LAISSEZ LA HONTE SORTIR DE VOTRE VIE !

par Tanaaz

Le Dr Brené Brown a consacré des années à la recherche et à l’étude des répercussions de la honte. Elle a écrit plusieurs livres sur le sujet et est considérée comme une experte lorsqu’il s’agit de comprendre la honte, les impacts qu’elle peut avoir, et comment la surmonter afin de mener une vie meilleure et plus saine.

Brené Brown définit la honte comme suit :

« Le sentiment ou l’expérience intensément douloureuse de croire que nous sommes imparfaits et donc indignes d’acceptation et d’appartenance. »

La honte est le sentiment qui nous fait croire que nous sommes mauvais. Ce n’est pas que nos choix ou nos actions soient mauvais, mais ce que nous sommes est mauvais.

La honte est le sentiment que nous ne sommes pas assez dignes ou assez bons. La honte est le sentiment que nous portons qui nous tient éveillés la nuit et nous fait remettre en question nos actions, nos choix et si nous méritons de recevoir de l’amour.

La honte se manifeste à des degrés divers et de différentes manières et il existe également de nombreux types de honte que nous pouvons éprouver. Et, à moins que nous ne prenions le temps de creuser jusqu’à la racine et d’apprendre à identifier notre honte, il est probable que nous ayons tous une certaine forme de honte qui se cache dans les coulisses de nos vies.

Après tout, nous vivons dans une société qui se nourrit de honte, car là où il y a honte, il y a souvent de l’argent à faire et des produits à vendre.

Voyons d’abord les principaux types de honte :

La honte de l’image corporelle : il s’agit de l’un des types de honte les plus répandus, qui consiste à comparer ou à détester la forme ou l’apparence de votre corps.

La honte culturelle : cela inclut vos croyances religieuses ou culturelles et peut aussi inclure des sentiments d’aliénation en raison de votre origine raciale, de votre ethnicité, de vos traditions, etc.

La honte parentale : cela comprend le sentiment d’être inadéquat en tant que parent ou le sentiment que vos parents étaient inadéquats pour vous élever. Cela peut aussi inclure la honte autour de votre unité familiale et de vos choix en matière de planification familiale.

La honte sexuelle : la honte que vous pouvez ressentir à propos de vos préférences sexuelles.

La honte professionnelle : le sentiment que vous n’avez pas « réussi » ou que vous n’êtes pas sur la bonne voie avec le reste de vos pairs.

La honte de santé : la honte que vous pouvez ressentir lorsque vous souffrez d’une maladie, d’un dérèglement mental, d’un handicap ou d’une incapacité.

La honte de l’âge: la honte que vous pouvez ressentir à propos de votre âge, que vous vous sentiez trop vieux ou trop jeune. Peut aussi inclure la honte au sujet du processus de vieillissement.

La honte financière : la honte que vous pouvez ressentir pour avoir du mal à payer les factures ou pour avoir l’impression de ne pas avoir assez d’argent pour être inclus ou accepté dans votre communauté ou votre cercle social.

La honte de la productivité : le sentiment que vous ne travaillez pas assez fort ou que vous ne travaillez pas assez longtemps pour être considéré comme un atout ou pour avoir du  succès.

Le Traumatisme d’une Brève honte : le sentiment de honte qui survient après une expérience traumatisante et qui vous donne l’impression que vous devriez simplement vous  » en remettre « . Peut aussi inclure des sentiments de culpabilité ou de mériter de souffrir.

Il n’y a vraiment aucune limite à l’endroit où la honte peut se manifester dans votre vie et pour la plupart d’entre nous, il se peut que nous ne nous rendions même pas compte qu’elle est là jusqu’à ce que nous commencions à prendre conscience de ce à quoi elle ressemble.

Pour beaucoup d’entre nous, la honte découle aussi de choses que nous ne pouvons pas contrôler, comme le processus de vieillissement ou l’état de santé, qui nous propulse encore plus dans le désespoir ou la négativité.

D’après les recherches de Brown, la honte vous donne l’impression d’être piégé, impuissant et isolé. Voici quelques-unes des façons dont elle peut se manifester:

Le besoin de prendre le contrôle ou le pouvoir sur les autres
Être agressif ou violent avec les autres
Se retirer, garder des secrets ou garder le silence
Chercher l’approbation ou l’appartenance
Dépression ou anxiété
Troubles de l’alimentation
Intimidation
La peur
Déconnexion
Perfectionnisme
« La honte est le berceau du perfectionnisme. Quand le perfectionnisme est au volant, la honte est munie d’un fusil de chasse et la peur est ce conducteur agaçant sur la banquette arrière. » – Brené Brown

Tous ces symptômes sont en fin de compte la façon dont nous réagissons lorsque nous ne nous sentons pas assez aimables ou dignes d’être ce que nous sommes. Cela ne veut pas dire que nous devons considérer de devenir des êtres humains parfaits et sans défaut, qui ne peuvent faire aucun mal, mais plutôt que nous devons développer de l’empathie et de la compréhension envers nous-mêmes et les autres, et savoir que, quels que soient nos choix et nos actions aujourd’hui, nous avons toujours le temps d’apprendre, de croître et de faire mieux demain.

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Selon Brown, vivre une vie sans honte, c’est se connecter à l’empathie. Il s’agit de pratiquer la compassion pour nous-mêmes et pour les autres et de comprendre que nous sommes tous des êtres humains.

Pour commencer à éliminer la honte de notre vie, nous devons commencer à reconnaître et à comprendre ce qui déclenche cette honte en nous-même.

À partir de là, nous pouvons prendre conscience de la manière dont la honte se manifeste pour nous et de ce que nous pouvons faire pour la libérer de nos vies.

La libération de la honte exige de la patience, du temps et beaucoup de compassion envers soi. Bien qu’il ne soit pas aussi facile que de suivre certaines étapes, voici une compréhension générale sur la façon de commencer à libérer la honte de votre vie :

Étape 1 : Identifier votre honte
Où la sentez-vous ? Quand la ressentez-vous ? Quelle pensée ou programmation est à l’origine de votre honte ? Reconnaissez ce qui a mené aux sentiments de honte que vous éprouvez. Reconnaissez comment cette honte se manifeste pour vous dans votre vie et ce qui la déclenche. Cela représente souvent 90 % du travail de guérison.

Étape 2 : Soyez maître de votre honte
N’ayez plus honte d’avoir honte ! Elle vous appartient. Énoncez-le à haute voix. Penchez-vous vers votre honte et honorez-la pour ce qu’elle vous a montré et enseigné.

Étape 3 : Définir votre intention de laisser aller votre honte
Parfois, il peut être utile de le dire à haute voix. Vous pouvez également libérer la honte en en parlant avec d’autres ou en tenant un journal pour la faire sortir sur papier. Lorsque vous commencez à parler de votre expérience ou à partager votre histoire, cela vous aide aussi à acquérir une nouvelle perspective et à voir que vous n’êtes pas seul.

Étape 4 : Reprogrammer
Quand vous sentez la honte surgir, soyez authentique avec vous-même et respirez l’instant présent. Ensuite, vous pouvez commencer doucement à reprogrammer votre honte en quelque chose de productif ou de positif. Cela peut se faire en récitant un mantra puissant ou simplement en changeant votre façon de penser par un choix plus aimant et plus compatissant pour vous-même quand vous sentez la honte jaillir.

En fait, selon Brown, l’empathie est l’antidote le plus puissant dont nous disposons lorsqu’il s’agit d’éliminer la honte de nos vies.

Être empathique, veut dire :
Être bon envers nous-mêmes
Comprendre que nous ne sommes que des êtres humains
Mettre fin à la nécessité de se critiquer et de se juger soi-même encore et encore.
Reconnaître que nous faisons tous des erreurs
Reconnaître que nous souffrons tous et ne sommes pas seuls dans notre souffrance
Honorer notre douleur et nos vraies émotions
Avoir de la compassion pour nous-mêmes et pour nos sentiments
Comprendre que nous sommes tous uniques et que nous avons tous notre propre voie et notre propre façon de faire les choses.
Savoir que nous sommes dignes d’une seconde chance
Ne pas trop s’identifier à nos pensées
Quand nous sommes gentils avec nous-mêmes, quand nous pratiquons l’empathie, nous commençons à réduire le besoin de ressentir de la honte.

La honte vous maintient dans la soumission et vous empêche de vivre pleinement votre vie.

Si vous êtes reconnaissant, empathique et apprenez à vous contenter de ce que vous avez dans votre vie, vous entrez dans un état de véritable pouvoir et d’authenticité que personne ne peut toucher.

Alors, laissez tomber ce que les gens pensent de vous. Lâchez le besoin d’être parfait ou de vous comparer aux autres. Laissez la honte que vous ressentez dans tous les domaines de votre vie s’en aller, et entrez dans la vie de votre mieux.

« Vivre sans réserve, c’est s’engager dans sa vie à partir d’un endroit qui en vaut la peine. Cela signifie cultiver le courage, la compassion et la connexion pour se réveiller le matin et se dire: Peu importe ce qui est fait et ce qui reste à faire, je suis complet par moi-même. Oui, je suis imparfait(e), vulnérable et parfois effrayé(e), mais cela ne change pas le fait que je suis aussi courageux(se), digne d’amour et d’appartenance «  – René Brown de son livre La grâce de l’imperfection

Source: https://foreverconscious.com/

Traduction la Presse Galactique

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Le poids qui freine notre bonheur (Émotions afflictives)

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Qu’est-ce qu’impliquent les émotions afflictives, ou négatives ?

Les émotions afflictives ou négatives font partie de notre registre émotionnel. Elles agissent comme de véritables poids capables de freiner notre croissance, en remplissant notre esprit de pensée adverses et peu utiles et en finissant par nous laisser à la dérive. Donner un nom à ces états et leur ôter leur pouvoir nous aidera à avancer avec une plus grande intégrité.

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L’envie, la frustration, la rage, la rancœur, la culpabilitéc, la déception… Nous connaissons tous le goût amer de ces états. Nous savons ce que cela fait de cohabiter avec eux. Si nous les nourrissons, nous savons aussi qu’ils finiront par occuper un immense espace dans nos vies. Ainsi, comme nous l’explique le docteur James Gross, psychologue de l’Université de Stanford et spécialiste en matière de gestion émotionnelle, les émotions afflictives ou négatives sont comme des « vrilles du mal » qui grandissent dans les zones les plus obscures de notre être.

L’envie, la frustration, la rage, la rancœur, la culpabilité, la déception… Nous connaissons tous le goût amer de ces états. Nous savons ce que cela fait de cohabiter avec eux. Si nous les nourrissons, nous savons aussi qu’ils finiront par occuper un immense espace dans nos vies. Ainsi, comme nous l’explique le docteur James Gross, psychologue de l’Université de Stanford et spécialiste en matière de gestion émotionnelle, les émotions afflictives ou négatives sont comme des « vrilles du mal » qui grandissent dans les zones les plus obscures de notre être.

Les vrilles sont des plantes grimpantes qui ont tendance à s’accrocher à tout ce qu’elles rencontrent sur leur chemin. Gross signale que plus nous donnerons de pouvoir à ces états émotionnels, plus les vrilles pousseront autour de nous pour finir par nous immobiliser. Or, s’en libérer n’est pas simple car il ne suffit pas de les arracher pour qu’elles nous laissent.

Les émotions afflictives ou négatives cesseront de pousser quand nous arrêterons de les nourrir. C’est aussi simple que cela. Y parvenir, apprendre à avancer avec ce type de processus internes exige que nous semions en nous-mêmes les graines de l’autorégulation.

« Il ne peut pas y avoir d’arc-en-ciel sans nuages et tempête. »

-John H. Vincent-

Les émotions afflictives ont une place importante dans notre vie

Nous sommes conscients qu’en matière de psychologie émotionnelle, il est très commun d’attribuer aux émotions afflictives ce rôle négatif et même « pathologique ». C’est pour cela que les articles et les livres d’aide personnelle destinés à nous aider à « éliminer ou éradiquer » ces états ne manquent pas. Or, il convient de signaler que cette idée n’est pas totalement juste.

Comme nous l’avons signalé, ces dimensions font partie de notre registre émotionnel. Nous ne pouvons pas arracher ces « vrilles du mal » si la terre, dans sa profonde diversité, est connue pour abriter un grand nombre d’espèces. Des dimensions aussi basiques que la tristesse, la peur, la déception ou la rage font partie de ce que nous sommes, et une telle chose ne peut être éradiquée. Nous ne pouvons pas nier ces émotions qui définissent une partie de l’essence de notre être.

La clé réside dans deux aspects très simples : comprendre et réguler. Savoir qu’elles existent, leur donner un nom, comprendre et gérer ces émotions négatives est la meilleure chose que nous puissions faire pour réguler notre comportement.

La sorcière qui a dû être invitée

Nous connaissons tous le conte de la Belle au Bois Dormant. Dans ce récit traditionnel, les parents de la protagoniste organisèrent une fête pour célébrer sa naissance. Il y avait, dans le royaume, treize femmes sages, treize figures dotées de pouvoirs magiques. Cependant, seules douze d’entre elles furent invitées car la dernière se caractérisait par son mauvais caractère et sa méchanceté.

Elle ne reçut donc pas d’invitation. Les gens pensaient que cela ne la dérangerait pas. Cependant, la treizième femme, habile en magie noire, se sentit blessée. Elle lança dont un mauvais sort sur la petite fille en guise de châtiment. L’une des morales que nous pouvons détacher du conte classique de la Belle au Bois Dormant est qu’il était plus simple de vivre avec ces bonnes fées, ces douze femmes aimables, optimistes, affectueuses et joyeuses.

Inviter la sorcière à la fête, permettre à cette figure complexe de s’asseoir aux côtés des autres aurait été un acte d’inclusion et de responsabilité. La façon dont elle a été traitée ressemble à ce que nous faisons avec les émotions afflictives : nous les nions et faisons comme si elles n’existaient pas. Le résultat d’un tel acte est presque toujours terrible et extrêmement nocif.

Nous oublions que les émotions, bonnes et mauvaises, sont de simples invitées. Certaines nous rendent visite, d’autres s’en vont… Et, parfois, les moins agréables s’invitent à notre table mais nous nous devons quand même de les recevoir et de cohabiter avec elles. Nous ne devons cependant pas leur accorder trop de pouvoir, ni leur permettre de rester trop longtemps…

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Contrôler les émotions afflictives : la clé de notre bien-être

Les émotions doivent avoir une valeur adaptative. En d’autres termes, elles doivent nous permettre de nous adapter à chaque circonstance de notre quotidien. Ainsi, des études comme celle menée à l’Université de Maryland nous rappellent qu’être habiles en matière de régulation émotionnelle nous permet d’agir plus efficacement dans n’importe quel contexte et n’importe quelle situation sociale.

Par conséquent, nous devons apprendre à bien gérer ces dimensions internes complexes. Avancer avec elles sans les interdire, les nier ou les arracher de notre registre émotionnel est essentiel pour notre bien-être. Voyons maintenant comment nous pouvons y parvenir :

  • Les émotions afflictives apparaissent souvent avec un marqueur somatique : gênes physiques, mal-être… Nous devons les détecter, tout comme le bruit de ces pensées négatives qui les accompagnent.
  • Essayez de comprendre pourquoi elles apparaissent et ce qu’elles veulent vous dire.
  • Donnez-vous du temps : avancez tranquillement avec elles. La méditation peut vous aider.
  • Canalisez-les et exprimez-les. Parlez avec quelqu’un, servez-vous de l’écriture thérapeutique, pratiquez un sport pour vous défaire de la tension.
  • Cherchez une stratégie pour les résoudre. Ne vous dites pas que vous vous occuperez de cette gêne demain, soyez proactif avec vos émotions.

Pour conclure, n’oublions pas cette recommandation essentielle : les émotions afflictives sont de simples invitées. Quand certaines arrivent, d’autres partent. Ne donnons pas d’espaces permanents à ces émotions qui, en peu de temps, peuvent s’emparer de tout notre être.

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Absorbez-vous les émotions des autres ?

La contagion émotionnelle est quelque chose qui affecte habituellement les gens qui sont très empathiques. Découvrez comment vous pouvez vous en protéger.

Il est certain que vous avez déjà rencontré un ami qui était très heureux et enthousiaste au sujet d’un projet et que son enthousiasme vous a tellement porté que vous vous êtes senti motivé à mettre en pratique ce que vous aviez en tête. Mais vous êtes peut-être tombé sur un vieux camarade de classe qui vous a dit à quel point tout allait mal et qui a jeté l’éponge depuis longtemps. Après cette rencontre, vous avez décidé qu’il valait mieux ne pas prendre de risques, que la vie était suffisamment dangereuse comme ça. Avez-vous remarqué que cela peut signifier que vous absorbez les émotions des autres ?

Lorsque vous absorbez les émotions des autres, vous laissez leur état émotionnel influencer ce que vous ressentez. Si vous êtes entouré de gens pessimistes, vous deviendrez pessimiste, vous aussi. Peu importe à quel point tout est parfait dans votre vie ou ce que vous avez accompli. Vous souffrez d’une contagion émotionnelle qui vous entraîne à vous approprier une émotion qui n’est pas la vôtre.

La contagion émotionnelle n’est pas la même chose que l’empathie

Si vous absorbez les émotions des autres, vous pouvez penser que vous êtes trop empathique et vous n’avez pas entièrement tort. Cependant, vous devez savoir qu’il existe de grandes différences entre l’empathie et la contagion émotionnelle. Jetons un coup d’oeil à certains d’entre eux :

  • L’empathie : vous êtes capable de vous mettre à la place de l’autre personne, de prendre en compte ses sentiments et de comprendre son point de vue sur ce qu’elle vit. Mais cette compréhension ne vous débarrasse pas de vos propres émotions.
  • La contagion émotionnelle : vous prenez les sentiments d’une autre personne comme les vôtres. Cela affecte votre vie et a de graves conséquences. Vous vous engagez dans un va-et-vient émotionnel dans lequel ce sont les émotions des autres qui déterminent votre vie.

« Je peux entendre ce qui t’arrive, le comprendre et même le ressentir. Cependant, je ne dois pas m’approprier tes sentiments, car cela m’affecterait. »

Les neurones miroirs

La capacité empathique se manifeste dans les neurones miroirs, comme le mentionne Daniel Goleman dans son livre Social Intelligence : the new science of human relationships. Selon cet auteur, dans le cerveau humain, il y a un groupe de neurones qui sont activés de la même façon lorsqu’ils effectuent une action que lorsqu’ils l’observent chez les autres.

Cette activation est ce qui vous permet de vous identifier à une autre personne et d’être capable de comprendre ce qu’elle ressent. Ce n’est rien de négatif, d’ailleurs, cela aide à construire des relations beaucoup plus saines. Cependant, il faut faire attention de ne pas commencer à absorber les émotions des autres.

Pouvez-vous éviter la contagion émotionnelle ?

Si vous vous posez cette question, la réponse est « oui ». Mais ce n’est pas une chose facile à faire. Vous vous êtes laissé emporter par votre empathie au point de ne plus savoir comment en fixer les limites, de sorte que la frontière qui sépare vos émotions de celles des autres s’estompe. Alors, que devez-vous changer pour éviter la contagion émotionnelle ?

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Réfléchissez à ce que vous ressentez

Quand vous absorbez les émotions des autres, il est important que vous réfléchissiez à ce que vous ressentez. « Pourquoi cette motivation à démarrer mon projet m’inonde-t-elle quand quelqu’un d’autre me parle de son succès ?« . Ou bien « Pourquoi suis-je triste et déprimée quand un ami me dit combien sa relation de couple se passe mal ?« .

Souvent, cette contagion émotionnelle en dit long sur vous. Dans le premier cas, concernant ce que vous souhaitez faire, cela signifie que votre insécurité vous fait vous sentir insatisfait. Dans le second, vous pensez peut-être à vos peurs concernant les relations de couple ou vous vous remémorez une ancienne relation qui s’est mal passée.

Comprendre vos émotions vous permettra de mettre cette distance qui vous aidera à éviter d’absorber les émotions des autres. Parce qu’elles ne sont pas les vôtres, même si c’était peut-être le cas à une époque. Vous ne vivez pas la même vie ou les mêmes expériences que les autres.

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Interpréter les silences, un art méconnu

Pour bien interpréter les silences, il est important d’être plus en phase avec la logique de l’autre, plutôt qu’avec nos peurs et nos fantasmes. Le silence dit toujours quelque chose, mais dans les situations conflictuelles, il est plus sain de se tourner vers la parole.

Interpréter les silences n’est pas chose facile ; ils n’ont pas toujours un sens et, lorsque c’est le cas, le trouver exige d’être sûr de soi et de bien connaître les autres. C’est pourquoi, en réalité, il s’agit d’un véritable art qui met à l’épreuve nos insécurités, nos complexes et nos désirs explicites ou implicites.

Supposons que l’on ne puisse pas tout dire. Il y a des sentiments ou des expériences qui échappent aux mots. Ils ne trouvent pas de moyen d’expression et, par conséquent, ils deviennent une sorte de silence « plein » de contenu. Ce n’est pas à ce type de silence que nous allons nous référer, car ils correspondent simplement à l’impossibilité de tout communiquer.

Le genre de silence dont nous allons parler est délibéré. Celui dans lequel une personne exige une réponse d’une autre et ne l’obtient pas. Interpréter les silences de quelqu’un qui ne veut pas parler devient alors autre chose. Le silence est une façon de dire, sans dire. Le problème, c’est de dire quoi ? Examinons ça plus en détail.

« La véritable musique est le silence et toutes les notes ne font qu’encadre ce silence. »

-Miles Davis-

Interpréter les silences de quelqu’un qui ne veut pas parler

Pour connaître l’art d’interpréter les silences, la première chose que nous voulons souligner est qu’ils donnent lieu à une situation asymétrique. À une extrémité de la communication se trouve quelqu’un qui demande une expression, une réponse ou simplement quelques paroles. A l’autre pôle se trouve celui qui est silencieux et a le pouvoir de répondre ou non à cette attente. Ceci, bien sûr, lui donne un pouvoir sur l’autre.

Or, l’intention du silence est parfois positive et parfois non. Elle est positive lorsque le silence est une façon de prendre un moment pour réfléchir ou lorsque vous voulez éviter une situation embarrassante, par exemple. Ce n’est pas le cas si l’intention est de négliger les besoins de l’autre ou de se réjouir du quota de pouvoir que cela génère, ou, peut-être, de cacher quelque chose.

Pour ceux qui attendent la communication, il n’est jamais facile d’interpréter les silences. Dans ces cas, il est très facile pour les peurs, les insécurité et les désirs insatisfaits de remonter à la surface. Celui qui craint d’être rejeté, par exemple, pourrait interpréter le silence comme un signe de rejet justement. Ou bien celui qui veut ardemment être aimé peut penser que le silence est un étrange moyen de lui rendre son affection. Il est facile de se tromper soi-même quand l’autre est silencieux.

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Dire et ne pas dire

Interpréter des silences devient une épée à double tranchant lorsque nous laissons ces silences se remplir de fantômes. Pour le faire correctement, nous avons besoin d’empathie. Regarder l’autre dans son propre contexte, se mettre à sa place et aborder ce qu’il veut exprimer quand il est silencieux. Nous n’aurons jamais de réponse exacte, mais il est possible de comprendre l’idée générale.

Toute personne a le droit de prendre la parole ou de garder le silence si elle le souhaite. Il est important de le comprendre. Il est également important de savoir que parler est toujours sain, en particulier dans les situations qui impliquent un germe de conflit.

Face à des situations problématiques, il est beaucoup plus valable de chercher et de trouver les mots qui expriment le mieux ce que nous ressentons et pensons. En prenant des positions aussi claires que possible.

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DISCERNER AVEC LE COEUR

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par Nancy Tremblay et Kamil-Lya

Se préparer au changement. Une intention qui peut être très bénéfique dans certaines conditions mais catastrophique dans d’autres. En effet, se préparer au changement demande d’être en mode de discernement constamment. Non pas le discernement mental, intellectuel ou égotique mais le discernement avec le coeur, le discernement de ce qui est juste en toute chose. Dans le fait de vouloir se préparer au changement, les peurs peuvent devenir un ennemi important car elles peuvent nous conduire à douter dans des moments qui sont justes et à s’incliner devant des opportunités trompeuses. Vous le savez tous, dans des moments de grands changements, de grands bouleversements, des forces opposées font place et tentent, chacune à leur manière, de rassembler les gens afin d’utiliser la multiplication de leur puissance individuelle pour arriver à leur fin. Des informations de toutes sortes circulent, parfois laissant émaner une Vérité et parfois laissant émaner une Illusion, dans le but de nous attirer pour que nous acceptions de servir un plan. Mais est-ce réellement le plan que vous auriez choisi de servir si vous en aviez discerné la nature même?

Dans cette volonté de préparation au changement, il est tentant de chercher à s’informer et à lire une multitude d’informations. Toutefois, en le faisant, il est primordial d’être attentif pour s’assurer que ce n’est pas le mental qui analysera l’information mais plutôt le Coeur. Il en revient donc à suivre son ressenti et ce qui vibre en soi, en tout temps. Quand le Soi Divin nous indique qu’il est juste de s’impliquer dans une action ou d’orienter nos efforts dans le sens de l’information reçue, nous savons qu’il est bien pour nous de le faire mais dans le cas contraire il est préférable de s’abstenir. Malheureusement, nous ne sommes pas toujours attentif à ce qui vibre en soi dans ce tourbillon de la vie et nous nous laissons parfois immerger par des idées, initiatives et informations qui ne nous servent pas et ne servent pas l’humanité de manière juste et ce, même si elles nous semblent être spirituelles à première vue. Toutes les informations, qu’elles nous semblent positives et merveilleuses peuvent avoir été manipulées dans un but qu’on ignore parfois.

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On ne peut pas toujours savoir sans se connecter à la puissance de notre énergie du coeur (thymus) qui lui, sait et peut nous guider en étant en connexion à notre Soi Divin. Dans cette optique, il devient donc extrêmement avantageux pour nous et pour la planète de développer cette faculté de connexion, dès notre éveil, et de s’exercer quotidiennement par la suite. Ainsi, le discernement juste est possible. De plus, l’Amour sans condition peut plus facilement croître et prendre place en soi et autour de soi. Dès lors, il ne peut qu’agir positivement sur la planète en tissant des liens orientés sur de hautes fréquences vibratoires, celles du Diamant et de l’Amour pur, pour ainsi participer à l’émancipation de cette planète Terre, sans crainte et avec foi.

Namaste à tous en vous souhaitant de passer une journée des plus lumineuses et claires.

Nancy Tremblay et Kamil-Lya

Source: http://entre-ciel-et-terre.ca/

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60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

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« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

VOTRE ENTOURAGE CAPTE VOS PENSÉES

Par Yvan Poirier

Que ce soit en 3D Unifiée ou en 5D, tout ce que nous pensons est immédiatement retransmis aux autres âmes avec qui nous sommes en relation et en Communion Luminescentes. C’est la Transparence du Corps d’Êtreté qui s’exerce. On ne peut plus se cacher ou se mentir par rapport à des pensées subjectives quelles qu’elles soient. Nous sommes à tous les points de vue, transparents, translucides et transcendants. Chaque âme et chaque Esprit captent tout ce dont nous pensons au-delà de la dimension où nous nous trouvons, de la forme ou d’une situation, cela définit la « Pensée multidimensionnelle et Émissive ». Nous sommes ainsi des Époux mutuels de tous les autres âmes et de tous les autres Esprits. Il existe donc une complétude sans frontières et sans limitations, grâce au Feu Igné de l’Amour Vibral que nous émettons, et qui est reçu par chaque UN dans l’alcôve de leur Coeur, peu importe la dimension où il se trouve.

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Si nous exprimons des pensées qui ne sont pas alignées à la fréquence du Corps d’Êtreté, les risques de confrontation avec ces éléments désagréables ne peuvent subsister dans les dimensions supérieures. Dans ces moments, la conscience va nous amener à nous interroger sur ce qui nous pousse à nous conduire de la sorte. À ce niveau, il est inconvenant d’inonder notre entourage de ces réactions qui sont au-delà de l’Amour, car la peur nuit à l’expansion et à la manifestation de la Lumière Authentique, ainsi que de la Vérité qui est en nous.

Je vous invite à conscientiser que ces « Pensées Émissives » se manifestent en vous présentement, parce que la 5D est déjà dans votre Coeur Vibral. Ce qui signifie que chaque pensée que vous émettez joue un rôle de transcendance en vue de votre Libération, de votre Fusion et de la poursuite de votre Ascension. Prenez conscience que vos pensées quelles qu’elles soient sont reçues par vos proches, vos enfants, vos conjoints ou même vos amis.

Ainsi, il n’y a plus lieu de critiquer, de râler, de tergiverser ou de juger, parce que vos pensées deviennent des « Pensées Émissives » qui sont issues de la transparence de votre âme et de votre Esprit. Vos pensées quelles qu’elles soient sont capturées avec de plus en plus d’aisance et de conscience.

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Le poids qui freine notre bonheur

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Qu’est-ce qu’impliquent les émotions afflictives, ou négatives ?

Les émotions afflictives ou négatives font partie de notre registre émotionnel. Elles agissent comme de véritables poids capables de freiner notre croissance, en remplissant notre esprit de pensée adverses et peu utiles et en finissant par nous laisser à la dérive. Donner un nom à ces états et leur ôter leur pouvoir nous aidera à avancer avec une plus grande intégrité.

L’envie, la frustration, la rage, la rancœur, la culpabilité, la déception… Nous connaissons tous le goût amer de ces états. Nous savons ce que cela fait de cohabiter avec eux. Si nous les nourrissons, nous savons aussi qu’ils finiront par occuper un immense espace dans nos vies. Ainsi, comme nous l’explique le docteur James Gross, psychologue de l’Université de Stanford et spécialiste en matière de gestion émotionnelle, les émotions afflictives ou négatives sont comme des « vrilles du mal » qui grandissent dans les zones les plus obscures de notre être.

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Les vrilles sont des plantes grimpantes qui ont tendance à s’accrocher à tout ce qu’elles rencontrent sur leur chemin. Gross signale que plus nous donnerons de pouvoir à ces états émotionnels, plus les vrilles pousseront autour de nous pour finir par nous immobiliser. Or, s’en libérer n’est pas simple car il ne suffit pas de les arracher pour qu’elles nous laissent.Les émotions afflictives ou négatives cesseront de pousser quand nous arrêterons de les nourrir. C’est aussi simple que cela. Y parvenir, apprendre à avancer avec ce type de processus internes exige que nous semions en nous-mêmes les graines de l’autorégulation.

« Il ne peut pas y avoir d’arc-en-ciel sans nuages et tempête. »

-John H. Vincent-

Les émotions afflictives ont une place importante dans notre vie

Nous sommes conscients qu’en matière de psychologie émotionnelle, il est très commun d’attribuer aux émotions afflictives ce rôle négatif et même « pathologique ». C’est pour cela que les articles et les livres d’aide personnelle destinés à nous aider à « éliminer ou éradiquer » ces états ne manquent pas. Or, il convient de signaler que cette idée n’est pas totalement juste.

Comme nous l’avons signalé, ces dimensions font partie de notre registre émotionnel. Nous ne pouvons pas arracher ces « vrilles du mal » si la terre, dans sa profonde diversité, est connue pour abriter un grand nombre d’espèces. Des dimensions aussi basiques que la tristesse, la peur, la déception ou la rage font partie de ce que nous sommes, et une telle chose ne peut être éradiquée. Nous ne pouvons pas nier ces émotions qui définissent une partie de l’essence de notre être.

La clé réside dans deux aspects très simples : comprendre et réguler. Savoir qu’elles existent, leur donner un nom, comprendre et gérer ces émotions négatives est la meilleure chose que nous puissions faire pour réguler notre comportement.

La sorcière qui a dû être invitée

Nous connaissons tous le conte de la Belle au Bois Dormant. Dans ce récit traditionnel, les parents de la protagoniste organisèrent une fête pour célébrer sa naissance. Il y avait, dans le royaume, treize femmes sages, treize figures dotées de pouvoirs magiques. Cependant, seules douze d’entre elles furent invitées car la dernière se caractérisait par son mauvais caractère et sa méchanceté.

Elle ne reçut donc pas d’invitation. Les gens pensaient que cela ne la dérangerait pas. Cependant, la treizième femme, habile en magie noire, se sentit blessée. Elle lança dont un mauvais sort sur la petite fille en guise de châtiment. L’une des morales que nous pouvons détacher du conte classique de la Belle au Bois Dormant est qu’il était plus simple de vivre avec ces bonnes fées, ces douze femmes aimables, optimistes, affectueuses et joyeuses.

Inviter la sorcière à la fête, permettre à cette figure complexe de s’asseoir aux côtés des autres aurait été un acte d’inclusion et de responsabilité. La façon dont elle a été traitée ressemble à ce que nous faisons avec les émotions afflictives : nous les nions et faisons comme si elles n’existaient pas. Le résultat d’un tel acte est presque toujours terrible et extrêmement nocif.

Nous oublions que les émotions, bonnes et mauvaises, sont de simples invitées. Certaines nous rendent visite, d’autres s’en vont… Et, parfois, les moins agréables s’invitent à notre table mais nous nous devons quand même de les recevoir et de cohabiter avec elles. Nous ne devons cependant pas leur accorder trop de pouvoir, ni leur permettre de rester trop longtemps…

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Contrôler les émotions afflictives : la clé de notre bien-être

Les émotions doivent avoir une valeur adaptative. En d’autres termes, elles doivent nous permettre de nous adapter à chaque circonstance de notre quotidien. Ainsi, des études comme celle menée à l’Université de Maryland nous rappellent qu’être habiles en matière de régulation émotionnelle nous permet d’agir plus efficacement dans n’importe quel contexte et n’importe quelle situation sociale.

Par conséquent, nous devons apprendre à bien gérer ces dimensions internes complexes. Avancer avec elles sans les interdire, les nier ou les arracher de notre registre émotionnel est essentiel pour notre bien-être. Voyons maintenant comment nous pouvons y parvenir :

  • Les émotions afflictives apparaissent souvent avec un marqueur somatique : gênes physiques, mal-être… Nous devons les détecter, tout comme le bruit de ces pensées négatives qui les accompagnent.
  • Essayez de comprendre pourquoi elles apparaissent et ce qu’elles veulent vous dire.
  • Donnez-vous du temps : avancez tranquillement avec elles. La méditation peut vous aider.
  • Canalisez-les et exprimez-les. Parlez avec quelqu’un, servez-vous de l’écriture thérapeutique, pratiquez un sport pour vous défaire de la tension.
  • Cherchez une stratégie pour les résoudre. Ne vous dites pas que vous vous occuperez de cette gêne demain, soyez proactif avec vos émotions.

Pour conclure, n’oublions pas cette recommandation essentielle : les émotions afflictives sont de simples invitées. Quand certaines arrivent, d’autres partent. Ne donnons pas d’espaces permanents à ces émotions qui, en peu de temps, peuvent s’emparer de tout notre être.

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Que signifie la distance dans votre vie?

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La distance est un concept physique qui, dans le cas de l’être humain, a des implications psychologiques.

Avoir une gestion adéquate de la distance dans notre vie suppose de mettre en œuvre les actions nécessaires pour nous rapprocher de ceux que nous voulons maintenir à proximité et mettre les barrières dans le cas où ce que nous cherchons est de nous écarter ou de nous éloigner.

La distance est un concept physique qui, dans le cas de l’être humain, a des implications psychologiques. Agissent comme preuves ces expressions que l’on utilise quotidiennement telles que « garder ses distances », « être proche » ou « s’approcher » de quelqu’un. On parle aussi de « prendre ses distances » par rapport aux situations, ou de « prendre ses distances » par rapport à ce qui nous affecte.

En termes physiques, cette question est également très pertinente pour les êtres humains. Chacun a ses propres espaces et les aborde d’une manière spécifique. Nous avons besoin de différents degrés de distance physique dans nos relations sociales.  C’est aussi un espace vital individuel, car tout cela a des implications dans nos vies.

La distance est un concept qui s’applique également aux objets et à leur effet sur le psychisme humain. La sensation générée par une pièce remplie d’objets est différente de celle produite par une autre, où il y a peu de choses, éloignées les unes des autres. Regardons tout cela de plus près.

La distance physique et ses effets

Elle trouve sa forme d’expression la plus évidente dans le plan physique. S’éloigner ou s’approcher physiquement est une manifestation de distance ou d’approche émotionnelle. Cela se manifeste non seulement dans la distance ou la proximité entre le corps d’une personne et celui de l’autre, mais aussi dans les gestes, les sons de la voix et les postures.

Les chercheurs Lawrence E. Williams et John A. Bargh, le premier de l’Université du Colorado et le second de l’Université Yale, ont mené une étude intensive sur le sujet. Ils ont conclu que « les représentations perceptuelles et motrices de la distance physique influencent les pensées et les sentiments des gens ».

Cela signifie que la distance physique influence les jugements et les états affectifs des gens. Dans leurs recherches, Williams et Bargh ont encouragé certaines personnes à prendre de la distance physique avec des personnes qui étaient auparavant très proches d’eux. Au fil du temps, ils ont montré que cette distance avait affecté leur attachement pour eux.

La distance et le conflit

Les conclusions des chercheurs Lawrence E. Williams et John A. Bargh ont des répercussions sur différents aspects, dont celui du conflit. L’un des résultats de leurs expériences souligne que « les sentiments de distance peuvent modérer l’intensité émotionnelle des stimuli ». En d’autres termes, ce qui est loin nous affecte moins.

Cela prouve que cette mesure de prise de distance physique par rapport à ce qui nous affecte négativement est efficace. Le retrait conduit à une modération de l’influence de la personne ou de la situation en question. Par conséquent, elle contribue à une diminution de l’intensité des sentiments et, au lieu de cela, à une perspective plus sereine. S’éloigner physiquement des personnes ou des espaces conflictuels aide à nuancer ces conflits.

Cependant, chez l’être humain, et même chez l’animal, la proximité et la distance sont aussi un problème émotionnel et mental. Vous pouvez être physiquement loin de quelque chose ou de quelqu’un, et pourtant le lien peut être encore plus étroit et plus intense que si vous l’aviez à un centimètre de distance. Et l’inverse est également vrai : nous sommes physiquement proches de quelque chose ou de quelqu’un, mais, en même temps, à des années-lumière de celui-ci.

La distance dans le monde subjectif

Si nous voulons couper les liens avec quelque chose ou quelqu’un, la distance physique n’est que la première étape. En réalité cela changera de façon significative le lien que nous avons avec cette réalité.

Si nous voulons être émotionnellement proches de quelqu’un, nous devons aussi être physiquement proches. Cela signifie être physiquement présent dans sa vie. Avec la présence elle-même, mais aussi avec la proximité physique, c’est-à-dire avec les étreintes, les mots, les caresses, etc. La proximité émotionnelle, par contre, implique d’avoir cette personne à l’esprit et de nous rapprocher de son monde intérieur au moyen de la conversation.

En même temps, si le but est de nous éloigner de quelqu’un, nous devons faire ce qui correspond. C’est-à-dire, d’abord, prendre physiquement ses distances. Ne pas être présent de manière physique donc, mais pas non plus de manière forme subreptice, c’est-à-dire, d’une façon poussant à espionner cette personne ou à nous tenir au courant de sa vie, à penser constamment à elle. De ce fait, cela contribuera à établir la distance émotionnelle, c’est-à-dire, une coupure avec son influence sur notre vie.

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LE DOUBLE DE LUMIÈRE, ACTIVER SA FLAMME JUMELLE

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Frédérique Shine

La période actuelle que vit l’humanité est celle que les anciens appelaient l’apocalypse, ou « levée des voiles »… Pour opérer une levée des voiles de la conscience, l’humain soumis au petit Moi doit passer à la conscience du Soi Supérieur. C’est alors que de nombreux obstacles et pièges de l’égo se dressent sur son chemin. Il est donc nécessaire pour entamer un chemin vers le Soi d’aborder un travail sur les mécanismes de l’égo et les blessures qu’ils peuvent révéler.

L’idée étant de transcender les limites du mental pour s’élever un peu plus haut en conscience, là où l’être n’est plus soumis aux actions et réactions de son petit moi. Il n’y a qu’un pas entre le statut d’appelé et celui d’élu. Bien que ces mots risquent d’être mal interprétés par le mental, ils décrivent simplement le fait de passer du statut de cherchant à celui de maître. Pour opérer la transmutation nécessaire à ce changement d’état d’être, vous devrez passer d’une vision exotérique à ésotérique. C’est à dire d’une vision extérieure à une vision intérieure.

Le cherchant cherche à l’extérieur de lui-même des réponses qui vont le mettre sur le chemin, le Maître cherche en lui-même la raison de ce qu’il observe à l’extérieur. Le Maître n’est pas un « dieu », c’est un individu qui n’est plus dans le Faire mais dans l’ Etre. Sa vision intérieure éclaire les choses qu’il observe à l’extérieur de lui-même et il comprend ainsi tout ce qu’il voit en dehors. Il aborde le conflit qui fait rage au coin de la rue et l’arc en ciel qui colore le ciel au même moment, comme deux manifestations du climat énergétique de son cosmos intérieur.

Le Maître est co-créateur de ce monde, le cherchant est encore en chemin vers cette pleine conscience mais il ne crée pas, il subit. Pour ne plus subir, il suffirait que ce cherchant s’arrête de courir les routes, se pose calmement là où il est. Pourquoi pas sous un arbre ?

Qu’il l’imagine dans ses pensées ou qu’il soit déjà dans une forêt n’a que peu d’importance.

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Posez-vous sous l’arbre qu’il vous plairait de voir là, à l’endroit où vous stoppez votre course folle afin de vous contempler enfin vous-même. Prenez ce temps précieux. Car cette quête que vous cherchez n’est-elle pas celle de vous trouver vous-même ? Ne cherchez vous pas ce que vous croyez avoir perdu mais qui est toujours là depuis l’origine des temps ?Centrez vous sur cette idée que le trésor perdu (le Graal ou L’Arche d’Alliance des aventuriers mystiques), l’accès aux autres mondes (pour les fans de science fiction) où la recherche de l’Amour parfait (pour les romantiques), ainsi que tout autre fantasme du mental, ne sont que les manifestations d’une quête de re-connexion intérieure au Vrai Soi…

Vous ferez alors un bond quantique impressionnant dans une dimension d’existence différente. A cet endroit qui est en vous, vous serez bien. Imaginez y être déjà, ici et maintenant. Tel le soleil, au centre du micro-cosmos que vous êtes… Les influences extérieures se mettent en orbite autour de vous, en harmonie… Vous avez la sensation d’être à votre place, comme Un avec la Source de Vie.

C’est ce que sont les étoiles, des êtres alignés avec l’Unité de Vie. Il en existe une infinité qui vous montrent le chemin la nuit lorsque vous regardez le ciel. Elle vous disent ceci : « L’obscurité n’est pas un problème, nous brillons la lumière de la Source pour l’éclairer ». Je crois que c’est ce que chacun est venu être sur ce monde… Une étoile éclairant l’obscurité. Le soleil en vous est votre cœur, laissez le éclairer à sa guise, ainsi vous activerez votre flamme jumelle, votre double de lumière, le Soi.

Extrait du livre Réintégrer sa Flamme Jumelle, par Aurélie Pech d’Arcadie et Pascal d’Arcadie:

(Vous pouvez transmettre le texte sans en modifier le contenu et en indiquant le titre du livre dont il est extrait ainsi que l’auteur et la source: https://bienvenueenarcadie.com)

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