
Triangle du Nevada : nous connaissons tous plus ou moins la très célèbre légende qui accompagne le triangle des Bermudes. Et bien sachez que ce n’est pas là le seul lieu de ce genre puisque le triangle du Nevada lui ressemble et ce, de nombreuses manières. Cette zone située dans le désert du Nevada nous l’avons bien compris est depuis des années le centre de diverses des années le centre de diverses disparitions. Il semble qu’elles s’y enchainent et ce, de façon pour le moins spectaculaires. Un riche homme d’affaires y aurait d’ailleurs disparu dans d’étranges circonstances et alors qu’il effectuait un vol de plaisance en 2007. Il est à noter car cela peut avoir du poids que la zone 51 est toute proche du dit triangle. Cela pourrait-il avoir un quelconque lien ? Quoi qu’il en soit, ce seraient plus de deux mille appareils qui auraient disparus dans le triangle du Nevada.
Aokigahara : vous avez sans tous déjà entendu parler de la forêt aux suicidés, soit de celle qui renfermerait de nombreuses âmes égarées. Cette forêt est aujourd’hui considérée comme étant la plus hanté du Japon et pourtant, nombreux sont ceux qui osent encore s’y aventurer. Nous l’avons vu, ils ont nombreux ce qui choisissent de s’y donner la mort et cela s’explique très facilement. En effet, ils sont ainsi quasiment sûrs de ne pas être retrouvés ou tout du moins, à temps pour être sauvés. Pour les japonais friands de légendes et autres mystères, il est clair que toutes les âmes de ces gens décédés restent prisonnières de ces lieux à jamais.
Eilean Mor : Eilean Mor (le phare des disparus) est un lieu pour le moins étrange. En effet, alors qu’un gardien venait prendre son tour de garde, il aurait constaté la disparition de ses trois collègues. Ces derniers semblaient être partis dans la précipitation puisque les assiettes trônaient encore en bonne place sur la table. De plus, un des trois gardiens n’avait même pas pris le temps d’enfiler son ciré alors que le temps dehors on s’en doute devait être froid. A ce jour, personne ne sait ce qu’ils sont devenus.
Amityville : Nous n’avons pas besoin d’épiloguer sur la très célèbre histoire de cette maison tant elle est connue. Le jeune Doféo aurait tué toute sa famille et selon lui, il aurait commis ces meurtres sous le joug d’une puissance surnaturelle. Des voies lui auraient en effet ordonnées de massacrer les siens et ce, sans faire un seul rescapé. Plus tard, les Lutz auraient racheté la maison mais seraient partis quelques semaines après l’acquisition car selon eux, elle était hanté et des manifestations y avaient régulièrement lieu. Aujourd’hui, leur témoignage a été maintes fois remis en question car il s’avère qu’ils se sont fait énormément d’argent sur les bénéfices des divers films et livres sur le sujet. Que croire alors ? Etaient-ils de bonne foi ? Ou se sont-ils contentés de surfer sur la vague du succès ? Difficile à dire aujourd’hui.
Combourg : la tour du chat est aujourd’hui classée monument historique, mais elle a une très lourde histoire derrière elle. Le château serait en effet hanté et abriterait de nombreux esprits plus ou moins palpables. Parmi eux s’en trouverait un à la jambe de bois. Il prendrait plaisir à marcher pour se faire entendre et ainsi, effrayer et faire fuir les visiteurs du château. A ce jour bien entendu, rien de tout cela n’est vraiment vérifiable.
Top 5 Lieux Maudits par Mysteretv
REJOINDRE EVEIL TV SUR FACEBOOK POUR SUIVRE LES ARTICLES
Le livre des esprits





À la fin des années 1970 et au début des années 1980, plus de 50 femmes américaines ont été tuées par leurs tampons. Bien que la FDA et le secteur de l’hygiène féminine aient déployé des efforts considérables pour tenter de faire oublier cette histoire vraie (en l’appelant une « rumeur »), les tampons fabriqués avec certaines fibres non-naturelles se sont révélées abriter des bactéries mortelles et libérer une quantité suffisante de produits chimiques pour tuer ou blesser plus d’un millier de femmes. Les pires contrevenants étaient les tampons ultra-absorbants Rely de Procter and Gamble. Selon le livre Soap Opera: The Inside Story of Procter and Gamble, l’entreprise a rejeté les plaintes des consommateurs au sujet des tampons pendant des années. Une note de 1975 de l’entreprise a divulgué que les tampons Rely contenaient des agents cancérigènes connus et que le produit altérait les organismes naturels trouvés dans le vagin. Les tampons Rely ont été retirés des rayons en 1980, mais de nombreuses femmes affirment qu’elles ont hérité d’hystérectomies et de perte de fertilité. Parmi les femmes soucieuses de leur santé, la toxicité des tampons traditionnels a longtemps été un sujet de préoccupation. « Comme je dis non à l’huile de coton, c’est pour la même raison que je ne suis pas d’accord pour mettre du coton toxique dans mes parties intimes », écrit


Pour la plupart des médecins qui osent évoquer leur collaboration avec les guérisseurs, celle-ci se justifie de façon très pragmatique. Ainsi, le docteur Alain Marre, chef du service de radio-oncologie du centre hospitalier de Rodez (Aveyron) : « Voilà plus de trente ans que j’oriente mes patients vers des guérisseurs pour soulager les douleurs, sans a priori : j’ai juste constaté que cela améliorait leur état. Dois-je refuser sous prétexte qu’on ignore comment ça marche ? »
Pour Josette, de Montélimar, le phénomène a démarré à 2 ans. « Je croyais que tout le monde était comme ça : quand je pose ma main sur quelqu’un, je ressens de l’électricité. Et quand j’arrive sur une zone souffrante, ça me pique, comme si une pointe jaillissait. Si je laisse ma main un moment, la piqûre s’en va et la souffrance de la personne aussi. Aujourd’hui, j’ai 85 ans et j’en ai soigné, des gens ! Jamais je ne me suis fait payer : ce don me dépasse, impossible de le monnayer. Je ne crois pourtant pas au bon Dieu… » Vivant de sa pension de veuve de gendarme, elle précise : « Si vous voulez que je vous soigne, ne me dites pas ce que vous avez ! Ma tête doit rester au repos. Si elle se met à gamberger, je ne suis plus bonne à rien. » Notre esprit rationnel a d’autant plus de mal à comprendre que les guérisseurs ne se contentent pas de poser leurs mains sur leurs patients. Ils palpent aussi des flux invisibles qu’ils semblent peigner, ou rassembler, ou recoudre, vous expliquant, comme Pierre. Yonas qui soigne l’équipe de handball de Savigny-sur-Orge : « J’ai senti une fuite d’énergie au niveau de l’omoplate d’un joueur, je l’ai colmatée. » L’affaire se corse quand on découvre que beaucoup soignent aussi à distance, souvent en se concentrant sur une photo du patient, et parfois à l’insu de la personne souffrante, celle-ci pouvant être un bébé ou un animal. « Par exemple, mes chevaux, dit Michelle,que je soigne depuis des années, après avoir appris, non seulement à les toucher, mais à me mettre à l’intérieur d’eux, à leur place. »