LES DIX SECRETS DES COUPLES HEUREUX

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L’observation des 15 à 20 % de couples heureux à long terme a permis aux psychologues de dénicher certains de leurs secrets. Même s’ils ont été confrontés aux mêmes crises et conflits que les couples malheureux, ils ont appris à réagir différemment.

LES DIX SECRETS DES COUPLES HEUREUX :
Secret #1 : Le partage du pouvoir

Les membres des couples heureux ont un rapport de force… d’égal à égal. Ils partagent donc le pouvoir ou, du moins, ils l’alternent. Ils font le moins de compromis possible car, dans un compromis, les deux sont perdants. Ils sont exigeants face à leur couple, mais s’organisent pour qu’il y ait toujours deux gagnants. Ils ont décidé d’être heureux plutôt que de chercher à savoir qui a raison, qui a tort. Contrairement aux couples malheureux, ils ne cherchent pas l’approbation de leur partenaire, mais savent l’apprécier lorsqu’ils l’obtiennent.
Secret #2 : La juste distance

Les couples heureux ont appris à établir une juste distance entre leur besoin de fusion émotive et leur désir d’autonomie. Étant bien différenciés, ils sont alors capables d’une véritable intimité. Ils ont trouvé un équilibre entre des moments de frustration, lesquels entretiennent le désir, et des moments de satisfaction, lesquels ravivent leur bonheur. Ils ont compris que l’intimité n’est pas synonyme de fusion, mais qu’il fallait être deux pour être en relation. De plus, ils sont aussi heureux seuls qu’ensemble. Les couples fusionnels sont effectivement les plus dysfonctionnels.




Secret #3 : Une véritable amitié

La base fondamentale des couples heureux à long terme, contrairement à la croyance populaire, n’est pas la passion, mais bien l’amour et l’amitié, soit un sentiment basé sur la connaissance réelle de l’autre et non sur l’intensité des sensations et des émotions. La passion a pu être à l’origine de leur attirance, mais celle-ci s’est lentement transformée en amour plus tranquille, plus stable.

Un couple heureux est formé de deux personnes qui, d’amants passionnés, sont devenus deux amoureux, deux parents, deux associés, deux amis qui continuent de faire l’amour ensemble et de réaliser des projets à court, moyen et long terme. Comme des amis, ils mettent l’accent sur ce qui les rassemble, plutôt que sur ce qui les oppose. Ils considèrent l’autre comme un invité très spécial dans leur vie.Lorsque interrogés par les psychologues sur le secret de la longévité de leur amour, la principale réponse des membres des couples heureux est le plus souvent : « Je n’ai jamais cherché à changer mon partenaire ».
Secret #4 : Le désamorçage

Les personnes heureuses en couple vivent aussi des crises, mais au lieu de remettre leur couple en question, ils utilisent leur énergie et leur créativité pour développer l’art de la négociation. Loin de surenchérir, ils désamorcent toute escalade par des excuses, en faisant de l’humour ou en donnant raison à l’autre. Les psychologues disent souvent que c’est la façon dont les couples se font la guerre qui constitue le véritable indice pronostic de leur évolution et non comment ils vivent en temps de paix. Ils s’organisent pour ne jamais avoir de besoin de dire « : « Veux-tu, on efface tout et on recommence à zéro ?

LES DIX SECRETS DES COUPLES HEUREUX – image pixabay




».Secret #5 : Le réalisme.

Les membres des couples heureux ont lu, eux aussi, des contes de fées, des romans d’amour et visionnés des films langoureux, mais ils ne les ont pas pris pour la réalité, même s’ils ont pu y rêver. Ils se sont rapidement défaits des nombreuses illusions entourant le couple, l’amour, la communication… Ils ont su renoncer à leurs perceptions adolescentes, égocentriques et/ou narcissiques. Ils savent que la fameuse « âme sœur » n’existe que dans leur tête et ils ont accepté leur partenaire dans sa réalité quotidienne, avec ses qualités et ses défauts.


Secret #6 : Un partenaire approprié

On dit que les contraires s’attirent, mais la science conjugale démontre que les partenaires qui se ressemblent, dans une proportion d’au moins 70 %, augmentent considérablement leurs probabilités d’être heureux ensemble. Loin d’avoir trouvé la fameuse « âme sœur », laquelle n’est qu’illusion, les membres des couples heureux sont suffisamment compatibles pour éviter la polarisation sur les conflits conjugaux insolubles : ils s’assurent ainsi stabilité et bonne entente. Mais ils sont aussi suffisamment différents pour s’influencer l’un l’autre, stimulant ainsi leur créativité et leur capacité d’évoluer, mais dans la même direction.
Secret #7 : La confiance réciproque

Aucune relation – amoureuse, professionnelle ou commerciale – ne peut survivre si cette relation n’est pas empreinte de confiance réciproque, de respect mutuel et d’admiration. Les membres des couples heureux ne se surveillent pas l’un l’autre. Même lorsqu’ils ne sont pas en accord, ils respectent le point de vue de l’autre et ne mettent pas en doute leur bonne foi. Même si l’un n’approuve pas les projets personnels de l’autre, il le soutiendra, moralement et financièrement, dans la réalisation de ses projets.




Secret #8 : L’acceptation des conflits

Contrairement à la croyance populaire, le couple n’est pas une garantie absolue de bonheur ; il serait plutôt le creuset de nombreux conflits : l’éducation des enfants, la gestion financière, les relations avec les belles-familles, le partage des tâches ménagères, le temps accordé à la vie privée, la sexualité. Les membres des couples heureux se sont rapidement rendus compte que la majorité des conflits tournant autour de ces six sources sont souvent insolubles (69 % selon l’équipe du psychologue John Gottman, auteur du livre. Ces couples ont leurs secrets). Ils ne s’acharnent donc pas à résoudre ces conflits et se mettent d’accord pour vivre avec des désaccords… à vie. Ils préfèrent être heureux et préserver leur amour que de chercher à résoudre leurs conflits et chercher un consensus à tout prix.

Secret #9 : L’acceptation des inégalités

Les membres des couples malheureux surveillent et calculent ce que l’un fait et l’autre ne fait pas. Ils cherchent à imposer la règle donnant – donnant. Ce que ne font évidemment pas les membres des couples heureux. Ceux-ci acceptent qu’ils puissent y avoir une répartition inégale et variable des salaires, des tâches ménagères, des soins aux enfants… Ces couples acceptent et reconnaissent qu’il puisse y avoir des modes de fonctionnement différent selon le sexe. Ils ont renoncé à la fameuse égalité – similarité entre les hommes et les femmes et laissent chacun être et agir selon sa nature et ses convictions. Égalité, oui, mais vive la différence !

Secret #10 : Le jardin secret

Les membres des couples heureux ne communiquent pas toutes leurs pensées, tous leurs actes, toutes leurs frustrations ou leurs emmerdements. Ils ne croient pas à la communication à tout prix et qu’il faille tout se dire dans un couple. Chacun a droit à sa vie privée, à ses pensées secrètes, à des désirs inavouables, mais à la condition que ce jardin secret ne sape pas les bases de leur relation. Tout devrait pouvoir se dire, mais aucune obligation n’est faite en ce sens. Un peu de réserve et de mystère sont nécessaires pour l’entretien du respect et de la séduction à long terme.

Les membres des couples heureux ont décidé de préserver leur bonheur plutôt que de chercher à avoir raison sur l’autre.

extrait de SECRETS DES COUPLES : http://psycho-ressources.com/

trouvé sur https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com/



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BONHEUR ET GUIDANCE ÉMOTIONNELLE

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Les émotions sont notre instrument de guidance intérieure le plus précieux : elles sont la direction de notre cœur et de notre esprit face à ce que l’on vit.

En apprenant à les écouter, on s’ouvre à nos désirs, on s’ouvre à l’évolution personnelle, on se reconnecte profondément à qui nous sommes.




Est-ce que, vous souhaitez être heureux? Réaliser vos rêves ? Manifester vos désirs ?

Nous sommes tous dans cette quête d’aller bien, dans une recherche de manifester une vie qui nous plaît.

Oui mais voilà, parfois on ne va pas bien, ou alors on ne va pas totalement bien. Parfois on n’a pas d’énergie pour nos projets. Parfois on ne sait pas dans quel sens aller. Parfois les émotions que l’on vit sont écrasantes, et nous empêchent d’avancer.

Que faire de ces paradoxes ? Comment s’en servir positivement ?
Comment retrouver du sens et de l’entrain pour se créer une vie de rêve ?
Comment s’orienter grâce à nos émotions ?

Les émotions sont une clé de compréhension de soi inestimable.
C’est ce que je propose d’aborder dans cet article !

BONHEUR ET GUIDANCE ÉMOTIONNELLE

Les émotions, c’est quoi ?

Une émotion est une sensation qui se fait ressentir dans notre corps. C’est un signal du corps émotionnel, qui cherche à nous montrer une information particulière vis-à-vis de la situation actuelle.
C’est un message que l’on se délivre, de Soi à Soi.
En fait, on ressent des émotions tout le temps. Elles sont plus ou moins intenses, et plus ou moins visibles.

Les émotions les plus communes peuvent être :

* La joie, la paix, l’amour, l’apaisement, …
* La peur, l’angoisse, la tristesse, le désespoir, la colère, la haine, la rancune, …

Les émotions se font ressentir dans notre corps.
Bien souvent on pense avoir des douleurs physiques alors que ce ne sont que des émotions qui cherchent à se faire voir.

Le ventre, le cœur, la gorge, la tête, sont autant d’endroits enclins à héberger des émotions.

Chaque émotion apparaît d’une manière distincte.

image pixabay

Par exemple :

* La peur apparaît au niveau du chakra du cœur et de la gorge,
* L’anxiété peut se faire sentir au niveau du ventre,
* La colère se montre au niveau de la gorge, et du bas ventre,
* La tristesse se ressent sur le cœur et la gorge.

L’émotion est une sensation qui se fait sentir dans le corps.
Elle est une réponse et une réaction aux événements extérieurs : elle nous montre comment est-ce que l’on vit les choses.
Les émotions sont une sorte de voyants internes qui ont pour but de nous donner des informations sur nous-même.

La pensée et l’émotion

En fait, derrière chaque émotion se cache une ou plusieurs pensées.
L’émotion est la manifestation de « quel rapport ai-je avec cette pensée » : elle nous donne l’interprétation sensitive de la pensée. C’est à dire que l’on ressent la ou les pensées directement dans notre corps, et on peut alors savoir si ces pensées nous font du bien ou non.
C’est un signal qui ne trompe pas car l’émotion dit toujours la vérité !

Donc en fait, lorsque l’on observe un événement dans notre vie, naît spontanément en nous un positionnement particulier :

* Nous pensons certaines pensées : nous apprécions, jaugeons, jugeons, tirons des conclusions, faisons des liens, des analogies, nous rappelons des souvenirs…
* Si les pensées sont alignées avec nos désirs, alors l’émotion qui jaillit va être agréable.
* Si les pensées vont à l’encontre de nos désirs, alors l’émotion sera désagréable.

C’est aussi simple que cela :

L’émotion est là pour nous montrer à quel point nos pensées sont alignées avec notre bonheur.
Si nos pensées servent notre évolution et notre expansion, alors nous allons nous sentir bien. Au contraire si nos pensées vont dans le sens contraire, nous allons nous sentir mal.




Pourquoi certaines émotions sont si intenses

L’intensité des émotions ressentie est directement reliée à l’adéquation (ou à l’écart) entre ce que je vis, et ce que je souhaite vivre.

Mais aussi, lorsque certaines situations résonnent avec des situations non résolues du passé, alors d’anciennes blessures peuvent se réveiller.
Les blessures qui ne sont pas guéries se réveillent dès lors que l’on observe des composantes plus ou moins proche de l’événement racine.

En fait, certains événements dans la vie ne sont pas faciles à vivre. Parfois on fait face à des choses qui sont plus grandes que nous.

Il arrive que l’on n’ait pas les ressources nécessaires pour intégrer pleinement les émotions qui surgissent.

L’événement est alors vécu partiellement, et certaines émotions sont occultées. Elles sont stockées dans le subconscient, qui les rappellera plus tard pour les « résoudre ».

Les traumas sont un exemple de ces situations. Cependant, toutes les situations peuvent être vécues comme un trauma. Surtout lorsque l’on est enfant, par exemple.

Les situations du passé qui n’ont pas été intégrées pleinement créent une bulle émotionnelle :

Celle-ci sera réveillée à chaque fois qu’une situation similaire (ou juste certains aspects) se présentera. Le but étant d’intégrer les émotions afin de relâcher la tension interne, et enfin de changer le mécanisme automatique d’observation pour retrouver notre liberté.

Pour résumer :

Les émotions qui surgissent peuvent être d’une intensité disproportionnée par rapport à l’événement qui les a déclenchées.

C’est normal : ceci est dû au fait que certaines blessures et bulles émotionnelles non résolues peuvent se réveiller par effet de résonance.

D’où l’importance d’être conscient et d’écouter ce qui se passe en soi.

Le simple fait de prendre conscience de ces mécanismes et réactions permet déjà d’en changer.

Les émotions sont des messages

En fait, les émotions cherchent toujours à nous montrer quelque chose : elles sont des messagers.

Elles nous permettent de sentir et ressentir le positionnement qui est adopté par le corps et l’esprit par rapport aux situations extérieures.

Les faits qui se passent à l’extérieur de nous peuvent être observés de différentes manières : nous avons intérieurement le choix d’observer les choses comme nous le désirons.

L’émotion qui surgit va nous montrer à quel point l’observation que nous avons d’une chose est agréable et adaptée pour nous (ou non).

Et ce, même si le comportement est inconscient.

Car oui, parfois (et même souvent), on réagit de manière inconsciente : se réveillent en nous des comportements et réactions automatiques, qui trouvent leur origine dans nos conditionnements et nos croyances : éducation, expériences, dogmes, croyances collectives, traumas, souvenirs, …

L’émotion est alors là pour nous montrer à quel point nos comportements sont adaptés ou à quel point ils ne le sont pas.
Et, si nous sommes inconscient des comportements, elles sont justement là pour nous les montrer afin que l’on en prenne conscience et que l’on change.

image pixabay

Le message est le suivant :

* Si l’émotion est perçue négative, son message est le suivant : « Attention, tu adoptes un positionnement qui te n’est pas bon pour toi. Change! »
Plus ce que je pense vivre est éloigné de ce que je souhaite vivre, plus l’émotion va être désagréable.
* Si l’émotion est perçue positive, son message est le suivant : « Le positionnement que tu adoptes est bon pour toi, continue dans cette voie! »
Plus ce que je pense vivre est en adéquation avec ce que je désire vivre, plus l’émotion va être agréable.

L’émotion nous fait ressentir la qualité du positionnement intérieur que nous adoptons.

Elle nous permet de ressentir à quel point nos pensées sont en alignement avec qui-nous-sommes-vraiment.

Il est facile de le savoir : si l’émotion est positive nous sommes en alignement, si elle est négative nous sommes en désalignement

Les réactions déclenchées peuvent aussi être inconscientes. Dans ce cas, c’est justement l’émotion qui va nous permettre de la mettre en lumière, afin d’en changer.

Comprendre le message derrière les émotions

Derrière chaque émotion se trouve un message.

En réalité le message présent derrière une émotion est toujours le même : c’est un besoin, une envie, un désir.

Ce message peut être ensuite coloré par tout l’éventail possible d’émotions, en fonction de la manière dont on observe la réalisation de notre désir.

Un petit exemple pour illustrer :

Je suis un enfant. Je souhaite jouer avec de grandes personnes à un jeu de société.
Les adultes ne me proposent pas et m’ignorent.

Je suis en colère.
J’en veux aux adultes car ils m’ignorent. La colère me montre que j’ai l’impression que l’on ne respecte pas mes limites.
En fait, je pense et je crois que l’autre peut être responsable de mon mal-être.
Le désir derrière cela est : Je souhaite que l’on me respecte.
Prenant conscience de cela, la colère se dissipe.

Laisse place de la tristesse.
Je ne me sens pas considéré, et cela réveille en moi une blessure de valeur. J’ai l’impression que si on ne m’invite pas, c’est que je n’ai pas de valeur.
La situation a réveillé cette croyance qui se trouve en moi.
Le désir derrière cela est : Je souhaite que l’on considère ma valeur. Autrement dit, je souhaite être conscient de ma valeur…
La tristesse me montre que j’ai l’impression que l’on ne considère pas ma valeur.
Prenant conscience de cela, la tristesse se dissipe.

Les émotions délivrent un message qui est totalement unique.

Chaque situation et chaque individu trouvera derrière ses émotions un message totalement adapté à lui-même.

En fait, à chaque fois qu’une émotion surgit en nous, elle nous donne des informations sur :

* Le désir qui est derrière (qu’est-ce que je veux ?)
* Notre rapport à ce désir (les pensées que l’on pense, les croyances que l’on a, les limites et conditionnements qui s’y raccrochent)

La manière dont le désir transparaît, c’est à dire notre rapport à un désir précis, est :

* Soit en alignement : Je suis aligné avec ce désir / il me paraît possible / je me l’autorise : l’émotion est positive.
* Soit en désalignement : Je suis désaligné avec ce désir / il m’apparaît impossible / je ne me l’autorise pas : l’émotion est négative.

L’émotion est un message de réaction. Désirs, besoins et envie sont les intentions qui en sont la source.
Les émotions sont polarisés et leur intensité peut varier : elles peuvent être négative ou positives. Leur caractéristique nous permettra de savoir quel rapport nous entretenons avec le désir qui se trouve derrière.

Trouver le chemin du bonheur grâce aux émotions

Lorsque l’on est attentif à ses émotions, il nous est facile de reconnaître son chemin de vie et de le suivre : il suffit de s’écouter.
Nous possédons toutes les réponses à l’intérieur.

Acceptez de vivre vos émotions, car c’est les émotions sont les couleurs de la vie.
Acceptez d’exprimer vos émotions car derrière se trouvent des envies.
Intégrez le sens qui se trouve derrière vos émotions.
Affirmez ce que vous désirez vraiment.




Il peut être utile de :

* Ressentir et savoir identifier les émotions,
* Reconnaître le désir, l’envie ou le besoin qui se cache derrière,
* Guérir les blessures et les structures qui se réactivent par résonnance,
* Affirmer clairement, et d’une manière positive, nos désirs/envies/besoins

La vie est faite pour nous faire évoluer.

Chaque situation est l’occasion de mieux nous connaître et de mieux savoir ce que nous désirons.
Nous avons la capacité à prendre conscience des comportements qui se trouvent activés de manière automatique, afin d’en changer.
Nous avons la possibilité, à chaque expérience, de mieux comprendre et affirmer ce que nous souhaitons.

Source GUIDANCE ÉMOTIONNELLE : http://www.pensactiv.com

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Vivre les séparations sans se détruire

Je considère que le déroulement d’une vie humaine est semblable à une succession de naissances faites de rencontres et de séparations.

C’est ainsi que nous passons l’essentiel de notre existence à nous mettre au monde… et cela jusqu’à la fin de notre vie terrestre.




Le propre du vivant sur cette terre, c’est que tout à un début, (une naissance), une vie (une croissance) et une mort (une finitude ou un passage suivant nos croyances).

Ce qui nous invite à introduire beaucoup de relativité dans nos certitudes ou nos mythologies personnelles concernant les séparations.
Nous aurons donc à côtoyer trois types de séparations :

celles qui sont nécessaires à notre propre croissance,

celles qui nous sont imposées,

et celles que nous choisiront à travers l’évolution et les péripéties de notre existence.

Vivre les séparations nécessaires

– La première des séparations que nous devons affronter, sera une des aventures les plus extraordinaires de notre vie : sortir du ventre, se séparer de sa génitrice, qui va devenir ainsi (dans le meilleur des cas) une maman et une mère.

– Autre séparation nécessaire : prendre le risque de se séparer, (c’est à dire de mieux se différencier) de l’enfant imaginaire qui habitait l’esprit, le cœur et les rêves de nos géniteurs.

– Sortir des désirs et des peurs que nos proches déposent sur nous. Cela suppose de trouver la bonne distance pour ne pas nous laisser envahir par les attentes ou les bonnes intentions de ceux qui prétendent nous aimer.
Vivre les séparations imposées

Il y aura les premières pertes, celles liées à l’éloignement, l’abandon ou la disparition d’un être cher qui, si l’attachement est fort, seront vécues soit comme un rejet, soit comme une trahison par celui qui voit disparaître, mourir, ou s’éloigner celui ou celle à qui il s’était attaché.

Ce sera le cas des grands parents, des amis d’enfance, des premières amours qui peuvent être versatiles !

image pixabay




De plus dans le déroulement de toute existence, vont surgir un certain nombre de crises.

– Celles liées à l’évolution des sentiments (déplacement, disparition, désamour…)

– Celles inhérentes à la vie en couple. Comment passer du “UN” à “TROIS” ; donc sortir de la fusion pour accepter la différenciation : un “JE + JE” et ensuite à la triangulation : l’autre, moi et la relation qui nous relie. Il y aura également des risques de séparations liées à des évènements qui seront vécus par l’un ou l’autre comme une violence qui nous est imposée, sur laquelle nous n’avons aucun pouvoir : trahisons amoureuses.

Parfois l’évolution de l’un, dans une relation proche, peut l’éloigner de nous, lui faire découvrir brutalement qu’il vit avec une personne (nous) qui n’a plus les mêmes valeurs ou engagements, que ses choix de vie sont antipodes des nôtres. Une succession de prises de conscience peuvent l’entraîner à découvrir qu’il a besoin de se respecter, de ne plus se laisser définir ou maltraiter par un conjoint/une conjointe qui est devenu en quelques années un étranger ou une étrangère.

Vivre les séparations choisies

Elles peuvent surgir dans une existence à tout moment, et en particulier à la suite de l’irruption d’évènements imprévisibles ou d’un travail sur soi, d’une maladie, d’un accident. Autant de circonstances qui déclenchent des ouvertures, qui réveillent des énergies, qui vont nous permettre d’accéder à de nouveaux choix de vie.

Déménagement, éloignement, choix d’un nouveau pays, autant de situations qui vont nous éloigner, nous séparer de personnes proches, significatives ou chères et entraîner des changements dans nos relations. Divorce, rupture amoureuse, qui vont laisser parfois laisser des traces douloureuses, réveiller des blessures anciennes, mais qui peuvent mobiliser aussi des ressources inattendues.

Apprendre à se séparer sans se détruire est possible

En particulier en respectant un certain nombre de démarches relationnelles et en clarifiant quelques points essentiels en soi-même.

Mieux distinguer en nous, les sentiments positifs de ceux qui sont négatifs, à l’égard d’une même personne, pour ne pas rester prisonnier d’un amalgame de ressentis et de souffrances qui nous fait tout rejeter de l’autre. Pouvoir témoigner de la qualité de la relation vécue (de tout le bon partagé, comme du pas bon et du toxique, qui ont pu circuler dans les échanges, les partages, les affrontements ou les conflits. Mieux conscientiser l’impact de la séparation sur notre passé et entendre le réveil des blessures archaïques qui peuvent nous envahir lors d’une séparation ou d’une perte. A partir de là, il devient possible de commencer à faire le deuil d’une relation.)
Faire le deuil lié à la perte d’un être cher

Cette expression, fréquemment utilisée par l’entourage de celui qui vit une séparation, est souvent une invitation à ne plus rester dans la tristesse, le chagrin ou le ressentiment qui sont des ressentis qui habitent celui ou celle qui a vécu une perte ou une séparation.

Les conseils les plus fréquents (et pas nécessairement les plus efficaces) sont : « Il faut oublier », « Tu as la vie devant toi », « Il faut laisser faire le temps », « C’est l’avenir qui est important » etc.

Dans ma pratique d’accompagnant, pouvoir faire le deuil, découle d’une démarche très concrète, à partir de modalités accessibles à chacun et autour d’enjeux précis.

La finalité en sera d’accepter de se réconcilier avec soi-même, pour accéder à une nouvelle naissance, à une autre façon d’être.

– Mieux conscientiser que toute perte, toute séparation, fait violence à celui/celle qui l’a subie et que cet évènement, non seulement remet à jour des blessures anciennes, mais va aussi créer (ou réactiver) une blessure narcissique autour de l’image de soi.




– Accepter de s’appuyer sur un outil accessible à chacun : la visualisation. Et, à partir de là, mettre en œuvre une démarche de symbolisation. Ainsi, avec l’aide d’un ou plusieurs objets symboliques, librement choisis par la personne, on pourra :

– Restituer la violence reçue à travers la perte, l’éloignement de l’autre.

– Mieux se représenter la blessure crée ou réveillée par cette violence. Mieux conscientiser la souffrance produite et accepter de percevoir l’apparition de certains symptômes ou somatisations, comme étant des signaux d’alerte nous invitant à prendre soin de nous.

– Pouvoir prendre conscience de “l’auto violence” que nous nous infligeons à partir d’une violence reçue et de la façon dont nous entretenons nos blessures, notre désarroi ou notre détresse en restant dans l’accusation de l’autre ou la dévalorisation de soi.

Cela supposera d’apprendre à reconnaître ce qui se passe en nous, plutôt que de rester centré ou bloqué sur le pourquoi du comportement de l’autre ou d’entretenir une véritable hémorragie énergétique en restant dans l’accusation, le reproche, la mise en cause, la dévalorisation de soi ou de l’autre.

Il faut savoir que pouvoir reconnaître la violence reçue à travers le départ ou la disparition de l’autre et que prendre le risque de la restituer symboliquement, va libérer des énergies, modifier l’image de soi, dynamiser de façon positive notre relation au monde. Que cela nous rend plus disponible pour prendre soin des sentiments qui peuvent rester vivaces et présents en nous, à l’égard de celui ou celle qui nous quitté. Que cela peut entraîner une meilleure clarification de la qualité de la relation qui a été meurtrie, blessée ou coupée, ce qu’il en reste (que je peux garder) ce qui n’a pas été bon (que je peux rendre).

Dans les séparations conjugales et les divorces, il peut être souhaitable de pouvoir reprendre, de se réapproprier le rêve de vie déposé chez l’autre au moment du passage de la rencontre amoureuse à la relation de couple. Ne pas oublier que dans un couple qui se sépare, le divorce est la rupture du lien conjugal et non celle du lien parental. Celui ci doit être maintenu et nourri par chacun des parents, pour éviter que les enfants ne deviennent l’enjeu d’une relation fictive qui s’auto entretient et continuent à alimenter les conflits des ex conjoints.
L’ultime séparation, notre propre mort

La fin de notre cycle de vie, qu’on appelle la mort, constitue l’ultime séparation. Séparation d’avec notre état d’être vivant, d’avec un entourage proche, de projets ou d’engagements.

S’approcher du passage qui nous conduira vers un au-delà, autour duquel, suivant nos croyances, nous allons donner différents sens et visages.




Il me semble que cela peut s’accomplir dans la paix si nous avons pu nous réconcilier avec l’une ou l’autre des situations inachevées de notre histoire.

Source le site de Jacques Salomé : .j-salome.com

Trouvé sur https://www.conscience-et-eveil-spirituel.com

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QU’EST-CE QUE LE MANQUE ?

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Souvent j’entends, « je manque de ceci » ou « il me manque cela pour y arriver » ou encore « quand j’aurai ça ou ça, tout ira mieux »…




En fait, ce n’est pas ce qui manque. C’est plutôt qu’est-ce qui est en trop ?

Ce n’est pas quelque chose qui manque à mon bonheur, mais qu’est-ce que j’ai mis par-dessus mon bonheur qui m’empêche de le voir? Et donc de le vivre…

Je ne manque pas de joie, la joie est là, mais j’ai placé en moi trop de tristesse qui me cache ma joie. Je ne manque pas de courage, mais j’ai recouvert ce courage de toutes les peurs qui m’ont semblé utiles. Je ne manque pas d’amour, j’ai seulement trop de colère, de peur ou de culpabilité qui étouffent cet Amour.

Ce sont comme des couches de vêtements qui cachent la peau et l’empêchent de respirer et de refléter la lumière du soleil. Le vrai problème est que l’on ne sais pas comment enlever ces couches qui sont en trop !

En osant se déshabiller, se mettre à nu, être vrai.

Lorsque l’on me dit que quelqu’un lui manque, j’ai tendance à répondre que c’est un réajustement à faire. Cet homme te manque car tu as mis trop de lui en toi et pas assez de toi. Rééquilibre les choses, replace-toi au centre de l’amour et alors enlève cette couche de trop que tu avais de lui en toi. Déshabille-toi progressivement et tu trouveras exactement ce que tu cherchais en toi, ratatiné sous toutes ces sensations de manque. En oubliant que tu es la source même de l’amour, tu permets à d’autres de te cacher qui tu es en t’identifiant à ce qu’ils croient de toi.

Tu ne peux manquer de rien car tu es l’univers entier, à l’intérieur de toi. Tu es arrivé sur cette terre tout nu, avec tout ce dont tu avais besoin en toi. Cette sensation de manque survient lorsque tu remplaces qui tu es par ce que l’autre pense que tu es et que tu le prends pour vrai.

 

Alors tu oublies, tu caches et tu mets un premier voile d’illusion sur toi. Petit à petit, le manque de toi s’installe. Si celui avec lequel tu avais écrasé et remplacé qui tu es vraiment s’en va, tu crois qu’il manque à qui tu es mais en fait, retire ces croyances erronées de ta source et tu retrouveras ta totalité, ta plénitude. Rien n’est jamais à l’extérieur, tout est en toi. Si tu cherches à combler un manque, c’est que tu as oublié de regarder à l’intérieur de toi et que tu t’es perdu à l’extérieur. Recentre cette vision. Ajouter ne fera qu’écraser encore plus qui tu es.

« Lorsque j’aurai un nouveau travail, je serai enfin heureux » et si tu choisissais déjà d’être heureux? le travail ne peut rien t’apporter d’autre que ce qu’il est. Or, le travail n’a rien avoir avec le bonheur. Lorsque tu choisiras d’être heureux, alors tu seras heureux et lorsque tu auras ce nouveau travail, alors tu auras un nouveau travail.




La croyance que quelque chose d’extérieur nous apporte ce qu’on refuse de voir en soi est ce qu’on nous apprend depuis tout petit.

La condition… On est un gentil garçon si, et seulement si on arrive à rendre maman heureuse en écoutant ce qu’elle demande. Mais en fait, maman est heureuse seulement si elle décide de l’être et quoi qu’il arrive, on est un gentil garçon !

Mais alors, comment faire ? Recentre toi, regarde en toi, retrouve qui tu es. Dépouille-toi de tout ce qui n’est pas toi. Quand quelqu’un te manque c’est l’idée de toi avec l’autre qui te manque. C’est toi qui manque à toi même par cette configuration. Tu aimais l’image de toi quand l’autre était là, mais tu peux simplement retrouver cette image de toi avec toi-même. Ainsi l’autre ne conditionnera plus qui tu es, tu seras et tu pourras alors partager pleinement ton être avec l’autre sans remplacer ou écraser tes valeurs par des croyances qui ne t’appartiennent pas.

Bérengère

Source QU’EST-CE QUE LE MANQUE ? : http://lapressegalactique.net/

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Les médecins de la liberté d’esprit




Le temps n’est pas loin où nous aurons des médecins
qui se feront une spécialité d’enseigner aux gens à libérer
leur esprit des pensées qui produisent la pauvreté, à les
remplacer par leurs contraires, et à augmenter ainsi
constamment leur puissance mentale d’attraction, jusqu’à
ce que l’esprit devienne un puissant aimant attirant la
prospérité.

Ces spécialistes enseigneront aux peuples le pouvoir
créateur de la pensée juste, et leur montreront comment
attirer les choses qu’ils désirent, au lieu de les écarter
comme tant de gens le font par une fausse manière de
penser. Les ecclésiastiques de l’avenir s’occuperont aussi
à éliminer la pauvreté chez leurs paroissiens, en leur
enseignant à détourner d’elle leurs pensées, pour les
porter sur la prospérité.

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La guérison des maladies physiques s’effectue en
éveillant chez le malade les forces curatives et vivifiantes
qui sont en lui. Ces forces sont surtout mises en action par
la foi au docteur et aux remèdes. L’attitude mentale
bienfaisante, ainsi créée, surmonte la maladie.




La guérison de la pauvreté s’effectue d’après le
même principe. Celui qui en souffre doit tout
premièrement avoir foi dans le grand Médecin de
l’univers. Quand cette foi existe, il n’est pas difficile de
remplir son esprit de pensées de prospérité, de la pensée
que notre Père céleste est la Source de l’abondance, le
Possesseur de toutes les fortunes de la terre, et qu’il est
infiniment meilleur et plus désireux de notre bien-être,
que la plus tendre mère peut l’être du bonheur de son
enfant.

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L’art de diriger ses rêves, le rêve lucide

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Par Stephen LaBerge,
fondateur du Lucidity Institute, Centre de recherche sur le sommeil de l’université de Stanford, aux Etats-Unis.Traduit de l’américain par Roger Ripert, fondateur de l’association Oniros.


Est-il possible d’orienter le cours de nos rêves ?Peut-on avoir conscience de rêver en rêvant? C’est ce qu’affirme le physiologiste américain Stephen LaBerge, qui mène depuis plusieurs années des expériences de  » rêve lucide  » dont les résultats bousculent la partition traditionnelle des états de vigilance (éveil, sommeil, rêve).

L’EXPERIENCE DU REVE LUCIDE

Nous ignorons la plupart du temps que nous rêvons lorsque nous rêvons. Nos rêves semblent d’un tel réalisme pour notre cerveau endormi que nous leur accordons d’ordinaire un statut de réalité matérielle. Au cours d’une nuit typique de sommeil, la réalité de nos expériences oniriques parait incontestable, comme l’est le présupposé que nous sommes éveillés.

Ainsi que l’a observé Havelock Ellis,  » les rêves sont réels – tant qu’ils durent.  » Ce n’est qu’au réveil, lorsque nous entrevoyons quelques images fugitives de ce qui venait juste de nous traverser l’esprit, que nous reconnaissons qu’il s’agit d’un vécu. Dans la lumière crue du matin, ce qui nous paraissait si réel durant la nuit ne semble guère autre chose qu’un tour d’illusionniste, un mirage, ou un rêve.

Bien que le terme d’hallucination s’applique à la façon dont nous vivons généralement nos rêves en général, il existe une situation d’exception qui met en cause nombre d’hypothèses sur la nature du sommeil et les capacités du cerveau. Cette exception significative est qu’il arrive parfois en rêve que nous sachions parfaitement que nous sommes en train de rêver. Cet état mental remarquable est dénommé  » rêve lucide « , un énoncé forgé par le psychiatre néerlandais Frederik Willems Van Eeden en 1913.

Les rêveurs lucides disent être en pleine possession de leurs facultés cognitives (c’est là le sens du mot  » lucide « ) : ils sont à même de raisonner clairement, de se souvenir de leur vie de veille et d’agir à volonté – de manière réfléchie ou selon des plans d’action établis avant le sommeil. Ils n’en demeurent pas moins profondément endormis, vivant de manière intense dans un monde onirique qui semble étonnamment réel.

Parce qu’ils savent que le monde onirique est purement imaginaire, les rêveurs lucides possèdent une maîtrise tout à fait remarquable du contenu de leurs songes: ils peuvent le transformer (en faisant apparaître ou disparaître à volonté des personnages ou des objets oniriques, par exemple) et transgresser les lois physiques (voler ou transpercer la matière, par exemple), facultés qui sembleraient magiques, voire impossibles dans le monde matériel.

Que ce soit à l’état de veille ou au cours du sommeil, l’une des tâches les plus cruciales de notre cerveau est de construire, en tant que conscience, un modèle du monde environnant dont nous faisons l’expérience. A l’état de veille, ce modèle est essentiellement fondé sur les données sensorielles, meilleure source d’information disponible sur notre environnement. Dans la mesure où ce modèle nous aide à survivre, ce processus de construction du monde suppose la prise en compte de nos besoins actuels, de nos émotions et de nos buts. Durant le sommeil, du fait que nous n’avons accès qu’a très peu d’informations sensorielles sur notre environnement, notre modèle du monde est principalement construit à partir de nos motivations (comme les  » désirs  » freudiens, mais aussi les peurs) et de nos attentes, informations tirées de notre expérience passée sur ce qui est  » susceptible  » de se produire.

En conséquence, ce qui survient en rêve, lucide ou non, est en grande partie déterminé par nos attentes. Dans les rêves ordinaires, nous sommes limités par nos présupposés sur les choses possibles provenant de notre expérience passée du monde matériel. Puisque les rêveurs lucides savent que la gravitation n’existe pas en rêve, rien ne les empêche de voler; et ils volent effectivement avec délice.

La plupart des gens ont fait l’expérience du rêve lucide, au moins de manière passagère et occasionnelle. Dans le scénario courant, à la fin d’un cauchemar, le rêveur réalise que  » ce n’est qu’un rêve  » et se réveille soulagé quelques secondes plus tard. Mais le rêveur qui se réveille pour échapper à son cauchemar ne fait probablement qu’en partie lucide. Le rêveur pleinement lucide, lui, a conscience que son cauchemar est aussi inoffensif qu’un film d’horreur; et, de ce fait, il continue à rêver, affronter ses peurs cauchemardesques et parvient à les surmonter. En conséquence, il se réveille avec une confiance accrue en lui-même et, peut-être, avec une peur moins irrationnelle. Cette approche apparaît comme très prometteuse et pourrait être une méthode pour vaincre les cauchemars. Elle a été décrite à l’origine par le marquis d’Hervey de Saint-Denys dans son livre Les Rêves et les moyens de les diriger, publié en 1867.

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Le plus souvent, les rêveurs deviennent lucides lorsqu’ils s’interrogent sur les anomalies du contenu onirique et parviennent à la conclusion explicative qu’il s’agit d’un rêve. Bien que pour la majorité des gens le rêve lucide demeure une expérience exceptionnelle, comme l’affirmait Léon d’Hervey il y a un siècle, il est une faculté qui peut faire l’objet d’un apprentissage.

Malgré les témoignages comme ceux d’Aristote, de Descartes, de Van Eeden et d’Hervey de Saint-Denys, les assertions quant à l’existence du rêve lucide ont longtemps été accueillies avec scepticisme. Au regard de certains raisonnements, le concept de  » sommeil conscient  » est apparu si paradoxal que des philosophes ont même écrit des ouvrages visant à démontrer que le  » rêve lucide  » est une absurdité irréaliste. Faute de preuve objective, les hypnologues, quant à eux, ont mis en doute le fait que le cerveau soit capable d’atteindre en rêve un niveau de conscience et de fonctionnement mental aussi élevé.

A la fin des années soixante-dix, la preuve requise fut fournie grâce à une nouvelle technique faisant appel à des signaux transmis par les mouvements oculaires, technique développée de manière indépendante par des chercheurs scientifiques aux Etats-Unis, à l’université de Stanford, et en Angleterre. Cette technique était fondée sur des recherches antérieures menées par William Dement et H. P. Roffwarg, qui avaient montré que les directions des mouvements oculaires enregistrées durant le sommeil paradoxal coïncidaient parfois avec les orientations du regard en rêve rapportées par les sujets.

Partant de ma propre expérience du rêve lucide, j’ai estimé que les rêveurs lucides étant capables d’agir volontairement, ils devraient le prouver en adressant un signal sous la forme de mouvements oculaires prédéterminés pour indiquer le moment exact de leur accès à la lucidité. Utilisant cette approche à Stanford, mes collègues et moi ont rapporté que les rêves présumés lucides de cinq sujets avaient été effectivement associés aux mouvements oculaires convenus. Tous les signaux, et donc tous les rêves lucides, se produisirent durant une période ininterrompue de sommeil paradoxal.




Une technique presque identique de signalisation par mouvements oculaires a été développée de manière indépendante par Keith Hearne et Alan Worsley en Angleterre. Des recherches menées dans plusieurs autres laboratoires ont abouti essentiellement aux mêmes résultats, montrant clairement que si le rêve lucide est apparemment paradoxal, son existence est démontrée.

 

Au cours d’une série de recherches ultérieures, le groupe de Stanford a mis en évidence que, généralement, les rêveurs deviennent lucides soit aussitôt après un retour au sommeil paradoxal succédant à un bref réveil, soit lors de périodes d’activation assez intense au cours du sommeil paradoxal  » phasique « . On a trouvé aussi que les rêves lucides se produisaient plus fréquemment au cours des dernières périodes de sommeil paradoxal. Il ressort que le rêve lucide résulte de la conjonction de facteurs psychologiques et physiologiques: une activation cérébrale suffisante et une attitude mentale appropriée. Le niveau requis d’activation cérébrale ne peut normalement être atteint qu’au cours du sommeil paradoxal phasique, ce qui expliquerait pourquoi il est rarement fait état de rêves lucides au cours des autres stades du sommeil.

Le fait que les rêveurs lucides soient capables de se souvenir d’actions prédéterminées à accomplir et de les signaler en laboratoire a été à l’origine d’une nouvelle forme de recherche onirologique : les rêveurs lucides peuvent exécuter en rêve diverses expérimentations en signalant le moment exact de la survenue d’événements oniriques spécifiques, permettant ainsi d’établir des corrélations psychophysiologiques précises et de vérifier les hypothèses. Le groupe de Stanford a mis à profit cette stratégie au cours d’une série de recherches montrant un degré étonnant de parallélisme psychophysiologique au cours du rêve lucide paradoxal. Par exemple, une étude du  » temps onirique  » a révélé que les laps de temps estimés en rêve lucide sont très proches du temps réel.

Dans une autre étude, on a de mande a des sujets de respirer rapidement ou de retenir leur respiration (au cours de leurs rêves lucides), et de signaler par des mouvements oculaires le laps de temps correspondant au changement de respiration. Les enregistrements polygraphiques ont montré une correspondance exacte avec les schèmes indiqués par les rêveurs. D’autres études ont permis d’observer que les mouvements rêvés se traduisent par des contractions musculaires correspondantes et que l’activité sexuelle en rêve est liée à des réactions physiologiques très proches de celles de l’activité sexuelle réelle.

Les résultats de ces recherches et d’autres études similaires peuvent se résumer ainsi : au cours du sommeil paradoxal, les événements dont nous pensons faire l’expérience en rêve proviennent de schèmes d’activité cérébrale qui produisent en retour des effets sur notre corps et notre système nerveux périphérique. Ces effets modifiés dans une certaine mesure par les conditions spécifiques du sommeil paradoxal, demeurent néanmoins proches de ceux qui seraient produits si nous étions amenés à vivre les événements correspondant à l’état de veille. Si ce n’est du fait de notre paralysie musculaire durant le sommeil paradoxal, nous ferions réellement ce que nous rêvons faire. C’est peut-être la raison qui explique en partie le fait que nous prenions si souvent nos rêves pour la réalité : pour les processus cérébraux qui construisent notre modèle expérientiel du monde, rêver de percevoir ou de faire quelque chose est équivalent au fait de le percevoir ou de le faire réellement.




L’existence même du rêve lucide pose des difficultés conceptuelles par rapport aux croyances traditionnelles au sujet du  » sommeil « , qui présupposent des limites à l’activité mentale onirique. En un sens, la nature inattendue du rêve lucide rejoint celle de cet étrange état spécifique que l’on a dénommé sommeil paradoxal.

Si la découverte du sommeil paradoxal a entraîné un élargissement de notre conception du sommeil, les preuves – passées en revue ci-dessus – des liens unissant le rêve lucide au sommeil paradoxal nécessitent un élargissement similaire de notre conception du rêve ainsi qu’une clarification de notre conception du sommeil. Le rêve lucide pourrait bien être le phénomène le plus paradoxal du sommeil paradoxal.

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Pourquoi il faut vous rendre à la source de la pensée par l’isolement

 

L’organisme humain, d’ailleurs comme tous les organismes vivants, est, naturellement, soumis à des périodes d’activité pendant lesquelles il dépense de la force, et à des périodes de repos, dans lesquelles il récupère les forces perdues.

Ces deux périodes, bien différentes l’une de l’autre, sont l’état de veille pendant lequel on travaille, et le sommeil pendant lequel on se repose.

 Le corps est l’instrument de l’Ame ; c’est un réservoir naturel de force mentale qui a besoin d’être en bon état pour travailler utilement. S’il est fatigué, l’Ame, qui est obligée de dépenser plus de force pour l’entretenir qu’elle n’en dépense normalement, se fatigue, et même, s’épuise.




L’enfant, qui travaille, surtout, au développement de son corps physique, a besoin de dormir au moins la moitié du temps ; et l’adulte, quoique le corps physique soit formé, a encore besoin de dormir environ le tiers du temps. S’il ne dort pas assez, ses forces physiques, comme ses forces morales, ne sont plus suffisamment renouvelées ; il y a fatigue d’abord, épuisement ensuite, et la neurasthénie, avec son triste cortège d’incapacités, ne tarde pas à se déclarer.

Si les pensées sont des choses et si leur manifestation est accompagnée d’une émission de force, comme je l’ai démontré, il est indispensable de savoir penser, de régler convenablement le cours de ses pensées ; et surtout, à certains moments, de ne penser à rien.

Pendant la veille, surtout lorsque nous pensons à plusieurs choses à la fois, nous envoyons de la force dans plusieurs directions, et nous nous fatiguons vite. Etant fatigués, si nous pouvions arrêter cette dépense de force et rappeler à leur centre, c’est-à-dire à nous-mêmes, tous les efforts éparpillés, nous reprendrions très rapidement nos forces perdues. Nous serions aptes à livrer chaque jour beaucoup plus de travail, à le faire mieux et avec plus de facilité.

Napoléon possédait ce pouvoir à un degré très élevé. A un moment donné, il pouvait s’isoler et récupérer très rapidement les forces qu’il avait perdues ; aussi dormait-il peu. De plus, il s’endormait et se réveillait à peu près complètement avec une instantanéité qui a étonné tous les psychologues ; et parfaitement reposé, il était, alors, frais et dispos.




C’est un pouvoir que tout le monde peut acquérir en se donnant la peine de s’entraîner progressivement à faire un exercice, ennuyeux, et fatigant les premiers jours, mais qui ne tarde pas à donner les résultats les plus encourageants.

 Cet exercice a pour but d’apprendre à s’isoler du monde extérieur,
à conserver à soi les forces que la pensée vagabonde et indisciplinée envoie inutilement de tous côtés et à ne pas les laisser s’enfuir. C’est la retraite du silence de Turnbull.
Article de H. Durville et Didier Pénissard https://les-secrets.com/

 

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Que dois-tu changer dans ta vie ?

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Pourquoi oublie-t-on ses rêves ?

eveil tv développement personnel

Le rêve se présente au dormeur toutes les nuits. Il est prouvé qu’il en est ainsi. Ceux qui prétendent ne pas rêver se trompent ; simplement, ils n’ont aucune souvenance d’un vécu nocturne. Plusieurs raisons aussi bien physiques que psychiques s’y rattachent.



Si le réveil à lieu à la fin ou au cours du rêve, celui-ci persiste environ
un quart d’heure en mémoire. En revanche, le souvenir d’un rêve reste très vague si le réveil intervient plus d’une heure après le rêve. Il est même parfois difficile de se remémorer un scénario qui, pourtant, a laissé son empreinte dans notre esprit.

Vainement, nous essayons de rassembler les pièces du puzzle. Tout comme un réveil inopportun entre les cycles du sommeil profond, les rêves se déroulent surtout pendant cette phase, à intervalles réguliers. Si le dormeur est dérangé pendant ce laps de temps, il aura du mal à se remémorer sa nuit.

À l’inverse, s’il se réveille en sursaut au cours du sommeil paradoxal, le rêve revient en mémoire sans difficultés. On se souvient plus facilement du dernier rêve que des précédents.

D’autres raisons favorisent l’oubli du rêve



Comme on ne peut dissocier le rêve du sommeil, je ne recommanderai pas assez d’éviter l’abus des médicaments. Les paradis artificiels tels que les drogues, l’alcool, le café, le thé à fortes doses, les barbituriques, les tranquillisants, endommagent considérablement la vie onirique.

Il y a aussi le fait qu’en dehors du manque d’intérêt porté au rêve, si nous pensons que ces images ne sont que le reflet de notre vie de tous les jours, sans aucun doute, une telle impression provoquera l’amnésie au réveil. Dans l’interprétation des rêves, Freud ne nie pas qu’il y ait un rapport entre le rêve et la veille, mais il a constaté que les faits ou les impressions qui ont intensément occupé la pensée n’apparaissent au cours du rêve que lorsqu’ils ont été, d’une certaine manière, refoulés.

Le rêve est loin d’être une simple projection fantaisiste de nos préoccupations. Au contraire, il permet d’échapper à l’emprise du temps.Son analyse aidera à cerner notre moi profond. En rêvant, nous purifions notre esprit et le libérons des pensées de toutes natures que nous lui imposons à l’état de veille. Il est même possible de résoudre certains problèmes, certaines énigmes, à condition de respecter notre sommeil. (source  dictionnaire des rêves)

Vous pouvez partager cet article en incluant « Chronique trouvée sur Eveil Tv  http://eveil.tv

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Le saboteur en nous

développement personnel

CES VOIX QUI NOUS FONT VIVRE LE SENTIMENT ENVAHISSANT QUE :  ON EST PAS NORMAL




Le saboteur a besoin d’être démasqué sinon il n’en finira plus de faire ses ravages. C’est selon moi, notre pire ennemi. Notre manque d’estime de nous est toujours provoqué par notre saboteur. Nous vivons alors des émotions désagréables qui viendront provoquer des situations qui prouveront que :

Je suis nul(le) = dévalorisation
Je ne vaux rien = dévalorisation
Je rate tout ce que j’entreprends = anxiété
Je ne suis pas digne = honte
C’est de ma faute = culpabilité
Je ne le mérite pas = honte

Le réflex humain sera de cacher, refouler ces sentiments en développant des mécanismes de défense (masques) ou en utilisant des moyens anesthésiants (alcool, drogue, jeu compulsif, etc…) On développe ainsi des comportements de survie.
PRENDRE CONSCIENCE

C’est très important de prendre conscience de ces voix qui nous empoisonnent l’existence, nous font douter de nous, nous font tomber régulièrement dans les mêmes schémas (patterns), nous empêchent d’atteindre nos objectifs et de réaliser nos rêves.

Nous pouvons les ignorer et accuser la malchance ou les autres, mais en vérité nous sommes responsables de nos vies et de tout ce que nous acceptons autour de nous qui en fait parti. C’est à partir de nos pensées que nous créons notre réalité, ce dans quoi nous vivons au quotidien.

C’est ça devenir responsable et conscient. Apprendre à confronter nos idées irréalistes (de honte, de dévalorisation, d’anxiété) afin d’éprouver des émotions plus agréables pour enfin attirer dans nos vies des situations plus positives et bénéfiques pour nous. Devenir responsable de la capacité et de l’immense pouvoir que l’on possède à l’intérieur de nous , de faire des choix.




MOYENS DE DÉJOUER LE SABOTEUR

Ne laissons pas le saboteur diriger notre vie; quand il s’efface, plus rien ne nous résiste il suffit de se le rappeler

On peut déjà commencer par utiliser des mots différents pour le détourner. Par exemple; à la place de devrais on peut employer choisir : JE DEVRAIS FAIRE CELA… devient JE CHOISI DE FAIRE CELA… Vous voyez ! Juste en changeant UN MOT on peut déjà ressentir que c’est nous qui prenons le pouvoir sur la situation au lieu de la subir.

Article trouvé sur www.conscience-et-eveil-spirituel.com

Source original : http://www.lesmotspositifs.com/blogue/le-saboteur-en-nous/

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