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🌞 Les prévisions du mois de mars 2022 (Europe/Suisse) par Frédérique Shine Auteure de L’Oracle De Shine
💚Je reste disponible pour les consultations à titre privées à l’adresse : frederiqueshine@gmail.com et je vous souhaite un bon mois de décembre avec des moments de bonheur car il y en aura !
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« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »
En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.
Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :
« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »
Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.
La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.
Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !
Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !
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Par Yvan Poirier
Que ce soit en 3D Unifiée ou en 5D, tout ce que nous pensons est immédiatement retransmis aux autres âmes avec qui nous sommes en relation et en Communion Luminescentes. C’est la Transparence du Corps d’Êtreté qui s’exerce. On ne peut plus se cacher ou se mentir par rapport à des pensées subjectives quelles qu’elles soient. Nous sommes à tous les points de vue, transparents, translucides et transcendants. Chaque âme et chaque Esprit captent tout ce dont nous pensons au-delà de la dimension où nous nous trouvons, de la forme ou d’une situation, cela définit la « Pensée multidimensionnelle et Émissive ». Nous sommes ainsi des Époux mutuels de tous les autres âmes et de tous les autres Esprits. Il existe donc une complétude sans frontières et sans limitations, grâce au Feu Igné de l’Amour Vibral que nous émettons, et qui est reçu par chaque UN dans l’alcôve de leur Coeur, peu importe la dimension où il se trouve.
Si nous exprimons des pensées qui ne sont pas alignées à la fréquence du Corps d’Êtreté, les risques de confrontation avec ces éléments désagréables ne peuvent subsister dans les dimensions supérieures. Dans ces moments, la conscience va nous amener à nous interroger sur ce qui nous pousse à nous conduire de la sorte. À ce niveau, il est inconvenant d’inonder notre entourage de ces réactions qui sont au-delà de l’Amour, car la peur nuit à l’expansion et à la manifestation de la Lumière Authentique, ainsi que de la Vérité qui est en nous.
Je vous invite à conscientiser que ces « Pensées Émissives » se manifestent en vous présentement, parce que la 5D est déjà dans votre Coeur Vibral. Ce qui signifie que chaque pensée que vous émettez joue un rôle de transcendance en vue de votre Libération, de votre Fusion et de la poursuite de votre Ascension. Prenez conscience que vos pensées quelles qu’elles soient sont reçues par vos proches, vos enfants, vos conjoints ou même vos amis.
Ainsi, il n’y a plus lieu de critiquer, de râler, de tergiverser ou de juger, parce que vos pensées deviennent des « Pensées Émissives » qui sont issues de la transparence de votre âme et de votre Esprit. Vos pensées quelles qu’elles soient sont capturées avec de plus en plus d’aisance et de conscience.
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Qu’est ce qu’un médium ?
Les médiums sont vraiment fait de grande empathie.
Mais avec une légère différence :
Ils perçoivent les sentiments, les émotions et les impressions des vivants et des morts, plutôt que seulement des vivants.
Vous voyez, pas si mal. Vous n’avez pas besoin d’être un médium professionnel pour ressentir la présence de l’Esprit, tout le monde peut acquérir cette capacité. Et il existe deux types d’apparition : un début plus tard dans la vie, et un début.
Pensez : comme le diabète de type 1 et de type 2. L’un concerne plus l’hérédité et la génétique (nous pensons), et l’autre concerne plus certaines altérations de l’expérience de la vie qui vous rendent plus vulnérable.
Quoi qu’il en soit, je reprends le fil maintenant : ce qui suit est une liste de « symptômes » qui se présentent généralement quand vous avez le don de la médiumnité.
Pris seul, chaque chose sur cette liste pourrait nécessiter des soins éventuellement médicaux, mais lorsqu’il est combiné avec 15 symptômes ou plus. . .
– Vous avez toujours eu un intérêt et une croyance dans le paranormal
– Vous pouvez entrer dans une pièce et ressentir de la pression, de la chaleur, de la lourdeur ou des émotions
– Vous vous rappelez avoir vu ou senti des esprits étant enfant ou connaissez ou avez des parents qui ont eu cette expérience
– Vous aviez une peur inexplicable de l’obscurité, soit dans l’enfance ou maintenant
– Vous avez une vie de rêve active, y compris des cauchemars vifs ou des rêves lucides
– Vous êtes souvent réveillés la nuit et / ou ne dormez généralement pas bien
– Vous avez eu ce sentiment étrange et terrifiant dans les vieux bâtiments, les cimetières ou dans les lieux de traumatisme
– Vous avez vu des choses du coin de l’œil : de la fumée blanche, des étincelles, des ombres, des silhouettes
– Quelqu’un de votre entourage est mort et vous avez vécu beaucoup de choses étranges
– Vous entendez des voix et vous vous êtes convaincus que ce sont des pensées lancinantes, une imagination débordante ou des choses que vous venez de composer
– Vous avez prétendu avoir des conversations avec des animaux : chats, chiens, animaux sauvages
– Vous avez eu une mauvaise anxiété venant de nulle part, ayant du mal à respirer
– Vous entendez d’étranges bruits dans d’autres pièces quand personne d’autre n’est là ou à la maison
– Vous n’aimez pas être seul, surtout la nuit
– Vous vous êtes sentis épiés
– Vous, ou une personne avec qui vous êtes apparentés, avez mentionné des esprits ou des expériences paranormales qu’ils ont vécues
– Vous avez vous-même vécu des expériences paranormales que vous ne pouvez pas entièrement expliquer
– Les appareils électroniques, les appareils ménagers, les lumières et les téléviseurs ont tous tendance à sortir ou à clignoter autour de vous
– Vous avez l’habitude de livrer des attaques de l’esprit : de longues et profondes manifestations aux autres, puis, après que les mots aient quitté votre bouche, vous n’avez aucune idée de l’origine de l’information.
– Vous avez développé une contraction nerveuse et ça a empiré
– Vous avez pris des pilules sur ordonnance, de la drogue ou de l’alcool pour éviter tout ce qui précède,
Si 15 ou plus de ces choses sont «oui», félicitations, vous allez avoir un bébé ! Non, pLus sérieusement… il pourrait vous être utile de savoir que ce que vous vivez est assez commun, et vous n’êtes pas seul.
Beaucoup de gens de tous les horizons politiques, religieux, d’âge, de classe, de race et d’industrie m’ont mis de côté pour en parler. (Alors détendez-vous, d’accord ?). C’est quelque chose que peu de gens veulent discuter parce qu’ils ont peur que tout le monde pense qu’ils sont fous. C’est une boucle d’isolement terrible, vraiment. Mais passer à autre chose.
Beaucoup de gens complètement équilibrés peuvent voir, sentir et entendre à travers le voile de temps en temps. Bien que ce soit vrai, ce n’est pas toujours facile de s’y habituer au début, mais au fil du temps, croyez-moi, ça vous envahit. Cela grandit vraiment. La beauté de ce cadeau est que vous n’avez pas nécessairement besoin de faire quoi que ce soit en plus de l’embrasser et de le laisser enrichir votre vie. »
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Qu’est-ce qu’impliquent les émotions afflictives, ou négatives ?
Les émotions afflictives ou négatives font partie de notre registre émotionnel. Elles agissent comme de véritables poids capables de freiner notre croissance, en remplissant notre esprit de pensée adverses et peu utiles et en finissant par nous laisser à la dérive. Donner un nom à ces états et leur ôter leur pouvoir nous aidera à avancer avec une plus grande intégrité.
L’envie, la frustration, la rage, la rancœur, la culpabilité, la déception… Nous connaissons tous le goût amer de ces états. Nous savons ce que cela fait de cohabiter avec eux. Si nous les nourrissons, nous savons aussi qu’ils finiront par occuper un immense espace dans nos vies. Ainsi, comme nous l’explique le docteur James Gross, psychologue de l’Université de Stanford et spécialiste en matière de gestion émotionnelle, les émotions afflictives ou négatives sont comme des « vrilles du mal » qui grandissent dans les zones les plus obscures de notre être.
Les vrilles sont des plantes grimpantes qui ont tendance à s’accrocher à tout ce qu’elles rencontrent sur leur chemin. Gross signale que plus nous donnerons de pouvoir à ces états émotionnels, plus les vrilles pousseront autour de nous pour finir par nous immobiliser. Or, s’en libérer n’est pas simple car il ne suffit pas de les arracher pour qu’elles nous laissent.Les émotions afflictives ou négatives cesseront de pousser quand nous arrêterons de les nourrir. C’est aussi simple que cela. Y parvenir, apprendre à avancer avec ce type de processus internes exige que nous semions en nous-mêmes les graines de l’autorégulation.
« Il ne peut pas y avoir d’arc-en-ciel sans nuages et tempête. »
-John H. Vincent-
Nous sommes conscients qu’en matière de psychologie émotionnelle, il est très commun d’attribuer aux émotions afflictives ce rôle négatif et même « pathologique ». C’est pour cela que les articles et les livres d’aide personnelle destinés à nous aider à « éliminer ou éradiquer » ces états ne manquent pas. Or, il convient de signaler que cette idée n’est pas totalement juste.
Comme nous l’avons signalé, ces dimensions font partie de notre registre émotionnel. Nous ne pouvons pas arracher ces « vrilles du mal » si la terre, dans sa profonde diversité, est connue pour abriter un grand nombre d’espèces. Des dimensions aussi basiques que la tristesse, la peur, la déception ou la rage font partie de ce que nous sommes, et une telle chose ne peut être éradiquée. Nous ne pouvons pas nier ces émotions qui définissent une partie de l’essence de notre être.
La clé réside dans deux aspects très simples : comprendre et réguler. Savoir qu’elles existent, leur donner un nom, comprendre et gérer ces émotions négatives est la meilleure chose que nous puissions faire pour réguler notre comportement.
Nous connaissons tous le conte de la Belle au Bois Dormant. Dans ce récit traditionnel, les parents de la protagoniste organisèrent une fête pour célébrer sa naissance. Il y avait, dans le royaume, treize femmes sages, treize figures dotées de pouvoirs magiques. Cependant, seules douze d’entre elles furent invitées car la dernière se caractérisait par son mauvais caractère et sa méchanceté.
Elle ne reçut donc pas d’invitation. Les gens pensaient que cela ne la dérangerait pas. Cependant, la treizième femme, habile en magie noire, se sentit blessée. Elle lança dont un mauvais sort sur la petite fille en guise de châtiment. L’une des morales que nous pouvons détacher du conte classique de la Belle au Bois Dormant est qu’il était plus simple de vivre avec ces bonnes fées, ces douze femmes aimables, optimistes, affectueuses et joyeuses.
Inviter la sorcière à la fête, permettre à cette figure complexe de s’asseoir aux côtés des autres aurait été un acte d’inclusion et de responsabilité. La façon dont elle a été traitée ressemble à ce que nous faisons avec les émotions afflictives : nous les nions et faisons comme si elles n’existaient pas. Le résultat d’un tel acte est presque toujours terrible et extrêmement nocif.
Nous oublions que les émotions, bonnes et mauvaises, sont de simples invitées. Certaines nous rendent visite, d’autres s’en vont… Et, parfois, les moins agréables s’invitent à notre table mais nous nous devons quand même de les recevoir et de cohabiter avec elles. Nous ne devons cependant pas leur accorder trop de pouvoir, ni leur permettre de rester trop longtemps…
Les émotions doivent avoir une valeur adaptative. En d’autres termes, elles doivent nous permettre de nous adapter à chaque circonstance de notre quotidien. Ainsi, des études comme celle menée à l’Université de Maryland nous rappellent qu’être habiles en matière de régulation émotionnelle nous permet d’agir plus efficacement dans n’importe quel contexte et n’importe quelle situation sociale.
Par conséquent, nous devons apprendre à bien gérer ces dimensions internes complexes. Avancer avec elles sans les interdire, les nier ou les arracher de notre registre émotionnel est essentiel pour notre bien-être. Voyons maintenant comment nous pouvons y parvenir :
Pour conclure, n’oublions pas cette recommandation essentielle : les émotions afflictives sont de simples invitées. Quand certaines arrivent, d’autres partent. Ne donnons pas d’espaces permanents à ces émotions qui, en peu de temps, peuvent s’emparer de tout notre être.
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La distance est un concept physique qui, dans le cas de l’être humain, a des implications psychologiques.
Avoir une gestion adéquate de la distance dans notre vie suppose de mettre en œuvre les actions nécessaires pour nous rapprocher de ceux que nous voulons maintenir à proximité et mettre les barrières dans le cas où ce que nous cherchons est de nous écarter ou de nous éloigner.
La distance est un concept physique qui, dans le cas de l’être humain, a des implications psychologiques. Agissent comme preuves ces expressions que l’on utilise quotidiennement telles que « garder ses distances », « être proche » ou « s’approcher » de quelqu’un. On parle aussi de « prendre ses distances » par rapport aux situations, ou de « prendre ses distances » par rapport à ce qui nous affecte.
En termes physiques, cette question est également très pertinente pour les êtres humains. Chacun a ses propres espaces et les aborde d’une manière spécifique. Nous avons besoin de différents degrés de distance physique dans nos relations sociales. C’est aussi un espace vital individuel, car tout cela a des implications dans nos vies.
La distance est un concept qui s’applique également aux objets et à leur effet sur le psychisme humain. La sensation générée par une pièce remplie d’objets est différente de celle produite par une autre, où il y a peu de choses, éloignées les unes des autres. Regardons tout cela de plus près.
Elle trouve sa forme d’expression la plus évidente dans le plan physique. S’éloigner ou s’approcher physiquement est une manifestation de distance ou d’approche émotionnelle. Cela se manifeste non seulement dans la distance ou la proximité entre le corps d’une personne et celui de l’autre, mais aussi dans les gestes, les sons de la voix et les postures.
Les chercheurs Lawrence E. Williams et John A. Bargh, le premier de l’Université du Colorado et le second de l’Université Yale, ont mené une étude intensive sur le sujet. Ils ont conclu que « les représentations perceptuelles et motrices de la distance physique influencent les pensées et les sentiments des gens ».
Cela signifie que la distance physique influence les jugements et les états affectifs des gens. Dans leurs recherches, Williams et Bargh ont encouragé certaines personnes à prendre de la distance physique avec des personnes qui étaient auparavant très proches d’eux. Au fil du temps, ils ont montré que cette distance avait affecté leur attachement pour eux.
Les conclusions des chercheurs Lawrence E. Williams et John A. Bargh ont des répercussions sur différents aspects, dont celui du conflit. L’un des résultats de leurs expériences souligne que « les sentiments de distance peuvent modérer l’intensité émotionnelle des stimuli ». En d’autres termes, ce qui est loin nous affecte moins.
Cela prouve que cette mesure de prise de distance physique par rapport à ce qui nous affecte négativement est efficace. Le retrait conduit à une modération de l’influence de la personne ou de la situation en question. Par conséquent, elle contribue à une diminution de l’intensité des sentiments et, au lieu de cela, à une perspective plus sereine. S’éloigner physiquement des personnes ou des espaces conflictuels aide à nuancer ces conflits.
Cependant, chez l’être humain, et même chez l’animal, la proximité et la distance sont aussi un problème émotionnel et mental. Vous pouvez être physiquement loin de quelque chose ou de quelqu’un, et pourtant le lien peut être encore plus étroit et plus intense que si vous l’aviez à un centimètre de distance. Et l’inverse est également vrai : nous sommes physiquement proches de quelque chose ou de quelqu’un, mais, en même temps, à des années-lumière de celui-ci.
Si nous voulons couper les liens avec quelque chose ou quelqu’un, la distance physique n’est que la première étape. En réalité cela changera de façon significative le lien que nous avons avec cette réalité.
Si nous voulons être émotionnellement proches de quelqu’un, nous devons aussi être physiquement proches. Cela signifie être physiquement présent dans sa vie. Avec la présence elle-même, mais aussi avec la proximité physique, c’est-à-dire avec les étreintes, les mots, les caresses, etc. La proximité émotionnelle, par contre, implique d’avoir cette personne à l’esprit et de nous rapprocher de son monde intérieur au moyen de la conversation.
En même temps, si le but est de nous éloigner de quelqu’un, nous devons faire ce qui correspond. C’est-à-dire, d’abord, prendre physiquement ses distances. Ne pas être présent de manière physique donc, mais pas non plus de manière forme subreptice, c’est-à-dire, d’une façon poussant à espionner cette personne ou à nous tenir au courant de sa vie, à penser constamment à elle. De ce fait, cela contribuera à établir la distance émotionnelle, c’est-à-dire, une coupure avec son influence sur notre vie.
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Le Conseil, canalisé par Ron Head
Une fois de plus, nous parlerons du chemin de l’âme et du service. La question, comme vous l’avez posée, est la suivante. Il fait état de plusieurs idées fausses très répandues en ce qui a trait au cheminement et au service.
“Bonjour. Comment pouvons-nous avancer directement sur le chemin de notre âme et de notre service si nous n’avons aucune idée de ce que cela peut être en ce moment, mais nos cœurs rugissent pour y aller… et grâce à notre sincérité et notre désir d’être en accord avec la vérité de notre âme…étant ouverts…vous venez nous rencontrer où nous sommes avec un grand élan de grâce et une guidance qui change tout pour nous… Merci.”
En ce qui concerne le chemin de l’âme, comme vous l’appelez. Le chemin de votre âme est le chemin sur lequel vous êtes et ne peut être aucun autre. Êtes-vous sur ou proche de la trajectoire que vous aviez l’intention de suivre lorsque vous avez décidé de vous incarner ? C’est une autre question.
Cependant, s’il vous plaît comprenez que vous accumulez de l’expérience pour votre Soi, et il ne peut pas y avoir de ” mauvaise ” façon de le faire.
Nous, en esprit, qui avons un intérêt dans votre processus, ferons de notre mieux pour vous inciter à rester aussi proche que possible de votre intention initiale. Il reste le fait de votre libre arbitre. Si les choses sont un peu trop cahoteuses, si votre chemin est plein de nids-de-poule, considérez que nous pouvons vous ” aider ” de la meilleure façon qui nous est permise. Un léger changement de direction, s’il provoque un lissage de la route, peut suffire à vous guider. Si vos conseils sont plus difficiles à obtenir, songez à la force de votre demande de conseils.
Avez-vous le droit de changer votre chemin par rapport à l’intention initiale ? Bien sûr que vous l’êtes. Vous êtes libre. Vous pouvez avoir la vie que vous voulez. Vous ne serez pas puni. Point final. Vous pouvez choisir d’explorer plus en profondeur les causes et les effets. Nous vous recommandons toutefois d’accepter la responsabilité de ces choix.
Le même raisonnement s’applique à votre service. Vous discutez du service à soi-même plutôt que du service aux autres. Et il y a de très bonnes raisons pour vous de choisir de ne pas être complètement centré sur votre propre bénéfice perçu, bien que de telles perceptions soient presque totalement erronées et extrêmement à courte vue.
Disons encore une fois, comme nous l’avons dit dans le passé, que votre incapacité ressentie à connaître et à découvrir votre chemin et votre service est due à votre détermination que la vie que vous menez n’est pas assez bonne. Vous avez des idées sur ce qui pourrait être ” assez bon “, et ce n’est pas ce que vous vivez. Pouvons-nous faire remarquer, s’il vous plaît, que ces idées sont apprises. Nous ne disons pas qu’il n’est pas louable d’être un bon enseignant, par exemple. Nous disons que là où cela est nécessaire, il y aura un enseignant.
Et TOUTES ces idées fausses, chers amis, sont causées par vos idées de séparation. Tous les chemins nécessaires, tous les services nécessaires de ce moment, c’est ce que vous, en tant que collectivité, vivez. Si vous percevez un besoin, alors c’est la perception qui est nécessaire. Est-ce que vous voyez ? Vos connaissances causent des décisions. Les décisions entraînent des actions. Les actions provoquent le changement. On ne peut pas changer le monde du jour au lendemain. Vous pouvez contribuer. Et c’est ce que vous faites.
Notre message principal ici est que vous ÊTES suffisant. Vous ÊTES ce qu’il faut. Nous ne vous faisons pas de tort, cependant. S’il vous plaît donnez-vous le crédit pour le désir de s’améliorer. C’est aussi dur que câblé en vous. Vous voudrez toujours mieux. Vous voudrez toujours être meilleur. Voilà, mes amis, votre voie et votre service.Je vous remercie de votre question.
Traduit par Bernard pour https://messagescelestes.ca
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La période actuelle que vit l’humanité est celle que les anciens appelaient l’apocalypse, ou « levée des voiles »… Pour opérer une levée des voiles de la conscience, l’humain soumis au petit Moi doit passer à la conscience du Soi Supérieur. C’est alors que de nombreux obstacles et pièges de l’égo se dressent sur son chemin. Il est donc nécessaire pour entamer un chemin vers le Soi d’aborder un travail sur les mécanismes de l’égo et les blessures qu’ils peuvent révéler.
L’idée étant de transcender les limites du mental pour s’élever un peu plus haut en conscience, là où l’être n’est plus soumis aux actions et réactions de son petit moi. Il n’y a qu’un pas entre le statut d’appelé et celui d’élu. Bien que ces mots risquent d’être mal interprétés par le mental, ils décrivent simplement le fait de passer du statut de cherchant à celui de maître. Pour opérer la transmutation nécessaire à ce changement d’état d’être, vous devrez passer d’une vision exotérique à ésotérique. C’est à dire d’une vision extérieure à une vision intérieure.
Le cherchant cherche à l’extérieur de lui-même des réponses qui vont le mettre sur le chemin, le Maître cherche en lui-même la raison de ce qu’il observe à l’extérieur. Le Maître n’est pas un « dieu », c’est un individu qui n’est plus dans le Faire mais dans l’ Etre. Sa vision intérieure éclaire les choses qu’il observe à l’extérieur de lui-même et il comprend ainsi tout ce qu’il voit en dehors. Il aborde le conflit qui fait rage au coin de la rue et l’arc en ciel qui colore le ciel au même moment, comme deux manifestations du climat énergétique de son cosmos intérieur.
Le Maître est co-créateur de ce monde, le cherchant est encore en chemin vers cette pleine conscience mais il ne crée pas, il subit. Pour ne plus subir, il suffirait que ce cherchant s’arrête de courir les routes, se pose calmement là où il est. Pourquoi pas sous un arbre ?
Qu’il l’imagine dans ses pensées ou qu’il soit déjà dans une forêt n’a que peu d’importance.
Posez-vous sous l’arbre qu’il vous plairait de voir là, à l’endroit où vous stoppez votre course folle afin de vous contempler enfin vous-même. Prenez ce temps précieux. Car cette quête que vous cherchez n’est-elle pas celle de vous trouver vous-même ? Ne cherchez vous pas ce que vous croyez avoir perdu mais qui est toujours là depuis l’origine des temps ?Centrez vous sur cette idée que le trésor perdu (le Graal ou L’Arche d’Alliance des aventuriers mystiques), l’accès aux autres mondes (pour les fans de science fiction) où la recherche de l’Amour parfait (pour les romantiques), ainsi que tout autre fantasme du mental, ne sont que les manifestations d’une quête de re-connexion intérieure au Vrai Soi…
Vous ferez alors un bond quantique impressionnant dans une dimension d’existence différente. A cet endroit qui est en vous, vous serez bien. Imaginez y être déjà, ici et maintenant. Tel le soleil, au centre du micro-cosmos que vous êtes… Les influences extérieures se mettent en orbite autour de vous, en harmonie… Vous avez la sensation d’être à votre place, comme Un avec la Source de Vie.
C’est ce que sont les étoiles, des êtres alignés avec l’Unité de Vie. Il en existe une infinité qui vous montrent le chemin la nuit lorsque vous regardez le ciel. Elle vous disent ceci : « L’obscurité n’est pas un problème, nous brillons la lumière de la Source pour l’éclairer ». Je crois que c’est ce que chacun est venu être sur ce monde… Une étoile éclairant l’obscurité. Le soleil en vous est votre cœur, laissez le éclairer à sa guise, ainsi vous activerez votre flamme jumelle, votre double de lumière, le Soi.
Extrait du livre Réintégrer sa Flamme Jumelle, par Aurélie Pech d’Arcadie et Pascal d’Arcadie:
(Vous pouvez transmettre le texte sans en modifier le contenu et en indiquant le titre du livre dont il est extrait ainsi que l’auteur et la source: https://bienvenueenarcadie.com)
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