60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Eveil Tv - L'au delà

« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

Le Conseil (message canalisé) Votre cheminement et votre service

Le Conseil, canalisé par Ron Head

Une fois de plus, nous parlerons du chemin de l’âme et du service. La question, comme vous l’avez posée, est la suivante. Il fait état de plusieurs idées fausses très répandues en ce qui a trait au cheminement et au service.

“Bonjour. Comment pouvons-nous avancer directement sur le chemin de notre âme et de notre service si nous n’avons aucune idée de ce que cela peut être en ce moment, mais nos cœurs rugissent pour y aller… et grâce à notre sincérité et notre désir d’être en accord avec la vérité de notre âme…étant ouverts…vous venez nous rencontrer où nous sommes avec un grand élan de grâce et une guidance qui change tout pour nous… Merci.”

En ce qui concerne le chemin de l’âme, comme vous l’appelez. Le chemin de votre âme est le chemin sur lequel vous êtes et ne peut être aucun autre. Êtes-vous sur ou proche de la trajectoire que vous aviez l’intention de suivre lorsque vous avez décidé de vous incarner ? C’est une autre question.

Cependant, s’il vous plaît comprenez que vous accumulez de l’expérience pour votre Soi, et il ne peut pas y avoir de ” mauvaise ” façon de le faire.

Nous, en esprit, qui avons un intérêt dans votre processus, ferons de notre mieux pour vous inciter à rester aussi proche que possible de votre intention initiale. Il reste le fait de votre libre arbitre. Si les choses sont un peu trop cahoteuses, si votre chemin est plein de nids-de-poule, considérez que nous pouvons vous ” aider ” de la meilleure façon qui nous est permise. Un léger changement de direction, s’il provoque un lissage de la route, peut suffire à vous guider. Si vos conseils sont plus difficiles à obtenir, songez à la force de votre demande de conseils.

Avez-vous le droit de changer votre chemin par rapport à l’intention initiale ? Bien sûr que vous l’êtes. Vous êtes libre. Vous pouvez avoir la vie que vous voulez. Vous ne serez pas puni. Point final. Vous pouvez choisir d’explorer plus en profondeur les causes et les effets. Nous vous recommandons toutefois d’accepter la responsabilité de ces choix.

Le même raisonnement s’applique à votre service. Vous discutez du service à soi-même plutôt que du service aux autres. Et il y a de très bonnes raisons pour vous de choisir de ne pas être complètement centré sur votre propre bénéfice perçu, bien que de telles perceptions soient presque totalement erronées et extrêmement à courte vue.

Disons encore une fois, comme nous l’avons dit dans le passé, que votre incapacité ressentie à connaître et à découvrir votre chemin et votre service est due à votre détermination que la vie que vous menez n’est pas assez bonne. Vous avez des idées sur ce qui pourrait être ” assez bon “, et ce n’est pas ce que vous vivez. Pouvons-nous faire remarquer, s’il vous plaît, que ces idées sont apprises. Nous ne disons pas qu’il n’est pas louable d’être un bon enseignant, par exemple. Nous disons que là où cela est nécessaire, il y aura un enseignant.

Et TOUTES ces idées fausses, chers amis, sont causées par vos idées de séparation. Tous les chemins nécessaires, tous les services nécessaires de ce moment, c’est ce que vous, en tant que collectivité, vivez. Si vous percevez un besoin, alors c’est la perception qui est nécessaire. Est-ce que vous voyez ? Vos connaissances causent des décisions. Les décisions entraînent des actions. Les actions provoquent le changement. On ne peut pas changer le monde du jour au lendemain. Vous pouvez contribuer. Et c’est ce que vous faites.

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Notre message principal ici est que vous ÊTES suffisant. Vous ÊTES ce qu’il faut. Nous ne vous faisons pas de tort, cependant. S’il vous plaît donnez-vous le crédit pour le désir de s’améliorer. C’est aussi dur que câblé en vous. Vous voudrez toujours mieux. Vous voudrez toujours être meilleur. Voilà, mes amis, votre voie et votre service.Je vous remercie de votre question.

Traduit par Bernard pour https://messagescelestes.ca

Partagé par www.eveil.tv

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Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Après la mort, on voit son corps

 

« La preuve du paradis » est un des livres dont on ne ressort pas indemne. L’histoire de ce neurochirurgien est tellement énorme que je suis persuadé qu’elle n’est pas due au hasard. Imaginez un neurochirurgien qui est non seulement victime de son propre métier en contractant une méningite bactérienne, mais qui plus est fait l’expérience d’une NDE ou EMI, c’est-à-dire l’expérience d’une vie après la mort.

L’expérience du Dr Eben Alexender a même fait la une du célèbre magazine Newsweek, « Le paradis existe » :




 

Le paradis existe

L

e plus surprenant, de par sa formation scientifique le neurologue Dr Eben Alexander était quelqu’un de très sceptique, il ne croyait qu’en ce qu’il voyait. D’ailleurs, quand il entendait des témoignages de personnes de personnes après un accident raconter l’histoire du tunnel, pour lui, c’est leur cerveau qui leur jouait des tours à ces pauvres gens.

Le destin a voulu que lui aussi vive ce genre d’expérience pendant un coma profond d’une semaine.

Dans son livre il raconte donc ce qu’il a vu, des jardins, des paillons, des nuages… Des paysages de toute beauté, mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il y a de fascinant est qu’il balaye d’un revers de main toutes les objections que peuvent avoir les scientifiques sur les témoignages de la vie après la mort. Car il affirme haut et fort que son cerveau était tellement attaqué par cette maladie qu’il n’avait plus les capacités de créer des images telles qu’il les a vus.

En fait, son cerveau pendant son coma n’avait pratiquement plus aucune activité, son néocortex était « out ».  Il insiste bien que l’expérience qu’il a vécue n’est en aucun cas comparable à un rêve, c’était pour lui aussi réel que la lecture de cet article pour vous par exemple.

Il nous révèle aussi dans son livre que nous revoyons dans cette autre dimension les êtres disparus. Ce qui est un point commun à de nombreux témoignages de vie après la mort (NDE).

En revanche, il nous donne un détail qu’apparemment je n’ai jamais entendu dans d’autres témoignages. Il entendait comme un son qu’il est difficile de décrire, une sorte de « Om » hindouiste qui serait peut être la source de ce qu’il nomme Dieu à défaut de connaitre son origine.

Depuis, ce neurologue est devenu totalement croyant et il est convaincu que la conscience n’est pas dans la matière grise du cerveau, elle est ailleurs…

Il y a vraiment de plus en plus de témoignages en faveur de la vie après la mort que même les plus athées ne peuvent être indifférents.

De plus,  je crois que ces remontées de témoignages sont vraiment bénéfiques pour l’humanité. Car, si les scientifiques admettaient enfin que la conscience ne meurt pas après la mort clinique, on serait obligés d’admettre que nos actes présents auront une influence après notre mort, donc à mon avis, non seulement on serait plus « cool » avec son prochain, mais aussi les biens matériels seraient vraiment illusoires.

C’est peut-être pour cette raison que quelles que soient les preuves, l’existence de la vie après la mort aura toujours de forts opposants surtout parmi les intellectuels de ce monde, car c’est tout le système qui s’effondrerait.

Si le livre « la preuve du paradis » vous intéresse, vous pouvez vous le procurer à la FNAC :

http://livre.fnac.com/a5102074/Eben-Alexander-La-preuve-du-Paradis




 

Source: Le nouveau Paradigme

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Méditer pour élever votre taux vibratoire

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La méditation est un outil très utile pour qui désire élever son taux vibratoire. Il n’y a pas une technique unique pour méditer et augmenter son taux vibratoire. C’est plutôt un concept à comprendre, un principe à saisir pour l’appliquer et pour diriger son travail méditatif dans le bon sens. Vous aussi, vous pourrez bientôt méditer et élever votre taux vibratoire.

Taux vibratoire et méditation

Comment élever son taux vibratoire

Notre taux vibratoire s’élève à mesure que l’on devient conscient du monde, que l’on s’ouvre à lui et que l’on affine notre perception de ce qui nous entoure, de ce qui existe plus ou moins loin de nous. Il nous faut devenir de plus en plus conscient et toujours chercher à déceler de plus en plus précisément ces éléments qui ne font tout d’abord que nous effleurer. Lorsqu’on les perçoit dans toute leur puissance malgré leur apparente légèreté, on a alors élevé son taux vibratoire, on a affiné nettement l’énergie que l’on diffuse.

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image pixabay www.eveil.tv




Il faut aussi chercher à nous débarrasser des éléments négatifs nous empêchant d’avancer. En ne nous focalisant plus sur les seuls parties négatives de ce qui nous entoure, nous nous ouvrons à la lumière de chaque chose, à l’énergie positive qui peut alors venir nous enrichir et nous élever à notre tour.

Méditer pour élever son taux vibratoire

Méditer pour élever son taux vibratoire demande donc un travail conscient d’affinage de ses perceptions. Il faut en permanence chercher à percer à jour ce qui repose dans l’ombre. En le portant ainsi à la lumière de notre être, il est possible de s’en enrichir, sans jamais rien ôter de leur beauté, de leur richesse à ces objets de l’esprit que l’on observe et découvre. Il faut également chercher à rendre toujours plus fortes les impressions ténues que l’on ressent à peine. On affine alors son être, sa capacité de sensations. D’un être brut, lourdaud, l’on peut devenir un être de plus en plus raffiné, sans rien sacrifier de sa force, de sa puissance, en sachant simplement bien mieux les maîtriser et les diriger pour en faire des outils toujours plus efficaces.




En méditant, il nous faut découvrir par un long travail de recherche en soi ce que sont les boulets que l’on a attachés à ses pieds. Il faut s’assurer de ne jamais être entraîné vers le fond par des poids qui n’ont pas de raisons d’être. Ce sont souvent des jugements que l’on porte, des ennemis que l’on se crée que viennent les difficultés. À nous de ne pas nous alourdir inutilement, de savoir traverser l’existence en se consacrant plus à la découverte qu’à la critique. Cela, la méditation peut nous l’apprendre en nous montrant les causes de toute chose, en faisant de nous des êtres capables de déceler ce que d’autres ne peuvent seulement imaginer.

Vous pouvez, si vous le voulez, appliquer une technique tout simple.

  1. Imaginez une lumière pure, aussi pure que vous pouvez le concevoir.
  2. Laissez-la entrer en vous, visualisez cette lumière avec autant de réalité que possible. Efforcez-vous de la créer, de lui donner vie, de ne plus seulement l’imaginer. Lorsqu’elle entre en vous, par la tête, la lumière vous purifie. Elle ne se charge pas de vos basses vibrations, elle est trop pure pour cela, mais elle vous débarrasse des vôtres.
  3. Laissez cette lumière descendre, ressentez la bienveillance en elle à votre égard. Voyez comme elle se diffuse à travers votre être et en dépasse les frontières, parce qu’elle rayonne pour l’instant bien plus que vous ne le pouvez.
  4. Lorsque vous êtes empli de lumière, profitez de sa chaleur, de sa pureté aussi longtemps que vous le pouvez.
  5. Lorsque vous sentez qu’elle vous fuit, prenez le temps de l’accompagner, de la faire sortir en douceur, en vous sentant plein d’énergie, de sensations nouvelles, fines, précieuses.

Méditer pour élever son taux vibratoire est simple, mais long, parce qu’il faut s’appliquer à exercer un être qui n’est tout d’abord que fruste, maladroit, grossier dans ses manières. Puis à mesure que l’on travaille, l’on découvre ce qu’il est possible d’atteindre, et l’on ne peut que s’en inspirer.

Lien pour des méditations guidées

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Corps en lévitation, cris d’enfants… Les surprenantes anecdotes d’un embaumeur




Thanatopracteur depuis près de trente ans, Olivier Emphoux a été témoin de plusieurs phénomènes paranormaux. Il nous livre aujourd’hui un incroyable témoignage de son expérience auprès des morts.

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Planet : Si vous exercez ce métier, c’est donc que le contact des morts ne vous effraie pas…
Olivier Emphoux* : « Je n’ai pas grandi dans cet univers, mon enfance a été tout ce qu’il y a de plus normal mais j’ai toujours pensé que les morts relevaient du domaine du sacré. Et ce sentiment n’a fait que se renforcer avec le temps. Je suis ainsi entré dans l’univers du funéraire au plus bas de l’échelle il y a une vingtaine d’années et suis aujourd’hui thanatopracteur. Une expérience qui m’a permis de vérifier une théorie que j’avais développée bien des années auparavant et selon laquelle quelque chose se passe dans les quelques heures (48 heures, tout au plus) qui suivent un décès. Le défunt est alors sur le point de quitter son existence pour trouver un autre état. A ce moment-là, il est soit très calme, soit apeuré à l’idée de passer ce cap. C’est d’ailleurs pourquoi j’essaie à chaque fois de prendre le temps de m’assoir à côté du mort et de lui prendre la main pour le rassurer.

Planet : Quand avez-vous pu vérifier votre théorie pour la toute première fois ?
Olivier Emphoux : C’était au début de ma carrière. J’avais été appelé pour aller récupérer les corps de deux enfants à la morgue d’un hôpital. Quand je suis arrivé, le responsable avait une mine défaite et m’a dit qu’il était incapable d’aller les chercher dans les frigos. J’y suis donc allé. Là, j’ai découvert une petite fille de dix ans qui avait encore les yeux ouverts, je les lui ai fermés, et un petit garçon de quatre ans en pyjama, les poings serrés. Je me suis occupé de leurs corps et les ai ensuite emmenés pour la présentation à leur famille. Une fois les cercueils scellés, je les ai mis dans le corbillard et ai conduit jusqu’au lieu où ils devaient être inhumés. J’étais seul dans le véhicule. A un moment pendant le trajet, j’ai entendu des cris d’enfants. Je me suis arrêté et suis descendu pour voir si les bruits ne venaient pas des cercueils. Après tout, on lit parfois dans les journaux que des gens se réveillent à la morgue. Mais là, il n’y avait plus aucun bruit. J’ai donc redémarré en me disant que mon imagination m’avait joué un tour. Mais les cris ont recommencé. Comme j’étais certain de les entendre, j’ai alors compris que cela ne venait pas de moi mais d’un phénomène paranormal.

Planet : Avez-vous ensuite cherché à savoir ce qui était arrivé à ces deux enfants ?
Olivier Emphoux : J’ai ensuite appris que leur mère avait décidé de vérifier s’ils savaient nager en plongeant leur voiture dans un étang. Ils étaient tous les trois à bord, la mère au volant, les deux enfants attachés à l’arrière. Elle s’en est sortie mais les deux petits sont morts…



Planet : Vous demandez-vous parfois pourquoi vous êtes témoin de ces phénomènes paranormaux ?
Olivier Emphoux : Non, je ne cherche pas à savoir pourquoi. On ne peut pas expliquer ces phénomènes irrationnels en étant vivant. Chercher à comprendre leur origine et pourquoi j’en suis témoin serait le meilleur moyen de ne plus rien voir. Les autres thanatopracteurs qui ont assisté à ce type de phénomènes, en France ou à l’étranger, sont comme moi : ils en parlent très peu. Que ce soit aux familles des défunts – par respect on ne les questionne pas – entre eux ou avec leurs collègues. C’est comme ça, ça ne se fait pas.

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Planet : Vous avez pourtant écrit un livre pour raconter ce dont vous avez été témoin…
Olivier Emphoux : C’est différent. Le livre est né tout seul. Annette Gefffroy est tombée sur mes notes et a eu envie de les mettre en forme. Le but n’était pas de chercher à comprendre ce qu’elles pouvaient révéler mais simplement d’en rendre compte.

Planet : Y-a-t-il des phénomènes plus marquants que d’autres ?
Olivier Emphoux : Il y a notamment eu la fois où je faisais un soin à domicile, seul dans une pièce avec le défunt. A un moment, le corps s’est soulevé à un mètre de hauteur, jusqu’à atteindre la hauteur de mes yeux…. J’ai encore du mal à décrire l’effet que cela m’a fait. Je ne savais plus quoi dire ou faire, j’étais tétanisé.

Il y a aussi eu la fois où, avec trois de mes collègues et alors que nous déplacions le cercueil d’un homme sur un chariot à l’hôpital, nous avons été témoins d’un phénomène très troublant. Nous venions de passer une porte que nous avions silencieusement refermée derrière nous. Dans notre métier, nous devons sans cesse veiller à être invisibles. On dit souvent que la famille du défunt ne doit pas nous voir arriver ni vous voir repartir. Mais tout d’un coup, la porte s’est rouverte et refermée dans un fracas. Ensuite, pendant que nous avancions avec le chariot, nous avons entendu un bruit de métal régulier. Ce bruit nous suivait et s’arrêtait en même temps que nous. Arrivés dans l’ascenseur, j’ai regardé dans le cercueil pour voir si un objet en métal n’’était pas à l’origine de ce bruit. C’est alors que j’ai découvert des talonnettes en métal sur les chaussures du défunt… Il nous avait suivis… Quand nous nous en sommes rendus compte, nous nous sommes tous regardés, perplexes, mais aucun de nous n’a dit quoi que ce soit. Par la suite, nous n’en avons jamais parlé ».

*Olivier Emphoux est l’auteur d’ Aux portes de l’inconnu, un embaumeur raconte… (éd. de L’Opportun)

Source

Lien du livre

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Sixième Sens

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Cole Sear, un garçon de 9 ans, a un secret qui le traumatise : il voit les allées et venues des personnes décédées, parfois agressives, qui l’apostrophent. Ce pouvoir l’enferme dans une peur continue et il refuse de le révéler jusqu’au jour où il rencontre le Dr Malcolm Crowe, psychologue pour enfants…

BANDE ANNONCE

FILM COMPLET EN STREAMING

http://www.streamcomplet.eu/streaming-sixieme-sens.php

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Sélection de films spirituels




Les esprits répondent ils aux questions sur la santé?

Eveil tv- santé
Questions demandées à des esprits par un médium (tiré du livre d’Allan Kardec)

 Les Esprits peuvent-ils donner des conseils pour la santé ?

«La santé est une condition nécessaire pour le travail que l’on doit accomplir sur la terre, c’est pourquoi ils s’en occupent volontiers ; mais comme il y a des ignorants et des savants parmi eux, il ne convient pas




plus pour cela que pour autre chose de s’adresser au premier venu.»


En s’adressant à l’Esprit d’une célébrité médicale, est-on plus certain d’obtenir un bon conseil ?

«Les célébrités terrestres ne sont pas infaillibles et ont souvent des idées systématiques qui ne sont pas toujours justes, et dont la mort ne les délivre pas tout de suite. La science terrestre est bien peu de chose
auprès de la science céleste ; les Esprits supérieurs seuls ont cette dernière science ; sans avoir des noms connus de vous, ils peuvent en savoir beaucoup plus que vos savants sur toutes choses. La science ne
fait pas seule les Esprits supérieurs, et vous seriez très étonnés du rang que certains savants occupent parmi nous. L’Esprit d’un savant peut donc n’en savoir pas plus que lorsqu’il était sur la Terre, s’il n’a pas progressé comme Esprit.»

 Le savant, devenu Esprit, reconnaît-il ses erreurs scientifiques ?

«S’il est arrivé à un degré assez élevé pour être débarrassé de sa vanité et comprendre que son enveloppement n’est pas complet, il les reconnaît et les avoue sans honte ; mais s’il n’est point assez dématérialisé, il peut conserver quelques-uns des préjugés dont il était imbu sur la terre.»

 
Un médecin pourrait-il, en évoquant ceux de ses malades qui sont morts, en obtenir des éclaircissements sur la cause de leur mort, les fautes qu’il a pu commettre dans le traitement, et acquérir ainsi un surcroît d’expérience ?




«Il le peut, et cela lui serait très utile, surtout s’il se faisait assister par des Esprits éclairés qui suppléeraient au défaut de connaissances de certains malades. Mais pour cela, il faudrait qu’il fît cette étude d’une manière sérieuse, assidue, dans un but humanitaire, et non comme moyen d’acquérir sans peine savoir et fortune.»
Source de l’article le livre des médium Allan Kardec
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LE LIVRE DES MEDUIMS (Lien)




Voici des réponses sur le sort des Esprits

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Questions demandées à des esprits par un médium (tiré du livre d’Allan Kardec)
Peut-on demander aux Esprits des renseignements sur leur situation dans le monde des Esprits ?
«Oui, et ils en donnent volontiers quand la demande est dictée par lasympathie ou le désir d’être utile, et non par la curiosité.»
 




Les Esprits peuvent-ils décrire la nature de leurs souffrances ou de leur bonheur ?
 
«Parfaitement, et ces sortes de révélations sont un grand enseignement pour vous, car elles vous initient à la véritable nature des peines et des récompenses futures ; en détruisant les idées fausses que vous vous
faites à ce sujet, elles tendent à ranimer la foi et votre confiance en la bonté de Dieu. Les bons Esprits sont heureux de vous décrire la félicité des élus ; les mauvais peuvent être contraints de décrire leurs
souffrances, afin de provoquer le repentir chez eux ; ils y trouvent même quelquefois une sorte de soulagement : c’est le malheureux qui exhale sa plainte par l’espoir de la compassion.
N’oubliez pas que le but essentiel, exclusif, du spiritisme, est votre amélioration, et c’est pour l’atteindre qu’il est permis aux Esprits de vous initier à la vie future, en vous offrant des exemples dont vous pouvez
profiter. Plus vous vous identifierez avec le monde qui vous attend,
moins vous regretterez celui où vous êtes maintenant. Ceci est en somme
le but actuel de la révélation.»
 
En évoquant une personne dont le sort est inconnu, peut-on savoir d’elle-même si elle existe encore ?
image pixabay




 «Oui, si l’incertitude de sa mort n’est pas une nécessité ou une épreuve pour ceux qui ont intérêt à le savoir.»
– Si elle est morte, peut-elle faire connaître les circonstances de sa mort, de manière à pouvoir la vérifier ? «Si elle y attache quelque importance, elle le fera ; autrement elle s’en soucie peu.»
Remarque. L’expérience prouve que, dans ce cas, l’Esprit n’est nullement excité par les motifs d’intérêt que l’on peut avoir de connaître les circonstances de sa mort ; s’il tient à les révéler, il le fait de lui-même, soit par voie médiumnique, soit par celle des visions ou apparitions, et peut alors donner les indications les plus précises ; dans le cas contraire, un Esprit trompeur peut parfaitement donner le change et s’amusera à faire faire des recherches inutiles.
 
Il arrive fréquemment que la disparition d’une personne dont la mort ne peut être officiellement constatée, apporte des entraves aux affaires de familles. Ce n’est que dans des cas très rares et très exceptionnels que nous avons vu les Esprits mettre sur la voie de la vérité d’après la demande qui leur en est faite ; s’ils voulaient le faire, ils le pourraient sans doute, mais souvent cela ne leur est pas permis si ces embarras sont des épreuves pour ceux qui seraient intéressés à s’en affranchir.
C’est donc se leurrer d’un espoir chimérique que de poursuivre par ce moyen des recouvrements d’héritages dont le plus positif est l’argent que l’on dépense à cet effet.




 Il ne manque pas d’Esprits disposés à flatter de pareilles espérances, et qui ne se font aucun scrupule d’induire à des démarches dont on est souvent très heureux d’être quitte pour un peu de ridicule
Source de l’article le livre des médium Allan Kardec – Eveil Tv
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LE LIVRE DES MEDUIMS (Lien)

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THE EXORCIST

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Les histoires d’exorcisme vous fascinent ? Découvrez la bande-annonce de la  nouvelle série l’Exorciste !

Cette série est inspirée par le roman de William Blatty adapté au cinéma en 1974 par William Friedkin.

Si vous avez aimé le premier film et que vous aimez les histoires d’exorcisme de possession, rendez-vous à la rentrée pour découvrir la série The Exorcist sur la chaîne Fox !

 




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La vie du médium Chico Xavier

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Basé sur le livre « La vie de Chico Xavier » du journaliste Marcel Souto Maior, ce film décrit une parcelle de l’histoire du médium Chico Xavier qui vécut jusqu’à l’âge de 92 ans.

Trois femmes, Ruth, Elisa et Lara vont se croiser , chacune a une histoire différente , un drame, une histoire de vie qui les oblige à s’orienter vers une autre vision de la vie. Chacune va rencontrer le médium Chico Xavier et comprend pourquoi elle souffre.

 

 

Lien livre de Chico Xavier (Amazon)




VOIR UN AUTRE FILM DE CHICO XAVIER

 

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