Le fluor dans les bouteilles d’eau un répressif des fonctions intellectuelles , voici la liste des eaux contaminées

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e fluor : arme chimique. Le fluorure est un répressif majeur des fonctions intellectuelles. Ajouté aux réserves d’eau et aux dentifrices, le fluorure de sodium (le mot fluor, plus simple, est utilisé dans la suite du texte) est un ingrédient commun aux poisons préparés à l’intention des cafards et des rats, aux médicaments psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques et aux gaz neurotoxiques. C’est l’un des ingrédients de base du Prozac et du gaz neurotoxique Sarin, qui fut employé au Japon dans l’attaque du métro
Liste des eaux minérales qui contiennent le plus de fluor
 

~~Des preuves scientifiques indépendantes montrent que le fluor provoque des troubles mentaux variés et rendent les gens stupides, dociles et serviles, en plus de diminuer la longévité et d’endommager la structure osseuse.

La première utilisation du fluor dans l’eau potable date des camps de concentration NAZIs, grâce à la I .G. Farben, société pharmaceutique géante notoire. C’est elle qui dirigeait des camps comme Auschwitz.

Elle existe encore, elle fait partie intégrante de la compagnie allemande BAYER. Quelqu’un pense-t-il que les NAZIs firent cela parce qu’ils se sentaient concernés par la santé des dents de leurs prisonniers?

Cette médication massive des réserves d’eau en fluor servait à stériliser les prisonniers et à les abrutir pour s’assurer de leur docilité.

Charles Perkins, chimiste, écrivit ce qui suit à la Fondation pour la recherche nutritionnelle Lee, à Milwaukee (Wisconsin), le 2 octobre 1954 : « … Dans les années 30, Hitler et les NAZIs allemands, envisagèrent un monde dominé et dirigé par la philosophie nazie du pangermanisme.

Les chimistes NAZIs élaborèrent un plan d’une grande portée (et très ingénieux), de contrôle des masses, plan qui fut soumis et adopté par l’état-major allemand. Il consistait à prendre le contrôle de la population de n’importe quelle région, par la médication massive des réserves d’eau potable.

Par cette méthode, ils pourraient contrôler la population de zones entières, la réduire par la médication de l’eau – qui provoquerait la stérilité des femmes – et ainsi de suite. Le fluor tenait une place importante dans ce projet de contrôle des masses. ».

Charles Perkins dit que des doses répétées de fluor, en quantité infinitésimale, réduisent les possibilités d’un individu à résister à la domination, en empoisonnant lentement, par narcotisme, une partie précise de son cerveau, le soumet tant ainsi à la volonté de ceux qui veulent le gouverner.

Il dit que le fluor est une « lobotomie légère et commode » et que la véritable raison qui se cache derrière la fluorisation de l’eau n’a rien à voir avec la santé dentaire des enfants. Si c’était le cas, il existe une quantité d’autres moyens, plus faciles à mettre en place, moins coûteux et de loin plus efficaces, souligne-t-il. Le réel objectif derrière la fluorisation de l’eau était de réduire la résistance des masses à la domination, au contrôle et à la perte de leur liberté.




Perkins dit que lorsque les NAZIs décidèrent d’aller en Pologne, l’état-major Allemand et l’état-major Russe échangèrent leurs idées scientifiques et militaires, leurs plans, leur personnel et le projet du contrôle des masses par la médication de l’eau, que les communistes Russes adoptèrent aussitôt parce qu’il collait parfaitement à leur plan de communiser le monde. « Le plan me fut expliqué en détail par un chimiste Allemand, l’un des officiels de l’immense industrie chimique I.G. Farben. À l’époque, cet homme avait aussi une place importante au sein du mouvement NAZI.

 

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Je dis ça avec toute l’honnêteté et la sincérité d’un scientifique qui a passé près de vingt ans de sa vie à faire des recherches en chimie, en biochimie, en physiologie et en pathologies dues au fluor : Une personne qui boira pendant un an, ou plus, de l’eau à laquelle on a ajouté du fluor, ne sera plus jamais la même, mentalement ou physiquement. ». C’est la raison même pour laquelle, depuis, les « gouvernants » ont continué de plus belle à encourager la consommation de fluor.

Y a-t-il meilleur moyen de diminuer les capacités mentales de la population qu’en contaminant les réserves publiques d’eau potable?

Lorsque nous buvons quelque chose qui contient de l’eau « fluorée », y compris de la bière et des sodas (boissons gazeuses), nous sommes intoxiqués lentement, mais sûrement. Le fluor est un sous-produit de l’industrie de l’aluminium. L’idée d’introduire du fluor dans l’eau potable vient de la famille Mellon, aux États-Unis, qui dirige le cartel de l’aluminium ALCOA .

La lignée des Mellon est très importante. Ce sont des amis intimes de la famille royale d’Angleterre et, par le réseau, ils dictent la politique US. Le fluor ne protège ni les dents, ni les os. Ce ne sont que des prétextes. Le fluor sert à diminuer les fonctions intellectuelles de la population, afin que personne ne pense, ne remette quoi que ce soit en question ou ne se rebelle. Les concentrations en fluor des eaux minérales

Avertissement

Avec un verre de Vichy par jour, on dépasse déjà la dose admissible de fluor (1 mg par jour chez l’adulte).

Les eaux sont classées des plus riches en fluor, à consommer avec grande modération, vers les moins riches, a priori sans danger du point de vue du fluor. Il est préférable de ne pas consommer comme unique eau (soit 1,5 l par jour) des eaux à teneur en fluor supérieure à 0,6 mg/l.

Au bébé, on ne donnera pas d’eau à teneur supérieure à 0,2 mg/l, et 0,3 mg/l

ST-YORRE 8,9

SAIL-LES-BAINS 6,5

VICHY CELESTINS 6,1

PAROT 3,7

ST-ALBAN CESAR 3,4

OREE DU BOIS 2,8

CHATEAUNEUF 2,7

ST-ALBAN ANTONIN 2,7

AMANDA 2,5

ST-AMAND VAUBAN 2,5

WATTWILLER 2,4

CHATELDON 2,2

CLOS DE L’ABBAYE 2,1

FONFORT 2,0

QUEZAC 2,0

DAX 1,9

SOULTZMATT 1,9

ST-CHRISTOPHE 1,9

BADOIT 1,8

MIERS-ALVIGNAC 1,8

VALS-VIVARAISE 1,6

ST-DIERY 1,5

VERNET 1,5

ST-ANTONIN-NOBLE-VAL 1,4

ARCENS 1,2

CRISTALINE 1,1

ARVIE 1,0

VERNIERE 1,0

REINE DES BASALTES 0.9

STE-MARGUERITE 0.9

ROZANA 0.7

VALS ST-JEAN 0.7

PUITS St-GEORGES 0.6

AMELIE-LA-REINE 0.5

SALVETAT 0.5

AUVERGNE 0.4

HEPAR 0.4

DIDIER 0.4

ABATILLES 0.3

CONTREX 0.3

VENTADOUR 0.3

VITTEL 0.3

CHANTEMERLE 0.3

AVENE 0.2

AIZAC 0.2

CHAMBON 0.2

HYDROXYDASE 0.2

VOLVIC 0.2

ALET 0.2

PLANCOET 0.2

PROPIAC 0.2

OREZZA 0.1

EVIAN 0.1

LUCHON 0.07

PERRIER 0.07

THONON 0.07

CELTIC 0.05

DIDIER PLATE 0.05

MONT-ROUCOUS 0.05

NESTLE PURE LIFE Source des Acacias 0.05

ST-MARTIAL 0.03

OGEU 0.09

Sources: http://ecobio-attitude.org/operation-fluor-info.pdf http://www.editionsluigicastelli.com

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LA VÉRITÉ SUR LA CHIMIOTHÉRAPIE ACCIDENTELLEMENT DÉVOILÉE PAR UNE ÉTUDE

LA VÉRITÉ SUR LA CHIMIOTHÉRAPIE ACCIDENTELLEMENT DÉVOILÉE PAR UNE ÉTUDE

Il semblerait que les tumeurs se développent plus rapidement après la chimiothérapie !

Selon l’étude, la chimiothérapie, qui est la méthode standard pour traiter le cancer aujourd’hui, est un gros échec, et en plus elle est au complet détriment du malade cancéreux. Evidemment, ces découvertes qui ont été publiées dans le journal Nature Medicine, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante. Les résultats éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.



LA VÉRITÉ SUR LA CHIMIOTHÉRAPIE: D’après cette étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines une protéine, WNT16B,

qui aide à assurer la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines. Ainsi la chimiothérapie empire l’état du patient au lieu de le soigner puisqu’elle détruit les cellules saines et fait proliférer les cellules cancéreuses. Cette découverte devrait interpeller quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-même en ayant un cancer, soit parce qu’il connaît une personne qui en est atteinte.

Quand le WNT16B est secrétée, elle favoriserait le développement des cellules cancéreuses proches, celles-ci se répandraient, elles résisteraient à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte à laquelle  »il ne s’attendait pas du tout. »  » Ces résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour… peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.

LA VÉRITÉ SUR LA CHIMIOTHÉRAPIE: Cette recherche indique qu’on pourrait avoir plus de chances de guérir du cancer en évitant la chimiothérapie.

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Cela signifie que la chimiothérapie serait totalement inefficace, et qu’elle est en fait au complet détriment du patient cancéreux. Celui qui cherche vraiment à guérir fera tout pour éviter la chimiothérapie, et cherchera une alternative.

»Toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui finit par tuer les patients , » a déclaré le Dr Raghu Kalluri, auteur d’une étude similaire publiée l’année dernière dans le journal Cellule cancéreuse. Cette étude particulière a conclu que les drogues anti-cancer, qui sont habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des métastases.

Sources LA VÉRITÉ SUR LA CHIMIOTHÉRAPIE ACCIDENTELLEMENT DÉVOILÉE PAR UNE ÉTUDE :
http://www.naturalnews.com/038811_chemotherapy_tumor_growth_fraud.html





http://www.nydailynews.com
http://naturalsociety.com/chemotherapy-makes-cancer-far-worse/

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La loi de l’intention et du désir

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Inhérente dans chaque intention et chaque désir se trouve la mécanique de son accomplissement… L’intention et le désir dans le champ de la pure potentialité dispose d’une puissance infinie d’organisation. Quand nous introduisons une intention dans la terre fertile de la pure potentialité, nous mettons cette puissance d’organisation infinie au travail en notre faveur.
 

Je vais mettre la loi de l’intention et du désir en vigueur en m’engageant à prendre les mesures suivantes:
 
  1. Je vais faire une liste de tous mes désirs. Je prendrai cette liste avec moi où que j’aille. Je regarderai cette liste avant d’observer le silence et de méditer. Je la regarderai avant de me coucher. Je la regarderai même en me réveillant le matin.
     
  2. J’émettrai cette liste de mes désirs et la livrer à la matrice de la création en sachant que lorsque les faits ne semblent pas se dérouler comme je le souhaiterais, il y a une raison, et que le plan cosmique a des desseins pour moi bien plus grands que ce que j’ai moi-même conçu.
     
  3. Je me rappellerai de pratiquer la pleine conscience du moment présent dans toutes mes actions. Je refuserai de permettre aux obstacles d’absorber et de dissiper la qualité de mon attention à ce moment présent. J’accepterai le présent pour ce qu’il est et manifesterai le futur à travers les intentions et les désirs les plus profonds que je chéris le plus.
     
Deepak Chopra
Source: www.chopra.com
LIVRE DE DEEPAK CHOPRA

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les 10 clés du bonheur

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1. Écoutez la sagesse de votre corps qui se traduit par des signaux de confort et d’inconfort. Lors du choix d’un certain comportement, demandez à votre corps, « Comment te sens—tu à ce sujet? » Si votre corps envoie un signal de détresse physique ou émotionnelle, faites attention. Si votre corps envoie un signal de confort et d’empressement, allez-y. 2. Vivez dans le présent, car c’est le seul moment que vous avez. Gardez votre attention sur ce qui est ici et maintenant. Cherchez la plénitude dans chaque moment. Acceptez ce qui vient à vous totalement et complètement de sorte que vous pouvez apprécier, apprendre de lui, puis laissez-le aller. Le présent est comme il se doit. Il reflète les lois infinies de la nature qui vous ont apporté cette pensée exacte, cette réponse physique exacte. Ce moment est tel qu’il est parce que l’univers est comme il est. Ne luttez pas contre le système infini des choses. A la place, ne faites qu’un avec lui.

3. Prenez le temps de vous taire, de méditer, de calmer le dialogue interne. Dans les moments de silence, réalisez que vous recontactez votre source de conscience pure. Prêtez attention à votre vie intérieure de sorte que vous puissiez être guidé par l’intuition plutôt que des interprétations imposées de l’extérieur de ce qui est ou pas bon pour vous.

4. Renoncez à votre besoin d’approbation externe. Vous êtes seul juge de votre valeur, et votre but est de découvrir une valeur infinie en vous-même, peu importe ce que pense autrui. Il y a une grande liberté dans cette réalisation.

5. Lorsque vous réalisez que vous réagissez avec colère ou en opposition à toute personne ou toute circonstance, prenez conscience que vous luttez seulement qu’avec vous-même. Le fait de mettre en place de la résistance est la réponse de défenses créées par de vieilles blessures. Lorsque vous renoncerez à cette colère, vous serez votre propre guérison et coopérerez avec le flux de l’univers.

6. Sachez que le monde « là dehors » reflète votre réalité « ici. » Les personnes avec lesquelles vous réagissez le plus fortement, que ce soit avec de l’amour ou de la haine, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus est ce que vous niez le plus en vous-même. Ce que vous aimez le plus est ce que vous souhaitez le plus en vous-même. Utilisez le miroir des relations pour guider votre évolution. L’objectif est la connaissance du soi total. Lorsque vous atteignez cela, ce que vous voulez le plus apparaitra automatiquement, et ce envers quoi vous avez le plus d’aversion disparaîtra.

7. Débarrassez-vous du fardeau de jugement — vous vous sentirez beaucoup plus léger. Le jugement impose le bien et le mal sur des situations qui sont, tout simplement. Tout peut être compris et pardonné, mais quand vous jugez, vous vous coupez de votre compréhension et stoppez le processus d’apprendre à aimer. En jugeant les autres, vous réfléchissez votre manque d’acceptation de soi. Rappelez-vous que chaque personne à qui vous pardonnez ajoute à l’amour de soi.

Frédérique shine medium – prédiction coronavirus www.frederiqueshine.com




8. Ne contaminez pas votre corps par des toxines, soit avec la nourriture, la boisson, ou les émotions toxiques. Votre corps est plus qu’un système de survie. Il est le véhicule qui vous transportera sur le chemin de votre évolution. La santé de chaque cellule contribue directement à votre état d’être ainsi, parce que chaque cellule est un point de prise de conscience dans le domaine de la sensibilisation qui est vous.

9. Remplacez le comportement motivé par la peur par le comportement motivé par l’amour. La peur est le produit de la mémoire qui réside dans le passé. Se souvenir de ce qui nous a fait mal avant, nous dirige vers nos énergies veillant à ce qu’une vieille blessure ne se répète pas. Mais essayer d’imposer le passé au présent ne fera jamais disparaître la menace d’être blessé. Cela arrive seulement quand vous trouvez la sécurité de votre propre être qui est l’amour. Motivé par la vérité à l’intérieur de vous, vous pouvez faire face à toute menace parce que votre force intérieure est invulnérable à la peur.

10. Comprenez que le monde physique est juste le miroir d’une intelligence profonde. L’intelligence est l’organisatrice invisible de toute matière et de toute énergie, et depuis une partie de cette intelligence réside en vous, que vous partagez dans le pouvoir d’organisation du cosmos. Parce que vous êtes relié de manière indissociable de tout, vous ne pouvez pas vous permettre de polluer l’air et l’eau de la planète. Mais à un niveau plus profond, vous ne pouvez pas vous permettre de vivre avec un esprit toxique, parce que chaque pensée provoque une impression sur l’ensemble du domaine de l’intelligence. Vivre en équilibre dans la pureté est le plus grand bien pour vous et pour la Terre.

 
Deepak Chopra
Titre original: Ten Keys to Happiness
Source traduction:www.humanitysteam.fr
Livre de Deepak Chopra
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Réveillez le pouvoir de l’intention

Nous avons tous vécu cela: ne serait-ce qu’un simple mouvement de la conscience peut nous faire passer d’une impression de blocage, de manque d’inspiration, de stress, aux attrayantes découvertes de possibilités nouvelles, à une paix plus profonde, au bonheur. Un instant nous sommes remplis d’anxiété à propos d’une dépense inattendue, et l’instant d’après les gentilles paroles d’un ami ou un geste d’amour nous enveloppent dans une impression soudaine de bien-être.



Qu’est-ce qui a changé? Il y a toujours cette facture à payer, mais notre conscience s’est déplacée au moment présent, qui est le seul endroit où nous pouvons faire l’expérience de l’amour, de l’accomplissement et d’infinies possibilités.

Nous parlons souvent de la conscience des choses comme si c’était tout simple, mais en fait cette conscience est complexe et fluide. Certains jours, on est ouverts, clairs, réceptifs. Les idées viennent facilement et l’univers semble conspirer en notre faveur. Puis il y a d’autres jours où on est plus fermés, inertes, en proie aux conflits. On ne cesse de rencontrer des obstacles, on se sent déconnecté du monde et de notre potentiel.

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Pour la plupart des gens, ces fluctuations sont simplement quelque chose de donné. Ils parlent de bonnes périodes et de mauvaises périodes comme si la vie était quelque chose qui leur arrivait plutôt que quelque chose qui est créé en commun.

S’ouvrir à la Synchro-Destinée
 
Et si, au lieu de laisser les évènements extérieurs et les cadres de pensée conditionnés dicter notre humeur, notre niveau d’énergie, notre réussite, notre créativité, nous étions capables d’étendre notre conscience à un niveau qui nous permettrait de reconnaitre et de profiter de tous les miracles, de toutes les synchronisations, de toutes les opportunités qui s’offrent à nous?
 
Voici l’état que je nomme synchro-destinée, sachant que notre vie est inextricablement connectée à chaque instant au champ universel de l’intelligence, orchestrant la danse entière de la création à tous les niveaux, des confins les plus lointains du cosmos aux évènements de notre vie quotidienne. L’univers nous envoie constamment des indices et des évènements synchrones qui nous amènent à expérimenter notre but le plus élevé et notre accomplissement dans la vie.

La synchro-destinée est plus qu’une « simple » conscience, cependant. C’est aussi l’usage actif de notre attention et de notre intention dans le but de mener ce processus à maturité. Les énergies de l’attention transforment, ainsi que l’intention. Tout ce à quoi vous portez attention se fortifiera dans votre vie, tandis que tout ce à quoi vous n’accorderez aucune attention dépérira et se désintègrera dans votre conscience. L’intention, d’autre part, donne naissance à la transformation de l’énergie et à l’information. Comme une graine tombée dans un sol fertile, elle contient le mécanisme de son propre accomplissement.

Maitriser l’Art de l’Intention

Comment devenir le sol fertile qui accueille la graine de l’intention? La réponse est dans la découverte de façons de faire passer votre allégeance du monde extérieur à celle du monde intérieur. Le chemin individuel est unique, mais j’ai remarqué que les gens qui réussissent le mieux à manifester leurs intentions facilement et sans effort partagent les caractéristiques suivantes:
 
1. Ils ne sont pas attachés au passé ou à la façon dont les choses doivent normalement se faire.  
2. Ils s’adaptent facilement aux erreurs et aux fautes.
3. Ils ont de bonnes antennes et sont sensibles au moindre signal.
4. Leur esprit et leur corps entretiennent de bons rapports.
5. Cela ne les gêne pas d’assumer l’incertitude ou l’ambiguïté.
6. Ils restent patients quant à l’issue de leurs désirs et font confiance à l’univers pour leur apporter des résultats.
7. Ils établissent des rapports karmiques et sont capables de donner du sens à des évènements fortuits.

L’essence de la synchro-destinée est de trouver une façon de faire sienne la prise de conscience que tous les évènements, messages et curieuses « coïncidences » qui se présentent dans la vie viennent en fait de soi-même. Ce sont des signes venus de Dieu, ou de l’esprit, ou de l’intelligence universelle qui vous poussent à quitter votre conditionnement karmique et vos schémas de pensée habituels.

Une conscience plus élevée est à votre recherche, elle vous demande de faire attention. Elle vous dit que vous êtes plus que vous ne pensiez l’être. En réalité vous êtes la totalité de la conscience, et la division entre l’intérieur et l’extérieur est complètement artificielle. Une fois que vous entretenez cette notion, vous pouvez commencer à suivre les pistes qui vous sont laissées tout le temps. Ces pistes vous mènent vers l’intérieur, et c’est là qu’il faut aller pour trouver les réponses.



L’intention vous fournira des opportunités, mais cela ne vous empêche pas d’agir lorsque l’opportunité vous est offerte. Quand vous entreprenez une action, pensez que vous n’exécutez pas l’action mais que vos actions sont celles d’une puissance directrice universelle. Ce faisant, vous observerez une baisse du stress, vous serez moins attaché au résultat, et vous commencerez à faire de plus en plus l’expérience de la réalisation spontanée du désir dans le domaine des possibilités infinies.

Source:www.humanitysteam.fr

LIEN DU LIVRE

 

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Hypnose : de la magie à la médecine

Charlatanisme, manipulation mentale…, les préjugés sur l’hypnose ont la dent dure. Pourtant, les preuves sont là : l’hypnose soigne et débarrasse des addictions. Résultat, la technique est aujourd’hui utilisée en routine dans les centres antidouleur et permet chaque année à des centaines de fumeurs d’arrêter. La science commence à lever le voile sur cet étrange pouvoir.

Scène d'hypnose au XIXe siècle
Gravure d’une scène d’hypnose au XIXe siècle.
© Costa / Leemage




Commençons par une révélation : vous avez déjà sombré dans l’état d’hypnose ! Et vous vous y adonnez même plusieurs fois par jour ! En effet, la lecture d’un livre, le visionnage d’un film ou le rappel de souvenirs suffisent à expérimenter une légère transe hypnotique. L’électroencéphalogramme de sujets hypnotisés confirme cette idée : l’entrée dans l’hypnose s’accompagne d’un ralentissement des ondes cérébrales, un phénomène également observé lors de l’endormissement.

Si l’état hypnotique se situe à mi-chemin entre la veille et le sommeil, cette description n’a plus guère de rapport avec l’hypnose de ses débuts, au XVIIIe siècle, à l’époque où elle s’appelait « magnétisme animal ». C’est ainsi que Franz Anton Mesmer, médecin allemand exilé à Paris, avait baptisé l’étrange phénomène qui lui permettait de soigner de façon quasi miraculeuse. Pensez donc, il suffisait de réunir les malades autour d’une cuve d’eau où trempaient du verre pilé et de la limaille de fer, d’agrémenter le tout de quelques détails d’ambiance destinés à impressionner, pour que certains des patients soient pris subitement de convulsions et, au terme de leur crise, guérissent véritablement !

Magie ? Non, Mesmer venait de découvrir que l’état modifié de conscience, du type hypnotique, possède un pouvoir thérapeutique. L’hypnose médicale était née. Elle ne demandait, pour se développer, que de s’abstraire de tout décorum superflu. Ce qui fut fait au XIXe siècle. Mais c’est surtout au XXe siècle que l’hypnose explosa, particulièrement sous l’impulsion d’un psychiatre américain, Milton Érickson. Érickson, notamment, élabora des techniques indirectes pour induire l’état hypnotique chez ses patients, à l’opposé des méthodes traditionnelles, très dirigistes.

Aujourd’hui, le paysage des praticiens de l’hypnose est large. Les hypnotiseurs de music-hall ont récupéré les techniques des descendants de Mesmer pour monter des spectacles de Las Vegas à Pigalle. Bien qu’ils possèdent quelques « trucs » dans leurs manches (l’hypnotiseur Dominique Webb, très présent à la télévision dans les années quatre-vingts, avait des complices dans la salle qui faisaient mine d’être hypnotisés instantanément ; impressionnés par la prouesse, les vrais spectateurs n’en étaient que mieux hypnotisables), il n’en reste pas moins de véritables hypnotiseurs au sens où ils sont capables de plonger un sujet en transe hypnotique très rapidement.

Les hypnothérapeutes, eux, emploient l’hypnose comme outil pour soigner et réduire la souffrance. Leur nombre progresse énormément en ce moment. Le premier diplôme universitaire d’hypnose médicale a été créé à Paris il y a six ans. Y sont formés aux techniques d’hypnose des médecins, des psychologues, des sages-femmes ou encore des chirurgiens dentistes. De quinze inscrits à ses débuts, il est passé à soixante-dix aujourd’hui et refuse des candidats. Pour répondre à la demande, une autre formation supérieure a vu le jour en octobre 2007 à l’université de médecine de Bordeaux.

Quels sont les succès de l’hypnose ? Que dit la science de son pouvoir thérapeutique (chapitre 2) ? Quelles sont les limites de cette méthode de guérison (chapitre 3) ? L’hypnose médicale se rapproche-t-elle de certaines médecines traditionnelles (chapitre 4) ? Jean-Marc Benhaiem, créateur du diplôme universitaire de Paris, a accepté de nous faire découvrir le monde de la transe et de la suggestion hypnotiques. Prêts ? Vos paupières sont lourdes, lourdes…

01.Les succès de l’hypnose médicale

L'hypnose et les troubles psychosomatiques

L’hypnose peut permettre de soigner les troubles psychosomatiques et alimentaires, le stress, les addictions, les phobies…
© X.Muller & D.Coutin / CG91
Paris, hôpital Trousseau. L’enfant est allongé sur la table d’opération. Un petit rideau est tendu sous son menton pour éviter que son regard croise la plaie qu’il aura dans quelques instants au cou. Le jeune malade souffre de ganglions suspects qu’il faut retirer. À ses côtés, l’anesthésiste lui susurre des mots afin de l’emmener dans une légère transe hypnotique qui, en complément d’un anesthésiant local, réduira la douleur et le stress entourant le geste chirurgical. Une anesthésie générale aurait rempli le même rôle, sauf que la cage thoracique, contractée dans ce genre de pathologie, pourrait bien se relâcher soudainement et étouffer l’enfant.

Plus tard, Patrick Richard, l’anesthésiste qui a accompagné l’enfant, se montrera enthousiaste : « L’introduction de l’hypnose a été un bouleversement dans le traitement de ces enfants ! » Il est vrai, l’hypnose a de nombreux avantages. Outre qu’elle supprime d’éventuelles complications liées à l’anesthésie générale, elle permet de garder éveillé le patient et donc de surveiller lors de l’opération sa conscience et sa motricité. Utile pour les opérations qui comportent des risques d’infarctus du cerveau, comme en chirurgie des artères : les médecins voient immédiatement si le patient fait un accident cérébral.

Mais est-on sûr des propriétés analgésiques de l’hypnose ? De fait, de nombreuses publications scientifiques ont démontré les capacités de l’hypnose à atténuer la souffrance. Telle celle parue en 2000 dans la prestigieuse revue Lancet, sous la plume du docteur Elvira Lang du Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston (États-Unis) et des collaborateurs d’autres universités américaines. Les auteurs avaient mis à l’épreuve l’effet de l’hypnose en observant, à l’occasion de 241 opérations qu’ils ont pratiquées, la quantité d’analgésique demandée par les patients pour supporter la douleur. Certains des patients avaient été hypnotisés avant l’opération et tous s’autoalimentaient en analgésique en actionnant une pompe manuelle. À l’issue des opérations, le groupe de patients mis sous état hypnotique avait consommé moitié moins de liquide anesthésiant que le groupe témoin qui avait subi une opération classique. CQFD

Outre les douleurs ponctuelles liées à une intervention, l’hypnose peut également servir à réduire les douleurs chroniques. En 1991, une équipe du département de l’hôpital Antonius Ziekenhuis à Nieuwegein des Pays-Bas a démontré l’effet antidouleur sur des malades atteints de fibromyalgie, une pathologie qui, en France, touche environ 2 % de la population et se traduit notamment par des douleurs musculaires. De son côté, en France, la Haute autorité de santé recommande, depuis février 2003, l’utilisation des méthodes de relaxation et d’hypnose comme traitement de fond de la migraine de l’enfant.




Si, à l’hôpital, c’est pour ses qualités analgésiques qu’on emploie l’hypnose, dans les cabinets privés d’hypnothérapeutes, on soigne plutôt les troubles psychosomatiques. La liste d’applications est large : traitement des troubles alimentaires (l’hypnose peut aider un boulimique à réduire son envie obsessionnelle de produits gras et/ou sucrés), du stress, de la dépression, des phobies, des TOC (troubles obsessionnels compulsifs), des insomnies, de la sexualité (par exemple en cas de perte du désir ou d’éjaculation précoce), des addictions de toutes sortes aux calmants, somnifères, tabac, alcool. Pourquoi ces traitements sont-ils exclus de l’hôpital ? Il n’existe pas de réponse scientifiquement argumentée à cette question. Mais sans doute les études scientifiques ne sont-elles pas encore assez nombreuses pour convaincre les patrons des services hospitaliers du bien-fondé de l’hypnose. Tandis que les barrières mentales et culturelles seraient moins fortes dans le privé à l’expérimentation de l’hypnose.

Comment se déroule une séance d’hypnothérapie ? D’abord, le thérapeute induit chez le patient un léger état hypnotique en lui demandant de fixer un objet, d’être à l’écoute de ses sensations corporelles, ou en le confusionnant (un terme courant dans le jargon des hypnotiseurs) par une question du type : « Pouvez-vous vous réduire à votre corps ? »… Puis il tente de modifier la perception qu’a le sujet de son trouble. Les hypnothérapeutes les plus dirigistes fonctionnent par suggestions : à une personne fumeuse, ils suggèreront que la cigarette provoque la nausée ; l’impression de nausée réapparaîtra en dehors des séances, chaque fois que le patient aura une cigarette au bec, et finira par le dégoûter de son addiction.

A contrario, d’autres hypnothérapeutes amènent leurs patients à s’interroger sur leurs sensations et à « faire le ménage » parmi elles : « Certes la cigarette vous évoque du plaisir, mais votre corps, lui, en ressent-il ? » Éventuellement, ils amènent les sujets à revivre mentalement des moments de leur vie où leur addiction, leur trouble, sont absents. Ils espèrent ainsi renforcer les perceptions positives ressenties alors, au détriment de celles qui s’expriment avec le malaise. Dans tous les cas, le patient reste conscient durant la séance. La guérison ou l’arrêt du trouble sont censés intervenir rapidement, après deux à cinq séances.

02.L’hypnose sous le regard de la science : tout sauf de la magie

Imagerie médicale du cerveau sous hypnose

Cerveaux de patients sous hypnose. En haut à gauche : si on suggère au patient une augmentation de la douleur, la zone de localisation de la douleur s’élargit ; dans le cas contraire, à droite, elle diminue. En bas à gauche : si on suggère au patient d’attacher plus d’importance à sa douleur, la zone de localisation de la douleur augmente ; dans le cas contraire (ne pas y accorder d’importance), à droite, la zone diminue.
© P. Rainville & D.D. Price (authors) / The Neurophenomenology of Hypnosis and Hypnotic Analgesia / Psychological methods of Pain Control: Basic Science and Clinical Perspectives IASP Press 2004
Comment l’hypnose soulage-t-elle ou guérit-elle ? Des études ont montré que par un simple travail mental, comme le propose l’hypnose, on peut moduler le fonctionnement de son système nerveux. Ainsi, les sportifs répètent-ils mentalement, avant une épreuve, les gestes qu’ils accompliront. Par cette méthode, ils gagnent en précision, voire en force : Guang Yue du département d’ingénierie biomédicale de l’Institut de recherche Lerner, à Cleveland, aux États-Unis, a ainsi démontré que s’imaginer régulièrement soulever des poids avec le petit doigt procurait au bout de trois mois un gain de 35 % dans la force de traction !

Les techniques modernes de neuroimagerie ont fourni l’explication à ce pouvoir de la pensée sur le corps : répéter mentalement et pratiquer une activité activent les mêmes zones du cerveau, autrement dit « s’imaginer, c’est faire ». Des résultats similaires ont été obtenus pour la gestion de la douleur par hypnose : Pierre Rainville, de la faculté de médecine dentaire de Montréal, a montré que sous état hypnotique, si on suggère au patient que sa souffrance diminue alors l’activité de la zone du cerveau impliquée dans la sensation de la douleur (appelée cortex cingulaire antérieur) diminue. Là aussi, s’imaginer souffrir moins, c’est déjà souffrir moins.

Paradoxalement, aussi convaincantes soient-elles, ces découvertes semblent donner raison aux sceptiques de l’hypnose. Ceux-là remettent en cause la pierre angulaire même de la guérison hypnotique : le pouvoir de la suggestion. Pour eux, la suggestion n’existe tout simplement pas : le sujet hypnotisé réagit en réalité parfaitement consciemment aux suggestions de l’hypnotiseur (du genre « Vous allez moins sentir la douleur » ou « Vous dormirez mieux ce soir »), mais son envie fervente de croire en l’hypnose l’empêche de reconnaître qu’il s’agit d’un acte délibéré. Une façon de réduire l’hypnose médicale à un super effet placebo (par ailleurs réellement efficace): le patient guérit tout bonnement parce qu’il est convaincu de guérir. Après tout, la science a bien montré la puissance de l’imagination sur le corps, non ?

En 2005, par une expérience spectaculaire, Amir Raz, professeur assistant de neuroscience clinique à l’université de Columbia, a réfuté cette théorie. Amir Raz est un personnage singulier, ancien magicien devenu chercheur pour étudier les phénomènes hypnotiques. Il a reproduit sous hypnose une expérience classique en psychologie expérimentale : on demande aux sujets de quelle couleur sont écrits des mots, l’astuce étant que les mots eux-mêmes désignent des couleurs. Par exemple, la réponse pour VERT est rouge. Le résultat habituel de ce type d’expérience est que les personnes répondent correctement, mais seulement après une fraction de seconde de réflexion. C’est l’ »effet Stroop » : le réflexe de lire est si ancré que nous devons nous violenter pour ne pas répondre « vert » mais « rouge ».

Dans le protocole d’Amir Raz, les sujets étaient au préalable hypnotisés et il leur était suggéré que les mots qu’ils allaient lire n’étaient que des symboles sans signification. Conclusion : les sujets ont répondu instantanément ! La suggestion avait annulé l’effet Stroop ! Soit un comportement normalement impossible à outrepasser. L’expérience de Amir Raz a montré que la suggestion hypnotique ouvre véritablement une porte vers l’inconscient. Ce serait cette porte qu’emprunte l’hypnothérapeute pour soigner. Même si cela reste à démontrer.

La suggestion ne serait pas la seule clé du succès de l’hypnose médicale. Cette réussite thérapeutique tiendrait également dans sa façon « plus humaine », que dans la médecine scientifique, de prendre en charge les patients. « L’amour, le plaisir, les émotions… ne sont pas considérés par la médecine scientifique, note Jean-Marc Benhaïem, alors qu’il est prouvé qu’ils modulent la souffrance et, de façon plus générale, notre expérience de la maladie. » Par conséquent, il arrive qu’une séance d’hypnothérapie prenne des airs de psychothérapie, avec recherche de tout ce qui pourrait influencer de près ou de loin le mal du patient. Nous aider à démêler, grâce à la force de la suggestion, l’écheveau de nos émotions et de nos troubles physiques : voilà peut-être une des explications à la réussite de l’hypnose médicale.

03.Les limites de l’hypnose et les peurs qu’elle suscite

Hypnose et sevrage du tabac

L’hypnose peut, notamment, être employée auprès des personnes qui souhaitent arrêter de fumer. Le taux de réussite est variable selon les patients.
© SXC
L’hypnose peut-elle guérir tout le monde ? Autrement dit : existe-t-il des personnes plus réceptives à l’hypnose que d’autres ? Étrangement, il semblerait que la réponse soit oui aux deux questions. « Environ 20 % des gens sont peu hypnotisables, rappelle Jean-Marc Benhaïem, c’est-à-dire qu’ils offrent une résistance à entrer en transe hypnotique. Mais des études cliniques ont montré que même ces personnes réagissent aux suggestions. » La suggestibilité ne serait donc pas un critère d’efficacité thérapeutique. Avis à ceux qui partent difficilement dans l’imaginaire, les portes de l’hypnose leur sont tout de même ouvertes.

L’hypnose guérit-elle à tous les coups ? Clairement non. Si les réussites spectaculaires, par exemple sevrage du tabac ou de l’alcool en une seule séance existent, elles ne doivent pas cacher le taux d’échec important. Difficile d’avoir des statistiques en la matière. En ce qui concerne le tabac, selon l’expérience de Jean-Marc Benhaïem, un tiers des patients parviendraient à arrêter la cigarette après un traitement d’une à trois séances (un taux de réussite constaté six mois après l’arrêt du traitement). « Au-delà, on ne s’acharne pas, confie le docteur. Cela signifie que le patient n’est pas prêt : il continue à idéaliser le tabac, il a peur du changement…, il y a mille raisons. »

Si le médecin ne dispose pas de taux de réussite pour les autres troubles qu’il soigne, une chose est sûre : certaines maladies prêtent plus le flanc aux entraves psychologiques que d’autres. La palme reviendrait aux pathologies chroniques, telles les douleurs chroniques, comme les rhumatismes, particulièrement rétives à l’approche hypnotique : malgré eux, les malades se sont « habitués » à ces pathologies et il est d’autant plus difficile de leur montrer la maladie sous un nouvel angle. Au final, si « toute personne peut bénéficier de l’hypnose, résume Jean-Marc Benhaïem, rien ne garantit que le changement va être radical, car les raisons de ne pas changer sont aussi fortes et nombreuses que les raisons de changer. »

Une complexité qui se manifeste parfois par la substitution de symptômes : une personne ayant arrêté le tabac grâce à l’hypnose peut se transformer subitement en boulimique, remplaçant son addiction de la cigarette par celle de la nourriture. Selon le docteur Benhaïem, ces cas de figure, rares, révèlent plus une erreur médicale qu’un défaut intrinsèque de la méthode hypnotique. Dans l’exemple donné, l’hypnothérapeute n’a pas su découvrir que son patient fumait pour pallier un stress, stress qu’il s’est empressé de compenser, à défaut de tabac, par l’alimentation. Le thérapeute doit alors rectifier le tir en travaillant avec le patient simultanément comportement alimentaire et tabagisme. À l’inverse d’un psychothérapeute qui sans doute aurait choisi de remonter tout de suite aux racines du problème (le stress), l’hypnotiseur lui, travaille d’abord à dissocier la cause (le stress) des symptômes (tabagisme, boulimie), quitte ensuite, si vraiment le mal persiste, à envisager une autre stratégie.

Malgré la démonstration de son potentiel thérapeutique, l’hypnose continue d’alimenter des peurs. Des peurs déraisonnées selon les thérapeutes. En tête, le risque de manipulation mentale : sous état hypnotique, le patient verrait sa volonté diminuer et ne serait plus qu’une marionnette aux mains du thérapeute qui pourrait tout autant lui demander de sauter dans le vide ou de commettre un crime. « Il y a bien une certaine baisse de la volonté durant l’hypnose, confirme Jean-Marc Benhaïem, mais c’est au profit de sensations plus larges. Donc le patient est au contraire plus vigilant vers ce qui est un danger. » Pas de risque donc de se voir transformer en criminel….

Autre angoisse : celle de ne pas se réveiller de la transe hypnotique. En vérité, l’imaginaire populaire exagère la profondeur de la transe où se trouve un patient en thérapie. Il est rare que le patient s’endorme au cours d’une séance. Cependant en fin de séance, « il faut effectivement veiller à ce que les patients soient tout à fait sortis de l’état hypnotique ; une petite marche suffit pour cela », note le docteur.

04.L’hypnothérapie dans d’autres civilisations

Rituel chamanique - Sibérie

Sibérie : rituel de soin chamanique pour des enfants malades du village. Pendant la cérémonie, une place importante est accordée au groupe, aux liens les autres, les animaux, les pierres, l’univers, les esprits. Car, dans le chamanisme, tout dans la nature est animé, divinisé mais aussi lié, interconnecté.
© Film Médecine d’ici, médecine d’ailleurs / I. Célestin-Lhopiteau & R. Hamon / 2007
L’hypnose médicale, née européenne avant d’atteindre l’Amérique du Nord, n’est pas propre à la civilisation occidentale. Elle apparaît, sous d’autres formes dans des populations du monde entier qui recourent à des transes de guérison : les Gwana du Maroc, les Indiens Navarro, les peuples du golfe du Bénin qui pratiquent le vaudou, les adeptes du candomblé au Brésil… Chez ces peuples, lorsqu’un membre de la communauté est malade, le chaman, qui tient le double rôle de prêtre et de guérisseur, organise une cérémonie dont les points d’orgue sont le sacrifice d’un animal et le plus souvent une danse. Cette danse, souvent rythmée par des tambours, est censée plonger le sujet en transe.

Tout comme en hypnose, « l’idée de la transe est de saturer la conscience du sujet afin de l’amener à ouvrir ses perceptions, décrit Isabelle Célestin-Lhôpiteau, une hypnothérapeute de l’hôpital Trousseau qui se rend régulièrement chez ces populations pour étudier le potentiel thérapeutique de leurs pratiques. L’hypnose réalise cela par la parole. Les médecines traditionnelles, par la danse et la musique. »

Si la transe équivaut à un état hypnotique, les populations à culture chamanique ne l’interprètent évidemment pas ainsi : pour eux, la transe est avant tout une porte vers le monde des esprits. Par la cérémonie de guérison et la transe, elles espèrent pouvoir communiquer avec les divinités de la nature et ainsi retisser le lien rompu entre le malade, la nature, et le monde des esprits, rupture qui est la source du mal.

Isabelle Célestin-Lhopiteau l’a constaté plus d’une fois : aussi éloignées soient-elles de la médecine scientifique, ces médecines traditionnelles guérissent. Pour l’essentiel, comme l’hypnose thérapeutique, des pathologies chroniques : migraines, douleur de dos, maladies de la peau, crises drépanocytaires en Afrique (la drépanocytose est une maladie des globules rouges qui provoque des crises abdominales très douloureuses), asthmes…

Un détail paraît pourtant séparer l’hypnose de ces médecines : si chez les Gwana, c’est bien le malade qui se livre à la danse purificatrice, dans d’autres populations, comme celles vivant sur les rives du lac Baïkal, en Sibérie, c’est le chaman qui entre en transe et est le vecteur de la guérison, le malade se contentant d’assister à la cérémonie. Sort-on alors du cadre de la thérapie hypnotique ? Non, selon Isabelle Célestin-Lhopiteau : pour comprendre comment le malade guérit alors, « il faut passer par la représentation du monde de ces cultures, où si l’on touche un individu, une maille de la société, cela a des répercussions sur les autres. »

Dans leur ouvrage Du cœur à la raison, paru en 1989, la philosophe Isabelle Stengers et le psychiatre Léon Chertok soulignaient également le rôle de cette réciprocité dans l’approche hypnotique occidentale : « L’hypnose se produit à deux : celui qui se définit comme expérimentateur (l’hypnotiseur) est aussi, d’une manière qu’il ne contrôle pas, partie prenante dans ce qu’il suscite. » Les auteurs expliquaient que l’hypnose, comme l’état de veille, met en jeu un flux continu de processus distincts, conscients et inconscients, et dès lors fait participer à la fois le malade et le thérapeute.
C’est sans doute ce manque de contrôle de l’expérimentateur sur son action qui alimente la peur de l’hypnose.

Ce serait également par le jeu de ces forces mystérieuses que le chaman, en transe, parviendrait à guérir le malade, simple spectateur. Freud, qui a forgé la psychanalyse après avoir pratiqué l’hypnose sur ses patients (et l’a délaissée parce qu’elle était trop imprévisible), parlait de « l’énigme hypnose ». Presque un siècle après, on peut reprendre son mot.

Source:http://www.savoirs.essonne.fr

LIVRES SUR L’HYPNOSE, EXPLICATION ET PRATIQUE

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

Il faut parfois prendre une pause et regarder autour de soi pour constater à quel point la nature est apaisante. Même s’il est moins évident de le faire lorsqu’on réside en milieu urbain, il est essentiel de passer du temps à l’extérieur de la ville. Voici quelques points qui devraient vous convaincre de profiter du beau temps et de vous évader de la métropole.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

1. La nature réduit le stress et aide à trouver un sens à son existence

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Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

Il y a une poignée d’études qui démontrent que passer du temps dans la nature a des effets positifs sur le moral. Dans une étude réalisée à l’Université de Chiba au Japon, les scientifiques ont démontré que les gens qui étaient plus en symbiose avec la nature étaient plus heureux. Durant la durée du projet, des groupes étaient divisés en deux. La moitié devait passer du temps en forêt, alors que l’autre séjournait en milieu urbain. Le lendemain, les groupes étaient interchangés. Les scientifiques ont remarqué que lorsque les 280 participants étaient en forêt, leur pouls, leur pression artérielle et leur taux de cortisol était plus bas.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

2. Marcher en forêt stimule le système immunitaire

Ce n’est pas seulement le cerveau qui est stimulé par le grand air, mais aussi le corps. La marche en forêt renforce les muscles et augmente la résistance du système immunitaire. Selon une étude réalisée à l’École de médecine de Nippon à Tokyo, lorsque l’homme inhale les phytoncides, des molécules sécrétées dans l’air par les arbres et les plantes, les effets sur le corps humain sont bénéfiques au système immunitaire.

3. L’activité en nature brûle des calories

Une simple marche en forêt de 60 minutes peut brûler jusqu’à 500 calories. C’est aussi moins exigent pour le corps et les articulations de passer du temps dans la nature que de pratiquer le jogging, par exemple. La marche en forêt réduit la pression artérielle et aide à prévenir les maladies du cœur. Évidemment, les calories brûlées peuvent aussi contribuer à la perte de poids.

4. Le cerveau est stimulé après une marche en forêt

Les paysages à couper le souffle, les bruits environnants, le terrain parfois aride: tous ces éléments contribuent à stimuler le cerveau et la créativité. Des chercheurs de l’Université du Kansas et de celle de l’Utah affirment que passer du temps dans la nature, loin des technologies, contribue grandement à développer l’intuition.
Les gens qui passent du temps dans la nature sont plus heureux et moins stressés

Pour tirer ces conclusions, les scientifiques ont envoyé 56 participants en excursion de quatre ou six jours dans les forêts de l’Alaska, du Colorado, du Maine et de Washington. Durant cette période de temps, les cobayes n’avaient pas le droit d’utiliser de machines électroniques. À la fin de leur séjour en nature, leur niveau de créativité avait augmenté de 50%, de même que leurs aptitudes à résoudre des problèmes. Évidemment, les études ont démontré que la combinaison entre la nature et l’éloignement de la technologie avait un impact direct sur l’homme.

D’ailleurs, selon l’environnementalisme John Muir, retourner dans les bois est en quelque sorte comme retourner de l’endroit d’où l’on vient.

Source:http://www.journaldemontreal.com

En plus d’aller dans la nature la méditation est très bénéfique

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Qu’est-ce que votre mois de naissance révèle sur vous?

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Qu’est-ce que votre mois de naissance révèle sur vous?

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Vous avez sûrement déjà entendu dire que les signes du zodiaque peuvent révéler beaucoup sur la personnalité et les caractéristiques d’une personne, mais saviez-vous que le mois de votre naissance peut également en dire beaucoup sur vous?

Votre mois de naissance peut vous donner un aperçu sur votre comportement général, sur la façon dont les gens vous voient, sur vos pensées et vos sentiments envers la vie en général. Ces descriptions proviennent de l’étude statistique de l’astrologie, en se basant sur les traits de caractère de l’alignement et de la position des étoiles durant le mois de votre naissance.

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Voyez ce que votre mois de naissance révèle sur vous:

Janvier

Les personnes nées en Janvier ont une attitude exceptionnelle à l’égard du travail, et n’hésitent pas à faire connaître leurs opinions. Elles sont têtues, obstinées, et ne tolèrent pas bien que les gens leur disent quoi faire. Ce sont de très bons leaders en raison de leur persistance et de leur détermination à réussir, mais parfois il leur arrive de ne pas être assez à l’écoute des autres. Vous avez une capacité naturelle à enseigner aux autres, et ils vous écoutent avec facilité et avec une volonté d’apprendre.

Février

Si vous êtes né en février, vous avez probablement une grande créativité et aimez travailler sur de nouveaux projets. Vous aimez avoir des discussions intellectuelles, et n’aimez pas vous entretenir avec les personnes qui pourraient paraître superficielles.

On vous définit parfois comme un esprit libre, et vous n’aimez pas vivre selon les règles rigides de la société. Vous aimez voyager, prendre l’avion ou le train chaque fois que vous en avez la chance, découvrir et explorer le monde car cela vous donne la joie de vivre, et faire de votre mieux en compagnie d’autres rêveurs et esprits libres. Vous êtes un ami et un partenaire honnête et très fidèle.

 

Mars

Les personnes nées en mars sont également très créatives et sont dotées d’une grande imagination, mais elles ont tendance à être plus calmes et a avoir davantage d’introspection. Elles vivent souvent dans leur propre tête, en créant des chefs-d’œuvre dans leur esprit.Ils ont recours à l’art afin d’exprimer leurs emotions, et aiment profiter du temps seul pour se ressourcer. Vous êtes aimable avec les gens, mais avez tendance à cacher la plupart des aspects de vous-même aux autres. La plupart du temps, vous aimez vivre dans des environnements sereins et paisibles afin de vous éloigner des endroits bruyants.

 

  Avril Ceux qui sont nés en avril ont terriblement besoin d’amour et d’attention à chaque instant passé sous les feux des projecteurs. Ils ne prennent pas bien les ordres, préfèrent faire les choses à leur manière et guider les autres. Les jeunes gens du mois d’avril recherchent de nouvelles aventures, et sont constamment à l’affût d’une poussée d’adrénaline. Ils agissent d’abord et réfléchissent ensuite, vivant au jour le jour, observant où la vague les emmène. Ils sont parfois connus pour être forts et désagréables, mais expriment leur opinion et n’ont aucun problème à exprimer leurs sentiments.   Mai   Les gens nés au mois de mai ont tendance à être très volages, vouloir une chose hier, et quelque chose de totalement différent aujourd’hui. Ils s’expriment bien, et aiment parler aux gens de tous les horizons de la vie. Ils ont une vie sociale active, et n’aiment pas dépenser beaucoup de temps seuls. Ils aiment aussi les conversations intelligentes, stimulantes mais ont besoin d’autant de plaisir et d’excitation. Ils se lassent facilement, et cherchent constamment de nouvelles façons de se divertir  

 

Juin

Si vous êtes né en juin, vous êtes quelqu’un de très sensible et bienveillant envers les sentiments des autres. Ce que les gens apprécient vraiment chez vous, c’est votre douceur et votre côté réservé. Vous avez un esprit créatif, et songez à l’avenir par rapport à vos créations lointaines et comment donner vie à vos idées dans ce monde. Bien que vous n’exprimiez pas toujours ce qui vous inspire, il y a tout un monde qui vit à l’intérieur de vous, et vous souhaitez donc découvrir comment lui donner vie.
Juillet

 

 

 

Août Les gens du mois d’août sont des leaders naturels, ils n’ont pas peur de défendre et de faire valoir leurs propres opinions. Ils peuvent être autoritaires et butés, mais en dessous de cette carapace, ils ont un grand cœur. Ils peuvent trop penser, mais également s’enfermer dans un plan à long terme rigide. Ils auront tendance à avoir une approche méthodique de la vie s’ils ne font pas attention. Les personnes nées en août obtiennent de bons résultats dans les carrières qui impliquent la réflexion et l’analyse critique, parce qu’ils voient la vie comme une étape à ordre logique. Ils n’expriment pas bien leurs émotions, et donc, il peut être difficile de voir leur côté « humain » à certains moments.

 

 

 

Septembre Ceux qui sont nés en septembre attendent beaucoup des autres, c’est pour cela qu’ils sont facilement déçus. Ils ont un côté têtu développé, et gardent de vieilles rancunes si vous leur tapez sur les nerfs. Ils sont perfectionnistes, et placent très haut leur idéal ainsi que celui des autres. Ils sont aussi sensuels, créatifs, aimables, et veulent toujours aider les autres dès qu’ils le peuvent.

 

 

 

Octobre Ceux qui sont nés en octobre exigent l’équilibre et la stabilité dans tout ce qu’ils font, et ont une perspective positive sur la vie. Vous n’aimez pas la confrontation, et l’évitez autant que possible. Vous avez également une vie sociale active, et aimez énormément vos amis. Vous êtes charmant, bavard, et bien que vous aimiez être à proximité des gens, vous êtes farouchement indépendant.

 

 

 

Novembre Les personnes nées en novembre sont très discrètes, et cachent souvent leurs vrais sentiments aux autres. Ils n’aiment que les autres leur disent ce qu’ils doivent faire, et ont tendance à se tailler leur propre chemin de vie. Ils n’ont pas beaucoup de craintes, et prendront les taureaux par les cornes dans une situation, quelles que soient les conséquences. Ils ne laissent rien les arrêter dans la vie, ont une personnalité forte et une approche passionnée à la vie.

 

 

 

Décembre Les bébés de décembre sont très aventureux, et font des personnes généreuses. Cependant, ils peuvent parfois se laisser envahir par la fierté, et s’emporter avec les gens. Ils aiment constamment se déplacer, et ne supportent pas de rester assis pendant une longue période. Ils sont courageux, divertissants, et leur liberté d’esprit atypique s’équilibre parfaitement avec leur côté plus tendu.

 

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L’Essence de chacun des douze signes Le Bélier libère une pulsion pour créer une nouvelle action. Le Taureau stabilise ce qui existe et le fait croître. Les Gémeaux expérimentent le jeu du miroir et de la dualité. Le Cancer accueille, recueille, abrite et crée de nouvelles racines. Le Lion rayonne la puissance de son affirmation. La Vierge mentalise, analyse et réduit pour arriver à ce qui est juste La Balance tend à concilier et réunit les opposés. Le Scorpion transforme au point de mourir pour faire renaître à l’octave du Soi. Le Sagittaire ouvre de nouveaux horizons et relie la Terre et le Ciel Le Capricorne renonce au superflu pour parvenir à l’Essence-ciel. Le Verseau libère des chaînes archaïques pour innover. Les Poissons se fondent dans l’universalité de l’Amour inconditionnel. Source Qu’est-ce que votre mois de naissance révèle sur vous? : powerofpositivity.com

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Trop lucides pour être heureux ?

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Les surdoués ont de grandes difficultés à appréhender leur vie intérieure, leurs émotions par exemple, mais aussi le monde qui les entoure. Leur lucidité extraordinaire, qui leur permet une perception inhabituelle du monde, peut aussi les fragiliser. Extrait du livre « Trop intelligent pour être heureux ? » de Jeanne Siaud-Facchin.

La difficulté d’être un adulte surdoué peut s’aborder sous deux angles : celui, essentiel, de la lente construction de soi, de sa personnalité, de l’image que l’on a de nous-mêmes et qui détermine notre rapport au monde, aux autres. Mais aussi sous l’angle plus spécifique des particularités de fonctionnement des surdoués qui vont prendre un relief, une présence, singulières à l’âge adulte. Ces singularités, déjà présentes dans l’enfance, vont devenir des façons d’être au monde qui peuvent compliquer l’équilibre de vie. L’intrication, on le comprend, est étroite entre le parcours de l’enfant surdoué que l’on a été, et l’adulte que l’on devient.
On peut repérer dans les lignes qui suivent des modes de fonctionnement qui se retrouvent dans d’autres profils de personnalité. C’est vrai. Mais ce qui est spécifique au surdoué, comme toujours, est l’intensité de chacune de ces expressions de soi. Et la souffrance qui peut y être associée. La fréquence d’apparition de ces caractéristiques de personnalité permet d’identifier ce groupe, distinct parmi les autres, que composent les adultes surdoués. Ni tout à fait pareils ni complètement différents…



La lucidité étourdissante

Comment vivre avec cette lucidité qui inonde tout ce qui entoure. Qui scrute le moindre recoin. Qui repère le plus petit détail. Une lucidité qui pénètre au plus profond de l’autre. La lucidité du surdoué est d’autant plus puissante qu’elle s’alimente à une double source :
– l’intelligence aiguisée qui dissèque et analyse,
– l’hyperréceptivité émotionnelle qui absorbe la plus infime particule d’émotion ambiante.

Cette lucidité pénétrante ne laisse aucun répit. Et le surdoué ne peut débrancher ce rayon laser qui l’habite, qui fonctionne sans relâche. Il devient plus difficile de se sentir en sécurité, de faire confiance, de se laisser porter par la vie. La lucidité créé un véritable trouble, non identifié dans les manuels de psychologie, et pourtant proche du vertige, de la perte de conscience parfois. De la souffrance toujours. Tous les adultes surdoués expliquent combien il est douloureux d’être envahi par cette perception grossie du monde. Comme lorsque, petit, on regarde les fourmis évoluer dans la fourmilière aux parois grossissantes. La lucidité exacerbe et amplifie, mais surtout ne permet jamais de « ne pas voir ». Comme il est plus facile de vivre quand on ne repère pas les dysfonctionnements ambiants, que l’on ne se retrouve pas à penser, réfléchir, sur un problème anodin, que l’on ne se sent pas touché par une émotion à priori négligeable !
Une telle lucidité fragilise l’équilibre de vie. Interroge le sens de la vie. Inlassablement. Mais aussi entraine une remise en question permanente car rien n’est accepté sans condition. Avant de considérer une situation, une compétence, un savoir, une connaissance, comme valide et acceptable, le surdoué l’aura d’abord passé au crible de son analyse. (…)

La lucidité sur le monde donne une grande lucidité sur soi

 

Quand on fonctionne avec cette faculté acérée de repérer et disséquer inlassablement le monde, que l’on perçoit avec acuité les fragilités et les limites des autres, comment ne pas percevoir, d’abord, ses propres failles ? Voilà ce qui guette, à chaque pas, le surdoué : douter de lui, de ce qu’il est, de ses possibilités, de ses compétences, de ses qualités. Quand on est surdoué, on ne se sent jamais, mais alors jamais, supérieur aux autres. Bien au contraire. Et pourtant, cette idée du sentiment de supériorité que l’on éprouverait parce qu’on est surdoué hante tellement les esprits… de ceux qui ne le sont pas ! Ce qui est vrai, cependant, est que certains surdoués « gonflent leur égo ». Ils développent une personnalité qui apparaît suffisante, méprisante parfois. Ils donnent l’image de personnes qui se pensent tellement au dessus de la masse. Mais ne nous y trompons pas ! Comme la grenouille de la fable de La Fontaine qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf, le surdoué qui semble prétentieux est le plus vulnérable parmi tous. Sa suffisance tente de masquer son sentiment d’impuissance, de profonde fragilité. Celui-là a peur. Il est terrifié par l’idée d’être rejeté. S’il adopte ce type de comportement, c’est qu’il ne va pas bien. Qu’il souffre. La lucidité sur le monde et sur soi ouvre les portes d’une compréhension percutante et acérée. La puissance de cette lucidité peut être douloureuse mais elle est aussi la source d’une vision des choses que l’on pourrait finalement qualifier d’extralucide. Source : http://www.inrees.com LIVRE SUR LES SOCIETES SECRETE QUI DIRIGENT LE MONDE ET NOUS MANIPULE

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Les dix stratégies de manipulation de masse que nous subissons !

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Les dix stratégies de manipulation de masse que nous subissons !

 

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

Mais qui va gagner The Voice ??

 

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. «

Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.

Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté.

Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans.

C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

TRES BON LIVRE A LIRE SUR LE SUJET

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental.

Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.

De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.


« La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.

Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Source: Sylvain Timsit

 

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