Une mystérieuse créature découverte en Russie

Des habitants de la ville de Sosnovy Bor, construite en 1958 près d’une centrale nucléaire, ont découvert une étrange créature en bordure de rivière. D’après les scientifiques, il ne s’agit ni d’un poisson ni d’une volaille.

Le mystérieux animal se caractérise par un crâne allongé, l’absence de cou et des pieds en forme de talons. De quelle espèce peut-il s’agir ?

Les ufologues se sont rapidement emparés de l’affaire et désignent la créature comme étant un minuscule corps d’extraterrestre.

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La dépouille a été transférée pour identification à l’institut biophysique de Krasnoyarsk.



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La médium du lac de Côme

 

Chiara Bariffi, jeune femme de 32 ans, disparaît mystérieusement le 1<sup>er décembre 2002, au nord de l’Italie. Après trois longues années de recherches, son corps reste introuvable et la police classe l’affaire. En ultime recours et toujours animés par l’espoir , les parents de la jeune femme se tournent vers une médium établie dans la région. Du nom de Maria Rosa Busi, cette infirmière de 55 ans affirme posséder des pouvoirs extralucides.

Munis d’une photo de leur fille disparue, les parents de Chiara rencontrent la voyante.

Malheureusement, le verdict de Rosa est rapide et tombe comme un couperet,

Votre fille ne vit plus

L’affaire s’accélère très vite. La médium se sent attirée par le lac de Côme dont la superficie représente deux fois la taille de Paris. Elle désigne, avec précision, l’emplacement du corps de Chiara et décrit les circonstances de sa disparition :

Chiara roulait vite, il y avait un très mauvais temps dans la région, une coulée de boue est survenue  provoquant l’accident. Elle était au mauvais endroit au mauvais moment.

La police n’y croit pas et refuse toute collaboration avec Rosa Busi. La famille décide tout de même de faire confiance à la médium et avance les moyens nécessaires pour engager des plongeurs professionnels.

Une caméra sous-marine filme une voiture enfouie à 100 mètres dans les profondeurs du lac de Côme, à 45km du nord de Milan. Il s’agit bien du véhicule de Chiara et son corps est lui aussi repêché.

 

 

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Expérience de mort imminente : une nouvelle étude compile les 7 sensations ressenties par ceux qui sont morts brièvement avant de revenir à la vie

 

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Un tunnel, une voix douce et puis notre vie qui défilent devant nos yeux…. Nous avons tous entendus les mêmes histoires à propos de personnes ayant connu une expérience de mort imminente, c’est-à-dire ces quelques secondes connues par ceux ayant vu leur cœur s’arrêter puis repartir. Certains y croient, d’autres n’y voient qu’hallucinations ou balivernes. Mais la science a-t-elle son mot à dire ?

Durant des années, les chercheurs ont rechigné à se lancer sur ce genre de sujet glissant, très proche du champ religieux. Mais les choses ont changées. Une équipe composée de scientifiques venant d’universités anglaise et américaines,  s’est penché sur les cas de plus de 2 060 victimes d’arrêts cardiaques, durant plus de quatre ans (les autres causes de mort imminente n’ont pas été étudiées). Sur ces derniers, les docteurs ont pu en sauver 16%. Et l’équipe scientifique a pu en interroger 101 parmi eux. Les données de l’étude ont été publiées dans la revue Resuscitation.

 

Alors que le cerveau ne peut plus fonctionner quand le cœur a cessé de battre, l’état de conscience des patients semble s’être poursuivi. « L’objectif était de saisir ce que représente vraiment l’expérience mentale et cognitive de la mort », explique Sam Parnia, chef de l’équipe. « Et pour les gens qui prétendaient avoir une conscience auditive et visuelle au moment de la mort, étaient-ils vraiment conscients ? ».

 

>> Et pour en savoir plus Expériences de mort imminente : la plus grosse étude jamais menée confirme que l’état de conscience continue après l’arrêt du cœur

Alors que plusieurs personnes ont raconté « avoir flotté au dessus de leur corps », les scientifiques ont voulu une preuve de ce phénomène. En conséquence, ces dernières années, Sam Parnia et son équipe ont décidé d’installer des panneaux suspendus,  accrochés au plafond de 15 hôpitaux d’Europe continentale.  Sur le côté supérieur de ces panneaux étaient notées des inscriptions, des mots et des chiffres.

Ces inscriptions n’étaient donc visibles que du dessus. L’idée était que, si les patients sortaient effectivement de leurs corps, ils seraient capables de voir les écrits. Une telle théorie remettrait en cause notre conception de la conscience humaine, qui ne serait donc pas forcément liée à l’activité de notre cerveau. Mais aucun patient n’a vu les inscriptions, car aucune expérience de mort imminente n’a été constatée dans les hôpitaux pourvu de ces panneaux.

En revanche, selon les résultats, deux patients ont eu des visions de choses liées à leur environnement du moment de leur « mort ». La BBC cite le cas de monsieur A. Ce britannique a été admis à l’hôpital de Southampton après s’être effondré au travail. Alors qu’il fait un arrêt cardiaque sur la table d’opération, se trouvant donc en situation de mort clinique, les médecins parviennent à la ramener à la vie à l’aide d’un défibrillateur.

Entre ces deux moments, monsieur A déclare avoir eu conscience de son environnement. Il affirme avoir vu une femme étrange lui faire un signe depuis le plafond de l’hôpital et avoir commencé à la rejoindre, tout en quittant son enveloppe corporelle. « J’avais la sensation qu’elle me connaissait, que je pouvais lui faire confiance », raconte-t-il. « Je sentais même qu’elle elle était ici pour une raison, mais je ne savais pas laquelle. » Il se rappelle également avoir entendu une voix criant « Ranimez le patient, ranimez le patient! ». Cette phrase ainsi que la description de la salle qu’il a donnée par la suite se sont avérées tout à fait exactes, après vérification des chercheurs auprès des personnes
présentes.

 

image:

Alors, que ressentons-nous nous au moment de mourir ?

Excepté les facteurs « environnementaux », les scientifiques ont classé les sensations et visions des patients en sept familles.

  • La peur,
  • La famille
  • Une lumière brillante
  • Les animaux ou les plantes
  • La violence et la persécution
  • Le sentiment de déjà-vu
  • Le souvenir d’événements post-cardiaque

Comme on peut le constater, ces expériences varient de l’agréable à la terreur. De manière assez surprenante, le sentiment de persécution est assez présent. « Je devais subir une cérémonie dans laquelle j’étais brulé », raconte ainsi un patient. Un autre témoigne avoir été « trainé dans l’eau », un autre encore prétend « avoir été informé de sa mort » de manière violente. Source:www.atlantico.fr

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Le presbytère hanté de Borley

Demeures hantées
LE PRESBYTÈRE DE BORLEY
 
Les fantômes et poltergeists observés au presbytère de Borley sur la côte Est de l’Angleterre, sont des plus étranges dans le domaine particulièrement riche des hantises.
Cette bâtisse, aujourd’hui en ruines, située dans un joli village au bord de la Stour, petit cours d’eau paisible proche de Sudbury dans l’Essex, n’est pas très ancienne.
Elle fut construite en 1863 par le révérend Henry Bull sur le site d’un monastère cistercien datant du Moyen Âge, dont la renommée sulfureuse traversa les siècles.
Mais, prévenons nos lecteurs, les anecdotes fantastiques et les témoignages sur les phénomènes observés au presbytère de Borley appartiennent davantage à la légende qu’à l’Histoire et qu’il n’est pas toujours facile d’y démêler le mythe de la réalité.

Un fabuleux trésor

 

 

Dès la nuit des temps, il exista à cet endroit un monastère dont des générations de conteurs ont affirmé qu’il renfermait un trésor jalousement gardé par les moines.
Les uns prétendent que ce magot appartenait aux Templiers venus de France après la dissolution de l’Ordre en 1314.
D’autres affirment que lors de la rupture avec Rome (1533) le prieur et les moines du monastère restés fidèles à l’Église romaine dissimulèrent les richesses qu’il contenait.
On dit aussi que lorsque en 1568, la malheureuse reine Marie Stuart, vaincue, fut obligée d’abdiquer et de se réfugier auprès de son ennemie Élisabeth d’Angleterre, le trésor du monastère de Borley s’enrichit d’une partie de celui des rois d’Écosse. Confié aux moines par le trésorier de la famille royale en personne, on raconte que l’escorte qui l’avait accompagné au monastère fut égorgée afin de maintenir le secret.
Un chroniqueur plus réaliste soutient que les allées et venues nocturnes, troubles divers, apparitions mystérieuses ou agressions d’entités diaboliques observés là-bas seraient la conséquence de la rapacité et de la mauvaise foi des bons moines à qui des pirates auraient confié la garde des immenses richesses accumulées au cours de leurs rapines, sans pouvoir le récupérer.

Une référence pour les chercheurs

 

 

Au fil des ans, les phénomènes folkloriques observés ici sont devenus un modèle du genre, une référence pour tous les chercheurs en « paranormal », comme l’est devenue au XXe siècle, aux États-Unis, la maison hantée d’Amityville.
Cela dit, l’histoire du presbytère de Borley est intéressante à plus d’un titre. D’abord par le nombre incalculable des observations (plus de 3000), mais également par sa médiatisation à outrance grâce notamment à la presse populaire, au cinéma, puis à la télévision.
Les médias attirèrent sur place tout ce que la Grande-Bretagne, l’Europe et le Monde comptent de curieux, de médiums, de cinglés, de voyants, de mythomanes en tout genre. Les récits fantaisistes qu’ils colportaient furent relayés par les déclarations fracassantes de personnalités aussi prestigieuses que celles d’Harry Price, éminent et très controversé « chasseur de fantômes » ou d’Irving Le Noble chercheur en « paranormal » dont l’autorité auprès des « spécialistes » paraissait incontestable.

Amusettes et joyeusetés

 

 

Lieu le plus hanté d’Angleterre et peut-être du monde, le site n’a pas fini de hanter les esprits et de répandre ses phantasmes.
Sa petite histoire est extrêmement riche en drames, meurtres, empoisonnements, religieuses et moines sans tête, et autres « amusettes et joyeusetés », car on s’amusait volontiers à se faire peur lors des veillées de l’époque!
Une première légende affirme qu’au Moyen Âge, une jeune et ravissante novice du couvent de Burnes fut enlevée par un jeune moine du monastère de Borley. Les amoureux furent surpris alors qu’ils quittaient la région dans une charrette espérant gagner Londres. Dénoncés par le paysan qui les transportait, le moine fut pendu et la nonne condamnée à être emmurée vive dans la crypte de la chapelle. En ce temps-là, on ne badinait pas avec l’amour.
Une seconde légende a pour héroïne une dénommée Marie Lairre, religieuse française qui, après avoir quitté son couvent du Havre, aurait épousé un nobliau de Borley, un certain Henry Waldegrave. Ce joli seigneur l’aurait étranglée en 1667 dans un des communs de l’ancien monastère, là même où sera édifié le presbytère de Borley.
Ce conte aurait pour origine, comme nous le verrons plus loin, le compte rendu de séances spirites animées par le médium Helen Glanville.

Un lieu maudit

 

 

La petite histoire rapporte bien d’autres anecdotes à faire dresser les cheveux sur la tête concernant de près ou de loin le sulfureux monastère. En voici quelques-unes, pêle-mêle, pouvant accréditer l’idée d’un endroit maudit.
Celle d’un cavalier, messager de la reine, mort rongé par les renards et les rats après avoir eu les quatre membres coupés et agonisé trois jours et trois nuits dans une fosse à purin.
Le malheureux père Enoch cloué vivant par des bandits sur la porte de son oratoire.
Le martyre de la famille Waldegrave après le forfait d’Henry, décimée par la cruelle vendetta opposant deux clans rivaux, entraînant exécutions, meurtres, séquestration, assassinats, défenestration, noyade, empoisonnements, strangulations. (Voir plus haut un des épisodes mythiques de cette saga.)
Pourtant, avec l’édification en 1863 sur le terrain maudit d’un bâtiment tout neuf, béni par l’Église, le révérend Henry Bull espérait bien mettre fin à cette suite de crimes et d’horreurs et administrer son sacerdoce sur une région apaisée.
Après quelques mois de ministère paisible, le révérend et sa nombreuse famille se trouvèrent à leur tour confrontés au mystère. Coups sourds provenant du sous-sol ou des combles, sang suintant des poutres du plafond, bruits de pas inexplicables, sonneries de cloches intempestives, apparitions d’entités mystérieuses, etc.

La suite des événements allait le détromper

 

 

Après quelques mois de ministère paisible, le révérend Henry Bull et sa nombreuse famille se trouvèrent à leur tour confrontés au mystère. Coups sourds provenant du sous-sol ou des combles, sang suintant des poutres du plafond, bruits de pas inexplicables, sonneries de cloches intempestives, apparitions d’entités mystérieuses, etc.
Un soir, un an après y avoir emménagé, l’un des fils du révérend se plaint d’avoir été giflé au visage par une main invisible. Son petit frère racontera avoir été réveillé une nuit par un homme habillé «à l’ancienne» qui se tenait debout, armé, près de son lit.
Son épouse entendit trois nuits de suite un attelage galoper dans l’allée (la charrette de la nonne et de son soupirant ?).
Plusieurs autres parmi leurs 14 enfants prétendent également être les témoins de hantises, devenues désormais le lot quotidien des habitants du presbytère: portes arrachées, volets brisés, bruits étranges, odeurs insupportables, sons terrifiants, jets de pierres sur les tuiles et dans les vitres, déplacements inexplicables des meubles, chutes d’objets, etc.

Exorcisme

 

 

Le révérend Henry Bull, homme solide et d’une grande piété, finit par faire appel aux plus hautes autorités ecclésiastiques pour tenter de « nettoyer » le presbytère de ses infestations.
L’intervention d’un exorciste dûment mandaté par l’Église éloigna démons et fantômes, ramenant pour quelque temps la paix dans la demeure.
Le spectacle de ce cérémonial de désenvoûtement frappa la population d’alentour et plus particulièrement l’imaginaire des enfants qui y assistaient bouche-bée. Souvent, au cours des semaines qui suivirent, les rejetons du révérend jouèrent à l’exorciste sans penser à mal.
En fait, plusieurs personnes affirmèrent que ces phénomènes paranormaux n’avaient été que jeux d’enfants. Que tout avait commencé lorsque la nombreuse progéniture du révérend s’était mise à jouer aux fantômes, à effrayer le jardinier et les domestiques en se promenant dans les allées dissimulés par des draps. Mais cette explication évidente ne convainquit pas un voisinage avide de sensations fortes.

Malcolm et Margaret

 

 

Lorsque Malcolm H. Bull prit la relève de son père au presbytère de Borley après de solides études à Edinburgh, la petite bourgade vivait assoupie au rythme des saisons. En cette fin du XIXe siècle, la vie dans la campagne anglaise était rude et les enfants du révérend s’ennuyaient ferme.
Parmi la nombreuse progéniture du pasteur se détachaient deux jeunes tempéraments intelligents, espiègles et précoces, son fils Harry et sa fille Jennifer (Jenny).
Ils avaient maintes fois entendu parler, tant à la table familiale qu’à l’office où se retrouvaient la cuisinière, la femme de charge, la femme de chambre et le jardinier, des apparitions, des fantômes, et autres « esprits » facétieux qui hantaient autrefois le prieuré et ses communs. Cela leur donna des idées.
Durant le sommeil de leurs parents, par les nuits d’orage et de tempête, ils commencèrent pas hanter les chambres et les couloirs du presbytère, se faisant peur à eux-mêmes avant de terroriser leurs petits frères et sœurs.
Une vieille domestique, un peu sourde d’oreille et insomniaque crut sa dernière heure venue lorsque, une chandelle à la main, elle entrevit en se rendant aux commodités, un animal étrange, cornu, à la peau blanche, gambadant au bout du couloir. C’étaient nos deux garnements qui jouaient au fantôme, dissimulés sous un drap.
Aux cris de la vieille, toute la maisonnée fut réveillée en sursaut tandis que les enfants responsables de ce remue-ménage étaient repartis se coucher. La vieille bonne plus morte que vive raconta ce qu’elle avait vu et, dès le lendemain, le village fut mis au courant de l’apparition.

Impunité

 

 

Enhardis par leur impunité, Jenny et Harry remirent ça, agrémentant leurs jeux nocturnes en enfermant dans une caisse au grenier un rat qu’ils avaient capturé et qui pour se dégager bouleversa pendant plus d’une heure le silence nocturne.
Lors de grandes vacances, le presbytère accueillit un cousin germain habitant Pékin avec ses parents diplomates. Ses récits hauts en couleur subjuguèrent littéralement Harry et Jenny. Sa description des fêtes chinoises avec leurs processions de dragons, l’envoi de cerfs volants, les pétarades assourdissantes leur donnèrent aussitôt de nouvelles idées.
Aidés par leur cousin, ils réussirent l’envoi vers minuit d’un lampion le long du fil de leur cerf volant selon l’antique tradition chinoise. Leur parent avait aussi apporté quelques pétards dont ils surent user à bon escient.
Ces lueurs dans le ciel, ce tohu-bohu dans les combles, ces pétarades impromptues ranimèrent dans le village le vieux fantasme du presbytère hanté qui réapparaissait de génération en génération.
Une vieille sorcière qui habitait dans les bois jeta de l’huile sur le feu en annonçant une guerre meurtrière pour bientôt, et ce fut la guerre des Bœrs.

Un ministère paisible

 

 

Lorsque le facétieux Harry, succéda à Malcolm, après la guerre de 14-18, il connut d’abord un ministère sans problèmes. Et pour cause. Il savait parfaitement ce qu’il en était des esprits vagabonds et des fantômes, et comment les traiter!
Pourtant, au début des années 20, l’on recommença à chuchoter dans le village que le presbytère était hanté. En réalité, des « manifestations » insolites imprévues vinrent empoisonner l’existence de Harry Bull et des siens.
Mais cette fois, le pasteur n’y était pour rien et ses enfants, maintenus dans le droit chemin par une main de fer, apparemment non plus.
Cette fois, il semblait que les habitants du presbytère avaient affaire à des phénomènes d’une autre nature. Poltergeist, plaintes nocturnes, fruits qui pourrissent, conserves avariées, puits empoisonné, invasion de serpents.
Harry Bull se maintint pourtant à Borley jusqu’en 1927, année de sa mort. (D’autres témoins, comme Terence J. Pope, affirment qu’il quitta les lieux bien vivant mais totalement épuisé.)

Puis vinrent les Smith

 

 

Eric Smith et sa famille lui succédèrent en 1928 malgré la renommée sulfureuse du presbytère de Borley qui s’était répandue dans la contrée, rumeurs auxquelles il n’ajouta pas foi.
Mais dès son installation, ces manifestations étranges, plaintes lugubres, bruissement de pas, déplacements d’objets sans intervention humaine, apparitions spontanées d’entités incorporelles et curieuses lueurs vagabondes, se firent plus pressantes et s’aggravèrent.
L’on observa non seulement des jets de pierres, des suintements de sang mais aussi la prolifération de champignons visqueux et nauséabonds dans les charpentes et le long des poutres. Mary Pearson, la servante des Smith, effrayée par les apparitions diaboliques refusa de demeurer davantage au presbytère.
Le village de Borley recevra un sérieux coup de projecteur et connaîtra un regain de popularité lorsque un journaliste publia dans le Daily Mirror du 10 juin 1929, un article fracassant sur les fantômes et les apparitions du presbytère.
Dès lors qu’ils se trouvèrent imprimés dans un journal, la population toute entière, même les plus sceptiques, considérera ces phénomènes comme des faits réels.

L’intervention d’Harry Price

 

 


Dans la capitale du royaume, cet article éveilla la curiosité d’Harry Price, un personnage haut en couleurs, pourfendeur de spirites, des faux médiums et autres charlatans nombreux dans le royaume. Riche, séduisant, le verbe convaincant, il s’était autoproclamé « chasseur de fantômes » et avait fondé un « Laboratoire National des Sciences psychiques ». Il se disait correspondant à Londres de la très sérieuse American Society for Psychical Research.
Price se rendit à Borley, visita les lieux, fureta dans tous les coins, interrogea les gens du village et fut convaincu qu’il se passait effectivement quelque chose de bizarre et de mystérieux dans la région.
Il persuada le pasteur Smith qui occupait le presbytère depuis le départ d’Harry Bull, de l’aider à mener une enquête approfondie sur place.
Harry Price ne péchait pas par modestie. Ses investigations n’auront pas la discrétion exigée par ce genre de procédure lorsqu’il s’agit de faire la lumière sur des phénomènes de cet ordre.
Le flamboyant chasseur de fantômes arriva à Borley précédé par un intense tam-tam médiatique. A bord de sa somptueuse voiture, gros cigare au poing, le verbe haut, il bluffa les habitants de cette paisible bourgade. D’emblée, il remua ciel et terre, fouilla sans ménagement dans la vie privée des personnes vivant dans les environs du presbytère.
Déstabilisés par les manifestations paranormales et la publicité de mauvais aloi qu’elles engendraient, les empêchant de vivre une vie normale, les Smith vont s’installer à Long Melford. Le révérend continuera néanmoins, dans un premier temps, à s’occuper de la paroisse de Borley et de ses ouailles.
Les curieux affluèrent de toute l’Angleterre, des cars de touristes vinrent enrichir les restaurateurs, les hôteliers du village, les vendeurs de souvenirs et de cartes postales.
Lorsque à bout de nerfs Eric Smith et sa famille quitteront définitivement la région nour s’établir à Norfolk, les phénomènes cesseront à nouveau durant quelques mois.

Arrivée des Foyster

 

 

Le 16 Octobre 1930, Lionel Foyster, un cousin d’Harry Bull viendra habiter le prebytère avec son épouse Marianne et leur fille Adélaïde, âgée de deux ans et demie. C’est un couple solide, ayant la tête sur les épaules et que la renommée sulfureuse du presbytère n’effraie pas.
Mais très vite, selon leur témoignage, les manifestations paranormales reprennent avec une violence accrue. Déluge de cailloux, suintements de sang, apparitions de fantômes, hurlements et ricanements dans la nuit deviennent leur lot quotidien. Cette fois, ils constatent que les entités vont jusqu’à commettre des agressions physiques, alternant coups de griffes et morsures, se livrant à de véritables attentats, bousculant leur domestique dans l’escalier monumental de la demeure avant de la rouer de coups.
Les Foyster font alors appel à Harry Price qui revient sur place bien décidé cette fois à découvrir le pot aux roses. Comme lors de sa première enquête, si le chasseur de fantômes est persuadé de la réalité de la plupart des faits il ne parvient toujours pas à fournir une explication rationnelle des phénomènes.
Lui, qui ne croit ni aux fantômes, ni aux esprits malveillants et autres hantises, est obligé de constater l’inimaginable. Il soupçonne bien Marianne, la jeune épouse Foyster, d’être consciemment ou inconsciemment à l’origine des messages sataniques griffonnés sur les murs de la demeure et des poltergeists. Mais il hésite à l’accuser ouvertement, car les phénomènes se poursuivent même en son absence.

Un groupe de spirites

 

 

Je l’ai dit, Harry Price ne croit guère au surnaturel, réfutant toute intervention d’esprits maléfiques, il garde les pieds sur terre.
Mais en janvier 1932, ne parvenant ni à expliquer ni à faire cesser ces phénomènes, Price accepte à contre cœur de faire exorciser le presbytère par un groupe de spirites conduit par un certain Marks Tey, désenvoûteur secondé par le médium Guy L’Estrange.
Suite à leur intervention, les apparitions fantomatiques et les facéties des entités cessent alors subitement au grand dam des touristes et des curieux alléchés par ce cirque.
Mais pas pour longtemps. A peine le commando spirite a-t-il tourné les talons, sûr de son pouvoir spirituel et de son triomphe sur les forces du mal, voilà que la sarabande reprend comme avant. D’étranges musiques retentissent dans l’église, le vin de messe se change en encre, les femmes et les vaches des environs avortent, les poules ne pondent plus, des formes blanches de fantômes lévitent dans la nuit.
Un matin, Marianne découvre sa fille le visage couvert de sang et le corps tuméfié, se plaignant d’avoir été agressée par « quelque chose d’horrible ».

C’en est trop

 

 

En 1935, les Foyster quittent Borley définitivement, affirmant être à bout de nerfs, incapables de se faire aux innombrables événements paranormaux et apparitions dont ils ont été les victimes.
De mauvaises langues prétendent que ce fut « fortune faite », que le révérend et sa famille avaient effectué une bonne plus-value sur la vente du presbytère, acquis cinq ans plus tôt pour une bouchée de pain.
Après la famille Foyster le presbytère ne fut plus habité par des gens d’Église car le révérend Henning qui leur succéda en 1936 demanda à son évêque l’autorisation d’aller habiter à Liston, un village proche.

Une petite annonce

 

 

En 1937, souhaitant élucider définitivement le mystère, Harry Price loua le presbytère de Borley pour s’y installer lui-même et fit paraître une longue annonce dans le Times.
Selon Olivier Valentin, qui relate cet épisode avec humour sur le Net, cette annonce invitait « toutes personnes saines de corps et d’esprit, intrépides, à l’esprit critique et impartial, à rejoindre notre équipe de témoins dans le cadre d’une durée d’un an, de jour comme de nuit, dans une maison présumée hantée située dans notre Comté. Références exigées.» Elle se poursuivait ainsi : «Toutes personnalités de formation scientifique ayant une expérience dans la manipulation d’appareils d’observation et de contrôle sont les bienvenues.»
La boîte postale chargée d’accueillir les candidatures fut submergée par un courrier venu de partout.
Toujours selon Olivier Valentin, Price effectua une première sélection parmi lesquelles un certain M.S.H. Glanville et ses enfants, ainsi qu’un diplomate, Mark Kerr-Pearse.
Harry Price et son équipe d’enquêteurs s’installent dans les 24 pièces du presbytère. Avant de distribuer les tâches à chacun, il leur distribue un manuel de sa composition décrivant les méthodes et les outils d’investigation de lieux hantés.
Parmi ces traqueurs de fantômes amateurs se détache Helen Glanville, spécialiste du oui-ja, dont les séances très suivies livrent par l’intermédiaire de la « planchette » de surprenantes révélations.
Celle notamment de Malcomb Barnes, chevalier servant de la reine d’Écosse, vendu par ses frères à des pirates, mort sans sépulture en terre d’Islam, et qui errerait dans la contrée les nuits de lune montante ou descendante, à la recherche de son épée sertie de pierres précieuses qui se trouverait dans le trésor des moines de Borley. La « planchette » désigna également nommément Marie Lairre, dont j’ai parlé plus haut, une religieuse assassinée par Henry Waldegrave dont l’âme errante hanterait les lieux.
Lors d’une autre séance de oui-ja, se déroulant en mars 1938, la planchette révèle sous la dictée d’un esprit inconnu, «la destruction prochaine du presbytère par le feu et la découverte dans les ruines des restes d’une nonne assassinée», événements qui ne tarderont pas à se produire.

La fin du presbytère

 

 

Le capitaine William Gregson et sa famille furent les derniers à vivre au presbytère. Gregson, un rationaliste sceptique à qui l’on n’en conte pas, acheta la demeure, connaissant sa sulfureuse réputation. Ne croyant ni en Dieu ni au diable et encore moins aux esprits errants, il allait rapidement changer d’avis.
Dès l’installation des Gregson, les esprits leur en firent voir de toutes les couleurs. La folle sarabande des esprits facétieux reprit de plus belle, venant gâcher leurs nuits. Fantômes, apparitions, grêles de pierres, odeurs dégoutantes empoisonnèrent leur vie comme ils avaient perturbé celle de leurs prédécesseurs.
Durant la nuit du 27 au 28 Février 1939, le presbytère de Borley fut détruit par le feu à la suite de la manipulation malheureuse d’une lampe à pétrole par son propriétaire. L’incendie qui se déclara dans la bibliothèque se répandit à travers toute la demeure la consumant entièrement.
Ce sinistre frappa les esprits et donna lieu à mille explications toutes plus farfelues les unes que les autres. De mauvaises langues affirmèrent que les propriétaires avaient eux-mêmes mis le feu au bâtiment pour toucher le montant de l’assurance.
En 1943, Harry Price, encore lui, qui avait raconté son expérience dans un premier livre à succès, reprit son enquête à zéro, fouilla les sous-sols et découvrit dans les ruines un squelette de femme enterré dans la cave dont il affirma que c’était celui de la religieuse assassinée.

Au tour de l »église

 

 

Après le feu, les fantômes se manifestèrent de l’autre côté de la route, dans l’église de Borley même. Ces événements et leur relation par les médias attirèrent une nouvelle foule de curieux à Borley.
D’innombrables photographes amateurs ou professionnels publièrent des clichés parfois très énigmatiques de certaines apparitions. Il s’agissait pour la plupart de photos truquées ou maquillées après leur développement. L’une des plus spectaculaires, la photo dite de « la brique flottante » apportait la preuve d’un poltergeist pris sur le fait. Aux dires d’observateurs nantis de jumelles, cette brique était «transportée dans les airs par un esprit volant !».
Le cliché d’un vieil homme au corps voûté vêtu à l’ancienne, au visage buriné sans oreilles et sans nez, sorti tout droit d’un film d’horreur, fit lui aussi le tour des salles de rédaction.
Le photographe Dick Gee produisit quant à lui une photo prise dans l’église présentant une sorte de « halo lumineux » en son milieu, où un œil exercé ou imaginatif pouvait distinguer un ange !

Le temps des aveux

 

 

Après la grande guerre, Alan Gregson, un des fils du capitaine, décrivit ses souvenirs personnels dans une lettre à Richard Lee, qui enquêtait à son tour sur les fantômes du presbytère. Son frère Anthony conta au même journaliste une version très différente des mêmes phénomènes, plus dramatique que celle de Richard.
Leur publication dans la presse populaire relança la pression médiatique.
Marianne Foyster, interrogée à son tour par un journaliste de la BBC, souleva le coin du voile. Elle donna un récit plausible des souvenirs qu’elle conservait de ces événements, affirmant que tous les phénomènes avaient été très exagérés, qu’avec son mari ils se régalaient à lire les élucubrations des médias.
L’affaire rebondit en 1958 avec de nouvelles révélations de Marianne Foyster, qui confia à des chercheurs sérieux, enquêtant pour la nième fois sur l’affaire, que toutes ces manifestations n’avaient été qu’une mise en scène.
C’était elle, son défunt époux et leurs enfants qui, avoua-t-elle, étaient derrière chaque coup frappé à Borley, chaque apparition, chaque bruit de cloche ou de chaîne et qu’ils s’étaient amusés comme des petits fous de la crédulité de leurs concitoyens.
C’était elle, Marianne, qui avait tracé les inscriptions sur les murs du presbytère, collé des champignons entre les poutres, utilisé du sang frais de porc pour provoquer les mystérieux suintements.
Elle avoua en riant que l’idée de ces mystifications leur était venue après une rencontre au cours d’une soirée chez des amis, de trois des enfants et petits-enfants d’Henry Bull, le constructeur du presbytère.
Ces personnes déjà âgées racontaient avec gourmandise les souvenirs de leur jeunesse au cours de laquelle ils avaient mystifié leurs parents, leurs domestiques et tous les habitants de la contrée.
Elles riaient encore de leurs promenades nocturnes déguisées en spectres sous couvert de leurs draps, de leurs mises en scène lumineuses grâce à des feux de bengale, à leurs jets de pierres, leurs poursuites dans les greniers, les boules puantes répandues dans les bénitiers…

Où est la vérité ?

 

 

Les adeptes de mystère, de paranormal et de hantises vexés, prétendirent que bien avant la construction du presbytère, un sentier menant à l’église était connu sous le nom du «sentier de la nonne», en souvenir du fantôme d’une religieuse qui y aurait maintes fois été aperçu.
Et de nos jours encore, l’église de Borley serait le théâtre de manifestations étranges. C’est du moins ce que l’on dit.
En 1995, David Bamber prit une photo semblant montrer Harry Price flottant au-dessus d’une pierre tombale.
Le même publia en 1999 une photo de ce qui pouvait passer pour une silhouette de nonne dans les arbres.
Harry Price, le célèbre chasseur de fantômes qui avait démasqué tant de faux médiums, élucidé tant de hantises truquées, s’était-il laissé prendre à son propre jeu lorsqu’il publia son témoignage, étayant sa crédulité de minutieuses constatations.
Pour l’occasion, il avait employé un appareillage moderne : enregistreurs, caméras, éclairage infra-rouge.
Pour l’éminent spécialiste de la question qu’il prétendait être ­ son étude fit d’ailleurs l’objet du film Qui hante le presbytère de Borley? ­ il ne faisait aucun doute : les lieux étaient bel et bien infestés par des entités et que ces phénomènes mystérieux constituaient même l’une des plus évidentes preuves de l’existence des fantômes.
Après la mort d’Harry Price survenue en 1948, certains de ses anciens collaborateurs alimentèrent la controverse en l’accusant d’avoir amplifié les événements insolites du presbytère et bidonné à son tour pour faire vendre ses livres.
Laissons le dernier mot à Lilian Amstrong-Bailey une célèbre voyante et médium britannique qui affirma avoir reçu un message de l’au-delà signé «Harry Price.» Cette communication pleine d’humour disait : Le presbytère est vraiment hanté. Borley le prouvera de lui-même et je serai vengé, même si pour ce faire, je dois y revenir et m’y manifester moi-même…
Pierre Genève 1999



SOURCES:

  • BONNET (Roland) : Le presbytère de Borley, in « Science & Magie », 1992.
  • DINGWALL-KATHLEEN (Eric J.), GOLDNEY (M.) et HALL (Trevor H.) : Le prebytère hanté de Borley, Collection La Tour Saint-Jacques, Denoël, 1958.
  • DÔLE (Gérard) : Les spectres de Cheyne Walk, Éditions Terre de Brume, 2005.
  • GENÈVE (Pierre) : Les sœurs Fox, le presbytère de Borley, la maison du diable d’Amytiville, trois canulars médiatiques ? Éditions Euredif, Collection Mandragore, 1973.
  • GENÈVE (Pierre) : Les fantômes et apparitions de Borley, In Le Monde du Mystère, 1994.
  • POPE (Terence J.) : Borley’s fantasies, Birmingham, 1929.
  • PRICE (Harry) : La maison la plus hantée d’Angleterre, 1940
  • PRICE (Harry) : La fin du presbytère de Borley, 1946.
  • SELFORD (Maria) : Borley, six siècles de hantises, Thèse de doctorat, Université de Berkeley, 1963.
  • VALENTIN (Olivier) : Qui hante le presbytère de Borley? http://www.maisonhantee.com/files/borley
  • YONNET (Jacques) : Les grandes mystifications in « Radar », 1947.
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Les chats et la télépathie de nombreux témoignages

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Il arrive assez souvent que la presse nous rapporte l’incroyable aventure d’un chat qui aurait parcouru des centaines voire des milliers de kilomètres, pendant plusieurs mois ou années, pour retrouver son ou ses maître(s).

Voici quelques histoires incroyables :

En avril 1977, Pompon, réapparaît chez ses maîtres à Fontainebleau. Il semblerait que celui-ci soit parti de Sanary, dans le Var, à plus de 900 kilomètres, deux années auparavant.

En 1978, Minouche s’échappe de la voiture de ses maîtres, près de Vierzon. Onze mois plus tard, il regagne le domicile de ceux-ci, à Dôle qui se trouve à plus de 400 kilomètres de distance. Il est très amaigri, affamé, ses griffes sont abimées.

En Australie, un chat aurait parcouru 2400 kilomètres pour regagner son domicile : ses maîtres l’auraient perdu en faisant du camping. Ces derniers auraient déclaré que le chat était affreusement maigre et sentait très mauvais. Cependant, à l’appel de son nom, les yeux du chat s’éclairaient et il se mettait à ronronner ». Cette histoire est d’autant plus étrange que le chat n’est guère amateur de longues marches.

L’histoire de Sugar est encore plus incroyable. Ce chat persan vivait en Californie avec ses maîtres, lesquels déménagèrent pour l’Oklahoma. Après plusieurs heures de route, ils s’aperçurent qu’il avait disparu de l’arrière de la voiture : il aurait sauté par la vitre ouverte. La famille ne sachant à quel endroit il s’était échappé, continua sa route et atteignit l’Oklahoma. Quatorze mois plus tard, les propriétaires de Sugar ont eu la stupéfaction de le voir entrer par la fenêtre de la cuisine. Selon les propriétaires de l’animal, aucun doute n’est possible : le chat qui vient de réapparaître à bien à l’articulation de la hanche une excroissance osseuse qui identifie parfaitement Sugar. En dépit de la longueur du trajet accompli (plus de 2500 kilomètres) le chat semble être en bon état.

Dans le livre de Jean Prieur, L’âme des animaux (Laffont, 1986), l’auteur cite la véridique aventure d’Amado. Cette chatte parcourut 25 kilomètres…en étant totalement aveugle ! Amado appartenait à une vieille fermière de Provence qui, croyant sa fin arrivée, la confia à une amie qui habitait sur l’autre rive du Rhône. Quinze jours plus tard, l’ancienne maîtresse de la chatte entend des gémissements devant sa porte d’entrée. Elle reconnaît avec stupeur Amado, en très piteux état.

 

Plus récemment un chat nommé Karim a parcouru environ 3000 kilomètres pour retrouver sa famille ! Déménageant de l’Ouzbékistan à la Russie, Ravila Hairova avait jugé plus raisonnable de laisser son animal dans sa ville de départ. Elle l’a donc confié à ses voisins afin qu’il ne soit pas trop désorienté. La famille s’est alors rendue en Russie, où elle a emménagé dans une nouvelle maison. Elle apprend, quelques jours plus tard, très attristée, que Karim s’est enfuit de sa nouvelle demeure. Deux ans plus tard, Ravila Hairova marche le long de la route pour se rendre chez elle. Elle aperçoit un chat qui semble l’attendre. En s’approchant, elle se rend compte que l’animal n’est autre que… Karim, le chat dont ils n’avaient pas de nouvelles depuis 2 ans ! Karim était très amaigri et semblait exténué.

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Combustion spontanée : le 1er cas recensé

Le premier cas recensé de combustion humaine spontanée eut lieu en Italie dans les environs de Verone ; au soir du 4 avril 1731 la comtesse Cornelia Bandi 62 ans dîne tranquillement en compagnie du chanoine Bianchini puis part se coucher. Le lendemain matin les domestiques qui pénètrent dans sa chambre sont saisis de stupeur : « le plancher de la chambre , précise la gazette locale, était parsemé de grosses taches d’apparence humide et gluante tandis qu’un liquide gras, jaunâtre, écoeurant, coulait le long de la fenêtre emplissant la pièce d’une odeur répugnante ». La camériste remarque qu’une fine couche de suie recouvre le meubles, quant à la comtesse Bandi elle gisait près de son lit où plutôt ce qui restait d’elle : un petit tas de cendre, ses deux jambes et un morceau de sa boîte crânienne, réduit par la force de la combustion. Les autorités et le médecin légiste sont perplexes, le magistrat se contentera de noter dans son rapport « un feu mystérieux semble s’être allumé spontanément dans la poitrine de la comtesse » et l’on se résoudra à classer le dossier pour toujours.

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L’histoire vraie du film Sixième sens

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Possédée après l’usage d’une planche Ouija

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On ne le répétera pas assez, l’usage d’une planche Ouija est très risquée et peut entraîner de graves conséquences sur l’utilisateur voire même des possessions démoniaques.



Patricia Quispe, une jeune péruvienne de 18 ans vivant à Lima, l’a malheureusement appris à ses dépens. Après s’être amusée à invoquer des esprits avec ses amis à l’aide d’une table de Ouija virtuelle,  la jeune fille s’est retrouvée comme « possédée par la diable ». D’après ses parents, une fois rentrée à la maison familiale, elle a commencé à avoir des convulsions, de l’écume dans la bouche et à parler avec une voix d’outre tombe, profonde et très rauque.

Inquiets, ses parents se sont alors empressés d’appeler les urgences.

 

Les médecins sont parvenus à maîtriser Patricia Quispe au bout d’une demie heure d’effort.

« D’une voix profonde, elle a crié « 666 » suivi de « laissez-moi partir, laissez-moi aller », témoigne l’un des docteurs

Patricia a ensuite été transférée à un service psychiatrique pour une évaluation plus approfondie de son état.

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La maison hantée de Villeneuve d’ascq

Villeneuve d’Ascq : la maison hantée d’Hempempont détruite

PARANORMAL – La rumeur évoquait des cris de fantômes et de mystérieux pendus. Connue partout en France, la bâtisse de 1939 a été rasée, ce lundi, par une église évangélique, propriétaire des lieux. Fin 2014, la maison avait été incendiée après un cambriolage.

Elle aura fait beaucoup parler d’elle. La célèbre maison hantée d’Hempempont à Villeneuve d’Ascq a été entièrement détruite ce lundi. Depuis 2006, elle était occupée par une église évangélique, propriétaire des lieux, qui n’avait rien révéler de paranormal depuis son installation.

Fin 2014, la bâtisse avait été victime d’un incendie volontaire, après un cambriolage. Pendant des années, des rumeurs ont évoqué des phénomènes paranormaux. Des bruits de fantôme en passant par de mystérieuses pendaisons.

Des sons de pleurs d’enfant

« Un enfant de 5 ans est décédé dans cette maison de 1939, nous indiquait Ludivine Fasseu, auteur du livre « Maisons hantées et autres lieux étranges en Nord-Pas-de-Calais ». Après ce drame, des gens ont relayé des témoignages indiquant de bruits de pas inexpliqués ou encore des sons de pleurs d’enfant. Trois hommes se seraient également  pendus dans la chambre de l’enfant défunt. »

Selon France 3 NPDC, le chef de l’église évangélique n’est pas encore en mesure de certifier si un nouveau temple sera reconstruit à cet endroit. Dans tous les cas, il espère que cette démolition mettra un terme à ces rumeurs de malédiction. Comme en atteste ce reportage diffusé par Direct 8 ci-dessous.

 

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L’ancrage : une excellente technique pour ceux qui pensent trop

 

Attention : la technique que vous allez découvrir peut à elle seule changer beaucoup de choses dans votre vie !

 

Pour qui est l’ancrage ?

Alors déjà, quand je dis que c’est «une technique pour ceux qui pensent trop», en fait je pense qu’elle sera utile pour à peu près tout le monde !

Si vous venez sur ce site pour trouver plus de sérénité, alors vous avez sûrement un grand besoin d’apprendre et surtout de pratiquer cette technique de l’ancrage.

 

«Ancrage», «être ancré», « s’enraciner »… ça veut dire quoi tout ça??

Être ancré, c’est être connecté à la terre. C’est se sentir relié. C’est sentir cette connexion profonde qui existe entre nous et la terre, et être dans l’acceptation du moment présent.

Être ancré, en gros, c’est aussi sortir de ses pensées et prendre conscience de son corps dans son intégralité. C’est donc accepter pleinement son corps tel qu’il est et en prendre soin.

C’est habiter complètement ce corps qui est le nôtre et accepter de vivre notre vie ici sur terre.

Un synonyme de s’ancrer est s’enraciner. S’ancrer, c’est s’enraciner dans le sol, dans la terre, dans le réel, dans la matière, dans le présent, dans l’ici et maintenant…peu importe les noms que vous utilisez.

S’ancrer, c’est sortir sa conscience de sa tête … et l’installer dans ses pieds.

C’est sortir du monde des rêves, des pensées, de l’imaginaire, du spirituel… et revenir dans le monde terrestre, réel, corporel, le monde de la matière. C’est être pleinement là, dans le monde physique.

Car plus on est dans sa tête, plus on pense.
Et plus on pense, plus on est dans sa tête.
Et plus on est dans sa tête, moins on est ancré.
Et moins on est ancré… moins on est heureux.

Un bon ancrage peut vous apporter énormément.

 

L’ancrage et moi

J’avais découvert cette technique il y a quelques temps, et je l’avais beaucoup pratiqué. Autant vous dire que ma vie s’était grandement améliorée.

Je me sentais plus en sécurité, j’avais plus de confiance, et j’ai réalisé de beaux projets (tels que la création de ce blog).

Beaucoup de mes pensées inutiles se sont tues, et j’ai apprécié de plus en plus d’être en paix dans l’instant présent, libéré de toutes ces pensées néfastes (pour apprendre à gérer vos pensées négatives, vous pouvez aussi lire cet article).

Depuis quelques temps, je n’ai pas pris le temps de pratiquer cette technique, et bien je peux vous dire que je l’ai ressenti. J’ai recommencé à avoir des tonnes et des tonnes de pensées et cela me «chauffait la tête». J’avais beaucoup d’idées, mais je n’arrivais pas à en concrétiser une seule ! Je sentais bien que je devenais moins serein, moins efficace, moins confiant et un peu plus stressé.

Pourquoi? Car j’étais beaucoup trop dans la tête, et de moins en moins enraciné dans le sol.

 

À quoi ça sert d’être ancré ?

Cela peut vous apporter de nombreux bienfaits, comme par exemple :

  • D’avoir moins de pensées négatives
  • De vous sentir plus en sécurité
  • D’être moins angoissé et d’aborder une crise d’angoisse plus sereinement
  • D’être moins fatigué et d’avoir plus d’énergie
  • De régler certains problèmes de déréalisation ou l’impression que l’on devient fou
  • De soulager tout un tas de problèmes tels que migraines, stress, pensées suicidaires
  • D’être serein ici et maintenant, peu importe l’endroit où vous êtes
  • D’être plus confiant et plus positif, peu importe la situation qui se présente
  • De vous sentir à votre place
  • De lacher prise plus facilement
  • D’accomplir plus facilement vos projets, vos rêves
  • De mieux vous sentir dans votre corps
  • D’accepter la vie et de moins lui résister

La technique de l’ancrage va vous permettre de vous enraciner bien profondément dans le sol, ce qui vous permettra ainsi de ne pas vous faire emporter, chahuter, chavirer… au premier petit coup de vent qui se présente.

En pratiquant l’enracinement, on développe notre sérénité, notre confiance et notre sentiment de sécurité quel que soit l’endroit où nous sommes ou quel que soit la situation que nous traversons ! On se sent plus confiant, et plus solide sur ses pieds. Il y a vraiment une vie «avec» ancrage, et une vie sans.

Vous vous souvenez peut-être, dans l’article «moins d’angoisse grâce à l’instant présent», je vous disais de penser à vos pieds. Et bien c’était pour vous faire sortir de votre tête et vous aider à mieux vous ancrer dans le présent.

Avec la technique de l’ancrage, le but est le même mais on va aller beaucoup plus loin que cela.

 

Comment faire pour s’ancrer ?

Alors il y a différentes façons de travailler son enracinement et de ressentir tous ces bienfaits. Donc avant de vous parler de la technique d’ancrage, voici déjà un aperçu de plusieurs activités qui vont vous permettre de vous ancrer plus solidement :

  • Les activités sportives car elles font travailler le corps, élément essentiel de l’ancrage : marche, course …
  • Les amis, l’amour, le rire
  • Les activités de méditation , marche en conscience et toutes activités effectuées en pleine conscience (telles que les exercices du livre «la sérénité de l’instant»)
  • Les activités artistiques et corporelles : musique, danse, yoga, Taï chi, Qi qong…
  • Toute activité qui prend soin du corps : massage, relaxation, étirements, cuisine saine…
  • Mais aussi et surtout tout ce qui permet un contact avec la nature : balade en forêt, à la campagne, en montagne, jardinage, se baigner dans la mer, en rivière…

Vous l’aurez compris : toute activité où le corps et la nature sont impliqués favorise l’ancrage.

Donc dès que votre activité mentale s’emballe un peu trop, vous avez le choix : sortez vous balader en forêt, jardinez, faites des étirements, riez un bon coup, jouez de la guitare, parlez à votre fleur, allez embrasser un arbre (je ne rigole pas)… et si possible, faites cela en pensant à vos pieds !

Plus votre conscience est loin de votre tête, plus vous êtes ancré.
Donc plus vous pensez à vos pieds, et plus vous êtes enraciné.

 

La technique d’ancrage énergétique par la visualisation

Tout cela est déjà très efficace mais il y a malheureusement des situations ou cela ne suffit pas… Comment faire quand on est quelque part et où planter une rose ou faire un pas de danse ne sont pas dans nos options?

Comment faire quand on est en déplacement, au bureau, ou que l’on doit faire une présentation par exemple?

C’est là qu’intervient la technique d’ancrage énergétique aussi appelée méditation de l’arbre. C’est en fait une simple technique de visualisation mais qui est incroyablement efficace !

 

Voici la puissante technique que je vous conseille de pratiquer :

Vous pouvez le faire assis ou debout. L’important est d’avoir les pieds bien à plat sur le sol.

Vos pieds sont bien posés sur le sol, et créent un contact puissant avec la terre.

Commencez par effectuer 3-4 mouvements de respiration abdominale pour vous détendre (si vous ne savez pas comment pratiquer cette respiration, vous pouvez commencer par lire cet article).

Maintenant, les yeux fermés de préférence, vous allez imaginer que des racines sortent de vos pieds et commencent à s’enfoncer dans le sol.

Ces racines commencent à vous relier très profondément avec le sol. Si vous êtes assis, ces racines partent non seulement de vos pieds mais aussi des pieds de la chaise, de vos chevilles, de vos cuisses…

Tout en continuant votre respiration profonde, vous imaginez que ces racines vont de plus en plus profondément dans le sol. Elles sont de plus en plus grosses.

À chaque inspiration, vous visualisez l’énergie de la terre qui remonte en vous. Cette énergie arrive de la terre, passe par vos racines, jusqu’à vos pieds, et remonte en vous.

À chaque expiration, vos racines s’étendent encore plus loin et encore plus profond vers le centre de la terre.

Ces racines commencent par englober de plus en plus d’espace, et englobent maintenant votre ville toute entière. Puis votre région toute entière. Votre pays tout entier.

Vos racines englobent maintenant la terre toute entière et vont jusqu’à son noyau. Vous êtes maintenant parfaitement relié avec la terre. La puissante énergie du noyau de la terre remonte jusqu’à vos pieds, puis jusqu’à votre cœur et vous traverse tout entier. Cela vous nourrit et vous donne de la confiance, de la puissance, et de la sérénité.

Là, bien enraciné, bien ancré dans le centre de la terre, vous allez y déposer une intention sur quelque chose que vous souhaitez voir apparaître dans votre vie.

Par exemple, dans le centre de la terre, vous allez émettre l’intention suivante : « je suis en sécurité, ici et maintenant » (cette intention est très puissante et je l’utilise beaucoup).

Vous vous sentez maintenant profondément relié avec la terre et en totale sécurité.

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Je vous garantis que si vous faites cet exercice une fois par jour pendant ne serait-ce qu’une semaine, vous allez déjà ressentir de puissants bienfaits.

Encore une fois, j’insiste sur un point : plus vous le faites, et plus les résultats seront importants. Et faîtes-moi confiance, cet exercice est bien plus qu’un simple exercice de visualisation.

C’est un magnifique exercice qui donne des résultats impressionnants.
Alors à vous de jouer maintenant!

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