60 millions d’individus revenus de la mort ?




60 millions d’individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d’envisager un « au-delà » ? C’est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Eveil Tv - L'au delà

« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne saura jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »

Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !




Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !

Source de l’article sur les récits de Jean Jaques Charbonnier :http://www.inrees.com

Livre « sept bonnes raisons » d’y croire.

Dr Jean-Jacques Charbonnier

LES 5 FRÉQUENCES D’UNITÉ

par Véronique Rauzy

Comment vivre des relations saines, libres et fraternelles, sans prédation ? Comment être ensemble autrement ? La prédation semble si banale, si normale, si profondément incrustée dans les comportements… Et pourtant ! Elle n’est pas invincible ni incontournable. La dépasser est une des grandes épreuves de maîtrise, pour accéder à l’humain divin.

Je vous propose l’alignement sur une synergie de 5 fréquences qui transcendent le paradigme de la prédation et construisent le paradigme de la coopération.

Les fréquences sont des forces, des énergies disponibles sur lesquelles nous pouvons nous aligner. Elles forment un socle, une base par lesquels l’énergie source circule. Elles nous restructurent en profondeur et construisent la nouvelle matrice éthérique, psychique et génétique, modifiant nos pensées, nos comportements, nos réactions émotionnelles et notre façon d’être au monde.

Dans mon expérience, quand je reçois une fréquence, il y a un champ énergétique puissant qui s’ouvre dans une partie de mon Cœur (que j’appelle la chambre à tachyons). Ce champ énergétique est relié à l’énergie source, il porte le mouvement originel au-delà de la vitesse de la lumière et n’a pas de forme. Dans la chambre à tachyons (qui est un lieu de mon Cœur, en fractal d’autres lieux), cette énergie-mouvement va se condenser dans des fréquences qui descendent ensuite dans ma structure sous forme de rayons, avec des caractéristiques très précises. Elles sont cohérentes, harmoniques, et ont pour propriété de restructurer nos matrices éthériques, énergétiques et génétiques. Elles vont tout d’abord agir sur ma structure, puis quand je les ai intégrées, je les émane au-delà de moi et elles vont informer ceux qui sont prêts à les recevoir et acceptent de se syntoniser, de s’aligner dessus.

L’ancienne matrice est tenue par une grille de fréquences basses axées sur la peur, créatrices de programmes de manque, de destruction, de normes rigides et de filtres posés sur la conscience.

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LE RESPECT

Lieu du pilier Yang.

Le respect commence par nous-même. En cultivant notre ESTIME DE SOI, en prenant soin de notre corps et de notre âme, de comment nous nous nourrissons, autant physiquement que psychiquement et énergétiquement.

Désactivons tous les programmes de dénigrement de soi. Ces filtres nous entraînent dans des relations où nous ne sommes pas honoré et apprécié.

Offrons-nous ce que nous voudrions que les autres nous offrent.

Nous voulons des amis et des proches en qui avoir confiance ? Soyons quelqu’un de fiable, à qui autrui peut se fier, responsable, qui fait ce qu’il dit. Développons d’abord la confiance en nous-même, pour nous-même. Sentons-nous en sécurité en nous, apprécions notre propre compagnie.

Nous souhaitons être reconnu par les autres ? Reconnaissons-nous nous-même d’abord. Cessons de nous juger et de nous dénigrer. N’attendons pas que les autres fassent notre travail à notre place. Nous nous devons de nous estimer. Ayons conscience de notre valeur.

Le respect commence par soi et ce n’est pas de l’égoïsme. C’est la compréhension que nous sommes responsable avant tout de notre incarnation, de notre interface humaine. Nous lui devons respect, soin et appréciation. C’est la base, le socle. Notre exigence doit se porter à cet endroit-là. Nous n’avons pas à être parfait. Nous avons à prendre soin de nous, de la qualité de ce que nous nous offrons, de ce que nous offrons au monde et de ce que nous recevons du monde.

Choisissons des relations qui nous élèvent et nous soutiennent, respectueuses pour toutes les parties.

Assumons nos RESPONSABILITÉS. Depuis l’intégrité, l’honnêteté, la vigilance, le discernement, la persévérance : renonçons aux habitudes de prédation.

Honorons-nous nous-même et honorons l’autre. Réduisons nos demandes vis-à-vis d’autrui. Désamorçons nos attentes, projections et déceptions. Cessons de nous approprier nos proches. Cessons de juger et de médire.

Émettons des propositions et ne forçons pas l’autre. Soyons une force de proposition, et pas de pression.

Apprenons la responsabilité et l’autonomie aux enfants.

Cultivons le réel CONSENTEMENT : si nous ne savons pas dire non, notre oui n’a pas de valeur. Lorsqu’on s’honore, chacun de nos choix devient pleinement conscient et consenti.

Apprenons à reconnaître en nous le plein consentement… et les situations qui relèvent de compromis. Lorsque c’est le cas, prenons le temps de tout mettre en lumière, et de nous positionner en conscience. Vérifions que nous n’agissons pas sous une contrainte (familiale, amoureuse, amicale, professionnelle, sociale). Quand nous identifions une contrainte : révoquons-la et proposons autre chose. N’acceptons pas de compromis par crainte de la solitude. Si nous devons vivre une période de solitude, réjouissons-nous de nous découvrir profondément, de plonger à l’intérieur nous rencontrer et de laisser jaillir l’authenticité, ce qui nous anime réellement. Quand nous changeons de vibration, si notre entourage ne change pas en même temps, certaines relations peuvent se trouver en décalage et alors nous devons affronter la question de savoir si la relation continue ou si elle s’arrête. Tout est OK avec ça. D’autres viendront en résonance sur notre nouvelle vibration, et/ou notre entourage suivra…

Apprenons à reconnaître ce qui fait vibrer notre Cœur, et refusons le reste, avec douceur et fermeté.

Prenons le soin de demander à l’autre la permission et l’expression de son consentement. Acceptons quand c’est non et n’insistons pas. Apprenons à supporter tranquillement de recevoir des refus sans dramatiser ni se contrarier.

Osons fixer clairement nos LIMITES. Apprenons à nous positionner : décrétons nos limites, exprimons-les et exigeons qu’elles soient respectées. Cessons de participer à ce qui ne nous honore pas pleinement.

Quand un autre tente de nous charger de son énergie négative – sa basse vibration, ses émotions, ses problèmes, sa souffrance, ses attentes, ses projections, ses plaintes, son agressivité – : apprenons à identifier ce qui ne nous correspond pas, et ne permettons pas à la charge d’entrer dans notre champ.

Ne nous impliquons pas dans les émotions de l’autre et dans ses drames : on aide d’autant mieux qu’on n’abonde pas dans l’émotion et la souffrance de l’autre mais qu’on l’invite à changer de perspective, à élargir son point de vue.

En nous accordant au respect, nous entrons dans un profond processus de RÉSILIENCE, de lâcher-prise sur les anciens conflits. Nous décrétons nos limites, tant intérieures, quant aux exigences que l’on s’impose, qu’extérieures dans ce que nous sommes d’accord pour partager dans l’espace de nos relations.

Quand nous nous respectons, nous aiguisons notre discernement, nous conscientisons nos comportements et pouvons décider d’abandonner tout ce qui est irrespectueux et ne nous correspond pas. Nous ne nous sentons plus obligé de répondre à des attentes pour plaire ou convenir.

Élevons en nous le pilier Yang qui sait se faire respecter, se faire entendre, qui est stable et cohérent (on peut l’assimiler à l’énergie de l’archange Michaël). Ce pilier Yang stable centré dans le Cœur permettra la libre circulation de l’énergie Yin, la danse de la vie, tout autour.

 




 

L’ÉQUANIMITÉ

L’équanimité, c’est l’égalité d’âme. Rester égal à soi-même, égal à son âme quels que soient les événements.

Dans la paix du Cœur, en ce lieu, nous sommes stables, imperturbables à l’agitation extérieure. Nous pouvons être traversé par tous les éléments, et vérifier que notre centre est l’unique singularité. Quoi qu’il se passe, ce point ne bouge pas, on peut le comparer à l’œil du cyclone. Il est stable malgré l’impermanence.

Depuis cette singularité, ce POINT-ZÉRO, l’équanimité nous donne accès au CHAMP DES POSSIBLES. Nous pouvons choisir parmi toutes les propositions, tous les potentiels. Nous avons une perspective élargie et les voies d’accès pour créer notre propre réalité.

Nous sommes à la fois parfaitement centré, et partout simultanément.

Le DÉTACHEMENT est une condition de l’équanimité. Nous sommes détaché quand nous lâchons prise de ce sur quoi nous ne pouvons pas influer directement, de ce qui ne relève pas de notre décision.

Le DÉSINTÉRESSEMENT n’est pas désintérêt ni indifférence, il est le fait de mettre ses intérêts personnels au même niveau que les intérêts personnels des autres et que l’intérêt collectif. Il est la compréhension que je peux être en relation avec les autres sans vouloir leur prendre quelque chose, me défendre ou conquérir un espace. Dans cette TRANSPARENCE peuvent jaillir la vision commune et la syntonisation.

C’est le lieu de l’OBSERVATEUR intérieur neutre, qui discerne sans juger ni polariser.

L’équanimité participe au processus énergétique d’absorption/neutralisation/réaffectation des forces.

L’équanimité nous permet de savourer chaque être rencontré. De voir en chacun la Vie et la promesse de l’Unité retrouvée. Nous nous reconnaissons Un parmi les autres, les semblables. Nous percevons notre singularité dans l’unicité.

Dans l’équanimité jaillit la COMPASSION vis-à-vis de l’autre dont on a vu la part prédatrice, et dont on a la certitude qu’il n’est pas que ça. Sans s’attacher aux défauts apparents, nous mobilisons la tendresse, la patience, l’espérance, pour apprécier le beau, le bon et le bien en chacun, en germe en chacun.

Nous acceptons l’autre au-delà des aversions ou préférences personnelles. Nous considérons tous avec impartialité. Nous parvenons à la NEUTRALITÉ BIENVEILLANTE devant tout ce et tous ceux qui se présentent : ami, inconnu ou ennemi.

Nous tolérons mieux l’inconfort, le désagréable, grâce à la compréhension de l’impermanence et à la sérénité de la patience et de la Présence.

Nous sommes indifférents, neutres, impassibles face aux drames, aux histoires, aux provocations. Cela a été reconnu comme faux et manœuvre involutive. Nous ne sommes plus affecté par les tentatives de prédation extérieures (absence de peur et d’obligation de réagir).

Nous acceptons de nombreuses expériences et possibilités, ainsi que l’impermanence des formes. Nous dépassons d’anciennes limites et le connu, sans se renier ni s’aliéner.

L’équanimité constitue une attitude cohérente : centrée, alignée sur une aspiration consciente, avec une perspective élevée et de multiples choix possibles. Nous avons alors la capacité de choisir, de trancher. Elle nous aide à faire le bon choix = le choix qui nous correspond vraiment.

L’équanimité transcende la réalité limitée, l’inconscience, la culpabilité, la peur.




LA JOIE SANS OBJET

La joie sans objet est une fréquence extrêmement élevée, qui nous amène à côtoyer la grâce. Elle nous permet de découvrir ce qui nous anime véritablement et de libérer nos ressources profondes. Elle nous aide à canaliser nos pulsions.

La joie sans objet fait jaillir en nous la PULSION DE VIE originelle et nous permet d’exprimer le meilleur de nous-même. Lors des moments d’épreuve, elle soutient nos capacités d’aller au-delà de ce dont on se croyait capable.

Elle nous permet de vivre ce qui nous anime véritablement, ce qui nous mobilise tout entier. Nous sommes animé de l’intérieur, c’est-à-dire mû par l’âme.

C’est une véritable libération et l’ÉPANOUISSEMENT de notre être. Stimulée de l’intérieur, notre créativité se déploie, nous nous autorisons à exprimer dans la matière, en dehors, ce qui nous anime en dedans. Nous créons nos propres formes et pratiques, nous n’avons plus besoin de reproduire ce qui a été initié par d’autres auparavant. Nous sommes la source jaillissante de la vie qui se renouvelle et se réinvente à chaque instant.

Joie sans objet rime avec SIMPLICITÉ et FLUIDITÉ.

Les relations deviennent source de plaisir simple et authentique. Il n’est plus possible de voir l’autre comme un objet dont on pourrait se servir. La joie gratuite d’être ensemble est le seul moteur de la relation.

La joie sans objet propose d’ouvrir le ROBINET D’AMOUR : faire circuler l’énergie Amour, partout, tout le temps, pour tous. Que cela soit notre activité principale !

C’est le lieu de la danse Yin – la libre circulation énergétique de l’Amour.

En élevant notre vibration, la Joie sans objet nous amène à élever nos buts, nos aspirations, elle nous accompagne vers L’ENGAGEMENT AU SERVICE D’AUTRUI, à offrir à l’œuvre commune ce qui nous anime et nous met en joie.

Nous accédons à une autre expérience. La vie prend une nouvelle saveur, à la fois douce et intense.

Le champ de la libido est transformé : nous apprenons à CANALISER LES PULSIONS, à les sublimer et nous honorons le pouvoir de créer avec l’énergie sexuelle au lieu de la subir.

La libido est un immense réservoir d’énergie, de ressources profondes. Nous nous ouvrons enfin à notre PUISSANCE créatrice.

Au sein des pulsions considérées comme négatives : pulsions destructrices, de mort, par un travail énergétique nous apprenons à dissocier le « mal » de la « force » et à neutraliser les charges, puis à réaffecter l’énergie disponible.

L’énergie jaillissante doit circuler. L’art consiste à la dépolariser et la canaliser en conscience. Permettons à la force qui veut jaillir de s’écouler sans se défouler sur les autres. Ne retenons pas l’énergie : tout l’enjeu est de favoriser la libre circulation du flot en nous. Délivrons nos ressources profondes, issues des tripes et du sexe, et lions-les aux ressources du Divin afin qu’elles se fusionnent et s’harmonisent.

Faisons lui monter le chemin énergétique intérieur afin qu’elle stimule et active les chakras successifs, ce qu’on appelle le feu de la KUNDALINI. Ainsi liée à la Terre et au Ciel, l’énergie va se structurer sur un TORE de plus en plus vigoureux qui va nous nourrir, nous guérir, nous reposer, nous ressourcer, élever nos vibrations, activer nos gènes endormis. Nous avons alors accès à L’AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE et à des facultés de régénération nouvelles.

Avec la joie sans objet, nous sortons de la dépendance sexuelle : la sexualité s’éveille à une dimension plus subtile, liée, créatrice. Nous ne partageons plus la relation sexuelle pour nous remplir ou nous décharger, mais pour la rencontre d’une autre âme incarnée, pour la FUSION DES CORPS, DES CŒURS ET DES ÂMES. Oui aux désirs, non à ce qu’ils nous gouvernent. Nous sublimons les pulsions et exprimons notre libido de manière créative et respectueuse.

La satisfaction n’est plus liée à l’assouvissement d’un besoin/désir tourné vers l’extérieur. La joie sans objet transcende la vénalité, l’animalité, la pulsion incontrôlée destructrice.




LE SERVICE À L’ŒUVRE COMMUNE

Le service à l’œuvre commune, ou service d’autrui, est l’engagement de tout notre être dans l’incarnation, depuis la conscience d’UNITÉ. Le service à l’œuvre commune (à l’intérieur comme à l’extérieur) transcende le service à soi-même, l’intérêt personnel prioritaire.

Nous œuvrons chacun depuis notre centre singulier, avec nos caractéristiques, nos capacités évolutives, dans la conscience de participer à une dynamique collective de soutien du vivant. La motivation à l’œuvre est une amélioration collective, une œuvre collective pour le collectif.

Nous mobilisons la PRÉSENCE. Notre service est avant tout d’offrir ce que nous sommes. Nous choisissons les situations et relations qui nous élèvent, nous respectent, nous honorent et font émerger le meilleur en nous. Nous décidons d’incarner la meilleure version de nous-même. Nous nous épanouissons dans notre essence, notre authenticité. Nous sommes celui/celle que nous voulons rencontrer. Nous développons en nous ses vertus. Nous choisissons des motifs élevés et nous adorons œuvrer pour eux. Nous élevons tout, nous transcendons, nous sublimons, nous magnifions. Nous amenons tout au Cœur, tout le temps.

Notre identité, notre identification se modifient : en se mettant d’abord au service des intérêts du collectif avant ses intérêts particuliers, en soutenant la vie avec la conscience du Cœur, l’identité s’élargit, on se laisse advenir, être une meilleure version de soi-même.

Nous mobilisons la CONSCIENCE. Nous choisissons de nous engager, de nous vouer à une œuvre qui dépasse de très loin notre histoire personnelle. Nous acceptons d’être l’instrument du divin, par l’intérieur. Personne d’extérieur ne nous dicte comment doit être notre contribution au service. Nous le savons depuis l’information intérieure. Et nous savons que la forme de ce service n’est jamais figée, elle est multiple, connectée sur l’infini champ des possibles.

Nous modifions nos priorités et nos manières de comprendre l’expérience vécue. Nous apprenons de nouvelles manières de fonctionner. Les SYNCHRONICITÉS s’enchaînent et nous permettent de suivre le fil, tout prend du sens, le puzzle se constitue, nous ne sommes plus perdu dans un monde hostile et incompréhensible, même si nous continuons de percevoir l’absurdité et la déroute de l’ancien monde.

Quand nous opérons cette bascule en nous, le CANAL s’ouvre et nous sommes guidé par le maître intérieur, pour savoir où et comment œuvrer. Nous recevons les informations adéquates au fur et à mesure, nous n’avons pas besoin de les stocker, elles circulent. Cette capacité de « LÂCHER », de ne pas s’accrocher à de l’information ou de la forme nous permet d’élargir toujours plus la conscience et l’accès au champ de possibles afin de manifester des réalités élevées. Nous comprenons que ce n’est pas compliqué. Au contraire, tout se simplifie à mesure que l’on s’installe dans le Cœur et qu’on se connecte durablement à son âme.

En liant le service à l’œuvre commune et la joie sans objet, nous mobilisons la PUISSANCE, c’est-à-dire les moyens adéquats et alignés, les ressources nécessaires à l’accomplissement de ce qui nous anime vraiment. Nous canalisons nos forces vers le but élevé. L’impulsion, la tension, l’attention et l’intention sont alignées pour faire converger l’énergie vers la manifestation, la réalisation.

Nous créons les formes de notre service selon ce qui nous correspond. Nos parts intérieures s’alignent et convergent pour servir le but élevé, nous sommes moins fragmenté, plus cohérent. Nous prenons des initiatives et assumons nos responsabilités.

Tout ce que nous recevons dans notre élévation spirituelle, nous l’offrons, nous le restituons au collectif comme force de PROPOSITION. Grâce à cette oscillation entre vide et plein, nous sommes toujours disposé à recevoir de nouvelles informations, de nouvelles ouvertures, de nouvelles aventures.

Nous nous reconnaissons comme Huma-Unité. Nous sommes enfin À NOTRE PLACE, selon ce qui nous anime profondément et en suivant notre connexion intérieure. Au-delà des formes, nous partageons CE QUE NOUS SOMMES.

Ce que vit chacun est important. Nous nous soutenons mutuellement en syntonisant nos structures vibratoires, nos fréquences intégrées et nos informations.

Depuis la compréhension que nous sommes tous liés, nous échangeons l’information et partageons l’énergie disponible en SYNTONISATION. Nous le faisons depuis la coopération et la compréhension d’œuvrer dans un but commun, collectif. En haute vibration l’énergie est abondante et circule incessamment, l’objet de l’œuvre est précisément de la faire circuler partout et de maintenir les fréquences élevées par nos émanations, nos rayonnements.

Le NOUS devient plus important que le JE. Mais ce n’est pas un « nous » exclusif, fermé, rigide, de clan. C’est un « nous » qui se renouvelle à chaque instant, au fil des interactions et des partages. Les relations deviennent lieu d’échange profond, de communion, depuis la compréhension de l’ESSENCE COMMUNE.

Quand nous entrons dans ce service, la solitude n’existe plus. Nous sommes en permanence connecté à nos hautes parts intérieures, relié par les Cœurs humains et nous communiquons aussi par les âmes. Nous pouvons appeler et sentir les présences de nos compagnons de chemin, à chaque instant, c’est une réalité de plus en plus tangible.

Nous décidons de nous engager dans une œuvre qui nous transcende, nous transforme, dans un but collectif, qui est de vivre une nouvelle humanité, en conscience d’Unité et non plus de séparation. Nous favorisons les intérêts de tous et pas d’abord le nôtre personnel.

L’œuvre est à la fois individuelle ET collective. C’est ENSEMBLE que nous pouvons basculer dans une nouvelle expérience, et plus d’êtres humains s’éveillent et s’élèvent, plus l’expérience s’enrichit et le champ des possibles s’étend. Chaque fois qu’un nouveau Cœur s’ouvre, chaque Cœur est renforcé et rehaussé : nous comprenons, soutenons et vibrons cela.

Nous comprenons qu’au-delà des expériences et interfaces individuelles, nous vivons une expérience collective, interconnectée, d’espèce, avec un rôle précis qui est celui d’être un pont entre les mondes.

LA SOUVERAINETÉ

Le lieu du Roi / de la Reine

Nous sommes souverain quand nous exprimons l’être humain divin : présent, conscient, puissant.

Nous acceptons pleinement l’incarnation, avec ses hauts et ses bas, sa grâce et sa densité. Nous choisissons d’être à la hauteur du cadeau qui nous est offert : ce temps de vie humaine.

Par notre innocence restaurée dans le Cœur, notre émerveillement devant la beauté du vivant harmonieux, nous apprécions toutes les « petites choses » qui peuplent notre environnement.

Dans notre souveraineté, depuis notre autonomie énergétique, nous avons la capacité de discerner, de nous positionner et de décider librement, en interdépendance avec les autres.

Nous cultivons l’AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE en permettant à l’énergie de circuler librement à travers nous, en élevant et soutenant nos fréquences, en nous nourrissant correctement et en dissolvant les programmes de prédation qui nous restreignent et nous séparent. Nos potentiels énergétiques augmentent, le tore associé à notre structure se renforce et draine de plus en plus d’énergie de qualité vibratoire plus haute. Nous nous connectons à l’axe vertical représenté par la Terre et le Ciel et nous permettons d’être un canal entre les deux dans lequel l’énergie se renouvelle sans cesse. Peu à peu l’énergie de Kundalini s’éveille et active nos chakras successivement, qui deviennent alors des centrales énergétiques autonomes, chacun depuis son niveau de vibration.

Dans cette dynamique, nos structures s’harmonisent et deviennent plus cohérentes ; notre aura remplit efficacement ses fonctions de filtre protecteur ; l’énergie qui circule informe toutes les strates de notre être, puis quand notre structure est pleine d’énergie de vie, notre rayonnement, notre émanation et notre vibration se déploient à l’extérieur.

À mesure que l’énergie circule toujours plus puissante et rapide dans nos structures, nous activons nos programmes génétiques endormis, nous restaurons notre ADN mitochondrial et construisons le système corporel le plus adapté à notre expérience, avec l’introduction du siliciumdans certaines de nos molécules pour nous adapter progressivement à la réalité quantique.

Nous ne cherchons plus de ressources à l’extérieur, nos besoins alimentaires changent et se réduisent, nos facultés de régénération et d’homéostasie sont décuplées.

Depuis l’autonomie énergétique, il est impossible de se faire vampiriser ou encore de baisser en vibration du fait d’être en présence de quelqu’un perçu comme négatif. Notre circuit énergétique cohérent, notre aura, nos fréquences élevées nous protègent des attaques.

Il existe des fonctions avancées de l’aura et des feux intérieurs qui permettent de récupérer la charge reçue lors d’une attaque énergétique/psychique, de la dépolariser et de la réutiliser pour des objectifs élevés, j’appelle cette pratique l’absorption/ neutralisation/ bénédiction. Je détaillerai cela dans un article à part, mais ce qui est passionnant c’est de comprendre que lors d’une attaque nous ne sommes pas forcément blessé, ni forcément obligé de riposter et de renvoyer la charge à l’expéditeur, ce qui s’assimile à la loi du Talion et est à la source des guerres. Il existe une ALTERNATIVE HAUTE : prendre la charge énergétique, la dépolariser et s’en servir pour créer, pour construire !

Lorsque nous soutenons quelqu’un énergétiquement, nous ne nous vidons pas et ne nous déchargeons pas de notre énergie. Nous nous branchons sur la circulation énergétique universelle, nous servons de canal jusqu’à la personne, et nous nous élevons avec elle, progressivement, afin qu’elle reçoive depuis l’énergie source les informations nécessaires à l’amélioration de sa structure. Nous ne sommes pas des sauveurs, nous servons de branchement depuis la compréhension que nous sommes tous liés et avons des capacités de syntonisation.

Grâce au DISCERNEMENT, nous connaissons et respectons nos états de l’instant. Nous communiquons avec les autres en exprimant nos véritables besoins, ressentis, sentiments ; et en accueillant, écoutant, acceptant le réciproque. Nous trouvons le curseur qui nous permet d’être attiré là où nous sommes apprécié tel que l’on est. Aussi avec notre personnalité.

Nous ressentons l’autre comme semblable et nous nous enrichissons mutuellement de nos différences et singularités.

Nous comprenons que le choix du sain, le choix du simple, est celui de la vie en nous.

Nous affirmons notre POSITIONNEMENT. Tout part de notre source. Nous sommes la vie.

Dans la souveraineté intérieure, notre personne se soumet à notre être, à notre essence. C’est l’ÂME qui s’exprime à travers la souveraineté, bien plus que les filtres et masques de la personnalité. L’ego est remis à sa place de « gardien » mais il ne lui est plus accordé le pouvoir de nous gouverner et de prendre les décisions à la place de notre âme.

Positionné au Cœur de notre incarnation, nous assumons nos responsabilités et ce qu’il nous appartient de prendre en charge. La souveraineté va de pair avec la MATURITÉ. Nous revenons à notre Essence et n’essayons pas d’être tel que nous « croyons » qu’il siérait d’être pour convenir. Nous nous honorons : nous respectons la personne et célébrons le divin en nous.

Nous savons que selon notre ATTITUDE, nous n’allons pas vivre de la même manière ce que la vie nous propose, et le déroulement des expériences sera différent. Nous avons nos propres clés de changement et la capacité d’intervenir sur les situations. Nous acceptons de nous engager depuis nous-même, par nous-même, pour tous.

Nous n’avons pas besoin d’avoir raison ; nous ne sommes pas obligé de nous justifier. Nous jouissons de l’HUMILITÉ qui nous permet de reconnaître lorsque nous avons des réactions inappropriées et de modifier notre attitude.

En RENONÇANT à la prédation, en désactivant les programmes, nous dissolvons le karma.

Dans la souveraineté extérieure s’exprime notre pouvoir de DÉCISION. Nous prenons nos décisions en nous fondant sur la justesse de notre Cœur, et sur la vision la plus large possible de la situation, en tenant compte de toutes les parties. Nos choix sont en cohérence avec nos aspirations les plus élevées.

La seule autorité que nous reconnaissons est celle du divin EN NOUS. La seule loi qui nous oblige est la loi harmonique du vivant : Amour, Joie, Harmonie, et les fréquences qui lui sont associées.

Nous vivons debout, dignes et goûtons à la LIBERTÉ. Un engagement ne nous oblige pas pour l’éternité. Nous pouvons revoir les contrats, dans le respect, la communication et la justesse.

Face à une demande qui nous est faite et n’est pas confortable au premier abord, nous n’évitons pas la situation : nous la discernons sans fuite ni déni. Ensuite nous consentons ou non à nous engager dedans. Nous n’y sommes pas forcé. Si nous estimons qu’elle ne nous correspond pas ou plus, nous pouvons la délaisser sans culpabilité. Nous ne sommes pas obligé de répondre à une demande.

Nous rompons les anciens contrats qui ne sont plus adéquats, les loyautés auxquelles nous nous croyions attaché sans l’avoir véritablement décidé. Nous transgressons les fausses obligations afin de nous aligner sur la véritable loi de l’Univers, basée sur les principes Amour, Joie et Harmonie.

Pour ne pas être rigide et écrasante, la souveraineté englobe la SENSIBILITÉ, le souci du plus grand bien de tous, la nuance et l’adaptation, tant que cela ne la déshonore pas.

Quand une situation nous affecte, permettons-nous de vivre complètement l’émotion qui jaillit en réaction, mais ne la gardons pas en nous. Le corps émotionnel fait tampon avec l’extérieur. Système de RÉGULATION, il permet d’évacuer le stress reçu lors d’une interaction intense. N’ayons pas peur ou honte de ressentir des émotions, mais ne soyons pas non plus accro à elles, permettons qu’ici aussi l’énergie circule librement sans qu’on s’y accroche ni qu’on fasse des nœuds.

La VULNÉRABILITÉ est une force de la souveraineté, elle est la corde sensible qui nous appelle à bouger pour modifier l’équilibre. Elle tempère, nuance, ventile. Elle nous apprend qu’on peut tomber et se relever, qu’on peut grandir et apprendre de chaque situation et que l’échec n’est qu’une manière d’appréhender le vécu. Au centre de l’expérience, nous acceptons d’être traversé par tout ce qui se présente, le lumineux, le venteux, le pluvieux, le boueux, d’avoir des expériences intenses, et nous vérifions que tout est OK. Que chaque petite mort est suivie d’une renaissance.

Au crible de la pleine conscience, nous percevons tout ce qui nous honore et tout ce qui nous abaisse. Et nous trions, nous nous offrons la liberté de choisir le meilleur. Nous sommes souverain tout en tenant compte des autres et de leur propre souveraineté.

Nous découvrons la magie de l’INTERDÉPENDANCE. Nous ne sommes plus dépendant des autres pour combler des manques, nous ne sommes plus indépendant au point de préférer rester seul dans son coin. Nous ne voyons plus les autres comme de simples miroirs de nous-même, ce qui cultive l’ego et le désespoir de la solitude, mais nous comprenons que nous évoluons avec nos semblables, les êtres qui vibrent en résonance, en correspondance, et que le résultat de chaque interaction modifie la réalité de l’ensemble. L’interdépendance est une clé majeure du nouveau paradigme de la coopération.

Nous ouvrons notre Univers aux autres et nous pénétrons dans l’Univers des autres : nous créons le temps de l’expérience un Univers ensemble.

Nous développons la capacité à comprendre de manière multidimensionnelle, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur, à avoir plusieurs points de vue simultanément sur le vécu, en situation, et à pouvoir naviguer entre ces niveaux de conscience accessibles. L’empathie, l’intuition, la vigilance se déploient et nos perspectives s’élargissent.

Source:

 

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Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Un neurologue démontre l’existence de la vie après la mort

Après la mort, on voit son corps

 

« La preuve du paradis » est un des livres dont on ne ressort pas indemne. L’histoire de ce neurochirurgien est tellement énorme que je suis persuadé qu’elle n’est pas due au hasard. Imaginez un neurochirurgien qui est non seulement victime de son propre métier en contractant une méningite bactérienne, mais qui plus est fait l’expérience d’une NDE ou EMI, c’est-à-dire l’expérience d’une vie après la mort.

L’expérience du Dr Eben Alexender a même fait la une du célèbre magazine Newsweek, « Le paradis existe » :




 

Le paradis existe

L

e plus surprenant, de par sa formation scientifique le neurologue Dr Eben Alexander était quelqu’un de très sceptique, il ne croyait qu’en ce qu’il voyait. D’ailleurs, quand il entendait des témoignages de personnes de personnes après un accident raconter l’histoire du tunnel, pour lui, c’est leur cerveau qui leur jouait des tours à ces pauvres gens.

Le destin a voulu que lui aussi vive ce genre d’expérience pendant un coma profond d’une semaine.

Dans son livre il raconte donc ce qu’il a vu, des jardins, des paillons, des nuages… Des paysages de toute beauté, mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il y a de fascinant est qu’il balaye d’un revers de main toutes les objections que peuvent avoir les scientifiques sur les témoignages de la vie après la mort. Car il affirme haut et fort que son cerveau était tellement attaqué par cette maladie qu’il n’avait plus les capacités de créer des images telles qu’il les a vus.

En fait, son cerveau pendant son coma n’avait pratiquement plus aucune activité, son néocortex était « out ».  Il insiste bien que l’expérience qu’il a vécue n’est en aucun cas comparable à un rêve, c’était pour lui aussi réel que la lecture de cet article pour vous par exemple.

Il nous révèle aussi dans son livre que nous revoyons dans cette autre dimension les êtres disparus. Ce qui est un point commun à de nombreux témoignages de vie après la mort (NDE).

En revanche, il nous donne un détail qu’apparemment je n’ai jamais entendu dans d’autres témoignages. Il entendait comme un son qu’il est difficile de décrire, une sorte de « Om » hindouiste qui serait peut être la source de ce qu’il nomme Dieu à défaut de connaitre son origine.

Depuis, ce neurologue est devenu totalement croyant et il est convaincu que la conscience n’est pas dans la matière grise du cerveau, elle est ailleurs…

Il y a vraiment de plus en plus de témoignages en faveur de la vie après la mort que même les plus athées ne peuvent être indifférents.

De plus,  je crois que ces remontées de témoignages sont vraiment bénéfiques pour l’humanité. Car, si les scientifiques admettaient enfin que la conscience ne meurt pas après la mort clinique, on serait obligés d’admettre que nos actes présents auront une influence après notre mort, donc à mon avis, non seulement on serait plus « cool » avec son prochain, mais aussi les biens matériels seraient vraiment illusoires.

C’est peut-être pour cette raison que quelles que soient les preuves, l’existence de la vie après la mort aura toujours de forts opposants surtout parmi les intellectuels de ce monde, car c’est tout le système qui s’effondrerait.

Si le livre « la preuve du paradis » vous intéresse, vous pouvez vous le procurer à la FNAC :

http://livre.fnac.com/a5102074/Eben-Alexander-La-preuve-du-Paradis




 

Source: Le nouveau Paradigme

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QUE SE PASSE-T-IL QUAND ON MEURT ?

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Que ressent-on quand on meurt ? Voilà une question que l’on est tous amené à se poser un jour ou l’autre. Heureusement, de nombreuses études portent sur le sujet et des expériences ont été faites, des témoignages ont été recueillis… On sait désormais ce qui arrive au corps et au cerveau à l’approche de la fin.

Un sujet peu joyeux il est vrai, et pourtant extrêmement intéressant. Qui n’a jamais voulu savoir ce que l’on ressent lorsque l’on meurt ? Est-il impossible d’en avoir la réponse ? Pas vraiment. Des études, des textes (comme How we Die de Sherwin Nuland) attestent des expériences vécues par des patients, des personnes âgées… Les témoignages ne concordent pas toujours, mais des points reviennent très souvent, si bien que l’on peut savoir ce qui arrive au corps et au cerveau à l’approche de la fin.

 

Ce que l’on ressent au niveau du corps quand on meurt

Sachez que la mort est avant tout un processus, pas un point fixe avant lequel il y aurait la vie et à partir duquel il n’y aurait rien. On parle par ailleurs de mort clinique et de mort biologique, pourquoi ? La mort clinique survient lorsque le cœur cesse de battre, que la circulation sanguine stoppe, et que votre respiration s’arrête. La mort biologique intervient 5 ou 6 minutes plus tard, lorsque toutes les cellules de votre corps cessent de fonctionner, cerveau inclus.

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Ceci est la définition de la mort d’un point de vue légal et purement scientifique. Mais qu’en est-il du processus, quand on sait que des chercheurs pensent pouvoir ramener à la vie des personnes en état de mort cérébrale ? Selon James Hallenbeck, spécialiste en soin palliatifs, les derniers jours passés sur Terre sont connus comme étant la phase de « mort active ». La personne concernée commence à perdre ses besoins naturels, dans cet ordre précis :

  1. On arrête d’avoir faim
  2. On arrête d’avoir soif
  3. On commence à ne plus pouvoir parler
  4. On commence à ne plus pouvoir voir
  5. On commence à ne plus pouvoir entendre
  6. On commence à ne plus pouvoir ressentir (le toucher)

Tout ceci s’accompagne d’effets que l’on peut qualifier de secondaires, ils surviennent dans un ordre non défini : dépression, anxiété, respiration affaiblie, fatigue extrême, confusion mentale, nausée, incontinence… Le cerveau préfère en fait sacrifier quelques fonctions non vitales dans le but de vous maintenir en vie. Vous serez alors trop faible pour tousser, avaler, et la respiration émet alors un son bien spécifique, le « râle d’agonie ».

Ce râle ne fait pas mal au mourant, mais les médecins sont encore incertains en ce qui concerne la souffrance ressentie lors de la mort (naturelle). Quoi qu’il en soit, le corps finit par lâcher, et le cerveau ne peut alors plus le « prendre en main ». Mais qu’arrive t-il à notre cerveau ?

Ce que l’on ressent au niveau du cerveau quand on meurt

Une fois le corps « perdu » par votre cerveau, ce dernier prépare votre conscience à ce qui va suivre. Des études montrent que plus une personne se trouve proche de la mort, plus elle la prend comme étant positive. Ceci peut s’expliquer par l’acceptation que l’on en fait au fur et à mesure qu’elle devient moins abstraite, et également par la présence de dernières pensées heureuses et calmes.

L’activité du cerveau est plus intense pour une personne sur le point de décéder. 88% des participants à une expérience scientifique conduite dans un hospice à New York ont indiqué avoir eu des visions ou des rêves qui semblaient plus réels qu’habituellement. Des personnes ont rêvé d’une réunion avec d’autres personnes déjà décédées, et d’autres ont imaginé voyager ailleurs. Enfin, d’autres personnes se sont remémorées des événements marquants de leur passé.

À la mort clinique, le cerveau relâche plus de substances neurochimiques qu’habituellement. C’est à ce moment précis que ces diverses expériences surviennent. Les personnes ayant eu une expérience de mort imminente rapportent le plus souvent avoir vécu l’une de ces choses :

  • Une sensation de conscience totale, rêvée, on a l’impression que tout va pour le mieux
  • Une « out of body experience », la personne a l’impression de flotter au dessus de son corps
  • La vie qui défile devant les yeux, ou plutôt des moments particulièrement marquants
  • Une réunion avec des êtres chers, parfois même des ancêtres que l’on a jamais vu
  • Une sensation absolue de calme et de repos, probablement due au surplus d’endorphine que le cerveau produit
  • La lumière au bout du tunnel, possiblement causée par votre système visuel qui devient trop sensible à la lumière

Il est à priori possible d’expérimenter seulement une de ces choses, ou plusieurs à la suite. Selon les survivants des expériences de mort imminente, ces choses rendent la mort acceptable. Nous ne saurons donc probablement jamais ce qu’il arrive après la mort, si quelque chose arrive, mais une chose est néanmoins certaine : votre cerveau tentera coûte-que-coûte de la rendre la plus confortable possible.

Source: https://www.papergeek.fr/

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Corps en lévitation, cris d’enfants… Les surprenantes anecdotes d’un embaumeur




Thanatopracteur depuis près de trente ans, Olivier Emphoux a été témoin de plusieurs phénomènes paranormaux. Il nous livre aujourd’hui un incroyable témoignage de son expérience auprès des morts.

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Planet : Si vous exercez ce métier, c’est donc que le contact des morts ne vous effraie pas…
Olivier Emphoux* : « Je n’ai pas grandi dans cet univers, mon enfance a été tout ce qu’il y a de plus normal mais j’ai toujours pensé que les morts relevaient du domaine du sacré. Et ce sentiment n’a fait que se renforcer avec le temps. Je suis ainsi entré dans l’univers du funéraire au plus bas de l’échelle il y a une vingtaine d’années et suis aujourd’hui thanatopracteur. Une expérience qui m’a permis de vérifier une théorie que j’avais développée bien des années auparavant et selon laquelle quelque chose se passe dans les quelques heures (48 heures, tout au plus) qui suivent un décès. Le défunt est alors sur le point de quitter son existence pour trouver un autre état. A ce moment-là, il est soit très calme, soit apeuré à l’idée de passer ce cap. C’est d’ailleurs pourquoi j’essaie à chaque fois de prendre le temps de m’assoir à côté du mort et de lui prendre la main pour le rassurer.

Planet : Quand avez-vous pu vérifier votre théorie pour la toute première fois ?
Olivier Emphoux : C’était au début de ma carrière. J’avais été appelé pour aller récupérer les corps de deux enfants à la morgue d’un hôpital. Quand je suis arrivé, le responsable avait une mine défaite et m’a dit qu’il était incapable d’aller les chercher dans les frigos. J’y suis donc allé. Là, j’ai découvert une petite fille de dix ans qui avait encore les yeux ouverts, je les lui ai fermés, et un petit garçon de quatre ans en pyjama, les poings serrés. Je me suis occupé de leurs corps et les ai ensuite emmenés pour la présentation à leur famille. Une fois les cercueils scellés, je les ai mis dans le corbillard et ai conduit jusqu’au lieu où ils devaient être inhumés. J’étais seul dans le véhicule. A un moment pendant le trajet, j’ai entendu des cris d’enfants. Je me suis arrêté et suis descendu pour voir si les bruits ne venaient pas des cercueils. Après tout, on lit parfois dans les journaux que des gens se réveillent à la morgue. Mais là, il n’y avait plus aucun bruit. J’ai donc redémarré en me disant que mon imagination m’avait joué un tour. Mais les cris ont recommencé. Comme j’étais certain de les entendre, j’ai alors compris que cela ne venait pas de moi mais d’un phénomène paranormal.

Planet : Avez-vous ensuite cherché à savoir ce qui était arrivé à ces deux enfants ?
Olivier Emphoux : J’ai ensuite appris que leur mère avait décidé de vérifier s’ils savaient nager en plongeant leur voiture dans un étang. Ils étaient tous les trois à bord, la mère au volant, les deux enfants attachés à l’arrière. Elle s’en est sortie mais les deux petits sont morts…



Planet : Vous demandez-vous parfois pourquoi vous êtes témoin de ces phénomènes paranormaux ?
Olivier Emphoux : Non, je ne cherche pas à savoir pourquoi. On ne peut pas expliquer ces phénomènes irrationnels en étant vivant. Chercher à comprendre leur origine et pourquoi j’en suis témoin serait le meilleur moyen de ne plus rien voir. Les autres thanatopracteurs qui ont assisté à ce type de phénomènes, en France ou à l’étranger, sont comme moi : ils en parlent très peu. Que ce soit aux familles des défunts – par respect on ne les questionne pas – entre eux ou avec leurs collègues. C’est comme ça, ça ne se fait pas.

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Planet : Vous avez pourtant écrit un livre pour raconter ce dont vous avez été témoin…
Olivier Emphoux : C’est différent. Le livre est né tout seul. Annette Gefffroy est tombée sur mes notes et a eu envie de les mettre en forme. Le but n’était pas de chercher à comprendre ce qu’elles pouvaient révéler mais simplement d’en rendre compte.

Planet : Y-a-t-il des phénomènes plus marquants que d’autres ?
Olivier Emphoux : Il y a notamment eu la fois où je faisais un soin à domicile, seul dans une pièce avec le défunt. A un moment, le corps s’est soulevé à un mètre de hauteur, jusqu’à atteindre la hauteur de mes yeux…. J’ai encore du mal à décrire l’effet que cela m’a fait. Je ne savais plus quoi dire ou faire, j’étais tétanisé.

Il y a aussi eu la fois où, avec trois de mes collègues et alors que nous déplacions le cercueil d’un homme sur un chariot à l’hôpital, nous avons été témoins d’un phénomène très troublant. Nous venions de passer une porte que nous avions silencieusement refermée derrière nous. Dans notre métier, nous devons sans cesse veiller à être invisibles. On dit souvent que la famille du défunt ne doit pas nous voir arriver ni vous voir repartir. Mais tout d’un coup, la porte s’est rouverte et refermée dans un fracas. Ensuite, pendant que nous avancions avec le chariot, nous avons entendu un bruit de métal régulier. Ce bruit nous suivait et s’arrêtait en même temps que nous. Arrivés dans l’ascenseur, j’ai regardé dans le cercueil pour voir si un objet en métal n’’était pas à l’origine de ce bruit. C’est alors que j’ai découvert des talonnettes en métal sur les chaussures du défunt… Il nous avait suivis… Quand nous nous en sommes rendus compte, nous nous sommes tous regardés, perplexes, mais aucun de nous n’a dit quoi que ce soit. Par la suite, nous n’en avons jamais parlé ».

*Olivier Emphoux est l’auteur d’ Aux portes de l’inconnu, un embaumeur raconte… (éd. de L’Opportun)

Source

Lien du livre

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2:22

films spirituels

Dylan, un contrôleur aérien sans histoires, perd son emploi après avoir failli provoquer une collision entre deux avions, aveuglé par un éclair de lumière à h 22 précises. Mais il s’aperçoit que cette journée se répète jour après jour. Il rencontre Sarah, une ancienne danseuse qui était dans l’un des avions, et croit que son destin est lié au sien. Alors que des coïncidences étranges le conduisent tous les jours au hall de la gare de Grand Central, à h 22, il va devoir résoudre le mystère de cette heure pour éviter un futur accident…

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Les états modifiés de la conscience, entretien avec Sylvie Dethiollaz

Eveil Tv – Emission numéro 4 « Les états modifiés de la conscience »

Entretien avec Sylvie Dethiollaz de l’institut Issnoé (institut Suisse des sciences Noétiques)  qui nous parle des états modifiés de la conscience .

Les Etats Modifiés de Conscience « non-ordinaires »

Parler d’états modifiés de conscience (EMC) est ambiguë. Modifiés par rapport à quoi ? Existe-t-il un état de la conscience qui ne soit pas modifié ? Ou est la frontière ? Quelle est la norme ? Qui peut se prévaloir d’être dans un état non-modifié ?

En fait, chacun d’entre nous vit inconsciemment un certain nombre d’états de conscience chaque jour et il est difficile de dire lorsqu’on est dans un état non-modifié, car tous ces états ne cessent de se succéder : en réalité, notre conscience est en mouvement perpétuel.

Dans ce continuum, il existe des EMC tout à fait banals, comme par exemple être dans la lune, dormir ou encore rêver. Puis viennent des EMC un peu moins courants, mais encore largement répandus,  tels que l’intuition, le rêve lucide, les états méditatifs ou hypnotiques et même certaines maladies mentales.

Finalement, on parle d’EMC « non-ordinaires » pour qualifier certains états relativement peu courants et très « spectaculaires ». On peut classer ces derniers selon des catégories, mais certaines expériences demeurent  inclassables, dans la mesure où les phénomènes décrits présentent des caractéristiques appartenant à plusieurs catégories à la fois.

Au-delà de leur apparente diversité, ces expériences présentent des similitudes troublantes. Transcendant l’espace, le temps et parfois même l’ego, toutes suggèrent une réalité plus « vaste ». Un autre de leurs points communs est leur aspect « spirituel », soit en tant que composante de l’expérience, soit en tant « qu’ouverture » de la personne consécutivement à celle-ci.

Les EMC non-ordinaires peuvent survenir de différentes façons: parfois spontanément ou au contraire grâce à la pratique de techniques (relaxation, méditation, hyperventilation, auto-hypnose etc…), ils peuvent aussi être provoqués par un choc émotionnel, voire un traumatisme physique ou psychique, ou encore la prise de produits (alcool, médicaments, drogues).

De toute évidence, moins l’EMC vécu est banal, plus l’événement peut être déroutant, voire perturbant et même, dans certains cas, traumatisant (voir Conséquences d’un EMC)

Voici quelques catégories d’EMC non-ordinaires :

Il existe une autre catégorie importante d’expériences extraordinaires en lien avec la Conscience, mais qui doivent être distinguées des EMC non-ordinaires :

Un grand merci à Sylvie pour cet interview, voici son site http://www.issnoe.ch

Documentaire 4 – Eveil Tv

Réalisation Frédérique Shine – Eveil Tv

Les expériences de mort imminente – Entretien avec Olivier Chambon

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Psychotérapie et chamanisme : Thérapie de l’âme, voyage dans le monde du rêve

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Un livre sur les psychothérapies et le chamanisme,
pourquoi ? Tout d abord, parce que le chamanisme est
l ancêtre de toutes nos méthodes de soins modernes.
Ensuite, par ce qu il est une pratique moderne en ce
qu il contient des concepts très opérants, utilise avec
une grande expertise les états modifiés de conscience,
et fait référence aux capacités parapsychologiques de
la conscience, rejoignant par là les dernières découvertes
de la physique quantique. Cet ouvrage a un but :
enrichir l éventail des interventions thérapeutiques en
combinant techniques chamaniques et psychothérapies.
– Un manuel pratique, original et inédit, présentant en
langage clair les recoupements entre psychothérapies
et chamanisme. Par exemple « l esprit » dans les
voyages chamaniques correspond à « l inconscient »
en hypnose ou en imagination active jungienne.
– Un livre écrit dans un langage clair et accessible au
profane, non initié au jargon « psy ».
– Un panel des différentes applications pratiques du
«psycho-chamanisme», fondées sur l hypnose,
l EMDR, la cohérence cardiaque, le reiki, etc.
Olivier Chambon est psychiatre psychothérapeute,
cofondateur du Diplôme Universitaire de Psychothérapie
(UCB Lyon 2). Formé au chamanisme et à de nombreuses
psychothérapies, il est auteur de Les Bases
de la psychothérapie, Dunod, 2009 ; La Médecine
psychédélique, Les Arènes, 2009 ; (en collaboration
avec Guillaume Blivet) Expériences extraordinaires
autour de la mort, Guy Trédaniel Éditeur, 2012.

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Sixième Sens

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Cole Sear, un garçon de 9 ans, a un secret qui le traumatise : il voit les allées et venues des personnes décédées, parfois agressives, qui l’apostrophent. Ce pouvoir l’enferme dans une peur continue et il refuse de le révéler jusqu’au jour où il rencontre le Dr Malcolm Crowe, psychologue pour enfants…

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The Tree of Life

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Jack grandit entre un père autoritaire et une mère aimante, qui lui donne foi en la vie. La naissance de ses deux frères l’oblige bientôt à partager cet amour inconditionnel, alors qu’il affronte l’individualisme forcené d’un père obsédé par la réussite de ses enfants. Jusqu’au jour où un tragique événement vient troubler cet équilibre précaire…

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