les 10 clés du bonheur

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1. Écoutez la sagesse de votre corps qui se traduit par des signaux de confort et d’inconfort. Lors du choix d’un certain comportement, demandez à votre corps, « Comment te sens—tu à ce sujet? » Si votre corps envoie un signal de détresse physique ou émotionnelle, faites attention. Si votre corps envoie un signal de confort et d’empressement, allez-y. 2. Vivez dans le présent, car c’est le seul moment que vous avez. Gardez votre attention sur ce qui est ici et maintenant. Cherchez la plénitude dans chaque moment. Acceptez ce qui vient à vous totalement et complètement de sorte que vous pouvez apprécier, apprendre de lui, puis laissez-le aller. Le présent est comme il se doit. Il reflète les lois infinies de la nature qui vous ont apporté cette pensée exacte, cette réponse physique exacte. Ce moment est tel qu’il est parce que l’univers est comme il est. Ne luttez pas contre le système infini des choses. A la place, ne faites qu’un avec lui.

3. Prenez le temps de vous taire, de méditer, de calmer le dialogue interne. Dans les moments de silence, réalisez que vous recontactez votre source de conscience pure. Prêtez attention à votre vie intérieure de sorte que vous puissiez être guidé par l’intuition plutôt que des interprétations imposées de l’extérieur de ce qui est ou pas bon pour vous.

4. Renoncez à votre besoin d’approbation externe. Vous êtes seul juge de votre valeur, et votre but est de découvrir une valeur infinie en vous-même, peu importe ce que pense autrui. Il y a une grande liberté dans cette réalisation.

5. Lorsque vous réalisez que vous réagissez avec colère ou en opposition à toute personne ou toute circonstance, prenez conscience que vous luttez seulement qu’avec vous-même. Le fait de mettre en place de la résistance est la réponse de défenses créées par de vieilles blessures. Lorsque vous renoncerez à cette colère, vous serez votre propre guérison et coopérerez avec le flux de l’univers.

6. Sachez que le monde « là dehors » reflète votre réalité « ici. » Les personnes avec lesquelles vous réagissez le plus fortement, que ce soit avec de l’amour ou de la haine, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus est ce que vous niez le plus en vous-même. Ce que vous aimez le plus est ce que vous souhaitez le plus en vous-même. Utilisez le miroir des relations pour guider votre évolution. L’objectif est la connaissance du soi total. Lorsque vous atteignez cela, ce que vous voulez le plus apparaitra automatiquement, et ce envers quoi vous avez le plus d’aversion disparaîtra.

7. Débarrassez-vous du fardeau de jugement — vous vous sentirez beaucoup plus léger. Le jugement impose le bien et le mal sur des situations qui sont, tout simplement. Tout peut être compris et pardonné, mais quand vous jugez, vous vous coupez de votre compréhension et stoppez le processus d’apprendre à aimer. En jugeant les autres, vous réfléchissez votre manque d’acceptation de soi. Rappelez-vous que chaque personne à qui vous pardonnez ajoute à l’amour de soi.

Frédérique shine medium – prédiction coronavirus www.frederiqueshine.com




8. Ne contaminez pas votre corps par des toxines, soit avec la nourriture, la boisson, ou les émotions toxiques. Votre corps est plus qu’un système de survie. Il est le véhicule qui vous transportera sur le chemin de votre évolution. La santé de chaque cellule contribue directement à votre état d’être ainsi, parce que chaque cellule est un point de prise de conscience dans le domaine de la sensibilisation qui est vous.

9. Remplacez le comportement motivé par la peur par le comportement motivé par l’amour. La peur est le produit de la mémoire qui réside dans le passé. Se souvenir de ce qui nous a fait mal avant, nous dirige vers nos énergies veillant à ce qu’une vieille blessure ne se répète pas. Mais essayer d’imposer le passé au présent ne fera jamais disparaître la menace d’être blessé. Cela arrive seulement quand vous trouvez la sécurité de votre propre être qui est l’amour. Motivé par la vérité à l’intérieur de vous, vous pouvez faire face à toute menace parce que votre force intérieure est invulnérable à la peur.

10. Comprenez que le monde physique est juste le miroir d’une intelligence profonde. L’intelligence est l’organisatrice invisible de toute matière et de toute énergie, et depuis une partie de cette intelligence réside en vous, que vous partagez dans le pouvoir d’organisation du cosmos. Parce que vous êtes relié de manière indissociable de tout, vous ne pouvez pas vous permettre de polluer l’air et l’eau de la planète. Mais à un niveau plus profond, vous ne pouvez pas vous permettre de vivre avec un esprit toxique, parce que chaque pensée provoque une impression sur l’ensemble du domaine de l’intelligence. Vivre en équilibre dans la pureté est le plus grand bien pour vous et pour la Terre.

 
Deepak Chopra
Titre original: Ten Keys to Happiness
Source traduction:www.humanitysteam.fr
Livre de Deepak Chopra
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Un médicament qui guéri plus de 50 maladies: Le thé qui tue les parasites et nettoie le corps des toxines

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Il est scientifiquement prouvé que  ces ingrédients les plus puissants peuvent vous aider dans la prévention et le traitement du cancer et la démence
 




Le curcuma est utilisé en Inde depuis long temps, et avec lui les poisons du corps sont facilement enlevés, et il est utile dans des nausées, des vomissements et d’autres maladies. Aujourd’hui, il est même scientifiquement prouvé que ces ingrédients peuvent vous aider dans la prévention et le traitement du cancer et la démence. Préparer ce remède qui guérit plus de cinquante maladies.

Ingrédients:

  • Une demi-cuillère à soupe de gingembre
  • Une demi-cuillère à soupe de cannelle
  • 1/6 cuillères à café de  curcuma
  • Une pincée de cardamome
  • 500 ml de l’eau
  • Une demi-tasse de lait
  • Un peu de miel, si vous le souhaitez
Préparation:
Mélanger toutes les épices et verser les 500 ml d’eau bouillante. Mélangez bien et éventuellement ajouter le lait chaud.
 
Vous pouvez boire ce thé toute la journée sans aucun effet secondaire ou de surdosage.

Source

GUIDE DE LA SYNERGIE ALIMENTAIRE

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Chanvre Indien ( cannabis ) les vertus pour soigner

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Chanvre Indien, Cannabis sativa ou indica, Cannabacées

Description:
Le Chanvre Indien ou Cannabis est une plante annuelle buissonnante pouvant atteindre 4 m de haut.
Ses tiges portent des feuilles palmées à 5 folioles dentées aisément reconnaissables. Les plantes mâles portent des bouquets de petites fleurs, alors que les plantes femelles portent des bractées duveteuses persistantes qui laissent la place à des graines. Les tiges du Chanvre peuvent être utilisées pour produire des cordes et des fibres textiles (comme le tissu d’origine du blue jean).

Attention: Le Chanvre Indien ou Cannabis est une drogue, illégale dans la plupart des pays, autorisé dans d’autres. Il n’en reste pas moins qu’il est toxique. A ne pas utiliser en auto médication donc.

Propriétés Médicinales:
On utilise les sommités fleuries et la résine du Chanvre Indien, uniquement en usage interne.
Le Chanvre Indien est utilisé pour traiter les affections douloureuses du tube digestif (ulcère, cancer), les affections des voies respiratoires (asthme, emphysème, bronchite chronique), les névralgies, les migraines, les affections urinaires et les troubles psychiques (cauchemars, neurasthénie, hystérie).
Pour tout cela vous pouvez prendre de l’extrait alcoolique de Chanvre Indien, sous forme de potion ou de pilules, à raison de 5 g par tranche de 24 h. Ou vous pouvez prendre de la teinture de Chanvre Indien au 1/10 à raison de 0,50 à 1 g par jour, ou le fumer sous forme de cigarettes.
Depuis peu et dans certains pays anglo­saxons, le Chanvre Indien est utilisé pour soulager la douleur et redonner de l’appétit aux personnes atteintes de cancer ou du SIDA. Des études sont en cours pour prouver les constatations empiriques et extraire le ou les principes actifs qui entrent en jeu afin d’en faire des médicaments plus conventionnels, qui n’auraient pas les problèmes de toxicité du Chanvre Indien.

Magie et Sorcellerie:
o Genre: Féminin
o Planète: Saturne
o Élément: Eau

Propriétés Magiques:
Le Chanvre Indien était auparavant largement utilisé en magie. Suite aux lois restreignant son utilisation et sa vente entrées en vigueur un peu partout dans les années 30, beaucoup de ces pratiques ont disparu.
Les premières traces du Chanvre Indien cultivé datent apparemment du 3e millénaire avant J.­C. Les anciens Chinois, Hindous, Scythes, Thraces et bien d’autres fumaient du Cannabis et du haschich, et mangeaient les feuilles pour leurs effets hallucinogènes.
Le Chanvre Indien a longtemps été utilisé dans les rituels d’amour et de divination, ainsi que dans les onguents visant à faire des voyages astraux. On disposait des feuilles de Chanvre Indien autour des autels d’amour. Il entrait dans la composition de beaucoup d’encens de divination, la fumée de ceux-­ci ouvrant les sens psychiques. Il était conseillé de brûler de l’Armoise et du Chanvre Indien devant un
miroir magique pour obtenir des visions. Le Chanvre Indien était aussi ajouté aux encens de méditation.
En Chine, des fouets en Chanvre étaient utilisés comme de faux serpents, que l’on frappait contre les lits des malades pour éloigner les démons malicieux qui provoquent la maladie.

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Le cannabis est-il un traitement alternatif efficace contre le glaucome ?




Le glaucome est une maladie qui affecte le nerf optique, et qui provoque une perte progressive de la vision démarrant en périphérie et s’étendant vers le centre du globe oculaire. Très souvent, cela se produit en raison d’une pression intra-oculaire élevée, qui a pour conséquence d’endommager les fibres du nerf optique et de la rétine, provoquant de fait la perte progressive de la vision. Il est également possible d’avoir une pression intra-oculaire normale mais de subir une nécrose des cellules du nerf optique et de la rétine en raison d’une circulation sanguine insuffisante, résultant en une perte de vision similaire. Le glaucome est l’une des principales causes de cécité partout dans le monde, et touche 1 personne sur 40 chez les plus de 40 ans, et 1 sur 15 chez les plus de 75 ans.

Dans le cas de glaucomes provoqués par une pression intra-oculaire élevée, il existe plusieurs types de traitements, mais qui dans certains cas ne font pas baisser ladite pression de manière suffisante, ou encore provoquent des effets secondaires parfois très lourds.

L’utilisation de la marijuana pour soulager les patients atteints de glaucomes pour qui les autres traitements n’ont pas été efficaces est un vaste sujet toujours en discussion, et faisant toujours l’objet d’études fréquentes. Toutefois, il a déjà été confirmé à plusieurs reprises que la consommation de cannabis a des effets plus efficaces que les traitements actuellement préconisés par la médecine traditionnelle, avec quelques points importants à considérer.

Le THC, c’est-à-dire la principale molécule psychoactive contenue dans le cannabis, est à l’origine du soulagement de la pression sur les nerfs optiques. Il est donc généralement conseillé aux patients optant pour le cannabis médical dans le cas d’un glaucome d’utiliser une variété de cannabis à haute teneur en THC pour obtenir les meilleurs résultats possibles. Cependant, il est important de noter que les effets psychoactifs auront un certain impact sur le patient.

A ce stade de la recherche scientifique sur le sujet, les options disponibles sont d’inhaler la substance, ou encore d’opter pour des pilules ou des doses à placer sous la langue. Dans tous les cas, le THC aura un effet psychoactif sur le patient, avec des effets secondaires variés liés à la consommation de la substance de manière générale, tels que somnolence, temporaire baisse de la réactivité, etc.




L’effet d’une dose de cannabis (une cigarette, une pilule, etc) dure de 3 à 4 heures, cela signifie donc que le patient devra renouveler la prise du traitement plusieurs fois par jour si cela s’applique à son cas et à la sévérité des symptômes subis. Ce paramètre est à prendre sérieusement en compte en fonction des activités professionnelles ou personnelles de la personne sous traitement, mais reste une solution alternative plus qu’appropriée comparée aux autres traitements proposés, lorsque ces derniers ont échoué.

Source : Weed Seed Shop

Le cannabis, traitement complémentaire contre la sclérose en plaques ?

La sclérose en plaques est une maladie auto-immune chronique qui affecte les cellules nerveuses situées dans le cerveau, la moelle épinière et le nerf optique. Elle empêche certaines parties du système nerveux de communiquer correctement, provoquant des attaques aux symptômes variés, et qui impactent le patient physiquement, mentalement, et peuvent aussi provoquer des problèmes de nature psychiatrique.

Les attaques et leurs symptômes peuvent disparaitre temporairement, mais les dommages neurologiques sont permanents, et s’accroissent avec le temps, et en fonction de l’évolution de la maladie chez le patient.

La médecine traditionnelle propose des traitements qui permettent de prévenir les attaques, ou encore d’améliorer la réponse de l’organisme à une attaque. Toutefois, ces traitements ne sont que relativement efficaces ; en outre il n’est pas rare que le patient ne supporte pas les effets secondaires qui vont de pair avec ces traitements, rendant la vie quotidienne difficile.

Parmi les symptômes les plus courants, on trouve la rigidité musculaire, les spasmes musculaires et tremblements, ainsi que la perte de mémoire. Bien que la consommation de cannabis ait été un traitement alternatif pour les patients souffrant de sclérose en plaques depuis des décennies, ce n’est qu’en l’an 2000 que des scientifiques ont pu prouver que le cannabis, dans sa forme synthétique comme directement issue de la plante, soulage plus efficacement que les traitements traditionnels les tremblements, les spasmes musculaires, et a également un impact positif sur les douleurs névralgiques et la perte de mémoire.

Bien que certains patients aient expérimenté certains effets secondaires (somnolence, nausées, impact sur la mémoire à long terme), il a été prouvé que le traitement peut être calibré selon les besoins de chaque patient, avec des cannabinoides différents en fonction de la tolérance personnelle.
Le cannabis est donc un traitement palliatif plus qu’efficace, ce qui a motivé la communauté scientifique à envisager un éventail de possibilité plus larges, notamment concernant le cannabis en tant que traitement curatif. Malheureusement, les études réalisées en ce sens ne sont guère concluantes.
Il existe des sprays buccaux destinés à soulager les patients à la recherche d’un traitement palliatif dans le but de soulager leurs symptômes, et qui sont autorisés dans de nombreux pays. Compte tenu du paramètre changeant de la tolérance aux cannabinoides qui peut varier grandement d’une personne à l’autre, la recherche travaille quotidiennement à améliorer ces traitements palliatifs.

Il reste toutefois la solution de la consommation de cannabis par le biais de l’inhalation, qui permet davantage de nuances et variations, et qui permet pour qui réside dans un pays l’autorisant, de cultiver ses plantes de cannabis à domicile.

Sensi Seeds

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Le lait, c’est mauvais pour la santé

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Le lait, c’est mauvais pour la santé

Le lait de vache convient aux veaux, qui prennent des dizaines de kilos en quelques mois et pèsent près d’une demi-tonne à l’âge de deux ans.

Quoi qu’en dise la propagande de l’industrie laitière, il n’est pas « naturel » pour l’homme de boire du lait de vache.

Aucune espèce autre que la nôtre ne continue à boire du lait après la petite enfance. Aucune espèce ne se nourrit spontanément du lait d’une autre espèce.

Le lait de vache est saturé en graisses (50 % de graisses en plus que le lait humain) et en cholestérol et contribue donc à l’obésité.

Lait et ostéoporose

La maladie même que le lait est censé combattre, l’ostéoporose, est liée à la consommation de lait, à cause de la décalcification que provoque une alimentation trop riche en protéines (le lait de vache contient environ trois fois plus de protéines que le lait humain).

Les végétaux suffisent pour satisfaire nos besoins en calcium. Légumes à feuilles (brocoli, choux de Bruxelles, chou frisé, chou chinois, etc.), tofu, légumineuses ou céréales en sont d’excellentes sources. Le calcium des laitages est d’ailleurs absorbé à 32 % alors que celui des de certains légumes peut aller jusqu’à 61 %. Cent grammes de chou chinois apportent à l’organisme plus de calcium qu’un verre de lait.

Allergies et maladies…

Il a par ailleurs été clairement établi que la consommation de lait favorise le développement de maladies cardiovasculaires, de certains types de cancers et du diabète.

Quatre-vingt dix pour cent des asthmatiques auxquels une alimentation sans viande, ni œufs ni produits laitiers a été conseillée ont constaté une diminution de la fréquence et de la gravité des crises. Facteurs majeurs d’allergies alimentaires, les produits laitiers sont également associés à l’insuffisance cardiaque, la tétanie néonatale, l’inflammation des amygdales, la rectocolite hémorragique, la maladie de Hodgkin ainsi qu’à des troubles gastro-intestinaux, respiratoires, dermatologiques et comportementaux.

Du pus dans le lait !

Ce que l’on sait encore moins, c’est que le lait contient aussi du pus, pudiquement appelé « cellules somatiques ».

C’est en effet par ces cellules somatiques que se traduisent les mastites à répétition dont sont victimes un tiers des vaches laitières.

Le taux de cellules somatiques d’un lait sain est inférieur à 100 000/ml, mais l’industrie laitière a le droit de mettre sur le marché du lait présentant un taux de 400 000/ml, taux qu’elle obtient en mélangeant des laits très contaminés avec des laits qui le sont moins.

On trouve aussi dans le lait des résidus anti-parasitaires, anti-inflammatoires, des pesticides et des aflatoxines fortement cancérigènes.

Source

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Enracinement – Shine Frédérique – Eveil Tv

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J’ai beaucoup parlé d’enracinement cette semaine j’ ai donc fait cette petite vidéo en supplément

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Pourquoi l’ego et le jugement nous empêchent d’atteindre nos objectifs

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Pourquoi l’ego et le jugement nous empêchent de rentrer en contact avec nos guides et abaissent nos énergies
Je ressentais le besoin aujourd’hui d’écrire ces quelques mots sur le sujet de l’ego et du jugement. Certains d’entre vous connaissent probablement déjà le sujet mais beaucoup d’autres personnes ne le savent pas.




L’humain a un ego sur dimensionné, il se croit la race au-dessus car il a la faculté d’utiliser ses deux mains, il peut construire des immeubles, il a inventé plusieurs machines électriques, il a inventé les avions (les oiseaux volent eux aussi), il a la capacité de décider de ce qu’il mange, de cuisiner, de mélanger les saveurs, il a créé la justice sur terre, en bref je ne vais pas faire ici la liste de ce que l’humain peut réaliser avec son cerveau et ses connaissances vous-même le savez 🙂


Si l’humain est la race au-dessus comme il le prétend si bien, alors pourquoi massacre t’il des milliards d’animaux pour se nourrir alors qu’il sait que tuer et faire souffrir est mal et qu’il peut se nourrir autrement, de nos jours avec internet et les vidéos qui circulent sur le sujet, plus personne ne peut affirmer qu’il n’est pas au courant de la souffrance causée par son alimentation. Il aime son chien mais mange le cochon qui a exactement le même ressenti et qui a les mêmes besoins d’amour que le chien.
Parlons aussi également de la peine de mort qui n’est pas abolie dans certains pays et que beaucoup de personnes même en Europe sont positifs à ce que la peine de mort soit rétablie.
L’être humain est consterné devant un meurtre commis par l’un de ses semblables, à ce moment la il est fâché, blessé, triste sur le fait qu’une personne soit morte sous les coups d’ autres personnes, alors il veut qu’à son tour l’assassin soit exécuté.
Quel paradoxe ! L’humain veut punir celui qui a tué en le tuant à son tour, c’est justement l’inverse de ce que nous devons faire, nous savons que tuer est mal, alors pourquoi vouloir tuer à notre tour !?




Tuer l’assassin est un mauvais exemple et une libération pour le tueur car il repart à la source et si on y réfléchit un peu, la pire des choses qui puisse arriver à un humain si on veut le punir est de le priver de liberté, un assassin se remettra bien plus en question en étant enfermé et non en le tuant à son tour, de plus c’est le but de la vie d’apprendre, de tomber et de se relever plus fort et d’apprendre toujours plus et évoluer, s’éveiller.


Maintenant parlons un peu de l’ego entre humains, de femmes à femmes, d’hommes
à hommes ou d’hommes à femmes et vice-versa. Avez – vous remarqué de votre entourage ou même venant de nous-mêmes que souvent les gens se complètent à critiquer comment l’autre est habillé, à sa façon de s’exprimer, à jalouser celui qui réussit dans la vie, à rabaisser celui qui galère pour y arriver, à toujours vouloir faire mieux que l’autre est de critiquer ce qu’il fait ?




Je vais vous raconter une anecdote, j’assiste régulièrement à des conférences sur le développement personnel et la spiritualité, il est vrai qu’il y a peu de jeunes dans ces endroits (j’ai 34 ans) je suis blonde et j’aime m’habiller à la mode comme beaucoup d’entre vous, en bref je m’habille en fonction de mon époque, figurez vous que l’on m’a déjà fait la remarque que j’avais un style qui ne correspond pas à qui je suis à l’intérieur, mes capacités, mes connaissances. Encore une fois le jugement et l’ego de l’humain dans toute sa splendeur ! Faut-il avoir un style vestimentaire pour pouvoir aider les gens ? Faut-il avoir un style précis pour avoir des ressentis médiumniques ou autres ?
Tous ces jugements que nous faisons au quotidien sur ce qui nous entoure, tous ces acquis sur quoi nous nous reposons, tous ces jugements que nous portons sur autrui, toutes ces choses que nous reprochons aux autres mais que nous voulons leur infliger nous rabaisse dans nos énergies et nous éloigne de notre chemin de vie.

La critique, le jugement, la jalousie, le mépris, la haine, empêchent de s’élever et d’être aligné, ils nous empêchent d’être en harmonie, pour pouvoir ressentir la présence de nos guides spirituels ce qu’on appelle aussi les êtres de lumière, les anges gardiens. Ce sont des entités pures qui vibrent sur un autre niveau que le nôtre ici-bas. Ils ne portent aucun jugement sur nous ou envers eux-mêmes, ce sont des êtres de lumière des êtres d’amour qui sont là pour nous guider tout au long de nos vies jusqu’à ce qu’on atteigne la perfection de l’âme c’est-à-dire la purification de notre âme, d’ailleurs on ne se réincarne plus sur terre au moment où notre âme a tout compris, pour vous donner un exemple et ne pas m’éterniser sur le sujet, quand notre âme arrive au niveau de bouddha nous nous réincarnons plus en être humain.

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Nous n’avons pas le droit de vouloir la mort de qui que ce soit, nous n’avons pas le droit de massacrer ces pauvres bêtes comme nous le faisons pour nous nourrir, ou pour nous vêtir, nous n’avons pas le droit de critiquer, de juger, d’envoyer des pensées de haine, tout ceci nous rend malheureux, nous empêche d’être heureux, nous empêche d’augmenter nos capacités à réaliser nos rêves, tout ceci nous empêche d’atteindre la purification qui nous permet de nous élever en tant qu’être et pour ceux qui désirent s’élever, augmenter leurs capacités, devenir guérisseurs, communiquer avec leurs guides pour aider les autres, être vraiment en harmonie dans son corps physique, ressentir des sensations de bien-être incroyable , ressentir les énergies de la terre …





Chaque jour, aidons une personne, remercions pour tout ce que l’on possède, notre maison, nos repas, nos amis chers, nos familles, nos animaux de compagnie qui nous font rire, nous donnent beaucoup d’amour, changeons notre alimentation afin de respecter toutes vies et ne plus causer de souffrances inutiles, faisons des compliments à ceux qui le méritent et en ont besoin pour les motiver dans leurs projets, dans leurs vies, disons-nous je t’aime, sourions à celui que l’on croise dans la rue.

Envoyons des pensées à la planète entière imaginons-nous ce monde parfait que nous voulons, et un jour nous l’aurons !

En vous purifiant et en maitrisant vos pensées vous verrez votre vie changer en positif

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Le pouvoir des pierres : les vertus du cristal de roche

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Nom : cristal de roche

Famille : quartz

Système cristallin : rhomboédrique

Composition chimique : dioxyde de silicium

Couleur : incolore et transparent

Symbole : la lumière

Chakra : tous les chakras

Le cristal de roche est une pierre minérale composée de dioxyde de silicium. Il fait parti de la famille des quartz et forme de grands cristaux incolores. C’est une pierre maîtresse de la lithothérapie car il est à la fois récepteur, émetteur et amplificateur. Le mot « cristal » vient du grec krystallos qui signifie « glace ». Les romains utilisaient des boules de cristal de roche pour se refroidir les mains en été. Au moyen-âge, Sainte Hildegarde de Bingen soignait les maladies de la glande thyroïde et des yeux avec du cristal de roche. On faisait également des boules de cristal de roche pour prédire l’avenir. Sur les chemins de Compostelle, les pèlerins emportaient avec eux des cristaux de roche pour lutter contre la fatigue et garder l’énergie nécessaire lors de leur pèlerinage.  Aujourd’hui, le cristal de roche est très utilisé par les scientifiques qui mettent à profit ses multiples propriétés dans la fabrication d’appareils électroniques, d’instruments de précision, de lampes et de lentilles.

Il existe une légende amérindienne qui affirme que treize cranes de cristal de roche sont cachés à travers le monde. Ces cranes renfermeraient le savoir du monde. Le jour où ces cranes seront réunis, ce savoir sera révélé. Plusieurs de ces cranes ont été trouvés dans les ruines de civilisations aztèques au début du siècle dernier.




Les vertus du cristal de roche
AVERTISSEMENT : Les propriétés, indications et modes d’utilisation citées sont issues des ouvrages ou sites Internet de référence. Ces informations sont données à titre informatif. Elles ne sauraient en aucun cas constituer une information médicale, ni engager notre responsabilité.
Le cristal de roche est la pierre de l’union entre la matière et l’immatérielle. Il est le symbole de la lumière et renforce les vertus des autres pierres. Il peut être appliqué sur tous les chakras pour n’importe quel usage. Il est une excellente pierre de méditation car il est un puissant amplificateur qui active les chakras, fait circuler les énergies et ré harmonise nos corps subtils. Il aide à retrouver l’équilibre entre notre corps, notre être et notre esprit.

Placé sur le front, le cristal de roche peut soulager les migraines. Posé directement sur les yeux, il peut améliorer la vue et soulager les conjonctivites. Vous pouvez également laisser reposer le cristal de roche dans de l’eau de source durant toute une nuit et utiliser l’eau avec une compresse.

Porté quotidiennement, le cristal de roche apporte clarté d’esprit et nous débarrasse de toutes énergies négatives et de mal-être. Placé dans une pièce, il rehausse le taux vibratoire.

Voici une sélection avec les liens pour commander du Cristal de Roche

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Quelques astuces pour chasser l’énergie négative de votre maison

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Quelques astuces pour chasser l’énergie négative de votre maison

 

La maison est considérée comme un  refuge, un lieu où l’on se sent en liberté et en sécurité, loin des soucis et des problèmes rencontrés pendant la journée. Le hic est que cet endroit s’avère parfois être un lieu stressant, mal accueillant, et désagréable pour y vivre, dû à l’énergie négative qui émane de son environnement.

Faites attention au climat qui règne à l’intérieur de votre maison, aux situations de disputes familiales au sein de couple ou avec les enfants, il est probable que la maison soit soumise à des énergies négatives qui pourraient fortement influencer l’ambiance générale de la maison et l’état d’esprit des personnes qui y habitent.

La meilleure façon de remédier à tout cela est certainement de procéder à des changements internes et de remettre en cause les éléments et conditions qui nous entourent afin de mieux diagnostiquer le problème.

 

Si vous ressentez un climat tendu, voir morbide à l’intérieur de votre maison, une mauvaise humeur, une ambiance désagréable, des disputes, un mal être, il faut prendre illico quelques décisions radicales et procéder à un changement.

Heureusement, il existe de divers moyens et solutions pour faire dissiper ces mauvaises énergies et de chasser ces vibrations négatives, voici quelques conseils qui pourraient vous aider :

Quelques conseils…

  • Beaucoup de connaisseurs affirment qu’il n’est pas bon d’entasser des objets qui ne nous sont d’aucune utilité. Il vaudrait mieux donc s’en débarrasser afin d’avoir un lieu plus organiser et plus agréable à vivre.
  • La lumière du soleil est un purificateur et une source de bonne ambiance, c’est pour cela qu’il faudra que vous ouvrez vos fenêtres afin de permettre aux rayons de soleil d’entrer dans vos pièces.
  • Si vous avez hérité de meubles ou de n’importe quel autre objet, il serait bien d’effectuer un rituel de nettoyage  à travers l’encens, car ils peuvent apporter avec eux des énergies négatives du lieu d’où ils proviennent.
  • Une bonne ventilation est très importante, vu que l’air doit régulièrement être changé (3 fois par semaine), Il faudrait que vous ouvriez les portes et les fenêtres assez souvent.
  • Les fruits contribuent à éliminer les mauvaises énergies, c’est pour cela qu’il faut avoir souvent des fruits frais à la maison.
  • Les plantes d’intérieur sont également très utiles pour instaurer un climat paisible dans la maison.
  • L’autre manière efficace est de nettoyer votre sol avec un mélange d’eau et de sel, à peu prés 6 cuillerées dans un seau d’eau.
  • Les cactus servent à repousser les mauvaises énergies, vous pourrez en mettre à l’extérieur de vos fenêtres
  • De son coté, la musique relaxante pourrait aider à réaliser un  équilibre d’esprit et lui permettre d’éviter de sombrer dans le négatif.
  • L’aromathérapie contribue, pour sa part, à purifier la maison, vous pourrez la réaliser en vous procurant quelques huiles essentielles.
  • Enfin, il est indispensable de maintenir un bon état d’ordre et d’hygiène, trop de désordre ne fera qu’attirer plus de mauvaises vibrations.

Méditation…

meditation

La méditation est également très utile dans ce genre de cas, elle n’est pas seulement utile pour nettoyer votre chez vous des mauvaises énergies mais également votre esprit en le libérant de toute  tension, qui pourrait avoir des conséquences néfastes sur votre bien être et votre mental.

Il faudrait savoir qu’un esprit perturbé n’est pas en état de démontrer et de mettre en avant tout son potentiel, ce qui constituerait un sérieux frein à votre vie personnelle et professionnelle vous empêchant ainsi de vous épanouir, de réaliser vos rêves et de vivre pleinement votre vie.

 Un changement de comportement ne fera que du bien à n’importe quelle  personne, et les conseils prodigués dans les lignes qui précèdent sont capitales pour éliminer les énergies négatives qui vous entourent et avoir une meilleure qualité de vie par conséquent.

 

Source:http://amelioretasante.com

Encens Indien pour purifier

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Hypnose : de la magie à la médecine

Charlatanisme, manipulation mentale…, les préjugés sur l’hypnose ont la dent dure. Pourtant, les preuves sont là : l’hypnose soigne et débarrasse des addictions. Résultat, la technique est aujourd’hui utilisée en routine dans les centres antidouleur et permet chaque année à des centaines de fumeurs d’arrêter. La science commence à lever le voile sur cet étrange pouvoir.

Scène d'hypnose au XIXe siècle
Gravure d’une scène d’hypnose au XIXe siècle.
© Costa / Leemage




Commençons par une révélation : vous avez déjà sombré dans l’état d’hypnose ! Et vous vous y adonnez même plusieurs fois par jour ! En effet, la lecture d’un livre, le visionnage d’un film ou le rappel de souvenirs suffisent à expérimenter une légère transe hypnotique. L’électroencéphalogramme de sujets hypnotisés confirme cette idée : l’entrée dans l’hypnose s’accompagne d’un ralentissement des ondes cérébrales, un phénomène également observé lors de l’endormissement.

Si l’état hypnotique se situe à mi-chemin entre la veille et le sommeil, cette description n’a plus guère de rapport avec l’hypnose de ses débuts, au XVIIIe siècle, à l’époque où elle s’appelait « magnétisme animal ». C’est ainsi que Franz Anton Mesmer, médecin allemand exilé à Paris, avait baptisé l’étrange phénomène qui lui permettait de soigner de façon quasi miraculeuse. Pensez donc, il suffisait de réunir les malades autour d’une cuve d’eau où trempaient du verre pilé et de la limaille de fer, d’agrémenter le tout de quelques détails d’ambiance destinés à impressionner, pour que certains des patients soient pris subitement de convulsions et, au terme de leur crise, guérissent véritablement !

Magie ? Non, Mesmer venait de découvrir que l’état modifié de conscience, du type hypnotique, possède un pouvoir thérapeutique. L’hypnose médicale était née. Elle ne demandait, pour se développer, que de s’abstraire de tout décorum superflu. Ce qui fut fait au XIXe siècle. Mais c’est surtout au XXe siècle que l’hypnose explosa, particulièrement sous l’impulsion d’un psychiatre américain, Milton Érickson. Érickson, notamment, élabora des techniques indirectes pour induire l’état hypnotique chez ses patients, à l’opposé des méthodes traditionnelles, très dirigistes.

Aujourd’hui, le paysage des praticiens de l’hypnose est large. Les hypnotiseurs de music-hall ont récupéré les techniques des descendants de Mesmer pour monter des spectacles de Las Vegas à Pigalle. Bien qu’ils possèdent quelques « trucs » dans leurs manches (l’hypnotiseur Dominique Webb, très présent à la télévision dans les années quatre-vingts, avait des complices dans la salle qui faisaient mine d’être hypnotisés instantanément ; impressionnés par la prouesse, les vrais spectateurs n’en étaient que mieux hypnotisables), il n’en reste pas moins de véritables hypnotiseurs au sens où ils sont capables de plonger un sujet en transe hypnotique très rapidement.

Les hypnothérapeutes, eux, emploient l’hypnose comme outil pour soigner et réduire la souffrance. Leur nombre progresse énormément en ce moment. Le premier diplôme universitaire d’hypnose médicale a été créé à Paris il y a six ans. Y sont formés aux techniques d’hypnose des médecins, des psychologues, des sages-femmes ou encore des chirurgiens dentistes. De quinze inscrits à ses débuts, il est passé à soixante-dix aujourd’hui et refuse des candidats. Pour répondre à la demande, une autre formation supérieure a vu le jour en octobre 2007 à l’université de médecine de Bordeaux.

Quels sont les succès de l’hypnose ? Que dit la science de son pouvoir thérapeutique (chapitre 2) ? Quelles sont les limites de cette méthode de guérison (chapitre 3) ? L’hypnose médicale se rapproche-t-elle de certaines médecines traditionnelles (chapitre 4) ? Jean-Marc Benhaiem, créateur du diplôme universitaire de Paris, a accepté de nous faire découvrir le monde de la transe et de la suggestion hypnotiques. Prêts ? Vos paupières sont lourdes, lourdes…

01.Les succès de l’hypnose médicale

L'hypnose et les troubles psychosomatiques

L’hypnose peut permettre de soigner les troubles psychosomatiques et alimentaires, le stress, les addictions, les phobies…
© X.Muller & D.Coutin / CG91
Paris, hôpital Trousseau. L’enfant est allongé sur la table d’opération. Un petit rideau est tendu sous son menton pour éviter que son regard croise la plaie qu’il aura dans quelques instants au cou. Le jeune malade souffre de ganglions suspects qu’il faut retirer. À ses côtés, l’anesthésiste lui susurre des mots afin de l’emmener dans une légère transe hypnotique qui, en complément d’un anesthésiant local, réduira la douleur et le stress entourant le geste chirurgical. Une anesthésie générale aurait rempli le même rôle, sauf que la cage thoracique, contractée dans ce genre de pathologie, pourrait bien se relâcher soudainement et étouffer l’enfant.

Plus tard, Patrick Richard, l’anesthésiste qui a accompagné l’enfant, se montrera enthousiaste : « L’introduction de l’hypnose a été un bouleversement dans le traitement de ces enfants ! » Il est vrai, l’hypnose a de nombreux avantages. Outre qu’elle supprime d’éventuelles complications liées à l’anesthésie générale, elle permet de garder éveillé le patient et donc de surveiller lors de l’opération sa conscience et sa motricité. Utile pour les opérations qui comportent des risques d’infarctus du cerveau, comme en chirurgie des artères : les médecins voient immédiatement si le patient fait un accident cérébral.

Mais est-on sûr des propriétés analgésiques de l’hypnose ? De fait, de nombreuses publications scientifiques ont démontré les capacités de l’hypnose à atténuer la souffrance. Telle celle parue en 2000 dans la prestigieuse revue Lancet, sous la plume du docteur Elvira Lang du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston (États-Unis) et des collaborateurs d’autres universités américaines. Les auteurs avaient mis à l’épreuve l’effet de l’hypnose en observant, à l’occasion de 241 opérations qu’ils ont pratiquées, la quantité d’analgésique demandée par les patients pour supporter la douleur. Certains des patients avaient été hypnotisés avant l’opération et tous s’autoalimentaient en analgésique en actionnant une pompe manuelle. À l’issue des opérations, le groupe de patients mis sous état hypnotique avait consommé moitié moins de liquide anesthésiant que le groupe témoin qui avait subi une opération classique. CQFD

Outre les douleurs ponctuelles liées à une intervention, l’hypnose peut également servir à réduire les douleurs chroniques. En 1991, une équipe du département de l’hôpital Antonius Ziekenhuis à Nieuwegein des Pays-Bas a démontré l’effet antidouleur sur des malades atteints de fibromyalgie, une pathologie qui, en France, touche environ 2 % de la population et se traduit notamment par des douleurs musculaires. De son côté, en France, la Haute autorité de santé recommande, depuis février 2003, l’utilisation des méthodes de relaxation et d’hypnose comme traitement de fond de la migraine de l’enfant.




Si, à l’hôpital, c’est pour ses qualités analgésiques qu’on emploie l’hypnose, dans les cabinets privés d’hypnothérapeutes, on soigne plutôt les troubles psychosomatiques. La liste d’applications est large : traitement des troubles alimentaires (l’hypnose peut aider un boulimique à réduire son envie obsessionnelle de produits gras et/ou sucrés), du stress, de la dépression, des phobies, des TOC (troubles obsessionnels compulsifs), des insomnies, de la sexualité (par exemple en cas de perte du désir ou d’éjaculation précoce), des addictions de toutes sortes aux calmants, somnifères, tabac, alcool. Pourquoi ces traitements sont-ils exclus de l’hôpital ? Il n’existe pas de réponse scientifiquement argumentée à cette question. Mais sans doute les études scientifiques ne sont-elles pas encore assez nombreuses pour convaincre les patrons des services hospitaliers du bien-fondé de l’hypnose. Tandis que les barrières mentales et culturelles seraient moins fortes dans le privé à l’expérimentation de l’hypnose.

Comment se déroule une séance d’hypnothérapie ? D’abord, le thérapeute induit chez le patient un léger état hypnotique en lui demandant de fixer un objet, d’être à l’écoute de ses sensations corporelles, ou en le confusionnant (un terme courant dans le jargon des hypnotiseurs) par une question du type : « Pouvez-vous vous réduire à votre corps ? »… Puis il tente de modifier la perception qu’a le sujet de son trouble. Les hypnothérapeutes les plus dirigistes fonctionnent par suggestions : à une personne fumeuse, ils suggèreront que la cigarette provoque la nausée ; l’impression de nausée réapparaîtra en dehors des séances, chaque fois que le patient aura une cigarette au bec, et finira par le dégoûter de son addiction.

A contrario, d’autres hypnothérapeutes amènent leurs patients à s’interroger sur leurs sensations et à « faire le ménage » parmi elles : « Certes la cigarette vous évoque du plaisir, mais votre corps, lui, en ressent-il ? » Éventuellement, ils amènent les sujets à revivre mentalement des moments de leur vie où leur addiction, leur trouble, sont absents. Ils espèrent ainsi renforcer les perceptions positives ressenties alors, au détriment de celles qui s’expriment avec le malaise. Dans tous les cas, le patient reste conscient durant la séance. La guérison ou l’arrêt du trouble sont censés intervenir rapidement, après deux à cinq séances.

02.L’hypnose sous le regard de la science : tout sauf de la magie

Imagerie médicale du cerveau sous hypnose

Cerveaux de patients sous hypnose. En haut à gauche : si on suggère au patient une augmentation de la douleur, la zone de localisation de la douleur s’élargit ; dans le cas contraire, à droite, elle diminue. En bas à gauche : si on suggère au patient d’attacher plus d’importance à sa douleur, la zone de localisation de la douleur augmente ; dans le cas contraire (ne pas y accorder d’importance), à droite, la zone diminue.
© P. Rainville & D.D. Price (authors) / The Neurophenomenology of Hypnosis and Hypnotic Analgesia / Psychological methods of Pain Control: Basic Science and Clinical Perspectives IASP Press 2004
Comment l’hypnose soulage-t-elle ou guérit-elle ? Des études ont montré que par un simple travail mental, comme le propose l’hypnose, on peut moduler le fonctionnement de son système nerveux. Ainsi, les sportifs répètent-ils mentalement, avant une épreuve, les gestes qu’ils accompliront. Par cette méthode, ils gagnent en précision, voire en force : Guang Yue du département d’ingénierie biomédicale de l’Institut de recherche Lerner, à Cleveland, aux États-Unis, a ainsi démontré que s’imaginer régulièrement soulever des poids avec le petit doigt procurait au bout de trois mois un gain de 35 % dans la force de traction !

Les techniques modernes de neuroimagerie ont fourni l’explication à ce pouvoir de la pensée sur le corps : répéter mentalement et pratiquer une activité activent les mêmes zones du cerveau, autrement dit « s’imaginer, c’est faire ». Des résultats similaires ont été obtenus pour la gestion de la douleur par hypnose : Pierre Rainville, de la faculté de médecine dentaire de Montréal, a montré que sous état hypnotique, si on suggère au patient que sa souffrance diminue alors l’activité de la zone du cerveau impliquée dans la sensation de la douleur (appelée cortex cingulaire antérieur) diminue. Là aussi, s’imaginer souffrir moins, c’est déjà souffrir moins.

Paradoxalement, aussi convaincantes soient-elles, ces découvertes semblent donner raison aux sceptiques de l’hypnose. Ceux-là remettent en cause la pierre angulaire même de la guérison hypnotique : le pouvoir de la suggestion. Pour eux, la suggestion n’existe tout simplement pas : le sujet hypnotisé réagit en réalité parfaitement consciemment aux suggestions de l’hypnotiseur (du genre « Vous allez moins sentir la douleur » ou « Vous dormirez mieux ce soir »), mais son envie fervente de croire en l’hypnose l’empêche de reconnaître qu’il s’agit d’un acte délibéré. Une façon de réduire l’hypnose médicale à un super effet placebo (par ailleurs réellement efficace): le patient guérit tout bonnement parce qu’il est convaincu de guérir. Après tout, la science a bien montré la puissance de l’imagination sur le corps, non ?

En 2005, par une expérience spectaculaire, Amir Raz, professeur assistant de neuroscience clinique à l’université de Columbia, a réfuté cette théorie. Amir Raz est un personnage singulier, ancien magicien devenu chercheur pour étudier les phénomènes hypnotiques. Il a reproduit sous hypnose une expérience classique en psychologie expérimentale : on demande aux sujets de quelle couleur sont écrits des mots, l’astuce étant que les mots eux-mêmes désignent des couleurs. Par exemple, la réponse pour VERT est rouge. Le résultat habituel de ce type d’expérience est que les personnes répondent correctement, mais seulement après une fraction de seconde de réflexion. C’est l’ »effet Stroop » : le réflexe de lire est si ancré que nous devons nous violenter pour ne pas répondre « vert » mais « rouge ».

Dans le protocole d’Amir Raz, les sujets étaient au préalable hypnotisés et il leur était suggéré que les mots qu’ils allaient lire n’étaient que des symboles sans signification. Conclusion : les sujets ont répondu instantanément ! La suggestion avait annulé l’effet Stroop ! Soit un comportement normalement impossible à outrepasser. L’expérience de Amir Raz a montré que la suggestion hypnotique ouvre véritablement une porte vers l’inconscient. Ce serait cette porte qu’emprunte l’hypnothérapeute pour soigner. Même si cela reste à démontrer.

La suggestion ne serait pas la seule clé du succès de l’hypnose médicale. Cette réussite thérapeutique tiendrait également dans sa façon « plus humaine », que dans la médecine scientifique, de prendre en charge les patients. « L’amour, le plaisir, les émotions… ne sont pas considérés par la médecine scientifique, note Jean-Marc Benhaïem, alors qu’il est prouvé qu’ils modulent la souffrance et, de façon plus générale, notre expérience de la maladie. » Par conséquent, il arrive qu’une séance d’hypnothérapie prenne des airs de psychothérapie, avec recherche de tout ce qui pourrait influencer de près ou de loin le mal du patient. Nous aider à démêler, grâce à la force de la suggestion, l’écheveau de nos émotions et de nos troubles physiques : voilà peut-être une des explications à la réussite de l’hypnose médicale.

03.Les limites de l’hypnose et les peurs qu’elle suscite

Hypnose et sevrage du tabac

L’hypnose peut, notamment, être employée auprès des personnes qui souhaitent arrêter de fumer. Le taux de réussite est variable selon les patients.
© SXC
L’hypnose peut-elle guérir tout le monde ? Autrement dit : existe-t-il des personnes plus réceptives à l’hypnose que d’autres ? Étrangement, il semblerait que la réponse soit oui aux deux questions. « Environ 20 % des gens sont peu hypnotisables, rappelle Jean-Marc Benhaïem, c’est-à-dire qu’ils offrent une résistance à entrer en transe hypnotique. Mais des études cliniques ont montré que même ces personnes réagissent aux suggestions. » La suggestibilité ne serait donc pas un critère d’efficacité thérapeutique. Avis à ceux qui partent difficilement dans l’imaginaire, les portes de l’hypnose leur sont tout de même ouvertes.

L’hypnose guérit-elle à tous les coups ? Clairement non. Si les réussites spectaculaires, par exemple sevrage du tabac ou de l’alcool en une seule séance existent, elles ne doivent pas cacher le taux d’échec important. Difficile d’avoir des statistiques en la matière. En ce qui concerne le tabac, selon l’expérience de Jean-Marc Benhaïem, un tiers des patients parviendraient à arrêter la cigarette après un traitement d’une à trois séances (un taux de réussite constaté six mois après l’arrêt du traitement). « Au-delà, on ne s’acharne pas, confie le docteur. Cela signifie que le patient n’est pas prêt : il continue à idéaliser le tabac, il a peur du changement…, il y a mille raisons. »

Si le médecin ne dispose pas de taux de réussite pour les autres troubles qu’il soigne, une chose est sûre : certaines maladies prêtent plus le flanc aux entraves psychologiques que d’autres. La palme reviendrait aux pathologies chroniques, telles les douleurs chroniques, comme les rhumatismes, particulièrement rétives à l’approche hypnotique : malgré eux, les malades se sont « habitués » à ces pathologies et il est d’autant plus difficile de leur montrer la maladie sous un nouvel angle. Au final, si « toute personne peut bénéficier de l’hypnose, résume Jean-Marc Benhaïem, rien ne garantit que le changement va être radical, car les raisons de ne pas changer sont aussi fortes et nombreuses que les raisons de changer. »

Une complexité qui se manifeste parfois par la substitution de symptômes : une personne ayant arrêté le tabac grâce à l’hypnose peut se transformer subitement en boulimique, remplaçant son addiction de la cigarette par celle de la nourriture. Selon le docteur Benhaïem, ces cas de figure, rares, révèlent plus une erreur médicale qu’un défaut intrinsèque de la méthode hypnotique. Dans l’exemple donné, l’hypnothérapeute n’a pas su découvrir que son patient fumait pour pallier un stress, stress qu’il s’est empressé de compenser, à défaut de tabac, par l’alimentation. Le thérapeute doit alors rectifier le tir en travaillant avec le patient simultanément comportement alimentaire et tabagisme. À l’inverse d’un psychothérapeute qui sans doute aurait choisi de remonter tout de suite aux racines du problème (le stress), l’hypnotiseur lui, travaille d’abord à dissocier la cause (le stress) des symptômes (tabagisme, boulimie), quitte ensuite, si vraiment le mal persiste, à envisager une autre stratégie.

Malgré la démonstration de son potentiel thérapeutique, l’hypnose continue d’alimenter des peurs. Des peurs déraisonnées selon les thérapeutes. En tête, le risque de manipulation mentale : sous état hypnotique, le patient verrait sa volonté diminuer et ne serait plus qu’une marionnette aux mains du thérapeute qui pourrait tout autant lui demander de sauter dans le vide ou de commettre un crime. « Il y a bien une certaine baisse de la volonté durant l’hypnose, confirme Jean-Marc Benhaïem, mais c’est au profit de sensations plus larges. Donc le patient est au contraire plus vigilant vers ce qui est un danger. » Pas de risque donc de se voir transformer en criminel….

Autre angoisse : celle de ne pas se réveiller de la transe hypnotique. En vérité, l’imaginaire populaire exagère la profondeur de la transe où se trouve un patient en thérapie. Il est rare que le patient s’endorme au cours d’une séance. Cependant en fin de séance, « il faut effectivement veiller à ce que les patients soient tout à fait sortis de l’état hypnotique ; une petite marche suffit pour cela », note le docteur.

04.L’hypnothérapie dans d’autres civilisations

Rituel chamanique - Sibérie

Sibérie : rituel de soin chamanique pour des enfants malades du village. Pendant la cérémonie, une place importante est accordée au groupe, aux liens les autres, les animaux, les pierres, l’univers, les esprits. Car, dans le chamanisme, tout dans la nature est animé, divinisé mais aussi lié, interconnecté.
© Film Médecine d’ici, médecine d’ailleurs / I. Célestin-Lhopiteau & R. Hamon / 2007
L’hypnose médicale, née européenne avant d’atteindre l’Amérique du Nord, n’est pas propre à la civilisation occidentale. Elle apparaît, sous d’autres formes dans des populations du monde entier qui recourent à des transes de guérison : les Gwana du Maroc, les Indiens Navarro, les peuples du golfe du Bénin qui pratiquent le vaudou, les adeptes du candomblé au Brésil… Chez ces peuples, lorsqu’un membre de la communauté est malade, le chaman, qui tient le double rôle de prêtre et de guérisseur, organise une cérémonie dont les points d’orgue sont le sacrifice d’un animal et le plus souvent une danse. Cette danse, souvent rythmée par des tambours, est censée plonger le sujet en transe.

Tout comme en hypnose, « l’idée de la transe est de saturer la conscience du sujet afin de l’amener à ouvrir ses perceptions, décrit Isabelle Célestin-Lhôpiteau, une hypnothérapeute de l’hôpital Trousseau qui se rend régulièrement chez ces populations pour étudier le potentiel thérapeutique de leurs pratiques. L’hypnose réalise cela par la parole. Les médecines traditionnelles, par la danse et la musique. »

Si la transe équivaut à un état hypnotique, les populations à culture chamanique ne l’interprètent évidemment pas ainsi : pour eux, la transe est avant tout une porte vers le monde des esprits. Par la cérémonie de guérison et la transe, elles espèrent pouvoir communiquer avec les divinités de la nature et ainsi retisser le lien rompu entre le malade, la nature, et le monde des esprits, rupture qui est la source du mal.

Isabelle Célestin-Lhopiteau l’a constaté plus d’une fois : aussi éloignées soient-elles de la médecine scientifique, ces médecines traditionnelles guérissent. Pour l’essentiel, comme l’hypnose thérapeutique, des pathologies chroniques : migraines, douleur de dos, maladies de la peau, crises drépanocytaires en Afrique (la drépanocytose est une maladie des globules rouges qui provoque des crises abdominales très douloureuses), asthmes…

Un détail paraît pourtant séparer l’hypnose de ces médecines : si chez les Gwana, c’est bien le malade qui se livre à la danse purificatrice, dans d’autres populations, comme celles vivant sur les rives du lac Baïkal, en Sibérie, c’est le chaman qui entre en transe et est le vecteur de la guérison, le malade se contentant d’assister à la cérémonie. Sort-on alors du cadre de la thérapie hypnotique ? Non, selon Isabelle Célestin-Lhopiteau : pour comprendre comment le malade guérit alors, « il faut passer par la représentation du monde de ces cultures, où si l’on touche un individu, une maille de la société, cela a des répercussions sur les autres. »

Dans leur ouvrage Du cœur à la raison, paru en 1989, la philosophe Isabelle Stengers et le psychiatre Léon Chertok soulignaient également le rôle de cette réciprocité dans l’approche hypnotique occidentale : « L’hypnose se produit à deux : celui qui se définit comme expérimentateur (l’hypnotiseur) est aussi, d’une manière qu’il ne contrôle pas, partie prenante dans ce qu’il suscite. » Les auteurs expliquaient que l’hypnose, comme l’état de veille, met en jeu un flux continu de processus distincts, conscients et inconscients, et dès lors fait participer à la fois le malade et le thérapeute.
C’est sans doute ce manque de contrôle de l’expérimentateur sur son action qui alimente la peur de l’hypnose.

Ce serait également par le jeu de ces forces mystérieuses que le chaman, en transe, parviendrait à guérir le malade, simple spectateur. Freud, qui a forgé la psychanalyse après avoir pratiqué l’hypnose sur ses patients (et l’a délaissée parce qu’elle était trop imprévisible), parlait de « l’énigme hypnose ». Presque un siècle après, on peut reprendre son mot.

Source:http://www.savoirs.essonne.fr

LIVRES SUR L’HYPNOSE, EXPLICATION ET PRATIQUE

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

Il faut parfois prendre une pause et regarder autour de soi pour constater à quel point la nature est apaisante. Même s’il est moins évident de le faire lorsqu’on réside en milieu urbain, il est essentiel de passer du temps à l’extérieur de la ville. Voici quelques points qui devraient vous convaincre de profiter du beau temps et de vous évader de la métropole.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

1. La nature réduit le stress et aide à trouver un sens à son existence

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

Il y a une poignée d’études qui démontrent que passer du temps dans la nature a des effets positifs sur le moral. Dans une étude réalisée à l’Université de Chiba au Japon, les scientifiques ont démontré que les gens qui étaient plus en symbiose avec la nature étaient plus heureux. Durant la durée du projet, des groupes étaient divisés en deux. La moitié devait passer du temps en forêt, alors que l’autre séjournait en milieu urbain. Le lendemain, les groupes étaient interchangés. Les scientifiques ont remarqué que lorsque les 280 participants étaient en forêt, leur pouls, leur pression artérielle et leur taux de cortisol était plus bas.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

2. Marcher en forêt stimule le système immunitaire

Ce n’est pas seulement le cerveau qui est stimulé par le grand air, mais aussi le corps. La marche en forêt renforce les muscles et augmente la résistance du système immunitaire. Selon une étude réalisée à l’École de médecine de Nippon à Tokyo, lorsque l’homme inhale les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les plantes, les effets sur le corps humain sont bénéfiques au système immunitaire.

3. L’activité en nature brûle des calories

Une simple marche en forêt de 60 minutes peut brûler jusqu’à 500 calories. C’est aussi moins exigent pour le corps et les articulations de passer du temps dans la nature que de pratiquer le jogging, par exemple. La marche en forêt réduit la pression artérielle et aide à prévenir les maladies du cœur. Évidemment, les calories brûlées peuvent aussi contribuer à la perte de poids.

4. Le cerveau est stimulé après une marche en forêt

Les paysages à couper le souffle, les bruits environnants, le terrain parfois aride: tous ces éléments contribuent à stimuler le cerveau et la créativité. Des chercheurs de l’Université du Kansas et de celle de l’Utah affirment que passer du temps dans la nature, loin des technologies, contribue grandement à développer l’intuition.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

Pour tirer ces conclusions, les scientifiques ont envoyé 56 participants en excursion de quatre ou six jours dans les forêts de l’Alaska, du Colorado, du Maine et de Washington. Durant cette période de temps, les cobayes n’avaient pas le droit d’utiliser de machines électroniques. À la fin de leur séjour en nature, leur niveau de créativité avait augmenté de 50%, de même que leurs aptitudes à résoudre des problèmes. Évidemment, les études ont démontré que la combinaison entre la nature et l’éloignement de la technologie avait un impact direct sur l’homme.

D’ailleurs, selon l’environnementalisme John Muir, retourner dans les bois est en quelque sorte comme retourner de l’endroit d’où l’on vient.

Source:http://www.journaldemontreal.com

En plus d’aller dans la nature la méditation est très bénéfique

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