60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Eveil Tv - L'au delà

« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Après la mort, on voit son corps

 

« La preuve du paradis » est un des livres dont on ne ressort pas indemne. L’histoire de ce neurochirurgien est tellement énorme que je suis persuadé qu’elle n’est pas due au hasard. Imaginez un neurochirurgien qui est non seulement victime de son propre métier en contractant une méningite bactérienne, mais qui plus est fait l’expérience d’une NDE ou EMI, c’est-à-dire l’expérience d’une vie après la mort.

L’expérience du Dr Eben Alexender a même fait la une du célèbre magazine Newsweek, « Le paradis existe » :




 

Le paradis existe

L

e plus surprenant, de par sa formation scientifique le neurologue Dr Eben Alexander était quelqu’un de très sceptique, il ne croyait qu’en ce qu’il voyait. D’ailleurs, quand il entendait des témoignages de personnes de personnes après un accident raconter l’histoire du tunnel, pour lui, c’est leur cerveau qui leur jouait des tours à ces pauvres gens.

Le destin a voulu que lui aussi vive ce genre d’expérience pendant un coma profond d’une semaine.

Dans son livre il raconte donc ce qu’il a vu, des jardins, des paillons, des nuages… Des paysages de toute beauté, mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il y a de fascinant est qu’il balaye d’un revers de main toutes les objections que peuvent avoir les scientifiques sur les témoignages de la vie après la mort. Car il affirme haut et fort que son cerveau était tellement attaqué par cette maladie qu’il n’avait plus les capacités de créer des images telles qu’il les a vus.

En fait, son cerveau pendant son coma n’avait pratiquement plus aucune activité, son néocortex était « out ».  Il insiste bien que l’expérience qu’il a vécue n’est en aucun cas comparable à un rêve, c’était pour lui aussi réel que la lecture de cet article pour vous par exemple.

Il nous révèle aussi dans son livre que nous revoyons dans cette autre dimension les êtres disparus. Ce qui est un point commun à de nombreux témoignages de vie après la mort (NDE).

En revanche, il nous donne un détail qu’apparemment je n’ai jamais entendu dans d’autres témoignages. Il entendait comme un son qu’il est difficile de décrire, une sorte de « Om » hindouiste qui serait peut être la source de ce qu’il nomme Dieu à défaut de connaitre son origine.

Depuis, ce neurologue est devenu totalement croyant et il est convaincu que la conscience n’est pas dans la matière grise du cerveau, elle est ailleurs…

Il y a vraiment de plus en plus de témoignages en faveur de la vie après la mort que même les plus athées ne peuvent être indifférents.

De plus,  je crois que ces remontées de témoignages sont vraiment bénéfiques pour l’humanité. Car, si les scientifiques admettaient enfin que la conscience ne meurt pas après la mort clinique, on serait obligés d’admettre que nos actes présents auront une influence après notre mort, donc à mon avis, non seulement on serait plus « cool » avec son prochain, mais aussi les biens matériels seraient vraiment illusoires.

C’est peut-être pour cette raison que quelles que soient les preuves, l’existence de la vie après la mort aura toujours de forts opposants surtout parmi les intellectuels de ce monde, car c’est tout le système qui s’effondrerait.

Si le livre « la preuve du paradis » vous intéresse, vous pouvez vous le procurer à la FNAC :

http://livre.fnac.com/a5102074/Eben-Alexander-La-preuve-du-Paradis




 

Source: Le nouveau Paradigme

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Méditer pour élever votre taux vibratoire

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La méditation est un outil très utile pour qui désire élever son taux vibratoire. Il n’y a pas une technique unique pour méditer et augmenter son taux vibratoire. C’est plutôt un concept à comprendre, un principe à saisir pour l’appliquer et pour diriger son travail méditatif dans le bon sens. Vous aussi, vous pourrez bientôt méditer et élever votre taux vibratoire.

Taux vibratoire et méditation

Comment élever son taux vibratoire

Notre taux vibratoire s’élève à mesure que l’on devient conscient du monde, que l’on s’ouvre à lui et que l’on affine notre perception de ce qui nous entoure, de ce qui existe plus ou moins loin de nous. Il nous faut devenir de plus en plus conscient et toujours chercher à déceler de plus en plus précisément ces éléments qui ne font tout d’abord que nous effleurer. Lorsqu’on les perçoit dans toute leur puissance malgré leur apparente légèreté, on a alors élevé son taux vibratoire, on a affiné nettement l’énergie que l’on diffuse.

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Il faut aussi chercher à nous débarrasser des éléments négatifs nous empêchant d’avancer. En ne nous focalisant plus sur les seuls parties négatives de ce qui nous entoure, nous nous ouvrons à la lumière de chaque chose, à l’énergie positive qui peut alors venir nous enrichir et nous élever à notre tour.

Méditer pour élever son taux vibratoire

Méditer pour élever son taux vibratoire demande donc un travail conscient d’affinage de ses perceptions. Il faut en permanence chercher à percer à jour ce qui repose dans l’ombre. En le portant ainsi à la lumière de notre être, il est possible de s’en enrichir, sans jamais rien ôter de leur beauté, de leur richesse à ces objets de l’esprit que l’on observe et découvre. Il faut également chercher à rendre toujours plus fortes les impressions ténues que l’on ressent à peine. On affine alors son être, sa capacité de sensations. D’un être brut, lourdaud, l’on peut devenir un être de plus en plus raffiné, sans rien sacrifier de sa force, de sa puissance, en sachant simplement bien mieux les maîtriser et les diriger pour en faire des outils toujours plus efficaces.




En méditant, il nous faut découvrir par un long travail de recherche en soi ce que sont les boulets que l’on a attachés à ses pieds. Il faut s’assurer de ne jamais être entraîné vers le fond par des poids qui n’ont pas de raisons d’être. Ce sont souvent des jugements que l’on porte, des ennemis que l’on se crée que viennent les difficultés. À nous de ne pas nous alourdir inutilement, de savoir traverser l’existence en se consacrant plus à la découverte qu’à la critique. Cela, la méditation peut nous l’apprendre en nous montrant les causes de toute chose, en faisant de nous des êtres capables de déceler ce que d’autres ne peuvent seulement imaginer.

Vous pouvez, si vous le voulez, appliquer une technique tout simple.

  1. Imaginez une lumière pure, aussi pure que vous pouvez le concevoir.
  2. Laissez-la entrer en vous, visualisez cette lumière avec autant de réalité que possible. Efforcez-vous de la créer, de lui donner vie, de ne plus seulement l’imaginer. Lorsqu’elle entre en vous, par la tête, la lumière vous purifie. Elle ne se charge pas de vos basses vibrations, elle est trop pure pour cela, mais elle vous débarrasse des vôtres.
  3. Laissez cette lumière descendre, ressentez la bienveillance en elle à votre égard. Voyez comme elle se diffuse à travers votre être et en dépasse les frontières, parce qu’elle rayonne pour l’instant bien plus que vous ne le pouvez.
  4. Lorsque vous êtes empli de lumière, profitez de sa chaleur, de sa pureté aussi longtemps que vous le pouvez.
  5. Lorsque vous sentez qu’elle vous fuit, prenez le temps de l’accompagner, de la faire sortir en douceur, en vous sentant plein d’énergie, de sensations nouvelles, fines, précieuses.

Méditer pour élever son taux vibratoire est simple, mais long, parce qu’il faut s’appliquer à exercer un être qui n’est tout d’abord que fruste, maladroit, grossier dans ses manières. Puis à mesure que l’on travaille, l’on découvre ce qu’il est possible d’atteindre, et l’on ne peut que s’en inspirer.

Lien pour des méditations guidées

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Corps en lévitation, cris d’enfants… Les surprenantes anecdotes d’un embaumeur




Thanatopracteur depuis près de trente ans, Olivier Emphoux a été témoin de plusieurs phénomènes paranormaux. Il nous livre aujourd’hui un incroyable témoignage de son expérience auprès des morts.

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Planet : Si vous exercez ce métier, c’est donc que le contact des morts ne vous effraie pas…
Olivier Emphoux* : « Je n’ai pas grandi dans cet univers, mon enfance a été tout ce qu’il y a de plus normal mais j’ai toujours pensé que les morts relevaient du domaine du sacré. Et ce sentiment n’a fait que se renforcer avec le temps. Je suis ainsi entré dans l’univers du funéraire au plus bas de l’échelle il y a une vingtaine d’années et suis aujourd’hui thanatopracteur. Une expérience qui m’a permis de vérifier une théorie que j’avais développée bien des années auparavant et selon laquelle quelque chose se passe dans les quelques heures (48 heures, tout au plus) qui suivent un décès. Le défunt est alors sur le point de quitter son existence pour trouver un autre état. A ce moment-là, il est soit très calme, soit apeuré à l’idée de passer ce cap. C’est d’ailleurs pourquoi j’essaie à chaque fois de prendre le temps de m’assoir à côté du mort et de lui prendre la main pour le rassurer.

Planet : Quand avez-vous pu vérifier votre théorie pour la toute première fois ?
Olivier Emphoux : C’était au début de ma carrière. J’avais été appelé pour aller récupérer les corps de deux enfants à la morgue d’un hôpital. Quand je suis arrivé, le responsable avait une mine défaite et m’a dit qu’il était incapable d’aller les chercher dans les frigos. J’y suis donc allé. Là, j’ai découvert une petite fille de dix ans qui avait encore les yeux ouverts, je les lui ai fermés, et un petit garçon de quatre ans en pyjama, les poings serrés. Je me suis occupé de leurs corps et les ai ensuite emmenés pour la présentation à leur famille. Une fois les cercueils scellés, je les ai mis dans le corbillard et ai conduit jusqu’au lieu où ils devaient être inhumés. J’étais seul dans le véhicule. A un moment pendant le trajet, j’ai entendu des cris d’enfants. Je me suis arrêté et suis descendu pour voir si les bruits ne venaient pas des cercueils. Après tout, on lit parfois dans les journaux que des gens se réveillent à la morgue. Mais là, il n’y avait plus aucun bruit. J’ai donc redémarré en me disant que mon imagination m’avait joué un tour. Mais les cris ont recommencé. Comme j’étais certain de les entendre, j’ai alors compris que cela ne venait pas de moi mais d’un phénomène paranormal.

Planet : Avez-vous ensuite cherché à savoir ce qui était arrivé à ces deux enfants ?
Olivier Emphoux : J’ai ensuite appris que leur mère avait décidé de vérifier s’ils savaient nager en plongeant leur voiture dans un étang. Ils étaient tous les trois à bord, la mère au volant, les deux enfants attachés à l’arrière. Elle s’en est sortie mais les deux petits sont morts…



Planet : Vous demandez-vous parfois pourquoi vous êtes témoin de ces phénomènes paranormaux ?
Olivier Emphoux : Non, je ne cherche pas à savoir pourquoi. On ne peut pas expliquer ces phénomènes irrationnels en étant vivant. Chercher à comprendre leur origine et pourquoi j’en suis témoin serait le meilleur moyen de ne plus rien voir. Les autres thanatopracteurs qui ont assisté à ce type de phénomènes, en France ou à l’étranger, sont comme moi : ils en parlent très peu. Que ce soit aux familles des défunts – par respect on ne les questionne pas – entre eux ou avec leurs collègues. C’est comme ça, ça ne se fait pas.

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Planet : Vous avez pourtant écrit un livre pour raconter ce dont vous avez été témoin…
Olivier Emphoux : C’est différent. Le livre est né tout seul. Annette Gefffroy est tombée sur mes notes et a eu envie de les mettre en forme. Le but n’était pas de chercher à comprendre ce qu’elles pouvaient révéler mais simplement d’en rendre compte.

Planet : Y-a-t-il des phénomènes plus marquants que d’autres ?
Olivier Emphoux : Il y a notamment eu la fois où je faisais un soin à domicile, seul dans une pièce avec le défunt. A un moment, le corps s’est soulevé à un mètre de hauteur, jusqu’à atteindre la hauteur de mes yeux…. J’ai encore du mal à décrire l’effet que cela m’a fait. Je ne savais plus quoi dire ou faire, j’étais tétanisé.

Il y a aussi eu la fois où, avec trois de mes collègues et alors que nous déplacions le cercueil d’un homme sur un chariot à l’hôpital, nous avons été témoins d’un phénomène très troublant. Nous venions de passer une porte que nous avions silencieusement refermée derrière nous. Dans notre métier, nous devons sans cesse veiller à être invisibles. On dit souvent que la famille du défunt ne doit pas nous voir arriver ni vous voir repartir. Mais tout d’un coup, la porte s’est rouverte et refermée dans un fracas. Ensuite, pendant que nous avancions avec le chariot, nous avons entendu un bruit de métal régulier. Ce bruit nous suivait et s’arrêtait en même temps que nous. Arrivés dans l’ascenseur, j’ai regardé dans le cercueil pour voir si un objet en métal n’’était pas à l’origine de ce bruit. C’est alors que j’ai découvert des talonnettes en métal sur les chaussures du défunt… Il nous avait suivis… Quand nous nous en sommes rendus compte, nous nous sommes tous regardés, perplexes, mais aucun de nous n’a dit quoi que ce soit. Par la suite, nous n’en avons jamais parlé ».

*Olivier Emphoux est l’auteur d’ Aux portes de l’inconnu, un embaumeur raconte… (éd. de L’Opportun)

Source

Lien du livre

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QU’EST-CE QUE LA GÉODÉSIE QUANTIQUE ?

par Yvan Poirier

Lors de mon prochain séminaire, il me fera plaisir de vous expliquer les tenants et aboutissants de ces Facultés illimitées qui sauront éveiller en vous ce qui dormait durant cette longue période d’enfermement.

Voici donc quelques exemples des différents mécanismes de l’intérieur qui seront développés au cours de ce séminaire :

  • La médiumnité sous tous ses axes
  • Intuition, Voyance & Clairvoyance Intérieures et Cosmiques
  • Canalisation, Vibralisation & Chanelling
  • Précognition, Rétro-cognition & Empathie Vibratoire
  • Les Prophéties ou les Prédictions au-delà de leur conception mentale
  • La Vision périphérique des mondes invisibles
  • Télépathie, Téléâmie & Télépsychie
  • Communication avec les animaux, les plantes, les pierres, etc.
  • Perception inter-dimensionnelle et multidimensionnelle
  • Télépathie
  • Clairsentience
  • Lévitation
  • Télékinésie
  • Voyage avec le Corps d’Êtreté
  • Vision du Cœur Vibral au Cœur du Cœur
  • Vision Aurique
  • Chronokinésie ou Syntonie & Synchronicité
  • Bi-location & bien plus…
  • Etc.

Tous ces mécanismes sont potentiellement attribuables à la Géodésie Quantique. Toutefois, il sera très important de saisir les nuances importantes en ce qui concerne leur utilisation, à savoir, la compréhension exhaustive de l’âme, de l’Esprit, de la Supraconscience, de la Merkabah Interdimensionnelle individuelle et collective, etc… Cela permettra de comprendre essentiellement ce qui doit être développé en vous afin d’y accéder.

Je vous lance cette invitation afin que vous puissiez reconnaître ce qui se vit dans votre Géodésie Quantique.

Avec tout mon Amour!

« Chronique trouvée sur lapressegalactique.org »  Partagé par http://eveil.tv/

L’inconscient serait-il à l’origine des phénomènes paranormaux ?

Oublions vite ce décevant livre de désinformation de
Georges Charpak et Henri Broch, et intéressons-nous plutôt
à un ouvrage beaucoup plus passionnant, sorti à peu près
en même temps et intitulé “ Le Paranormal ” (Que Sais-Je
n°3424, éditions Puf), rédigé par Philippe Wallon, médecin-
psychiatre et chercheur à l’INSERM.




L’auteur présente, à l’exact opposé du négationnisme de
Charpak et Broch, une approche objective qu’il revendique :
“Pour moi, la négation du paranormal renvoie au refus de
voir”.
Il propose une thèse novatrice : l’inconscient jouerait
un rôle majeur dans les phénomènes paranormaux comme
la télépathie, la voyance, le spiritisme, les visions, la sortie
hors du corps ou la psychokinèse (capacité à faire bouger
des objets directement par l’action de l’esprit).

Philippe Wallon développe son argumentation en l’illus-
trant de nombreux témoignages qu’il a recueillis personnel-
lement dans le secret de son cabinet de psychiatre. Ce qui,
en soi, représente déjà une grande avancée.

En effet, pendant longtemps, les personnes
vivant des expériences para-normales n’osaient pas en parler.
Ce que Carl Gustav Jung (1875-1961) avait d’ailleurs noté :

“ En tant que psychiatreet psychothérapeute,
j’ai souvent été mis en contact avec les
phénomènes en question et j’ai pu mesurer avec certitude
tout ce qu’ils signifient dans l’expérience intérieure de l’être
humain. Il s’agit, en effet, le plus souvent, de choses dont on
ne parle qu’à voix basse, afin de ne pas s’exposer à la raillerie
de l’irréflexion. Je n’ai cessé de m’étonner du grand nombre
de gens qui ont connu des expériences de ce genre et du soin
qu’ils mettaient à garder le secret de l’inexplicable.”

Je pense sincèrement qu’aujourd’hui le monde a changé :
de plus en plus de personnes, comme le journaliste Marc
Menant, déjà cité, ont en effet le courage de témoigner, à
visage découvert, de leurs expériences paranormales.
Mais il reste, à mon sens, à franchir une étape supplémentaire :
trouver des personnes qui acceptent de participer à des
tests scientifiques qui permettraient de mieux comprendre
ces phénomènes. Comme le fait, depuis longtemps déjà,
Jean-Pierre Girard, sujet-psi aux capacités paranormales
étonnantes, dont on reparlera plus loin à propos de psy-
chokinèse.




Cependant, je n’ignore pas qu’il est très difficile, au cours de
tests scientifiques, en laboratoire et devant des observateurs
plus ou moins sceptiques (ce qui a tendance à “ bloquer ” le
cobaye), de déclencher les phénomènes paranormaux de
façon répétitive et sur commande. En effet, observer en
direct un phénomène paranormal, par nature spontané et
aléatoire, revient à tenter de photographier un éclair en
plein orage : on ne sait jamais où et quand il apparaîtra !

Mais cela vaut la peine d’essayer, non?

Jacques Mandorla

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les différents types de médium

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 les différents types de médium Chaque médium a des capacités médiumniques différentes selon les personnes, une voir :
 

l’empathie: Elle consiste à ressentir facilement les émotions. Tout d’abord en provenance de personnes (tristesse, joie, colère) elles peuvent aussi provenir d’entités dans un contact très basique. Exemple: médium qui change d’humeur au contact des autres, sans que ce soit la sienne, qui se met à pleurer sans raison en présence de personnes tristes, ou qui rit alors qu’il est lui même triste au contact de personne joyeuse.




 

les sensitifs: L’extension (ou amélioration si vous préférez) des empathes, c’est un médium qui ressent une entité, son degré d’évolution (positive, négative, dynastie auquel elle appartient) mais aussi sensibles aux lieux, aux objets chargés, aux courants énergétiques. exemple: un médium qui entre dans une pièce et qui ressent une présence, ou bien qui ne supporte pas certains lieux qui le rendent malade sans explication. Une autre étape qui peut être issue de l’empathie, on est toujours dans la capacité de lecture énergétique et d’interprétation de celle-ci. Des objets, des lieux qui sont chargés d’énergies à cause d’évènements violents ou répétitifs et que le médium est capable de « voir ». Exemple: un médium sensible à ce type d’énergie qui aurait un morceau du mur de Berlin serait en mesure de voir les violences, l’histoire associée à cet objet.

 

clairaudience: La capacité qui consiste à entendre une entité parler. Elle débute généralement par des sensations d’appels au moment de l’endormissement, puis progresse généralement sur un plan mental, en entendant des voix dans sa tête, puis de façon réelle (qui est la clairaudience aboutie) Bien sur, il faut distinguer ce genre de « voix » avec celles provenant de troubles psychiatriques avérés. Exemple: des médiums qui vous disent: « ma grand mère me souffle que… » ou des médiums qui entendent des idées, des phrases qui ne proviennent pas d’eux. -> permet l’écriture intuitive.

 




clairvoyance: Elle permet de voir une entité. En gros, il y a un fantôme dans la pièce en face de moi! De divers degrés elle commence par entrapercevoir des ombres, discerner des formes et dans sa possibilité absolue voir une entité de façon « en chair et en os » face à soit. C’est probablement l’une des capacités les plus difficiles à supporter même pour un médium confirmé. Exemple: les châteaux hantés, où l’on voit passer l’entité à travers le mur lol.

 

Clair touché: Médium qui ressent les entités par le toucher, commence par l’effleurement et peut se manifester dans l’absolue par des brûlures, des marques physiques sur le corps. Exemple: un médium clair touché en entrant dans une pièce peut ressentir une entité parce qu’il a une sensation au niveau de la main, comme si on lui tenait.

 

Odorat astral: Capacité qui se manifeste par l’odorat, le médium sent des odeurs particulières qui sont le reflet d’un état de santé d’une personne, du niveau d’évolution d’une entité, ou bien du taux vibratoire d’un lieu. Bien sur ces odeurs ne peuvent être expliquées par des causes physiques. Exemple: odeur de tabac avec des entités du bas astral, on dit de plus que sentir la rose est un signe de la Vierge, je corrigerais en disant que c’est le signe d’un développement des corps subtils très particulier (une forme d’élévation)

 

A effets physiques: Médium peu courant, aux manifestations hors normes. Les capacités du médium, au travers de contact avec une entité, ou dans un surplus d’énergies qui se manifestent sur un plan physique. Ampoule qui explose, problème électrique la majorité du temps (problème de gestion de l’élément feu), souci avec de l’eau (eau qui apparait sans raison physique vérifiable), robinet qui saute (problème d’élément eau), courant d’air avec portes et fenêtres fermées sans aérations (problème d’élément air), verre qui explose sans contact (élément terre)…ces manifestations sont souvent rares, propre aux médiums les plus poussés (dans le sens capacité) car demande un haut niveau d’énergie naturelles chez la personne. C’est une capacité plutôt exceptionnelle, et rarement contrôlable (en tout cas je n’ai rencontré personne dans ce cas) et la maitrise passerait par la maitrise de chacun des éléments, donc lévitation, télépathie…des capacités hors norme donc.

 

Medium à incorporation: Médium qui prêtent leur corps, de façon volontaire (ou pas, mais là ça relève du cadre de la possession) à plus ou moins grande échelle à une ou des entités pour qu’elles puissent faire des actions: on relève donc: parler, écrire, agir, peindre… On relève par exemple des cas de xenoglossie: capacités à parler des langues inconnues du médium. Généralement, le médium se contente de l’écriture automatique (permettant un minimum de contrôle et donc de danger pour lui-même). De façon absolue, la capacité de se manifeste par la possession récurrente du médium (volontaire ou non). Il faut préciser que ces médiums, dans la branche absolue, sont un peu de véritables passoires (je m’excuse d’avance) quand ils ne contrôlent pas la capacité. Attention cette pratique reste dangereuse et nécessite des protections.

 

Les médiums guérisseurs: capacité rare, elle se manifeste par une aide au guérisseur (magnétiseur) pour guérir et soulager les personnes qu’il rencontre. Exemple: un médium qui décrit que quelque chose prend ses mains pour guérir (attention on parle aussi d’incorporation là)




les différents types de médium Chaque médium a des capacités médiumniques différentes selon les personnes, une voir :
 

L’empathie: Elle consiste à ressentir facilement les émotions. Tout d’abord en provenance de personnes (tristesse, joie, colère) elles peuvent aussi provenir d’entités dans un contact très basique. Exemple: médium qui change d’humeur au contact des autres, sans que ce soit la sienne, qui se met à pleurer sans raison en présence de personnes tristes, ou qui rit alors qu’il est lui même triste au contact de personne joyeuse.

Les sensitifs: L’extension (ou amélioration si vous préférez) des empathes, c’est un médium qui ressent une entité, son degré d’évolution (positive, négative, dynastie auquel elle appartient) mais aussi sensibles aux lieux, aux objets chargés, aux courants énergétiques. exemple: un médium qui entre dans une pièce et qui ressent une présence, ou bien qui ne supporte pas certains lieux qui le rendent malade sans explication. Une autre étape qui peut être issue de l’empathie, on est toujours dans la capacité de lecture énergétique et d’interprétation de celle-ci. Des objets, des lieux qui sont chargés d’énergies à cause d’évènements violents ou répétitifs et que le médium est capable de « voir ». Exemple: un médium sensible à ce type d’énergie qui aurait un morceau du mur de Berlin serait en mesure de voir les violences, l’histoire associée à cet objet.

 Clairaudience: La capacité qui consiste à entendre une entité parler. Elle débute généralement par des sensations d’appels au moment de l’endormissement, puis progresse généralement sur un plan mental, en entendant des voix dans sa tête, puis de façon réelle (qui est la clairaudience aboutie) Bien sur, il faut distinguer ce genre de « voix » avec celles provenant de troubles psychiatriques avérés. Exemple: des médiums qui vous disent: « ma grand mère me souffle que… » ou des médiums qui entendent des idées, des phrases qui ne proviennent pas d’eux. -> permet l’écriture intuitive.
 




Clairvoyance: Elle permet de voir une entité. En gros, il y a un fantôme dans la pièce en face de moi! De divers degrés elle commence par entrapercevoir des ombres, discerner des formes et dans sa possibilité absolue voir une entité de façon « en chair et en os » face à soit. C’est probablement l’une des capacités les plus difficiles à supporter même pour un médium confirmé. Exemple: les châteaux hantés, où l’on voit passer l’entité à travers le mur lol.

 

Clair touché: Médium qui ressent les entités par le toucher, commence par l’effleurement et peut se manifester dans l’absolue par des brûlures, des marques physiques sur le corps. Exemple: un médium clair touché en entrant dans une pièce peut ressentir une entité parce qu’il a une sensation au niveau de la main, comme si on lui tenait.

 

Odorat astral: Capacité qui se manifeste par l’odorat, le médium sent des odeurs particulières qui sont le reflet d’un état de santé d’une personne, du niveau d’évolution d’une entité, ou bien du taux vibratoire d’un lieu. Bien sur ces odeurs ne peuvent être expliquées par des causes physiques. Exemple: odeur de tabac avec des entités du bas astral, on dit de plus que sentir la rose est un signe de la Vierge, je corrigerais en disant que c’est le signe d’un développement des corps subtils très particulier (une forme d’élévation)

 

A effets physiques: Médium peu courant, aux manifestations hors normes. Les capacités du médium, au travers de contact avec une entité, ou dans un surplus d’énergies qui se manifestent sur un plan physique. Ampoule qui explose, problème électrique la majorité du temps (problème de gestion de l’élément feu), souci avec de l’eau (eau qui apparait sans raison physique vérifiable), robinet qui saute (problème d’élément eau), courant d’air avec portes et fenêtres fermées sans aérations (problème d’élément air), verre qui explose sans contact (élément terre)…ces manifestations sont souvent rares, propre aux médiums les plus poussés (dans le sens capacité) car demande un haut niveau d’énergie naturelles chez la personne. C’est une capacité plutôt exceptionnelle, et rarement contrôlable (en tout cas je n’ai rencontré personne dans ce cas) et la maitrise passerait par la maitrise de chacun des éléments, donc lévitation, télépathie…des capacités hors norme donc.

 

Medium à incorporation: Médium qui prêtent leur corps, de façon volontaire (ou pas, mais là ça relève du cadre de la possession) à plus ou moins grande échelle à une ou des entités pour qu’elles puissent faire des actions: on relève donc: parler, écrire, agir, peindre… On relève par exemple des cas de xenoglossie: capacités à parler des langues inconnues du médium. Généralement, le médium se contente de l’écriture automatique (permettant un minimum de contrôle et donc de danger pour lui-même). De façon absolue, la capacité de se manifeste par la possession récurrente du médium (volontaire ou non). Il faut préciser que ces médiums, dans la branche absolue, sont un peu de véritables passoires (je m’excuse d’avance) quand ils ne contrôlent pas la capacité. Attention cette pratique reste dangereuse et nécessite des protections.

 Les médiums guérisseurs: capacité rare, elle se manifeste par une aide au guérisseur (magnétiseur) pour guérir et soulager les personnes qu’il rencontre. Exemple: un médium qui décrit que quelque chose prend ses mains pour guérir (attention on parle aussi d’incorporation là)
 
Extrait du livre des médiums , un excellent livre de Allan Kardec, voici le lien si vous désirez lire ce livre

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Trop lucides pour être heureux ?

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Les surdoués ont de grandes difficultés à appréhender leur vie intérieure, leurs émotions par exemple, mais aussi le monde qui les entoure. Leur lucidité extraordinaire, qui leur permet une perception inhabituelle du monde, peut aussi les fragiliser. Extrait du livre « Trop intelligent pour être heureux ? » de Jeanne Siaud-Facchin.

La difficulté d’être un adulte surdoué peut s’aborder sous deux angles : celui, essentiel, de la lente construction de soi, de sa personnalité, de l’image que l’on a de nous-mêmes et qui détermine notre rapport au monde, aux autres. Mais aussi sous l’angle plus spécifique des particularités de fonctionnement des surdoués qui vont prendre un relief, une présence, singulières à l’âge adulte. Ces singularités, déjà présentes dans l’enfance, vont devenir des façons d’être au monde qui peuvent compliquer l’équilibre de vie. L’intrication, on le comprend, est étroite entre le parcours de l’enfant surdoué que l’on a été, et l’adulte que l’on devient.
On peut repérer dans les lignes qui suivent des modes de fonctionnement qui se retrouvent dans d’autres profils de personnalité. C’est vrai. Mais ce qui est spécifique au surdoué, comme toujours, est l’intensité de chacune de ces expressions de soi. Et la souffrance qui peut y être associée. La fréquence d’apparition de ces caractéristiques de personnalité permet d’identifier ce groupe, distinct parmi les autres, que composent les adultes surdoués. Ni tout à fait pareils ni complètement différents…



La lucidité étourdissante

Comment vivre avec cette lucidité qui inonde tout ce qui entoure. Qui scrute le moindre recoin. Qui repère le plus petit détail. Une lucidité qui pénètre au plus profond de l’autre. La lucidité du surdoué est d’autant plus puissante qu’elle s’alimente à une double source :
– l’intelligence aiguisée qui dissèque et analyse,
– l’hyperréceptivité émotionnelle qui absorbe la plus infime particule d’émotion ambiante.

Cette lucidité pénétrante ne laisse aucun répit. Et le surdoué ne peut débrancher ce rayon laser qui l’habite, qui fonctionne sans relâche. Il devient plus difficile de se sentir en sécurité, de faire confiance, de se laisser porter par la vie. La lucidité créé un véritable trouble, non identifié dans les manuels de psychologie, et pourtant proche du vertige, de la perte de conscience parfois. De la souffrance toujours. Tous les adultes surdoués expliquent combien il est douloureux d’être envahi par cette perception grossie du monde. Comme lorsque, petit, on regarde les fourmis évoluer dans la fourmilière aux parois grossissantes. La lucidité exacerbe et amplifie, mais surtout ne permet jamais de « ne pas voir ». Comme il est plus facile de vivre quand on ne repère pas les dysfonctionnements ambiants, que l’on ne se retrouve pas à penser, réfléchir, sur un problème anodin, que l’on ne se sent pas touché par une émotion à priori négligeable !
Une telle lucidité fragilise l’équilibre de vie. Interroge le sens de la vie. Inlassablement. Mais aussi entraine une remise en question permanente car rien n’est accepté sans condition. Avant de considérer une situation, une compétence, un savoir, une connaissance, comme valide et acceptable, le surdoué l’aura d’abord passé au crible de son analyse. (…)

La lucidité sur le monde donne une grande lucidité sur soi

 

Quand on fonctionne avec cette faculté acérée de repérer et disséquer inlassablement le monde, que l’on perçoit avec acuité les fragilités et les limites des autres, comment ne pas percevoir, d’abord, ses propres failles ? Voilà ce qui guette, à chaque pas, le surdoué : douter de lui, de ce qu’il est, de ses possibilités, de ses compétences, de ses qualités. Quand on est surdoué, on ne se sent jamais, mais alors jamais, supérieur aux autres. Bien au contraire. Et pourtant, cette idée du sentiment de supériorité que l’on éprouverait parce qu’on est surdoué hante tellement les esprits… de ceux qui ne le sont pas ! Ce qui est vrai, cependant, est que certains surdoués « gonflent leur égo ». Ils développent une personnalité qui apparaît suffisante, méprisante parfois. Ils donnent l’image de personnes qui se pensent tellement au dessus de la masse. Mais ne nous y trompons pas ! Comme la grenouille de la fable de La Fontaine qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf, le surdoué qui semble prétentieux est le plus vulnérable parmi tous. Sa suffisance tente de masquer son sentiment d’impuissance, de profonde fragilité. Celui-là a peur. Il est terrifié par l’idée d’être rejeté. S’il adopte ce type de comportement, c’est qu’il ne va pas bien. Qu’il souffre. La lucidité sur le monde et sur soi ouvre les portes d’une compréhension percutante et acérée. La puissance de cette lucidité peut être douloureuse mais elle est aussi la source d’une vision des choses que l’on pourrait finalement qualifier d’extralucide. Source : http://www.inrees.com LIVRE SUR LES SOCIETES SECRETE QUI DIRIGENT LE MONDE ET NOUS MANIPULE

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Les dix stratégies de manipulation de masse que nous subissons !

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Les dix stratégies de manipulation de masse que nous subissons !

 

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

Mais qui va gagner The Voice ??

 

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. «

Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.

Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté.

Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.

C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

TRES BON LIVRE A LIRE SUR LE SUJET

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.

De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.


« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.

Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Source: Sylvain Timsit

 

Source :

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Devil Inside Film basé sur une histoire vraie : L’extrait censuré par le Vatican ?!

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« Le baptême, c’est le transfert des péchés.
Si un bébé est amené à mourir après avoir été baptisé,
il va au ciel, si ça arrive avant, il va en enfer… » – Père David Kean




image:


Le film Devil Inside réalisé par William Brent Bell avec Suzan Crowley, Fernanda Andrade, Simon Quarterman et Evan Helmuth revient avec un nouvel extrait en français qui ‘aurait’ été censuré par le Vatican. Oui, oui… La preuve, j’ai le droit de le diffuser … Mais bon, c’est bien gore quand même comme film. Pour ceux qui sont fans du genre, vous allez être servi niveau exorcismeimage: http://www.lyricis.fr/wp-includes/images/smilies/simple-smile.png

:)

Synopsis:
Un soir de 1989, la police reçoit un appel d’une certaine Maria Rossi (Suzan Crowley) qui reconnaît avoir sauvagement assassiné trois personnes.
Vingt ans plus tard, sa fille, Isabella (Fernanda Andrade) cherche à comprendre ce qui s’est vraiment passé cette nuit-là.
Elle se rend en Italie, à l’hôpital Centrino pour psychopathes où Maria est enfermée, pour savoir si sa mère est déséquilibrée ou possédée par le diable. Pour soigner la démente, Isabella fait appel à deux jeunes exorcistes (Simon Quarterman et Evan Helmuth) qui utilisent des méthodes peu orthodoxes, mêlant la science et la religion.
Ils devront alors affronter le Mal absolu qui a pris possession de Maria : quatre démons d’une puissance redoutable…
… Délivrez la du mal.Version Française :

 


Devil Inside – Bande-Annonce Non Censurée /… par Lyricis
Source  http://www.lyricis.fr

 

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