Apporter de l’aide à toute l’Humanité – Méditation La boule d’amour

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En ce moment difficile que nous vivons avec les attaques terroristes, nous devons garder notre sang froid et garder notre énergie ,  ne pas tomber dans le panneau de la peur et de la terreur , ce qui est le but de ses attaques .

Nous sommes tous triste de ce qu’il se passe aujourd’hui mais nous devons envoyer des pensées d’amour et de lumière, la pensée agit sur le quotidien, si nous envoyons des pensées de peur nous allons alimenter la terreur ,  je vous propose de faire cette méditation très puissante pour envoyer de l’aide à l’humanité




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Hypnose : de la magie à la médecine

Charlatanisme, manipulation mentale…, les préjugés sur l’hypnose ont la dent dure. Pourtant, les preuves sont là : l’hypnose soigne et débarrasse des addictions. Résultat, la technique est aujourd’hui utilisée en routine dans les centres antidouleur et permet chaque année à des centaines de fumeurs d’arrêter. La science commence à lever le voile sur cet étrange pouvoir.

Scène d'hypnose au XIXe siècle
Gravure d’une scène d’hypnose au XIXe siècle.
© Costa / Leemage




Commençons par une révélation : vous avez déjà sombré dans l’état d’hypnose ! Et vous vous y adonnez même plusieurs fois par jour ! En effet, la lecture d’un livre, le visionnage d’un film ou le rappel de souvenirs suffisent à expérimenter une légère transe hypnotique. L’électroencéphalogramme de sujets hypnotisés confirme cette idée : l’entrée dans l’hypnose s’accompagne d’un ralentissement des ondes cérébrales, un phénomène également observé lors de l’endormissement.

Si l’état hypnotique se situe à mi-chemin entre la veille et le sommeil, cette description n’a plus guère de rapport avec l’hypnose de ses débuts, au XVIIIe siècle, à l’époque où elle s’appelait « magnétisme animal ». C’est ainsi que Franz Anton Mesmer, médecin allemand exilé à Paris, avait baptisé l’étrange phénomène qui lui permettait de soigner de façon quasi miraculeuse. Pensez donc, il suffisait de réunir les malades autour d’une cuve d’eau où trempaient du verre pilé et de la limaille de fer, d’agrémenter le tout de quelques détails d’ambiance destinés à impressionner, pour que certains des patients soient pris subitement de convulsions et, au terme de leur crise, guérissent véritablement !

Magie ? Non, Mesmer venait de découvrir que l’état modifié de conscience, du type hypnotique, possède un pouvoir thérapeutique. L’hypnose médicale était née. Elle ne demandait, pour se développer, que de s’abstraire de tout décorum superflu. Ce qui fut fait au XIXe siècle. Mais c’est surtout au XXe siècle que l’hypnose explosa, particulièrement sous l’impulsion d’un psychiatre américain, Milton Érickson. Érickson, notamment, élabora des techniques indirectes pour induire l’état hypnotique chez ses patients, à l’opposé des méthodes traditionnelles, très dirigistes.

Aujourd’hui, le paysage des praticiens de l’hypnose est large. Les hypnotiseurs de music-hall ont récupéré les techniques des descendants de Mesmer pour monter des spectacles de Las Vegas à Pigalle. Bien qu’ils possèdent quelques « trucs » dans leurs manches (l’hypnotiseur Dominique Webb, très présent à la télévision dans les années quatre-vingts, avait des complices dans la salle qui faisaient mine d’être hypnotisés instantanément ; impressionnés par la prouesse, les vrais spectateurs n’en étaient que mieux hypnotisables), il n’en reste pas moins de véritables hypnotiseurs au sens où ils sont capables de plonger un sujet en transe hypnotique très rapidement.

Les hypnothérapeutes, eux, emploient l’hypnose comme outil pour soigner et réduire la souffrance. Leur nombre progresse énormément en ce moment. Le premier diplôme universitaire d’hypnose médicale a été créé à Paris il y a six ans. Y sont formés aux techniques d’hypnose des médecins, des psychologues, des sages-femmes ou encore des chirurgiens dentistes. De quinze inscrits à ses débuts, il est passé à soixante-dix aujourd’hui et refuse des candidats. Pour répondre à la demande, une autre formation supérieure a vu le jour en octobre 2007 à l’université de médecine de Bordeaux.

Quels sont les succès de l’hypnose ? Que dit la science de son pouvoir thérapeutique (chapitre 2) ? Quelles sont les limites de cette méthode de guérison (chapitre 3) ? L’hypnose médicale se rapproche-t-elle de certaines médecines traditionnelles (chapitre 4) ? Jean-Marc Benhaiem, créateur du diplôme universitaire de Paris, a accepté de nous faire découvrir le monde de la transe et de la suggestion hypnotiques. Prêts ? Vos paupières sont lourdes, lourdes…

01.Les succès de l’hypnose médicale

L'hypnose et les troubles psychosomatiques

L’hypnose peut permettre de soigner les troubles psychosomatiques et alimentaires, le stress, les addictions, les phobies…
© X.Muller & D.Coutin / CG91
Paris, hôpital Trousseau. L’enfant est allongé sur la table d’opération. Un petit rideau est tendu sous son menton pour éviter que son regard croise la plaie qu’il aura dans quelques instants au cou. Le jeune malade souffre de ganglions suspects qu’il faut retirer. À ses côtés, l’anesthésiste lui susurre des mots afin de l’emmener dans une légère transe hypnotique qui, en complément d’un anesthésiant local, réduira la douleur et le stress entourant le geste chirurgical. Une anesthésie générale aurait rempli le même rôle, sauf que la cage thoracique, contractée dans ce genre de pathologie, pourrait bien se relâcher soudainement et étouffer l’enfant.

Plus tard, Patrick Richard, l’anesthésiste qui a accompagné l’enfant, se montrera enthousiaste : « L’introduction de l’hypnose a été un bouleversement dans le traitement de ces enfants ! » Il est vrai, l’hypnose a de nombreux avantages. Outre qu’elle supprime d’éventuelles complications liées à l’anesthésie générale, elle permet de garder éveillé le patient et donc de surveiller lors de l’opération sa conscience et sa motricité. Utile pour les opérations qui comportent des risques d’infarctus du cerveau, comme en chirurgie des artères : les médecins voient immédiatement si le patient fait un accident cérébral.

Mais est-on sûr des propriétés analgésiques de l’hypnose ? De fait, de nombreuses publications scientifiques ont démontré les capacités de l’hypnose à atténuer la souffrance. Telle celle parue en 2000 dans la prestigieuse revue Lancet, sous la plume du docteur Elvira Lang du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston (États-Unis) et des collaborateurs d’autres universités américaines. Les auteurs avaient mis à l’épreuve l’effet de l’hypnose en observant, à l’occasion de 241 opérations qu’ils ont pratiquées, la quantité d’analgésique demandée par les patients pour supporter la douleur. Certains des patients avaient été hypnotisés avant l’opération et tous s’autoalimentaient en analgésique en actionnant une pompe manuelle. À l’issue des opérations, le groupe de patients mis sous état hypnotique avait consommé moitié moins de liquide anesthésiant que le groupe témoin qui avait subi une opération classique. CQFD

Outre les douleurs ponctuelles liées à une intervention, l’hypnose peut également servir à réduire les douleurs chroniques. En 1991, une équipe du département de l’hôpital Antonius Ziekenhuis à Nieuwegein des Pays-Bas a démontré l’effet antidouleur sur des malades atteints de fibromyalgie, une pathologie qui, en France, touche environ 2 % de la population et se traduit notamment par des douleurs musculaires. De son côté, en France, la Haute autorité de santé recommande, depuis février 2003, l’utilisation des méthodes de relaxation et d’hypnose comme traitement de fond de la migraine de l’enfant.




Si, à l’hôpital, c’est pour ses qualités analgésiques qu’on emploie l’hypnose, dans les cabinets privés d’hypnothérapeutes, on soigne plutôt les troubles psychosomatiques. La liste d’applications est large : traitement des troubles alimentaires (l’hypnose peut aider un boulimique à réduire son envie obsessionnelle de produits gras et/ou sucrés), du stress, de la dépression, des phobies, des TOC (troubles obsessionnels compulsifs), des insomnies, de la sexualité (par exemple en cas de perte du désir ou d’éjaculation précoce), des addictions de toutes sortes aux calmants, somnifères, tabac, alcool. Pourquoi ces traitements sont-ils exclus de l’hôpital ? Il n’existe pas de réponse scientifiquement argumentée à cette question. Mais sans doute les études scientifiques ne sont-elles pas encore assez nombreuses pour convaincre les patrons des services hospitaliers du bien-fondé de l’hypnose. Tandis que les barrières mentales et culturelles seraient moins fortes dans le privé à l’expérimentation de l’hypnose.

Comment se déroule une séance d’hypnothérapie ? D’abord, le thérapeute induit chez le patient un léger état hypnotique en lui demandant de fixer un objet, d’être à l’écoute de ses sensations corporelles, ou en le confusionnant (un terme courant dans le jargon des hypnotiseurs) par une question du type : « Pouvez-vous vous réduire à votre corps ? »… Puis il tente de modifier la perception qu’a le sujet de son trouble. Les hypnothérapeutes les plus dirigistes fonctionnent par suggestions : à une personne fumeuse, ils suggèreront que la cigarette provoque la nausée ; l’impression de nausée réapparaîtra en dehors des séances, chaque fois que le patient aura une cigarette au bec, et finira par le dégoûter de son addiction.

A contrario, d’autres hypnothérapeutes amènent leurs patients à s’interroger sur leurs sensations et à « faire le ménage » parmi elles : « Certes la cigarette vous évoque du plaisir, mais votre corps, lui, en ressent-il ? » Éventuellement, ils amènent les sujets à revivre mentalement des moments de leur vie où leur addiction, leur trouble, sont absents. Ils espèrent ainsi renforcer les perceptions positives ressenties alors, au détriment de celles qui s’expriment avec le malaise. Dans tous les cas, le patient reste conscient durant la séance. La guérison ou l’arrêt du trouble sont censés intervenir rapidement, après deux à cinq séances.

02.L’hypnose sous le regard de la science : tout sauf de la magie

Imagerie médicale du cerveau sous hypnose

Cerveaux de patients sous hypnose. En haut à gauche : si on suggère au patient une augmentation de la douleur, la zone de localisation de la douleur s’élargit ; dans le cas contraire, à droite, elle diminue. En bas à gauche : si on suggère au patient d’attacher plus d’importance à sa douleur, la zone de localisation de la douleur augmente ; dans le cas contraire (ne pas y accorder d’importance), à droite, la zone diminue.
© P. Rainville & D.D. Price (authors) / The Neurophenomenology of Hypnosis and Hypnotic Analgesia / Psychological methods of Pain Control: Basic Science and Clinical Perspectives IASP Press 2004
Comment l’hypnose soulage-t-elle ou guérit-elle ? Des études ont montré que par un simple travail mental, comme le propose l’hypnose, on peut moduler le fonctionnement de son système nerveux. Ainsi, les sportifs répètent-ils mentalement, avant une épreuve, les gestes qu’ils accompliront. Par cette méthode, ils gagnent en précision, voire en force : Guang Yue du département d’ingénierie biomédicale de l’Institut de recherche Lerner, à Cleveland, aux États-Unis, a ainsi démontré que s’imaginer régulièrement soulever des poids avec le petit doigt procurait au bout de trois mois un gain de 35 % dans la force de traction !

Les techniques modernes de neuroimagerie ont fourni l’explication à ce pouvoir de la pensée sur le corps : répéter mentalement et pratiquer une activité activent les mêmes zones du cerveau, autrement dit « s’imaginer, c’est faire ». Des résultats similaires ont été obtenus pour la gestion de la douleur par hypnose : Pierre Rainville, de la faculté de médecine dentaire de Montréal, a montré que sous état hypnotique, si on suggère au patient que sa souffrance diminue alors l’activité de la zone du cerveau impliquée dans la sensation de la douleur (appelée cortex cingulaire antérieur) diminue. Là aussi, s’imaginer souffrir moins, c’est déjà souffrir moins.

Paradoxalement, aussi convaincantes soient-elles, ces découvertes semblent donner raison aux sceptiques de l’hypnose. Ceux-là remettent en cause la pierre angulaire même de la guérison hypnotique : le pouvoir de la suggestion. Pour eux, la suggestion n’existe tout simplement pas : le sujet hypnotisé réagit en réalité parfaitement consciemment aux suggestions de l’hypnotiseur (du genre « Vous allez moins sentir la douleur » ou « Vous dormirez mieux ce soir »), mais son envie fervente de croire en l’hypnose l’empêche de reconnaître qu’il s’agit d’un acte délibéré. Une façon de réduire l’hypnose médicale à un super effet placebo (par ailleurs réellement efficace): le patient guérit tout bonnement parce qu’il est convaincu de guérir. Après tout, la science a bien montré la puissance de l’imagination sur le corps, non ?

En 2005, par une expérience spectaculaire, Amir Raz, professeur assistant de neuroscience clinique à l’université de Columbia, a réfuté cette théorie. Amir Raz est un personnage singulier, ancien magicien devenu chercheur pour étudier les phénomènes hypnotiques. Il a reproduit sous hypnose une expérience classique en psychologie expérimentale : on demande aux sujets de quelle couleur sont écrits des mots, l’astuce étant que les mots eux-mêmes désignent des couleurs. Par exemple, la réponse pour VERT est rouge. Le résultat habituel de ce type d’expérience est que les personnes répondent correctement, mais seulement après une fraction de seconde de réflexion. C’est l’ »effet Stroop » : le réflexe de lire est si ancré que nous devons nous violenter pour ne pas répondre « vert » mais « rouge ».

Dans le protocole d’Amir Raz, les sujets étaient au préalable hypnotisés et il leur était suggéré que les mots qu’ils allaient lire n’étaient que des symboles sans signification. Conclusion : les sujets ont répondu instantanément ! La suggestion avait annulé l’effet Stroop ! Soit un comportement normalement impossible à outrepasser. L’expérience de Amir Raz a montré que la suggestion hypnotique ouvre véritablement une porte vers l’inconscient. Ce serait cette porte qu’emprunte l’hypnothérapeute pour soigner. Même si cela reste à démontrer.

La suggestion ne serait pas la seule clé du succès de l’hypnose médicale. Cette réussite thérapeutique tiendrait également dans sa façon « plus humaine », que dans la médecine scientifique, de prendre en charge les patients. « L’amour, le plaisir, les émotions… ne sont pas considérés par la médecine scientifique, note Jean-Marc Benhaïem, alors qu’il est prouvé qu’ils modulent la souffrance et, de façon plus générale, notre expérience de la maladie. » Par conséquent, il arrive qu’une séance d’hypnothérapie prenne des airs de psychothérapie, avec recherche de tout ce qui pourrait influencer de près ou de loin le mal du patient. Nous aider à démêler, grâce à la force de la suggestion, l’écheveau de nos émotions et de nos troubles physiques : voilà peut-être une des explications à la réussite de l’hypnose médicale.

03.Les limites de l’hypnose et les peurs qu’elle suscite

Hypnose et sevrage du tabac

L’hypnose peut, notamment, être employée auprès des personnes qui souhaitent arrêter de fumer. Le taux de réussite est variable selon les patients.
© SXC
L’hypnose peut-elle guérir tout le monde ? Autrement dit : existe-t-il des personnes plus réceptives à l’hypnose que d’autres ? Étrangement, il semblerait que la réponse soit oui aux deux questions. « Environ 20 % des gens sont peu hypnotisables, rappelle Jean-Marc Benhaïem, c’est-à-dire qu’ils offrent une résistance à entrer en transe hypnotique. Mais des études cliniques ont montré que même ces personnes réagissent aux suggestions. » La suggestibilité ne serait donc pas un critère d’efficacité thérapeutique. Avis à ceux qui partent difficilement dans l’imaginaire, les portes de l’hypnose leur sont tout de même ouvertes.

L’hypnose guérit-elle à tous les coups ? Clairement non. Si les réussites spectaculaires, par exemple sevrage du tabac ou de l’alcool en une seule séance existent, elles ne doivent pas cacher le taux d’échec important. Difficile d’avoir des statistiques en la matière. En ce qui concerne le tabac, selon l’expérience de Jean-Marc Benhaïem, un tiers des patients parviendraient à arrêter la cigarette après un traitement d’une à trois séances (un taux de réussite constaté six mois après l’arrêt du traitement). « Au-delà, on ne s’acharne pas, confie le docteur. Cela signifie que le patient n’est pas prêt : il continue à idéaliser le tabac, il a peur du changement…, il y a mille raisons. »

Si le médecin ne dispose pas de taux de réussite pour les autres troubles qu’il soigne, une chose est sûre : certaines maladies prêtent plus le flanc aux entraves psychologiques que d’autres. La palme reviendrait aux pathologies chroniques, telles les douleurs chroniques, comme les rhumatismes, particulièrement rétives à l’approche hypnotique : malgré eux, les malades se sont « habitués » à ces pathologies et il est d’autant plus difficile de leur montrer la maladie sous un nouvel angle. Au final, si « toute personne peut bénéficier de l’hypnose, résume Jean-Marc Benhaïem, rien ne garantit que le changement va être radical, car les raisons de ne pas changer sont aussi fortes et nombreuses que les raisons de changer. »

Une complexité qui se manifeste parfois par la substitution de symptômes : une personne ayant arrêté le tabac grâce à l’hypnose peut se transformer subitement en boulimique, remplaçant son addiction de la cigarette par celle de la nourriture. Selon le docteur Benhaïem, ces cas de figure, rares, révèlent plus une erreur médicale qu’un défaut intrinsèque de la méthode hypnotique. Dans l’exemple donné, l’hypnothérapeute n’a pas su découvrir que son patient fumait pour pallier un stress, stress qu’il s’est empressé de compenser, à défaut de tabac, par l’alimentation. Le thérapeute doit alors rectifier le tir en travaillant avec le patient simultanément comportement alimentaire et tabagisme. À l’inverse d’un psychothérapeute qui sans doute aurait choisi de remonter tout de suite aux racines du problème (le stress), l’hypnotiseur lui, travaille d’abord à dissocier la cause (le stress) des symptômes (tabagisme, boulimie), quitte ensuite, si vraiment le mal persiste, à envisager une autre stratégie.

Malgré la démonstration de son potentiel thérapeutique, l’hypnose continue d’alimenter des peurs. Des peurs déraisonnées selon les thérapeutes. En tête, le risque de manipulation mentale : sous état hypnotique, le patient verrait sa volonté diminuer et ne serait plus qu’une marionnette aux mains du thérapeute qui pourrait tout autant lui demander de sauter dans le vide ou de commettre un crime. « Il y a bien une certaine baisse de la volonté durant l’hypnose, confirme Jean-Marc Benhaïem, mais c’est au profit de sensations plus larges. Donc le patient est au contraire plus vigilant vers ce qui est un danger. » Pas de risque donc de se voir transformer en criminel….

Autre angoisse : celle de ne pas se réveiller de la transe hypnotique. En vérité, l’imaginaire populaire exagère la profondeur de la transe où se trouve un patient en thérapie. Il est rare que le patient s’endorme au cours d’une séance. Cependant en fin de séance, « il faut effectivement veiller à ce que les patients soient tout à fait sortis de l’état hypnotique ; une petite marche suffit pour cela », note le docteur.

04.L’hypnothérapie dans d’autres civilisations

Rituel chamanique - Sibérie

Sibérie : rituel de soin chamanique pour des enfants malades du village. Pendant la cérémonie, une place importante est accordée au groupe, aux liens les autres, les animaux, les pierres, l’univers, les esprits. Car, dans le chamanisme, tout dans la nature est animé, divinisé mais aussi lié, interconnecté.
© Film Médecine d’ici, médecine d’ailleurs / I. Célestin-Lhopiteau & R. Hamon / 2007
L’hypnose médicale, née européenne avant d’atteindre l’Amérique du Nord, n’est pas propre à la civilisation occidentale. Elle apparaît, sous d’autres formes dans des populations du monde entier qui recourent à des transes de guérison : les Gwana du Maroc, les Indiens Navarro, les peuples du golfe du Bénin qui pratiquent le vaudou, les adeptes du candomblé au Brésil… Chez ces peuples, lorsqu’un membre de la communauté est malade, le chaman, qui tient le double rôle de prêtre et de guérisseur, organise une cérémonie dont les points d’orgue sont le sacrifice d’un animal et le plus souvent une danse. Cette danse, souvent rythmée par des tambours, est censée plonger le sujet en transe.

Tout comme en hypnose, « l’idée de la transe est de saturer la conscience du sujet afin de l’amener à ouvrir ses perceptions, décrit Isabelle Célestin-Lhôpiteau, une hypnothérapeute de l’hôpital Trousseau qui se rend régulièrement chez ces populations pour étudier le potentiel thérapeutique de leurs pratiques. L’hypnose réalise cela par la parole. Les médecines traditionnelles, par la danse et la musique. »

Si la transe équivaut à un état hypnotique, les populations à culture chamanique ne l’interprètent évidemment pas ainsi : pour eux, la transe est avant tout une porte vers le monde des esprits. Par la cérémonie de guérison et la transe, elles espèrent pouvoir communiquer avec les divinités de la nature et ainsi retisser le lien rompu entre le malade, la nature, et le monde des esprits, rupture qui est la source du mal.

Isabelle Célestin-Lhopiteau l’a constaté plus d’une fois : aussi éloignées soient-elles de la médecine scientifique, ces médecines traditionnelles guérissent. Pour l’essentiel, comme l’hypnose thérapeutique, des pathologies chroniques : migraines, douleur de dos, maladies de la peau, crises drépanocytaires en Afrique (la drépanocytose est une maladie des globules rouges qui provoque des crises abdominales très douloureuses), asthmes…

Un détail paraît pourtant séparer l’hypnose de ces médecines : si chez les Gwana, c’est bien le malade qui se livre à la danse purificatrice, dans d’autres populations, comme celles vivant sur les rives du lac Baïkal, en Sibérie, c’est le chaman qui entre en transe et est le vecteur de la guérison, le malade se contentant d’assister à la cérémonie. Sort-on alors du cadre de la thérapie hypnotique ? Non, selon Isabelle Célestin-Lhopiteau : pour comprendre comment le malade guérit alors, « il faut passer par la représentation du monde de ces cultures, où si l’on touche un individu, une maille de la société, cela a des répercussions sur les autres. »

Dans leur ouvrage Du cœur à la raison, paru en 1989, la philosophe Isabelle Stengers et le psychiatre Léon Chertok soulignaient également le rôle de cette réciprocité dans l’approche hypnotique occidentale : « L’hypnose se produit à deux : celui qui se définit comme expérimentateur (l’hypnotiseur) est aussi, d’une manière qu’il ne contrôle pas, partie prenante dans ce qu’il suscite. » Les auteurs expliquaient que l’hypnose, comme l’état de veille, met en jeu un flux continu de processus distincts, conscients et inconscients, et dès lors fait participer à la fois le malade et le thérapeute.
C’est sans doute ce manque de contrôle de l’expérimentateur sur son action qui alimente la peur de l’hypnose.

Ce serait également par le jeu de ces forces mystérieuses que le chaman, en transe, parviendrait à guérir le malade, simple spectateur. Freud, qui a forgé la psychanalyse après avoir pratiqué l’hypnose sur ses patients (et l’a délaissée parce qu’elle était trop imprévisible), parlait de « l’énigme hypnose ». Presque un siècle après, on peut reprendre son mot.

Source:http://www.savoirs.essonne.fr

LIVRES SUR L’HYPNOSE, EXPLICATION ET PRATIQUE

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés




Il faut parfois prendre une pause et regarder autour de soi pour constater à quel point la nature est apaisante. Même s’il est moins évident de le faire lorsqu’on réside en milieu urbain, il est essentiel de passer du temps à l’extérieur de la ville. Voici quelques points qui devraient vous convaincre de profiter du beau temps et de vous évader de la métropole.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

1. La nature réduit le stress et aide à trouver un sens à son existence

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés




Il y a une poignée d’études qui démontrent que passer du temps dans la nature a des effets positifs sur le moral. Dans une étude réalisée à l’Université de Chiba au Japon, les scientifiques ont démontré que les gens qui étaient plus en symbiose avec la nature étaient plus heureux. Durant la durée du projet, des groupes étaient divisés en deux. La moitié devait passer du temps en forêt, alors que l’autre séjournait en milieu urbain. Le lendemain, les groupes étaient interchangés. Les scientifiques ont remarqué que lorsque les 280 participants étaient en forêt, leur pouls, leur pression artérielle et leur taux de cortisol était plus bas.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés



Mia, 17 ans, n’a aucun souvenir de l’accident. Entre la vie et la mort, elle doit choisir entre rester sur Terre, ou lâcher prise

2. Marcher en forêt stimule le système immunitaire

Ce n’est pas seulement le cerveau qui est stimulé par le grand air, mais aussi le corps. La marche en forêt renforce les muscles et augmente la résistance du système immunitaire. Selon une étude réalisée à l’École de médecine de Nippon à Tokyo, lorsque l’homme inhale les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les plantes, les effets sur le corps humain sont bénéfiques au système immunitaire.

3. L’activité en nature brûle des calories

Une simple marche en forêt de 60 minutes peut brûler jusqu’à 500 calories. C’est aussi moins exigent pour le corps et les articulations de passer du temps dans la nature que de pratiquer le jogging, par exemple. La marche en forêt réduit la pression artérielle et aide à prévenir les maladies du cœur. Évidemment, les calories brûlées peuvent aussi contribuer à la perte de poids.

4. Le cerveau est stimulé après une marche en forêt

Les paysages à couper le souffle, les bruits environnants, le terrain parfois aride: tous ces éléments contribuent à stimuler le cerveau et la créativité. Des chercheurs de l’Université du Kansas et de celle de l’Utah affirment que passer du temps dans la nature, loin des technologies, contribue grandement à développer l’intuition.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés




Pour tirer ces conclusions, les scientifiques ont envoyé 56 participants en excursion de quatre ou six jours dans les forêts de l’Alaska, du Colorado, du Maine et de Washington. Durant cette période de temps, les cobayes n’avaient pas le droit d’utiliser de machines électroniques. À la fin de leur séjour en nature, leur niveau de créativité avait augmenté de 50%, de même que leurs aptitudes à résoudre des problèmes. Évidemment, les études ont démontré que la combinaison entre la nature et l’éloignement de la technologie avait un impact direct sur l’homme.

D’ailleurs, selon l’environnementalisme John Muir, retourner dans les bois est en quelque sorte comme retourner de l’endroit d’où l’on vient.

Source:http://www.journaldemontreal.com

En plus d’aller dans la nature la méditation est très bénéfique

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les différents types de médium

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Les merveilles de Shine
 les différents types de médium Chaque médium a des capacités médiumniques différentes selon les personnes, une voir :
 

l’empathie: Elle consiste à ressentir facilement les émotions. Tout d’abord en provenance de personnes (tristesse, joie, colère) elles peuvent aussi provenir d’entités dans un contact très basique. Exemple: médium qui change d’humeur au contact des autres, sans que ce soit la sienne, qui se met à pleurer sans raison en présence de personnes tristes, ou qui rit alors qu’il est lui même triste au contact de personne joyeuse.




 

les sensitifs: L’extension (ou amélioration si vous préférez) des empathes, c’est un médium qui ressent une entité, son degré d’évolution (positive, négative, dynastie auquel elle appartient) mais aussi sensibles aux lieux, aux objets chargés, aux courants énergétiques. exemple: un médium qui entre dans une pièce et qui ressent une présence, ou bien qui ne supporte pas certains lieux qui le rendent malade sans explication. Une autre étape qui peut être issue de l’empathie, on est toujours dans la capacité de lecture énergétique et d’interprétation de celle-ci. Des objets, des lieux qui sont chargés d’énergies à cause d’évènements violents ou répétitifs et que le médium est capable de « voir ». Exemple: un médium sensible à ce type d’énergie qui aurait un morceau du mur de Berlin serait en mesure de voir les violences, l’histoire associée à cet objet.

 

clairaudience: La capacité qui consiste à entendre une entité parler. Elle débute généralement par des sensations d’appels au moment de l’endormissement, puis progresse généralement sur un plan mental, en entendant des voix dans sa tête, puis de façon réelle (qui est la clairaudience aboutie) Bien sur, il faut distinguer ce genre de « voix » avec celles provenant de troubles psychiatriques avérés. Exemple: des médiums qui vous disent: « ma grand mère me souffle que… » ou des médiums qui entendent des idées, des phrases qui ne proviennent pas d’eux. -> permet l’écriture intuitive.

 




clairvoyance: Elle permet de voir une entité. En gros, il y a un fantôme dans la pièce en face de moi! De divers degrés elle commence par entrapercevoir des ombres, discerner des formes et dans sa possibilité absolue voir une entité de façon « en chair et en os » face à soit. C’est probablement l’une des capacités les plus difficiles à supporter même pour un médium confirmé. Exemple: les châteaux hantés, où l’on voit passer l’entité à travers le mur lol.

 

Clair touché: Médium qui ressent les entités par le toucher, commence par l’effleurement et peut se manifester dans l’absolue par des brûlures, des marques physiques sur le corps. Exemple: un médium clair touché en entrant dans une pièce peut ressentir une entité parce qu’il a une sensation au niveau de la main, comme si on lui tenait.

 

Odorat astral: Capacité qui se manifeste par l’odorat, le médium sent des odeurs particulières qui sont le reflet d’un état de santé d’une personne, du niveau d’évolution d’une entité, ou bien du taux vibratoire d’un lieu. Bien sur ces odeurs ne peuvent être expliquées par des causes physiques. Exemple: odeur de tabac avec des entités du bas astral, on dit de plus que sentir la rose est un signe de la Vierge, je corrigerais en disant que c’est le signe d’un développement des corps subtils très particulier (une forme d’élévation)

 

A effets physiques: Médium peu courant, aux manifestations hors normes. Les capacités du médium, au travers de contact avec une entité, ou dans un surplus d’énergies qui se manifestent sur un plan physique. Ampoule qui explose, problème électrique la majorité du temps (problème de gestion de l’élément feu), souci avec de l’eau (eau qui apparait sans raison physique vérifiable), robinet qui saute (problème d’élément eau), courant d’air avec portes et fenêtres fermées sans aérations (problème d’élément air), verre qui explose sans contact (élément terre)…ces manifestations sont souvent rares, propre aux médiums les plus poussés (dans le sens capacité) car demande un haut niveau d’énergie naturelles chez la personne. C’est une capacité plutôt exceptionnelle, et rarement contrôlable (en tout cas je n’ai rencontré personne dans ce cas) et la maitrise passerait par la maitrise de chacun des éléments, donc lévitation, télépathie…des capacités hors norme donc.

 

Medium à incorporation: Médium qui prêtent leur corps, de façon volontaire (ou pas, mais là ça relève du cadre de la possession) à plus ou moins grande échelle à une ou des entités pour qu’elles puissent faire des actions: on relève donc: parler, écrire, agir, peindre… On relève par exemple des cas de xenoglossie: capacités à parler des langues inconnues du médium. Généralement, le médium se contente de l’écriture automatique (permettant un minimum de contrôle et donc de danger pour lui-même). De façon absolue, la capacité de se manifeste par la possession récurrente du médium (volontaire ou non). Il faut préciser que ces médiums, dans la branche absolue, sont un peu de véritables passoires (je m’excuse d’avance) quand ils ne contrôlent pas la capacité. Attention cette pratique reste dangereuse et nécessite des protections.

 

Les médiums guérisseurs: capacité rare, elle se manifeste par une aide au guérisseur (magnétiseur) pour guérir et soulager les personnes qu’il rencontre. Exemple: un médium qui décrit que quelque chose prend ses mains pour guérir (attention on parle aussi d’incorporation là)




les différents types de médium Chaque médium a des capacités médiumniques différentes selon les personnes, une voir :
 

L’empathie: Elle consiste à ressentir facilement les émotions. Tout d’abord en provenance de personnes (tristesse, joie, colère) elles peuvent aussi provenir d’entités dans un contact très basique. Exemple: médium qui change d’humeur au contact des autres, sans que ce soit la sienne, qui se met à pleurer sans raison en présence de personnes tristes, ou qui rit alors qu’il est lui même triste au contact de personne joyeuse.

Les sensitifs: L’extension (ou amélioration si vous préférez) des empathes, c’est un médium qui ressent une entité, son degré d’évolution (positive, négative, dynastie auquel elle appartient) mais aussi sensibles aux lieux, aux objets chargés, aux courants énergétiques. exemple: un médium qui entre dans une pièce et qui ressent une présence, ou bien qui ne supporte pas certains lieux qui le rendent malade sans explication. Une autre étape qui peut être issue de l’empathie, on est toujours dans la capacité de lecture énergétique et d’interprétation de celle-ci. Des objets, des lieux qui sont chargés d’énergies à cause d’évènements violents ou répétitifs et que le médium est capable de « voir ». Exemple: un médium sensible à ce type d’énergie qui aurait un morceau du mur de Berlin serait en mesure de voir les violences, l’histoire associée à cet objet.

 Clairaudience: La capacité qui consiste à entendre une entité parler. Elle débute généralement par des sensations d’appels au moment de l’endormissement, puis progresse généralement sur un plan mental, en entendant des voix dans sa tête, puis de façon réelle (qui est la clairaudience aboutie) Bien sur, il faut distinguer ce genre de « voix » avec celles provenant de troubles psychiatriques avérés. Exemple: des médiums qui vous disent: « ma grand mère me souffle que… » ou des médiums qui entendent des idées, des phrases qui ne proviennent pas d’eux. -> permet l’écriture intuitive.
 




Clairvoyance: Elle permet de voir une entité. En gros, il y a un fantôme dans la pièce en face de moi! De divers degrés elle commence par entrapercevoir des ombres, discerner des formes et dans sa possibilité absolue voir une entité de façon « en chair et en os » face à soit. C’est probablement l’une des capacités les plus difficiles à supporter même pour un médium confirmé. Exemple: les châteaux hantés, où l’on voit passer l’entité à travers le mur lol.

 

Clair touché: Médium qui ressent les entités par le toucher, commence par l’effleurement et peut se manifester dans l’absolue par des brûlures, des marques physiques sur le corps. Exemple: un médium clair touché en entrant dans une pièce peut ressentir une entité parce qu’il a une sensation au niveau de la main, comme si on lui tenait.

 

Odorat astral: Capacité qui se manifeste par l’odorat, le médium sent des odeurs particulières qui sont le reflet d’un état de santé d’une personne, du niveau d’évolution d’une entité, ou bien du taux vibratoire d’un lieu. Bien sur ces odeurs ne peuvent être expliquées par des causes physiques. Exemple: odeur de tabac avec des entités du bas astral, on dit de plus que sentir la rose est un signe de la Vierge, je corrigerais en disant que c’est le signe d’un développement des corps subtils très particulier (une forme d’élévation)

 

A effets physiques: Médium peu courant, aux manifestations hors normes. Les capacités du médium, au travers de contact avec une entité, ou dans un surplus d’énergies qui se manifestent sur un plan physique. Ampoule qui explose, problème électrique la majorité du temps (problème de gestion de l’élément feu), souci avec de l’eau (eau qui apparait sans raison physique vérifiable), robinet qui saute (problème d’élément eau), courant d’air avec portes et fenêtres fermées sans aérations (problème d’élément air), verre qui explose sans contact (élément terre)…ces manifestations sont souvent rares, propre aux médiums les plus poussés (dans le sens capacité) car demande un haut niveau d’énergie naturelles chez la personne. C’est une capacité plutôt exceptionnelle, et rarement contrôlable (en tout cas je n’ai rencontré personne dans ce cas) et la maitrise passerait par la maitrise de chacun des éléments, donc lévitation, télépathie…des capacités hors norme donc.

 

Medium à incorporation: Médium qui prêtent leur corps, de façon volontaire (ou pas, mais là ça relève du cadre de la possession) à plus ou moins grande échelle à une ou des entités pour qu’elles puissent faire des actions: on relève donc: parler, écrire, agir, peindre… On relève par exemple des cas de xenoglossie: capacités à parler des langues inconnues du médium. Généralement, le médium se contente de l’écriture automatique (permettant un minimum de contrôle et donc de danger pour lui-même). De façon absolue, la capacité de se manifeste par la possession récurrente du médium (volontaire ou non). Il faut préciser que ces médiums, dans la branche absolue, sont un peu de véritables passoires (je m’excuse d’avance) quand ils ne contrôlent pas la capacité. Attention cette pratique reste dangereuse et nécessite des protections.

 Les médiums guérisseurs: capacité rare, elle se manifeste par une aide au guérisseur (magnétiseur) pour guérir et soulager les personnes qu’il rencontre. Exemple: un médium qui décrit que quelque chose prend ses mains pour guérir (attention on parle aussi d’incorporation là)
 
Extrait du livre des médiums , un excellent livre de Allan Kardec, voici le lien si vous désirez lire ce livre

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Trop lucides pour être heureux ?

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Les surdoués ont de grandes difficultés à appréhender leur vie intérieure, leurs émotions par exemple, mais aussi le monde qui les entoure. Leur lucidité extraordinaire, qui leur permet une perception inhabituelle du monde, peut aussi les fragiliser. Extrait du livre « Trop intelligent pour être heureux ? » de Jeanne Siaud-Facchin.

La difficulté d’être un adulte surdoué peut s’aborder sous deux angles : celui, essentiel, de la lente construction de soi, de sa personnalité, de l’image que l’on a de nous-mêmes et qui détermine notre rapport au monde, aux autres. Mais aussi sous l’angle plus spécifique des particularités de fonctionnement des surdoués qui vont prendre un relief, une présence, singulières à l’âge adulte. Ces singularités, déjà présentes dans l’enfance, vont devenir des façons d’être au monde qui peuvent compliquer l’équilibre de vie. L’intrication, on le comprend, est étroite entre le parcours de l’enfant surdoué que l’on a été, et l’adulte que l’on devient.
On peut repérer dans les lignes qui suivent des modes de fonctionnement qui se retrouvent dans d’autres profils de personnalité. C’est vrai. Mais ce qui est spécifique au surdoué, comme toujours, est l’intensité de chacune de ces expressions de soi. Et la souffrance qui peut y être associée. La fréquence d’apparition de ces caractéristiques de personnalité permet d’identifier ce groupe, distinct parmi les autres, que composent les adultes surdoués. Ni tout à fait pareils ni complètement différents…



La lucidité étourdissante

Comment vivre avec cette lucidité qui inonde tout ce qui entoure. Qui scrute le moindre recoin. Qui repère le plus petit détail. Une lucidité qui pénètre au plus profond de l’autre. La lucidité du surdoué est d’autant plus puissante qu’elle s’alimente à une double source :
– l’intelligence aiguisée qui dissèque et analyse,
– l’hyperréceptivité émotionnelle qui absorbe la plus infime particule d’émotion ambiante.

Cette lucidité pénétrante ne laisse aucun répit. Et le surdoué ne peut débrancher ce rayon laser qui l’habite, qui fonctionne sans relâche. Il devient plus difficile de se sentir en sécurité, de faire confiance, de se laisser porter par la vie. La lucidité créé un véritable trouble, non identifié dans les manuels de psychologie, et pourtant proche du vertige, de la perte de conscience parfois. De la souffrance toujours. Tous les adultes surdoués expliquent combien il est douloureux d’être envahi par cette perception grossie du monde. Comme lorsque, petit, on regarde les fourmis évoluer dans la fourmilière aux parois grossissantes. La lucidité exacerbe et amplifie, mais surtout ne permet jamais de « ne pas voir ». Comme il est plus facile de vivre quand on ne repère pas les dysfonctionnements ambiants, que l’on ne se retrouve pas à penser, réfléchir, sur un problème anodin, que l’on ne se sent pas touché par une émotion à priori négligeable !
Une telle lucidité fragilise l’équilibre de vie. Interroge le sens de la vie. Inlassablement. Mais aussi entraine une remise en question permanente car rien n’est accepté sans condition. Avant de considérer une situation, une compétence, un savoir, une connaissance, comme valide et acceptable, le surdoué l’aura d’abord passé au crible de son analyse. (…)

La lucidité sur le monde donne une grande lucidité sur soi

 

Quand on fonctionne avec cette faculté acérée de repérer et disséquer inlassablement le monde, que l’on perçoit avec acuité les fragilités et les limites des autres, comment ne pas percevoir, d’abord, ses propres failles ? Voilà ce qui guette, à chaque pas, le surdoué : douter de lui, de ce qu’il est, de ses possibilités, de ses compétences, de ses qualités. Quand on est surdoué, on ne se sent jamais, mais alors jamais, supérieur aux autres. Bien au contraire. Et pourtant, cette idée du sentiment de supériorité que l’on éprouverait parce qu’on est surdoué hante tellement les esprits… de ceux qui ne le sont pas ! Ce qui est vrai, cependant, est que certains surdoués « gonflent leur égo ». Ils développent une personnalité qui apparaît suffisante, méprisante parfois. Ils donnent l’image de personnes qui se pensent tellement au dessus de la masse. Mais ne nous y trompons pas ! Comme la grenouille de la fable de La Fontaine qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf, le surdoué qui semble prétentieux est le plus vulnérable parmi tous. Sa suffisance tente de masquer son sentiment d’impuissance, de profonde fragilité. Celui-là a peur. Il est terrifié par l’idée d’être rejeté. S’il adopte ce type de comportement, c’est qu’il ne va pas bien. Qu’il souffre. La lucidité sur le monde et sur soi ouvre les portes d’une compréhension percutante et acérée. La puissance de cette lucidité peut être douloureuse mais elle est aussi la source d’une vision des choses que l’on pourrait finalement qualifier d’extralucide. Source : http://www.inrees.com LIVRE SUR LES SOCIETES SECRETE QUI DIRIGENT LE MONDE ET NOUS MANIPULE

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Les dix stratégies de manipulation de masse que nous subissons !

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Les dix stratégies de manipulation de masse que nous subissons !

 

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

Mais qui va gagner The Voice ??

 

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. «

Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.

Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté.

Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.

C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

TRES BON LIVRE A LIRE SUR LE SUJET

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.

De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.


« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.

Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Source: Sylvain Timsit

 

Source :

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Devil Inside Film basé sur une histoire vraie : L’extrait censuré par le Vatican ?!

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« Le baptême, c’est le transfert des péchés.
Si un bébé est amené à mourir après avoir été baptisé,
il va au ciel, si ça arrive avant, il va en enfer… » – Père David Kean




image:


Le film Devil Inside réalisé par William Brent Bell avec Suzan Crowley, Fernanda Andrade, Simon Quarterman et Evan Helmuth revient avec un nouvel extrait en français qui ‘aurait’ été censuré par le Vatican. Oui, oui… La preuve, j’ai le droit de le diffuser … Mais bon, c’est bien gore quand même comme film. Pour ceux qui sont fans du genre, vous allez être servi niveau exorcismeimage: http://www.lyricis.fr/wp-includes/images/smilies/simple-smile.png

:)

Synopsis:
Un soir de 1989, la police reçoit un appel d’une certaine Maria Rossi (Suzan Crowley) qui reconnaît avoir sauvagement assassiné trois personnes.
Vingt ans plus tard, sa fille, Isabella (Fernanda Andrade) cherche à comprendre ce qui s’est vraiment passé cette nuit-là.
Elle se rend en Italie, à l’hôpital Centrino pour psychopathes où Maria est enfermée, pour savoir si sa mère est déséquilibrée ou possédée par le diable. Pour soigner la démente, Isabella fait appel à deux jeunes exorcistes (Simon Quarterman et Evan Helmuth) qui utilisent des méthodes peu orthodoxes, mêlant la science et la religion.
Ils devront alors affronter le Mal absolu qui a pris possession de Maria : quatre démons d’une puissance redoutable…
… Délivrez la du mal.Version Française :

 


Devil Inside – Bande-Annonce Non Censurée /… par Lyricis
Source  http://www.lyricis.fr

 

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La maison aux esprits

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Dans cette vidéo, vous ferez la connaissance d’enfants qui ont un don particulier. Beaucoup d’enfants voient des fantômes, mais très peu en parlent autour d’eux.
Vous verrez plusieurs témoignages d’enfants qui ont le don de voir et d’entendre des esprits. Chacun rapporte la même angoisse qui les empêche de vivre normalement au quotidien. Pour eux c’est difficile d’en parler, car entre les moqueries et la peur, tous les paralysent.Aujourd’hui, dans ce reportage, certains enfants et leurs parents témoignent pour la première fois sur ce qu’ils vivent et sur les phénomènes dont les enfants sont témoins chaque jour de leur enfance.
Âgée de 12 ans, Olivia est effrayée par les esprits sombres qui viennent à elle dans sa maison. Elle est convaincue que sa maison est une porte d’entrée pour les entitées négatives. De son côté, Amy, 11 ans, peut parler aux fantômes de ses ancêtres décédés depuis bien longtemps.
Après avoir reçu les conseils de Chip Coffey, un médium, et d’Edy Nathan, un thérapeute, les fillettes tenteront d’affronter les esprits sombres qui se sont réfugiés dans la maison d’Olivia
 
Le livre  des esprits
 

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10 choses étonnantes que notre cerveau fait et ce que l’on peut en apprendre

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1. Votre cerveau fait mieux le travail créatif quand vous êtes fatigué.

Voici comment il se décompose:

Si vous êtes une alouette du matin, par exemple, vous aurez envie de privilégier les heures du matin quand vous vous sentez plus frais pour faire votre travail analytique le plus difficile. Il est préférable d’utiliser votre cerveau pour résoudre les problèmes, répondre aux questions et prendre des décisions  quand vous êtes à votre apogée. Pour les noctambules, c’est évidemment une période beaucoup plus tardive dans la journée.D’autre part, si vous essayez de faire un travail créatif , vous avez fait plus de chances quand vous êtes plus fatigué et votre cerveau ne fonctionne pas efficacement. C’est l’une des raisons pour lesquelles les grandes idées se produisent souvent sous la douche après une longue journée de travail .

 




Si vous êtes fatigué, votre cerveau n’est pas aussi bon pour filtrer les distractions et se concentrer sur une tâche particulière. Il est aussi beaucoup moins efficace pour se souvenir des liens entre des idées ou des concepts. Ce sont deux bonnes choses quand il s’agit de travail créatif, car ce genre de travail nous oblige à créer de nouveaux liens, à être ouvert à de nouvelles idées et de réfléchir à de nouvelles idées. Ainsi, un cerveau brouillé, fatigué nous est beaucoup plus utile lorsque l’on travaille sur des projets créatifs.

L’article du Scientific American explique comment les distractions peuvent effectivement être une bonne chose pour la pensée créatrice:La compréhension des problèmes implique de penser en dehors des sentiers battus. C’est là que la sensibilité à la «distraction» peut être bénéfique. En dehors des heures de pointe, nous sommes moins concentré, et peut-être devons-nous envisager une gamme plus large d’informations. Ce champ d’application plus large nous donne accès à plus de solutions de rechange et des interprétations diverses, favorisant ainsi l’innovation et la perspicacité.

2. Le stress peut modifier la taille de votre cerveau (et le rendre plus petit).

 

Je parie que vous ne saviez pas que le stress était en fait la cause la plus fréquente de changement dans le fonctionnement du cerveau. J’ai été surpris de le découvrir quand j’ai regardé la manière dont le stress affecte notre cerveau .

J’ai aussi trouvé quelques recherches qui ont montré des signes comme quoi la taille du cerveau baisse à cause du stress.Une étude a utilisé des bébés singes pour tester les effets du stress sur le développement et la santé mentale à long terme. La moitié des singes ont été pris en charge par leurs pairs pour six mois, tandis que l’autre moitié est restée avec leur mère. Ensuite, les singes ont été renvoyés à des groupes sociaux typiques pendant plusieurs mois avant que les chercheurs scannent le cerveau.

Chez les singes qui avaient été enlevés à leur mère et soignés par leurs pairs, les zones de leur cerveau liées au stress ont été encore élargies , même après avoir été dans des conditions sociales normales pendant plusieurs mois.

3. Il est littéralement impossible pour notre cerveau de faire plusieurs choses à la fois.

Nous avons longtemps été encouragés à faire plusieurs choses en même temps, mais il s’avère que c’est en fait impossible . Quand nous pensons que nous sommes multitâches, en fait nous faisons rapidement des allers-retours entre les différentes tâches plutôt que de les faire en même temps.

Le livre Brain Rules explique comment faire plusieurs choses en même temps peut être préjudiciable:

La recherche montre que votre taux d’erreur augmente de 50 pour cent et il vous faut deux fois plus de temps pour faire les choses.

Le problème quand on fait plusieurs choses en même temps c’est que nous divisons les ressources de notre cerveau . Nous donnons moins d’attention à chaque tâche, et nous sommes sans doute moins performants sur chacune d’entre elles:

Quand le cerveau essaie de faire deux choses à la fois, il divise et conquiert, en consacrant la moitié de notre matière grise pour chaque tâche.

Quand notre cerveau traite une seule tâche, le cortex préfrontal joue un grand rôle. Voilà comment il nous aide à atteindre un but ou à accomplir une tâche:

La partie antérieure de cette région du cerveau constitue l’objectif ou l’intention : par exemple, «Je veux ce cookie » – et lecortex préfrontal postérieur parle au reste du cerveau afin que votre main se tende vers le pot à biscuits et votre esprit sait si vous avez le cookie.

Une étude à Paris a constaté que quand une deuxième tâche était nécessaire, le cerveau des volontaires de l’étude se sépare, chaque hémisphère travaille seul sur une tâche. Le cerveau a été surchargé par la seconde tâche et n’a pas pu l’effectuer avec toute sa capacité, car il avait besoin de partager ses ressources.

4. La sieste améliore la performance quotidienne de votre cerveau.

Nous sommes assez clair sur la façon dont on dort est importante pour notre cerveau , mais que dire de la sieste? Il s’avère que ces courtes rafales de sommeil sont effectivement très utiles.

Voici comment la sieste peut-être bénéfique pour le cerveau :

Amélioration de la mémoire

Dans une étude , les participants ont  mémorisé des cartes illustrées pour tester la force de leur mémoire. Après avoir mémorisé un jeu de cartes, ils ont eu une pause de 40 minutes dans laquelle un groupe a fait une sieste et l’autre est resté éveillé. Après la pause, les deux groupes ont été testés sur leur mémoire des cartes, et le groupe qui avait obtenu de meilleurs résultats:

À la grande surprise des chercheurs, le groupe qui a dormi a eu une moyenne nettement meilleure, tout en conservant en moyenne 85 pour cent des motifs, par rapport à 60 pour cent pour ceux qui étaient restés éveillés.

Apparemment, la sieste permet effectivement à notre cerveau de renforcer les souvenirs :

La recherche indique que quand une mémoire est d’abord enregistrée dans le cerveau ,dans l’hippocampe pour être précis , il est encore « fragile » et facilement oublié, surtout si le cerveau doit mémoriser plus de choses. Faire une sieste ,semble pousser souvenirs dans le néocortex, « le stockage le plus permanent» du cerveau qui les empêche d’être «écrasés».

Ce qui se produit dans le cerveau pendant une sieste

Certaines recherches récentes ont montré que le côté droit du cerveau est beaucoup plus actif au cours d’une sieste que le côté gauche, qui reste assez calme lorsque nous sommes endormis. Malgré le fait que 95 pour cent de la population soit droitière, avec le côté gauche de leur cerveau qui est le plus dominant, le côté droit est toujours le plus actif de l’hémisphère pendant le sommeil.

L’auteur de l’étude, Andrei Medvedev, a spéculé que le côté droit du cerveau gère les droits « d’entretien » alors que nous sommes endormis .
Ainsi, alors que le côté gauche de votre cerveau prend un certain temps pour se détendre, le côté droit est la compensation de votre zone de stockage temporaire, poussant des informations dans le stockage à long terme et à solidifier vos souvenirs de la journée.

5. Votre vision l’emporte sur tous les autres sens.

En dépit d’être l’un de nos cinq sens principaux, la vision semble primer sur les autres:
Entendre un morceau de l’information, et trois jours plus tard, vous vous souviendrez de 10 pour cent de celui-ci. Ajoutez une image et vous vous souviendrez de 65 pour cent.

Les photos battent aussi le texte, en partie parce que la lecture est  inefficace pour nous. Notre cerveau voit les mots comme étant  de nombreuses petites images, et nous avons à identifier certaines caractéristiques dans les lettres pour pouvoir les lire. Cela prend du temps.

En fait, la vision est si puissante que les meilleurs dégustateurs de vin dans le monde ont été connus pour décrire un vin blanc coloré en rouge.




Non seulement il est surprenant que nous nous appuyons autant sur notre vision , mais en fait ce n’est pas si  bon que ça! Prenons cet exemple:
Notre cerveau fait toutes ces devinettes parce qu’il ne sait pas où sont les choses. Dans un monde en trois dimensions, la lumière tombe effectivement sur notre rétine dans un mode à deux dimensions. Donc, il  se rapproche de l’image visible.

Regardons cette image. Elle vous montre comment beaucoup de votre cerveau se consacre seulement à la vision et comment il affecte d’autres parties du cerveau. Il s’agit d’un chiffre vraiment incroyable, par rapport à d’autres domaines:

brain-on-vision

6.L’introversion et l’extraversion proviennent de câblages différents dans le cerveau .

J’ai récemment réalisé que l’introversion et l’extraversion ne sont pas réellement liées notre timidité, mais à la façon dont notre cerveau se recharge.
Voici comment le cerveau des introvertis et des extravertis diffèrent :

La recherche a effectivement constaté qu’il y a une différence dans le cerveau des gens extravertis et introvertis en termes de façon dont nous traitons les récompenses et notre constitution génétique est différente. Les cerveaux des extravertis répondent plus fortement quand un pari est réussi. Une partie de cela est tout simplement génétique, mais c’est en partie une différence dans leur système de dopamine.

Une expérience qui avaient fait faire des paris à des gens pendant qu’on leur faisait un scanner du cerveau, on a  trouvé ce qui suit:
Lorsqu’ils ont réussi  les paris , le groupe le plus extraverti a montré une réponse plus forte dans deux régions du cerveau cruciales: l’amygdale et le noyau accumbens.

Le noyau accumbens est une partie du système de la dopamine, qui affecte la façon dont nous apprenons et est généralement connu pour nous motiver à chercher des récompenses. La différence dans le système de la dopamine dans le cerveau de l’extraverti tend à les pousser vers la recherche de la nouveauté, à prendre des risques et à profiter des situations inhabituelles ou plus surprenantes que d’autres. L’amygdale est responsable du traitement des stimuli émotionnels, ce qui fait que les extravertis se précipitent tout excités quand ils essaient quelque chose de très stimulant qui peut submerger un introverti.

De plus la recherche a en effet montré que la différence vient de la façon dont les introvertis et les extravertis traitent les stimuli. La stimulation vient de notre cerveau et est traitée différemment en fonction de notre personnalité. Pour les extravertis, la voie est beaucoup plus courte. Elle traverse une zone où le goût, le toucher, le traitement sensoriel prennent place. Pour les introvertis, les stimuli passent par un long chemin compliqué dans les régions du cerveau associées à la mémoire, la planification et la résolution des problèmes.

7. Nous avons tendance à aimer les gens qui font le plus d’erreurs.

Apparemment, faire des erreurs nous rend réellement plus sympathique , en raison de ce qu’on appelle l’effet de pratfall.

Kevan Lee a récemment expliqué comment cela fonctionne sur le blog de tampon:

Ceux qui ne font jamais d’erreurs sont perçus comme moins sympathiques que ceux qui commettent les faux pas occasionnels. Gâcher attire des gens près de chez vous, vous rend plus humain. La perfection crée une distance et un air attrayant d’invincibilité. Ceux d’entre nous avec des défauts gagnent à chaque fois.

Cette théorie a été testée par le psychologue Elliot Aronson. Dans son essai, il a demandé aux participants d’écouter des enregistrements de personnes répondant à un quiz. Sélectionnez les enregistrements inclus le son de la personne en renversant une tasse de café. Quand on a demandé aux participants d’évaluer les quizzers sur leur cordialité, le groupe qui a renversé le café a eu le dessus.

Donc, c’est pourquoi nous avons tendance à ne pas aimer les gens qui semblent parfaits! Et maintenant, nous savons que faire des erreurs mineures n’est pas la pire chose dans le monde, en fait, ça peut jouer en notre faveur.

8. La méditation peut recâbler votre cerveau pour le mieux.

Voici une autre  chose qui m’a vraiment surpris. Je pensais que la méditation était seulement bonne pour l’amélioration de l’accent et m’aider à rester calme tout au long de la journée, mais il a en fait tout un tas de grands avantages .

Voici quelques exemples:

Ce qui se passe sans méditation, c’est qu’il y a une partie de notre cerveau qui est parfois appelé le  « centre de moi. » (C’est techniquement le cortex préfrontal médial.) C’est la partie qui traite des informations relatives à nous-mêmes et à nos expériences. Normalement, les voies nerveuses de la sensation corporelle et les centres de la peur du cerveau au »centre de moi » sont vraiment forts. Lorsque vous éprouvez une sensation effrayante ou dérangeante, il déclenche une forte réaction dans votre « centre de moi » ce qui fait que vous êtes effrayé.

Voici comment l’anxiété et l’agitation baissent avec seulement une séance de 20 minutes de méditation:




Lorsque nous méditons, surtout lorsque nous commençons avec la méditation , nous affaiblissons cette connexion nerveuse. Cela signifie que nous ne réagissons pas aussi fortement à des sensations qui pourraient avoir une fois allumé notre  « centre de moi. » Comme cela nous affaiblit à cet endroit, nous renforçons simultanément le lien entre ce qui est connu comme notre «centre d’évaluation» (la partie de notre cerveau connue pour le raisonnement) et notre sensation corporelle et les centres de la peur. Ainsi, lorsque nous éprouvons des sensations effrayantes ou

bouleversantes, nous pouvons plus facilement regarder de manière rationnelle.

Voici un bon exemple :

Par exemple, lorsque vous ressentez une douleur, plutôt que de devenir anxieux et en supposant que cela signifie quelque chose qui ne va pas avec vous, vous pouvez regarder le lever de la douleur et de l’automne, sans être pris au piège dans une histoire sur ce que cela pourrait signifier.

 

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Meilleure mémoire

La méditation aide au rappel  de la mémoire rapide. Catherine Kerr , chercheur au Centre de Martinos imagerie biomédicale et le Centre de recherche Osher, ont trouvé que les personnes qui pratiquent la méditation consciente étaient en mesure d’ajuster la vague du cerveau  et augmentent leur productivité plus rapidement que ceux qui n’ont pas médité. Elle a dit que cette capacité à ignorer les distractions pourrait expliquer « leur capacité supérieure à se rappeler rapidement et à intégrer de nouveaux faits. » Cela semble être très similaire à la puissance d’être exposé à des situations nouvelles, qui amélioreront aussi considérablement notre mémoire des choses .

La méditation a également été liée à l’augmentation de la compassion, la diminution du stress, l’amélioration des compétences de la mémoire et même l’augmentation de la quantité de matière grise dans le cerveau.

9. L’exercice peut réorganiser le cerveau et augmenter votre volonté.

Bien sûr, l’exercice est bon pour votre corps, mais que dire de votre cerveau? Eh bien, apparemment , il y a un lien entre l’exercice et  la vigilance, de la même manière que le bonheur et l’exercice sont liés:

Pratiquer un exercice peut entraîner une élévation parfois étonnante des performances cognitives, par rapport à celes qui sont sédentaires. Ceux qui font de l’exercice surpassent les patates de canapé dans des tests qui mesurent la mémoire à long terme, le raisonnement, l’attention, et la résolution de problèmes,

Bien sûr, l’exercice peut aussi nous rendre plus heureux, comme nous l’avons exploré avant:

Si vous commencez l’exercice , votre cerveau le reconnaît comme un moment de stress. Comme votre pression artérielle augmente, le cerveau pense que soit vous combattez l’ennemi soit vous le fuyez. Pour protéger votre cerveau et vous-même contre le stress, vous libérez une protéine appelée BDNF (Brain-derived facteur neurotrophique). Cette BDNF a un élément de protection et de réparation aussi pour les neurones de la mémoire et agit comme un interrupteur de remise à zéro. C’est pourquoi nous nous sentons souvent autant à l’aise et les choses sont claires après l’exercice, et nous sommes heureux.


Dans le même temps, les endorphines, un autre produit chimique pour combattre le stress, sont libérées dans votre cerveau. Selon  le chercheur McGovern:


Ces endorphines ont tendance à minimiser l’inconfort de l’exercice, bloquer la sensation de douleur et sont même associées à un sentiment d’euphorie.

10. Vous pouvez faire penser votre cerveau plus lentement en faisant de nouvelles choses.

Avez-vous déjà souhaité ne pas vous dire: « Où va donc le temps! » Chaque mois de juin quand vous vous rendez compte de l’année est à moitié finie? C’est une astuce qui aide notre cerveau à perçoir le temps. Une fois que vous savez comment cela fonctionne, vous pouvez tromper votre cerveau en pensant que le temps passe plus lentement.

La plupart du temps, nos cerveaux ont tout un tas d’informations provenant de nos sens et l’organisent d’une manière qui fait sens pour nous, avant que nous le percevions. Donc, ce que nous pensons être notre sens du temps est en fait seulement un tas d’informations qui nous est présenté d’une façon particulière, déterminé par notre cerveau :

Lorsque le cerveau reçoit de nouvelles informations, elles ne viennent pas nécessairement dans le bon ordre. Ces informations doivent être réorganisées et nous être présentées sous une forme que nous comprenons. Lorsque l’information traitée est familière, cela ne prend pas beaucoup de temps. Lorsque ce sont de nouvelles informations par contre ça prend beaucoup plus de temps, et le temps parait plus long.




Plus étrange encore, ce n’est pas seulement une seule zone du cerveau qui contrôle notre perception du temps, c’est fait par tout un tas de zones du cerveau , contrairement à nos cinq sens ordinaires, qui peuvent tous être identifié à une seule zone spécifique par sens.
Lorsque nous recevons beaucoup de nouvelles informations, il faut un certain temps à notre cerveau pour traiter tout cela. Plus il y a de transformation, plus cette période parait longue .

Lorsque nous sommes dans des situations qui mettent notre vie en danger, par exemple, «nous nous souvenons de davantage de l’époque  parce que nous enregistrons plus de l’expérience acquise. Les expériences qui ont mis notre vie en danger nous font faire très attention, mais nous ne nous font pas gagner  de pouvoirs de perception surhumains « .

source

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Un gigantesque OVNI crashé repéré en Antarctique ?

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S’agit-il de la trace de l’impact d’un OVNI sur l’Antarctique ? [DR ]
 
Un passionné de phénomènes paranormaux prétend avoir identifié – sur une photo prise au-dessus de l’Antarctique – la trace du crash d’un OVNI. Le cas échéant, il s’agirait d’un appareil gigantesque.

 

Comme bon de nombre de ceux qui croient en l’existence d’OVNI d’origine extraterrestre, un Russe nommé Valentin Degterev passe de longues heures à scruter les images de Google Map et Google Earth pour tenter d’y détecter des phénomènes paranormaux à différents niveaux de zoom.

Or sur l’une des images satellites rassemblées par le célèbre site et prise au-dessus du continent Antarctique, apparaît un relief très étrange qui tranche nettement avec un environnement étale et immaculé. La photo a été isolée en 2012 mais n’a été diffusée que récemment. Mais on peut encore observer le phénomène en saisissant les coordonnées 80°34’08.4″S 30°05’19.3″W dans Google Map.

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De forme oblongue, large de 20 mètres et longue de 70, cette fente serait, selon Valentin Degterev, la trace du crash d’une soucoupe volante qui aurait percuté le sol glacé par la tranche. Dès lors, il serait possible de penser que la carcasse de l’appareil pourrait reposer en-dessous.

Tout porte cependant à croire que cet « impact » est en fait une crevasse issue d’un mouvement naturel des glaces. Sa dimension gigantesque ne désempare pas les spécialistes interrogés par le Daily Mail, selon lesquels cette caractéristique n’a rien d’exceptionnel dans ces régions

 

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