tout d’abord la période marque l’avènement d’un nouveau cycle de vie pour la nature. Chacun s’affaire et s’emploie à préparer l’arrivée de la vie. Cette période est véritablement un temps de préparation des floraisons ainsi que des fructifications à venir. Chaque être du monde végétal, animal et élémentaire s’attache à poser les bases de la croissance future. La période reste sensible, le moindre accroc dans le redémarrage de la vie est susceptible de compromettre la suite. Un commencement est toujours un moment d’une délicatesse extrême.

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Dans ce passage, la collaboration avec votre monde humain est bienvenue. Durant cette période beaucoup de jardiniers aiment travailler la terre. Je voudrais aujourd’hui attirer votre attention sur le fait que la terre n’a pas besoin d’être retournée en profondeur. En effet Gaïa possède ses propres moyens de régénération. Elle a besoin avant tout de respect, de compassion et d’amour. Vous êtes des semences d’étoiles et votre pouvoir est immense, bien plus grand que ce que vous imaginez. Vous pouvez faire rayonner la vibration de l’Amour partout où vous passez. Souvenez-vous chaque petite graine d’amour semée dans l’instant laisse une trace éternelle. Tout ce qui vient du cœur se répand à l’infini dans l’univers, alors rayonnez.

Comme tout est un, dans chaque endroit que vous visitez, à chaque fois que vous déposez la vibration de l’Amour grâce à votre seule présence, c’est Gaïa dans sa globalité qui s’en nourrie.

Humilité et Gratitude

Alain Titeca

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Lunaire ☾ Pleine Lune du 19 février ☽ en vierge

astrologie

par Ozalee

Ressens. Dans ton corps. Ressens comme le renouveau a pris possession de ton être. Les idées n’ont pas forcément pris forme, mais elles ont une direction. Tu as une direction. Oh, peut-être ne peux-tu pas la nommer, la définir encore totalement, mais lâche prise là-dessus veux-tu? La chenille ne sait pas qu’elle sera un papillon, mais la transformation a tout de même lieu. Alors aie la foi. Foi que ce passage par lequel tu passes jusqu’à la prochaine nouvelle lune va te donner des ailes. Pour aller où? Ce n’est pas la bonne question. Pour vivre quoi? Serait plus approprié. Parce-que ce qui compte aujourd’hui n’est pas le résultat – ce qui est fini – mais l’expérience que tu vis. Pour certains cette expérience est d’ores et déjà florissante. Les portes semblent s’ouvrir d’elles-mêmes et il n’y a plus qu’à organiser, planifier…sans oublier de se ramener au présent et de se souvenir: c’est toi qui est important, pas ce que tu fais.




Pour d’autres, les portes semblent rester silencieuses, t’obligeant – n’est-ce pas là une chance?– à rester centré sur toi afin d’ancrer et d’assainir tes fondations parce-que le voyage qui s’annonce va t’amener plus loin que tu ne peux l’imaginer.

Nous te le disons de suite: la vie est chaotique. Elle ne répond à aucune logique que ton mental peut assimiler. Et c’est en cela également que tout est possible. Si tu crois dur comme fer que pour obtenir un résultat donné, il faut absolument suivre une méthode pour y parvenir, alors tu t’enfermes, tu te coupes les ailes. Par contre, si tu as conscience que les méthodes sont avant tout présentes pour donner un soutien à ton oeuvre (comme le chevalet pour la toile), que tu y mettes de ta couleur – souviens toi de ta différence – alors tu seras libre et vivant.

Pour le dire autrement, tu peux rester cloisonné dans tes croyances, mais nous te rappelons que ces dernières viennent bien souvent te limiter. Alors? À quoi ressemblent les murs de ta prison? Quelles graffitis – croyances – sont écrits au marqueur et viennent t’arrêter dès que tu te mets à rêver?

Il est essentiel en cette période de prendre de la hauteur. Pour ne plus se heurter aux murs, mais les voir se dissiper. Pour ne plus être esclave de ses propres peurs, mais en voir les contours, les aimer, et ainsi s’en libérer. Sans oublier que ces peurs, mêlées parfois de colère ou de frustration, sont comme une alarme qui te rappelle que: tu souhaites vivre autre chose. Mais quoi? Pour le savoir il convient de ne pas t’identifier aux émotions, aux pensées ou encore aux projets. Il convient d’aller au-delà du désir de reconnaissance, afin de commencer à vibrer du message que tu souhaites véhiculer: pas forcément par la parole, mais par ton attitude, ta façon d’être, plus que celle de faire.

wallup.net

Quand le jeune cherokee demande à son grand-père quel loup va gagner la bataille, dans la majorité des récits qui nous sont parvenus, le vieil homme répondra par l’affirmation suivante: celui que tu choisis de nourrir gagnera. Cependant, il existe aussi une autre version qui est peut-être plus intéressante.

Dans cette dernière, le vieux guerrier cherokee indique à l’enfant qu’en réalité, les deux loups doivent gagner car cette bataille n’est pas un jeu de forces mais un jeu d’équilibre. Il faut nourrir les deux loups parce que les deux en ont besoin, nous devons être capables de les guider tous deux sur le bon chemin…

Ne nourrissez pas qu’un loup : les deux doivent être pris en considération

Il y a des moments dans notre cycle vital où nous avons la très nette sensation d’être dans une montagne russe. Tout est composé de montées et de descentes, d’instants où nous profitons d’une chance incommensurable et de moments où, presque sans savoir pourquoi, nous sommes touchés par l’adversité, la tristesse, la rage et le désespoir.

La vie peut être gaie ou triste, bienveillante ou brutale, l’être humain tisse de complexes histoires d’amour et de haine, de sérénité et de pertes, en étant conscient que, effectivement, à l’intérieur de lui, il y a toujours deux forces opposées qu’il ne sait pas très bien contrôler et qui se livrent des batailles féroces.

Ainsi, la légende cherokee des deux loups nous explique qu’il ne s’agit pas de nourrir un seul loup et de laisser l’autre mourir de faim. L’être humain est l’essence même du yin et du yangde cette dualité qui, au lieu d’écarter une partie, de l’éliminer ou de la mettre dans un coin obscur, doit être prise en compte, être mise en avant et être contrôlée pour être vécue en équilibre.

Mais comment? Sans plus céder à la panique, sans plus rejeter cet inconfort qui peut prendre de plus en plus de place – pour certains – dans ton quotidien. Ne plus attendre que l’extérieur te sauve, mais devenir ton plus grand serviteur en allant trouver l’information qui te manque, en t’ouvrant au monde, et non pas en te barricadant. N’oublie pas: tu n’es pas seul. Grâce à ta présence, l’humanité tout entière avance, évolue, change. Tu es relié à tous les autres. Et s’il était temps de faire connaissance?

Ainsi tu permettras au mouvement, à la vie elle-même, de circuler.

En cette période, certains peuvent aussi camper sur leurs positions et crier à qui ne veut pas l’entendre qu’ils ont raison. La raison au même titre que le cœur n’a pas besoin de se revendiquer. Alors quelle est la part de toi qui a mal et qui se protège en voulant avoir raison? Parce-que des incompréhensions pourraient avoir lieu, chacun étant sincère dans son ressenti, mais dans l’impossibilité de communiquer justement ce ressenti. Alors? Il n’y a rien à dire, tout à ressentir et à vivre encore une fois.

C’est aussi en cela que cette période va vous aider à ressentir votre justesse. Vous pourriez ainsi vous sentir fatigué ou encore tomber malade afin de ralentir, vider l’esprit et le reste, et vous retrouver. Ce sera ainsi un temps appréciable pour revenir à vos fondamentaux et à vous rendre compte que vos valeurs – ce qui compte le plus pour vous – sont en pleine transformation.

Ce qui est beau, c’est que vous vous sentirez prêts à mettre en avant ces nouvelles valeurs. Vous vous sentez prêts à commencer un nouveau chapitre de votre vie. Vous avez le goût d’exister! Et sachez que tout le long de cette année cette envie de vivre, d’exister, sera fort présente. Vous serez ainsi confronté à votre besoin de reconnaissance. Vous remarquerez que vous attendez ainsi de l’extérieur plus qu’il ne peut vous offrir. Alors, il est d’ores-et-déjà temps de vous reconnaître vous-même.

Qu’aimerais-tu entendre de la part des autres?

Eh bien, dis toi ces choses. Prends soin de toi. Simplement. Aime toi.

Auteur: Farah Sahbi – Ozalee

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Le langage corporel de la peur

Le langage corporel de la peur se manifeste d’abord dans les micro-expressions faciales. Des sourcils légèrement relevés, un front tendu et une bouche entrouverte sont des signes indubitables que la peur s’est emparée d’une personne.

Bien que la peur soit normale et parfaitement légitime, il y a des situations où son externalisation n’est pas dans notre meilleur intérêt. Un entretien d’embauche, par exemple, ou une exposition publique, voire un procès. Malheureusement, ou heureusement, il existe un langage corporel de la peur qui raconte souvent l’histoire de ce qui se passe en nous.

Bien qu’il n’existe pas de dictionnaire pour interpréter le langage corporel de la peur, nous sommes tous équipés d’une sorte de radar qui nous permet de lire ses signaux. Ce n’est pas une interprétation rationnelle de l’ensemble. Nous sentons simplement que quelqu’un a peur et agit inconsciemment en conséquence. C’est-à-dire, nous nous méfions de ceux qui se méfient d’eux-mêmes ou nous avons un sentiment de plus grande puissance quand nous percevons la vulnérabilité de l’autre.

Il est important de connaître le langage corporel de la peur. Si nous en maîtrisons les manifestations, nous pouvons alors avoir un peu plus de contrôle sur celui-ci. En principe, nous obtenons deux avantages : le premier est de capturer la peur des autres, même s’ils ne l’expriment pas ouvertement. Et deuxièmement, gérer notre propre attitude et notre posture de manière à ne pas permettre que la peur se projette, si nous ne le souhaitons pas. Nous allons désormais vous présenter les principales clés de ce langage.

« Le timide a peur avant le danger, le lâche au milieu du danger, le courageux après le danger. »

-Jean-Paul Richter-

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Reconnaître les Peurs

Les micro-expressions de notre visage

Le visage est peut-être l’élément le plus bavard du langage corporel de la peur. C’est dans le visage que la peur se reflète d’abord. Parfois le geste est très évident, d’autres fois caché, mais il se produit. D’autre part, le fait qu’elle soit plus ou moins évidente dépend dans de nombreux cas de l’intensité de l’émotion.

Quoi qu’il en soit, il y a des gestes qui sont assez faciles à identifier. Le premier consiste à lever un peu les sourcils, tandis que l’espace entre les sourcils reste tendu. Si la peur suit la surprise, le mouvement des sourcils sera plus évident. S’il s’agit d’une situation qui engendre la peur, mais dans laquelle il n’y a pas de surprise, la tension entre les sourcils prévaudra.

Les paupières inférieures sont généralement tendues. De même, la bouche s’entrouvrira un peu, mais les coins des lèvres seront rejetés en arrière. En général, c’est comme si tout le visage était contracté à l’envers. Comme s’il y avait quelque chose qui tire sur le visage, alors même qu’il y a une résistance à cette traction.

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La posture et le langage corporel de la peur

La posture est également un élément très important du langage corporel de la peur. En général, lorsque nous avons peur, nos muscles se contractent et nous adoptons des postures dans lesquelles nos organes vitaux sont protégés. La première chose qui arrive, c’est que nous nous abaissons ou que nous nous taisons (nous prenons moins de place). C’est une expression qui dénote un désir de se réfugier en soi pour se protéger.

L’insécurité, la nervosité et l’anxiété sont des manifestations de la peur. Ces trois états sont généralement révélés lors de mouvements rapides ou compulsifs. Une personne qui a de la difficulté à rester immobile est une personne qui n’est pas calme. Lorsque la peur est très forte, les mouvements sont également susceptibles d’être plus abrupts ou maladroits.

De la même façon, il est courant pour quelqu’un qui a peur de croiser les bras. Ce geste est un signe de défense. La personne génère une sorte de barrière qui la protège et la sépare du monde. Cette barrière peut aussi être une manifestation du désir de préserver les siens, de rejeter ce qui n’est pas à soi.

Les autres gestes qui trahissent la peur

Il y a d’autres gestes et expressions qui font partie du langage corporel de la peur. Par exemple, le regard. La nervosité rend le regard évasif, tandis que la fréquence des clignotements augmente. Mais si une personne ressent de la peur, pure et dure, elle laisse généralement ses yeux immobiles, fixe son regard et cligne à peine des yeux. C’est un mécanisme activé par la peur. Le but étant de garder un œil sur la menace.

D’autre part, les mains font aussi partie de la communication et expriment des émotions. La peur ne fait pas exception à cette règle. Lorsqu’une personne ressent de la peur, elle se tord et entrelace souvent les mains. Il est également fréquent que les poings soient fermés ou que les mains soient cachées. Ne pas laisser voir les extrémités est un acte instinctif de défense, car elles sont une cible commune d’attaques dans le monde animal.

En général, lorsqu’une personne a peur, elle a tendance à avoir des mouvements courts, rapides et erratiques. Et quand quelqu’un est franchement terrifié, c’est le contraire qui se produit : il est paralysé. Dans le premier cas, la personne ne reste pas immobile ; dans le second, elle reste très statique, le corps rétréci et penché vers l’avant. C’est ainsi que se manifeste le langage corporel de la peur.

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Combattre la peur selon le bouddhisme

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Savez-vous comment procèdent les bouddhistes pour éradiquer la peur ?

Pour le bouddhisme, combattre la peur est un travail intérieur qui tourne autour de la perception. En fait, les bouddhistes considèrent la peur comme une erreur perceptive, qui se traduit par des images fantastiques et horrifiantes qui finissent par s’approprier notre esprit. Le danger n’est pas hors de nous : il est en nous.

« Un mot apportant de la paix vaut mieux que mille mots vides. »

-Bouddha-

Le rejet et la peur de souffrir

Les bouddhistes signalent que l’essence fondamentale de la peur est le rejet de la souffrance. Ils affirment aussi que la douleur est inévitable alors que la souffrance n’est qu’optionnelle. La première est liée à la compréhension du monde et la seconde, à la façon de l’accepter.

La peur de souffrir naît de notre rejet des sensations désagréables qui viennent des pertes, des conflits, de l’absence de coïncidence entre nos désirs et la réalité. Cependant, nous ne sommes pas obligés de souffrir à cause de cela. La souffrance n’est qu’une des réponses qui se trouvent à notre portée.

Nous pensons à tort que la douleur va nous faire du mal. Or, ce ne sera pas nécessairement le cas. Pour combattre la peur, il faut aussi savoir faire face à la douleur. Celle-ci perd beaucoup de force quand nous l’acceptons et la laissons exister. Et encore plus quand nous cherchons et trouvons l’apprentissage qu’elle veut nous apporter.

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Pour combattre la peur, faisons attention au présent

D’une façon ou d’une autre, la peur s’articule autour de notre passé ou de notre futur. Nous restons parfois attachés à des expériences qui nous ont fait peur et nous ont laissé une marque profonde. Nous avons donc peur que la même chose se reproduise.

Une chose similaire se produit avec le futur. Il nous effraye parce que nous imaginons ou supposons qu’il apportera des difficultés ou des situations douloureuses. Nous nous sentons petits face au lendemain et cela nous fait peur.

Le bouddhisme insiste donc pour dire que l’une des façons de combattre la peur est de nous concentrer sur le présent, sur l’ici et maintenant. L’attention pleine empêche notre esprit de se remplir de fantaisies qui ne font que nourrir des peurs superflues.

L’attachement est source de peur

La paix mentale et spirituelle se trouve à l’opposé de l’attachement. Pour les Occidentaux, il est très difficile de comprendre cette idée car toute notre logique tourne autour de la possession. Nous ne faisons pas seulement référence aux possessions matérielles mais aussi aux biens affectifs ou spirituels.

Le bouddhisme est une philosophie dans laquelle on cherche à ne pas posséder, c’est-à-dire à se détacher. Nous devons comprendre que rien ne nous appartient, pas même notre propre vie. Tout ce qui arrive dans nos vies et tout ce que nous sommes n’est rien de plus qu’une réalité transitoire.

Ne pas comprendre ce concept implique de voir surgir l’attachement et, avec lui, la peur de la perte. C’est l’une des peurs les plus puissantes qui soient car elle se transforme en cercle vicieux. Plus l’on s’attache, plus l’on a peur, et plus l’on a peur, plus l’on s’attache. Laisser couler et accepter que tout est transitoire nous rend moins craintifs.

S’échapper n’est jamais une option

Pour le bouddhisme, chacun de nous est son propre maître. La raison d’être de nos erreurs est l’apprentissage. Lorsqu’on n’accepte pas les choses de cette façon, l’esprit commence à se remplir de peur et d’anxiété. C’est comme si on avait une dette en attente, une dette qui fait peser une pression sur nous.

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Quand on laisse passer une erreur sans rien en tirer, la situation qui a donné lieu à cette erreur a tendance à se répéter. C’est à ce moment qu’on perd le contrôle de sa vie. Cela permet bien évidemment aux peurs d’émerger, tout comme une sensation de faiblesse.

Tous ces principes bouddhistes pour combattre la peur sont des exercices complexes. Ils s’apprennent à travers une pratique continue et en faisant preuve de patience. Il faut savoir qu’ils entrent souvent en conflit avec nos modèles occidentaux et c’est pour cela qu’ils ne sont pas faciles à assimiler. Cependant, si nous sommes constamment en proie à des peurs, il serait bon de les analyser attentivement.

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Hypersensibles, comment me protéger?

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Je m’appelle Frédérique, je suis médium guérisseuse et j’ai pour vocation d’aider mon prochain. Je suis hypersensibles comme chaque thérapeute médium et je ressens tout, chose que j’ai du apprendre à gérer pour me sentir bien et gérer ses beaux outils qui s’offrent à moi.

 

L’Hypersensibilité est un bel outil mais quand on ne le gère pas il peut être vécu comme un fardeau! Je vous explique comment vous protéger dans cette vidéo, en espérant qu’elle vous apportera quelque chose de positif dans vos vies 🙂

Voici mon site si vous désirez prendre un rendez-vous pour une consultation avec moi http://shine-medium.e-monsite.com Vous pouvez également me contacter directement par email : info@eveil.tv www.eveil.tv

Amicalement, Frédérique Shine

 

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Voici 3 différences entre les émotions et les sentiments

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Il vous est sûrement déjà arrivé de confondre une émotion avec un sentiment. Dans la pratique, nous ressentons ces deux phénomènes en même temps et ils sont donc compliqués à différencier. Or, il est très important de connaître les différences entre émotions et sentiments car la façon de les gérer diffère et les besoins qu’ils génèrent ne sont pas les mêmes.

Dans cet article, nous parlerons brièvement des trois principales différences entre émotions et sentiments. L’objectif est de savoir les différencier pour atteindre une plus grande intelligence émotionnelle, être plus réflexif et éviter d’avoir des remords. Car les émotions et les sentiments peuvent nous mener à faire des choses qui sont le fruit de la « chaleur » du moment. Or, si nous faisons un effort pour les identifier et les différencier, il nous sera plus facile de les modifier (Goleman, 1996).

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(image pixabay)

)Voici donc les trois principales différences entre émotions et sentiments.

1. Leur origine automatique VS raisonnée

Tandis que les émotions trouvent leur origine dans le système limbique et la partie la plus primitive du cerveau, les sentiments appartiennent au lobe frontal. En d’autres termes, les sentiments sont le fruit de la pensée abstraite alors que les émotions sont innées et sont génétiquement déterminées en tant que fruit de l’évolution. Ainsi, même si cela peut nous sembler étrange, il existe un nombre limité ou « maximal » d’émotions que nous pouvons ressentir. Or, il n’y a pas de nombre maximal de sentiments.

En fait, les sentiments (comme nous le verrons plus tard) se définissent sur le plan verbal tandis que les émotions se définissent sur le plan psycho-physiologique. Les sentiments viennent de l’interprétation cérébrale que nous faisons des événements et des sensations. Les émotions, elles, proviennent du système nerveux des réponses rapides (sympathique et parasympathique). 

« Tandis que les émotions trouvent leur origine dans le système limbique et la partie la plus primitive du cerveau, les sentiments appartiennent au lobe frontal. »

système limbique et différences entre émotions et sentiments

2. La rapidité avec laquelle ils/elles apparaissent et changent

Les émotions se caractérisent surtout par leur immédiateté. Elles sont le système d’alarme et de survie de l’organisme. Une fois que nous avons compris ce qu’il s’est passé et pourquoi nous nous sentons de telle ou telle façon, nous parlons de sentiments et non d’émotions. Pour avoir un sentiment, il est nécessaire de penser à ce qu’il s’est passé (évaluer l’émotion) et de réfléchir à la façon dont nous nous sommes comportés. C’est ainsi que nous commençons à l’élaborer sur le plan psychologique.

Etant donné que les émotions naissent et meurent rapidement, notre organisme a un autre mécanisme d’évaluation et de motivation: les sentiments. Le sentiment serait ce qu’il « reste » de l’émotion. En fait, l’une des principales différences entre émotions et sentiments est que le sentiment se développe petit à petit: il peut se modifier et être présent pendant des jours, des semaines, des mois et même des années.

3. L’intensité: les émotions sont extrêmement puissantes tandis que les sentiments sont plus « doux »

Dans un premier temps, si nous comprenons que les émotions sont le principal système d’alarme et de motivation avec lequel nous naissons, nous pouvons comprendre qu’elles seront très intenses et puissantes. Les émotions de base et universelles sont: la joie, la colère/rage, la surprise et la tristesse. Elles sont très intenses et nous poussent toujours à agir ou à cesser de le faire. Ainsi, si nous affinons cette idée, la surprise serait une émotion neutre dont la fonction est « d’être alerte et attentif à ce qu’il va se passer ».

Si vous avez vu le film Vice-versa (Inside Out), vous avez pu remarquer comment les émotions nous poussent toujours à « faire quelque chose » ou à « arrêter de le faire ». Par exemple, la tristesse vous pousse à vous éloigner des autres, à vous isoler et à vous connecter à la souffrance que vous ressentez. Les sentiments, eux, sont beaucoup plus variés et lents. Ils nous invitent à réfléchir à la meilleure chose que nous puissions faire pour cesser de nous sentir mal.

Comment les gérer ?

Il est par ailleurs nécessaire de souligner que la gestion des émotions désagréables peut être atteinte à travers des techniques de désactivation et de reconduite de l’attention. En outre, la gestion des sentiments est possible à travers des expériences correctives sur le plan sentimental, un dialogue socratique et une réflexion guidée. Ainsi, des techniques de désactivation et de relaxation rapide peuvent vous aider.

Finalement, nous pouvons comprendre que puisqu’il y a des différences entre les émotions et les sentiments, la façon de gérer ces expériences est sensiblement distincte. Tandis que les émotions requièrent un moment de déconnexion (par exemple pour ne pas voir augmenter la rage et perdre le contrôle), les sentiments ont besoin d’être écoutés et reconduits (que m’arrive-t-il ? Que puis-je faire pour améliorer ma situation ?). Dans tous les cas, la régulation des émotions et la réinterprétation des sentiments sont possibles et nous aident à avoir une meilleure santé psychologique (Bigman, Sheppes & Tamir, 2017).

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Le syndrome du sauveur

Aider les autres est l’un des comportements qui jouit d’une grande reconnaissance sociale. En général, lorsque nous sommes altruistes, nous améliorons la vie de l’autre personne. C’est donc pour cela que sur le plan social, il s’agit de l’une des façons d’agir les plus récompensées. Cependant, est-ce toujours une bonne chose d’aider les autres? L’existence du syndrome du sauveur semble remettre cette idée en cause.

Le syndrome du sauveur est une condition psychologique qui fait qu’une personne ressent constamment le besoin d’aider les autres. Cette façon d’être pousse l’individu à agir de façon un peu extrême et ses actes peuvent même devenir très nocifs.

Dans cet article, nous essayerons de comprendre en quoi consiste cette façon d’être. Vous pourrez ainsi l’identifier chez vous et chez les autres personnes. Et vous pourrez aussi éviter des situations au cours desquelles l’aide peut devenir très nocive pour les autres.

En quoi consiste le syndrome du sauveur

Selon la définition officielle, une personne souffrant du syndrome du sauveur ressent constamment le besoin de sauver les autres. Ces personnes ont souvent tendance à chercher des individus qui ont besoin d’aide et d’assistance et sacrifient même leurs propres besoins, désirs et aspirations.

Le problème est que ces caractéristiques peuvent facilement déboucher sur la création de relations toxiques. En général, les personnes qui souffrent de ce complexe ont tendance à vivre des relations de couple co-dépendantes. Dans la majorité des cas, il s’agit de l’un des pires types de relation qui puisse exister.

Dans ces relations, l’un des individus a constamment besoin de l’aide de l’autre pour se sentir bien. Il pense qu’il ne peut pas vivre sans cette personne. Le sauveur, lui, se sent plus fort grâce à la dépendance de son/sa conjoint-e. Mais au bout d’un certain temps, il finira par se lasser et se sentir limité par le besoin de l’autre.

Ainsi, dans un couple co-dépendant formé par le syndrome du sauveur, aucun des membres n’est réellement heureux. La personne accro à l’amour aura de moins en moins d’estime de soi et de confiance en soi tandis que l’autre se sentira étouffé et rejettera la faute sur son/sa conjoint-e.

Il faut souligner que cette dynamique ne se produit pas seulement dans les relations de couple. Il est possible de la voir apparaître entre des amis, des membres de la famille, des collègues de travail… Cependant, elle a généralement lieu dans le domaine des relations amoureuses.

Comment éviter cette dynamique

Vous allez maintenant trouver une série de clés qui vous aideront à éviter de former des relations de co-dépendance. Si vous pensez que, dans une certaine mesure, vous souffrez de ce syndrome du sauveur, les appliquer à votre vie pourra vous être d’une grande aide.

    • Souvenez-vous que vous n’êtes responsable que de vous-même. Chaque personne doit prendre les rênes de sa propre vie, de ses émotions et de ses actions. Vous n’êtes pas obligé-e de sauver les gens si cela ne vous rend pas heureux-se.<Apprenez à dire non. Pour beaucoup de personnes, refuser de faire ce qu’un proche leur demande est extrêmement difficile. Cependant, ne pas le faire mène inévitablement à la dépendance et au ressentiment. Dominer des techniques comme l’assertivité peut donc énormément vous aider à améliorer vos relations.

Fixez des limites. Si vous avez des caractéristiques liées au complexe du sauveur, cela veut sûrement dire que vous aimez aider les autres. Vous devez donc savoir jusqu’où vous pouvez aller. Y a-t-il quelque chose que vous n’appréciez pas particulièrement? À quel moment le fait d’aider les autres devient-il trop lourd pour vous?

  • Votre bonheur est votre priorité. Nous avons toujours grandi avec l’idée que se préoccuper de son propre bien-être avant celui des autres est un peu égoïste. Or, si une action va vous rendre malheureux-se, la réaliser n’a aucun sens. Si vous voulez vraiment aider, essayez de trouver une façon de le faire en évitant de souffrir.

En définitive, si vous voulez vous libérer du syndrome du sauveur, vous devez vous examiner de manière complètement honnête. Ce n’est qu’en le faisant et en vous rappelant que vous êtes responsable de votre bonheur que vous pourrez créer et entretenir des relations qui vous apportent du bien-être.