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Les soi-disant molécules du bonheur sont nos meilleurs alliées pour le bien-être et la santé mentale. Comprendre cet univers d’hormones, dont font partie la dopamine et la sérotonine, nous aidera également à nous connaître un peu mieux.
Les hormones du bonheur sont le moteur de notre amélioration quotidienne. Elles sont l’impulsion qui nous invite à nous lier, à profiter de la compagnie de ceux qui nous entourent. Elles mettent en avant le fait que nous pouvons continuer à apprendre des choses et à profiter de chaque découverte.
Ces petites molécules sont des torrents de bien-être qui diluent la douleur, favorisent l’empathie et même la confiance. Admettons-le… Que serions-nous sans elles ?
En quelque sorte, ces éléments biologiques nous permettent (et nous permettront) de nous différencier des machines et robots du futur régis par l’intelligence artificielle. Les êtres vivants sont guidés par ces molécules polyvalentes qui jouent un rôle fondamental dans de nombreux aspects tels que la nutrition, la reproduction et même la mémoire émotionnelle.
Il est vrai que parfois elles échouent, notamment lorsque le cerveau et d’autres zones du corps en libèrent moins à certaines saisons. Nous traversons alors des périodes d’apathie et de négativité.
Des facteurs comme notre santé ou même notre approche psychologique peuvent provoquer ce déficit dans leur synthèse. Plonger un peu plus profondément dans l’univers chimique unique des hormones nous aidera à mieux comprendre notre comportement.
Vivre des sensations positives est un pilier essentiel du comportement humain (et aussi chez l’animal). Avec elles, non seulement l’équilibre psychologique est favorisé, mais nous garantissons également notre survie.
Grâce à elles, nous trouvons la motivation pour nous nourrir, construire des environnements plus efficaces, interagir, nous reproduire, prendre soin des autres, etc. Le bien-être remplit aussi, après tout, un objectif biologique. Et les médiateurs de ces processus variés et complexes sont connus comme les hormones du bonheur.
Grâce à elles, est orchestrée la régulation de l’humeur, la sensation de plaisir et même le soulagement de la douleur. Analysons-les une par une.
Le mot endorphine vient de l’union de deux termes : endogène, qui signifie de l’intérieur du corps, et morphine, qui est un analgésique opioïde. Sa fonction n’est autre que de soulager la douleur, d’atténuer la souffrance et de nous procurer un sentiment de bien-être lorsque le cerveau interprète nos comportements comme appropriés.
Il existe de nombreuses façons de stimuler la production de cette hormone. Comme nous l’avons souligné, sa production dépend de la réalisation d’activités et de tâches que le cerveau interprète comme positives. Voici quelques exemples :
La sérotonine est cette hormone qui, en plus d’être produite dans le cerveau, est abondante dans le système digestif. Elle est synthétisé à partir de la transformation de l’acide aminé tryptophane et on peut dire qu’elle agit de manière plus forte que le neurotransmetteur classique du bonheur.
C’est la plus connue des hormones du bonheur. Est-il possible de la produire ? Nous pouvons favoriser sa production en consommant des aliments riches en tryptophane. Cet acide aminé essentiel est le précurseur de la sérotonine et on peut le trouver dans les aliments suivants :
La dopamine joue un rôle décisif dans les tâches associées à la motivation et à la récompense. Cette molécule est déterminante dans notre comportement, de sorte qu’un déficit ou une surproduction de cette composante neurochimique peut nous altérer de multiples façons. Un exemple : une libération excessive est liée, par exemple, à la schizophrénie.
Nous savons qu’environ 50 % de toute la dopamine totale du corps est produite dans l’intestin. Une façon de veiller à sa production correcte serait donc de prendre soin du microbiote intestinal.
L’ocytocine est presque toujours associée à des dimensions telles que l’amour, l’affection, la sexualité, le besoin de soins et aussi au comportement maternel. Cependant, elle a beaucoup plus de fonctions, toutes liées au comportement social, comme l’empathie, la générosité, l’altruisme…
Cette hormone, si cruciale chez l’homme, est produite dans l’hypothalamus et est sécrétée par l’hypophyse. Beaucoup l’appellent la molécule de l’humanité et c’est l’un des éléments biologiques les plus fascinants.
L’ocytocine est libérée dans des situations très simples et quotidiennes. Voici quelques exemples : se toucher, se serrer dans ses bras, écouter les autres, méditer, faire de l’exercice, etc.
Les hormones du bonheur sont, sans aucun doute, un exemple de plus de l’harmonie biologique fascinante et parfaite qui définit une grande partie des êtres vivants. Comprendre ce petit univers nous permet de devenir plus conscients de la raison pour laquelle nous sommes tels que nous sommes.
Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv
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Composé de 32 cartes magnifiquement illustrées, d’une grande modernité, est un support de canalisation avec les êtres de Lumière pour obtenir une guidance dans tous les domaines de la vie. Chaque jour, choisissez une carte en réponse à une question ou simplement pour recevoir la tendance du moment. Vous serez surpris.e par la qualité, la clarté et la précision des messages délivrés.
Par Frédérique Shine
En cette période beaucoup de personnes vivent des grands changements au plus profond d’eux même, ce changement c’est « l’éveil spirituel »et il peut être vécu difficilement par certaines personnes.
Cet article rédige mes propres expériences et celles des nombreuses personnes qui me consultent dans mon quotidien.. Frédérique.Shine
Une période d’agitation
Quand vient l’éveil on passe d’abord par une période d’agitation, on commence à se poser beaucoup de questions .
Il arrive que des personnes ne comprennent pas ce qui leur arrive pendant leur éveil et pensent être en phase de dépression, souvent ils ne se sentent pas compris par leur entourage la société n’aide pas dans cet éveil bien au contraire souvent je rencontre des personnes totalement isolée par ce qu’elles ne sont pas comprises par leur famille, leurs amis, il y a aussi des cas ou les médecins les classes dans le panier des malades psychiatrique alors qu’il n’en est rien. Il faut bien faire la différence entre une dépression et un éveil , dans une dépression on n’a généralement envie de rien la flamme qui vibre en nous et nous fait se battre n’est plus présente alors que quand nous sommes en éveil nous avons envie (d’autre chose ) nous changeons et souvent du tout au tout .
La consommation, la nature
Quand vient l’éveil on ne s’intéresse plus aux mêmes choses qu’avant, on commence à se rendre compte que ce que nous mangeons et consommons chaque jour est mauvais pour notre santé, on devient plus proche de la nature, la nature devient nécessaire à notre bien – être ainsi que le respect de cette belle nature. Nous sommes attirés par les animaux et avons un contact différent avec eux ils deviennent si ils ne l’étaient pas déjà aussi important que notre famille, nos amis ou toute autre être humain.
Le but de la vie
On se demande pourquoi on est sur terre et quel est le but de notre chemin de vie, on commence à ressentir les vibrations qui nous entoure. On écoute sa petite voix intérieure, on remarque que l’univers nous envoie constamment des signes.
Le lâcher prise dans les situations de stresse
Quand il survient une situation de conflit avec une personne ou qu’un problème survient dans la vie , ceux qui avaient tendance à stresser à angoisser lâchent prises , ils ne prennent plus leurs problèmes avec autant d’importance car ils savent que ce n’est qu’un test pour faire comprendre des choses et évoluer dans son chemin de vie.
La solitude
Le besoin d’avoir des moments de solitude devient important, la soif d’apprendre s’installe. Beaucoup se mettent à lire et dévorer tout ce qui peut les éclairer à la spiritualité et à leur éveil, ils recherchent des semblables, des personnes qui vivent les mêmes sensations.
La kundalini
On retrouve souvent le phénomène de la kundalini chez les personnes en éveil (voir l’article sur la Kundalini) cette énergie survient chez beaucoup de personnes en début d’éveil spirituel.
Le désintérêt matériel
Généralement les personnes en éveil se désintéressent du matériel , si elles étaient matérialistes elles se désintéressent de l’argent et cherchent avant tout à évoluer dans le bien – être et dans l’harmonie corps esprit, elles ne font plus la course de la loi du plus fort comme la société et leur éducation les a formatés depuis leur enfance.
Le bruit, les ondes électronique
Plus on s’éveille plus on a besoin de silence et de calme, le bruit de la ville , de la télévision, les longues conversations téléphoniques deviennent insupportables, elles vident les énergies elles sont comme des vampires énergétique.
L’entourage
Quand on est en éveil on commence à sentir les énergies qui nous entourent, par exemple si on l’on croise une personne aux basses énergies, une personne violente, méchante, jalouse, angoissée, déprimée on va se sentir mal voir très mal, la gorge qui sert , une sensation de malaise, le coeur qui bat vite , on devient une vraie éponge ! C’est pourquoi il est important de bien s’enraciner et d’avoir une bonne alimentation (Voir article sur l’enracinement)
Ce qui est le plus difficile pour les personnes en éveil c’est que leur conscience s’élève et leur vision du monde change, ce qu’elles ne voyaient pas avant comme la souffrance , la sur consommation, la manipulation que nous vivons au quotidien par les médias le gouvernement devient très clair ! L’empathie se développe rapidement et au début cela peut s’avérer être insupportable, là encore l’enracinement est un exercice très important pour ne pas tomber dans une dépression.
Il est également difficile de devoir couper des liens relationnel d’amitié ou parfois familiale quand il est nécessaire mais dans un éveil c’est très fréquent de se séparer des personnes qui nous entourent car elles ne vibrent plus les mêmes fréquences et le partage devient difficile, on se rend compte qu’il y a des relations qui n’ont plus lieu d’être, il vaut mieux les laisser partir elles sont fait leur temps. . Il faut savoir que les personnes qui nous aiment vraiment comprendront si on a besoin d’un peu de retrait et qu’il est parfois nécessaire de laisser se terminer des relations qui sont devenue ternie voir toxique. Quand on est en éveil on est sur le bon chemin, ne vous inquiétez pas après cette période que l’on pourrait appeler de période test de notre propre foi, l’univers s’occupera de tout mettre en place une fois vos belles énergies élevées !
Frédérique Shine Médium Coach et Astrologue Intuitive – Eveil tv
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Les ambivertis sont des personnes qui arrivent à mettre pleinement à profit les traits d’introversion et d’extraversion, atteignant ainsi un équilibre. Ce sont des individus flexibles qui savent s’adapter et tirer profit de la solitude et de la compagnie.
Personne n’est totalement extraverti ou totalement introverti. Entre les deux extrêmes, il y a une infinité de nuances. Généralement, des traits d’introversion ou d’extraversion prédominent. Néanmoins, certaines personnes réussissent à combiner de manière très équilibrée le meilleur des extravertis et des introvertis. Découvrez ici les ambivertis.
Selon la docteure Jennifer Granneman, auteure du livre La vie secrète des introvertis, ceux qu’on catalogue comme des ambivertis sont des individus fascinants. Ce sont des personnes qui parviennent à un excellent équilibre entre la communication et l’écoute, mais aussi entre la réserve propre à la prudence et l’ouverture de la spontanéité.
“La réalité des autres, ne se trouve pas dans ce qu’ils vous montrent, mais dans ce qu’ils ne savent pas vous montrer. Et si vous voulez réellement comprendre les autres, n’écoutez pas ce qu’ils disent mais ce qu’ils taisent.”
-Khalil Gibran-
Le premier à aborder ce sujet fut le psychanalyste suisse Carl Jung. Les concepts de Jung ont eu un grand impact sur la psychologie. C’est pourquoi la plupart des classifications de la personnalité reposent sur ses postulats. C’est lui qui a travaillé initialement sur les catégories d’introversion et d’extraversion. Nous y faisons référence pour comprendre les ambivertis.
La principale caractéristique des personnes introverties est qu’elles se concentrent plus sur leur monde intérieur que sur le monde extérieur. Elles regardent naturellement à l’intérieur d’elles-mêmes.
En outre, elles obtiennent leur source de sens dans leurs idées, leur imagination, leurs souvenirs et tout ce qui compose leur univers subjectif.
L’introverti n’est pas timide en réalité, ni insociable. Il apprécie simplement les moments de solitude parce que le contact avec lui-même est indispensable.
Il ne refuse pas non plus le contact avec les autres. Néanmoins, il est sélectif et ne veut pas avoir quelqu’un à ses côtés tout le temps. C’est pour cette raison que les introvertis préfèrent les lieux tranquilles et n’apprécient pas les atmosphères bruyantes.
Du point de vue des neurosciences, les introvertis sont plus sensibles à la dopamine. Ainsi, un environnement avec trop de stimuli peut les épuiser émotionnellement parlant. C’est pourquoi ils préfèrent les atmosphères plus tranquilles.
De l’autre côté se trouvent les extravertis. Ces personnes détendues et spontanées qui se font facilement des amis et qui ne gardent pas pour elles ce qu’elles pensent. Généralement, les extravertis sont beaucoup plus socialement acceptés que les introvertis, en raison de la facilité avec laquelle ils se connectent aux autres
’extraverti se nourrit des relations sociales. Il aime être en contact avec les autres. De fait, il se nourrit de ces liens pour se sentir bien. La solitude lui semble ennuyeuse et il a besoin d’environnements qui lui apportent des stimuli constants. La passivité ou un silence trop pesant finissent par le déprimer.
Ce type de personnes sont souvent impulsives et peut-être superflues. Elles n’aiment pas approfondir leur réflexion. Ce sont des personnes d’action qui ont besoin d’être en mouvement. L’introspection ne les attire pas. Ce sont, pour ainsi dire, des personnes avec peu de filtres. Ce qu’elles pensent et ressentent se traduit en une action de manière quasi-immédiate.
Le premier à parler d’ambivertis a été Edmund S. Conklin, un psychologue américain, en 1923. Il affirmait qu’ils étaient un modèle de stabilité et d’équilibre. Il les définit comme des personnes qui réunissent le meilleur des introvertis et des extravertis. Ils s’adaptent facilement à la solitude et à la compagnie.
Le principal trait des ambivertis est la flexibilité. Dans les situations sociales, ils s’ouvrent aux autres et cherchent à rendre les relations fluides et spontanées. Ils savent tirer profit de la compagnie des autres, en se nourrissant de leurs apports et en permettant aux autres d’entrer dans leur monde.
Les situations sociales ne les stressent pas et ne les usent pas non plus. Ils en tirent les meilleurs bénéfices et les considèrent comme nécessaires à leur équilibre.
De la même manière, les ambivertis peuvent gérer la solitude sans aucun problème. De fait, ils la recherchent à des moments déterminés. Ils ont besoin de maintenir le contact avec eux-mêmes et apprécient les apports de l’introspection. Ils sont sélectifs dans ce qu’ils partagent ou non avec les autres.
Ce type de personnes sont douées pour gérer les deux codes : celui des introvertis et celui des extravertis. Le psychologue Daniel H. Pink les a comparés à des personnes bilingues. Ils gèrent couramment deux langues à la fois et trouvent le meilleur moyen de s’exprimer dans les deux.
Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv
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par Yvan Poirier
La conjoncture des événements qui se produisent en ce moment nous confronte à nos illusions, à tout ce qui est éphémère, afin de le transcender en Éternité.
Toutes les dimensions, tous les plans subtils et intermédiaires ainsi que toutes les lignes de temps convergent présentement vers le Point Zéro de notre Unification. La conscience ordinaire se dégage de ses mémoires existentielles, émotionnelles et séculaires, afin d’entrer en communion vibratoires avec la conscience de l’infini. Il s’agit en somme de cette conscience de l’IN(connu) que nous découvrons de plus en plus grâce à un lâcher- prise plus Évident que jamais.
La conscience de l’IN(connu) se veut libératrice et unificatrice afin que nous retrouvions enfin ce QUI nous sommes dans les profondeurs de notre multidimensionnalité et dans la révélation intime de notre Éternité. C’est ce que nous appelons l’Évidence qui ne peut être que reconnue à sa juste valeur vibratoire et en résonance avec l’infini. Cette réunification s’ajuste en fonction de ce que nous étions originellement avant notre création. Cette Réunion de notre Infinie Présence Éternelle nous permet de traverser les voiles du temps linéaire afin de nous orienter vibratoirement vers l’Ultra-temporalité des mondes, des plans subtils et intermédiaires ainsi que celle des dimensions que nous redécouvrons.
Il est essentiel de prendre conscience qu’il n’y a plus rien à faire, ni à comprendre, ni à prier, ni à méditer, ni à croire, ni à réclamer, mais plutôt à continuer d’être dans l’Être afin de sortir de l’illusion de la personne. C’est dorénavant l’Intelligence de la Lumière qui se charge de nous aiguiller afin de nous aider à nous affranchir de l’éphémère.
Savoir Être cette Joie est bien au-delà des duels infernaux qui nous forcent à ne pas l’actualiser. Ce Savoir doit s’avérer instantané et effervescent, parce qu’il rend la conscience plus efficiente et plus Autonome. Ce savoir est issu du Coeur Vibral et de l’induction spontanée de l’Esprit qui permet d’accéder à l’IN(connu) qui est déjà en nous. Il s’agit de la Vie Intime de l’Impersonnalité située au Coeur du Coeur qui nous amène à vivre consciemment ce Savoir être sans que la personne/ego intervienne pour le saboter avec ses tergiversations, ses craintes et ses doutes.
La Joie du Coeur n’est pas un paradigme existentiel, mais bien l’immensité de l’Amour Indicible dont elle est issue sans condition préalable. C’est de cette façon que nous arrivons à vivre un Savoir instantané issu de cet IN(connu). Nous savons spontanément sans plus, parce que l’Essence même de l’Esprit Divin nous empêche de réfléchir.
Le prochain séminaire VIVRE SA VIE vous invite à retrouver dès à présent la Paix, la Joie et l’Amour indicibles, dans la simplicité de chaque petit moment de votre vie.
Avec tout mon Amour
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Littéralement, vous fermerez les yeux et vous serez souvent entouré d’une Lumière Vive. Comme si la lumière était allumée.
Quand il n’y a plus de doute et plus de peur d’oublier à nouveau.
C’est déjà arrivé à beaucoup d’entre vous. Nous venons tous déjà de l’Êtreté de 5ème dimension, mais nous voyons et réagissons encore avec les vieilles habitudes de la 3ème dimension que nous ressentons clairement comme des énergies plus denses.
Alors que le collectif s’ancre fermement dans la 5D, les dons, la connaissance, la douce euphorie de l’amour, le changement de paradigmes, d’institutions, de croyances, la façon dont nous nous traitons les uns les autres, et plus important encore, la façon dont nous nous voyons nous-mêmes, changent.
C’est la promesse du déroulement du Plan Divin.
C’est ce pour quoi nous avons tous travaillé. Non pas que nous ayons ‘attendu’, parce que c’est une décision consciente pour chacun de nous que d’ÊTRE L’AMOUR MAINTENANT.
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Plus vous faites des choix conscients, plus vous vous comportez en accord avec votre nature intérieure, et plus vous vous rappelez constamment de cette décision, plus il vous sera facile et rapide d’effectuer votre Changement dans la réalité que vous voyez et ressentez.
N’oubliez jamais que vous êtes la Conscience Divine, votre Champ aurique EST la Conscience de votre Âme Toute Puissante, vous êtes l’Amour et c’est votre Amour conscient et votre volonté d’attirer plus de Lumière ( la CONSCIENCE divine infinie) qui change TOUT.
Faites Resplendir Votre Lumière
J’ai Tellement d’Amour pour Vous.
Nicky Hamid
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par Lulumineuse
Lorsque vous vivez de fortes poussées vibratoires, votre vibration tout entière se hisse alors pour une courte période dans une fréquence plus élevée qu’à votre habitude. Par petit bout, vous engloutissez une lumière subtile qui vivifie votre esprit et la moindre de vos cellules, répondant à votre souhait d’entrer en communion avec votre phare intérieur.
Suite à ces périodes, vous pouvez ressentir une période de transition vibratoire qui se vit vraiment comme une dépression, qui peut être plus ou moins importante selon la montée vibratoire antérieure. Ne soyez donc pas étonnés de vous trouver dans un état morose quand quelques jours auparavant vous sembliez flotter dans une douce lumière enveloppante.
Et comme le règne de la nature nous enseigne les fluctuations de notre propre règne intérieur, voici ce que la dépression peut engager, que ce soit dans la météo extérieure ou intérieure :
Les dépressions sont généralement accompagnées de mauvais temps : vents forts (pensées parasites et polluantes plus nombreuses) et précipitations. Elles peuvent être associées à de simples tourbillons de poussière (être dans le brouillard intérieur), des trombes (envie de pleurer), des tornades ou des nuages d’orage (sentiment de fatigue et colère peuvent remonter à la surface).
Suite à cette période de ralentissement, vous vous stabiliserez à nouveau dans une fréquence qui vous est plus confortable, jusqu’aux prochaines fluctuations. Alors si vous vous situez dans un cyclone, gardez en mémoire que vous êtes dans une période où vous devez simplement ralentir de rythme et essayez de maintenir ce savoir au fond de vous qui vous dit que le temps va tourner de nouveau.
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« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »
En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.
Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :
« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »
Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.
La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.
Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !
Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !
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Qu’est ce qu’un médium ?
Les médiums sont vraiment fait de grande empathie.
Mais avec une légère différence :
Ils perçoivent les sentiments, les émotions et les impressions des vivants et des morts, plutôt que seulement des vivants.
Vous voyez, pas si mal. Vous n’avez pas besoin d’être un médium professionnel pour ressentir la présence de l’Esprit, tout le monde peut acquérir cette capacité. Et il existe deux types d’apparition : un début plus tard dans la vie, et un début.
Pensez : comme le diabète de type 1 et de type 2. L’un concerne plus l’hérédité et la génétique (nous pensons), et l’autre concerne plus certaines altérations de l’expérience de la vie qui vous rendent plus vulnérable.
Quoi qu’il en soit, je reprends le fil maintenant : ce qui suit est une liste de « symptômes » qui se présentent généralement quand vous avez le don de la médiumnité.
Pris seul, chaque chose sur cette liste pourrait nécessiter des soins éventuellement médicaux, mais lorsqu’il est combiné avec 15 symptômes ou plus. . .
– Vous avez toujours eu un intérêt et une croyance dans le paranormal
– Vous pouvez entrer dans une pièce et ressentir de la pression, de la chaleur, de la lourdeur ou des émotions
– Vous vous rappelez avoir vu ou senti des esprits étant enfant ou connaissez ou avez des parents qui ont eu cette expérience
– Vous aviez une peur inexplicable de l’obscurité, soit dans l’enfance ou maintenant
– Vous avez une vie de rêve active, y compris des cauchemars vifs ou des rêves lucides
– Vous êtes souvent réveillés la nuit et / ou ne dormez généralement pas bien
– Vous avez eu ce sentiment étrange et terrifiant dans les vieux bâtiments, les cimetières ou dans les lieux de traumatisme
– Vous avez vu des choses du coin de l’œil : de la fumée blanche, des étincelles, des ombres, des silhouettes
– Quelqu’un de votre entourage est mort et vous avez vécu beaucoup de choses étranges
– Vous entendez des voix et vous vous êtes convaincus que ce sont des pensées lancinantes, une imagination débordante ou des choses que vous venez de composer
– Vous avez prétendu avoir des conversations avec des animaux : chats, chiens, animaux sauvages
– Vous avez eu une mauvaise anxiété venant de nulle part, ayant du mal à respirer
– Vous entendez d’étranges bruits dans d’autres pièces quand personne d’autre n’est là ou à la maison
– Vous n’aimez pas être seul, surtout la nuit
– Vous vous êtes sentis épiés
– Vous, ou une personne avec qui vous êtes apparentés, avez mentionné des esprits ou des expériences paranormales qu’ils ont vécues
– Vous avez vous-même vécu des expériences paranormales que vous ne pouvez pas entièrement expliquer
– Les appareils électroniques, les appareils ménagers, les lumières et les téléviseurs ont tous tendance à sortir ou à clignoter autour de vous
– Vous avez l’habitude de livrer des attaques de l’esprit : de longues et profondes manifestations aux autres, puis, après que les mots aient quitté votre bouche, vous n’avez aucune idée de l’origine de l’information.
– Vous avez développé une contraction nerveuse et ça a empiré
– Vous avez pris des pilules sur ordonnance, de la drogue ou de l’alcool pour éviter tout ce qui précède,
Si 15 ou plus de ces choses sont «oui», félicitations, vous allez avoir un bébé ! Non, pLus sérieusement… il pourrait vous être utile de savoir que ce que vous vivez est assez commun, et vous n’êtes pas seul.
Beaucoup de gens de tous les horizons politiques, religieux, d’âge, de classe, de race et d’industrie m’ont mis de côté pour en parler. (Alors détendez-vous, d’accord ?). C’est quelque chose que peu de gens veulent discuter parce qu’ils ont peur que tout le monde pense qu’ils sont fous. C’est une boucle d’isolement terrible, vraiment. Mais passer à autre chose.
Beaucoup de gens complètement équilibrés peuvent voir, sentir et entendre à travers le voile de temps en temps. Bien que ce soit vrai, ce n’est pas toujours facile de s’y habituer au début, mais au fil du temps, croyez-moi, ça vous envahit. Cela grandit vraiment. La beauté de ce cadeau est que vous n’avez pas nécessairement besoin de faire quoi que ce soit en plus de l’embrasser et de le laisser enrichir votre vie. »
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Qu’est-ce qu’impliquent les émotions afflictives, ou négatives ?
Les émotions afflictives ou négatives font partie de notre registre émotionnel. Elles agissent comme de véritables poids capables de freiner notre croissance, en remplissant notre esprit de pensée adverses et peu utiles et en finissant par nous laisser à la dérive. Donner un nom à ces états et leur ôter leur pouvoir nous aidera à avancer avec une plus grande intégrité.
L’envie, la frustration, la rage, la rancœur, la culpabilité, la déception… Nous connaissons tous le goût amer de ces états. Nous savons ce que cela fait de cohabiter avec eux. Si nous les nourrissons, nous savons aussi qu’ils finiront par occuper un immense espace dans nos vies. Ainsi, comme nous l’explique le docteur James Gross, psychologue de l’Université de Stanford et spécialiste en matière de gestion émotionnelle, les émotions afflictives ou négatives sont comme des « vrilles du mal » qui grandissent dans les zones les plus obscures de notre être.
Les vrilles sont des plantes grimpantes qui ont tendance à s’accrocher à tout ce qu’elles rencontrent sur leur chemin. Gross signale que plus nous donnerons de pouvoir à ces états émotionnels, plus les vrilles pousseront autour de nous pour finir par nous immobiliser. Or, s’en libérer n’est pas simple car il ne suffit pas de les arracher pour qu’elles nous laissent.Les émotions afflictives ou négatives cesseront de pousser quand nous arrêterons de les nourrir. C’est aussi simple que cela. Y parvenir, apprendre à avancer avec ce type de processus internes exige que nous semions en nous-mêmes les graines de l’autorégulation.
« Il ne peut pas y avoir d’arc-en-ciel sans nuages et tempête. »
-John H. Vincent-
Nous sommes conscients qu’en matière de psychologie émotionnelle, il est très commun d’attribuer aux émotions afflictives ce rôle négatif et même « pathologique ». C’est pour cela que les articles et les livres d’aide personnelle destinés à nous aider à « éliminer ou éradiquer » ces états ne manquent pas. Or, il convient de signaler que cette idée n’est pas totalement juste.
Comme nous l’avons signalé, ces dimensions font partie de notre registre émotionnel. Nous ne pouvons pas arracher ces « vrilles du mal » si la terre, dans sa profonde diversité, est connue pour abriter un grand nombre d’espèces. Des dimensions aussi basiques que la tristesse, la peur, la déception ou la rage font partie de ce que nous sommes, et une telle chose ne peut être éradiquée. Nous ne pouvons pas nier ces émotions qui définissent une partie de l’essence de notre être.
La clé réside dans deux aspects très simples : comprendre et réguler. Savoir qu’elles existent, leur donner un nom, comprendre et gérer ces émotions négatives est la meilleure chose que nous puissions faire pour réguler notre comportement.
Nous connaissons tous le conte de la Belle au Bois Dormant. Dans ce récit traditionnel, les parents de la protagoniste organisèrent une fête pour célébrer sa naissance. Il y avait, dans le royaume, treize femmes sages, treize figures dotées de pouvoirs magiques. Cependant, seules douze d’entre elles furent invitées car la dernière se caractérisait par son mauvais caractère et sa méchanceté.
Elle ne reçut donc pas d’invitation. Les gens pensaient que cela ne la dérangerait pas. Cependant, la treizième femme, habile en magie noire, se sentit blessée. Elle lança dont un mauvais sort sur la petite fille en guise de châtiment. L’une des morales que nous pouvons détacher du conte classique de la Belle au Bois Dormant est qu’il était plus simple de vivre avec ces bonnes fées, ces douze femmes aimables, optimistes, affectueuses et joyeuses.
Inviter la sorcière à la fête, permettre à cette figure complexe de s’asseoir aux côtés des autres aurait été un acte d’inclusion et de responsabilité. La façon dont elle a été traitée ressemble à ce que nous faisons avec les émotions afflictives : nous les nions et faisons comme si elles n’existaient pas. Le résultat d’un tel acte est presque toujours terrible et extrêmement nocif.
Nous oublions que les émotions, bonnes et mauvaises, sont de simples invitées. Certaines nous rendent visite, d’autres s’en vont… Et, parfois, les moins agréables s’invitent à notre table mais nous nous devons quand même de les recevoir et de cohabiter avec elles. Nous ne devons cependant pas leur accorder trop de pouvoir, ni leur permettre de rester trop longtemps…
Les émotions doivent avoir une valeur adaptative. En d’autres termes, elles doivent nous permettre de nous adapter à chaque circonstance de notre quotidien. Ainsi, des études comme celle menée à l’Université de Maryland nous rappellent qu’être habiles en matière de régulation émotionnelle nous permet d’agir plus efficacement dans n’importe quel contexte et n’importe quelle situation sociale.
Par conséquent, nous devons apprendre à bien gérer ces dimensions internes complexes. Avancer avec elles sans les interdire, les nier ou les arracher de notre registre émotionnel est essentiel pour notre bien-être. Voyons maintenant comment nous pouvons y parvenir :
Pour conclure, n’oublions pas cette recommandation essentielle : les émotions afflictives sont de simples invitées. Quand certaines arrivent, d’autres partent. Ne donnons pas d’espaces permanents à ces émotions qui, en peu de temps, peuvent s’emparer de tout notre être.
Source https://nospensees.fr Partagé par www.eveil.tv
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